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  • LR ne devient pas de plus en plus conservateur, il devient de plus en plus “progressiste”

    LR ne devient pas de plus en plus conservateur, il devient de plus en plus “progressiste”

    Vous ne verrez plus jamais ce genre de photo. C’est fini. Passez votre chemin ! Il est de plus en plus difficile de trouver un élu ou responsable LR qui ira manifester le 6 octobre. La peur et la soumission de ce parti politique à la pensée “progressiste” de gauche est triste et lamentable. François-Xavier Bellamy est courageux et bien seul sur ce radeau :

    Bruno Retailleau, qui lorgne sur les présidentielles de 2022, n’ira pas :

    Bruno Retailleau apprécie depuis longtemps François-Xavier Bellamy. Il partage nombre de ses positions, l’a beaucoup soutenu lors des élections européennes de mai, où le philosophe était tête de liste. Mais le président du groupe LR au Sénat a une vraie divergence avec le député européen : lui ne participera pas à la manifestation du 6 octobre, organisée à Paris, contre la PMA.

    « J’apporte mon soutien à tous ceux qui manifesteront le 6 octobre contre la PMA sans père. Dans ce débat essentiel, chacun doit pouvoir s’exprimer et défendre sa conception de la filiation. Aucune opinion ne peut être assignée à résidence. Je prendrai toute ma part dans le débat parlementaire au Sénat pour défendre le droit de chaque enfant d’avoir un père et une mère. Néanmoins, j’ai choisi de ne pas participer à cette manifestation pour ne pas politiser outre mesure un sujet qui dépasse largement les clivages partisans », déclare Bruno Retailleau à l’Opinion.

    Christian Jacob, probable futur président de LR, n’ira pas et a demandé aux députés de ne pas y aller :

    Alors que le président des LR à l’Assemblée nationale avait déclaré que la place des députés de son groupe n’était pas dans la rue, mais dans l’hémicycle, le député Guillaume Larrivé vient d’annoncer qu’il irait pour sa part manifester (…) Décidément, l’heure n’est pas à l’unisson chez les Républicains. Alors qu’approche le 6 octobre, date à laquelle est prévue une grande manifestation de contestation au projet de loi sur la bioéthique, Guillaume Larrivé est sorti de l’ambiguïté. Lui qui déclarait à Valeurs actuelles il y a quelques semaines encore qu’il serait « là où il est le plus utile » (sous-entendu, à l’Assemblée ?), a fait son coming-out ce mardi sur Twitter. « Je ne peux approuver, en conscience, le basculement insidieux vers le transhumanisme. Je voterai donc, comme député, contre le projet de loi de bioéthique. Et je serai parmi les Français, dimanche 6 octobre à Paris, qui exprimeront leur attachement à la dignité de la personne humaine. »

    Le président LR de la commission des Affaires sociales du Sénat, Alain Milon, amendera le projet de loi bioéthique pour y introduire la gestation pour autrui (GPA) :

    “(…) Le président de la commission des Affaires sociales du Sénat, Alain Milon, est très favorable à l’extension de la PMA aux couples de femmes. Il va même plus loin que les macronistes. A 71 ans, ce médecin de profession défend l’idée d’une GPA très encadrée. Lors de l’arrivée du projet de loi bioéthique au Palais du Luxembourg prévue début 2020, le sénateur LR du Vaucluse va porter un amendement pour légaliser la gestation pour autrui à partir du moment où elle se ferait sur la base de don et non de revenus. « Ce qui paraissait impensable avant-hier, inacceptable hier, sera inéluctable demain », argue-t-il.

    Eric Ciotti, qui ne rate pas une occasion pour critiquer la proximité avec LREM de Christian Estrosi (favorable à la PMA)  n’ira pas manifester non plus comme le précise Libération :

    “Contrairement à ce que nous écrivions, Eric Ciotti a précisé début septembre qu’il ne manifestera pas”

    Enfin, nombre d’élus LR, qui s’étaient refaits une santé dans les Manifs pour tous en 2013, n’iront pas non plus :

    Le député Jérôme Nury, élu pour la première fois à l’Assemblée nationale en 2017, avait défilé dans la rue en 2012 en tant que conseiller général de l’Orne. Pas question d’y retourner cette fois-ci, même s’il est contre la PMA pour toutes. « La situation a changé. En tant que parlementaire, j’ai d’autres moyens d’expression que de descendre dans la rue », argue-t-il. « Quand on est député, c’est au sein de l’Assemblée nationale que le débat s’établit », renchérit sa collègue Véronique Louwagie, qui hésite encore entre voter contre et s’abstenir (…)

    Philippe Gosselin, député LR de la Manche, était lui en pointe de la mobilisation en 2013. Mais il ne « pense pas » aller à la manifestation du 6 octobre, car il « privilegie le débat parlementaire ». « Un changement n’est pas à exclure, on verra la suite », nuance-t-il, prudent.

