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lobby - Page 860

  • Un débat ou un peloton d’exécution ?

    Un débat ou un peloton d’exécution ?

    François Billot de Lochner a eu le courage de regarder le débat hier soir entre les têtes de listes aux européennes :

    12 candidats alignés le long du mur comme au peloton d’exécution : c’était le triste spectacle de l’Emission politique, le premier grand rendez-vous de la campagne des élections européennes ce jeudi 4 avril sur France 2. En toute sincérité, notre admiration va à tous ceux qui se sont prêtés à l’exercice de regarder ce pensum, à ce charcutage pitoyable de l’expression politique.

    En effet, chaque candidat s’est vu octroyer un temps de parole de 12 minutes. 12 petites minutes, éclatées en parcelles infinitésimales, rendant plus absconse que jamais une parole publique en mal de légitimité. Les journalistes recrutés pour l’occasion, Thomas Scotto et Alexandra Bensaïd, donnaient l’impression d’avoir échoué sur le plateau d’Intervilles, multipliant les blagues ratées pour donner aux téléspectateurs sur la voie de l’endormissement le sentiment que la politique, en 2019, c’est funIncapables d’arbitrer entre les candidats, et de faire circuler intelligemment la discussion, ils sont apparus comme des obsédés du chronomètre, au détriment du développement d’une pensée raisonnable et argumentée. Peut-on faire de la politique sérieusement quand on s’exprime par tranches de 15 secondes ? Les candidats n’avaient pas grand-chose à dire, et l’on ne sait pas précisément si c’est le manque d’idées qui a donné lieu à ce débat bégayant, ou si sa forme maladroite ne pouvait tout simplement pas accoucher d’autre chose que de propos moribonds.

    Malgré tout, qu’en retirer ? D’une manière assez étonnante, c’est très largement l’euroscepticisme qui a prévalu sur l’ensemble du débat. Le désenchantement européen est bien là. Avec une touchante naïveté – il est même étonnant que les rédacteurs en chef de l’émission aient laissé passer cela –, Alexandra Bensaïd a fait se déployer sur les écrans une magnifique infographie pour nous expliquer ingénument que l’Union européenne nous faisait perdre des milliards chaque année, et nul ne s’est amusé à la contredire. Tous, au fond, savent que cette Europe que l’on nous a tant vantée est incapable d’affronter les défis qui sont les nôtres aujourd’hui, à commencer par l’immigration et l’islamisation du contient et le désarroi identitaire dans lequel elles nous plongent. Sans oublier, évidemment, la pauvreté croissante, le chômage qui ne diminue pas, et les dépôts de bilan qui se multiplient.

    Nathalie Loiseau, la candidate LREM, comme Jean-Christophe Lagarde, tout deux les plus volontiers « européistes », avaient bien du mal à faire souffler un vent d’enthousiasme sur le plateau.

    La gauche de la gauche s’est enfoncée dans l’utopisme le plus délirant, en vantant les mérites d’une fraternité universelle à laquelle plus personne ne croit : le disque est bien rayé, et même les nouvelles têtes, comme Raphaël Glucksmann, n’ont pas l’air d’y croire.

    Pour les Républicains, la confrontation à ses adversaires a fait ressortir la fragilité de François-Xavier Bellamy, mal à l’aise pour articuler ses fameux grands principes à une pensée concrète non technocratique.

    Les politesses et les ronds-de-jambe, ironiques ou non, entre Florian Philippot, Nicolas Dupont-Aignan, Jordan Bardella et François Asselineau, ont fait vraiment mesurer à quel point un tel morcellement de la droite souverainiste est absurde. Dans le marasme général, ce dernier s’est toutefois distingué par des arguments précis et percutants contre les contradictions dans lesquelles s’empêtrent sans cesse les tenants du modèle dominant : pourquoi vitupérer contre la Hongrie et la Pologne, quand on alimente un système qui leur verse des milliards chaque année ? Pourquoi se lamenter sur les afflux de migrants, quand on préfère financer l’Estonie ou la Grèce, plutôt que d’apporter une aide au développement ciblée à destination des pays francophones d’Afrique ?

