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  • Face au climato-catastrophisme, être climato-sceptique

    Face au climato-catastrophisme, être climato-sceptique

    De Grégory Roose sur Valeurs Actuelles à propos de Greta Thunberg :

    […] La doctrine climato-catastrophiste, dont Greta Thunberg est le héraut, a pour objectif de diviser afin de mieux s’imposer en distinguant le camp des vertueux à celui des climato-sceptiques, ces affreux négationnistes climatiques qu’il faudrait interdire de parole. Cette opération de discrimination rappelle cette tirade mythique du film Le Bon, la Brute et le Truand, célèbre western spaghetti réalisé par Sergio Leone en 1966 : « Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses. » Elle résume assez bien le jeu de dupe qui s’installe entre les gouvernants et les gouvernés : un rapport de soumission idéologique dans lequel l’action de douter, de penser n’est pas permise, et au cœur duquel Greta Thunberg, l’enfant prodigue à défaut d’être prodige, joue le rôle du Bon, alertant par des tirades spectaculaires ses contemporains des mauvais présages climatiques qui les menacent.

    Les gouvernants n’ont aucune difficulté à jouer le rôle du Truand, qui tirent profit de cette « prise de conscience écologique » préméditée et de l’emprise du gourou Thunberg pour manœuvrer, en coulisse, à des fins économiques et politiques. Il ne reste qu’un bien vilain rôle à endosser, celui de la Brute. Et ce sont les gouvernés, récalcitrants à l’hystérisation des enjeux écologiques, que l’on affuble de ce costume ladre et dont la parole, empreinte de scepticisme, risque de se répandre dans les consciences pourtant convaincues d’avoir été éveillées par Greta Thunberg. Ostracisée, la Brute néanmoins s’interroge, questionne, doute. Parfois, elle réfute, contredit voire refuse. La Brute est sceptique, c’est-à-dire qu’elle refuse d’admettre, sans examen critique, la réalité, les causes et les conséquences du réchauffement climatique ou de la disparition accélérée des espèces. Elle s’interroge sur l’impact réel, mesuré, quantifié, de la pollution sur les terres agricoles, les fleuves et les mers. Enfin, la Brute s’oppose, par son scepticisme, au dogmatisme qui consiste à vouloir imposer au plus grand nombre une vérité qui serait incontestable.

    Celui qui doute fait figure de défiance et donc d’opposition au dogme climato-catastrophiste imposé voire encouragé, la peur justifiant les moyens. Pourtant, le scepticisme écologique, traduit par le néologisme, englobant, « climato-scepticisme », a très mauvaise presse. Et pour cause, puisqu’il lui est infligé une acception qui diverge fondamentalement de son sens premier. Dans la bouche de celui qui accuse, le mot « climato-sceptique » est à l’écologie ce que le mot « raciste » est à la politique : il permet de faire l’économie d’un débat de fond avec un détracteur potentiellement gênant, en jetant sur lui l’opprobre par l’usage inéquitable de cette arme de discréditation massive.

    Sans aborder la question épistémologique, la simple étude du terme « écologie », inventé en 1866 par le biologiste allemand Ernst Haeckel, nous rappelle qu’il est intimement lié avec le besoin de rigueur scientifique. Ce mot nous vient du grec oikos signifiant maison et logos signifiant science. Or, qu’y a-t-il de scientifique dans la démarche dogmatique de Greta Thunberg quand elle déclare au journal Libération, sur un ton aussi prophétique qu’incertain : « On ne sait pas ce qui va se passer, tout est possible » ?

    En définitive, le climato-scepticisme est une approche écologiste raisonnable qui permet de traiter sereinement et efficacement les enjeux des prochaines décennies. Il est nécessaire cependant de donner des lettres de noblesses à ce néologisme dévoyé dès sa conception par un détournement sémantique qui fait passer le sceptique pour un septique. Ensuite, en opposant le dogme à la raison, l’absurdité à la logique. Greta Thunberg consacre l’ère de l’écologie dogmatique à laquelle il convient d’opposer le scepticisme scientifique. En cela, le climato-scepticisme est l’avenir de l’écologie.

