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lobby - Page 861

  • Macron aurait bien fait de ne pas insister !

    Je ne voudrais surtout pas noircir l’image des troupes africaines qui ont débarquées en Provence et en Sicile pour libérer la métropole et l’Italie et qui viennent d’être glorifiées par le président de la république, Emmanuel Macron.

    Souvenons-nous des victoires de Montecassino et du Maréchal Juin et de bien d’autres encore, mais tout de même, il existe une réalité qu’il est difficile d’occulter : les armées, quand elles libèrent un pays, ont dans leurs rangs des individus, une minorité certes, qui commettent des pillages, des vols, des viols et même des crimes, quelles que soient les origines des soldats qui les composent, mais surtout quand ces origines sont plus bestiales que d’autres, de par leurs cultures, leurs coutumes et leurs mœurs.

    Et ces terribles exactions ne se produisent pas contre l’ennemi qu’ils combattent mais contre des populations innocentes, des femmes, des fillettes et même des petits garçons.

    Nombre de ces exactions se sont produites notamment lors du débarquement en Normandie, par certains GI américains, certains s’en souviennent encore dans des familles françaises de la région.

    Mais ces exactions furent bien plus nombreuses en Italie et il ne faut pas se voiler la face, ce sont certains de nos soldats qui en furent coupables.

    Là ou cela devient ennuyeux c’est quand un président de la République, en l’occurrence Emmanuel Macron, dans un élan lyrique, demande aux maires des communes françaises de baptiser certaines places, avenues, rues, du nom de quelques uns de ces soldats africains ou maghrébins.

    Supposons que par malchance l’un de ces  maires décide de baptiser ne serait-ce qu’une rue, du nom de l’un de ces « criminels », du nom de l’un de ces milliers de violeurs dénoncés par les autorités des pays qui ont été libérés par eux.

    Entre les mois d’avril et juin 1944 de nombreux soldats du corps expéditionnaire français se sont rendus coupables de quelques centaines d’atroces crimes de guerre en Italie.

    Des goumiers marocains, des soldats africains, etc. ont commis des pillages, des viols et des crimes et cela a été reconnus par les gouvernements français de l’après-guerre qui ont dédommagés près de 2000 victimes de ces atrocités.

    De nombreux historiens et auteurs ont recensés des milliers de cas et les ont porté à la connaissance du grand public, notamment l’Université La Sapienza de Rome, l’historien Tommaso Baris, professeur à la faculté des sciences politiques qui en a décrit de nombreux exemples dans la prestigieuse revue « Vingtième siècle », éditée par Presses de Science Po. D’autres auteurs comme Alberto Moravia, Edward Bimberg, Norman Lewis, Bruno d’Epiro, etc.

    Ces viols furent dénommés « Marocchinates », en référence à l’origine marocaine de ces soldats africains.

    Le général Juin en personne, commandant en chef du contingent français engagé en Italie, a déclaré solennellement qu’il fallait mettre fin à de tels agissements indignes d’une armée victorieuse.

    Mais cela ne cessa pas !

    Le quotidien français « Libération » a décrit de telles atrocités, au mois de mai 2015, par son envoyée spéciale en Italie, Leïla Minano.

    Toutes les armées du monde ont eu à faire face à de telles atrocités et il est préférable de les « oublier » dès la victoire acquise et de les recouvrir d’un voile opaque pour ne célébrer que les actes héroïques.

    Vous avez eu tort, Emmanuel Macron, de réveiller ces souvenirs et, surtout, de vouloir les glorifier car nombreux parmi ceux que vous avez cité sont ceux qui les ont commises, et les familles de celles et ceux qui en ont été les victimes ne les ont toujours pas oubliées trois-quarts de siècle plus tard ! Allez faire un tour en Normandie ou en Lombardie pour vous en rendre compte !

