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GRETA THUNBERG - L'HYSTÉRIE A REMPLACÉ LE DÉBAT
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Hystérie climatique : le mensonge sur les glaciers
www.kla.tv/14600
20.07.2019Opinion sans fard, aujourd’hui avec Manfred Petritsch, opérateur de la plateforme internet allemande « Tout n’est que bruit et fumée »
L’ancien vice-président Américain Al Gore, dans son film primé de 2007 « An Inconvenient Truth » (« Une vérité qui dérange »), a prédit plusieurs scénarios d’horreur.
Cependant les plus graves d’entre eux n’ont pas eu lieu.
La glace de l’Antarctique n’a pas disparu, elle s’est même multipliée.
Les calottes polaires existent toujours.
En moyenne le nombre d’ouragans dans le monde n’a pas augmenté mais diminue constamment depuis des décennies.
Les métropoles côtières, Londres, New York, Amsterdam etc., ne sont en aucun cas sous les eaux.
Et le Kilimandjaro (en Afrique) est encore couvert de neige aujourd’hui.
Le point de chaleur absolu, à partir duquel aucune inversion n’est possible, comme Gore l’avait prédit pour 2016, n’a pas été atteint.
Mais pendant que de tels scénarios d’horreur sur le climat sont constamment repris et diffusés par certains médias, tous de connivence entre eux, d’autre part un silence absolu, pour ne pas dire embarrassant, prédomine.
Manfred Petritsch, par exemple, a repris un de ces scénarios dans son article du 10 juin 2019 : Jusqu’à l’automne 2018, les visiteurs du centre du parc national de Glacier aux Etats-Unis étaient confrontés à un panneau portant l’inscription suivante : « Adieu Glacier : En raison du changement climatique dû à l’homme, les simulations numériques montrent que les glaciers « disparaîtront » tous d’ici 2020. »
Cette « disparition d’ici 2020 » a été largement rapportée dans le New York Times, le National Geographic et de nombreux autres médias internationaux. Sur Wikipedia, on peut lire tout un essai sur le recul des glaciers du parc national.
Mais maintenant les équipes de recherche de l’Université Lysander Spooner, qui visitent le parc tous les mois de septembre et mesurent les glaciers, ont révélé ce qui suit : Les glaciers les plus célèbres du parc, comme les glaciers Grinnell et Jackson, se sont même développés depuis 2010 et n’ont en aucun cas diminué !
Tous les autres glaciers sont encore là.
Donc ce qui s’est réellement passé est exactement le contraire de ce qui avait été si horriblement prédit.
Manfred Petritsch écrit : « Au lieu d’informer les visiteurs que les glaciers n’avaient pas disparu, contrairement à leur pronostic, mais qu’ils s’étaient même développés, l’administration du parc n’a rien communiqué mais a simplement retiré le panneau.
Les médias n’ont pas été informés non plus.
L’administration du parc n’admet pas son erreur. »
Écoutez maintenant, ce que Petritsch a à dire au sujet de l’affirmation selon laquelle les glaciers disparaîtraient : « Ceux qui sont sérieux à propos du climat et des glaciers, et ne sont non seulement des alarmistes, savent que les glaciers se sont formés au cours du Petit Âge glaciaire, il y a 500 ans, et nous sortons de cette période plus froide.
C’est pourquoi les glaciers diminuent depuis 1850.
Cela n’a rien à voir avec les émissions de CO2.
Le petit âge glaciaire a été une période de climat relativement frais du début du 15e siècle jusqu’au 19e siècle.
Cela signifie que le climat change constamment, a toujours changé et changera toujours.
Il y a un changement naturel entre les périodes froides et chaudes, qui est contrôlé par le soleil ; et les glaciers croissent et diminuent donc régulièrement avec un certain décalage.
Comme les températures moyennes mondiales n’ont pas augmenté depuis plus de 10 ans, certains glaciers croissent à nouveau, comme dans le parc national de Glacier (…)
Les changements climatiques et l’alternance entre périodes chaudes et périodes froides sont tout à fait naturels (…)
La disparition totale des glaciers a-t-elle nui à la civilisation de l’époque en Europe ? Non.
C’est pourquoi l’affirmation de l’hystérie climatique selon laquelle la récession glaciaire détruirait notre société est une idiotie totale et un mensonge. »Sources / Liens : KENT-DEPESCHE 09+10/2019, S.11+18 http://alles-schallundrauch.blogspot.com/2019/06/der-irrglaube-der-glaubigen-der.html
http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/hysterie-climatique-le-mensonge-sur-les.html
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Femmes voilées : pour Amnesty International, la France et l’Iran, c’est bonnet blanc et blanc bonnet
Iran et France, même combat. C’est, apparemment, le message que veut faire passer Amnesty International dans un clip de soutien sur le thème : « Les femmes ont le droit de choisir quoi porter. C’est simple. »
Et même trop simple, quand on n’hésite pas à illustrer sa thèse en mettant dans le même sac « l’interdiction du voile intégral en France et dans une partie de la Suisse » et le fait « d’obliger les femmes à porter un foulard en Iran ».
