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lobby - Page 814

  • Affaire ukrainienne : Destitution ou Bidengate ?

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    INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    Inconsolables depuis l’échec du rapport Mueller à démontrer toute collusion Russe dans l’élection en 2016, les Démocrates américains ont lancé une procédure de destitution du président Trump, ce dont ils rêvaient depuis le jour noir de son élection. L’affaire du coup de fil ukrainien vient de leur en fournir le prétexte.

    Selon le narratif propagé par les media, Trump conspire avec le président ukrainien pour ternir l’image de l’ancien vice-président d’Obama Joe Biden, son principal adversaire pour 2020. Il se fonde sur les dires d’un sonneur d’alerte anonyme selon lequel, lors d’un échange téléphonique avec son homologue ukrainien Zelensky, Trump aurait demandé à celui-ci de rechercher des éléments de nature à compromettre M. Biden en appuyant sa demande d’une menace de rétention de l’aide militaire américaine à l’Ukraine.

    Or, ce narratif médiatique repris devant le Congrès par Adam Schiff, ne cesse de prendre l’eau depuis la publication par la Maison Blanche du verbatim de l’appel dépourvu de tout élément pouvant fonder une incrimination. De plus le président ukrainien vient de déclarer qu’il n’avait subi aucune forme de chantage et même qu’il n’avait appris la rétention de l’aide américaine qu’après le fameux appel du 25 juillet.

    Pourtant, certains media comme ABC ou CNN n’ont pas hésité à publier des citations tronquées, en omettant même de citer la phrase de Trump disant « Biden s’est vanté un peu partout qu’il était parvenu à arrêter l’enquête donc si vous pouviez y jeter un œil… Cela semble horrible à mes yeux. ». Or, cette phrase renvoie à la nomination en mai 2014, sous la présidence Obama, de Hunter Biden, le propre fils de Joe Biden, au Conseil d’Administration de la société gazière Ukrainienne Burisma, pour un salaire annuel de 600.000 dollars. Le président Poroshenko avait alors nommé le procureur Shokin pour enquêter sur les soupçons pesant corruption de cette société,. Or, celui-ci fut révoqué suite à des pressions intenses exercées par Joe Biden avec l’aide de l’administration américaine. Joe Biden lui-même s’en est vanté en 2018 dans une intervention filmée où il déclare : « Je les ai regardés et je leur ai dit : Je m’en vais dans six heures. Si le procureur n’est pas viré, vous n’aurez pas l’argent. ».

    En d’autres termes, les Démocrates reprochent à Trump exactement ce qu’ils ont fait en Ukraine, mais en pire.

    https://fr.novopress.info/215782/affaire-ukrainienne-destitution-ou-bidengate/

  • L’éolien n’est pas une solution

    L’éolien n’est pas une solution

    Dans son récent livre, le militant Fabien Bouglé démonte un à un les arguments en faveur de l’éolien: imposture écologique, dangers pour la santé, gaspillage d’argent public, corruption… Il est interrogé sur RCF.

    https://www.lesalonbeige.fr/leolien-nest-pas-une-solution/

  • Surprise à la marche contre la #PMAsansPère : les manifestants ne sont pas que des blancs cathos !

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    Présent à la grande marche contre la #PMAsansPère et la #GPA, aujourd’hui 6 octobre, à Paris, je voudrais apporter un témoignage personnel.

    Pour rappel, j’ai participé à la manifestation contre le mariage pour tous de 2013, au cours de laquelle nous étions plus de 270.000. Je confirme que nous étions largement plus nombreux, ce dimanche. Même si je ne suis pas un expert en comptage, je crois que tout chiffre inférieur à celui de 2013 serait purement et simplement un mensonge.

    Ensuite, j’ai été surpris de constater que cette manifestation, que certains disaient être celle du Blanc catholique, était plutôt celle du Français défenseur de valeurs familiales, tout simplement.

    En effet, j’y ai croisé beaucoup de Noirs, des Arabes, des Jaunes et même un couple d’origine sri-lankaise.