    Au fait, nous aimerions entendre notre historien national, Benjamin Stora, lui qui parvient à tant minimiser les atrocités et les crimes commis par le FLN et l’ALN au cours des événements d’Algérie, que peut-il nous apprendre sur ceux qui sont un peu plus anciens ?

    Pourquoi ne pas réaliser une table ronde sur ce sujet avec les Romain Goupil, Jean-Michel Ribes, et quelques autres de nos « conteurs » à la science infuse, dont je préfère oublier le nom, autour des réalisateurs du film « Indigènes » par exemple, qui ont magnifié cette armée africaine et maghrébine, passant sous silence ces exploits hors combats ?

    http://magoturf.over-blog.com/2019/08/macron-aurait-bien-fait-de-ne-pas-insister.html

  • Brexit – rencontre entre Emmanuel Macron et Boris Johnson : « les Français se comportent comme des cons »

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    Une rencontre entre Emmanuel Macron et Boris Johnson a eu lieu ce 22 août à Paris. À cette occasion, Franceinfo s’est rappelé ces situations dans lesquelles le Premier ministre britannique a créé la polémique, s’exprimant sans retenue sur des personnalités politiques françaises, comme François Hollande ou Arnaud Montebourg.

    «Il semble bien que les sans-culottes ont pris le pouvoir à Paris», «les Français se comportent comme des cons», voici certaines des déclarations de Boris Johnson sur la France, dont Franceinfo s’est souvenu alors que le Premier ministre britannique a été reçu ce jeudi 22 août à Paris par Emmanuel Macron.

    La plus récente a été prononcée en 2018, quand Boris Johnson, alors ministre des Affaires étrangères, était suivi par une équipe de la BBC dans le cadre du tournage d’un documentaire, au cours duquel il a dit que «les Français se comportent comme des cons sur le Brexit».

    Cette déclaration n’apparait pas dans le documentaire, car le Premier ministre aurait demandé à ce qu’elle soit coupée au montage. Mais l’affaire a fini par faire surface en juin. Johnson, pour sa part, affirme n’avoir «aucun souvenir de ce commentaire».

    François Hollande, Arnaud Montebourg

    En 2017, l’homme politique britannique a «prêté attention» à François Hollande dans le contexte des négociations sur Brexit.

    «Si M.Hollande veut administrer une correction à quiconque essaie de s’échapper, un peu comme dans les films sur la Seconde Guerre mondiale, je pense que ce n’est pas la bonne voie pour aller de l’avant», a-t-il lancé.

    Avant l’arrivée à l’Élysée de M.Hollande en 2012, Boris Johnson s’est attaqué à Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif, qui envisageait de nationaliser l’usine d’ArcelorMittal à Florange.

    «Il semble bien que les sans-culottes ont pris le pouvoir à Paris», avait-il alors confié lors d’un déplacement en Inde, ajoutant, en français, «Venez à Londres, les amis!».

    «Peut-être que les Anglais vont avoir beaucoup d’influence sur les Français à Calais. Peut-être qu’ils vont regagner Calais!», avait annoncé le Premier ministre quelques années plus tôt, en français, sur le tunnel sous la Manche.

    Sputnik

    Photo : © REUTERS / Simon Dawson

    https://www.alterinfo.ch/2019/08/22/brexit-rencontre-entre-emmanuel-macron-et-boris-johnson-les-francais-se-comportent-comme-des-cons/

  • Toulouse : l’article du JDD qui vous dit tout (ou presque) sur l’explosion des trafics