Le vieux truc dialectique de la fausse fenêtre maquillant une façade bancale atteint ici un sommet dans le relativisme et la négation du réel.
Quoi de commun, en effet, entre l’Iranienne prête à risquer la prison et la flagellation pour le droit élémentaire de se promener « en cheveux » (comme disait ma grand-mère) et la militante-islamiste-française-de-papiers qui marque son territoire face à notre police, laquelle détourne courageusement le regard pour ne pas « faire de provocation » ?
Mais Amnesty International ne fait, ici, que réitérer sa position d’il y a un an, quand le Danemark promulguait sa loi interdisant le port de tenues dissimulant le visage en public : « Toutes les femmes devraient être libres de se vêtir comme elles le souhaitent et de porter des vêtements qui expriment leur identité ou leurs croyances. Cette interdiction aura un effet particulièrement négatif sur les femmes musulmanes qui choisissent de porter le niqab ou la burqa. » Ah ! qu’il est beau, ce « choisissent », parce qu’à notre connaissance, les Iraniennes n’ont pas vraiment le choix, ce qu’Amnesty International feint superbement d’ignorer…
Si cette ONG défend les droits de l’Homme (femmes comprises, évidemment), elle a toujours eu ses préférences. Très critique sur l’intervention de l’armée française au Mali, par exemple, mais silencieuse sur celle des USA en Afghanistan, alors que les deux armées poursuivaient le même but de lutte contre le terrorisme.
On comprend mieux l’attitude de ces humanitaires quand on sait combien ils sont liés au parti démocrate américain et, surtout, pour nombre d’entre eux, à l’arrosage des dollars de George Soros, lequel ne cache pas son soutien à l’invasion migratoire de l’Europe en général, et de la France en particulier. L’homme a ainsi financé l’association Alliance citoyenne qui, le mois dernier, cornaquait les militantes en burkinis des piscines de Grenoble.
Afficher un féminisme de pointe sans rien faire ou dire qui pourrait donner de l’islam conquérant une image négative, c’est une tâche qui demande d’énormes capacités reptatoires. Dans ce sport, Soros et sa myriade de tentacules associatifs sont très doués…
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MIGRANTS : EN JOUANT CONTRE SALVINI, LES JUGES ROUGES ITALIENS ATTAQUENT L’EUROPE
« Mohammed, ne t'éloigne pas trop, car si elles te voient, les ONG vont t'emmener en Italie ». « Oui, Maman ».
La décision prise, il y a trois semaines, par la justice italienne (largement colonisée par les Rouges, rappelons-le, depuis ce que l’on ose appeler la « Libération ») de ne pas retenir contre la Rackete, capitaine du Sea-Watch, l'accusation d'avoir forcé un port italien à accueillir son transport de « migrants » (cf. le premier article ci-dessous) crée les conditions d'une reprise de l'invasion de l'Europe. D'autres navires des soi-disant « ONG » se préparent en effet à faire la même chose que le Sea-Watch, comme l’indique le second article ci-dessous.
Face à ce qui n’est rien d’autre qu’une infamie, il faut que chaque Européen conscient se mobilise en faveur d’une riposte de tous les nationalistes et populistes de notre continent, en commençant par une réaction vigoureuse des gens que nous avons envoyés au Parlement européen, face au déchaînement prévisible des « ONG », à propos desquels il convient sans tarder de poser les questions suivantes :
1-Qui les finance ?
2-Qui est derrière le plan de provocation et d'invasion qui se déroule sous nos yeux ? 3-Que font l'Union européenne et la France devant des actions de « sauvetage » consistant à aller chercher les « naufragés » quasiment sur les côtes libyennes et à ne pas les ramener dans les ports sûrs les plus proches, tunisiens par exemple, mais systématiquement en Europe, sinon pleurnicher de bons sentiments humanitaires et critiquer Salvini ?
Un Salvini qui, malgré tous ses défauts, mérite d’être soutenu par tous les Européens légitimement soucieux de se donner un avenir digne, ainsi que de défendre et de développer leur identité :
HALTE À L’INVASION DE L’EUROPE ET VIVE SALVINI, PLUS QUE JAMAIS !
ForumSi
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L’Observatoire du Journalisme censuré par Facebook pour un article critique sur Alain Duhamel
Plus un jour ne passe sans que nous arrive des nouvelles inquiétantes de la censure qui se met en place sur l’internet et les différents réseaux sociaux.
Cette fois, c’est l’Observatoire du Journalisme (OJIM) qui signale avoir été victime de censure sur Facebook.
