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  • Une école salafiste ? Jean-Michel Blanquer ne voit pas plus loin que le bout de son nez !

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    Échirolles, dans la banlieue de Grenoble. L’école Philippe-Grenier – du nom d’un député français, converti à l’islam, élu à Pontarlier en 1896 – est un établissement privé hors contrat musulman. Installée dans les locaux de la grande mosquée du lieu, elle accueille 45 élèves, du CP au CM2. Un établissement « discret », selon TF1, qui n’a cependant pas pu y entrer. Une école qui dispense une dizaine d’heures par semaine d’enseignement religieux, des cours d’arabe, de Coran, et une éducation aux principes islamiques, selon une mère d’élève. Un îlot musulman comme il en existe tant en France.

    Jean-Michel Blanquer, qu’on peut penser bien informé, a dénoncé une école « salafiste ». En janvier dernier, le directeur de l’établissement et l’association qui le gère comparaissaient devant le tribunal correctionnel de Grenoble, prévenus d’avoir tenté de se soustraire à un contrôle de l’Éducation nationale, l’école interdisant l’entrée des inspecteurs pendant environ une heure, le 4 décembre 2017, et d’avoir « dispensé un enseignement non conforme à l’instruction obligatoire malgré mise en demeure ». Le 12 février, le tribunal a ordonné la fermeture de l’école, sans exécution provisoire. L’établissement a fait appel, dont l’effet suspensif lui permet de continuer son activité. À l’audience, le procureur n’a pas manié la langue de bois : « C’est une école que l’on doit qualifier d’école salafiste. […] Les connaissances sont rabâchées, il n’y a pas de production orale et écrite, pas d’enseignement artistique, pas de travail de groupe, pas d’ouverture sur le monde, pas d’encouragement à développer l’esprit critique. C’est de l’obscurantisme, du lavage de cerveau. Cette école est nocive. »

    C’est dans ce contexte que Jean-Michel Blanquer a utilisé le mot qui fâche. Salafiste. Un mot qui lui vaut un procès en diffamation de la part de l’établissement et de certains parents d’élèves. Un mot qui le met cependant, lui et ses comparses du ministère, en face de ses responsabilités.

    La liberté de l’enseignement est fondamentale. Les parents ont le droit et le devoir de donner à leurs enfants une éducation conforme à ce qu’ils souhaitent, et ce n’est pas à l’État de s’y substituer. L’École républicaine, créée en 1880 pour asseoir le régime, a toujours lutté contre cette liberté fondamentale, dans un contexte d’antichristianisme dont on a oublié la violence. L’école publique est ce que l’on sait. L’enseignement privé sous contrat, à de belles exceptions près, est un enseignement public payant. Le hors-contrat se développe en dépit des difficultés qu’il rencontre, notamment de la part du ministère qui le voit d’un très mauvais œil. Rien de surprenant à ce que des musulmans profitent de cette liberté légitime pour créer leurs propres établissements.

    Mais l’État, qui ne veut pas appréhender l’islam pour ce qu’il est, ne sait pas comment prendre le problème de ces établissements. L’argument de la laïcité n’a aucun poids, surtout dans un établissement privé. Et ces écoles coraniques se multiplient sur notre territoire. Celle-ci s’est trouvée épinglée, sans aucun doute parce qu’elle s’est fait remarquer par son activisme. Combien d’autres continuent d’endoctriner des enfants qui ne se sentiront jamais français ?

    Le problème n’est pas celui de la liberté d’enseigner. Il réside dans la place de l’islam dans notre pays. En continuant à considérer qu’il s’agit d’une simple religion qui peut cohabiter avec d’autres religions, sans que l’État n’y mette le nez en raison de sa neutralité spirituelle, nous nous condamnons. On ne le répétera jamais assez : il s’agit d’un système de pensée holiste, qui englobe tous les aspects de la vie sociale, sans distinction aucune entre Dieu et César.

