Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 841

  • Google : ton univers impitoyable. Le cas Breizh-Info

    Google : ton univers impitoyable. Le cas Breizh-Info

    Après avoir permis l’émergence d’une information alternative de qualité, Google est-il en train de la tuer ? Les mésaventures rencontrées par nos confrères de Breizh-Info semblent faire pencher la balance en faveur du “oui”.

    NOVOpress 05/09/2019 – Créé en 2013, Breizh-Info est un site web d’actualités traitant “de l’information bretonne et internationale”. Fort de plusieurs centaines de milliers de visites mensuelles, réalisant un travail quotidien d’information de qualité, factuelle, sourcée, le site était jusqu’à il y a peu indexé dans Google Actualités, au même titre que Le FigaroLe Télégramme ou Ouest-France. Cela n’est plus le cas depuis cet été.

    Dans un appel à ses lecteurs paru ce jour, le média breton s’interroge sur les raisons qui ont poussé Google à le bâillonner : “Plusieurs techniciens de la société nous ont d’abord assuré qu’il s’agissait d’un souci technique. Un détail non corrigé en trois semaines ? Techniquement, Google nous a habitués à plus d’efficacité ! Selon toute probabilité, le déréférencement résulte en fait d’une campagne de pressions menée auprès de la société américaine afin de nous exclure de Google Actualités.”

    Victime de son succès ?

    Fort de son influence, Breizh-Info s’est créé de très forte inimitiés, certainement justifiées : une ligne éditoriale de droite assumée, très critique de l’immigration, dans un paysage médiatique breton ouvertement marqué à gauche ; et un lectorat conséquent, émiettant le monopole d’une PQR en difficulté, quand elle n’est pas sous perfusion…

    Cela n’a pas échappé au “grand quotidien de référence” Le Monde qui, fort de ses millions de subventions, s’en est même pris à plusieurs reprises au média local breton, qualifié de “vrai faux site d’info” par “Les Décodeurs” (Breizh-Info n’a pourtant jamais publié de “fake news” contrairement à Ouest-France ou au Monde).

    De là à penser que Google aurait cédé à une forme de pression idéologique, il n’y a qu’un pas, que n’hésitent pas à franchir les rédacteurs de Breizh-Info : “Jamais condamné, jamais poursuivi, bien informé, notre site est clairement victime d’une discrimination idéologique.”

    Pot de terre (breton, donc solide) contre pot de fer “Google”

    Quelles parades mettre en œuvre ? Comment un “petit” média breton pourrait-il forcer la main du géant américain ?

    Les rédacteurs de Breizh-Info ont bien l’intention d’aller jusqu’au bout avec Google : en poursuivant leur travail irréprochable tout d’abord, qui leur permettra de justifier de leur présence dans Google News.

    Ensuite, par la mise en lumière de cette situation, qui n’est pas vraiment au bénéfice de Google (ces grandes plateformes n’apprécient pas que soient publiquement exposés les cas censures qu’elles pratiquent, comme ce fut récemment le cas avec Facebook pour l’Observatoire du journalisme).

    Enfin, par la recherche d’alternatives techniques à Google et aux réseaux sociaux : à ce titre, la newsletter, qui semblait passée de mode, semble l’ultime rempart à la censure arbitraire des GAFAM.

    Pour aller plus loin, ne pas hésiter à consulter les dossiers et actualités de l’Observatoire du journalisme : ojim.fr

    https://fr.novopress.info/

  • Invasion, l'organisation

    Résultat de recherche d'images pour "migrants méditerranée"
     