Chers tous et toutes,
Avant la mise en application de la loi Avia qui va encourager la délation sur les réseaux sociaux, Facebook prend les devants.L’Observatoire du journalisme Ojim a mis en ligne une lettre de lecteur le 6 juillet, cette lettre critiquait le journaliste Alain Duhamel.Ce courrier, au ton polémique mais factuel, n’était ni insultant, ni diffamatoire.Le 22 juillet Facebook supprimait tous liens URL vers l’article, appliquant de manière arbitraire et en avance la loi Avia .Protester auprès de Facebook pour lui demander où réside « le non respect des valeurs » du réseau social est une perte de temps.Mais diffuser massivement notre article dénonçant la censure est une forme de réponse et de résistance.Diffusez autour de vous et encourager à diffuser ce lien, tous ensemble nous représentons un contre-poids contre la censure et pour la liberté d’expression.Merci et bel été quand même !Claude Chollet Président Observatoire du journalisme -
Mineurs isolés étrangers : le revers des associations pro-immigration
Il existerait 40.000 « mineurs » isolés. Selon Valeurs actuelles, chacun coûterait 50.000 euros par an, montant auquel il faut rajouter les frais d’évaluation de la minorité et ceux de l’éventuel contrat d’apprentissage signé quand le « mineur » atteint 18 ans : 30.000 euros en moyenne.
Alors que la France exsangue ploie sous le déficit, l’accueil des mineurs est devenu une charge intolérable et injuste : si la minorité est reconnue pour 61 % des postulants, le rapport annuel de 2018 sur la situation des mineurs non-accompagnés (MNA) cite René-Paul Savary, sénateur (LR) de la Marne : « Dans mon département, 80 % des personnes se présentant comme mineurs non accompagnés se révèlent, au terme d’une procédure d’évaluation de deux mois ou deux mois et demi du fait de la saturation de la police aux frontières, être en fait majeurs. » En effet, beaucoup de fraudeurs bénéficient du doute pour passer à travers des contrôles, car il est très difficile d’estimer l’âge d’un adolescent ou d’un jeune adulte. L’interrogatoire permet d’écarter nombre de fraudeurs, mais les associations, dans leur délire pro-immigrationniste, conseillent les jeunes pour leur éviter d’être démasqués et révisent avec eux ce qu’ils doivent dire. En outre, il faut passer par le biais de traducteurs, ce qui crée un filtre dommageable. De plus, la Justice autorise les « mineurs » à refuser l’examen radiologique de leurs poignets ; or, malgré l’incertitude réelle que ces clichés induisaient, ils permettaient de trancher dans un grand nombre de cas.
Les faux mineurs démasqués n’hésitaient pas, jusqu’alors, à changer de département et à recommencer la procédure. Pour finir, très souvent, ils trouvaient une collectivité pour les héberger. Pour empêcher la poursuite de cette fraude choquante et consternante, les pouvoirs publics ont décidé de créer un fichier pour centraliser les dossiers. Si quelqu’un est refusé par un juge des enfants quelque part en France, il le sera désormais partout dans le pays. Cette mesure est de bon sens et devrait faire consensus. Pourtant, les associations sont vent debout contre ce fichier. Elles n’ont aucun argument valable à donner, si ce n’est celui-ci : toute personne qui souhaite s’installer en France devrait être autorisée à le faire et être aidée financièrement à prendre un nouveau départ. Elles se moquent complètement que cette politique pèse lourdement sur les finances publiques.
Le Conseil constitutionnel, saisi par plusieurs associations, n’a pu que constater que nos lois fondamentales étaient respectées et que rien ne s’opposait à la création de ce fichier. En fait, aucune autre décision n’était possible. Pourtant, les associations ne désarment pas : elles vont saisir, maintenant, la Cour de cassation. Quinze départements, dont Paris, viennent d’annoncer qu’ils ne transmettront pas les données des mineurs pour qu’elles soient recensées, créant ainsi une faille dont les fraudeurs profiteront.
Mais pourquoi continuer à recevoir, en France, les mineurs étrangers ? Déjà, la logique voudrait que les mineurs originaires de pays « sûrs » (Algérie, Tunisie, Guinée, Maroc…) soient systématiquement rapatriés ; ils seraient placés jusqu’à leur majorité dans des centres financés par la France. Vu la différence de niveau de vie, un mineur ne coûterait plus que 5.000 euros par an au lieu de 50.000 euros. Politique réactionnaire ? Elle l’est tellement que l’adjoint à la sécurité de Barcelone – une municipalité qui n’est pas spécialement d’extrême droite ! – évoquait la semaine dernière l’éventualité d’un “retour assisté” des mineurs étrangers, comme l’a rapporté El Pais.