     
    Le JDD est un journal extraordinaire : en une, le visage souriant de Brigitte Macron ; en pages intérieures, un article sur la situation de Toulouse, minée par les trafics de drogue et les règlements de comptes entre leaders du deal, qui ont hissé la Ville rose à la hauteur de Marseille, pour un triste record. La vitrine, et l’arrière-boutique.
    L’accroche de l’article est aussi sans fard : « À Toulouse, une génération de jeunes caïds met la ville à feu et à sang pour le contrôle des points de deal. Leur héros : Mohamed Merah. »
    Pour ceux qui ne connaissent pas encore Toulouse, vous saurez tout sur les quartiers tenus par ces Merah-racailles : Empalot, le Mirail, les Izards, etc. 
    Tout sur l’explosion de la demande, en cannabis, en héroïne et en coke, du fait de l’envolée démographique de la Ville rose et la présence d’une clientèle d’étudiants et de cadres « aisés » qui engraissent ces caïds : 50.000 €/jour pour les plus doués. 
    De quoi méditer, s’il est encore temps, sur l’argent et le bonheur…
    L’article pose quelques bonnes questions : 
    « Comment s’est ­installé ce sentiment d’impunité qui ­désormais les habite ? La faiblesse des effectifs de police à Toulouse, ville nettement sous-dotée par rapport à Bordeaux ou Marseille, faute de poids lourds politiques, n’explique pas tout. Les voyous du cru exploitent une autre faiblesse du dispositif, ces tensions persistantes entre une police confinée au centre-ville et une gendarmerie qui en gère le pourtour, en sus d’une vaste zone rurale ; malins, ils dealent d’un côté de la “frontière” et dorment de l’autre, chez les pandores. Mais il y a autre chose, que pointe ce policier qui les connaît bien : l’effet Merah. Plusieurs de ceux qui sont morts sous les balles (treize règlements de comptes en 2018, cinq depuis le mois de janvier) ont grandi dans la même cage d’escalier que Mohamed Merah. » 
    En pleine préparation des élections municipales, cela devrait peut-être inciter les Toulousains à se réveiller, à faire enfin le deuil des tranquilles années Baudis, un âge d’or révolu, et à se demander s’ils veulent continuer à laisser dériver leur ville avec une municipalité LR inconsistante qui ne rêve que de s’allier avec des LREM tout aussi mous sur ces questions.
    Mais, comme d’habitude avec ce genre d’articles, on est pris d’un doute, et d’une colère : il y a comme un ton fataliste sur l’air du « Oh, zut, on n’a rien vu venir ». 
    Mais si, dans le Sud-Ouest, à Toulouse et dans toutes les petites villes gangrenées par la métropole des trafics, ces bases arrières des gros caïds toulousains (Agen, Albi, Castres, Lavaur, Villeneuve-sur-Lot, etc.), bien sûr que si, on a vu venir ! 
    Et les trafics, et les voitures, et la radicalisation !
    Et le deal jusque sous nos fenêtres ! 
    Avec toute la délinquance afférente. Et on voit depuis des années !
    Le profil soigné de Brigitte Macron sur papier glacé ou en une ne suffit plus à mettre la poussière et la poudre sous le tapis.
    Un jour, il faudra bien éradiquer ces trafics, vu la violence et l’insécurité exponentielles qu’ils entraînent. 
    Il y faudra d’autres moyens que ceux de la police et de la Justice actuelles. 
    Et une vraie volonté politique.
    Et pour cela, on ne fera pas l’impasse sur la question de l’immigration, et sur la fermeture de certaines frontières, quand on lit le rôle que jouent à tous les niveaux ces dealers « blédards » dont parle l’article.
    Le JDD peut préparer d’autres unes pour les années qui viennent. 
    Dominique Monthus

  • G7 sans la Russie: Marine Le Pen dénonce une «parodie de guerre froide»

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    S’opposant à une réintégration de la Russie aux côtés des pays du G7, l’UE agit de façon «contre-productive pour les intérêts» de ses nations, a estimé la présidente du Rassemblement national.

    Marine Le Pen a fustigé l’UE pour son opposition au retour de la Russie dans un G8 des grandes puissances industrialisées, format dont Moscou a été exclu en 2014 sur fond des événements en Ukraine.

    «En s'opposant au retour de la Russie dans un nouveau G8, l'UE nous rejoue une absurde parodie de guerre froide», a-t-elle écrit sur son compte Twitter.