    Bruno Pacchiele
    Je relaye cette Information à vérifier, mais qui semble plausible. De toutes façons qui pose questions et fait réfléchir...
    Concernant les migrants, plusieurs questions de bon sens :
     Comment leurs téléphones peuvent continuer à fonctionner dans un pays à moitié détruit, sur une barque, etc....
      Comment sont payés les abonnements ?
      Où les téléphones sont-ils branchés après un séjour en mer de plusieurs jours sans prise électrique à bord ?
      Comment les caméras des Journalistes sont là et au bon moment et cela même en pleine mer ?
    Voici l'explication : Voilà comment ça marche. 
    Le coup du téléphone satellitaire bien rôdé, miraculeux même ! 
    Sur mon Journal quotidien ce matin, mon attention fut attirée par une grande photo montrant des naufragés clandestins voguant sur un canot pneumatique. 
    Banal, me direz-vous, on ne parle plus que de ça, je décide donc de tourner la page. 
    Mais c'est à ce moment que la Légende incrustée dans la Photo m'interpelle : "en pleine mer, ils appellent Strasbourg!!" 
    Des migrants en détresse peuvent composer un numéro d'appel téléphonique (0033486517161) dont le destinataire est le Bureau strasbourgeois de l'Association des Travailleurs Maghrébins de France. J’ai appelé moi-même ce matin ce téléphone. 
    Une femme m’a répondu pour savoir si j’avais un problème avec un bateau ! 
    Essayez par vous-même vous verrez ! 
    Là, un correspondant décroche, demande la position du bateau, le nombre de personnes à bord, s'il y a des blessés, etc... 
    Son collègue transfère le Message aux Garde-Côtes de l'Organisation FRONTEX Organisme EUROPÉEN de Surveillance des Frontières de l'Europe, pour que le Bateau soit secouru le plus rapidement possible, et ensuite pour s'assurer que les Garde-Côtes se portent bien au Secours des Migrants en difficultés. 
    Ces Appels au Secours sont planifiés bien à l'avance par le Collectif "Watch the Med" qui distribue aux candidats à l’Émigration des cartons comportant un N° de Téléphone et l'intitulé du Collectif. C'est écrit en Anglais, Arabe, Français et Persan. 
    Au verso, il est précisé que s'ils n'étaient pas rapidement secourus, le Collectif ferait pression sur les médias et les politiques. 
    Il y a aussi des contacts au Maroc et en Tunisie où les cartons sont distribués sur place. 
    On en distribue même à Calais, Vintimille et d'autres lieux en Europe. 
    Vous pourrez faire remarquer qu'ils sauvent des vies humaines. 
    Vous n'allez pas nous faire croire que ces gens ne connaissent pas les risques encourus. 
    Ils viennent peut être du fin fond de la Somalie, mais ils regardent aussi les informations télévisées et savent exactement ce qui les attend. 
    Et puis, on parle surtout de ceux qui sont en détresse (forcément, quand on monte à 200 sur un bateau prévu pour 20), mais combien d'entre eux passent sans trop d'encombres sauf dans la dernière ligne droite, car le truc est bien connu désormais. 
    On provoque une avarie de moteur et on appelle le numéro de Strasbourg par téléphone satellitaire, facile ! 
    Les garde-côtes embarquent tout le monde et une heure plus tard tous les passagers mettent les pieds dans une Europe où ils seront inexpulsables. 
    Comme ils n'ont effectué aucune formalité pour obtenir une autorisation de séjour, de migrants, ils sont passés au stade de clandestins. 
    Ainsi donc, sous couvert d'une action humanitaire, un collectif ayant pignon sur rue en France, et relayé par l'association des travailleurs maghrébins de Strasbourg organise l'immigration clandestine en Europe et par conséquent dans notre pays, sans que cela n'émeuve personne ! 
     Ainsi donc, ce collectif et cette association sont un maillon de la grande chaîne des passeurs que notre ministre de l'intérieur promet à moultes reprises de sanctionner avec la plus grande sévérité (Pipeau) 
     Jean-Louis Burtscher 
    À Faire suivre le plus possible , il faut informer le Peuple sur ce scandale que la Presse ne veut pas expliquer... et que les Associations arrêtent de nous sensibiliser sur cette affaire qui à moyen terme détruira le pays totalement soit en Guerre civile on commence déjà à avoir un aperçu avec les Banlieues et autres endroits de "squat"...

  • PMA : sur France info, Ludovine de la Rochère alerte sur la marchandisation de l'humain...

    Courageusement, clairement, brillamment... Ecoutez, et participez à la manif du 6 octobre à Paris :

    https://www.francetvinfo.fr/societe/mariage/mariage-et-homoparentalite/video-pma-on-va-demultiplier-les-besoins-en-gametes-masculins-alors-que-nous-n-en-avons-pas-suffisamment-selon-la-manif-pour-tous_3592389.html

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Suite à la condamnation des identitaires : un entretien avec Jean-Yves Le Gallou

    Jean-Yves-Le-Gallou-justice-identitaires-588x330.jpg

    Source Polémia cliquez ici

    Au lendemain de la scandaleuse condamnation de trois jeunes identitaires à six mois de prison ferme et 75 000 euros d’amendes pour avoir conduit une action de défense de la souveraineté des frontières françaises dans les Hautes Alpes, l’émoi ne retombe pas. Entretien avec Jean-Yves Le Gallou sur cette actualité brûlante et sur le rôle de la justice dans ce verdict inique.

