
Il n’y avait pas qu’à Paris qu’il y a eu des actions contre le projet de loi bioéthique :
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Il n’y avait pas qu’à Paris qu’il y a eu des actions contre le projet de loi bioéthique :

Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples Le nouvel essai d’Ivan Rioufol, éditorialiste bien connu, Les Traîtres[1], se lit avec grand intérêt d’autant plus que le sujet est vraiment d’actualité.
Qui sont ces traîtres en effet ? « Ceux qui ont abandonné la France », comme l’affirme le sous-titre du livre. Ceux qui « par leur fanatisme universaliste menacent la France millénaire[2] ». Et ceux qui ont pour seul ennemi le peuple enraciné et ses avocats.
Le ton est donné de cet essai roboratif qui, en trois chapitres bien enlevés, règle son compte à l’oligarchie prétentieuse qui prétend tout savoir et en tout cas savoir mieux que le peuple français ce qui est bon pour lui.

Le gouvernement rouge-jaune italien campe sur ces positions immigrationniste et politiquement correcte. Lors du sommet des ministres de l’Intérieur tenu en urgence à Bruxelles en fin d’après-midi le mercredi 4 mars, l’Italie a refusé de consentir à la Grèce des renforts de police. Athènes demandait l’envoi symbolique de 100 hommes de toute l’Europe, la Pologne en a garantit 200, tandis que Rome n’accorde que des hommes pour étudier les demandes d’asile et ses bateaux des garde-côtes ne chasseront pas les canots.

Mobilisation Marchons Enfants contre le projet de loi bioéthique !
Parce que la France ne peut, par la loi, priver volontairement des enfants de leur père, mobilisons-nous pour le retrait de ce projet de loi qui est ni bio, ni éthique !
Rendez-vous le mardi 10 mars à 19h à proximité de l’Élysée, place Clemenceau.

Voilà onze ans, la mise en coupe réglée du consommateur et du contribuable français commença avec l’insolite TARTAM (tarif réglementé transitoire d’ajustement du marché) permettant aux professionnels éligibles repentis de revenir au tarif régulé (ou réglementé) seulement majoré de 10 à 23 %, après avoir subi jusqu’à 70 % d’augmentation, avec la concurrence libre et non faussée à laquelle ils eurent seuls accès, dès 2004. Cerise institutionnelle sur le gâteau, ils obtinrent de jouir d’un tel privilège sans changer de fournisseurs « alternatifs », ce qui obligea l’État à compenser les pertes de ces derniers, sur le dos des autres clients, prioritairement domestiques, et fit dire au Canard enchaîné que la notion « d’éligibilité » s’apparente au privilège donné au boursicoteur de demander à Bercy de lui rembourser l’argent qu’il a retiré de la Caisse d’épargne pour spéculer sur le CAC 40.

Trouvé sur Valeurs Actuelles : « Un rapport accablant démontre la mainmise du réseau d’ONG du milliardaire sur la CEDH, qui impose à l’Europe son idéologie de la “société ouverte”. Révélations exclusives.
L’Autriche, la Grèce et l’Italie sont forcées de légaliser les unions homosexuelles ; la Pologne est sommée de favoriser le droit à l’avortement ; la France est obligée d’autoriser le changement de sexe “sur le papier” ; la Hongrie est contrainte d’abolir la prison à vie ; la Russie est santionnée pour avoir condamné les activistes féministes punks des Pussy Riot ; l’Autriche doit légaliser l’adoption par les couples homosexuels ; l’application de la charia en Grèce est validée. Des affaires sans lien entre elles ? Au contraire. Chaque fois, c’est la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) qui dicte sa loi à un pays européen. Chaque fois, une ONG liée au réseau de l’Open Society Foundations (OSF) est impliquée dans l’affaire. Chaque fois, l’un des magistrats qui prononcent le jugement est un ancien collaborateur de l’OSF ou de ses affiliées. Chaque fois, la sentence porte la marque de George Soros.

Jean-Louis Butré et Alexandre Roesch sur Sud Radio

Nouvelle victoire judiciaire pour la campagne #LaSociétéProgre
Par ordonnance du premier président de la cour d’appel de Paris, la société Media Transports vient d’être déboutée au profit d’Alliance VITA et condamnée aux dépens. Media Transports réclamait la suspension de l’exécution provisoire de la décision du juge des référés datant du 7 janvier 2020 qui la condamnait à réafficher sans délai deux affiches injustement censurées.
Pour mémoire, le 2 janvier 2020 Media Transports avait interrompu unilatéralement l’affichage de deux des trois panneaux de la campagne d’Alliance VITA La société progressera, à la demande de la maire de Paris Anne Hidalgo. Cette censure avait été jugée illégale le 4 janvier 2020 par un référé judiciaire sollicité en urgence par Alliance VITA. Malgré son caractère exécutoire et l’astreinte à laquelle Media Transports était soumise, cette société n’a jamais appliqué la décision du magistrat. La décision d’appel confirme qu’elle n’avait aucune raison légitime de ne pas l’exécuter.
https://www.lesalonbeige.fr/nouvelle-victoire-dalliance-vita-contre-les-censeurs/