    Une chose est certaine, et dans une certaine mesure, il nous faut nous en réjouir : le système de Bruxelles et de Strasbourg a vécu, et l’ensemble de la classe politique sent confusément qu’à plus ou moins brève échéance, il faudra – enfin – penser d’abord à la France.

    https://www.lesalonbeige.fr/un-debat-ou-un-peloton-dexecution/

  • Marseille : 174 migrants mineurs non accompagnés relogés à l'hôtel

    Marseille : 174 migrants mineurs non accompagnés relogés à l'hôtel
    © Christophe SIMON Source: AFP
    Des migrants fixent une banderole devant un bâtiment du diocèse Saint-Just à Marseille, le 14 janvier 2019 (image d'illustration).

    Le conseil départemental des Bouches-du-Rhône a annoncé ce 4 avril que 174 migrants mineurs non accompagnés (MNA) avaient été relogés à l'hôtel. Certains d'entre eux avaient squatté pendant plus de trois mois un bâtiment du diocèse de Marseille.

    Après avoir squatté pendant plus de trois mois pour certains un bâtiment du diocèse de Marseille, 174 migrants mineurs non accompagnés (MNA) ont été relogés à l'hôtel ce 4 avril, a appris l'AFP auprès du conseil départemental des Bouches-Du-Rhône. Par ailleurs, six familles ont été orientées vers des dispositifs asile transitoire réservés pour elles et huit autres ont eu une proposition de nuitées en hôtel, «le temps de pouvoir leur proposer un hébergement plus pérenne», selon la préfecture. De même source, on apprend que seule une trentaine de personnes s'apprêtaient encore à passer la nuit au foyer Saint-Just. 

    «Il n'y a plus aucun MNA qui ne soit pas à l'abri», a annoncé le département dans la soirée du 4 avril, confirmant une information du site Marsactu.fr. «Les mineurs qui ont déjà une OPP [ordonnance de placement provisoire] du juge sont à l'hôtel, mais aussi ceux qui sont en attente d'évaluation, et ce jusqu'à la décision finale du juge donc ce n'est pas rien», a détaillé Anne Gautier, porte-parole du Collectif 59, qui soutient les MNA.

    Depuis le 18 décembre, à l'initiative de ce collectif d'aide aux migrants, plus de 200 personnes, dont des MNA mais aussi des familles, squattaient le foyer Saint-Just, une grande bâtisse désaffectée appartenant au diocèse. «La situation est plus compliquée pour les familles : aujourd'hui les propositions du conseil départemental concernant les MNA nous semblent plus acceptables que celles de la préfecture pour les familles», a nuancé Anne Gautier. Selon elle, «on ne propose à certaines familles que huit nuits d'hôtel, y compris à des femmes seules avec de tous petits enfants».

    Contactés par l'AFP, les services de la préfecture ont assuré que «des personnes [allaient] à l'hôtel, mais pour autant de temps que nécessaire, car leur trouver une solution pérenne prend du temps». Le diocèse, qui vient de vendre le bâtiment à un institut de formation, n'a pas ouvert de procédure judiciaire à l'encontre des squatteurs, excluant une évacuation policière du site, selon une source proche du dossier. Cette même source s'est inquiétée de «l'arrivée d'autres migrants dans le bâtiment, s'il n'y a pas de cadre juridique, ce qui rendrait la situation très compliquée».

    https://francais.rt.com/france/60704-marseille-174-migrants-mineurs-non-accompagnes-reloges-hotel

  • Gilbert Collard : « Les députés macronistes ? Des « Danette® » qui se lèvent tous ensemble ! »

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    Ce mardi 2 avril, à l’Assemblée nationale, s’ouvrait le grand débat réservé, cette fois, aux députés.

    Voici la réaction de Gilbert Collard dans les colonnes de Boulevard Voltaire. L’occasion d’évoquer avec lui l’ambiance qui règne au sein de l’Hémicycle et aussi la perspective des élections européennes.

