
On a assez glosé sur les déboires d’instagrameuse de Marlène Schiappa, ces jours derniers – sans vouloir paraphraser une formule célèbre, qui imagine Marie-France Garaud vanter son lissage brésilien ? – pour éviter d’y revenir… mais convenons que plus que dans la coiffure du ministre délégué, c’est dans sa pensée emmêlée qu’il faudrait mettre un peu d’ordre. Dans ce fouillis échevelé, on ne comprend plus rien. À moins que ce grand flou ne soit un mode de communication politique assumé ? Reçue par France 3, sur le plateau de « Dimanche en politique », elle est interrogée par Francis Letellier sur la « loi sur le séparatisme ». Elle reprend aussitôt le journaliste : il faut appeler cela « loi pour conforter les principes républicains ». Quitte à ne pas être claire, autant ne pas l’être du tout. L’avantage étant qu’ensuite, on peut y faire rentrer tout et n’importe quoi. Surtout n’importe quoi.





Prenant honteusement prétexte des incidents ayant émaillé mercredi dernier la juste manifestation de colère des partisans de Donald Trump devant le Capitole à Washington (voir Présent daté du 8 janvier), les milliardaires mondialistes à la tête des tout-puissants réseaux sociaux que sont Twitter, Facebook ou encore Instagram ont brutalement fermé ou suspendu vendredi les comptes du président américain, et entamé une impitoyable chasse aux sorcières contre ses sympathisants. Une atteinte à la liberté d’expression tellement énorme que certains grands médias français et autres personnalités, pourtant très hostiles au chef de la Maison-Blanche, en viennent aujourd’hui à s’interroger, et même à s’inquiéter d’une telle dérive totalitaire.


ÉLÉMENTS: Vous tentez une comparaison entre limage de la femme chez Balzac et chez Houellebecq. Qu'est-ce que cette comparaison nous apprend ?