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Quand les médias cachent les violences des migrants, quelqu’un doit en parler
Tout comme en France et dans la plupart des pays européens, en Espagne également, des ordres sont donnés afin que les médias en général et plus particulièrement les chaînes de télévision s’abstiennent de fournir des informations sur les identités et, surtout, les origines des auteurs des crimes, agressions violentes, viols, vols, etc. afin de ne pas stigmatiser les migrants clandestins, qu’ils soient mineurs ou adultes, qui représentent un pourcentage très élevé de cette délinquance agressive.
Ainsi, par exemple, la chaîne espagnole « Telediario 6 » a occulté la nationalité des voyous qui ont violé en groupe, à Manresa (Catalogne) une jeune fille de 17 ans qui elle-même les avait désigné à la police catalane comme étant quatre maghrébins.
Et ce n’est pas la première fois que cette chaîne, véhiculant une idéologie d’extrême gauche, omet d’informer correctement.
Cette jeune fille avait commis l’imprudence de se laisser convaincre, par l’un des clandestins rencontré au cours de la soirée, de le suivre dans l’appartement qu’il occupait, 17 rue de Aiguader, et c’est vers trois heures du matin que lui-même et trois complices, âgés de 18 à 25 ans, ont abusé d’elle sexuellement.
Nombreuses sont les provinces espagnoles qui se trouvent confrontées à cette insécurité à cause des très nombreux mineurs isolés clandestins, d’origine maghrébine, qui sévissent dorénavant en toute tranquillité.
Le responsable de la police nationale de la province d’Aragon vient d’affirmer qu’entre trois heures et quatre heures vingt du matin ses services ont été alertés à plusieurs reprises pour des vols avec violence, notamment à Zaragosse, dans le quartier de San Pablo.
Quatre mineurs ont menacé d’un couteau une jeune fille, avenue Goya, pour lui voler son portable. Deux autres mineurs clandestins venaient de commettre plusieurs agressions violentes rue Saint-Vincent de Paul et une patrouille a pu interpeller deux mineurs à l’instant où ils allaient dérober un mobile à un adolescent, rue Aguadores.
Vers 4 h du matin ce fut une dernière victime, pour cette même nuit, qui a été rouée de coups, également pour lui voler son portable.
Les policiers recherchaient également cinq mineurs auteurs de nombreuses agressions et vols, sur deux adolescents qui rentraient chez eux.
Dans la région de Valence, à Jativa, ce sont deux marocains de 25 et 31 ans qui ont été arrêtés par la police nationale après avoir abusé sexuellement d’une jeune fille, après avoir procédé à des attouchements.
Nous avons déjà eu l’occasion, hélas, d’informer sur cette nouvelle délinquance qui frappe la péninsule ibérique depuis ces cinq dernières années, à Murcia, Llorca, Malaga et dans toute l’Andalousie. A présent cela s’étend à toutes les provinces et notamment dans le nord-est, qui est devenu le chemin le plus direct vers la France.
Mattéo Salvini a sauvé momentanément l’Italie, qui a dû subir une délinquance identique durant des années, mais qui sauvera l’Espagne ? Tous les regards se tournent vers VOX.
Quant à la France, nous venons de le constater ces derniers jours avec les « supporters » algériens, il est à craindre qu’il ne soit déjà trop tard !
© Manuel Gomez pour Dreuz.info.
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Soros et la société ouverte contre les populations : Intervention de Lucien Cerise
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Climat : de grands scientifiques italiens jettent un pavé dans la mare
Ce texte, sous forme de pétition, a été initié par le professeur Uberto Crescenti – Professeur titulaire de géologie appliquée à l’Université G. d’Annunzio de Chieti ; Recteur de l’Université G. d’Annunzio de 1985 à 1997, président de la Société italienne de géologie de 1999 à 2005, fondateur et président de l’Association italienne de géologie appliquée et d’environnement de 1999 à 2005, fondateur et président en 2001 de l’Association italienne « géologie et tourisme ».
Il faut lire ce texte dans son intégralité.
Nous soussignés, citoyens et hommes de science, invitons avec force les décideurs politiques à adopter des politiques de protection de l’environnement qui soient compatibles avec les connaissances scientifiques.En particulier, il est urgent de lutter contre la pollution là où elle se produit, comme l’indiquent les meilleures données scientifiques.
A cet égard, il est regrettable que les connaissances mises à disposition par le monde de la recherche soient utilisées trop tard pour réduire les émissions anthropiques de polluants très répandus dans les systèmes environnementaux tant continentaux que marins.
Cependant, il faut être bien conscient que le dioxyde de carbone lui-même n’est pas un polluant. Au contraire, il est indispensable à la vie sur notre planète.
Au cours des dernières décennies, s’est répandue une hypothèse selon laquelle le réchauffement de la surface de la terre d’environ 0,9°C observé depuis 1850 serait anormal et dû aux activités humaines, en particulier à l’émission dans l’atmosphère de CO2 venant de l’utilisation des combustibles fossiles.