    Qu’attendez-vous du grand débat des députés qui commence aujourd’hui à l’Assemblée nationale ?

    Rien ne pourra sortir de ce grand débat. Il est malheureusement technocratique et complètement englouti dans le formol des réunions du président de la République. Il s’est cru à un exercice répétitif de l’ENA. C’est hallucinant de voir à quel point un exercice né de la spontanéité d’une revendication populaire peut se rabougrir à une espèce de répétition technocratique et égocentrique d’un seul personnage qui pérore pendant des semaines et des semaines dans une espèce d’inaudibilité. C’est assez fascinant de voir comment la spontanéité d’un peuple peut aboutir aux rhumatismes verbaux d’un homme.

    L’élection d’Emmanuel Macron est-elle, pour vous, une erreur ?

    J’ai toujours considéré et dit qu’il allait être un Président très violent. Je pense qu’avec lui, on oscillera entre Néron et de Funès. Comme il est là pour appliquer des directives de Bruxelles et pour jouer le jeu des grandes banques avec toutes les ramifications que cela implique, il sera d’une impitoyabilité et va nous étonner d’événement en événement. Je pense qu’on s’est marré avec Hollande, on va pleurer avec Macron.

    Grand débat ou non, un léger remaniement a eu lieu. On a, notamment, assisté au départ de Benjamin Griveaux, de Nathalie Loiseau et des arrivées,au gouvernement, de la porte-parole Sibeth Ndiaye et d’Amélie de Monchalin. Ce mini-remaniement est-il significatif et traduit-il une quelconque volonté politique ?

    C’est un remaniement de repliement. Il est surtout l’expression de l’asphyxie spatiale politique de monsieur Macron, qui est obligé de faire appel à des proches parce que son espace est de plus en plus restreint. Il y a aussi des significations symboliques qui ne sont pas bonnes. Par exemple, prendre comme porte-parole une jeune femme qui a fait du mensonge en politique sa devise. Je rappelle qu’elle a dit qu’elle était prête à mentir pour le Président. Même si elle s’en est expliquée maladroitement, du reste, cela reste quand même malvenu pour quelqu’un qui va porter la parole où il faut précisément ne pas mentir.
    Le manque de délicatesse à l’égard de Simone Veil. Je dirais que les augures ne sont pas bons.

    Avez-vous l’impression qu’un semblant de dialogue ou un semblant d’opposition respectueuse s’est mis en place ?

    Malheureusement non, même s’il y en a de très bien. J’en connais quelques-uns avec lesquels j’échange très volontiers. Ils sont au Club Med ou au golf, mais pas au Parlement. On leur donne des éléments de langage, ils les répètent d’une manière souvent mécanique. Dès que quelque chose se passe à l’Assemblée, ils se lèvent. À tel point qu’aujourd’hui, j’ai crié « Debout ! Couché ! »
    C’est incroyable, au moindre bruit dans l’Assemblée, ils se lèvent. Dès qu’un orateur de leur majorité prend la parole, ils se lèvent. C’est La République en marche pour Danette !
    C’est hallucinant de les voir se lever comme cela. On pourrait les qualifier, dans l’Histoire, comme les « Danette® de la politique ».

    Prochainement se tiendront les élections européennes. On a vu Jordan Bardella extrêmement présent dans les médias. Le Rassemblement national peut-il arriver en tête ?

    Je ne pense pas qu’il y aura un envol de La République en marche, même si les sondages, auxquels je ne crois pas, même lorsqu’ils sont favorables, le prédisent.

    Cela vous fait un point commun avec Jean-Luc Mélenchon.

    Il est bon d’avoir des points communs avec les autres. C’est cela, le vivre ensemble.
    Tant que ce ne sont pas des « coups de poing » communs, ce n’est pas grave. Je pense qu’on va arriver en tête. Je n’imagine pas, sauf erreur de ma part, que la majorité critiquée, insultée, contestée puisse, en dehors des plateaux de télévision, faire le point. Je pense que nous pouvons, avec la modestie qui s’attache à toute prédiction politique, arriver en tête.