    Damien Abad, le vice-président du parti, n’a lui pas manifesté en 2013. S’il a voté contre le mariage pour tous, il assure avoir hésité jusqu’au bout avec l’abstention. « La rue est un lieu de confrontation. Et sur ce sujet, on n’attend pas de confrontation, mais des débats », assène-t-il. Sur ces questions « sensibles » de la PMA et de la bioéthique, il dit attendre – comme beaucoup – l’avancée des discussions pour prendre position.

    Même l’actuel président des députés Les Républicains, Christian Jacob, qui était en première ligne des cortèges en 2013, ne participera pas a priori à la mobilisation du 6 octobre. Il a prévu d’aller dans l’Ain, à la rencontre de militants du parti. « Il sera chez moi, donc je ne vois pas comment il pourrait être dans la manifestation à Paris », sourit Damien Abad, le député du coin.

    Son collègue Pierre-Henri Dumont a lui aussi une excuse pratique toute trouvée pour la date du 6 octobre. « J’ai de grosses activités en circonscription car j’organise une cérémonie de remise de médailles, donc ce sera compliqué de me libérer », assure-t-il. Mais le député assure qu’il votera contre le texte et il n’exclut pas de participer à d’autres cortèges par la suite.

    En 2013, le président de l’UMP lui-même, Jean-François Copé, avait mobilisé ses troupes pour descendre dans la rue. Une participation qu’il dit aujourd’hui totalement regretter. « Ça a pris un tour malsain, avec des extrémistes qui sont venus se mêler aux manifestants. Depuis, je me suis juré de ne plus participer à aucune manifestation », nous assène le maire de Meaux, qui a quitté l’Assemblée nationale en 2017.

    https://www.lesalonbeige.fr/lr-ne-devient-pas-de-plus-en-plus-conservateur-il-devient-de-plus-en-plus-progressiste/

  • Ô secours, on est chez les dingues

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    3307524133.jpgSon nom ne vous dira rien, Agnès Firmin Le Bodo. Elle est députée de Seine-Maritime, ex-adjointe d’Edouard Philippe à la mairie du Havre,  51 ans et pharmacienne de son état. C’est elle qui est la présidente de la commission spéciale en charge du projet de loi bioéthique. Et cette dame est favorable à l’ouverture de la PMA aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires. Un projet de loi qui, s’il aboutit, éradique la conception traditionnelle que nous avons de la famille. Et c'est l'ouverture à la marchandisation du corps humain, en l'occurrence celui de la femme. Anne-Laure Debaecker, de Valeurs Actuelles,  vous décortique ce projet assassin. « C’est toute la définition de l’humain, de notre rapport à la vie et de la filiation qui est en jeu. Le possible techniquement est confondu avec une notion partisane du progrès, celui du laboratoire sans doute, de l’homme enraciné dans une famille sans doute pas », écrit-elle. Agnès Buzyn, ministre de la Santé et Nicole Belloubet, ministre de la Justice vont-elles laisser faire ?

    L'article d'Anne-Laure Debaecker

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/25/o-secours-on-est-chez-les-dingues-6178311.html

  • Islam : Marianne baisse les bras (Présent)

    Présent – Que peut-il y avoir de commun entre le premier syndicat de parents d’élèves et des enfants de djihadistes rapatriés ?

    Réponse : le reniement de la République. L’affaire avait fait grand bruit hier et sur les réseaux sociaux et dans la presse. La fédération de conseil des parents d’élèves (FCPE) a publié ce mardi une affiche publicitaire évoquant les sorties scolaires en montrant une femme voilée. Une affiche qui a évidemment suscité une levée de bouclier de la part des internautes, Laurent Bouvet du Printemps Républicain en tête. Tandis que Jean-Michel Blanquer qualifiait cette affiche de « regrettable ».

    « Il faut avoir le sens de l’histoire, cette fédération de parents d’élèves a été fondée sur la laïcité donc c’est extrêmement paradoxal, je pense que c’est une erreur de leur part, j’espère qu’ils vont la corriger », a-t-il estimé.