    «En plus d'être anachronique, cette idéologie antirusse est totalement contre-productive pour les intérêts des nations européennes!», a ajouté la femme politique.

    ​Donald Trump a estimé mardi 20 août qu'il serait «approprié» que la Russie puisse réintégrer ce club aux côtés des États-Unis, du Japon, du Canada, de l'Allemagne, de la Grande-Bretagne et de la France.

    La question de cette réintégration a été abordée lors de la rencontre entre Vladimir Poutine et Emmanuel Macron au fort de Brégançon, la situation en Ukraine demeurant toujours un point de tension entre Moscou et une partie des pays occidentaux.

    https://fr.sputniknews.com/international/201908231041970132-g7-sans-la-russie-marine-le-pen-denonce-une-parodie-de-guerre-froide/

  • Open Arms: Pour Eric Ciotti, Emmanuel Macron « trahit les Français » en acceptant les clandestins

    Open Arms.jpgÉric Ciotti refuse l’ouverture des ports français aux clandestins de l’Open Arms « aucun bateau ne doit accoster en France. Emmanuel Macron trahit les Français en acceptant que des clandestins soient répartis sur notre sol sans aucune concertation parlementaire et populaire. »
    L’équipage illégal de l’Open Arms a débarqué dans la nuit de mardi à mercredi sur l’île de Lampedusa avec, à son bord, plusieurs clandestins.
    Au nom de la France Emmanuel Macron, tout comme cinq autres pays européens, s’est engagé à les accueillir alors même que la crise migratoire frappe l’Europe depuis plusieurs années. Cette position de pseudo solidarité est irresponsable et trahit les Français qui refusent cette immigration massive pour laquelle ils n’ont jamais été consultés. C’est cette fausse générosité qui est à l’origine de tels drames alors que seule la fermeté peut être gage d’humanité. Le rôle des États est de sauver des vies mais pas de se faire les complices répétés et aveugles des passeurs.
    Un an après le chantage de l’Aquarius le problème reste entier : des clandestins sont accueillis en Europe alors que nos capacités d’intégration sont largement saturés et sans aucun consentement populaire et parlementaire. Je regrette que le projet de hotspots promis par Emmanuel Macron pour étudier les demandes d’asiles dans les pays d’origines soit toujours lettre morte.
    Les associations d’extrême gauche qui réclament que les maires des villes portuaires ouvrent leurs ports aux migrants font preuve d’une irresponsabilité confinant à l’inconscience. Les ports français ne doivent pas devenir de nouveaux Lampedusa. Je m’y refuse. Ce sont en priorité les ports d’Afrique du Nord qui doivent accueillir ces clandestins. Ceux qui se félicitent de l’arrivée en Europe de clandestins sont les complices des passeurs.
    Cet édito est à titre informatif seulement. Les points de vue exposés dans ce texte représentent uniquement l'opinion de l'auteur et nullement la rédaction de peupledefrance.com 

  • Aude Mirkovic : « Si nous ne voulons pas du business de la fabrication des bébés, il faut dire NON à ce projet. »

    Boulevard Voltaire vient de publier un entretien intéressant avec Aude Mirkovic qui dénonce le projet de remboursement de la PMA – par la Sécurité sociale – à toutes les femmes.

    1) Le ministre de la Santé Agnès Buzyn a confirmé, fin juin, que la PMA, qui sera ouverte à toutes les femmes, serait remboursée à toutes. Les députés Valérie Boyer et Pierre-Henri Dumont (LR) dénoncent un dévoiement des principes de la Sécurité sociale. Partagez-vous leur avis ?