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • L’action de Génération Identitaire à Rouen : « Justice pour Élise et Julien ! »

  • L’Etat protège les Black Blocs contre les doyens d’universités

    L’Etat protège les Black Blocs contre les doyens d’universités

    Jean-Luc Coronel de Boissezon, agrégé des facultés de droit, historien réputé du droit et des institutions, est persécuté par l’Etat français pour avoir résisté aux black blocs408 universitaires appellent à le défendre.

    Au début de l’année dernière, on se souvient que les groupuscules gauchistes avaient tenté de lancer un nouveau Mai 68. Des violences furent commises dans plusieurs universités, en particulier à Paris-Tolbiac, mais aussi en province, par exemple à la faculté de droit de Montpellier. De minuscules bandes, s’appuyant sur des milices black blocs, dont l’ultraviolence est à présent connue de tous, prirent en otages des milliers d’étudiants, et tentèrent un temps de faire revivre l’ambiance « tribunaux populaires » dont la classe politico-médiatique fêtait le 50e anniversaire, au nom de l’esprit soixante-huitard. […]

    A Montpellier, le doyen Pétel et le professeur Jean-Luc Coronel de Boissezon, avec un groupe d’amis, étudiants ou universitaires, eurent la malencontreuse idée de vouloir s’opposer aux black blocs et autres groupuscules anarcho-trotskistes, à la suite de l’occupation illégale de la faculté de droit, une occupation et un blocage opérés contre la volonté de l’immense majorité des personnes concernées. Mais savez-vous ce qui arriva ? Ce sont eux qui furent sanctionnés, c’est le professeur Coronel de Boissezon qui fut véritablement lynché par l’éducation nationale, et de la plus lourde des façons : une décision disciplinaire prise en catimini le 11 janvier 2019 l’a en effet carrément révoqué de son poste de professeur des universités, et l’a frappé d’une « interdiction définitive d’exercer dans tout établissement public ». Décision rarissime, sanctionnant les plus grands criminels, mais évidemment pas – jusqu’à aujourd’hui – une légitime réaction de défense de son université. […]

    Bien entendu le professeur a fait appel devant le Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche (CNESER). Mais l’appel n’est pas suspensif de cette décision inique. Qui plus est, les occupants illégaux du 22 mars 2018 ont obtenu qu’il soit poursuivi devant la juridiction pénale.

    La situation est tellement scandaleuse que 408 universitaires sont montés au créneau pour défendre ce professeur courageux, ainsi que le doyen Pétel, victime lui aussi de cette chasse aux sorcières. Depuis deux mois l’enseignant n’est plus payé, et n’a même pas accès au chômage, ni n’a les moyens financiers de se défendre. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/letat-protege-les-black-blocs-contre-les-doyens-duniversites/

  • Toute vérité n’est donc pas bonne à dire, en Macronie

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    « Qu’est-ce que la vérité ? » La question n’est pas d’hier. C’est celle que posa Ponce Pilate à Jésus-Christ. Pour dire. La vérité, c’est visiblement un truc qui travaille Emmanuel Macron et la Macronie. On se souvient des vœux du Président, le 31 décembre dernier : des vœux de « vérité »« dignité »et « espoir »« Le vœu de vérité, c’est aussi celui qui doit nous conduire, afin de demeurer une démocratie robuste, à mieux nous protéger des fausses informations, des manipulations et des intoxications. »

    Visiblement, en langage macronien, la définition de la fausse information s’étend aux analyses adverses qui ne rentrent pas dans le cadre de la vulgate officielle. Par exemple, estimer que le pacte de Marrakech est un encouragement pressant à accueillir toujours plus de migrants en Europe, et notamment en France, c’est une fausse information.