    Polémia : La condamnation des militants identitaires a déclenché une tempête de protestation sur les réseaux sociaux. Certains internautes sont allés jusqu’à souhaiter une épuration du corps judiciaire. Qu’en pensez-vous ?

    Jean-Yves Le Gallou : Pour aussi choquante qu’elle puisse paraître, la question n’en est pas moins légitime. D’abord au regard de la démocratie.

    Aujourd’hui, le corps judiciaire rend des décisions idéologico-politiques profondément contraires à l’idéal de liberté et à la volonté populaire :

    • En appliquant avec beaucoup de zèle des lois liberticides : poursuites, voire condamnations, pour de simples délits d’opinion de Menard, Camus, Zemmour et tant d’autres. Des lois pénales liberticides qui ne sont pas appliquées de manière restrictive mais au contraire de manière extensive.

    • En montrant une extrême indulgence pour les étrangers clandestins, leurs passeurs et leurs complices (affaire Herrou notamment).

    • En prononçant de sévères peines de prison pour des délits politiques, comme on l’a vu hier pour les Gilets Jaunes, aujourd’hui pour les Identitaires, et sans doute demain pour la Manif pour tous.

    • En étant d’une grande mansuétude avec beaucoup de délinquants immigrés et en refusant toute forme de légitime défense.

    • En faisant instruire exclusivement à charge beaucoup d’affaires politiques (Sarkozy, Guéant, Marine Le Pen, Melenchon) par des juges militants (Buresi, Tournaire et tant d’autres).

    De plus en plus de Français ont le sentiment que la « justice » n’est plus rendue en leur nom mais au nom de préjugés idéologiques et politiques et de lobbys étrangers. La «justice » est en train de perdre sa légitimité démocratique. C’est grave !

    Polémia : Mais n’est-il pas encore plus grave de parler d’épuration ?

    Jean-Yves Le Gallou : Regardons l’histoire ! La magistrature actuelle – administrative et judiciaire – est la fille de quatre épurations.

    Polémia : Vous pensez à Vichy, à 1940

    Jean-Yves Le Gallou : Pas seulement ! Il y eut, de fait, peu d’épuration judiciaire sous Vichy puisque la quasi-totalité des magistrats prêta, sans problème, serment de fidélité au maréchal Pétain… Des magistrats dont beaucoup furent d’ailleurs de zélés épurateurs des collaborateurs… en 1945.

    La nature humaine est ce qu’elle est… Et l’appât des postes et des décorations est un puissant facteur de soumission.

    Polémia : Il y eut d’autres épurations, plus « républicaines » alors ?

    Jean-Yves Le Gallou : Au XIXsiècle d’abord. Pas lors des bouleversements de 1830, 1848, 1852 et 1870 où le corps judiciaire fut respecté par les nouveaux pouvoirs. Mais en 1883, pour conforter la République. L’épuration de la Magistrature donna lieu à des discours d’une rare violence de la part des députés républicains et déboucha sur une mise au pas brutale : 614 magistrats inamovibles furent mis à la retraite d’office ! Les « valeurs républicaines » n’ont pas été imposées par des bisounours…

    Polémia : Et ensuite ?

    Jean-Yves Le Gallou : Il y eut évidemment une épuration du corps judiciaire en 1945. 20 % des magistrats durent justifier leurs décisions et la moitié, soit 266, furent suspendus et la plupart révoqués.

    Polémia : Rebelote avec la guerre d’Algérie ?

    Jean-Yves Le Gallou : On ne peut pas vraiment parler d’épuration mais il y eut de sacrés remous au Conseil d’Etat et dans la haute magistrature judiciaire.

    Polémia : Et aujourd’hui ?

    Jean-Yves Le Gallou : C’est plus subtil. Il n’y a pas de remise en cause de l’inamovibilité des magistrats. Mais des interdits professionnels relatifs.
    Je m’explique : un magistrat judiciaire ou administratif immigrationniste peut intervenir et militer dans une association immigrationniste et continuer à rendre des jugements y compris sur ces sujets-là.
    Un magistrat moins politiquement correct doit absolument se taire et être très prudent dans ses jugements. Sinon les médias et les syndicats d’avocats et de magistrats lui tomberont dessus comme on l’a vu dans l’affaire du juge Lagarde.

    C’est ce qui explique le deux poids, deux mesures des décisions judiciaires. Les magistrats politiquement corrects plastronnent, les conformistes les suivent, les autres rasent les murs…

    Polémia : La situation est-elle désespérée ?

    Jean-Yves Le Gallou : Non ! Les magistrats tiennent compte d’un triple rapport de forces : le pouvoir médiatique, le pouvoir politique et le pouvoir corporatif.