    Tout à fait. Le but de l’assurance maladie est de permettre aux assurés de faire face à des maladies, des pathologies. Déjà, parmi les soins pris en charge, il est nécessaire d’opérer une hiérarchisation des dépenses en raison de la croissance des dépenses et du déficit récurrent : on assiste à une baisse tous azimuts de l’offre de soins au fil des années. Demandez, par exemple, aux parents des enfants autistes s’ils ont de quoi payer l’ergothérapie dont leurs enfants ont besoin, aux personnes âgées qui n’ont pas de mutuelle complémentaire si elles peuvent remplacer leurs lunettes, et à de nombreuses personnes pourquoi elles ne remplacent pas les dents qui leur manquent. Autant de soins que l’assurance maladie ne prend pas ou peu en charge, faute de moyens. En dernier lieu, la fin du remboursement de l’homéopathie vient d’être décidée au motif que l’efficacité thérapeutique de l’homéopathie ne serait pas prouvée. Je ne me prononce pas sur le point de savoir si l’homéopathie est efficace ou pas, ce n’est pas de ma compétence. En revanche, chacun peut percevoir l’injustice qu’il y a à dérembourser des médicaments au motif que leur efficacité thérapeutique n’est pas prouvée, tout en prévoyant le remboursement total de PMA qui ne s’inscrivent dans aucune démarche thérapeutique, ni prouvée ni même alléguée, puisque les intéressés ne souffrent pas d’infertilité.

    2) Le remboursement de la PMA à toutes les femmes susciterait-il d’autres problèmes que cette dérive de la fonction de la Sécurité sociale ?

    Il y aurait, notamment, un détournement du rôle de la médecine, dénoncé par plus de 1.700 médecins dans une tribune en ce sens (https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Ethique/petition-contre-PMA-signee-1-700-medecins-2018-06-01-1200943665). Les médecins deviennent des prestataires de service, sans compter qu’inséminer une femme fertile par un donneur fertile ne requiert aucune compétence médicale : la blouse blanche ne suffit pas à donner un caractère médical à une prestation devenue un business. Et cela ne concerne pas seulement les femmes seules ou en couple de femmes : le projet de loi offre la PMA non seulement à toutes mais à tous, y compris les couples fertiles qui pourront recourir à la PMA et au don de gamètes dans une branche ou les deux si tel est leur choix. La PMA pour les femmes est l’arbre qui cache la forêt : le projet est celui de la « procréation sans sexe pour tous », comme le dit explicitement le rapport parlementaire du député Jean-Louis Touraine. Le but est d’organiser la production industrielle de l’humain avec, bien entendu, programmation et sélection des enfants pour réaliser le projet du ou des adultes en désir d’enfant. En effet, si un couple fertile recourt à la PMA, ce n’est pas pour avoir un enfant sans plus – ce qu’ils peuvent faire tout seuls. C’est pour avoir tel enfant qui correspond à tel projet. Si nous ne voulons pas du business de la fabrication des bébés, il faut dire NON à ce projet.

    3) Une manifestation nationale unitaire contre le projet de loi bioéthique est prévue, le 6 octobre 2019, à Paris. Pensez-vous que cette mobilisation puisse contribuer à enrayer le mouvement « progressiste » qui nous entraîne aujourd’hui vers la PMA pour toutes remboursée par la Sécurité sociale, demain vers la GPA ?

    Bien sûr qu’elle le peut ! Ce projet va à l’encontre de la justice en privant légalement certains enfants de père, et de la dignité humaine par la programmation et sélection des enfants en fonction du projet parental qu’ils sont sommés de satisfaire ou de telle ou telle préférence personnelle recherchée par les adultes. Il est encore possible de contribuer à une prise de conscience, encore faut-il que chacun s’y mette : il est possible, par exemple, de commander gratuitement un petit livret explicatif sur le site www.pmagpa.fr. À chacun de le lire et de le donner ensuite à quelqu’un. C’est à la portée de tous ! Et offrir ne serait-ce qu’un seul livret à une seule personne sera plus efficace que des heures de lamentations !