    Ma curiosité m’a poussé à interroger certains, dans ces minorités, sur les raisons de leur présence. Rassurez-vous, ils n’étaient pas là pour rien, ils savaient ce qu’ils voulaient et étaient plus déterminés que moi. Malik et Nadia étaient avec leur fils Lyès, ils se disent musulmans, rien dans leur aspect, leur comportement ne permet de deviner leur pratique religieuse. Ils venaient du Val-d’Oise et ont dit leur opposition à toute modification du parcours naturel de vie.

    Pas loin d’eux, une bande de jeunes gens venus de Bagnolet (Seine-Saint-Denis) m’explique leur présence par le refus de la GPA.

    Aujourd’hui, j’ai vu la France qu’on ne voit pas dans les grands médias, j’ai entendu ces minorités pour lesquelles beaucoup parlent sans savoir leurs engagements, aujourd’hui j’ai vu qu’en France, contre la #PMAsansPère et la #GPA, ce ne sont pas que les Blancs cathos de droite qui s’y opposent. En tant que Noir, ça m’a fait du bien, j’avais peur de ne pas être normal.

    Verlaine Djeni

    https://www.bvoltaire.fr/surprise-a-la-marche-contre-la-pmasanspere-les-manifestants-ne-sont-pas-que-des-blancs-cathos/

  • Gilles-William Goldnadel : « Clément Weill-Raynal n’a commis aucune faute…quand on assassine 4 policiers, c’est un attentat ! »

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    Clément Weill-Raynal, journaliste à France Télévisions, a été convoqué par sa hiérarchie pour sa couverture de l’attaque à la préfecture de police de Paris. Peu après les faits, il avait évoqué à l’antenne un attentat, « l’hypothèse d’un acte motivé par l’islam radical » de manière prématurée, selon sa direction.

    Explications de son avocat Maître Gilles-William Goldnadel au micro de Boulevard Voltaire.

  • Stéphane Ravier : je ne crois pas à la théorie du grand remplacement, en revanche, je suis convaincu de sa réalité

    Stéphane Ravier : je ne crois pas à la théorie du grand remplacement, en revanche, je suis convaincu de sa réalité

    Forte intervention du sénateur RN Stéphane Ravier lors du débat sur l’immigration, qui ne mâche pas ses mots, que ce soit sur le grand remplacement, sur le racisme anti-blanc, anti-français, anti-chrétien, le terrorisme, l’islam, la préférence nationale, en demandant des quotas non pas d’immigration mais des quotas d’expulsions :

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  • Comment la France s’est laissée désarmer, par Ivan Rioufol

    Mais qu’ont-ils dans les yeux ? Cela fait quarante ans que les “élites” ne voient rien de l’immigration de masse, de l’islam guerrier, du séparatisme ethnique. Quarante ans qu’elles n’entendent rien des inquiétudes de ceux qui vivent ces réalités au quotidien. Jeudi dernier, c’est au cœur de la Préfecture de police de Paris qu’un “habilité secret-défense“, adepte du djihad, a assassiné au couteau quatre policiers avant d’être abattu. Le premier commentaire du ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a été pour assurer que Mickaël Harpon, converti à l’islam en 2008, “n’avait jamais présenté de difficultés comportementales“, ni “le moindre signe d’alerte“. En réalité, l’islamiste s’était réjoui, en 2015, de l’attentat contre Charlie Hebdo devant deux de ses collègues.

    Il fréquentait quotidiennement la mosquée salafiste de Gonesse (Val-d’Oise), dont un des imams était fiché S. Il ne serrait plus la main des femmes. Sa radicalité aurait dû alerter le service antiterroriste qui l’employait comme informaticien. Castaner a parlé d’un “dysfonctionnement de l’État”. Mais seule l’idéologie aveugle à ce point.

    Ce que subit le pays sidéré est le résultat d’années d’endoctrinements sur la diversité heureuse et la nation fautive. Il est impensable qu’aucun policier n’ait vu la dérive de cet agent administratif, un Martiniquais handicapé embauché en 2003. Le choix de préserver ce fonctionnaire a été pris sous l’influence diffuse de considérations promues par la pensée officielle : ne pas discriminer, ne pas stigmatiser, respecter les différences, combattre le racisme, lutter contre l’islamophobie.