    Ainsi, si le ministre a raison en traitant cette école de salafiste, et en mettant en œuvre les moyens nécessaires à sa fermeture, il ne voit pas plus loin que le bout de son nez en se limitant à cela. Mais peut-on demander à un adepte de la religion laïco-républicaine de comprendre que son dogme artificiel n’a aucune chance, mais vraiment aucune, d’atteindre ces gens-là ?

    La réponse est dans la question.

    François Teutsch

    https://www.bvoltaire.fr/une-ecole-salafiste-j-m-blanquer-ne-voit-pas-plus-loin-que-le-bout-de-son-nez/

  • Charia et « école à la maison » :les limites de la liberté religieuse en Europe

    Charia et « école à la maison » :les limites de la liberté religieuse en Europe

    Toute l’équipe du Centre européen pour le droit et la justice se retrouve sur RCF pour aborder l’actualité européenne.

    Les parents ont-ils le droit de faire l’école à la maison ? Aussi étonnant que cela puisse paraître, ce droit est reconnu en théorie, mais n’est pas garanti en fait. La loi islamique peut-elle s’appliquer en Europe ? C’est une question qui peut paraître surréaliste, et pourtant, elle se pose aujourd’hui avec une acuité sans précédant.

    https://www.lesalonbeige.fr/charia-et-ecole-a-la-maison-les-limites-de-la-liberte-religieuse-en-europe/

  • Guilluy : « La société multiculturelle est paranoïaque. Tout le monde pense être victime de tout le monde. Il n’y a jamais de satisfaction générale »

    ENTRETIEN. Pour le géographe, le repli identitaire est une conséquence logique du modèle multiculturel, arrivé dans les bagages de la mondialisation.

    Le Point : L’absence de mixité sociale et ethnique est souvent désignée comme la principale cause des replis qui fracturent le pays…

    Christophe Guilluy : Ce n’est pas parce qu’un quartier est multiethnique que les réseaux de sociabilité sont mixtes. Lorsqu’un quartier se gentrifie, on observe un vrai phénomène de séparatisme social. Prenons l’exemple des collèges dans l’Est parisien. On a constaté que le processus de gentrification des quartiers s’accompagnait toujours d’une ethnicisation des collèges. Cela signifie que des gens plutôt ouverts au modèle multiculturel peuvent aussi être acteurs de la ghettoïsation des quartiers.

    (…)

    Pensez-vous que le séparatisme culturel soit devenu inéluctable ?

    La société multiculturelle est profondément paranoïaque et le séparatisme s’inscrit naturellement en mouvement de fond des sociétés inégalitaires multiculturelles. Tout le monde pense être victime de tout le monde, mais il n’y aura jamais de satisfaction générale. Dans un monde où l’autre ne devient pas soi, on a besoin de savoir combien va être « l’autre ». La question du rapport entre majorité et minorités joue à plein. Pourquoi ? L’histoire juive est éclairante : quand on est minoritaires, on dépend de la bienveillance de la majorité.

    Comment expliquer cette flambée des discours identitaires ?

    Une société paranoïaque où personne ne sera jamais complètement satisfait de son sort est une société où tout le monde se croira toujours en danger culturel. Cela crée des angoisses. Il y a une forme d’utopie de la société « united colors of Benetton ». Ce mythe est plein de naïveté. (…)

    (…) Le Point

    http://www.fdesouche.com/1200795-guilluy-la-societe-multiculturelle-est-profondement-paranoiaque-tout-le-monde-pense-etre-victime-de-tout-le-monde-il-ny-a-jamais-de-satisfaction-generale

  • Pacte de Marrakech « non contraignant » : la bonne blague !

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    Le « Pacte de Marrakech » a déjà suscité de multiples réactions. Deux points sont ici plus particulièrement développés par Antraigues (ancien élève de l’Ecole Polytechnique et contributeur à Polémia) : la stratégie de contournement des peuples occidentaux, et singulièrement de la France, par la combinaison d’un « gouvernement des juges » et de traités internationaux, stratégie dans laquelle il s’insère à l’évidence, et le boulevard ouvert à l’islamisme dans le monde occidental par la politique d’accueil « inclusive » retenue comme devant être la règle.