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Youtube veut faire taire la Dissidence française

    Communiqué de la Dissidence Française 

    Le 14 août dernier, nous avons été informé de la suspension de notre chaîne YouTube. Sans avertissement préalable ni justification claire, YouTube a ainsi délibérément fait le choix de censurer la chaîne officielle de la Dissidence Française qui comptait plusieurs milliers d’abonnés et des dizaines de vidéos auxquelles nous n’avons désormais plus accès.

    Les motifs invoqués par YouTube pour justifier cette décision sont flous et mensongers : en aucun cas la Dissidence Française n’a publié un contenu qui « encourage ou glorifie la violence ou la haine contre une personne ou un groupe de personnes ». D’ailleurs, notre organisation n’a jamais fait l’objet de poursuites ou de condamnations pour ces faits, ni pour aucun autre.

    Ces dérives témoignent des ingérences de plus en plus nombreuses des multinationales étrangères dans la vie politique des États souverains. Il s’agit donc là d’atteintes graves aux libertés constitutionnelles d’expression et d’opinion.

    En effet, au nom de quoi une entreprise privée – a fortiori une entreprise étrangère – s’arroge-t-elle le droit de décider si un parti politique français officiel et déclaré, qui représente plusieurs milliers d’électeurs et siège au sein d’assemblées locales, a le droit de s’exprimer ou non ? Au nom de quoi une entreprise privée s’arroge-t-elle le droit de mettre une oeuvre une discrimination pour des motifs politiques, et faire ainsi le choix de favoriser un courant d’idée plutôt qu’un autre ?

    La décision de YouTube est inique, mais elle est aussi illégale à plusieurs titres :

    • Les dispositions légales relatives au financement des partis politiques indiquent clairement qu’une entreprise privée n’a pas le droit d’intervenir dans le financement d’un parti politique ou d’une campagne électorale, soit directement soit en nature (Art. 11-4 de la loi du 11 mars 1988). Or, en empêchant la Dissidence Française d’utiliser sa plate-forme, YouTube favorise de fait l’audience des autres partis politiques, ce qui s’apparente un financement illégal de partis politiques.
    • L’article 225-1 du Code Pénal, régissant les relations entre personnes morales, précise qu’une entreprise n’a pas le droit d’opérer une discrimination sur le fondement des opinions ou orientations politiques.

    Nous avons fait appel de cette suspension, et n’avons reçu pour le moment aucune réponse de la part de YouTube. En l’absence de réponse et conformément à la Loi, la Dissidence Française se réserve donc le droit d’ester en justice et de poursuivre YouTube au titre des articles pré-cités.

    Nous appelons tous nos militants et sympathisants, et de manière générale tous les Français attachés à la liberté d’expression et au pluralisme démocratique, à nous soutenir en signant la pétition que nous avons mis en ligne

    Afin de nous prémunir contre d’autres tentatives de déstabilisation et de censure, nous vous invitons également à nous suivre sur Telegram et à vous inscrire à notre newsletter.

    On ne lâche rien !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/21/youtube-veut-faire-taire-la-dissidence-francaise-6171177.html

  • Les malheurs de Greta (suite) : comment compenser ses grosses émissions ?

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    La vie est pleine de paradoxes. Tenez, prenons, par exemple, les empreintes. Des millions d’années qu’on court après. On en cherche, on les suit, on les trace, on les traque… bref, on en redemande. Ça a commencé à la sortie du jardin d’Éden, quand il a fallu suivre le serpent serpentant, puis on a reniflé les empreintes de l’ours et celles du tigre aux dents de sabre entre deux crottes de Sahelanthropus tchadensis. Puis sapiens a suivi Néandertal, qui pistait rudolfensis qui traçait ergaster

    L’empreinte, vous dis-je, a guidé les hommes. Elle leur a indiqué le chemin de la grotte où perpétuer l’espèce dans la chaleur du foyer magdalénien et s’adonner, sur le même, aux joies du barbecue primitif. Ah, la belle époque où l’on pouvait carboniser la viande sans mauvaise conscience…