C’est là la thèse du réchauffement climatique anthropique promue par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies, dont les conséquences seraient des changements environnementaux si graves qu’ils feraient craindre des dommages énormes dans un avenir proche, à moins que des mesures drastiques et très coûteuses soient adoptées immédiatement.
De nombreuses nations du monde ont adhéré à des programmes de réduction des émissions de dioxyde de carbone et une propagande de plus en plus virulente les invite à adopter des programmes toujours plus exigeants dont la mise en œuvre, très onéreuse pour les économies de ces Etats, serait, prétend-on, nécessaire à la maîtrise du climat et au « salut » de la planète.L’origine anthropique du réchauffement de la planète est cependant une conjecture non prouvée, déduite uniquement de certains modèles climatiques, c’est-à-dire de programmes informatiques complexes, appelés modèles de circulation générale.
Au contraire, la littérature scientifique a, mis en évidence l’existence d’une variabilité climatique naturelle que les modèles ne sont pas capables de reproduire, variabilité naturelle de mieux en mieux vérifiée.
Cette variabilité naturelle explique une part importante du réchauffement climatique observé depuis 1850.
La responsabilité anthropique du changement climatique observée au siècle dernier est donc exagérée de façon injustifiée et les prévisions catastrophiques sont irréalistes.
Le climat est le système le plus complexe sur notre planète : nous devons donc l’aborder avec des méthodes appropriées et adaptées à son niveau de complexité.
Les modèles de simulation climatique ne reproduisent pas la variabilité naturelle observée du climat et, en particulier, ne reconstituent pas les périodes chaudes des 10 000 dernières années.
Celles-ci se sont répétées environ tous les mille ans : on y trouve la période médiévale chaude, bien connue, la période romaine chaude, et généralement de grandes périodes chaudes pendant l’Optimum holocène [Il y a 8000 ans].
Ces périodes passées étaient plus chaudes que la période actuelle, bien que la concentration de CO2 y ait alors été inférieure à la concentration actuelle ; elles sont liées aux cycles millénaires de l’activité solaire. Ces effets ne sont pas reproduits par les modèles.
Rappelons que le réchauffement observé de 1900 à nos jours a, en fait, commencé en 1700, c’est-à-dire au minimum du Petit Âge glaciaire, qui est la période la plus froide des 10 000 dernières années, et qu’il correspond à un minimum millénaire de l’activité solaire que les astrophysiciens appellent minimum solaire de Maunder.
Depuis, l’activité solaire, suivant son cycle millénaire, a augmenté et réchauffé la surface de la Terre.
De plus, les modèles ne parviennent pas à reproduire les oscillations climatiques bien connues de période 60 ans environ.
Celles-ci ont été responsables, d’une période de réchauffement (1850-1880) suivie d’une période de refroidissement (1880-1910), puis d’une période de réchauffement (1910-1940), d’une période de refroidissement (1940-70) et d’une nouvelle période de réchauffement (1970-2000) semblable à celle observée 60 ans auparavant.
Les années suivantes (2000-2019) ont vu non pas l’augmentation prévue par les modèles, d’environ 0,2°C par décennie, mais une nette stabilité climatique sporadiquement interrompue par les oscillations naturelles rapides de l’océan Pacifique équatorial, appelées El Niño Southern Oscillation (ENSO), telles que celle qui a amené un réchauffement temporaire en 2015 et 2016.
Les médias affirment également que les événements extrêmes, tels qu’ouragans et cyclones, ont augmenté de façon inquiétante.
Non ! Ces événements, sont , comme de nombreux systèmes climatiques, modulés par le cycle de 60 ans que l’on vient de signaler.
Voyons, par exemple, les données officielles depuis 1880 sur les cyclones tropicaux atlantiques qui ont frappé l’Amérique du Nord : elles montrent une forte oscillation de 60 ans, corrélée à l’oscillation thermique de l’océan Atlantique appelée Atlantic Multi-decadal Oscillation (AMO). Les pics observés pendant dix ans sont comparables pour les années 1880-90, 1940-50 et 1995-2005. De 2005 à 2015, le nombre de cyclones a diminué, suivant le cycle susmentionné.
Ainsi, sur la période 1880-2015, il n’y a pas de corrélation entre le nombre de cyclones, qui oscille et le CO2 qui augmente de façon monotone.
Le système climatique n’est pas encore suffisamment bien compris.
S’il est vrai que le CO2 est un gaz à effet de serre, la sensibilité du climat à son augmentation dans l’atmosphère est, selon le GIEC lui-même, encore extrêmement incertaine.