    Pour rappel, la FCPE demeure le premier syndicat de parents d’élèves avec près de 280 000 membres. Son coprésident, Rodrigo Arenas persiste et signe et s’attaque au ministre l’accusant de vouloir peser dans les élections. Il faut dire que l’argument de la FCPE laisse songeur : « La laïcité, c’est accueillir à l’école tous les parents sans exception. » En dehors d’une définition sémantiquement fausse à tout point de vue, cette prise de position éminemment politique et irresponsable de ce syndicat démontre parfaitement le noyage complet du principe de laïcité qui n’est devenu pour certains qu’une sorte de consensus mou appelant à l’inclusion de tous sans distinction. « La République ne doit pas baisser les bras » prévient Jean-Paul Brighelli, tandis que Laurent Bouvet prenait la chose avec humour en publiant une parodie de l’affiche de la FCPE en mettant en scène deux djihadistes. Un sens de l’humour qui n’a évidemment pas plu à Monsieur Arenas qui a annoncé vouloir porter plainte contre le sieur Bouvet.

    La progéniture des Clain de retour dans la bergerie

    C’est sans doute au nom de cette vocation inclusive et universelle de Marianne que les Français ont accueilli (bien malgré eux) neuf enfants et deux femmes de djihadistes dont Jennifer Clain, la nièce des deux frères Fabien et Jean-Michel Clain (donnés pour morts). Rapatriée avec ses enfants, Jennifer Clain était aussi connue pour être l’épouse de Kevin Gonot, autre djihadiste condamné à mort en Irak le 26 mai dernier.

    Ainsi, Marianne est peu rancunière. Tandis que le premier syndicat de parents d’élèves promeut l’islam dans l’enceinte même de l’école républicaine (la sortie scolaire est juridiquement soumise au règlement intérieur de l’école), la France rapatrie ceux qui sont nés, et ont été élevés sinon dans la haine au moins le rejet total de ce que nous sommes et ce qui nous identifie. Au nom de l’universalisme, on abrite des terroristes, au nom de l’inclusion on fait la promotion d’un vêtement incarnant la soumission et le rabaissement de la femme. Il n’y a pas de petites concessions, mais des renoncements successifs. Souhaitons que les enfants Clain et Gonot n’imitent pas leurs oncles et père dans la cour de récréation ou en sortie scolaire, au moins les accompagnantes voilées seront épargnées.

    Présent

    https://www.tvlibertes.com/actus/islam-marianne-baisse-les-bras-present

  • Des scientifiques de 13 pays écrivent au secrétaire général des Nations unies contre l’alarmisme climatique

    Résultat de recherche d'images pour "réchauffement climatique "