    Dans un tout autre ordre d’idée, parler de violence policière au vu d’une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux et même au journal télévisé de France 2, vidéo où l’on voit très nettement un policier assener un coup de matraque à un jeune homme, lors de la dispersion d’une manifestation à Besançon, la semaine dernière, c’est aussi, en quelque sorte, diffuser une fausse information, manipuler, intoxiquer l’opinion. D’ailleurs, que nous dit Christophe Castaner, interrogé mardi sur cet incident ? « Il n’y a pas d’image de violence policière. Il y a une scène où un policier dans l’action, au moment d’une charge, a effectivement poussé quelqu’un… » À la vérité, en écoutant le ministre, on sent tout de même qu’il a une petite hésitation avant de sortir le verbe « pousser ». Comme on dit : faut pas pousser ! Et Pilate de poser la question à Castaner : « Qu’est-ce que la vérité ? » Notion évolutive, on l’a vu avec l’affaire Benalla, véritable puits sans fond de mensonges, si l’on en croit certains.

    Toujours sur ce rapport à la vérité, une question : est-ce mentir que de ne pas dire la vérité ? Toute la vérité, rien que la vérité ? Autour de la polémique sur les propos de Sibeth Ndiaye, qui aurait assumé de mentir pour protéger le Président – propos qu’elle dément désormais à grand coups de capillotracteur -, le député LREM de l’Hérault Patrick Vignal déclarait benoîtement, le 1er avril sur CNews : « On va être très clair, s’il faut dire la vérité aux Français, ça veut dire dix ans de sang et de larmes […] Vous voulez que je vous parle de dossiers de terrorisme ? Vous voulez dire la vérité aux gens sur ça ? Vous voulez dire sur le chômage aux gens ? Mais attendez, il faut donner une vision d’espérance, aussi, aux Français. » Certes, comme on dit, toute vérité n’est pas bonne à dire, mais là, subitement, on est pris comme d’un doute : la situation serait-elle donc plus grave qu’on l’imagine ? Et tous ces oiseaux de malheur, ces Cassandre, ces complotistes et autres populistes qui nous prédisent les pires choses pour notre pays, notamment la submersion migratoire, l’islamisation de la France, finalement, ne diraient-ils pas un peu la vérité ? Allez savoir.

    Question hautement philosophique à laquelle l’auteur de ces lignes serait bien en peine de répondre : peut-on donner une vision d’espérance aux Français en ne leur disant pas la vérité ? « Qu’est-ce que la vérité ? » Pilate posa cette question après que Jésus-Christ lui avait déclaré : « Tout homme qui appartient à la vérité écoute ma voix. » Ceux qui ont accédé au pouvoir, il y a bientôt deux ans, ont donné la nette impression que la vérité leur appartenait, et parfois même qu’ils appartenaient à la vérité. Du reste, le député Vignal, qui reste tout de même un élu de terrain, n’évoque-t-il pas, dans son intervention sur CNews, ces « présomptueux » ? C’est peut-être pour cela qu’ils se sont fracassés contre le mur de la réalité. Qui rime avec vérité.

    Georges Michel

    https://www.bvoltaire.fr/toute-verite-nest-donc-pas-bonne-a-dire-en-macronie/

  • 20 ans après l’intervention de l’Otan en ex-Yougoslavie, quelles leçons pour aujourd’hui ?

  • I-Média n°244 – Yes, la meuf est porte-parole

    Yes, la meuf est porte-parole

    Sibeth Ndiaye est le nouveau porte-parole du Gouvernement. Cette fille de la haute-bourgeoisie sénégalaise n’est devenue française qu’en 2016. Entre vulgarité et agressivité, voilà qui promet !

    Zapping

    Coup de chapeau à Sonia Mabrouk qui a tenu tête à Bernard-Henri Lévy en lui rappelant son soutien au criminel Battisti.

    Agression « transphobe » : Padamalgam pour tous !

    Même si une agression « transphobe » a lieu en plein milieu d’une manif d’Algériens, hors de question pour les journalistes de faire des amalgames.

    Tweets

    Et si la plus grande victime de la loi anti-fausses nouvelles était en fait… LREM ?

    Le Pen face à Hanouna, papy sympa

    Cyril Hanouna a interrogé Jean-Marie Le Pen. Pour de nombreux médias, l’animateur vedette a rendu l’homme politique trop sympathique.

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n244-yes-la-meuf-est-porte-parole

  • Place de la République : sous les pavés… la charia ?