    Sur ce sujet, je conseille un petit opuscule édité par Liberté Politique et rédigé par Bruno de Seguins Pazzis : Le climat en question. L’ouvrage, assorti d’un certain nombre de références et de citations de scientifiques bien plus qualifiés que Greta Thunberg entend dénoncer les contre-vérités d’une idéologie dont les fondements scientifiques sont plus que ténus, et dont les objectifs vont clairement contre la dignité humaine.

    https://www.lesalonbeige.fr/face-au-climato-catastrophiste-etre-climato-sceptique/

  • Loi Avia : la France met fin à l’État de droit en matière d’expression

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    Par l’Observatoire du Journalisme ♦ Plus que la Corée du Nord ou autres lieux où il fait bon vivre, « la France est une des plus grandes menaces mondiales contre la liberté d’expression », telle est l’opinion de Jonathan Turley, professeur de droit à l’Université Georges Washington, exprimée dans The Hill« la colline », quotidien réunissant des journalistes démocrates et républicains distribué gratuitement dans et autour du Capitole. À quoi fait-il référence ? À la loi Avia, présentée et votée en France en tant que « loi de lutte contre la haine sur internet ».

    La Loi Avia : de qui s’agit-il ?

    Laetitia Avia, née en Seine-Saint-Denis, est députée LREM de la 8e circonscription de Paris, avocate (il est donc possible de passer le périphérique dans ce sens-là, en vrai) et femme de couleur originaire du Togo.

    Elle a pu enseigner à Sciences Po Paris grâce à l’ouverture de l’école aux banlieues, faisant partie des premières générations ainsi issues de la « diversité » à s’engager en politique (du même bord, dans tous les cas). Laetitia Avia l’a clairement dit : c’est du fait de son expérience personnelle de « victime » qu’elle voulait une telle loi.

    La Loi Avia est donc en premier lieu une loi typique de l’ambiance progressiste actuelle : loi d’émotion comme il existe des lois d’exception. Dans ce cas, les deux ont tendance à se confondre. Notons que le 5 juillet 2017, Le Canard Enchaîné révélait que Laetitia Avia avait mordu à l’épaule un chauffeur de taxi, le 23 juin 2017, à Saint Mandé, suite à une altercation. La députée a reconnu les faits devant la police, avant d’ensuite nier avoir mordu le chauffeur à l’épaule.

    Une loi votée à la quasi-unanimité

    La loi est intitulée « loi contre la haine sur internet » a été votée à l’Assemblée Nationale le mardi 9 juillet par 434 voix pour et 33 contre. C’est en soi un indicateur de l’état de la démocratie représentative en France. Elle avait été annoncée par le président Macron lors du dîner du CRIF en février 2019. Son objet est de bannir des grandes plateformes en ligne les discours dits « haineux ».

    Les principales mesures sont l’obligation pour les plateformes et moteurs de recherche principaux de retirer sous 24 heures des contenus dits haineux car ils cibleraient l’appartenance religieuse (même les païens et les chrétiens ?), ethnique (cela concerne-t-il les blancs ?), sexuelle (les hétéros aussi ?) ou le handicap (les personnes favorables à l’euthanasie de Vincent Lambert seront-elles concernées ?). A ces propositions de départ, larges et peu claires, l’assemblée a ajouté « la provocation au terrorisme et la pédopornographie ». Toute plateforme ne retirant pas ces contenus paiera 1,25 millions d’euros d’amende.

    Prime à la délation

    La question est : qui détermine que le contenu est illicite, et ce en moins de 24 heures ?