    Autant de valeurs “humanistes” qui, appliquées sans discernement, peuvent désarmer un service de police, mais aussi un gouvernement et un État. Les droits de l’homme sont paradoxalement devenus les alliés des islamo-fascistes. Ils trouvent aussi, auprès de juges et de journalistes, une abondance de collaborateurs. Ces idiots utiles préfèrent sonner l’alarme contre l’extrême droite. Mercredi, un néonazi a tué deux personnes, aux abords d’une synagogue en Allemagne. Mais ce n’est pas l’extrême droite, en tout cas, qui assassine en France.

    Mardi, lors de l’hommage rendu aux quatre policiers, Emmanuel Macron a appelé la nation à “faire bloc”, dans un “combat sans relâche” contre le “terrorisme islamiste“. Faut-il croire celui qui a fait du politiquement correct la langue officielle de la macronie ?

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 10 octobre 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • I-Média n°267 – Attentat islamiste à la préfecture : les médias en mode autruche !

    L’image de la semaine
    La censure contre Eric Zemmour franchit un nouveau cap après que des annonceurs aient annoncé leur volonté de supprimer leur publicité des chaînes soutenant le journaliste et écrivain de droite.

    Attentat islamiste à la préfecture : les médias en mode autruche !
    Alors que le caractère islamiste de l’attaque ne faisait aucun doute, les médias ont préféré surjouer la prudence… Désormais, ils font semblant de découvrir le problème de la radicalisation…

    Revue de presse
    Il y en aura pour tous les goûts dans la revue de presse cette semaine avec notamment une énorme auto-censure de France 3 qui n’a pas assumé d’avoir publié une grosse Fake News sur l’incendie d’une église à Grenoble.

    Manif anti-PMA : la mauvaise foi des médias
    Les médias ont tout fait pour minorer le succès de la manifestation des opposants à la loi bioéthique. Le Monde et Quotidien ont notamment démontré leur incompétence.

    Coup de chapeau
    Dans le silence médiatique, la Nouvelle Librairie a une nouvelle fois été la cible d’une attaque par des militants d’extrême gauche.

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n267-attentat-islamiste-a-la-prefecture-les-medias-en-mode-autruche

  • Nutella contre Zemmour : la pâte à tartiner du politiquement correct

    Nutella a décidé de supprimer ses plages publicitaires pendant l’émission hebdomadaire de Paris Première « Zemmour et Naulleau ». Cette asphyxie d’un grand média, pour raisons politiques, par un groupe industriel et financier, est une première. La censure anti-Zemmour pourrait s’étendre à tous les autres grands médias. Elle pourrait être pratiquée par tous les autres groupes industriels et financiers. Déjà sont annoncés les boycotts anti-Zemmour de la MAIF, Groupama, Monabanq. Et qui après Zemmour ? Bellamy ? Brunet ? Lucchini ? Messiha ? (Pour ce dernier, c’est déjà fait.)

    Ce qui se passe actuellement est un phénomène absolument inédit dans l’histoire de notre pays, et même au-delà : la mise en place d’une dictature capitaliste, d’une authentique ploutocratie qui s’affiche comme telle, un régime où la puissance économique et financière devient seule décisionnaire pour le droit à l’expression dans le domaine politique, culturel et social.

    Certes les puissances d’argent n’ont jamais joué un rôle négligeable dans la vie politique française. Mais Nutella, c’est-à-dire le groupe Ferrero, groupe italien comptant 33 000 salariés et pesant 10 milliards d’euros, est allé là où personne n’avait osé aller : couper les vivres à une chaîne d’information, Paris Première, pour l’obliger à licencier Eric Zemmour. Immédiatement le groupe MAIF (3 milliards de chiffre d’affaires), Groupama (14 milliards de chiffre d’affaires), Monabanq (27 milliards de chiffre d’affaires) lui ont emboîté le pas. Une digue réputée infranchissable a été rompue.

    Rien d’autre que de l’ultracapitalisme

    Nous avons donc une coalition de grandes entreprises qui entendent dorénavant peser sur ce que les Français ont le droit d’entendre ou non. Et parce que la personne visée est marquée à droite, tout le camp de la gauche, et de la gauche de la gauche, sans parler du camp progressiste, trépigne de joie, ne réalisant pas vraiment que, grâce à sa campagne anti-Zemmour, elle déroule un tapis rouge à ce qui n’est rien d’autre que de l’ultralibéralisme, de l’ultracapitalisme, comme jamais la France et la planète n’en ont connu.