    Les Français, jamais consultés

    De décennies d’immigration massive, en France et dans d’autres pays d’Europe occidentale, de populations de civilisations très différentes de la nôtre ont résulté, dans presque tous les domaines, d’inextricables problèmes, dont ceux posés spécifiquement par l’islam.

    Pourtant non seulement les Français n’ont jamais été consultés, mais de plus tout a été organisé pour les mettre autant que possible devant le fait accompli.

    L’analyse fait ressortir le rôle clé joué, en parfaite synergie, par le « gouvernement des juges » et des traités internationaux en général signés dans la plus grande discrétion (et dont la portée véritable échappe généralement de toute façon aux non spécialistes), le dernier en date étant le « Pacte de Marrakech », pour lequel la discrétion n’a pu toutefois être conservée.

    Les juges contre le peuple

    Ce « gouvernement des juges » (on peut aussi sans exagération aucune parler de « dictature des juges », car il viole le principe fondamental de la séparation des pouvoirs), exploite la possibilité qu’ont de fait les instances statuant en dernier ressort (le Conseil Constitutionnel, le Conseil d’Etat et la Cour de Cassation), par leurs jurisprudences, de modifier la réglementation, la loi, voire la Constitution. Du moins lorsqu’il n’y a pas de réaction du gouvernement, des partis au pouvoir, et des médias. Mais l’absence de réaction est à peu près certaine lorsque, comme c’est le cas en France, les mêmes intérêts et les mêmes réseaux d’influence, qui tiennent par ailleurs les médias, tiennent aussi depuis des décennies le gouvernement, les partis « de gouvernement », et certains syndicats : il est impossible que cela n’influe pas sur les nominations aux postes clés de la magistrature, qui sont de toute façon un enjeu de pouvoir majeur, et que ne s’installe une situation de connivence généralisée.

    La signature de traités internationaux peut influer de deux façons sur le droit français :

    D’une part, lorsqu’ils sont « juridiquement contraignants », parce qu’ils s’imposent explicitement aux juridictions françaises (une anomalie de la Constitution française étant la rédaction de son article 55, qui permet de les placer au-dessus de la loi française). C’est ainsi que, tout ou presque étant maintenant judiciarisé, la France n’a plus la maîtrise de ce qui se passe sur son propre territoire, puisque cela dépend des décisions de Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) et de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CDEH), dont les domaines de compétence recouvrent en particulier tout ce qui touche à l’immigration et à la lutte contre l’islamisme.

    D’autre part parce que, correspondant à des engagements de la France, même « juridiquement non contraignants », ils sont une source toute trouvée de jurisprudences pour les instances françaises, ce qui peut permettre le moment venu de dynamiter des pans entiers de la législation et de la règlementation nationale et, à tout le moins, entrave toute évolution allant à leur encontre.

    Soumission française aux traités internationaux

    La combinaison de signatures de traités internationaux et de gouvernement des juges, par les discrets coups d’Etat qu’elle permet en tant que de besoin, est évidemment la stratégie idéale de contournement du peuple français pour l’introduction d’abandons de souveraineté. Elle est appelée un grand avenir, le « gouvernement mondial »dont l’urgence nous est chaque matin rappelée ne pouvant guère être mis en place que de cette façon.

    Parfaitement rodée en France (quiconque cherche à s’y opposer se voit de plus instantanément accusé de « s’attaquer à l’état de droit »), elle a ainsi permis, malgré une opinion publique de plus en plus sensibilisée, aux flux migratoires de continuer à augmenter, et à l’islam de continuer tranquillement à envahir la vie publique.