Un doublement de la concentration atmosphérique de CO2, d’environ 300 ppm avant l’ère industrielle à 600 ppm, pourrait, dit-on, faire monter la température moyenne de la planète d’au moins 1°C à au plus 5°C.
Cette incertitude est énorme.
Cependant, de nombreuses études récentes fondées sur des données expérimentales estiment que la sensibilité du climat au CO2 est nettement moindre que celle estimée par les modèles du GIEC.
Il est donc scientifiquement irréaliste d’attribuer à l’homme la responsabilité du réchauffement observé de 1900 à nos jours.
Les prédictions alarmistes ne sont donc pas crédibles, puisqu’elles sont basées sur des modèles dont les résultats sont en contradiction avec les données observées.
Tout porte à croire que ces modèles surestiment la contribution anthropique et sous-estiment la variabilité climatique naturelle, en particulier celle induite par le soleil, la Lune et les oscillations océaniques.
Enfin, les médias ont fait passer le message qu’ il y aurait un consensus quasi unanime parmi les scientifiques sur la cause anthropique de l’actuel changement climatique et que le débat scientifique serait donc clos.
Et pourtant, nous devons tout d’abord être bien conscients que la méthode scientifique exige que ce soient les faits, et non le nombre de croyants qui d’une conjecture font une théorie scientifique consolidée.
Quoi qu’il en soit, même ce supposé consensus n’existe pas.
Les opinions des spécialistes – climatologues, météorologues, géologues, géophysiciens, astrophysiciens – sont très variables et nombre d’entre eux reconnaissent l’importance de la contribution naturelle au réchauffement planétaire observée depuis la période préindustrielle et même au réchauffement de l’après-guerre à aujourd’hui.
Il y a également eu des pétitions signées par des milliers de scientifiques qui ont exprimé leur désaccord avec l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique.
Notamment celle lancée en 2007 par le physicien F. Seitz, ancien président de l’American National Academy of Sciences, et celle lancée par le Groupe d’experts International Non Gouvernemental sur l’évolution du climat (NIPCC), dont le rapport 2009 conclut que » la nature, et non l’activité humaine, gouverne le climat « .
En conclusion, vu l’importance cruciale des combustibles fossiles pour l’approvisionnement énergétique de l’humanité, nous suggérons de refuser d’adhérer à des politiques de réduction des émissions de dioxyde de carbone dans l’atmosphère sous le prétexte illusoire de gouverner le climat.
COMITÉ DE LANCEMENT- Uberto Crescenti, Professeur émérite de géologie appliquée, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara, ancien Recteur magnifique et Président de la Société italienne de géologie.
- Giuliano Panza, Professeur de sismologie, Université de Trieste, Académicien du Lincei et de l’Académie Nationale des Sciences, connu comme le XL, Prix International 2018 de l’Union Géophysique Américaine.
- Alberto Prestininzi, professeur de géologie appliquée, Université La Sapienza, Rome, ancien rédacteur scientifique en chef de la revue internationale IJEGE et directeur du Centre de recherche sur la prévision et le contrôle des risques géologiques.
- Franco Prodi, professeur de physique atmosphérique, Université de Ferrare.
- Franco Battaglia, professeur de chimie physique, Université de Modène ; Movimento Galileo 2001.
- Mario Giaccio, professeur de technologie et d’économie des sources d’énergie, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara, ancien doyen de la faculté d’économie.
- Enrico Miccadei, Professeur de Géographie, Physique et Géomorphologie, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
- Nicola Scafetta, professeur de physique atmosphérique et d’océanographie, Université Frédérico II de Naples
SIGNATAIRES
- Antonino Zichichi, Professore Emerito di Fisica, Università di Bologna, Fondatore e Presidente del Centro di Cultura Scientifica Ettore Majorana di Erice.
- Renato Angelo Ricci, Professore Emerito di Fisica, Università di Padova, già Presidente della Società Italiana di Fisica e della Società Europea di Fisica; Movimento Galileo 2001.
- Aurelio Misiti, Professore di Ingegneria Sanitaria-Ambientale, Università la Sapienza, Roma.
- Antonio Brambati, Professore di Sedimentologia, Università di Trieste, Responsabile Progetto Paleoclima-mare del PNRA, già Presidente Commissione Nazionale di Oceanografia.
- Cesare Barbieri, Professore Emerito di Astronomia, Università di Padova.
- Sergio Bartalucci, Fisico, Presidente Associazione Scienziati e Tecnologi per la Ricerca Italiana.
- Antonio Bianchini, Professore di Astronomia, Università di Padova.
- Paolo Bonifazi, già Direttore Istituto di Fisica dello Spazio Interplanetario, Istituto Nazionale Astrofisica.
- Francesca Bozzano, Professore di Geologia Applicata, Università Sapienza di Roma, Direttore del Centro di Ricerca CERI.