    Réponse : ce sont les internautes qui signalent ces contenus. Autrement dit, il n’y a pas de procédure judiciaire ni d’intervention d’un jugeLa pratique organise une forme de délation, donne le primat à l’émotionnel et le pouvoir à des petits groupes organisés plutôt qu’à la justice. La question de l’état de droit relativement à la liberté d’expression est en effet maintenant posée en France.

    Sur toutes les plateformes, il y aura donc un bouton très visible permettant de signaler tout contenu jugé illicite par tout internaute. Le CSA veillera ensuite au grain, pouvant imposer une sanction, si une plateforme résiste, allant jusqu’à 4 % du chiffre annuel mondial de cette plateforme.

    Les plateformes sont obligées de coopérer avec la justice et donc de fournir, à l’instar de Facebook maintenant, à la justice les adresses IP d’auteurs de propos supposés haineux (rappelons que ces derniers, vous, moi, votre voisin, seront dénoncés par la seule grâce d’un simple bouton, en un clic), ce qui permettra de mettre en place une base de données, que les plateformes auront le devoir de conserver afin de pouvoir comparer les nouvelles publications avec d’anciens cas.

    Une loi dangereuse pour la démocratie, les libertés et l’état de droit

    Toute personne de bonne foi le reconnaîtra : l’État, par le biais de sa justice, a le devoir de faire respecter la loi et de sanctionner les manquements. Dans le cadre de la loi. Ainsi, tout propos qui tombe sous le coup de la loi doit être sanctionné par la justice, dans le cadre de l’État de droit. C’est précisément ici que le bât blesse : la justice n’intervient qu’après la sanction. Et encore… il faudra voir, avec l’expérience, si la justice a le temps de se focaliser sur les milliers de cas qui vont être concernés puisque les internautes vont sans doute se mettre à « boutonner » comme de jeunes filles au printemps. A commencer par les organisations d’ultra gauche, jamais inquiétées, jamais poursuivies en justice, qui doivent déjà fêter cela bruyamment dans l’un ou l’autre camping de Saint-Tropez.

    Les reproches faits à cette loi sont nombreux. Elle est accusée de limiter la liberté d’expression (RN, LFI) ou de nécessiter trop de moyens humains et matériels pour être efficace (PS). Le fait est que les plateformes vont avoir intérêt à faire du zèle, ainsi que le montre l’exemple allemand, un des rares pays où ce type de dispositif existe déjà : Facebook a été assujettie à une amende de deux millions d’euros simplement pour avoir manqué de clarté en signalant le nombre de contenus supprimés… Des associations comme La Quadrature du Net, peu sujette à soupçons, indiquent que « Le gouvernement ne veut pas du tout régler ce problème de haine en ligne » (Franceinfo, 10 juillet 2019). Cette association démontre d’ailleurs que la surveillance généralisée des contenus et que la vérification qu’ils ne sont pas remis en ligne sont strictement interdits par une directive européenne depuis 2000, ce qui conduit effectivement à douter de la légalité de la loi Avia – à l’échelle européenne.

    La Quadrature du Net insiste aussi sur le point fondamental : étant amenées à partager une base de données supposément illicites, les plateformes vont remplacer les instances judiciaires. Pire, pour cette association, la loi Avia marque le franchissement d’une marche supplémentaire vers le fait de léguer le pouvoir politique aux grandes entreprises, en particulier multinationales. Cela étonnera-t-il de la part de Macron et de son gouvernement ? La loi Avia, contrairement à ce qui est annoncé, n’est pas une loi de protection des personnes ni de la démocratie, elle est au contraire une loi politique autoritaire qui nie l’État de droit en France. Et bientôt en Europe.

    Observatoire du journalisme 22/07/2019

    Source : OJIM.fr

    https://www.polemia.com/loi-avia-france-fin-etat-droit-matiere-expression/

  • Municipales à Nice : L’Union des Démocrates Musulmans Français veut faire barrage aux «fascismes identitaires»

    Nagib Azergui, Président de l’UDMF (Union des Démocrates Musulmans Français) lance une pétition pour empêcher Philippe Vardon, Vice-président du Conseil régional de Provence-Alpes-Côtes d’Azur (RN), d’être candidat aux élections municipales à Nice.