    Insistons sur le fait, qu’il faut bien avoir présent à l’esprit, notamment en ce qui concerne le « pacte de Marrakech », que la dépendance réelle d’un pays aux traités internationaux (et en particulier aux décisions de la CJUE et de la CDEH), est très différente d’un pays à l’autre, car elle dépend de l’organisation de son droit interne, dont, en tant qu’état souverain, il est le seul maître. La situation de la France est celle de la dépendance maximum, à l’exact opposé de celle de l’Allemagne, qui est par ailleurs à ce jour la grande bénéficiaire de la « construction européenne » : pour la Cour de Karlsruhe, seuls les états nation sont dépositaires de la légitimité démocratique, et la loi allemande se trouve donc au-dessus des traités internationaux, à l’exact opposé de la situation française. La Commission Européenne, la CJUE ou la CDEH peuvent bien décider ce qu’elles veulent, ce n’est applicable, sur le territoire allemand, que si c’est compatible avec la loi nationale, ou après transposition dans cette dernière, ce qui nécessite alors qu’ait été vérifiée la conformité à la Loi Fondamentale allemande, qui est la norme suprême.

    Le Pacte de Marrakech, un texte ahurissant

    La signature du « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières », appelé « Pacte de Marrakech », s’inscrit totalement dans cette stratégie de contournement du peuple français, la politique générale d’Emmanuel Macron consistant, de façon devenue totalement décomplexée depuis qu’il est Président de la République, à piéger au maximum la France dans le mondialisme, en profitant de ce qu’il dispose pour le moment de tous les pouvoirs, et de ce que sur un tel sujet il peut compter sur un total soutien des grands médias.

    De telles bornes ont été franchies par ce texte ahurissant, qui n’engage en fait que les pays d’accueil, que le tiers des pays de l’UE et nombre d’autres pays occidentaux ont refusé de le signer les 10 et 11 décembre dernier à Marrakech, ce qui n’a évidemment pas empêché son adoption par l’ONU à New York le 20 décembre dernier, tous les pays musulmans et tous les pays du Tiers Monde, qui de toute façon ont la majorité, ayant voté dans ce sens.

    Le point le plus important n’est sans doute pas celui qui a été le plus souvent cité, à savoir que son objectif quasi explicite était la mise en place à terme d’une autorité chargée d’organiser les migrations, en s’appuyant sur un « droit des migrants » : cette autorité ne verra peut-être jamais le jour. Il est que les pays signataires ont reconnu un certain nombre de principes, et se sont engagés sur des objectifs, et cela dès maintenant, et que, au moins dans le cas de la France, en l’état actuel de sa situation, cela ne peut manquer d’avoir un influence sur l’évolution de leur droit interne.

    Il offre en outre un véritable boulevard à l’islamisme.

    Un boulevard pour l’islamisation de la France

    Le lecteur, effaré, constate en effet que la France, à Marrakech, s’est engagée à mener une politique d’accueil « inclusive », c’est-à-dire qui doit permettre aux populations immigrées de garder leur identité propre, à charge pour le pays hôte de s’organiser en conséquence. Ce qui, s’agissant de l’islam, seule religion à être aussi une doctrine politique réputée devoir régir le monde entier, ouvre un boulevard à l’islamisme, dont le communautarisme, par des mécanismes déduits de textes réputés d’origine divine figés pour l’éternité, et qui ont largement fait la preuve de leur efficacité, est justement le fer de lance dans les pays occidentaux.

    Une politique « inclusive » en effet très exactement de nature à balayer ce qui reste en France de la « digue de la laïcité », pour reprendre l’excellente expression de Malika Sorel (la laïcité étant ici entendue ici au sens où il faut l’entendre, c’est-à-dire au sens où, dans la vie publique, tous les individus, quelle que soit leur religion, doivent respecter les mêmes lois et les mêmes règles, à l’exception éventuellement, bien sûr, des religieux dûment reconnus comme tels).

    C’est de cette digue, qui est très largement une spécificité française, qu’il résulte que, comme l’ont montré les analyses de Malika Sorel, la France, si préoccupante que soit sa situation, et si fissurée que commence à être cette digue, est le grand pays occidental qui a le mieux résisté à l’islamisation, alors même qu’elle est, et de loin, celui qui a la plus importante population musulmane ou d’origine musulmane. Elle a permis d’éviter que cette dernière ne se retrouve livrée pieds et poings liés aux islamistes, et a limité dans une certaine mesure son auto ségrégation. Elle représente la seule chance qui nous reste d’éviter la catastrophe. François Hollande et Gérard Collomb n’ont-ils pas évoqué, dans un contexte qui excluait que ce soit par calcul politique, l’un une future partition, l’autre une guerre civile ?