    Car quelle est la motivation de ces entreprises multinationales, dirigées par des milliardaires ? Il peut y avoir la peur d’un boycott par l’extrême gauche, l’idée que, sur les réseaux sociaux, une mauvaise réputation pourrait leur coûter quelques points de croissance. Mais l’e-réputation et la réputation tout court sont bien plus affectées par un accident industriel comme Lubrizol ou par des affaires à la Carlos Ghosn que par des publicités passées sur une chaîne qui donne la parole à Zemmour.

    Mais il y a sans doute d’abord le fait que les directions de ces entreprises, qui raisonnent en marché mondial, qui rêvent de délocalisations faciles, et dont les charges sociales tirent profit de l’immigration massive, veulent défendre leurs intérêts. Et leurs intérêts, c’est de supprimer les frontières, et de développer toujours plus de mobilité planétaire.

    Le nouveau capitalisme qui se dessine, avec cette stupéfiante immixtion publique de grands acteurs économiques dans la sphère politique, ne prend plus ses repères à Londres ou Washington, mais à Pékin : immense liberté capitalistique et total verrouillage de la liberté d’expression.

    Les Chinois ont tiré profit de ce modèle ces quarante dernières années. Mais Hong-Kong semble montrer que le système a ses limites. Il n’y a pas de raisons que les Français soient davantage enclins que les Chinois à avaler l’écœurante pâte à tartiner progressiste.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 10 octobre 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Sainte Greta, endoctrinez-nous!

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    Bébé a fait son caprice. Ça y est, après plusieurs mois sous biberons médiatiques l’enfant s’est enfin rebellé contre ses parents et autres tuteurs moraux. Malheureusement pour elle, sa soudaine crise d’ados a levé le voile sur le rôle opaque et nauséabond qu’elle interprète. Du « je ne devrais pas être là » au « vous m’avez volé mon enfance », la fillette aux tresses blondes, a voulu donner une leçon d’écologie aux chefs d’Etat en réunion exceptionnelle à l’ONU le 24 septembre dernier. Bien que simple pion, elle incarne à elle seule toute une stratégie de propagande alliant deux facteurs inédits.

    Au-delà de la bassesse intellectuelle et morale de son intervention, son coup de gueule permet de dévoiler au grand jour la stratégie d’infantilisation de l’écologie. Bien armée, Greta a su user de son statut de nouvelle prophétesse du réchauffement climatique, en se laissant adouber comme nouvelle amazone d’un combat mené depuis de nombreuses années. A coup de grandes tirades émotives, de sourires falsifiés et d’une maladie mentale étalée publiquement Greta a su charmer le public qui laissa ainsi venir à elle les petits enfants. Dès lors, suivant ses homélies à la lettre, collégiens et lycéens ont joué, le temps d’une grève pour l’environnement, aux héros climatiques en ramassant trois mégots et deux emballages plastiques dans les rues. Pas de quoi changer la face du monde.

    Cette volonté d’infantiliser une problématique pour mettre en place une folie populaire, à la botte des biens pensants, devaient bouleverser le courant des choses en forçant dirigeants et citoyens à changer radicalement politiques et modes de vie. Malheureusement le hochet s’est brisé devant le monde entier. Bien que ridiculisée, Greta a incarné et incarne encore cette volonté d’user également de la peur et de l’angoisse afin de convertir le plus grand nombre à sa cause. Discours apocalyptiques et autres déclarations prédisant l’éclatement de la planète se jumelaient parfaitement avec son personnage enfantin. Rien d’étonnant donc quand elle exhorte nos députés européens, le 16 avril dernier « à paniquer comme si la maison était en feu ».  Sa volonté clairement affichée d’opter pour une stratégie d’intimidation a participé à la propagande de masse. En cherchant à déclencher une hystérie populaire, c’est notre libre arbitre et notre libre discernement que l’enfant a voulu noyer dans ses larmes bourrées des gaz à effets de serre de toute la planète.