    Un courrier signé par 500 scientifiques et professionnels, dont 40 pour la France, vient d’être adressé à António Guterres, secrétaire général des Nations unies, ainsi qu’à Patricia Espinosa Cantellano, secrétaire exécutive de la Convention-cadres des Nations unies sur les changements climatiques.
    Lancée par Guus Berkhout, géophysicien professeur émérite à l’université de La Haye (Pays-Bas), cette initiative est le fruit d’une collaboration de scientifiques et associations de treize pays.
    Publiée au moment où l’agenda international place une nouvelle fois le climat en tête des préoccupations, cette « Déclaration Européenne sur le Climat » est destinée à faire savoir qu’il n’y ni urgence ni crise climatique.
    Elle appelle donc à ce que les politiques climatiques soient entièrement repensées, et reconnaissent en particulier que le réchauffement observé est moindre que prévu, et que le gaz carbonique, loin d’être un polluant, est bénéfique pour la vie sur Terre.
    Ci-dessous une traduction de cette lettre (suivie de la lettre originale en anglais).
    À faire circuler aussi largement que possible.
    Professeur Guus Berkhout
    Catsheuvel 93, 2517 KA La Haye
    guus.berkhout@clintel.org
    Le 23 septembre 2019.
    S. António Guterres, Secrétaire général des Nations Unies, Siège des Nations Unies, New York, NY 10017, États-Unis d’Amérique. Patricia Espinosa Cantellano, Secrétaire exécutive, Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, Secrétariat de la CCNUCC, Campus des Nations Unies, Platz der Vereinten Nationen 1, 53113 Bonn, Allemagne.
    Vos Excellences,
    Il n’y a pas d’urgence climatique
    Un réseau mondial de plus de 500 scientifiques et professionnels expérimentés du climat et des domaines connexes a l’honneur d’adresser à Vos Excellences la Déclaration européenne sur le climat, jointe en annexe, dont les signataires de la présente lettre sont les ambassadeurs nationaux.
    Les modèles de circulation générale du climat sur lesquels la politique internationale est actuellement fondée sont inadaptés.
    Il est donc cruel aussi bien qu’imprudent de préconiser le gaspillage de milliers de milliards de dollars sur la base des résultats de modèles aussi imparfaits.
    Les politiques climatiques actuelles affaiblissent inutilement le système économique, mettant des vies en danger dans les pays à qui est refusé l’accès à une énergie électrique permanente et bon marché.
    Nous vous exhortons à suivre une politique climatique fondée sur une science solide, sur le réalisme économique et sur une attention réelle vis-à-vis de ceux qui sont frappés par des politiques d’atténuation coûteuses et inutiles.
    Nous vous demandons d’inscrire cette Déclaration à l’ordre du jour de votre prochaine session à New York.
    Nous vous invitons également à organiser avec nous début 2020 une réunion de haut niveau, constructive, entre des scientifiques de réputation mondiale des deux côtés du débat sur le climat. Cette réunion rendra effective l’application du juste et ancien principe, aussi bien de bonne science que de justice naturelle, selon lequel les deux parties doivent pouvoir être pleinement et équitablement entendues. Audiatur et altera pars !
    Bien respectueusement,
    Les ambassadeurs de la Déclaration européenne sur le climat :
    Guus Berkhout, professeur (Pays-Bas)
    Richard Lindzen, professeur (États-Unis)
    Reynald Du Berger, professeur (Canada (francophone))
    Ingemar Nordin, professeur (Suède)
    Terry Dunleavy (Nouvelle-Zélande)
    Jim O’Brien (République d’Irlande)
    Viv Forbes (Australie)
    Alberto Prestininzi, professeur (Italie)
    Jeffrey Foss, professeur (Canada anglophone)
    Benoît Rittaud, maître de conférences (France)
    Morten Jødal (Norvège)
    Fritz Varenholt, professeur (Allemagne)
    Rob Lemeire (Belgique)
    Viconte Monkton of Brenchley (Royaume-Uni)
    —————————
    Il n’y a pas d’urgence climatique
    Ce message urgent a été préparé par un réseau mondial de 500 scientifiques et professionnels.
    Les sciences du climat se doivent d’être moins politisées, tandis que la politique climatique se doit d’être davantage scientifique.
    Les scientifiques doivent aborder de façon ouverte les incertitudes et les exagérations dans leurs prévisions d’un réchauffement planétaire, et les dirigeants politiques doivent évaluer de façon dépassionnée les bénéfices réels et les coûts envisagés à l’adaptation au réchauffement climatique, ainsi que les coûts réels et les bénéfices envisagés de l’atténuation.
    Des facteurs naturels aussi bien qu’anthropiques provoquent un réchauffement
    Les archives géologiques révèlent que le climat terrestre varie depuis que la planète existe, avec des phases naturelles froides et chaudes.
    Le Petit Âge glaciaire n’a pris fin que tout récemment, vers 1850.
    Il n’est donc pas étonnant que nous vivions aujourd’hui une période de réchauffement.
    Le réchauffement est beaucoup plus lent que prévu
    Le monde s’est réchauffé à un rythme inférieur à la moitié de ce qui était intialement prévu, et inférieur à la moitié de ce à quoi on pouvait s’attendre en se fondant sur le forçage anthropique net et le déséquilibre radiatif.
    Cela nous indique que nous sommes bien loin de comprendre le changement climatique.
    La politique climatique s’appuie sur des modèles inadéquats
    Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes, et ne sont guère exploitables en tant qu’outils décisionnels.
    De plus, ils exagèrent probablement les effets des gaz à effet de serre tels que le CO2. Enfin, ils ignorent le fait qu’enrichir l’atmosphère en CO2 est bénéfique.
    Le CO2 est l’aliment des plantes, le fondement de toute vie sur Terre
    Le CO2 n’est pas un polluant.
    Il est essentiel à toute la vie sur Terre.
    La photosynthèse est un bienfait.
    Davantage de CO2 est une bonne chose pour la nature, cela fait verdir la Terre : le CO2 supplémentaire dans l’air a favorisé un accroissement de la biomasse végétale mondiale.
    Il est par ailleurs bon pour l’agriculture, accroissant les rendements des récoltes dans le monde entier.
    Le réchauffement climatique n’a pas provoqué davantage de catastrophes naturelles
    Il n’y a aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses ou autres catastrophes naturelles analogues, ni qu’il les rendrait plus fréquentes.
    En revanche, les mesures d’atténuation du CO2 sont, elles, aussi dévastatrices que coûteuses.
    Ainsi, les éoliennes tuent les oiseaux et les chauves-souris, et les plantations d’huile de palme détruisent la biodiversité des forêts tropicales.
    L’action politique doit respecter les réalités scientifiques et économiques
    Il n’y a pas d’urgence climatique.
    Il n’y a donc aucune raison de s’affoler et de s’alarmer.
    Nous nous opposons fermement à la politique néfaste et irréaliste de neutralité carbone proposée pour 2050.
    En attendant que de meilleures approches voient le jour, ce qui se produira certainement, nous avons amplement le temps de réfléchir et de nous adapter.
    L’objectif de la politique internationale doit être de fournir une énergie fiable et bon marché, de façon permanente, et dans le monde entier.Version originale (anglais)
    Professor Guus Berkhout
    Catsheuvel 93, 2517 KA The Hague
    guus.berkhout@clintel.org
    source

  • Jean-Paul Brighelli : « Le voile islamique, c’est une façon d’occuper l’espace et les esprits ! »

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    Polémique au sujet d’une affiche de la FCPE, l’association de parents d’élèves laissant apparaître la photo d’une femme voilée pour promouvoir « une laïcité apaisée ».
    Qualifiée d’« erreur » par Jean-Michel Blanquer, mais totalement assumée par la FCPE, selon BFM TV.