    […] Si l’extrême droite a réussi à contaminer les mentalités en légitimant l’islamophobie, en la banalisant même, c’est probablement parce que les victimes de cette détestation ont choisi de se murer dans le silence, feignant d’ignorer les atteintes récurrentes portées à leur endroit, et par là même à leurs droits fondamentaux.

    La situation est grave et nécessite de faire évoluer les comportements de toute urgence. Face à ce désastre qui se propage, NOUS ne devons plus rien laisser passer ! […] Utilisons tous les outils démocratiques dont nous disposons, pour faire respecter nos VOIX et créer enfin un véritable rapport de force. Telle est l’unique manière de faire barrage au fascisme et à la radicalisation. Les élections, les rassemblements et les pétitions sont des moyens d’expression démocratiques qui permettent de mobiliser massivement les citoyens, pour que plus jamais notre Nation bascule vers le fascisme. […]

    Cet adepte de la théorie raciste et néo-fasciste du « grand remplacement » prône la remigration, sans que personne ne s’en émeuve dans l’Hexagone. Un concept qui impose le retour forcé des immigrés non Européens dans leur pays d’origine, rien de moins !! […]

    oumma

    http://www.fdesouche.com/1241105-municipales-a-nice-lunion-des-democrates-musulmans-francais-veut-faire-barrage-aux-fascismes-identitaires

  • Encore un mensonge d'Etat : les fermetures d'écoles se multiplient, surtout en milieu rural...

    "Nous ne fermerons pas d'écoles jusqu'en 2022 : la promesse d’Emmanuel Macron faite le 25 avril 2019 lors de sa conférence de presse de conclusion du Grand débat ne sera pas tenue.
    En fait, elle était assortie d’un petit astérisque en bas de page : "pas de fermeture sans l’accord des maires”. 
    Résultat: 362 établissements, ruraux pour la plupart, ne rouvriront pas à la rentrée...

    Selon une enquête du ministère de l’Éducation nationale, reprise par Le Parisien ce lundi 1er juillet, 400 écoles vont disparaître à la rentrée de septembre. Parmi elles, 150 fermetures ont été décidées par l’Éducation nationale et 250 par les élus locaux dans le cadre de projets de fusions et regroupements d’écoles, concernant en première ligne les établissements ruraux.

    Dans la Somme, département rural parmi les plus concernés, « 30 fermetures sont prévues à la rentrée », compte le directeur académique de l'Education nationale (Dasen), Jean Hubac.

    Selon le syndicat SNUipp-FSU, 808 classes ont déjà fermé lors de la dernière rentrée en zones rurales. C’est l’une des doléances des gilets jaunes : la disparition progressive des services publics près de chez eux les obligeant à prendre, toujours plus loin et plus souvent, leur voiture.

    En réalité, les Français doivent le comprendre, le savoir, l'admettre : le Système veut la peau de "la France périphérique", des zones rurales, car elles sont l'antidote exact à la mondialisation voulue par "la fortune anonyme et vagabonde"...
    Il veut sa peau en y faisant disparaître les Ecoles mais aussi les maternités (au Blanc et ailleurs), les Services publics...

    Voilà pourquoi nous sommes anti-Système.Voilà pourquoi nous sommes révolutionnaires de ce désordre établi, "chaos figé des conservateurs du désordre", héritiers du "chaos explosif des révolutionnaires"...Voilà pourquoi nous voulons une révolution royale.Voilà pourquoi nous crions "Vive le Roi", premier serviteur de la légitimité révolutionnaire, pour que continue à vivre notre France charnelle sur la totalité de ses magnifiques pays que l'Histoire nous a légués, et dont la République idéologique veut nous priver, en nous entassant dans une quinzaine d'immenses conurbations sans âme, au milieu d'un grand désert, là où s'étendait, jadis, notre "Douce France"...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/07/10/encore-un-mensonge-d-etat-les-fermetures-d-ecoles-se-multipl-6163198.html

  • LA SOLUTION DES POUVOIRS PUBLICS POUR FINANCER LES RETRAITES ? RÉDUIRE LE NOMBRE DES RETRAITÉS PAR L’EUTHANASIE DE MASSE !