    A contrario les politiques d’accueil « inclusives » de la Grande Bretagne et du Canada sont de remarquables exemples du désastre qui en résulte dans le cas d’une immigration musulmane.

    Le traité de trop ?

    Peut-être le Pacte de Marrakech aura-t-il été le traité de trop. Ce texte caricatural, qu’il faut absolument lire, décrédibilise totalement non seulement l’actuel gouvernement, mais tous les partis politiques qui l’ont soutenu, ou qui simplement ne l’ont pas condamné, à savoir tous les partis politiques, à l’exception des partis souverainistes, à savoir le RN, DLF, l’UPR et les Patriotes.

    Il est évident que sa dénonciation, qui en soi ne pose techniquement aucun problème, devra être l’une des premières tâches d’un véritable gouvernement d’alternance.

    Bien évidemment, le chantier auquel devra s’attaquer, ne pourra pas s’arrêter évidemment là : il est essentiel de remettre la loi nationale au-dessus des traités internationaux, de façon à ce que la France puisse se trouver, comme l’Allemagne (et probablement l’immense majorité des pays de la planète), dans une situation où elle reste juridiquement maîtresse de son destin.

    Antraigues

    Tribune reprise du site Polémia

    https://fr.novopress.info/214418/pacte-de-marrakech-non-contraignant-la-bonne-blague/#more-214418

  • Vincent Lambert : les trois principaux mensonges des media officiels

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    1er mensonge : seuls les parents voudraient poursuivre les soins en faveur de Vincent Lambert

    En réalité, une partie de ses frères et soeurs et d’autres proches (dont une de ses cousines que je connais personnellement) sont en faveur de la poursuite des soins.

    Par ailleurs, son comité de soutien regroupe 110 000 personnes.

    Citons ici une partie de l’interview de Maître Jean Paillot, l’un des avocats des parents de Vincent LAMBERT (novembre 2018)

    “Nous ne cessions de dire que l’alimentation et l’hydratation entérales de Vincent Lambert ne relevaient pas d’une obstination déraisonnable ou d’un acharnement thérapeutique. Enfin trois experts le disent. Ils confirment également le fait que Vincent peut être transféré dans un établissement spécialisé, ce qui serait une solution de sagesse. Il peut même être dans sa famille avec un montage médical relativement léger. (…)”

    2e mensonge: Vincent Lambert est dans un état végétatif

    D’une part, l’état végétatif est impossible chez l’être humain. En effet, nous avons une âme, nous ne sommes pas qu’un corps! De plus, Vincent Lambert n’est pas dans le coma, mais dans un état pauci-relationnel (conscience limitée).

    3e mensonge: Aucun médecin ne veut le soigner

    En réalité, 70 médecins ont indiqué dans un article du Figaro du 18 avril 2018 que Vincent n’était pas en fin de vie (d’ailleurs, son accident a eu lieu en septembre 2008, il y a presque 11 ans… plutôt long pour une fin de vie! Par ailleurs, plusieurs centres de soins spécialisés sont prêts à l’accueillir.

    https://www.medias-presse.info/vincent-lambert-les-trois-principaux-mensonges-des-media-officiels/107748/

  • Moscovici, Blair et Soros : une réunion contre le Brexit ?

    Moscovici, Blair et Soros : une réunion contre le Brexit ?

    Lu sur RT cette nouvelle magouille de la Commission européenne :

    Selon le site d’information EUobserver, spécialisé dans les actualités de l’Union européenne (UE), la Commission européenne aurait volontairement occulté, en partie, le contenu d’une rencontre ayant eu lieu lors du 49e Forum économique mondial de Davos entre le milliardaire George Soros, l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair et le commissaire européen Pierre Moscovici. Les trois protagonistes se seraient rencontrés au sujet d’«un second référendum sur le Brexit».