    Ces pouvoirs-là peuvent changer comme on le voit en Pologne et en Hongrie. Et en Italie, si Matteo Salvini a besoin de pouvoirs élargis, c’est bien pour pouvoir briser la dictature des juges sur l’immigration.

    Polémia : Une conclusion ?

    Jean-Yves Le Gallou : Aujourd’hui, en France, il ne faut utiliser le mot « justice » qu’avec des guillemets.
    Et ne pas se laisser enfariner par le mot « État de droit » qui n’est que le masque de la dictature idéologique de juges politiquement corrects à la remorque des médias de grand chemin.

    Entretien avec Jean-Yves Le Gallou 30/08/2019

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Génération Identitaire réclame l’expulsion du djihadiste algérien Kamel Daoudi

    Génération Identitaire réclame l’expulsion du djihadiste algérien Kamel Daoudi

    Kamel Daoudi est un Algérien déchu de la nationalité française condamné pour des faits liés au terrorisme. Kamel Daoudi fut condamné en première instance le 15 mars 2005 à neuf années d’emprisonnement, puis, en appel le 14 novembre 2005 à six années. Compte tenu de la durée de sa détention préventive, il est libéré le 24 avril 2008. En 2009, la Cour européenne des droits de l’homme interdit son expulsion vers l’Algérie en raison du risque de torture dans ce pays qu’il a quitté à l’âge de cinq ans. Depuis 2008, il est assigné à résidence. En 2017, il est contraint par l’État d’habiter dans un hôtel en Charente-Maritime à 450 km de sa famille. À l’occasion d’une question prioritaire de constitutionnalité posée par son avocat Bruno Vinay, le Conseil constitutionnel décide en décembre 2017 d’une censure partielle des dispositions encadrant les assignations à résidence : si celles-ci peuvent être illimitées, elles ne peuvent dépasser douze heures par jour et le lieu d’assignation doit tenir compte « du temps passé sous ce régime et des liens familiaux personnels noués par ce dernier », ce qui ouvrirait la porte à un rapprochement géographique de Kamel Daoudi de sa famille. Le 15 février 2019, il est assigné à résidence à Aurillac.

  • Attaque de Villeurbanne : des réactions médiatiques et politiques fort instructives

    gerard-collomb.png

    Une attaque a été perpétrée, samedi après-midi, à Villeurbanne, à la sortie d’un métro. L’agresseur était armé d’un couteau et d’une fourche de barbecue. Bilan : un mort et huit blessés, dont trois grièvement. Après son arrestation, le parquet de Lyon l’a placé en garde à vue pour « assassinat et tentative d’assassinat ». On a appris assez vite qu’il s’agissait d’un réfugié afghan, demandeur d’asile.

    On devrait en apprendre plus sur les motivations exactes de cet homme, mais le plus instructif, ce sont les premiers commentaires des médias, qui ont répété à l’unisson que la piste terroriste n’était pas privilégiée. Certes, tant que l’enquête ne l’a pas éclairci, on ne peut affirmer s’il s’agit d’un acte dicté par le fanatisme islamique ou de l’acte d’un « déséquilibré ». Mais n’est-ce pas tendancieux de privilégier une version plutôt que l’autre, dans la présentation de ce fait divers tragique ? Il suffisait de dire qu’on ne pouvait, à ce stade de l’enquête, déterminer avec certitude les motivations de cette agression mortelle.

    Les réactions politiques ne sont pas moins intéressantes. Gérard Collomb s’est dit « extrêmement choqué », tandis que Christophe Castaner a déclaré que « la police nationale est mobilisée, sous l’autorité du procureur de la République, pour faire toute la lumière sur l’agression » et que « [ses] premières pensées vont aux proches et à la famille du jeune homme qui a perdu la vie ». Bruno Bonnell, député LREM de Villeurbanne, a appelé sur LCI à la prudence dans l’interprétation de cette attaque, précisant qu’« on a malheureusement un climat qui tout de suite fait sortir la carte terroriste de tout acte d’agression ». Une prudence extrême, donc, pour ne pas admettre qu’il pourrait y avoir un lien entre le terrorisme et une immigration incontrôlée.

