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Sur Sud Radio, Professeur Christian Perronne : "On est train d'inventer une deuxième vague artificielle !".
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Grâce au coronavirus on découvre que l’état de santé de l’hôpital est préoccupant !
« Il faut sauver l’hôpital », a déclaré Jean Castex, le 24 octobre. On eût pu espérer qu’il dise qu’il fallait sauver les Français face à ce nouveau virus, mais apparemment, pour notre besogneux Premier ministre, sa préoccupation première est la santé de l’hôpital, dont les conditions de sauvetage sont, selon lui, intimement liées à la discipline qu’il impose au peuple. Si l’hôpital explose, ce sera la faute de la population qui ne respecte pas les consignes données, ne cherchez pas de raisons ailleurs.
L’hôpital subit les conséquences de notre société de consommation et de profit. Nos hôpitaux, gérés depuis quelques décennies uniquement en fonction de la rentabilité, et amenés à fonctionner en flux tendu, sont devenus le triste symbole de cette société où l’on ne respecte plus que les valeurs liées au profit, ignorant toutes les autres, pourtant indispensables à une vie harmonieuse dans le respect d’une culture humaniste.
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Daniel Estulin et le virus des Bilderbergs
Ce qui nous arrive est prévu et monté depuis longtemps. Une grande partie fut révélée par l’écrivain d’origine soviétique Daniel Estulin en 2005.
Voici une interview de Daniel Estulin (auteur de nombreux ouvrages sur le globalisme, sur le Club Bilderberg, l’institut Tavistock etc) par Goyo G. Maestro pour le site espagnol larazon.es
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S’il y a un sujet favorable pour les complots, c’est bien le coronavirus, et s’il y a quelqu’un de compétent en la matière, c’est Daniel Estulin, auteur de plusieurs livres sur le club Bilderberg et analyste du renseignement russe. Estulin ne sait pas quelle est l’origine de la « pandémie » , mais il n’exclut pas la version suggérée par les responsables chinois selon laquelle l’armée américaine aurait introduit le virus en Chine . Ce qui est clair, c’est que cette crise sanitaire – « qui est secondaire » – va accélérer la fin du cycle que, ajoute-t-il, nous vivons, avec l’effondrement des marchés et la fin de l’ère entamée avec les accords de Bretton Woods en 1944. « L’Espagne ne peut pas sortir vivante de cette crise », prédit-il dans cet entretien avec LA RAZÓN.
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Charles Robin : « L'impasse idéologique de l'extrême gauche » 1/2
En deux essais, Le libéralisme comme volonté et comme représentation et, plus récemment, Penser le libéralisme, Charles Robin s'est imposé comme le jeune chef de file de ce qu'on pourrait appeler le « courant Michéa ». Rendant compte de ses ouvrages dans un précédent numéro d'Éléments, David L'Épée avait remarqué que ce jeune philosophe montpelliérain de 26 ans, né à l'extrême gauche au Nouveau parti anticapitaliste (NPA) notamment, savait également manier l'anecdote, la satire et le pamphlet. Raison de plus pour l'interroger...
Propos recueillis par Alain de Benoist
Éléments : Vous avez publié il y a peu un superbe essai sur Le libéralisme comme volonté et comme représentation. Ce titre d'inspiration schopenhauerienne est assorti d'un sous-titre : Démontage d'une mythologie politique contemporaine. En quoi le libéralisme est-il pour vous une « mythologie » ? Comment le définissez-vous ?
Charles Robin : Parler du libéralisme comme d'une « mythologie », c'est avant tout faire remarquer que son hégémonie actuelle est soumise à une série de « fictions » qui en conditionnent le déploiement dans l'ensemble de nos sociétés. La fiction centrale du libéralisme, c'est l'idée que celui-ci ne renverrait à rien d'autre qu'à une doctrine économique, dont les principaux adeptes se logeraient, pour l'essentiel, à la droite de l'échiquier politique. Il conviendrait ainsi, selon ce raisonnement (dont les ramifications sont lointaines et multiples), de voir dans la « droite » contemporaine le représentant principal, sinon exclusif, de la pensée libérale, quand la « gauche » (et, a fortiori, l’ « extrême gauche » se présenterait comme son adversaire idéologique naturel et le plus performant.