    Après avoir demandé, fin janvier 2019, l’accès au contenu de cette discussion, le site EUobserver explique en effet s’être heurté à un refus partiel de la Commission européenne, celle-ci ayant répondu par courriel deux mois et demi plus tard. Citant dans un tweet la réponse de l’exécutif européen, le site d’information a ainsi écrit le 25 avril : «La nécessité de protéger le processus de décision de l’UE est plus importante que tout intérêt public, dans ce qui a été discuté à propos du Brexit.»

    De fait, dans sa réponse adressée à EUobserver, la Commission européenne s’est opposée au fait de divulguer «certaines parties d’un document [qui] pourraient affaiblir le processus décisionnel de l’institution». Les trois hommes en question n’ont jamais caché leur position quant au choix des citoyens britanniques de quitter l’UE, allant même parfois jusqu’à jouer un rôle particulièrement actif dans la campagne anti-Brexit, qui persiste malgré le référendum de juin 2016.
  • Religion de paix et d’amour : 146 811 victimes pour 31 221 attentats islamistes depuis le 11/09/01

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    Les chiffres sont éloquents… Voici le lien vers le document intégral : Die Welt am Sonntag – 28-04-2019

    Il ne faut pas faire de lien avec la religion au nom de laquelle sont menées ses attaques.

    Par contre, l’attaque menée par un Blanc contre une mosquée en Nouvelle-Zélande permet de condamner et de réprimer tout ce qui touche au refus de l’immigration dans les pays blancs.
    Voir la suite

  • Qui tire les ficelles des gilets jaunes ?

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    Ce papier date d’hier car, aujourd’hui, 1er mai, je n’écrirai pas. J’ai quitté mon « chez-moi » pour éviter les échauffourées qu’on annonce d’ores et déjà sous mes fenêtres. Il paraît que le défilé de la fête du Travail va être chaud et le soleil du Var n’y est pour rien. « Convergences des luttes » et « Faut qu’ça pète » au menu, commerces en berne, rideaux baissés, castagne et pastaga, dansons la carmagnole, les aristos à la lanterne…

    Tant pis si je me répète : je le dis, le redis et le reredis, ras le bol !

    Dans l’édito publié le 28 avril sur ce site, Henri Temple s’interrogeait à propos du référendum et posait cette question : « les hautes castes contre le peuple ? » En préambule, il écrivait « Quand l’inculture politique, économique et juridique s’étend, la démocratie régresse et le malheur progresse. » Doux euphémisme… Aimablement, courtoisement, en homme formé aux humanités, il poursuivait : « Quant aux foules désespérées et résolues qui manifestent tous les samedis, si leur juste attente doit nous interpeller toutes affaires cessantes, ce n’est pas pour autant que les formulations de cette attente sont heureuses. »

    Qu’en termes choisis ces choses-là sont dites.

    Je suis plus triviale : ce qui s’étale chaque jour davantage, c’est non seulement l’inculture politique, économique et juridique, mais aussi la bêtise crasse, vindicative et, hélas, de plus en plus haineuse. J’en veux pour preuve cet autocollant placardé partout :

    « Je dis oui au référendum d’initiative citoyenne
    OUI au RIC
    Constituant – Législatif – Abrogatif – Révocatoire
    En toutes matières »

    Vaste programme, et programme criminel !

    Henri Temple se demande : « Qui a conseillé aux gilets jaunes de réclamer un RIC ? » Moi aussi, je me le demande, car pour atteindre ce sommet de dangereuse absurdité, les mots ont été bien choisis et supposent une maîtrise du vocabulaire qu’on ne décèle guère sur les ronds-points.

    Alors oui, qui est assez fou pour faire croire à de braves gens que la Constitution et la loi se tricotent et se détricotent à l’envi et à l’envie ; qu’il suffirait d’un gigantesque micro-trottoir pour décider des orientations de la nation, changer le chef de l’État et les institutions ? En toutes matières ! Et c’est « Jojo le Gilet jaune », comme dit le Président, qui déciderait en matière d’éthique, de budgets de recherche peut-être, de Justice… Lui qui ferait et déferait la réglementation, ferait valser les têtes et araser toutes celles qui s’aviseraient de dépasser un peu. Camps de travail, confessions publiques et rééducation pour les élites. Et que ça saute !