    D’autres personnalités politiques, notamment au Rassemblement national et à droite, ont mis les pieds dans le plat, se faisant accuser d’instrumentaliser cette affaire. Marine Le Pen a déclaré que « de nationalité afghane, l’un des suspects de l’attaque au couteau de Villeurbanne est par ailleurs […] un demandeur d’asile », mettant en cause « la naïveté et le laxisme de notre politique migratoire ». Même type de réaction du côté de Nicolas Dupont-Aignan, qui se demande « combien de temps les Français devront-ils encore supporter le laxisme migratoire du gouvernement », ou de Julien Aubert, candidat à la présidence LR, pour qui « il faut revoir de fond en comble ce droit [d’asile] qui est dévoyé, pour le réserver aux vraies victimes et ne pas en faire une passoire d’immigration illégale ».

    Car le problème est bien là. Qu’il s’agisse d’un individu aux intentions terroristes ou d’un « déséquilibré » (les deux ne sont pas incompatibles), on ne peut éluder la question de la politique migratoire. Est-il normal que des assassins en puissance puissent se retrouver sur le territoire français le plus légalement du monde ? Le fait que l’agresseur soit inconnu des services de police – sauf, selon BFM TV, pour son addiction aux stupéfiants – n’est guère rassurant : combien de personnes dangereuses circulent ainsi en France sans que la police ne soit au courant ? Quant à la thèse de la folie, elle reste bien fragile : quand on se poste à la sortie d’un métro, armé d’un couteau et d’une fourche de barbecue, cela ressemble beaucoup à de la préméditation.

    Le procureur devrait prochainement prendre la parole. On en saura peut-être un peu plus. Quoi qu’il en soit, le gouvernement commettrait une faute grave s’il ne s’interrogeait pas, à l’occasion de ce fait divers tragique, sur sa politique migratoire.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/attaque-de-villeurbanne-des-reactions-mediatiques-et-politiques-fort-instructives/

  • Yannick Jadot : « l’écologie au service de l’immigration »

    yannick_jadot_article_damocles-ecologie_immigration.jpg

    « Oui, on a le melon ». Les mots sont du secrétaire général d’Europe-Écologie les Verts, David Cormand, mais reflètent parfaitement l’état d’esprit du candidat aux Européennes, Yannick Jadot. Depuis ses 13,5% et sa troisième place en mai 2019, ce dernier ne touche plus terre.

    Dans un entretien au Monde début juin, il s’imagine même « conquérir et exercer le pouvoir » en 2022 en remportant l’élection présidentielle. Une boursouflure de l’égo qu’il est nécessaire de dégonfler en rappelant le parcours et les idées de Yannick Jadot.

    1) De la défense d’une Europe « multiculturelle » à l’islam

    Soutien de Daniel Cohn-Bendit aux Européennes en 1999, Jadot défend le « oui » au Référendum sur la Constitution européenne en 2005, à rebours du choix des Français. Parfaitement à l’aise dans le système en place, il fait passer sa vision de l’Europe avant l’identité nationale.

    Dans une tribune pour les élections européennes en 2014, le Vert dénonce le « pouvoir strictement national »et défend une Europe « subversive et multiculturelle ».

    Après avoir évoqué les étudiants qui doivent avoir la liberté d’aller à « Varsovie, Rome, Lille ou Coimbra », il enchaîne sur la liberté de « tomber amoureux d’un enfant de Tunisien né à Lampedusa ». La grande arnaque se dévoile au fil des mots : l’apologie de « l’Europe » n’est qu’un prétexte afin d’éliminer toute défense contre l’immigration massive.

    Aucune identité historique propre n’est défendue, malgré la richesse de notre héritage civilisationnel. L’Europe n’est vue que comme un immense terrain vague, baignant dans le relativisme culturel.

    « Le discours de la jeunesse, c’est le métissage » affirme Yannick Jadot le 12 avril 2017. C’est oublier la réalité des votes. Aux régionales en 2014, le Front National fait 35% dans les 18-24 ans, là où les écologistes ne font que 9%.

    En mars 2017, une étude du Cevipof révèle que ceux qui vont voter pour la première fois choisissent en priorité Marine Le Pen : 29,3% d’entre eux disent vouloir voter pour elle. Et cela se confirme à la présidentielle : les 18/34 ans sont 25,7% à avoir voté FN au premier tour, selon Opinionway.

    La « jeunesse » que se figure Yannick Jadot, c’est celle des grandes villes, où se concentrent les avantages économiques et dont les dirigeants ne cessent de faire du clientélisme avec les populations immigrées qui les entourent. Le système est international.

    En novembre 2012, des organisations islamiques signent un accord avec la ville de Hambourg afin d’offrir des jours fériés aux musulmans, une première en Allemagne. L’initiative est qualifiée d’ « intéressante » par Yannick Jadot qui « avait fait inscrire une proposition similaire dans le programme d’Eva Joly pour l’élection présidentielle » de 2012 rappelle Le Parisien.

