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lobby - Page 861

  • France : la disparition – Le Samedi Politique avec Barbara Lefebvre

     

    La disparition de la France avec Barbara Lefebvre

    Barbara Lefebvre est enseignante d’histoire-géographie. Avec son dernier ouvrage, C’est ça la France (Albin Michel), l’auteur nous livre un constat accablant de la situation du pays, entre mépris de soi et communautarisme. Un essai qui tire la sonnette d’alarme pour d’urgence renouer avec la Patrie.

    Les symboles dévoyés ou raillés

    Depuis plusieurs dizaines d’années, les symboles de la France sont voués aux gémonies… Associés aux fameuses « heures les plus sombres de l’histoire », les drapeaux tricolores n’ont plus le droit de citer dans la sphère publique en dehors des manifestations sportives. Un vide rapidement comblé par les identités de nations étrangères et les symboles européens.

    L’école devenue terreau du communautarisme

    A force d’adaptations et de révisions de l’histoire, l’Education Nationale ne remplit plus son rôle. Les élèves annoncent quand ils le veulent encore des poncifs bien-pensants où la repentance de la France tient un rôle toujours grandissant. Entre discrimination positive, culte victimaire et poids grandissants des Indigènes de la République, la machine à intégration s’est enraillée.

    L’explosion d’une nation

    Les territoires se morcellent, les populations se séparent, le communautarisme est désormais perceptible dans tous le pays. Entre les quartiers totalement défrancisés et les zones périphériques désertées par les services publics, le pays est devenu un amoncellement de zones de non-droit… Celles où le droit n’existe plus et celles qui n’ont plus le droit à rien.

    https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-france-la-disparition-avec-barbara-lefebvre

  • Têtes à Clash n°53 : Discrimination positive, quotas de boursiers

     

    Franck Tanguy reçoit François Bert, Serge Federbusch, Tarick Dali et Patrick Mignon. Ils débattent de la discrimination positive, de la démission du ministre d’Etat de l’écologie, François de Rugy, et de leurs recommandations culturelles pour l’été.

    https://www.tvlibertes.com/tetes-a-clash-n53-discrimination-positive-quotas-de-boursiers

  • Facebook a bloqué les campagnes pro-vie pendant la campagne du référendum sur l’avortement en Irlande

    Facebook a bloqué les campagnes pro-vie pendant la campagne du référendum sur l’avortement en Irlande

    Aveu de Mark Zuckerberg :

    gript@griptmedia

    Facebook admitting it interfered in the abortion referendum campaign

    Vidéo intégrée
    617 personnes parlent à ce sujet

    https://www.lesalonbeige.fr/facebook-a-bloque-les-campagnes-pro-vie-pendant-la-campagne-du-referendum-sur-lavortement-en-irlande/

  • Quartier Interdit avec Alexandre Langlois. Révélations du policier sanctionné par Castaner

    Sortie le 15 juil. 2019
    Alexandre Langlois fait l'objet d'une exclusion temporaire de six mois dans la police nationale après avoir révélé en interne et à la presse un certain nombre d'éléments graves au sujet du ministère du l'Intérieur.Suicides, agressions sexuelles, falsifications de chiffres, gazs lacrymogènes toxiques, le policier dit tout.
    Pour aider Alexandre Langlois : https://www.lepotcommun.fr/pot/4dq0qpnd

  • «Médailles de la honte» : l'Intérieur décore des policiers suspectés de violences illégitimes