    Ce n’est rien d’autre que le rêve d’un État totalitaire. On a connu cela : révolutions prolétariennes, quand on prétend donner les rênes au « peuple ». Staline, Mao, Pol Pot, Maduro…

    Le peuple en question est la dernière supercherie christique d’une extrême gauche démonétisée, comme l’ont été avant lui « les ouvriers », puis « les immigrés ». Il est le corps souffrant, pur par nature, intelligent par définition. Mais ce que « le peuple » ne sait pas, c’est qu’il est, surtout, le martyr de demain.

    C’est lui, toujours, qu’on envoie au casse-pipe pour l’avènement du Grand Soir qui jamais n’advient parce que ceux qui tirent les ficelles se sont rempli les poches. L’Histoire est un éternel recommencement…

    Marie Delarue

    https://www.bvoltaire.fr/qui-tire-les-ficelles-des-gilets-jaunes/

  • Traditions militaires, la prochaine bataille ?

    Salle des drapeaux, appelée familièrement « de la couronne », au Service historique de la Défense, château de Vincennes

    Par Thierry de Cruzy

    Dans un rapport parlementaire rendu public le 27 mars, les députés Christophe Lejeune (LREM) et Bastien Lachaud (FI) s’attaquent aux traditions militaires sous prétexte de lutter contre les discriminations.

    Les députés dénoncent le caractère religieux de certaines fêtes ancrées dans les traditions : « Nous croyons utile de veiller à un strict respect de la neutralité. La laïcité et la neutralité prémunissent de tout mélange des genres préjudiciable à la cohésion du groupe ». Leur objectif n’est pas seulement les traditions, ni la religion.

    Contre la croix et le croissant ?

    Pour eux « Les moyens généraux sont en effet trop souvent utilisés pour envoyer des invitations à des cérémonies catholiques. Il n’est pas rare que le courriel d’invitation à la messe en l’honneur du saint patron soit envoyé depuis la boite mail de l’unité ou depuis celle du commandant. » On se croirait revenu aux temps de l’affaire des fiches avec la chasse aux officiers allant à la messe. Dans cette logique, les députés devraient interdire les insignes avec des croix : latine (7e Brigade blindée, 1er RI, 1er RHP, …), lorraine (2e Brigade blindée, 9e DIMa, RICM, 13e DBLE, commandos marine, …). Les décorations, comme du temps des héritiers de la Révolution, devront uniquement être des croix à cinq branches sur le modèle de la Légion d’honneur. Ils ne devront pas oublier les autres symboles confessionnels comme le croissant, la croix d’Agadès ou l’étoile chérifienne. Car l’armée française respecte les croyances des soldats qui combattent dans ses rangs. La sacralisation de ses symboles n’est pas seulement l’expression de croyances, elle est légitimée par le sang des soldats. Le culte du sang et des morts est le ciment des armées. Il est sur les autels catholiques comme il est à l’Arc de triomphe dans sa forme d’autel (4 pieds et 1 plateau), les noms gravés sur ses faces et la flamme du Soldat inconnu régulièrement ranimée. « Sans le cérémonial, tout meurt » a dit Jean Cocteau, y compris l’autorité elle-même.

    Les traditions militaires ne font que refléter celles du pays. Les éliminer serait comme détruire des forteresses immatérielles, effondrant un dispositif aussi invisible qu’indispensable de l’outil de défense. Comme le fait remarquer le Gal Pinard-Legry, président de l’Association de soutien à l’armée française : « C’est ignorer l’importance que revêt l’esprit de corps au combat et qui est fondé pour une large part sur le culte des valeurs et des traditions. » Il faut être bien étranger aux questions militaires pour ne pas mesurer ce que représente la Saint-Michel pour les parachutistes ou Noël pour les légionnaires.