    2) Un aveuglement total sur l’immigration

    « Il n’y a pas de submersion migratoire ». Les mots sont de Yannick Jadot au lancement de sa campagne pour les élections européennes, le 24 août 2018.

    Une position qu’il maintient jusqu’à la fin de la campagne, prétendant qu’il n’y a pas d’immigration massive en France, dans l’Émission politique sur France 2 le 4 avril 2019. Alors que huit Français sur dix considèrent que notre pays ne doit plus accueillir d’étrangers supplémentaires (sondage Ifop pour le JDD, 2018), Jadot n’en a cure.

    En septembre 2016, Yannick Jadot défend l’arrivée de « réfugiés » sur BFMTV. Il s’en prend notamment à Laurent Wauquiez, président LR de la région Rhône-Alpes, qui « nous explique qu’il ne peut pas accueillir 1000 réfugiés » dans sa région. Et de dérouler l’argument d’une simple arrivée de « 50 000 réfugiés dans notre pays », qu’il serait largement possible de « se répartir ». Mais comme tous les immigrationnistes, Jadot vit dans l’enfumage et l’amnésie permanente concernant la réalité de l’immigration.

    En 2014, près de 96% des déboutés du droit d’asile restent en France et ne sont pas reconduits à la frontière, selon les chiffres de la Cour des comptes rapportés sur LCI. Un pourcentage énorme et stable depuis lors, comme si nos lois n’avaient aucune importance, aucune effectivité.

    Loin des quelques centaines ou milliers de « migrants » que Jadot voudrait répartir, rien qu’en 2017, la France c’est 262 000 personnes admises au titre de séjour, 100 000 demandeurs d’asile, près de 300 000 clandestins et 54 000 « mineurs isolés ».

    Concernant ces derniers, « un rapport sénatorial publié en juin 2017 évalue à 40% au mieux la proportion d’individus vraiment mineurs et vraiment isolés » selon Le Figaro Magazine, précisant que « le système de protection des mineurs est massivement détourné par des adultes ».

    Pendant ce temps, le coût pour le contribuable français est estimé à 1,9 milliard d’euros par an selon Jean-Louis Thiériot, député et président du conseil départemental de Seine-et-Marne. Et le gouffre économique ne cesse de se creuser. « Les services d’aide sociale à l’enfance ont pris en charge plus de 25 000 “enfants migrants” en 2017, soit 92 % de plus qu’en 2016 » poursuit Le Figaro.

    3) L’écologisme contre les frontières nationales

    Confronté à la journaliste Charlotte d’Ornellas en mai 2018 sur LCI, Yannick Jadot réfute le terme de « clandestins » pour qualifier ceux qui traversent la frontière française illégalement. Le combat sur les mots est essentiel. En 2015, le terme de « migrants » a été imposé dans le discours médiatique afin de laisser croire à un mouvement indolore, inéluctable et naturel comme pour la « migration » des oiseaux selon les saisons.

    Lire aussi:  Le porno responsable du «désastre écologique»? Un think tank sonne le branle-bas de combat

    Néanmoins, devant la multiplication des exactions commises par les « migrants » en Europe, le mot est rapidement devenu péjoratif. Afin de pouvoir continuer à manipuler l’opinion, de nombreux intervenants médiatiques se mettent donc à désigner automatiquement ces « migrants » de « réfugiés ».

    En avril 2019, Yannick Jadot réclame la mise en place d’un statut européen pour les « réfugiés climatiques ». Sachant que 26 millions de personnes ont été déplacées chaque année de chez elles par des phénomènes climatiques entre 2008 et 2014, tous les prétextes sont bons pour faire de l’Europe un centre d’accueil sans limites.

    Accolé à « réfugié », l’adjectif « climatique » succède à « de guerre », beaucoup moins à la mode. Et pour cause : dans le rapport 2016 de Médecins du Monde, seuls 13,7% des « migrants » déclarent avoir fui la guerre. Au contraire, 53,1% d’entre eux citent avant tout des raisons économiques.

    L’idéologie immigrationniste est aux fondements d’Europe-Écologie les Verts. Et l’on en vient à se demander si l’écologie n’y est pas qu’un simple prétexte afin de défendre l’immigration. Pour l’essayiste Laurent Alexandre,

    « Les écologistes proposent en réalité la disparition de la civilisation occidentale pour laisser la place aux migrants ». Au cours d’une conférence de Valeurs actuelles en avril 2019, l’écrivain Michel Houellebecq renchérit : « on parle de biodiversité , mais on ne parle jamais de sauver les civilisations, les cultures, les modes de vie humains ».