    «Médailles de la honte» : l'Intérieur décore des policiers suspectés de violences illégitimes
    © Valery HACHE Source: AFP
    Geneviève Legay au sol après une charge policière à Nice commandé par le commissaire Rabah Souchi le 23 mars 2019 (image d'illustration).     
    Plus de 9 000 policiers se voient honorés de la médaille de sécurité intérieure.
    Parmi eux figurent des noms qui n'ont pas laissé Mediapart indifférent : ceux des commissaires qui ont commandé des opérations controversées à Nantes et à Nice.                  
    Des policiers mis en cause dans des violences figurent sur une liste des plus de 9 000 membres des forces de sécurité qui doivent recevoir une médaille de l'Intérieur, selon les informations de Mediapart confirmées par l'AFP.
    Après cette révélation du média d'investigation en ligne, le ministère de l'Intérieur a réagi sur son site internet en prévenant : «Si l’un des médaillés est reconnu responsable d’actes contraires à la déontologie ou de faute et sanctionné à ce titre, ou condamné par la justice, la médaille de la sécurité intérieure lui sera retirée. 
    Les enquêtes disciplinaires ou judiciaires s’effectuent de manière indépendante, à charge et à décharge, et il n’appartient pas à des tiers de désigner nommément des personnels pour des faits qui ne sont pas définitivement établis.»

  • Tu parles d'une fête nationale

    6a00d8341c715453ef0240a46ea9a4200c-320wi.jpgDepuis longtemps, on n'avait assisté au spectacle d'un pays aussi déchiré qu'en ce 14 juillet. Souvent accusé de complaisance avec le pouvoir, Le Figaro faisait ainsi état dès 13 h 34 d'un premier bilan de ce 14 juillet, se basant sur un chiffrage communiqué par l'AFP et la Préfecture de Police : 173 personnes interpellées, notait le journal, en marge du défilé.

    Des heurts ont éclaté, dit le journal, entre les gilets jaunes et les forces de police, sur l'avenue des Champs-Élysées en début de ce dimanche après-midi, peu après la fin du défilé militaire du 14 juillet. 'Heurts entre gilets jaunes et CRS avenue des Champs-Élysées avec des jets de lacrymogènes et des interpellations', a témoigné, peut-on encore lire, notre journaliste sur place, Roman Geyer. D'après lui, un périmètre de sécurité a été établi autour du Fouquet's qui a rouvert ce dimanche, après avoir été saccagé lors d'une manifestation en mars dernier. Les "gilets jaunes" tentent de monter des barricades avec des barrières pour occuper l'avenue des Champs-Élysées, etc.

    Technologiquement très brillant, nous assure-t-on cette année, avec l'apparition des drones et d'un homme volant, tout cela est encore gâché par l'incurie du ministère de l'Intérieur et par l'impopularité du pouvoir.

    Malheureusement on doit donc, en effet, constater que ce qui devait représenter une fête "nationale", et qui est reconnu comme tel dans la Constitution, se traduit à Paris par un affrontement entre Français.

    Quoi qu'on puisse penser de la dérive, et de la récupération, du mouvement des gilets jaunes, que l'on croyait terminé, on ne peut que déplorer le fait que plusieurs centaines de personnes aient été arrêtées après avoir simplement sifflé Emmanuel Macron.

    Les concessions financières et administratives du pouvoir n'ont donc pas suffi à cicatriser entièrement cette plaie. A vrai dire pourtant plus personne ne peut en expliquer ni les raisons ni les objectifs, encore moins les convergences, entre black blocs, frontistes, anarchistes et cégétistes.

    En théorie, lorsque fut votée, par une majorité versaillaise élue en 1871, la fixation de la fête "nationale" au 14 juillet, il s'agissait, prétendait-on alors, de commémorer l'illusoire fête de la Fédération, elle-même premier anniversaire de la prise de la Bastille. Et c'est, au bout du compte, cette dernière émeute que la mémoire retient, y compris aux États-Unis où on parle du Bastille-Day. On pourrait appeler ça aussi le jour où la tête du malheureux gouverneur de Launay fut brandie sur une pique. Le célèbre chef des Marseillais, Jourdan dit Coupe-Tête se vantait de l'exploit. C'est à lui et à ses bandes hideuses, dépenaillées et venimeuses montées à Paris, en fait depuis Avignon, que l'on doit l'adoption du nom de "Marseillaise" donné au chant composé par à Strasbourg par Rouget de l'Isle pour l’armée du Rhin, qu'ils beuglaient à l'été 1792 lors de l'affreuse journée du 10 août.