    2262812951.6.pngJérôme Bourbon

    LE CHIRAQUIEN Jean-Paul Delevoye, haut commissaire chargé de la réforme des retraites, a remis son rapport le jeudi 18 juillet. Chaque fois que le Système parle de réforme, on peut être sûr que l’on s’oriente vers de nouvelles régressions sociales et de nouvelles restrictions de liberté. Ce rapport ne fait pas exception puisqu’il n’a d’autre objectif que de manipuler les masses et de les préparer à cotiser plus longtemps pour percevoir moins encore à la retraite. Ce n’est pas le « travailler plus pour gagner plus » de Sarkozy, qui était déjà dans les faits un mensonge, c’est le « travailler plus longtemps pour gagner moins » de Macron. Et comme toujours les pouvoirs publics procèdent de manière malhonnête en faisant semblant de ne rien changer d’essentiel, de ne pas détériorer encore le système existant.

    Ainsi l’âge légal de la retraite serait a priori maintenu à 62 ans mais cette disposition est totalement vidée de sa substance puisque, dans le système imaginé par Delevoye (ou plutôt mis sur le papier par ce politicien falot qui ne fait suivre que les grandes politiques malthusiennes de l’Union européenne et des cénacles mondialistes), il faudra travailler très au-delà de cet âge pour pouvoir bénéficier d’une pension simplement décente. Et le système de points envisagé a pour objectif d’encourager fortement, et dans les faits de forcer, les gens à travailler le plus longtemps et le plus tard possible, quelle que soit la pénibilité du métier exercé et quelle que soit l’usure du travailleur, pour pouvoir toucher une retraite qui permette de vivre, et parfois même seulement de survivre. 

    AU LIEU de sans cesse augmenter la durée et le montant des cotisations et de réduire les pensions, il conviendrait, et cela aurait dû être fait depuis longtemps, de développer une politique familiale et nataliste ambitieuse. Car la seule façon de permettre dans la durée le financement du système de retraites, c’est d’assurer le renouvellement des générations, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Les pouvoirs publics, à peu près partout en Occident, préfèrent détruire ce qui reste de familles, favorisent par tous les moyens la contraception et l’avortement de masse — lequel enlève silencieusement chaque année à notre nation plus de deux cent mille enfants français parfaitement sains et viables —, accordent des droits exorbitants à des marginaux, à de petites minorités ostentatoires, se font le relais et l’obligé des revendications les plus exorbitantes et les plus folles du lobby LGBT, lui-même activé et favorisé par les cénacles mondialistes, de l’ONU au Conseil de l’Europe, autant d’initiatives criminelles qui ne peuvent conduire à terme qu’à l’implosion et à la cessation du système des retraites. Le jour sans doute n’est pas loin où il ne sera plus possible de prendre sa retraite car elle ne sera plus du tout financée selon le système du « travaille ou crève ! »

    D’aucuns, cyniques, osent affirmer que les immigrés paieront la retraite des Français de souche en âge de cesser leur activité professionnelle. C’est se moquer du monde. Outre que les immigrés entrant actuellement en France sont pour 95 % des ayants-droit sociaux ne travaillant ni ne cotisant, on voit mal comment ils pourraient financer les pensions des seniors. De plus, l’actuel régime par répartition reposait sur la solidarité nationale, ce qui suppose une appartenance commune, un destin commun, le sentiment de faire partie de la même nation, de la même aventure collective, d’avoir une histoire, une terre et des racines communes. Or ce sentiment s’est fortement dilué et estompé, s’est même souvent effondré avec l’immigration de masse extra-européenne. On l’a encore vu ces derniers jours avec la victoire de l’Algérie lors de la Coupe d’Afrique de football. Beaucoup d’immigrés naturalisés français ou devenus français par le droit du sol se sentent beaucoup plus Algériens que Français et souvent ne sont pas mécontents de coloniser aujourd’hui la terre, les rues, les esprits et les institutions des anciens colonisateurs.