    L’obsession médiatique d’une apocalypse climatique autour de Greta Thunberg masque les arguments les plus rationnels sur la situation. « La France émet 0.9% de CO² dans le monde » rappelle André Bercoff sur CNEWS, avant d’ajouter sur Macron :

    « Quand ce crétin a fait de l’écologie punitive en disant “Vous allez payer un peu plus de taxes pour la transition écologique”, il prenait les gens pour qui ? Pour des brêles ! ».

    En mai 2019, Éric Zemmour résume sur Paris Première :

    « Les écolos sont des mondialistes et le mondialisme est le pire ennemi de l’écologie ».

    Mais pendant ce temps, Yannick Jadot gardait ses soutiens là où il faut. Chroniqueuse sur RTL, Isabelle Saporta cache sa relation avec la tête de liste des Verts durant la campagne des européennes tout en préparant ses interventions et en écrivant une partie de ses discours.

    Un mélange des genres habituel au royaume du politiquement correct, mais qui rappelle au public à quel point les médias prétendument « neutres » dans le traitement de l’actualité sont en réalité biaisés et formatés, notamment sur les questions d’immigration et d’écologie.

    Reste aux Français à faire dégonfler le « melon » des Verts et de Yannick Jadot aux prochaines élections.

    Source : Damocles

    https://www.alterinfo.ch/2019/08/31/yannick-jadot-lecologie-au-service-de-limmigration/

  • Face aux juges, mieux vaut être une racaille islamisée qu’un Identitaire français

    une-manifestation-de-l-association-generation-identitaire-a-paris-le-28-mai-2016_5982046.jpg

    Jacques Guillemain Riposte laïque cliquez ici
    En France, comme en Allemagne, en Grande-Bretagne ou en Suède, il ne fait pas bon être un patriote amoureux de son pays, soucieux de protéger sa culture et son identité.
    La sévérité du jugement condamnant trois membres de Génération identitaire, pour avoir voulu barrer la route aux migrants venus d’Italie, en bloquant le col de l’Échelle dans les Hautes-Alpes, est une ignominie aux relents de justice politique.
    Six mois de prison ferme, cinq ans de privation des droits civiques et 75 000 euros d’amende pour l’association, pour avoir voulu protéger leur pays de l’invasion de clandestins, c’est du jamais vu. Un total renversement des valeurs.
    Y a-t-il eu des menaces, des violences ou des insultes racistes ? Non, puisque le procureur avait dans un premier temps classé l’affaire.
    Mais Génération identitaire étant dans le collimateur du pouvoir et des ayatollahs de la bien-pensance, il eût été surprenant que l’enquête soit définitivement enterrée.
    C’est ainsi que le parquet de Gap a épluché le Code pénal et sorti de la naphtaline l’article 433-13, qui punit d’un an de prison l’« exercice d’une activité dans des conditions de nature à créer dans l’esprit du public une confusion avec l’exercice d’une fonction publique ».
    Les trois prévenus ont donc été jugés coupables d’avoir entretenu une « confusion avec l’exercice d’une fonction publique ». Ce que conteste leur avocat, Me Lambert, puisque le sigle « Defend Europe » apparaissait partout et qu’aucune confusion avec la police ou la gendarmerie n’était possible. Il n’y a jamais eu usurpation de fonction. D’ailleurs, les prévenus font appel.
    Mais si ce jugement très sévère scandalise la sphère patriote et identitaire, il irrite fortement les associations pro-migrants, qui estiment que les juges n’ont pas suffisamment sanctionné la mise en danger d’autrui et l’incitation à la haine raciale ! LIRE
    Éternel refrain. Le patriotisme, c’est devenu une incitation à la haine raciale !  Et c’est précisément ce qui est gravissime pour l’avenir des générations futures.
    Car au pays de la liberté et des droits de l’homme, il n’est plus possible de s’opposer à la pensée unique, plus possible de défendre ses racines et son identité, plus possible de protéger son patrimoine culturel hérité de ses ancêtres, sans être cloué au pilori par les Fouquier-Tinville du politiquement correct, qui bêlent au racisme, à la xénophobie et à l’islamophobie.
    Tous les peuples du monde ont le droit de protéger leur identité, sauf les Occidentaux,  éternels  détenteurs du monopole du Mal.
    Trois jeunes patriotes ont été condamnés à de la prison ferme, alors que des racailles multirécidivistes, arrêtées maintes fois, subissent un simple rappel à la loi avant d’être remises en liberté.
    Et que dire des cinq années de perte des droits civiques, alors que les centaines de jihadistes français, qui ont combattu nos soldats et trahi la France, n’ont même pas été déchus de leur nationalité !
    Rappelons que les citoyens sont victimes de 1 000 agressions gratuites par jour, qui se traduisent régulièrement par des morts et des blessés graves.
    Les jeunes patriotes ont-ils blessé ou tué quelqu’un ? Non.
    Est-il interdit d’avoir peur de cet islam conquérant qui veut s’imposer dans notre quotidien ? Devons-nous oublier que nos racines sont judéo-chrétiennes et que la France a 15 siècles de chrétienté derrière elle, depuis le baptême de Clovis ?
    Les Français, bouleversés et profondément émus devant l’incendie de Notre-Dame, ont montré combien ils étaient attachés à leur histoire et à  leur patrimoine culturel.
    Faut-il oublier les paroles de Gérard Collomb, seul homme politique en exercice ayant eu le courage de dire la vérité aux Français, en évoquant une sérieuse menace de guerre civile dans un proche avenir ?
    Tous les sondages montrent que les Français ne veulent plus d’immigration et jugent que l’islam est un obstacle à l’intégration. Ce qui en fait obligatoirement des racistes et des islamophobes, comme chacun sait.
    Mais peut-on encore être patriote en France sans être traité de xénophobe ? Peut-on être souverainiste sans être taxé de racisme ? Peut-on défendre l’État-nation sans être accusé de prêcher la haine des autres ?
    Non, à en juger par la sévérité de la justice envers ceux qui s’opposent à l’immigration de masse et à l’islamisation du pays.
    Ce jugement, loin de défendre les valeurs républicaines, ne fait qu’aggraver la fracture identitaire de plus en plus béante. On ne répondra pas au cri d’alarme de Collomb en niant le choc des cultures et la menace de désintégration de la nation.