- Marcello Buccolini, Professore di Geomorfologia, Università Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
- Paolo Budetta, Professore di Geologia Applicata, Università di Napoli.
- Monia Calista, Ricercatore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
- Giovanni Carboni, Professore di Fisica, Università Tor Vergata, Roma; Movimento Galileo 2001.
- Franco Casali, Professore di Fisica, Università di Bologna e Accademia delle Scienze di Bologna.
- Giuliano Ceradelli, Ingegnere e climatologo, ALDAI.
- Domenico Corradini, Professore di Geologia Storica, Università di Modena.
- Fulvio Crisciani, Professore di Fluidodinamica Geofisica, Università di Trieste e Istituto Scienze Marine, Cnr, Trieste.
- Carlo Esposito, Professore di Telerilevamento, Università La Sapienza, Roma.
- Mario Floris, Professore di Telerilevamento, Università di Padova.
- Gianni Fochi, Chimico, Scuola Normale Superiore di Pisa; giornalista scientifico.
- Mario Gaeta, Professore di Vulcanologia, Università La Sapienza, Roma.
- Giuseppe Gambolati, Fellow della American Geophysica Union, Professore di Metodi Numerici, Università di Padova.
- Rinaldo Genevois, Professore di Geologia Applicata, Università di Padova.
- Carlo Lombardi, Professore di Impianti nucleari, Politecnico di Milano.
- Luigi Marino, Geologo, Centro Ricerca Previsione e Controllo Rischi Geologici, Università La Sapienza, Roma.
- Salvatore Martino, Professore di Microzonazione sismica, Università La Sapienza, Roma.
- Paolo Mazzanti, Professore di Interferometria satellitare, Università La Sapienza, Roma.
- Adriano Mazzarella, Professore di Meteorologia e Climatologia, Università di Napoli.
- Carlo Merli, Professore di Tecnologie Ambientali, Università La Sapienza, Roma.
- Alberto Mirandola, Professore di Energetica Applicata e Presidente Dottorato di Ricerca in Energetica, Università di Padova.
- Renzo Mosetti, Professore di Oceanografia, Università di Trieste, già Direttore del Dipartimento di Oceanografia, Istituto OGS, Trieste.
- Daniela Novembre, Ricercatore in Georisorse Minerarie e Applicazioni Mineralogichepetrografiche, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
- Sergio Ortolani, Professore di Astronomia e Astrofisica, Università di Padova.
- Antonio Pasculli, Ricercatore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
- Ernesto Pedrocchi, Professore Emerito di Energetica, Politecnico di Milano.
- Tommaso Piacentini, Professore di Geografia Fisica e Geomorfologia, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
- Guido Possa, Ingegnere nucleare, già Vice Ministro Miur.
- Mario Luigi Rainone, Professore di Geologia Applicata, Università di Chieti-Pescara.
- Francesca Quercia, Geologo, Dirigente di ricerca, Ispra.
- Giancarlo Ruocco, Professore di Struttura della Materia, Università La Sapienza, Roma.
- Sergio Rusi, Professore di Idrogeologia, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
- Massimo Salleolini, Professore di Idrogeologia Applicata e Idrologia Ambientale, Università di Siena.
- Emanuele Scalcione, Responsabile Servizio Agrometeorologico Regionale Alsia, Basilicata.
- Nicola Sciarra, Professore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
- Leonello Serva, Geologo, Direttore Servizi Geologici d’Italia; Movimento Galileo 2001.
- Luigi Stedile, Geologo, Centro Ricerca Revisione e Controllo Rischi Geologici, Università La Sapienza, Roma.
- Giorgio Trenta, Fisico e Medico, Presidente Emerito dell’Associazione Italiana di Radioprotezione Medica; Movimento Galileo 2001.
- Gianluca Valenzise, Dirigente di Ricerca, Istituto Nazionale di Geofisica e Vulcanologia, Roma.
- Corrado Venturini, Professore di Geologia Strutturale, Università di Bologna.
- Franco Zavatti, Ricercatore di Astronomia, Univesità di Bologna.
- Achille Balduzzi, Geologo, Agip-Eni.
- Claudio Borri, Professore di Scienze delle Costruzioni, Università di Firenze, Coordinatore del Dottorato Internazionale in Ingegneria Civile.
- Pino Cippitelli, Geologo Agip-Eni.
- Franco Di Cesare, Dirigente, Agip-Eni.
- Serena Doria, Ricercatore di Probabilità e Statistica Matematica, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
- Enzo Siviero, Professore di Ponti, Università di Venezia, Rettore dell’Università e- Campus.
- Pietro Agostini, Ingegnere, Associazione Scienziati e Tecnolgi per la Ricerca Italiana.
- Donato Barone, Ingegnere.
- Roberto Bonucchi, Insegnante.
- Gianfranco Brignoli, Geologo.