    Réaction de Jean-Paul Brighelli au micro de Boulevard Voltaire

    Jean-Michel Blanquer s’est positionné vis-à-vis d’une affiche de la FCPE. Cette affiche mettait en avant une femme voilée. Le ministre a trouvé cette sortie regrettable. Partagez-vous ce point de vue ?

    Je partage totalement le point de vue du ministre. Je trouve cela inapproprié. C’est un euphémisme qui est tout à fait blanquerien. 
    Il faut bien rappeler qu’une telle initiative s’oppose à la loi. La loi a été rappelée très clairement par Luc Chatel dans les années 2009. Une sortie scolaire, c’est l’établissement hors les murs. Les règles de laïcité, la loi de 2004 s’appliquent intégralement. Il y a eu un flottement dû à Najat Vallaud-Belkacem, pour les raisons que vous imaginez. 
    Se voiler pour escorter les élèves relève du militantisme extrémiste. Or les superstitions religieuses n’ont rien à faire à l’école, que l’école soit à l’intérieur des murs ou hors des murs. Il faut vraiment être clair là-dessus.
    La FCPE est une organisation de parents d’élèves qui reçoit, à ce titre, d’importantes subventions. Si j’étais le ministre, je les couperais instantanément.

    Cette affaire rappelle l’affaire du voile qui avait éclaté en 1989. Trois élèves avaient refusé d’ôter leur foulard islamique. Est-on en train de revivre la même polémique ? À l’époque, les personnalités comme Ghaleb Bencheikh avaient déclaré que la République avait manqué d’autorité. La République doit-elle marquer son autorité sur ce sujet-là ?

    En 1989, les islamistes mettaient le doigt. Actuellement, ils mettent le bras. En 1989, on a été faible. On n’aurait pas eu tous ces problèmes par la suite. Soit on est encore une vraie République et on réagit, soit on est une démocratie à la con et on laisse couler. Si on laisse couler, on coulera avec !

    C’est en ne cédant pas sur ces « petites choses », qu’on ne cédera pas sur les grandes.

    Il n’y a pas de petites choses en termes de laïcité. Il faut bien comprendre quels sont les enjeux du voile. Les enjeux du voile sont des enjeux politiques, bio-stratégiques. 
    J’habite à Marseille, des voiles on en a tous les cinq mètres dans la rue. Il est évident que c’est une façon de s’annexer des pans de territoire et d’occuper à la fois l’espace et les esprits.
    Si j’étais à la place de la FCPE , je ne serais pas fier d’entrer dans ce genre de jeu. Beaucoup de parents comprennent très mal ce genre de prises de position.

    BFM /em> nous a appris que la FCPE assume son affiche avec une mère voilée.

    Cela fait plusieurs années que la FCPE est à l’ouest concernant les revendications des parents. Des gens s’affilient encore à cette organisation infiltrée. Grand bien leur fasse ! Il faut en tirer les conséquences, arrêter de les alimenter et d’en parler. Pour moi, ils n’existent plus !

    https://www.bvoltaire.fr/jean-paul-brighelli-le-voile-islamique-cest-une-facon-doccuper-lespace-et-les-esprits/

  • Emmanuel et Greta : c’est la rupture

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    La presse à scandale n’en a rien dit, mais il faut se rendre à l’évidence : il y a de l’eau dans le gaz entre Emmanuel et Greta. Tout avait pourtant bien commencé. Reçue gentiment à l’Élysée, envoyée à l’Assemblée pour porter le message réchauffant, le Président tenait sa mascotte. Une petite fille avec des couettes qui tentait d’échapper au grand méchant loup climatique ; lui, bombardé champion de la Terre en 2018. Une amitié était née.