    Voici ce que disait Gérard Collomb en quittant ses fonctions. Certains feraient bien de s’en imprégner, au lieu de bêler au racisme à tout propos.

    « Aujourd’hui, les quartiers sont soumis à la loi du plus fort, qui n’est plus la nôtre. »

    « Nous vivons côte à côte, je crains que demain nous ne vivions face à face. »

    Et dans un article paru dans Valeurs Actuelles, il ajoutait :

    « Les rapports entre les gens sont très durs, les gens ne veulent pas vivre ensemble… je crains la sécession. »

    VA : Quelle est la part de responsabilité de l’immigration ?

    GC : Énorme…

    VA : Vous pensez qu’on n’a plus besoin d’immigration en France ?

    GC : Oui, absolument. Des communautés s’affrontent de plus en plus et ça devient très violent.

    « Je dirais que, d’ici à cinq ans, la situation pourrait devenir irréversible. Oui, on a cinq, six ans, pour éviter le pire. Après… »

    Voilà ce que disait il y a un an l’homme le mieux renseigné de France. Un discours de bon sens et un cri d’alarme avant la désintégration de la nation.

    C’est ce discours de vérité que les juges enterrent en condamnant ceux qui s’opposent pacifiquement à l’invasion migratoire qui va détruire le pays.

    Peut-on être fier d’une justice qui condamne de jeunes  patriotes qui refusent de subir l’effacement culturel de leur pays ? À chacun d’en juger…

  • Un mythe LGBT s’effondre

    Un mythe LGBT s’effondre

    Une étude souligne que les marqueurs génétiques ne peuvent pas être utilisés pour prédire une orientation sexuelle : elle conclut qu’il n’y a pas de « gène gay ». « Il est de facto impossible de prédire l’orientation sexuelle d’une personne d’après son génome », déclare Ben Neale, chef de l’équipe qui a conduit une gigantesque étude sur un demi-million de profils ADN, par la prestigieuse revue Science. Cette étude enterre l’idée née dans les années 1990 qu’il existe un “gène gay” aussi prévisible que ce qui existe pour la couleur des yeux. Au début de la génétique, en 1993, une étude sur 40 familles avait cru identifier un lieu unique, le gène Xq28, définissant l’orientation sexuelle. La nouvelle analyse réfute ce modèle simpliste.

    Les auteurs, ayant peur du lobby LGBT, ont pris soin de rappeler, lors d’une conférence téléphonique avec des journalistes, qu’ils étaient eux-même homosexuels… Désireux d’éviter toute mauvaise interprétation, ils sont allés jusqu’à consulter des associations LGBT sur la façon de communiquer leurs résultats.

    https://www.lesalonbeige.fr/un-mythe-lgbt-seffondre/