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  • Certificats de virginité : Marlène Schiappa pointe du doigt « les évangélistes »… mais, bien sûr, on y croit !

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    On a assez glosé sur les déboires d’instagrameuse de , ces jours derniers – sans vouloir paraphraser une formule célèbre, qui imagine Marie-France Garaud vanter son lissage brésilien ? – pour éviter d’y revenir… mais convenons que plus que dans la coiffure du ministre délégué, c’est dans sa pensée emmêlée qu’il faudrait mettre un peu d’ordre. Dans ce fouillis échevelé, on ne comprend plus rien. À moins que ce grand flou ne soit un mode de communication politique assumé ? Reçue par France 3, sur le plateau de « Dimanche en politique », elle est interrogée par Francis Letellier sur la « loi sur le séparatisme ». Elle reprend aussitôt le journaliste : il faut appeler cela « loi pour conforter les principes républicains ». Quitte à ne pas être claire, autant ne pas l’être du tout. L’avantage étant qu’ensuite, on peut y faire rentrer tout et n’importe quoi. Surtout n’importe quoi.

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  • Jean-Yves Le Gallou sur la censure : « C’est un coup d’État mondial de Facebook et Twitter ! »

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    Dans un entretien accordé à Boulevard Voltaire, Jean-Yves Le Gallou fustige la censure opérée par les réseaux sociaux qui empêche la liberté de débat. Sans cette libre confrontation des opinions, pas de démocratie.

    Grande purge

    Boulevard Voltaire : À la suite des évènements qui se sont passés au Capitole où des militants pro Trump ont pris d’assaut le bâtiment, les réseaux sociaux ont mis en place une sorte de grande purge. Le compte de Donald Trump qui comptait plusieurs dizaines de millions d’abonnés a sauté et de nombreux d’autres comptes, liés au parti républicain américain, mais aussi en France liés à des positions plus conservatrices ont été suspendus du réseau social. Que se passe-t-il et pourquoi est-ce grave ?

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  • Le français, tu le parles ou tu nous quittes! Comment on a renoncé à intégrer par la langue, par Michel Aubouin.

    Des migrants suivent un cours à Toulouse, 2017 © Alain Pitton / NurPhoto / NurPhoto via AFP. 

    Maîtriser le français pour devenir français: la France s’entête à ignorer ce principe de bon sens. En détruisant le projet « Français langue d’intégration », les idéologues du multiculturalisme ont privé la France du premier vecteur de l’intégration et de l’assimilation, et encouragé le développement de ghettos linguistiques. par Michel Aubouin*

    Je conserve de mes années d’enseignement la conviction que l’usage de la langue française est le préalable à l’apprentissage de toutes les autres disciplines. Puis, par une longue fréquentation des guichets de préfecture, j’ai compris que le français était aussi le préalable à l’intégration, parce que la langue n’est pas seulement un vecteur d’échanges, elle est aussi l’unique moyen d’aborder ce grand continent des références qui fait le savoir partagé : une certaine façon de raisonner, de voir le monde, de comprendre les constructions juridiques. Bref, la langue n’est pas un simple outil, mais une porte d’entrée vers l’intimité d’un peuple.

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  • Le jeu de Trump et pourquoi sa partie d’échecs contre l’Etat profond n’est pas terminée

     
    Sun Tzu déclarait dans l’Art de la guerre :
    “Faites semblant d’être faibles lorsque vous êtes fort. Toute guerre est basée sur la tromperie. Ainsi, lorsque nous sommes capables d’attaquer, nous devons en sembler incapables ; lorsque nous utilisons activement nos forces, nous devons sembler inactifs ; lorsque nous sommes proches, nous devons faire croire à l’ennemi que nous sommes au loin ; lorsque nous sommes éloignés de lui, nous devons lui faire croire que nous sommes tout près”.
    Dans une partie d’échecs, c’est le dernier mouvement qui emporte la mise, celui de la Reine. Dans une partie de cartes, c’est l’atout, ou carte maîtresse, qui se traduit en anglais par “trump card”. Trump est donc bien placé pour le savoir.

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  • « Compétitivité » : des usines énergivores débranchées du réseau français

    « Electricité : des usines énergivores débranchées du réseau françaisVendredi, aux alentours de 14 heures, RTE a activé le mécanisme dit « d’interruptibilité ». Autrement dit, il a débranché des sites industriels énergivores pour réduire leur consommation à cause d’un incident. RTE explique que ce phénomène n’est pas lié à la tension sur le réseau électrique français. Des sites comme celui du groupe Liberty, qui produit de l’aluminium à Dunkerque, ou ceux du chimiste KEM ONE dans le sud de la France peuvent se voir couper le courant pour libérer des centaines de mégawatts »

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  • GAFA: La toile se resserre – Une dérive qui inquiète jusqu’à la gauche (Présent)

    9781-p2-chardtrumpgafa.jpg?resize=600%2C940&ssl=1Prenant honteusement prétexte des incidents ayant émaillé mercredi dernier la juste manifestation de colère des partisans de Donald Trump devant le Capitole à Washington (voir Présent daté du 8 janvier), les milliardaires mondialistes à la tête des tout-puissants réseaux sociaux que sont Twitter, Facebook ou encore Instagram ont brutalement fermé ou suspendu vendredi les comptes du président américain, et entamé une impitoyable chasse aux sorcières contre ses sympathisants. Une atteinte à la liberté d’expression tellement énorme que certains grands médias français et autres personnalités, pourtant très hostiles au chef de la Maison-Blanche, en viennent aujourd’hui à s’interroger, et même à s’inquiéter d’une telle dérive totalitaire.