- Alessandro Chiaudani, Ph.D. agronomo, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
- Antonio Clemente, Ricercatore di Urbanistica, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
- Luigi Fressoia, Architetto urbanista, Perugia.
- Sabino Gallo, Ingegnere nucleare.
- Daniela Giannessi, Primo Ricercatore, Ipcf-Cnr, Pisa.
- Roberto Grassi, Ingegnere, Amministratore G&G, Roma.
- Alberto Lagi, Ingegnere, Presidente di Società Ripristino Impianti Complessi Danneggiati.
- Luciano Lepori, Ricercatore Ipcf-Cnr, Pisa.
- Roberto Madrigali, Metereologo.
- Ludovica Manusardi, Fisico nucleare e Giornalista scientifico, Ugis.
- Maria Massullo, Tecnologa, Enea-Casaccia, Roma.
- Enrico Matteoli, Primo Ricercatore, Ipcf-Cnr, Pisa.
- Gabriella Mincione, Professore di Scienze e Tecniche di Medicina di Laboratorio, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
- Massimo Pallotta, Primo Tecnologo, Istituto Nazionale Fisica Nucleare.
- Enzo Pennetta, Professore di Scienze naturali e divulgatore scientifico.
- Nunzia Radatti, Chimico, Sogin.
- Vincenzo Romanello, Ingegnere nucleare, Centro Ricerca, Rez, Repubblica Ceca.
- Alberto Rota, Ingegnere, Ricercatore presso Cise e Enel.
- Massimo Sepielli, Direttore di Ricerca, Enea, Roma.
- Ugo Spezia, Ingegnere, Responsabile Sicurezza Industriale, Sogin; Movimento Galileo 2001.
- Emilio Stefani, Professore di Patologia vegetale, Università di Modena.
- Umberto Tirelli, Visiting Senior Scientist, Istituto Tumori d’Aviano; Movimento Galileo 2001.
- Roberto Vacca, Ingegnere e scrittore scientifico.
http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/climat-de-grands-scientifiques-italiens.html
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Pourquoi ce silence médiatique sur le scandale sexuel en Italie ? Parce que cela touche le Parti Démocrate et des activistes LGBT ?
De Xavier Eman dans Présent :
Vous n’en avez entendu parler ni à la radio ni à la télévision, pourtant l’Italie est actuellement secouée par un scandale particulièrement grave et sordide. En effet, une trentaine de personnes, dont des médecins, des travailleurs sociaux et des politiciens du Parti démocrate (équivalent transalpin du Parti socialiste), ont été interpellées, soupçonnées d’avoir manipulé des enfants pour les soustraire à leurs parents et les vendre à des foyers d’accueil où certains auraient été abusés sexuellement.
Ce sont les carabiniers de Reggio Emilia, dans le nord de l’Italie, qui ont mis au jour ces agissements criminels. Un véritable système de « traite d’enfants » mis en place notamment par certains services sociaux en lien avec des associations dites de « protection de l’enfance ». Les différents protagonistes utilisaient des prétextes mensongers ou fallacieux pour retirer des enfants à leur famille biologique et les « plaçaient » ensuite – moyennant rétribution bien sûr – auprès de certains de leurs « amis » et autres « connaissances ».
C’est une augmentation anormale du nombre d’enfants « retirés » – souvent au prétexte d’agressions sexuelles inventées de toutes pièces – qui a alerté les autorités policières qui ont décidé d’ouvrir une enquête en août 2018. Celle-ci vient donc d’aboutir avec la mise au jour de ce véritable réseau criminel qui n’hésitait pas à falsifier des rapports d’assistantes sociales, à insérer des allusions sexuelles dans des dessins d’enfants, et même à fabriquer de faux souvenirs de maltraitance et d’abus divers au cours de véritables séances de « lavage de cerveau ».
Les enfants manipulés, ainsi conduits à s’éloigner voir à détester leurs parents, étaient ensuite confiés à des « foyers d’accueil » (par exemple : un propriétaire de sex-shop ou encore l’ex-partenaire homosexuelle d’une des psychologues mises en cause…) où un certain nombre d’entre eux ont subi des agressions sexuelles, bien réelles cette fois. Deux cas de viol au moins ont déjà été établis. Cet ignoble système aurait rapporté des centaines de milliers d’euros à ses instigateurs.
Au-delà des faits particulièrement atroces, c’est aussi le traitement médiatique de l’affaire qui choque de nombreux Italiens, ou plus exactement l’absence de traitement médiatique car c’est une véritable omerta qui entoure encore aujourd’hui ces faits. Ce silence gêné des « gros » médias s’explique par le profil des personnes impliquées : des élus du Parti démocrate – dont le maire de Bibbiano, Andrea Carletti –, des activistes LGBT, des thérapeutes et des membres du « monde associatif »… […]