    Cette année-ci, dans la soirée, au moment même où notre Luxembourgeois préféré Stéphane Bern, lui-même assez clairement orléaniste, faisait rechanter patriotiquement cette Marseillaise au populaire ténor Roberto Alagna, le communautarisme algérien commençait, à Paris ses interminables klaxons. On a pu les entendre dans mon quartier jusque très tard dans la nuit, malgré l'intervention des forces de police si mal dirigées par M. Castaner. À Lyon et à Marseille se sont produits des incidents encore plus graves : véhicules brûlés, feux de poubelles, barricades sur la voie publique, etc.

    On peut légitimement s'interroger, et on devrait le faire sérieusement, avant qu'il soit [vraiment] trop tard, au-delà de l'idée un peu trop indulgente d'une gentille fête qui a mal tourné, sur la signification de cette violence, de ces flambées chaque année plus fréquentes et plus insupportables.

    De bons esprits invoqueront peut-être l'article 23-7 du Code Civil. Qu'on en juge d'après sa rédaction. "Le Français qui se comporte en fait comme le national d'un pays étranger peut, s'il a la nationalité de ce pays, être déclaré, par décret après avis conforme du Conseil d'État, avoir perdu la qualité de Français." Cette rédaction mièvre, d'application quasi impossible, remonte à juillet 1993. Combien des 282 personnes interpellées en cette occasion le dimanche, contre 74 trois jours auparavant, en entendront même la rumeur ?

    Cette fête ne m'a jamais réjoui, je l'avoue. Elle se trouve assortie d'un défilé militaire. Cette invention consolante, supposée reconciliatrice, remonte au "brave" général Boulanger, ministre de la Guerre en 1886. La bravoure la plus significative de l'intéressé consista, quelques années plus tard, en 1891, à se suicider sur la tombe de sa maîtresse.

    Ma réticence fondamentale pour la révolution française[1], et pour l'héritage boulangiste, n'en sort ainsi que renforcée.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    [1] Sur le même sujet : cf. L'Insolent du 17 juillet 2008 "De la révolution, du 14 juillet, du jacobinisme et de l'horreur qu'ils doivent nous inspirer."

    https://www.insolent.fr/2019/07/tu-parles-dune-fete-nationale.html

  • Avorter oui, accoucher non

    Avorter oui, accoucher non

    Marine Le Pen s’inquiète de la fermeture de maternités :

    Les accouchements dans les maternités de Thann et d’Altkirch dans le Haut Rhin n’assureront plus d’accouchements à partir du 4 novembre pour des raisons de « manque de ressources médicales » et de « qualité et de sécurité des soins ».

    Loin d’être un fait isolé, cette mesure s’inscrit dans un mouvement de fond constaté depuis plusieurs années, particulièrement inquiétant tant en termes d’aménagement du territoire, d’accès aux soins, et de sécurité.

    En effet, si la France comptait en 1996 encore 814 maternités, on en dénombre aujourd’hui plus que 470. […]

    Il faut souligner que les derniers gouvernements ont tout fait pour permettre aux mères d’avorter leur enfant. En revanche, pour faciliter les accouchements, …

  • La déséducation nationale… entreprise de destruction massive.