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  • Affaire Duhamel, dérive racialiste et décolonialiste: Science Po dans la tourmente

    Science Po toujours dans la tourmente. Après la mise en cause d’une de ses figures emblématiques, Olivier Duhamel, pour des faits d’inceste pédocriminels, la fabrique à petites élites de la république est à présent sous le feu des projecteurs pour l’idéologie racialiste qui prospère en son sein.  Racialiste, décolonialiste et indigéniste se seraient ainsi fait leur place dans l’école rue Saint Guillaume… C’est en tout cas ce qu’explique une enquête publiée dans le Figaro dimanche.

    Inspirés des dérives universitaires américaines, des petits groupes feraient ainsi pression pour imposer leur vision du monde, faisant la chasse à celui qui serait dominant ou dominé. Un groupe d’étudiants noirs demande par exemple de rendre obligatoire des cours « à propos de l’intersectionnalité raciale, la théorie critique de la race et la pensée décoloniale » et d’obliger aux blancs de se rendre compte qu’ils sont racistes… Une partie des élèves, mais aussi des enseignants, s’inquièteraient de ces dérives… Avec les récents évènements, l’organisation de l’IEP pourrait bien être grandement chamboulée d’autant que certains parlementaires se sont publiquement inquiétés de ces dérives.

    https://www.tvlibertes.com/actus/affaire-duhamel-et-derive-decolonialiste-science-po-dans-la-tourmente

  • Une réponse nationaliste au mondialisme par Julien DARVANT

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    C’est devenu une vérité de La Palisse que de dire que la pandémie du covid a permis au mondialisme d’étendre encore plus son emprise. Gestion par l’OMS, sacrifice de l’économie locale au profit des GAFAM, perte de cohésion sociale et atomisation de la société… Le mondialisme a su profiter de la crise qui aurait au contraire pu et dû accoucher d’une réaction nationaliste. Mais, par manque de réactivité et, aussi on le sent, par peur d’enfreindre les Diktat sanitaires, les nationalistes ne surent profiter de l’opportunité qui se présentait.

    Cette réaction salutaire était dictée d’abord par un sentiment de rejet. Le mondialisme avait failli, ses promesses ne s’étaient pas concrétisées, on nous avait menti. Mais comme l’adage le stipule, les sentiments, tout comme la colère, sont de bien piètres conseillers. Pourquoi s’opposer au mondialisme?

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  • Olivier Duhamel : il paraît que « tous savaient ». Et, donc ?

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    Il m’est arrivé de débattre avec . Je l’ai aussi beaucoup entendu dans les médias. Je n’ai jamais douté de sa position éminente dans certains lieux de pouvoir et de son influence auprès de beaucoup de décideurs, voire de son aura mondaine. Est-il besoin de rappeler Sciences Po et, sur un autre registre, Le Siècle ?

    À chaque fois que j’ai eu l’occasion, directement ou indirectement, de mesurer ce qu’il était, son intelligence, son savoir, son assurance voire parfois son arrogance (si sûr d’être supérieur !) étaient incontestables et souvent la pertinence de ses propos (où la gauche n’était plus un obstacle à l’adhésion) indiscutable.

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  • Le féminisme n'est pas un humanisme : La grande défaite des femmes 2/2

    Le féminisme n'est pas un humanisme La grande défaite des femmes.jpegÉLÉMENTS: Vous tentez une comparaison entre limage de la femme chez Balzac et chez Houellebecq. Qu'est-ce que cette comparaison nous apprend ?

    EUGÉNIE BASTIÉ. Balzac et Houellebecq sont des auteurs intéressants car ils décrivent chacun la « comédie humaine » de leur époque, ce sont des romanciers-sociologues; je pense d'ailleurs que c'est souvent la littérature qui est la vraie sociologie. Chez Balzac, la femme est le centre du jeu social, qu'elle soit séductrice, qu'elle manigance, qu'elle soit femme de cœur ou femme de tête, alors que chez Houellebecq elle est souvent réduite à une pute ou à une emmerdeuse. Il décrit un monde où la femme et la mère disparaissent. Contrairement à Éric Zemmour - qui, je pense, se trompe lourdement sur ce point -, il a compris que nous ne vivions pas du tout une phase de féminisation de la société. La prof de lettres désabusée, la musulmane, la pute thaïlandaise, l'artiste, la journaliste, etc. : autant de figures différentes qui témoignent pourtant dans ses romans d'une réduction radicale de l'imaginaire féminin symptomatique de ce qu'a provoqué le féminisme, c'est-à-dire une dévalorisation de la femme.

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