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Puissance et irresponsabilité des agences de notation financière (texte de 2010)
Perdre sa note AAA peut coûter très cher à un État - et à sa population. Mais qui décerne les notes ? Regard sur ces agences de notation qui font la pluie et le mauvais temps des peuples.
Apparues aux Etats-Unis à la fin du XIXe siècle dans le sillage des compagnies de chemin de fer, les agences de notation financière sont devenues un élément
Fausse monnaie : les Etats montrent l'exemple.
Incontournable de la finance mondiale. Leur rôle n'est pas d'estimer la valeur d'une entreprise - d'où peut-être certaines confusions -, mais d'évaluer sa solvabilité. Il s’agit d'apprécier son crédit, c'est-à-dire de mesurer le risque de non-remboursement de la dette d'un emprunteur.
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Maïwenn règle leurs comptes à ces « nouvelles féministes » qui n’arrêtent pas de dire des « conneries » !
Bien sûr, j’irai voir le nouveau film de Maïwenn ADN parce que j’avais beaucoup aimé Polisse et Mon roi de cette réalisatrice talentueuse et atypique. Elle ne fait pas un cinéma comme les autres. Et elle n’est pas une femme comme les autres.
Pourquoi bouderais-je mon plaisir de pouvoir consacrer ce billet à une personnalité authentiquement singulière qui me permet d’échapper à cette pesante obligation de parité : elle est courageuse et il y a des hommes qui ne le sont pas !
Dans un entretien à Paris Match, avec une allégresse tranquille et une brutalité souriante, elle démolit les poncifs prétendument progressistes de ce nouveau féminisme qui rêve de faire sexe à part et nous interdit les grâces, les élégances, les séductions, les jeux, sans doute aussi les vulgarités de l’ancien monde.
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Soros, Gates, Covid-19 : la répression commence ! Entretien avec Pierre-Antoine Plaquevent
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Valérie Laupies : “Refusons la politique du chaos !”
Valérie Laupies (Le Bon Sens pour Tarascon), élue régionale, commente l’actualité : tyrannie sanitaire digne du Meilleur des Mondes, décapitation de l’enseignant Samuel Paty, immigration incontrôlée, insécurité croissante,…
https://www.medias-presse.info/valerie-laupies-refusons-la-politique-du-chaos/126140/
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Comment mettre fin au succès d’Éric Zemmour ? Le groupe Canal+ s’interroge
Tétanisé par le succès d’Éric Zemmour, le groupe Canal+ (dans tous ses états) a demandé au groupe Bolloré de réunir son comité d’éthique pour examiner le cas Zemmour. Cinq membres réunis autour d’une table. Quelles « suites donner au dossier » ? Ambiance de tribunal.
Pour la première fois dans l’histoire de la télévision, les responsables d’une chaîne se mobilisent pour examiner les moyens de faire baisser l’audience d’une émission. Du jamais-vu.
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Le droit du sol fait des Français de papier (texte de 2010)
Le 1er octobre 1957, sous la présidence de René Coty, fut guillotiné Jacques Fesch, « blouson doré » coupable d'avoir tué un policier au cours d'un braquage. Bel exemple d'ouvrier de la vingt-cinquième heure, Fesch se convertit en prison et expia son crime sur l'échafaud, dans l'Espérance. L’Église l'a, depuis, béatifié.
En un demi-siècle, beaucoup de choses ont changé. Les truands d'hier hésitaient à tirer sur les forces de l'ordre. Pour la racaille d'aujourd'hui, ce n'est pas encore banal, mais ça tend à le devenir, comme on l'a vu lors des émeutes qui ont enflammé, à la mi-juillet, le quartier de La Villeneuve à Grenoble. Les policiers engagés dans la cité y ont essuyé des tirs d'armes de guerre. Or c'est un acte de grand banditisme qui est à l’origine de cette émeute de « solidarité » Karim Boudouda, un truand qui venait de participer au braquage d'un casino, avait été tué, dans la nuit du 15 au 16 juillet, alors qu'il faisait feu sur les policiers avec un pistolet-mitrailleur Uzi…