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    N’imaginez pas que donner de bonnes notes soit « égalitaire »
    C’est de la démagogie à l’état pur, et comme toute démagogie à l’état pure, comme toute « facilité » cela mène toujours au résultat inverse à celui qui était recherché
    Donner le BAC avec mention à tout le monde, supprimer les concours d’entrée à Science-Po ce n’est ni du progrès ni de l’égalité.
    La réalité, à un moment, rattrape tous les mensonges.
    A force de mauvais choix les situations ne sont plus rattrapables.
    La sélection naturelle est naturelle.
    Dans un processus politique, l’action publique cherche à rendre la sélection naturelle moins « définitive » et à laisser sa chance à tous.
    C’est le rôle de l’instruction.
    D’ailleurs notez la différence sémantique entre instruction et éducation. 
    Instruire c’est donner les outils de la connaissance ou d’accès à celle-ci. 
    Éduquer, c’est élever, et cela implique par définition une ingérence dans la vie des enfants.
    Le constat du niveau en France est alarmant. 
    On cache derrière des taux de réussite « soviétiques », une réalité dramatique avec des gamins qui ne savent plus lire ni écrire, qui ne savent plus réfléchir ni penser.
    Donner de bonnes notes est ce qu’il y a de plus inégalitaire, cela peut même faire croire à certains parents que tout « va bien », que le gamin a le niveau, alors qu’il est d’une nullité crasse, plus personne n’est en mesure de comprendre ce qu’il lui arrive le jour où la sélection fait son oeuvre.
    Les bonnes notes à tous, c’est comme les taux 0 en économie. 
    Cela biaise totalement la perception de la réalité des agents économiques, cela fait prendre les mauvaises décisions basées sur de mauvais indicateurs.
    Les bonnes notes à tous, c’est faire croire que l’éducation est bonne pour tout le monde, alors que les plus aisés bénéficient d’une bien meilleure instruction et d’une préparation à la maison et pas les gamins issus des classes les plus populaires.
    Mentir aux gens est ce qu’il y a de pire, après… les mensonges que l’on se fait à soi-même.
    Charles SANNAT
     
  • Les contradictions des écolo-bobo-gauchos !

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    Les écolo-bobo-gauchos, qui s’autoproclament progressistes, en contradictions permanentes ont un sens particulier du progrès.

    – Ils confondent science et idéologie : pour eux, le communisme est scientifique, le genre une théorie, le réchauffement climatique est anthropique, alors que les scientifiques (les vrais) démontrent que c’est un phénomène naturel.
    – Ils sont contre le populisme, mais s’esbaudissent devant les démocraties populaires qui ne sont ni démocratiques ni populaires.
    – Ils sont libéraux comme consommateurs, mais marxistes comme fonctionnaires.
    – Ils sont pour l’Afrique aux Africains, mais contre l’Europe aux Européens.
    – Ils sont contre la nation, mais pour les subventions, les services publics et les droits sociaux de la nation.
    – Ils nient l’existence des patries, mais interdisent les apatrides.
    – Ils sont contre le bétonnage des terres agricoles, mais réclament la construction de centaine de milliers de logements sociaux pour accueillir l’immigration qu’ils réclament.
    – Le monde culturel est pour le libéralisme économique, sauf pour eux : ils exigent l’exception culturelle.
    – Ils se disent démocrates, mais admirent les dictatures du prolétariat.
    – Libéraux-libertaires, ils sont pour la concurrence libre et non faussée, mais sont favorables aux fusions-acquisitions qui conduisent à des monopoles.
    – Les féministes sont pour exhiber leurs appas, mais veulent interdire les regards masculins qu’elles provoquent.
    – Elles sont pour la libération de la femme, mais sont contre l’interdiction de la burqa, synonyme de soumission totale de la femme.
    – Ils sont pour la réintroduction du loup et des ours dans les campagnes, mais éliminent les araignées, les souris et les rats de leurs logis.
    – Ils veulent interdire d’interdire leurs interdits et rendre obligatoires leurs fantasmes.
    – Ils nient l’existence des races, mais sont contre le racisme.
    – Ils sont « végans » et consomment bio, mais veulent interdire les élevages indispensables à la production bio dans des fermes polyvalentes.
    – Ils sont contre les pollutions, mais pour la mondialisation qui génère des pollutions gigantesques loin d’eux.
    – Ils sont pour ce qui est naturel, sauf pour la reproduction de l’espèce humaine.
    – Ils sont pour les TGV et les voitures électriques, mais contre l’énergie nucléaire indispensable à ces projets.
    – Ils sont contre le capitalisme, mais pour la mondialisation libérale.
    – Ils sont contre le profit, mais sont des profiteurs.
    – Ils créent des associations à but non lucratif qu’ils transforment en associations lucratives sans but.
    – Ils sont pour le droit à la paresse financé par d’autres qui ont le devoir d’être laborieux.
    – Ils sont généreux, mais seulement avec l’argent des autres.
    – Ils donnent des leçons de morale au monde entier, mais se font « poisser ».
    – Médiocres, imbus d’eux-mêmes, ils sont pour ce qui est contre et contre ce qui est pour.