    Les grandes manœuvres contre les traditions

    L’armée est régulièrement la cible d’offensives destinées à saper la cohésion des troupes, quelques exemples parmi les plus récents : novembre 2018, opération de débaptisation de la promotion Général Loustaunau-Lacau des élèves-officiers de l’Ecole spéciale militaire ; septembre, reconnaissance par le Président de la République « que Maurice Audin a été torturé puis exécuté ou torturé à mort par des militaires » ; mars, campagne contre les agissements sexistes au lycée militaire de St-Cyr-l’Ecole.

    Encore une fois, ce sont les traditions de l’ESM qui sont dans le collimateur de ces deux députés : « On peut citer aussi la journée de cohésion, organisée au Mont Saint-Michel par les saint-cyriens, et qui donne lieu à un baptême du sabre ou du casoar. Dans une telle journée, dont l’acmé est manifestement cette cérémonie, on peut s’interroger sur la possibilité de s’éclipser pour manifester sa différence. Autre incongruité : la participation des saint-cyriens à une cérémonie d’accueil de l’anneau supposé de Jeanne d’Arc au Puy-du-Fou ! ». Les écoles sont les cibles privilégiées de ces attaques car les traditions militaires y sont enseignées et transmises aux plus jeunes, ceux qui formeront l’armée de demain. Leurs traditionnels bahutages excitent périodiquement les garants de valeurs républicaines. Ainsi lancée au sein de l’Assemblée nationale, cette offensive vient soutenir toutes les précédentes. Et ce n’est pas un hasard si elle s’en prend ainsi à certaines des plus anciennes mémoires françaises, en effet, ces traditions militaires sont entretenues par des “familles tradi”, transmises et entretenues à travers les générations, les plus anciens ayant quitté le service depuis longtemps restant en contact avec ceux qui sont sous les armes, ainsi qu’avec ceux qui s’y destinent. Ces lignées mémorielles, qui n’ont rien de confidentiel mais n’ont pas vocation à être médiatisées, assurent la transmission de valeurs professionnelles françaises transcendant les individus comme les institutions. En affaiblissant ces structures, c’est toute l’armée qui perdrait en efficacité, ces députés peuvent l’ignorer, pas ceux qui les commanditent.

    La haine de l’ordre

    Ainsi ces campagnes ne sont que l’expression de la vieille haine contre le monde militaire et l’ordre qu’il représente, en 2013 celle du compagnon de Cécile Duflot très fier de boycotter l’invitation au défilé du 14 Juillet pendant que la ministre distribue son quota de Légions d’honneur ; celle des porteurs de valises des terroristes du FLN pendant la guerre d’Algérie ; celle des militants communistes partant, au cours des hostilités, conseiller l’encadrement des camps viet-minhs au taux de mortalité supérieur à celui des camps nazis ; celle du PCF en 1939 avec les sabotages et désertions alors que le pays est en guerre.

    Les traditions militaires ont été élaborées par ceux qui acceptent l’éventualité de la mort pour défendre le pays. Un risque qui n’est pas inhérent à toutes les professions. Bien éloigné des préoccupations matérielles ordinaires, il impose certaines règles moyennant la liberté d’adopter une conception surnaturelle de l’existence.

    Les traditions militaires ne sont pas constituées d’éléments interchangeables au gré de majorités politiques volatiles. Elles ne sont pas adoptées par un quelconque vote, elles ne peuvent pas être mises à jour comme un simple logiciel, pas plus qu’elles ne seraient disponibles “sur étagère”. A l’instar des monuments, les traditions s’inscrivent dans la mémoire longue des peuples, résultat de consensus collectifs que le législateur ne peut que désorganiser. Les mêmes politiques qui ont supprimé les frontières pour mettre les soldats dans les rues relancent les hostilités contre les traditions militaires, la longue mémoire de l’armée, l’ossature de sa cohésion. Ils mènent l’attaque depuis l’Assemblée nationale avec un député de la majorité présidentielle. Ce n’est donc pas un combat de rencontre.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/05/01/traditions-militaires-la-prochaine-bataille-6147626.html

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