    MAIS LE MOYEN le plus efficace et le plus brutal pour résoudre le problème des retraites, c’est l’euthanasie de masse. Plutôt qu’augmenter les cotisations, plutôt que réduire les pensions, il reste une solution : la réduction du nombre de retraités. La jurisprudence de la cour de cassation le 28 juin dans l’affaire Vincent Lambert aura à n’en pas douter des conséquences cataclysmiques dans les mois et les années à venir. Va se réaliser ce que souhaitait depuis 40 ans Jacques Attali, l’homme qui murmure à l’oreille des présidents, de Mitterrand à Macron inclusivement. 

    Dans L’Avenir de la vie, livre paru en 1981 aux Editions Seghers, Attali se faisait déjà en effet un défenseur acharné et enthousiaste de l’euthanasie de masse des seniors : « Dès qu’il dépasse 60-65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. La vieillesse est maintenant un marché mais il n’est pas solvable. Je suis pour ma part, en tant que socialiste, contre l’allongement de la vie. L’euthanasie sera un instrument essentiel de nos sociétés futures. Je crois que dans la logique même de la société industrielle, l’objectif ne va plus être d’allonger l’espérance de vie mais de faire en sorte qu’à l’intérieur même d’une durée de vie déterminée, l’homme vive le mieux possible, mais de telle sorte que les dépenses de santé seront les plus réduites possible en terme de coût pour la collectivité. […] Il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle se détériore progressivement. » A n’en pas douter, dans les années qui viennent, « la machine humaine » va « s’arrêter brutalement » selon les vœux du sorcier et prophète (de Satan) Attali (ou Attila ?) le barbare.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/07/24/la-solution-des-pouvoirs-publics-pour-financer-les-retraites-6166314.html