    À coup sûr, dans son discours de l’ONU, elle allait glisser un mot pour les efforts de son copain Macron dans la chasse au CO2. Entre potes, c’est bien naturel. Au pied de la tribune, Emmanuel écoutait Greta la larme à l’œil. Une fille qu’il avait connue haute comme trois pommes bio, pensez, une amie de trente ans, une… « Ah ! elle est virulente, la bougresse… Oh ! elle est drôlement énervée… Mais je rêve, elle s’en prend à la France ! »

    Eh oui, Emmanuel Macron dut se rendre à l’évidence : du haut de la tribune, la bonne Greta mordait la main qui lui avait ouvert les portes du Palais, puis de l’Assemblée, une main qui n’aurait pas hésité à lui accrocher des médailles de toutes les couleurs… Et, comble de trahison, elle portait plainte avec quinze autres jeunes devant le Comité des droits de l’enfant contre cinq pays dont – je vous le donne en mille – la France. L’Argentine, le Brésil, la Turquie et l’Allemagne dans le même bateau. Et voilà le travail. Trente ans d’amitié foutus en l’air. Enfin, presque.

    À peine remis de sa douche froide, l’ami éconduit s’en fut riposter : « Je n’ai pas le sentiment que les gouvernement français ou allemand, aujourd’hui, sont en train de bloquer. » Parlant des mobilisations : « Il faut qu’elles se concentrent sur ceux qui sont le plus loin, ceux qui essaient de bloquer. » Propos traduits par un spécialiste de l’ONU en ces termes : « Que la môme s’en prenne d’abord aux plus gros pollueurs, à savoir, la Chine, l’Inde, les États-unis… Mais pas nous. Ah, c’est bien la peine qu’on se décarcasse… »

    Une ingratitude justifiée par un protocole optionnel de la Convention des droits de l’enfant qui autorise ceux-ci (depuis 2014) à porter plainte devant le Comité des droits de l’enfant de l’ONU s’ils estiment leurs droits bafoués. Or, les cinq pays incriminés « font partie des 44 pays ayant ratifié ce protocole, ce qui n’est pas le cas des États-Unis, de la Chine ou de l’Inde », selon Le Figaro. Et c’est çui qui dit qui y est.

    « Non, tu n’es pas seul, Emmanuel. Une de perdue, dix de retrouvées… » À ses côtés, ceux qui avaient été les témoins de cette belle histoire d’amitié ont su trouver les mots pour remonter le moral de leur chef.

    Brune Poirson, ministre de la Transition écologique : « Mais quelles sont les solutions qu’elle met sur ma table ? Je ne sais pas. On ne peut pas mobiliser avec du désespoir, presque de la haine. » Incitation à la haine ? Son compte est bon.
    Jean-Michel Blanquer : « Il ne faut pas créer une génération de déprimés autour du climat. » Trop tard. La psychose s’installe. Yves Cochet annonce un effondrement global avant 2030, le GIEC confirme une montée des océans d’un instant à l’autre…

    « Pfff… Après une pareille trahison… De toute façon… À quoi bon lutter contre le CO2 ? »

    Emmanuel Macron pourrait rejoindre le camp des humano-sceptiques…

    Jany Leroy

    https://www.bvoltaire.fr/emmanuel-et-greta-cest-la-rupture/

  • L’écologisme, faux-nez des mondialistes, par Ivan Rioufol

    Les mondialistes, rejetés par les peuples fragiles, se maquillent désormais en vert forêt. Sans doute espèrent-ils ainsi, sous la bannière écologiste, passer inaperçus, voire sympathiques. Les plus exaltés, qui annoncent la fin du monde si l’actuel système libéral et financier n’est pas démembré en urgence, ont néanmoins la subtilité des promoteurs du communisme de jadis. Ceux-ci promettaient un monde meilleur à coups de triques et de propagandes. A l’époque, la jeunesse embrigadée n’était pas en reste pour sublimer le nouvel universalisme fraternel du prolétariat. Celle d’aujourd’hui, qui partout dans le monde répond aux peurs (“I want you to panic”) du jeune robot Greta Thunberg, a gardé un même air de famille, avec son fanatisme juvénile et sa croyance post-religieuse en l’apocalypse.

    Difficile à ce stade de faire la part entre l’endoctrinement, la rééducation, l’inquiétude raisonnée. Reste néanmoins un profond malaise devant cette nouvelle idéologie mondialiste, qui ne supporte pas les contradictions. Qui ose émettre des réserves sur l‘urgence climatique est bon pour la camisole et le cabanon. Or c’est ce monde enfiévré qu’est parti rejoindre, ce lundi à New-York, Emmanuel Macron, à l’occasion du sommet des Nations-Unies sur le climat.

    L’échec de la Marche pour le climat, samedi à Paris, rassure sur la lucidité de la jeunesse française. Il est vrai que l’infiltration du défilé par les black blocs et leur violence a pu avoir un effet répulsif. Encore que ceci mériterait d’être approfondi. Car il existe des similitudes entre le projet révolutionnaire des black blocs – lutte contre le capitalisme, le libre-échange, les démocraties libérales – et celui des écologistes radicaux qui rêvent pareillement de la table rase au nom d’une conviction totalitaire. En revanche, ceux qui espèrent une convergence des luttes avec les Gilets jaunes n’ont rien compris de cette autre révolte populaire : elle rejette la mondialisation et ses effets dévastateurs pour les nations souveraines.

