Robert Ferguson, président du SPPI, y ajoute cette intéressante remarque : « En dépit des milliards dépensés sur des affirmations officielles concernant la prétendue menace d'un "réchauffement Climatique" anthropique catastrophique, les sondages montrent que le public n'y croit plus. La principale raison pour laquelle les électeurs ont cessé de se faire embarquer c'est que la petite clique, très bien introduite, d'un Climategate copieusement arrosé continue à se faire pincer en train de manipuler les données scientifiques ».
Ce qui s'accorde bien avec le point de vue de Richard Lindzen, physicien atmosphérique de renommée mondiale, bête noire du GIECC, dont il ne cesse depuis des années de contester les affirmations. « Dans la science climatique, écrit-il, inévitablement, lorsque les données entrent en conflit avec les modèles, on peut être assuré qu'une petite coterie de scientifiques sera toujours là pour modifier les données, ce qui est la preuve de l'existence d'une certaine corruption dans la communauté scientifique du climat ».