    Aux ères glaciaires ont succédé les ères brûlantes qui annonçaient d’autres glaciations. Et puis… et puis, Dieu merci, empruntant à Boileau, nous dirons tous en chœur :

    « Enfin Greta vint, et, la première au monde,
    Fit sentir dans ses tresses une juste cadence,
    D’un mot mis en sa place enseigna le pouvoir,
    Et réduisit la pollution aux règles du devoir. »

    Résultat : l’empreinte est, aujourd’hui, maudite. Il n’en faut point, il n’en faut plus. Sus à l’empreinte !

    Il faut dire que, de trace objective, l’empreinte, aujourd’hui, s’est muée en un ennemi sournois : pour voir l’empreinte carbone, il faut lever le nez en l’air. Elle est volatile. Elle se sent. La trace est olfactivement insidieuse. Pouah !

    Voilà pourquoi notre Greta, refusant de monter dans un avion, vogue sur les flots poissonneux à bord du Malizia II, un « voilier de course zéro carbone » qui la conduit au sommet mondial de l’ONU, à New York. De là, elle ira au Canada, au Mexique et au Chili. Comment ? Nul ne le sait encore. Peut-être à dos de mulet… quoique, le pet de l’Equus asinus est sans doute aussi polluant que celui des ovins et des bovins. Nous verrons.

    Pour l’heure, la polémique, vous disais-je, tourne autour de l’empreinte, car si Greta ne crache rien à l’aller, sa petite balade va polluer grave au retour.

    C’est la porte-parole du skipper Boris Herrmann qui a vendu la mèche au TAZ, un journal berlinois : cinq personnes, plus lui, vont prendre l’avion pour New York afin de ramener le bateau à son port d’attache (Monaco). Six billets, donc. C’est plus que si papa et sa fillette avaient traversé l’Atlantique en avion, même en comptant l’ami cinéaste et la marraine écolo. Du côté des armateurs, on conteste : « Je pose tout et ne retiens rien, le compte n’y est pas », dit la porte-parole, arguant du fait que deux personnes sur les cinq résident à New York. Soit, mais il leur faudra alors rentrer chez elles… Et puis il y a aussi l’autre skipper, la tête semi-couronnée, Pierre Casiraghi, qui a « des obligations » et doit rentrer dare-dare. Un bal sur le Rocher, une soirée au Casino, le survol de la baie en hélicoptère pour ses clients VIP…

    Aucune importance, assure la dame : « Tous les vols de l’équipe sont compensés. » Compensés comment ? Mystère.

    La question demeure donc pour l’heure insoluble : comment compenser toutes ces grosses émissions ?

    « Je ne sais pas encore comment je vais rentrer à la maison », dit la gentille Greta.

    À la nage, peut-être, ou en pédalo ?

    Marie Delarue

    https://www.bvoltaire.fr/les-malheurs-de-greta-suite-comment-compenser-ses-grosses-emissions/

  • Immigrés clandestins : l’invasion continue en Italie avec la complicité de la France

    Les migrants recueillis en Méditerranée par l’Open Arms ont débarqué dans la nuit de mardi à mercredi sur l’île italienne de Lampedusa, en application d’une décision de justice prise compte tenu des fortes tensions à bord après des jours de sur-place à quelques encâblures de la côte. Ils étaient 147 à bord à l’arrivée du navire humanitaire près de Lampedusa jeudi, et un peu plus de 80 après l’évacuation vers l’île de plusieurs personnes ayant sauté à l’eau mardi et de plusieurs dizaines de mineurs ou de malades ces derniers jours.

    Paris s’est engagé à accueillir «une quarantaine de personnes qui pourront demander l’asile en France», a rappelé Sibeth Ndiaye lors du compte-rendu du conseil des ministres, et «a envoyé sur place ou va le faire dans les tous prochains moments une délégation de l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides, NDLR) qui permettra d’examiner les situations».

