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Face à face, devant le lycée Atlantique de Luçon, entre cinquante militants de Reconquête et cinquante gauchistes immigrationnistes. Les patriotes étaient venus, derrière Éric Mauvoisin, protester contre l’invitation faite par le proviseur, M. Fabrice Boumendjel, d’inviter le délinquant Cédric Herrou, sans la moindre opposition, laver le cerveau de nos élèves sur le devoir d’accueil de l’autre, fût-il clandestin. Et naturellement, les gauchistes, qui n’avaient pas déclaré leur rassemblement, étaient venus contester ce rassemblement, comme d’habitude.
C'était un génie, le nouveau JP Morgan, l'idole de la presse américaine et le second plus gros donateur du Parti Démocrate (Bon Sang ne saurait mentir); il pensait même racheter Goldman Sachs à ses heures perdues...
Las, c'était en fait le Madoff de la cryptomonnaie, et comme avec Madoff, l'Autorité des Marchés Financiers US (la SEC) s'est démontrée sourde et aveugle à tous les signes précurseurs graves d'une arnaque imminente.
Samuel Bankman Fried, fils de bonne famille ultra-connecté aura participé à un réseau opaque de blanchiment, d'arnaque et de corruption dans lequel des millions d'épargnants auront laissé un bras...
Mais n'oubliez pas, c'est sur Didier Raoult et sur Elon Musk qu'il faut braquer les meilleurs investigations de la presse
Mehdi Meklat, avec la sortie de Arthur Rambo, revient sur le devant de la scène. Ce film est focalisé sur Marcelin Deschamps, triste pseudonyme que l’auteur et réalisateur avait utilisé voilà quelques années sur Twitter. Il s’en était alors servi pour dérouler une série de messages haineux, à caractère ouvertement misogyne et antisémite. Marcelin devenu Arthur, voilà qui ouvre à quelques questions.
Assa Traoré, ce vendredi 18 novembre, était entendue à l’ONU, dans le cadre de la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale en France, comme elle le rapporte sur sa page Facebook.
Dans une orthographe et une grammaire plus qu’approximatives – « la France a dû répondre aux des rapporteurs sur plusieurs cas discriminatoires et raciales » –, elle explique : « C’est un drame inconsolable qui me porte devant vous. Je me battrai toute ma vie pour que ce qui est arrivé à mon frère Adama n’arrive à aucun autre d’entre nous, à aucun de vos enfants, d’où qu’il vienne, qui qu’il soit, quelle que soit sa couleur ou sa religion. Nous avons des devoirs envers les générations qui nous suivent, celui d’être à la hauteur des valeurs d’égalité que nous portons haut et fort. »
La plupart des gens sont déconcertés face à ce qui ressemble à une crise énergétique mondiale : avec des prix du pétrole, du gaz et du charbon qui montent en flèche simultanément, et qui forcent même la fermeture de grandes usines industrielles telles que la chimie, l’aluminium ou l’acier. L’Administration Biden et l’Union europénne (UE) ont insisté sur le fait que tout ceci était dû aux actions militaires de Vladimir Poutine et de la Russie en Ukraine. Or ce n’est pas le cas. Cette crise énergétique est en fait une stratégie planifiée de longue date par les milieux affairistes et politiques occidentaux, afin de démanteler les économies industrialisées, au nom d’un « Agenda vert » dystopique. Les origines de cette évolution actuelles sont à rechercher dans la période bien plus ancienne que février 2022, lorsque la Russie a lancé son action militaire en Ukraine.
Lors de la campagne présidentielle, les « confidences » d’Eric Zemmour sur « l’obsession de l’école inclusive » avaient fait scandale. Il avait déclaré préférer « accueillir » les enfants handicapés dans des « établissements spécialisés, sauf pour les gens légèrement handicapés évidemment », plutôt qu’en classe ordinaire. A quelques exceptions près, tout le monde lui était tombé dessus.
Les élections intermédiaires américaines n'ont pas fini de susciter les commentaires les plus décalés et les récupérations les plus éhontées. En particulier, les bons esprits s'emploient à nous abreuver des divisions internes du parti républicain et des mécomptes de l'ex président Donald Trump. Annoncée ce 15 novembre, en vue de l'échéance 2024 sa nouvelle campagne présidentielle peut en effet apparaître comme mal engagée.
Le lundi 28 novembre prochain sera votée, à l’Assemblée, la proposition de loi visant à « protéger les propriétaires contre l’occupation illicite ». Présenté par Guillaume Kasbarian, député LREM et président de la commission des Affaires économiques, et Aurore Bergé, présidente du groupe Renaissance, ce projet de loi est jugé scandaleux par certains médias et partis de gauche. Ces derniers mois se sont succédé dans l’actualité des reportages témoignant des drames que vivent maints propriétaires dont le bien est squatté et souvent saccagé, auxquels la justice, malgré les procédures, n’est finalement d’aucun secours.
Jamais Jean-Luc Mélenchon n’a autant tonitrué que depuis qu’il n’est plus parlementaire, national ou européen. A croire qu’il se méfie furieusement des jeunes loups LFIstes, tels François Ruffin ou Clémentine Autain qui brûlent de l’envoyer en Ehpad, qu’il s’énivre de son propre verbe dès lors que le pouvoir lui a échappé… ou que, plus matériellement, il veuille préserver immaculée son armure de paladin d’une France sans frontières, lui qui en 2011 sur Hit Radio, assurait : « Je ne peux pas survivre quand il n’y a que des blonds aux yeux bleus. C’est au-dessus de mes forces. »
C'est le journalLe Parisien qui a révélé cette information, le 16 novembre. La police a procédé à une série d'arrestations d'amateurs de pédopornographie. Ils sont en tout quarante-huit, tous des hommes, arrêtés en moins d'une semaine. Ce que l'on a retrouvé dans leur disque dur soulève le cœur : images et vidéos d'actes pornographiques, mais aussi de violences et de sévices sur de jeunes enfants. Une enquête est désormais en cours pour savoir si ces personnes ont ou non participé directement à la torture ou au viol d'enfants.