    Ces rigolos pas rigolos sont les idiots utiles du capitalisme parasitaire mondial qu’ils disent combattre !

    https://www.bvoltaire.fr/les-contradictions-des-ecolo-bobo-gauchos/

  • Génération identitaire persécutée, par Francis Bergeron

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    Romain Espino et ses amis de Génération identitaire sont des jeunes gens extrêmement sympathiques, populaires, efficaces. C’est bien ce qu’on leur reproche aujourd’hui. A Gap, jeudi, ils ont été jugés pour avoir mené une opération spectaculaire consistant à… soutenir la loi qui interdit à des immigrés non munis d’autorisations, de pénétrer clandestinement en France.

    Ce soutien, ils l’ont réalisé de façon non violente, et toute symbolique. C’était il y a un an : une centaine d’identitaires s’étaient déplacés au col de l’Echelle, et avaient fait barrage, à la frontière, envoyant le message que les clandestins ne pourraient plus, désormais, entrer en France en empruntant ce passage.

    L’action n’était malheureusement que symbolique, mais elle a eu un retentissement considérable. Des milliers de personnes, de toute la France, ont manifesté leur soutien à cette opération, voire leur souhait de participer aux prochaines actions de Génération identitaire. L’opération avait en effet donné une image extraordinairement positive de cette organisation.

    Pourtant plusieurs responsables, le président de l’association et deux cadres, sont poursuivis, le procureur de la République (c’est-à-dire le gouvernement) demandant des peines assez ahurissantes contre eux.

    Il paraissait pourtant très improbable que l’affaire donne lieu à des poursuites car, de l’autre côté de la frontière, le ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini, prend actuellement des mesures infiniment moins symboliques que celles de Génération identitaire.

    Six mois de prison ferme et 75 000 euros d’amende ?

    Et puis personne n’ignore qu’à Mayotte, par exemple, et pas seulement dans cette île de nos terres d’outre-mer, les habitants se sont organisés en milices et n’hésitent pas à s’emparer d’immigrants clandestins débarquant sur leurs côtes. Ils les capturent et les livrent à la gendarmerie locale, ce qui, pour le coup, est absolument interdit. Mayotte, c’est la France, et pourtant tout le monde fait semblant de ne pas savoir, tout simplement parce que ces territoires font l’objet d’une véritable invasion, et que le gouvernement n’a aucune réponse à ce déferlement.

    Un procès qui paraissait improbable car, on l’a vu encore ce week-end du 14 juillet au Panthéon, des associations mènent des actions illégales et violentes pour favoriser l’arrivée en France et l’installation de clandestins. Jamais à leur égard n’ont été réclamées des peines bien lourdes. Et jamais il n’a été envisagé de dissoudre ces associations délinquantes agissant en bande organisée.

    Or le procureur de Gap, le dénommé Balland, ne réclame pas moins de six mois de prison, et qui plus est de la prison ferme, à l’encontre des trois jeunes gens, et 75 000 euros d’amende, soit la peine maximale. La dissolution de Génération identitaire est également envisagée par « Simplet » Castaner.

    Le déni de justice est flagrant. Le caractère inéquitable de ce procès, des sanctions demandées, saute aux yeux. Le résultat sera connu le 29 août. Mais on peut s’attendre au pire, comme dans tous les procès que l’Etat intente aux jeunes résistants de la France française.

    Une condamnation de ceux qui s’opposent symboliquement aux filières d’immigration sauvage constituerait par ailleurs un signal – un de plus – en direction de tous les candidats au départ, l’indication qu’on les attend, qu’on les souhaite, même.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 16 juillet 2019

    https://fr.novopress.info/215125/generation-identitaire-persecutee-par-francis-bergeron/