    Les Gilets jaunes du 17 novembre 2018 – qui ont progressivement laissé le terrain à l’extrême gauche – se sont d’abord mobilisés contre l’écologisme punitif, qui entendait faire payer à la classe moyenne française les pollutions en CO2 de la Chine, de l’Inde ou d’ailleurs. Si leur mouvement s’est inscrit en rupture avec des élites aveugles et sourdes, il est resté libéral dans son essence : ce sont des additions d’initiatives privées et de débrouillardises individuelles qui ont su ébranler la République. Et ce n’est probablement pas fini.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 23 septembre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • La Cour des comptes dresse un bilan accablant de la fusion des régions

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    Quatre ans après la fusion des régions, c'est un bilan accablant que publie la Cour des comptes. 

    La Cour des comptes estime que le passage de 22 à 13 régions n'a pas permis de réduire les budgets. Bien au contraire, il y aurait notamment des surcoûts sur la question des salaires des agents. C'est le cas en Occitanie.

    Retrouver toutes les infos sur la vidéo sur : 
  • Comment le Qatar finance l’islamisation de l’Occident

    Voici un documentaire de la chaine Arte révélant le financement par l’ONG Qatar Charity de projets de mosquées, de centres islamiques et d’écoles en Europe, tous liés aux Frères musulmans.

    À l’origine de cette investigation, une clé USB, livrée en 2016 par un lanceur d’alerte aux journalistes Georges Malbrunot et Christian Chesnot, laquelle contient des milliers de documents confidentiels émanant de l’opaque Qatar Charity, une ONG fondée en 1992 et aujourd’hui présente dans soixante-dix pays. Listes de donateurs (dont des membres de la famille régnante Al-Thani), virements bancaires, mails… : cette fuite sans précédent révèle l’offensive prosélyte de l’émirat en Europe, la puissante organisation finançant quelque cent quarante projets de mosquées, de centres islamiques et d’écoles, tous liés à la nébuleuse des Frères musulmans. Malgré les dénégations de Doha concernant cette implication religieuse, les journalistes ont enquêté pendant deux ans sur le terrain pour mettre au jour l’influence du Qatar sur l’islam du continent.

    Du centre islamique An-Nour à Mulhouse, le plus grand chantier en Europe dans une région frontalière qui compte 200 000 musulmans, au dispositif d’accueil des migrants en Sicile en pleine crise syrienne en passant par le musée des Civilisations de l’islam (Mucivi) en Suisse ou encore un centre de formation des imams à Château-Chinon, ce film plonge au cœur de ces réseaux.

    Qatar, guerre d’influence sur l’Islam d’Europe : Documentaire de Jérôme Sesquin (France, 2019, 1h30mn) :

    https://www.lesalonbeige.fr/comment-le-qatar-finance-lislamisation-de-loccident/

  • « Crise de liquidité. Mais où est donc le cadavre ? » L’édito de Charles SANNAT

     
    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
    Comme vous le savez, il se passe quelque chose.
    La banque centrale américaine n’est pas obligée d’injecter des centaines de milliards de dollars par hasard.
    Il y a une raison, ou éventuellement, une conjonction de raisons qui montre que le système financier reste d’une fragilité inouïe comme d’ailleurs l’ensemble de notre système « monde » dans la globalité.

    Premier élément le pétrole !

    Comme je vous le rapporte dans cette édition, la production saoudienne de pétrole retrouvera son niveau normal d’ici quelques jours.
    Mais, jusqu’à quand ?
    Car ce que montre cette histoire, c’est que quelques camarades gueux (comme nous par rapport aux grands mamamouchis de ce monde) appelés Houthis ont réussi à faire péter les installations pétrolières du géant saoudien, ce qui a fait péter le marché des dérivés de pétrole en une seconde ou presque.
    Les Saoudiens vont réparer. Fort bien.
    Les Houthis recasseront le tout… puis cela pourra durer longtemps ainsi.
    Si tous les mois, les Saoudiens mettent un mois à réparer le truc cassé le mois d’avant, nous allons avoir un problème durable.
    Nous avons donc comme mèche qui alimente la crise de liquidité et de confiance, cette histoire de dérivés de pétrole.
    Bien évidemment les marchés dérivés même si les montants en jeu sont colossaux, sont censés être des jeux à sommes nulles.
    Ce que je perds, tu le gagnes… certes.
    A ceci près que s’il y a un gros béta (comme le gus de Mitsubishi) qui a joué à la baisse quand il ne fallait pas, on peut se trouver avec une grosse main, une institution, une grande banque qui aurait un énorme trou…
    Du coup, qui dit trou, dit crainte et syndrome Lehmann… personne ne sachant qui a perdu quoi, plus personne ne veut plus prêter à personne.