  • Casus Belli - Le bon Samaritain est-il immigrationniste ? avec Julien Langella

  • La France première de cordée pour accueillir de nouveaux migrants

    bateau migrants.jpgLes migrants secourus en Méditerranée vont être répartis entre 14 pays européens. La France, par la voix d’Emmanuel Macron, s’annonce particulièrement volontaire pour cet accueil.
    C’est lundi 22 juillet qu’avait lieu à Paris une réunion de travail sur « les migrations en Méditerranée », laquelle s’est tenue en présence de représentants de plusieurs pays européens.
    Une réunion placée sous la férule des ministres français de l’Intérieur, Christophe Castaner, et des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian.
    Dans ce cadre, le président de la République a reçu également à l’Élysée le Haut-Commissaire de l’ONU pour les réfugiés (HCR) Filippo Grandi et le directeur général de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) Manuel de Carvalho Ferreira Vitorino.
    Sous l’impulsion d’Emmanuel Macron, ce sont donc 14 États européens qui ont donné leur accord afin de mettre en place un « mécanisme de solidarité ». Celui-ci étant destiné à répartir les migrants secourus en Méditerranée entre les parties-prenantes. Toutefois, parmi les pays volontaires pour accueillir ces nouveaux flux d’immigrés extra-européens, huit le sont « de manière active ».
    Dans ce club de fervents partisans pour recevoir des migrants, se trouvent la France, l’Allemagne, le Portugal, le Luxembourg, la Finlande, la Lituanie, la Croatie et l’Irlande. Le nom des six autres n’a pas été révélé.
    Matteo Salvini condamne l’accord
    Mais déjà, des voix dissonantes se sont faites entendre. À commencer par le ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini. Qui a qualifié la réunion de « flop ». Selon lui, le rendez-vous de Paris a « réaffirmé que l’Italie devrait continuer à être le camp de réfugiés de l’Europe ».
    Et Matteo Salvini de rappeler, dans un communiqué, son opposition à ces dispositions concernant l’accueil des migrants : « J’avais déjà dit non à mon homologue Castaner à Helsinki la semaine dernière. Je le répète aujourd’hui, après que les sommets français et allemand à Paris se sont révélés être un échec ».
    Sans oublier de décocher une flèche à l’endroit des dirigeants français : « L’Italie a relevé la tête, ne reçoit pas d’ordres et n’est pas une dame de compagnie : si Macron veut discuter des migrants, venez aussi à Rome ».
    Il faut aussi souligner que le mécanisme prévoit également l’ouverture des ports italiens et maltais aux bateaux de secours en échange d’une répartition rapide des migrants entre les pays volontaires. De quoi comprendre encore un peu plus les réticences du ministre de l’intérieur italien.
    Porte ouverte aux migrants : le chantage de Macron
    À terme, le but de ce nouvel accord est de permettre aux États volontaires de se répartir l’accueil des migrants secourus sans avoir à engager de négociations après chaque sauvetage.
    Le mécanisme prévoit ainsi d’assurer la répartition « aussi vite que possible » des demandeurs d’asile effectuant leur demande dans l’un des pays volontaires. Emmanuel Macron a précisé : « Nous avons consolidé le mécanisme de répartition à court terme, mais nous souhaitons aller plus loin (…) en responsabilisant l’ensemble des pays-membres, les structures communautaires qui existent ». Mais aussi, en améliorant « l’efficacité de nos politiques de retour (des migrants) volontaire ou contraint vers les pays d’origine ». L’Élysée entend, de ce fait, « accélérer le retour » pour ceux qui « n’ont pas vocation à l’asile ».
    Toutefois, le caractère « volontaire » de l’accueil paraît très relatif lorsque le président français laisse sous-entendre la menace de suspendre les fonds structurels de l’Union européenne aux États réfractaires : « L’Europe n’est pas à la carte lorsqu’il s’agit de la solidarité ».
    Si ce « mécanisme de solidarité » n’est pour l’instant qu’un accord de principe, les pressions effectuées par Paris et Berlin sur les pays hostiles à ce nouvel accueil de migrants, tels la Pologne et la Slovaquie, ne devraient pas simplifier les discussions. Une nouvelle réunion aura lieu en septembre dans une Europe ou la fracture autour de la question migratoire ne cesse de s’accroître.

  • A qui profite l’affaire Rugy ?

    A qui profite l’affaire Rugy ?

    Lu dans Les 4 Vérités :

    Y aurait-il une coïncidence entre cette démission forcée et la venue de la jeune Greta Thunberg pour parler d’écologie à l’Assemblée ?

    https://www.lesalonbeige.fr/a-qui-profite-laffaire-rugy/

  • Juillet. Le jour de la libération… fiscale !

    Le 19 juillet c’est le jour de la libération fiscale pour les Français qui travaillent et le jour à partir duquel ils travaillent pour eux, et non plus pour abonder les caisses de notre Etat fort dispendieux s’il en est.

    Il faut dire que le homard, cela coûte cher, fort cher, de même que les normes auto-inventées et auto-imposées, qui rendent par exemple, obligataire la fermeture de piscines municipales qui fonctionnent très bien depuis des décennies sans provoquer d’hécatombe chez les nageurs mais que l’ARS se croît dans l’obligation de fermer pour cause de non respect des normes actuelles.

    L’Institut Molinari s’est donc livré à une estimation comparée entre les différents pays européens sur … le jour de libération fiscale.

    Il n’y a pas à dire.

    En France, nous n’avons pas de pétrole, mais nous avons beaucoup d’impôts !!!

    Charles SANNAT

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