    Texte repris du site lesalonbeige.fr

    https://fr.novopress.info/

  • Il y a des lois en France, mais pas les mêmes pour tous !

    La France est-elle devenue à ce point un pays "sans foi ni loi" ?

    Va-t-elle rejoindre la Grande Bretagne dans les statistiques des pays européens qui vivent le plus difficilement leur multiculturalisme, ces pays où les lois sont le moins respectées, je dirais même bafouées par les étrangers et les binationaux qui y résident de plus en plus nombreux, hélas ?

    Nous avons, contre les lois de la République, plus de deux cent zones de « non-droit » où la police, les pompiers, etc. n’ont pas le droit de pénétrer afin d’y rétablir l’ordre, où les maires sont exaspérés et les riverains terrifiés et cela très certainement par ordre hiérarchique, afin de ne pas perturber le semblant de paix qui semble y régner, à l’exception des règlements de compte entre délinquants et quelquefois des dommages collatéraux enregistrés.

    Et nous apprenons qu’une loi de notre République est également bafouée, insidieusement, en silence, sans que cela ne s’ébruite.

    Une loi, depuis 2004, qui interdit les excisions sur notre territoire, or, selon le très récent rapport épidémiologique, publié fin juillet 2019, 124.355 femmes ont été excisées en France, le double, au cours de cette dernière décennie, que les 62.000 entre 2000 et 2010.

    Une quinzaine d’unités médicales spécialisées sont pourtant réparties en France pour venir en aide à ces dizaines de milliers de femmes qui subissent encore de nos jours l’excision et sur notre propre sol.

    N’est-ce pas une honte ? Nous aimerions entendre sur ce sujet la colère de Madame Schiappa, elle qui s’élève immédiatement, avec le courroux que l’on sait, sur des tas de sujets qui ne la concerne en rien et qui se montre bien silencieuse sur celui-ci, qui la concerne directement ?

    Il s’agit pourtant d’un acte de torture condamné par la loi dans presque tous les pays du monde, hors le continent africain.

    Il s’agit d’une mutilation génitale féminine qui entraîne des hémorragies, des infections, des douleurs, des complications lors des accouchements, et des traumatismes qui ressurgissent très souvent à l’âge adulte et entraînent bien des fois la mort de la victime de cette mutilation.

    Plus de 200 millions de jeunes femmes sont concernées sur notre planète, dont 80% en Afrique, pratique soi-disant interdite dans un grand nombre de pays et seulement autorisée officiellement au Mali et en Sierra Leone mais très souvent pratiquée au Sénégal, Côte d’Ivoire, Cameroun et Guinée et, mais à un degré moindre, en Egypte, Indonésie et dans la corne de l’Afrique.

    La France, et ce n’est pas à notre honneur, ni à celui de Madame Schiappa, et le deuxième pays le plus concerné en Europe, après le Royaume Uni et devant l’Italie.

    530.000 jeunes femmes sont les victimes, surtout les fillettes dès leur plus jeune âge, de cette pratique ancestrale, coutumière et terrifiante, sur notre continent européen et cela s’explique, bien évidemment, par la progression et l’invasion constante de cette immigration clandestine que nous subissons depuis de trop nombreuses années.

    Madame Marlène Schiappa, si je ne me trompe pas vous êtes bien la Secrétaire d’Etat chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes ainsi que de la lutte contre les discriminations ? Estimez-vous que cette égalité est respectée sur ce point précis ? Et que la discrimination ne joue pas un rôle sur ce sujet qui mutile près de 125.000 femmes en France et probablement davantage lors des prochaines années ?

    Nous espérons un « tweet » de votre part, puisque c’est par ce moyen que vous vous exprimez le plus !

    http://magoturf.over-blog.com/2019/08/il-y-a-des-lois-en-france-mais-pas-les-memes-pour-tous.html