    Cette propagande hystérique, dénaturant le sujet en lui-même est, de surcroit, une preuve supplémentaire de l’existence du courant pastèque, écolo d’extérieure, communiste de l’intérieure, qui sévit depuis trop longtemps. De fait, les t-shirts de la fillette plaident pour un écologisme allié aux aimables antifascistes et autres LGBT. Bien qu’insupportable, Greta ne nous enlèvera pas de l’esprit que l’écologie reste un enjeu majeur pour notre civilisation et que nous devons y trouver des réponses non pas idéologiques mais pragmatiques.

    Bien que reçus en grande pompe au palais bourbon le 23 juillet dernier, dirigeants et députés français n’ont pas manqué leur correction médiatique. Ces derniers ont enfin reconnu en elle un garde vert d’une écologie non pas intégrale mais radicale. Seulement âgée de 16 ans et manipulée par beaucoup, elle incarne une propagande parfaitement huilée sachant attendrir et faire frémir pour mieux convertir. Il est grand temps pour elle de retourner à l’école, en hélico ou en bateau.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/11/sainte-greta-endoctrinez-nous-6182090.html

  • Antifas violeurs : Auto-dissolution du Groupe Révolutionnaire Antifasciste et Populaire de l’Hérault

    Source : Lengadoc Info – Le Groupe Révolutionnaire Antifasciste et Populaire de l’Hérault (GRAPH) a annoncé ce mardi dans un communiqué son auto-dissolution en raison d’une affaire de viol au sein même du groupe. Un viol qui n’est pas une première dans la mouvance antifa à Montpellier.
    Un viol « avéré » mais pas le premier chez les antifas

    L’éphémère GRAPH n’aura guère duré plus d’une année. Celui-ci a annoncé ce mardi que depuis la création du groupe « de nombreu.x.ses membres fondat.eu.r.ice.s ont quitté le collectif à la suite de la découverte d’un viol avéré dans [les] milieux militants et affinitaires mettant en cause un membre du groupe ».
    Si le GRAPH ne donne guère de détails sur les circonstances du viol et l’identité du violeur, on apprend dans le communiqué que ce dernier avaient des propos et une attitude « oppressantes » au sein du groupe au point de réveiller « des peurs, des souvenirs, des mal-êtres, etc, chez plusieurs d’entre nous ayant vécu des violences sexuelles ».
    Ce viol et les attitudes « oppressives » de cet individu ne semblent pas être des faits isolés au sein de la mouvance antifa locale. Déjà en 2014, un communiqué de militantes féministes dénonçait l’organisation du collectif antifa 34 qui était « gouverné par des individus blancs et masculins », une « hiérarchie bureaucratique, sexiste et autoritaire » à laquelle « s’ajoutent des cas d’agressions sexuelles dont les témoignages sont mis sous silence, la parole de la victime n’étant pas prise en compte et fortement délégitimée ».

    En 2016, c’est sur la ZAD de Las Rebes qu’une jeune femme de 19 ans avait été violée par plusieurs individus. En 2017, c’est au sein du squat antifa Le Royal Occupé qu’un viol avait été une nouvelle fois commis.

    Si une plainte a été déposée en 2016 pour le viol de Las Rebes, nous ignorons si les autres dénonciations ont fait l’objet d’une procédure judiciaire.
    Le GRAPH, un énième et éphémère groupe antifa à Montpellier
    Avec cette auto-dissolution, le GRAPH risque de ne pas marquer les mémoires militantes locales. Il faut dire que depuis quelques années, les groupuscules antifas se succèdent les uns aux autres sans une grande régularité : « Scalp 34 », « Montpellier Antifa », « Collectif Antifasciste 34 », « Montpellier Antifasciste et Populaire », etc. D’ailleurs le communiqué du GRAPH annonce qu’une nouvelle structure verra bientôt le jour…

    Petit dernier de la bande, le GRAPH s’est fait connaître pour ses affiches appelant à la violence et pour avoir tenté de s’opposer (sans grand succès) à un hommage à Jeanne d’Arc.

    https://www.medias-presse.info/antifas-violeurs-auto-dissolution-du-groupe-revolutionnaire-antifasciste-et-populaire-de-lherault/113182/