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    Cela crèverait les yeux de l’observateur le plus sceptique, tous l’ont vu, tous l’ont pensé mais combien l’ont écrit ? La scène de cette personne transsexuelle molestée par une poignée d’individus au cœur de la foule a fait le tour du web et révolté l’intégralité de la caste médiatique.

    « Transphobie ordinaire, lutte contre la haine… » tous les poncifs habituels y sont passés, à l’exception d’un seul. A chaque agression envers la communauté LGBTQIAZERTY, il se trouvait toujours quelque ministre zélée ou quelque procureur d’opérette pour désigner cette intolérable montée de l’homophobie due au discours de la Manif pour tous. Mais ici, ils n’auront pas osé. Car, dans les tourbillons de cet odieux lynchage, flottaient les drapeaux algériens. Ici, ces racailles binationales (pardon ces personnes racisées victimes de discriminations) n’auront même pas la joie d’être désignées comme telles a contrario de leurs homologues (d’après Marlène Schiappa) de la Manif pour tous. Nos confrères journalistes parleront pudiquement de « personnes », de « foule » ou encore « d’individus ».

    Et là, nous imaginons sans peine les pensées apeurées de tel ou tel pigiste : « Pourvu que cet article ne serve pas d’argument aux islamophobes. »

    Qu’il se rassure, lui et tous les autres, SOS Homophobie a tweeté « Que cela ne serve pas de prétexte aux discours racistes ou xénophobes de celles et ceux qui ne défendent les personnes LGBT que quand leurs agresseurs sont racisés. » On n’ose imaginer le procès médiatique qui aurait été fait si ces agresseurs portaient un signe distinctif de la Manif pour tous, on n’ose subodorer les réactions emphatiques et dégoulinantes des observateurs condamnant d’un seul geste les fautifs, les responsables et toutes leurs descendances sur douze générations.
    Vivre-ensemble à deux vitesses

    Paradoxalement, la veille sur le réseau social Twitter, le militant identitaire Clément Galant postait la photo d’une famille de Clichy-sous-Bois : le père, la mère et les quatre enfants dont des fillettes en bas âge intégralement voilées. Ce dernier alertait donc sur le nouveau visage de Clichy qui n’avait, peut-on le nier, strictement rien de réjouissant. Las, Clément Galant se prit instantanément une avalanche de critiques de journalistes bien blancs et bien implantés entre Saint-Cloud et le VIIe arrondissement qui ont préféré s’extasier sur cette famille heureuse. Ceux-là mêmes qui sont incapables de faire une corrélation entre l’explosion de l’immigration musulmane et l’augmentation drastique des actes antisémites, homophobes, transphobes et anti-blancs. Ceux-là mêmes qui s’obstineront à ne pas voir ce qui leur crèvent la vue à savoir des drapeaux algériens environnant cette malheureuse victime perdue au milieu de ses bourreaux.

    Ces mêmes journalistes qui prônent chaque jour et de concert une immigration massive, le vivre-ensemble et l’inclusivité, ces mêmes journalistes dont on rit car ils déplorent les effets dont ils chérissent les causes.

    Etienne Defay

    Article paru dans Présent daté du 3 avril 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Marine Le Pen à une journaliste d’Euronews : «Merkel s’en mord les doigts d’avoir accueilli 1M de migrants et commence à serrer toutes les vis»

    Marine Le Pen (RN) à Sophie Claudet (Euronews) : «L’Allemagne s’en mord les doigts aujourd’hui d’avoir accueilli 1M de migrants et Mme Merkel est en train de serrer toutes les vis, il n’y a qu’un malheur, c’est que quand Mme Merkel fait venir 1M de personnes, il y en a combien de centaines de milliers qui se retrouvent après en France ?»
    – Euronews, 3 avril 2019

    (À partir de la 14ème minute)

    http://www.fdesouche.com/1186545-marine-le-pen-a-une-journaliste-deuronews-merkel-sen-mord-les-doigts-davoir-accueilli-1m-de-migrants-et-commence-a-serrer-toutes-les-vis