    Deuxième élément le déficit budgétaire américain

    Tout ceci arrive effectivement à un moment, où la FED a globalement cessé ses rachats d’actifs, donc ses injections.
    Du coup, c’est le marché (censé le faire librement) qui finance le déficit budgétaire de l’État fédéral qui compense allègrement les non-injections de la FED par un énorme déficit qui assèche en partie le marché des liquidités.

    Troisième élément les impôts

    C’est vrai que tout ceci arrive comme le dit la thèse officielle au moment où il faut (comme tous les ans) payer les impôts, et chaque année quand il faut payer les impôts ce n’est pas la FED qui fait le chèque pour chaque contribuable.
    Cela a beau être la thèse officielle, c’est difficilement crédible.

    Quatrième élément le cadavre en décomposition dans une banque

    Cela fait des mois que circulent des rumeurs insistantes de faillite d’une énorme banque dans le monde.
    Tous les regards se portent sur… la Deutsch Bank qui est la nominée à l’Award du bilan bancaire le plus moisi.
    Il se pourrait que la banque allemande particulièrement active sur les marchés des dérivés connaissent quelques déconvenues amplifiées par la forte hausse suivi d’une baisse des cours du pétrole.
    Enfin, l’Allemagne est frappée de plein fouet par la récession industrielle qui pointe le bout de son nez et qui touche en particulier le secteur automobile.
    Et justement, le secteur automobile en Allemagne c’est 50%, oui la moitié, de l’excédent commercial allemand !
    Si le monde entier cesse d’acheter les bagnoles allemande, nous aurions un voisin nettement moins arrogant sur la force de son industrie… profondément « mono secteur ».
    Or nous vivons avec la transition écologique, un changement majeur des usages autour de la voiture qui frappe de plein fouet cette immense industrie chez nos voisins.

    Cinquième élément… les zombies…

    Les zombies, c’est quoi ?
    C’est toutes ces entreprises qui ne sont encore vie que parce que les taux sont négatifs, la dette pas cher et qui vivent de la liquidité abondante.
    Mais la multiplication des faillites récentes et la dernière en date avec Thomas Cook, est un signal faible qui matérialise probablement le fait, que les entreprises zombies sont arrivées en bout de cycle de vie, et qu’elles seront de plus en plus nombreuses à chuter dans cette récession, quand bien même la récession serait « douce ».

    Sixième élément… la confiance !

    Du coup, on boucle la boucle et on en revient à la confiance qui sous-tend tout le système économique.
    Personne ne sachant plus qui est exposé à quoi et qui pourrait perdre combien, les systèmes de refinancement se grippent.
    Les marchés couinent, les craquements se font entendre.

    A quoi s’attendre dans les prochaines semaines ?

    Les autorités monétaires agissent et irrigueront autant que nécessaire.
    Elles viendront pallier les éventuelles faillites si nécessaire pour éviter un risque systémique.
    Elles ne diront rien, et il nous faudra deviner ce qu’il se passe.
    Pourquoi ?
    Parce que quand survient une crise de liquidité une perte de confiance brutale et généralisée de la confiance des agents économiques peut entraîner l’effondrement du système en quelques heures. C’est donc potentiellement cataclysmique.
    Il ne faut pas attendre des autorités une transparence par définition presque impossible.
    La vérité sera connue, mais … plus tard, une fois la crise réglée et dépassée.
    Il va nous falloir naviguer à vue, et prendre des décisions sur des éléments d’informations partiels et des hypothèses de travail.
    Quand on ne sait pas, on applique la stratégie dite du canard de mon pépé !
    On se dirige tranquillement et sans panique vers les abris. Puis on laisse un bout du museau dépasser pour voir ce qu’il se passe et on attend !
    Patrimonialement, on reste dans les grosses banques, on répartit ses avoirs entre les banques, on continue à diversifier son patrimoine et à sur-pondérer les actifs tangibles.
    Bref, en réalité rien de nouveau, si ce n’est que cet épisode de tensions financières permet de rappeler à chacun, que le système financier est fragile, parce qu’en réalité il s’est déjà effondré il y a 10 ans et que depuis, rien n’est plus et ne sera plus jamais comme avant.
    Pour ceux qui ne l’auraient pas encore vue, voici la vidéo du samedi 21 consacrée à ce sujet. 
    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
    Charles SANNAT
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/crise-de-liquidite-mais-ou-est-donc-le.html