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Bassem Braïki : “vous voulez boycotter la France, commencez par boycotter la CAF”
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Pénurie d’hydroxychloroquine : le professeur Raoult craint un blocus gouvernemental sur le produit
Résumons le bilan dressé par le professeur Didier Raoult lors de sa dernière vidéo du 26 octobre, avant de passer à la partie effrayante de son monologue. Selon l’infectiologue marseillais :
L’OMS confirme que le remdésivir ne marche pas. L’infectiologue ajoute que ce médicament entraîne des insuffisances rénales et contraint à perfuser les malades durant dix jours.
Les pays occidentaux qui ont les plus mauvais résultats persistent à recommander le remdésivir.
L’IHU de Marseille a reçu un mail de la direction générale de la Santé informant que le remdésivir allait pouvoir être utilisé gratuitement.
Mail suivi d’une communication du fabricant (Gilead) qui informait que l’Europe avait acheté des wagons de cet élixir miraculeux (pour un milliard d’euros) et qu’il pouvait être distribué gratuitement. Open bar sur le remdésivir. -
La diabolisation, technique du diable
Le mot diabolisation sonne étrangement à nos oreilles. C’est un terme péjoratif, mais la société utilise sans cesse ce mécanisme pour se protéger, validé des comportements collectifs, en excluant ceux qui ne partagent pas, ou protéger l’idée républicaine, qui ne peut être une idée forte que moyennant la diabolisation de ceux qui ne la reçoivent pas. Par l'Abbé G. de Tanoüarn
On peut difficilement majorer l'importance de la diabolisation comme comportement social. Elle est partout, autour de nous et en nous. Pour le comprendre, on peut d'abord remonter à la suggestion de Jean-Jacques Rousseau dans le Contrat social réaliser l'unanimité des citoyens autour du projet républicain, et exclure de la cité, par l'exil ou par la mort, ceux qui ne partagent pas la même conception de l'État. Jean-Jacques, en rêvant tout seul à un parfait édifice de bonheur politique, a créé les conditions théoriques de la terreur. À travers ses réflexions, on a fondé non pas une démocratie exprimant la volonté de la majorité des électeurs, mais une « république » représentant l'unanimité présumée des citoyens, une unanimité qui par définition est devenue incontestable, diabolisant tous ceux qui revendiqueraient une autre pensée ou d'autres convictions que les siennes. C'est ainsi que le diable est devenu moderne il s'est agi de transformer en diable (diaboliser) tout ce qui n'était pas progressiste. Résultats ? On a compté les morts par dizaines de millions, sur tous les continents. Le XXe siècle a été le siècle le plus sanglant, au nom de la diabolisation des opposants.
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La fiscalité verte pénalise trois fois plus les ménages pauvres que les classes aisées
Un rapport de Bercy montre que les ménages français acquittent 915 euros par an en moyenne de fiscalité énergétique pour leur logement et leur véhicule. Ces taxes sont très inégalitaires et représentent un effort de 4,5 % des revenus pour les 20 % des Français les moins riches, contre 1,3 % pour les plus aisés.
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Éoliennes : scandale d’État ? Charles Gave - Fabien Bouglé - Éddie Puyjalon
Lorsqu’on évoque les éoliennes on pense écologie ou défense de l’environnement. Ces « moulins à vents » des temps modernes qui envahissent les campagnes symbolisent la cause de l’énergie verte ainsi que la lutte contre le réchauffement climatique. Pourtant, au cours de cette émission vous découvriez la face cachée de l’éolien. Pollution, émissions de CO2, atteintes au patrimoine ou à la biodiversité, détournement de fonds publics, conflits d’intérêt, augmentation du prix de l’électricien, atteintes à la santé …. un nouveau scandale d’État.
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Les mesures pour lutter contre la délinquance sexuelle et les violences faites aux femmes.
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Il va falloir écouter ceux qui font des vagues !, par Philippe Bilger.
Nous en avons assez de ne pas faire de vagues. Au rassemblement en hommage à Samuel Paty, le 18 octobre, place de la République, il y avait cette protestation, cette prise de conscience collective. Même tardive, elle laisse espérer plus qu’un éphémère sursaut.
J’ai toujours éprouvé de la sympathie pour les lanceurs de vagues, bien plus que pour les lanceurs d’alerte qui, à tort ou à raison, m’apparaissaient le plus souvent pour des dénonciateurs occultes au grand pied, certains de s’attirer, dévoilés, les félicitations des médias de gauche puisque leurs révélations sont, en général, ciblées politiquement et économiquement. Ils ont leurs bons et leurs méchants.
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Gollnisch : “Au risque de choquer, je dirais que si l’on a rien d’autre à opposer à la montée de l’islamisme que les hideuses caricatures de Charlie hebdo, il y a du souci à se faire !…”
Dans la foulée de la décapitation de l’enseignant Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine, le Président Emmanuel Macron (de même que Robert Ménard) est devenu un promoteur du droit au blasphème et un représentant commercial de Charlie Hebdo et de ses caricatures. Ce qui vaut à la France de nouvelles menaces islamiques provenant de différents pays musulmans et de grosses angoisses parmi les services de police, de gendarmerie et de renseignements appelés à redoubler de vigilance sur tout le territoire.
Un tweet de Bruno Gollnisch fait preuve d’un bon sens qui manque tant à ceux qui nous gouvernent mais aussi, hélas, à beaucoup de représentants du camp national.
“Au risque de choquer (Mais il paraît que l’on a droit au blasphème…), je dirais que si l’on a rien d’autre à opposer à la montée de l’islamisme que les hideuses caricatures de Charlie hebdo, qui n’ont rien à faire dans les classes de collège, il y a du souci à se faire !…“, écrit avec sagesse Bruno Gollnisch.
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Un réanimateur viré en pleine crise COVID pour désaccord avec la politique sanitaire ! #WTF
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La justice n’est pas qu’affaire de budget, par Jacques Trémolet de Villers.
Les éclats médiatiques ne sont qu'écume. Le véritable problème de la justice est double : lui donner des moyens, certes, mais surtout être capable d'entendre le besoin de justice, et répondre à cette demande. Là est le vrai rôle de l'État.
«Huit pour cent d’augmentation pour le budget de la Justice », dit le Premier Ministre. C’est une annonce classique pour calmer la colère des magistrats. Mais elle peut aussi avoir l’effet inverse. Car, d’abord, la promesse sera-t-elle tenue en 2021, et, ensuite pourquoi ne pas crier plus fort pour avoir encore plus ?