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  • Jean-Yves Le Gallou débat avec le liberticide CRAN à propos du Blackface à la Sorbonne

    Débat du 27/03/2019 avec Jean-Yves Le Gallou, fondateur de l’Institut Polémia, et Louis-Georges Tin, président du Cran. Sur le plateau de RT France, ils débattent de l’annulation de la pièce de théâtre antique Les Suppliantesà la suite du blocage des extrémistes racistes noirs de la LDNA.

    Tant qu'à faire, écoutez plutôt ce remarquable zoom de TV Libertés avec notre ami Kakou Ernest Tigori, homme de bon sens, qui sera ailleurs présent samedi à Rungis à la 3e Fête du Pays réel cliquez ici sur le stand de Fracephi.

     

  • I-Média n°243 – Trump et la Russie : l’heure des comptes pour les médias

     

    Trump et la Russie : l’heure des comptes pour les médias

    Alors que de très nombreux médias américains attendaient impatiemment sa chute dans l’affaire d’une possible collusion avec la Russie, Donald Trump a une fois de plus remporté une victoire.

    Zapping

    Incapacité à gérer la révolte des Gilets Jaunes, condescendance face à la septuagénaire blessée à Nice, colère des forains, amateurisme…
    Le quinquennat Macron ressemble de plus en plus à un long chemin de croix pour le président… et pour la France !

    Racailles contre Roms dans le 93

    Des rumeurs d’enlèvement d’enfants circulent depuis plusieurs jours dans les cités de la région parisienne et provoquent des violences contre des Roms. Les médias semblent étrangement rechigner à reconnaître l’origine des agresseurs.

    Tweets

    Yassine Belattar en garde à vue, Bernard Guetta contesté pour être à la fois journaliste et sur la liste LREM pour les Européennes, Brigitte Macron huée par un stade.
    Le chemin de croix d’Emmanuel Macron semble comporter un nombre conséquent de stations.

    Grand Remplacement : les Décodeurs pris la main dans le sac

    Il aura fallu plus de 7 jours et un article de leur principal concurrent pour que les Décodeurs corrigent une donnée d’importance sur le Grand Remplacement. Erreur ou intox, telle est la question…

    https://www.tvlibertes.com/trump-et-la-russie-lheure-des-comptes-pour-les-medias

  • Le choix de la désunion et de la défaite

    Le choix de la désunion et de la défaite

    Alea jacta est. Pour les européennes, Nicolas Dupont-Aignan, qui vient d’annoncer sa liste, a donc fait le choix de la désunion et de la défaite. Après avoir porté un certain espoir d’alternative, la liste des Amoureux de la France se trouve amputée de la plupart de ses composantes. Alors que les Amoureux de la France avaient été fondés, aux côtés de Nicolas Dupont-Aignan, par Jean-Frédéric Poisson (PCD), Emmanuelle et Robert Ménard, avant d’être rejoints par Véronique Besse (MPF) Bruno North (CNI), Sylvie Goddyn et Bernard Monot (ex FN), il ne reste plus que Bruno North sur la liste qui n’est pratiquement plus qu’une liste DLF. Ce qui confirme le sectarisme que nous avions observé avec l’ahurissante éviction d’Emmanuelle Gave – semble-t-il pour un simple tweet contestant la loi Gayssot (dont je doute qu’un seul électeur de droite soit un fervent défenseur).

    Au passage, je redis ici ce que j’avais eu l’occasion de dire à tel ou tel acteur de cette aventure des Amoureux de la France : il était suicidaire de faire lancer cette plateforme par des politiciens, aussi sympathiques et courageux qu’aient été certains d’entre eux. Par fonction, les politiciens sont les plus mal placés pour apprécier les sujets de convergence avec d’autres formations ou d’autres politiciens. Par construction, les partis politiques sont des structures sectaires, incapables de penser au bien commun. Il aurait été bien plus raisonnable de créer cela à partir de la base, de la société civile, en faisant des hommes politiques les relais d’une opération qui aurait démarré sans eux. Mais, en ce domaine comme en bien d’autres, le narcissisme conduit à des erreurs grossières.

    Manifestement, en tout cas, Nicolas Dupont-Aignan ne cherchait pas des alliés, mais des ralliés. Il n’est hélas pas le seul à se comporter ainsi dans la vie politique française, ce qui fait qu’Emmanuel Macron, bien que moins de 20% des électeurs inscrits aient voté pour lui au premier tour de la présidentielle, peut gouverner avec une confortable majorité et peut même songer sérieusement à être réélu, faute d’opposition digne de ce nom. L’indécrottable féal de la « petite fille Espérance » que je suis ne peut s’empêcher de penser qu’un jour, certains hommes politiques écouteront les leçons des erreurs passées, mais nous n’y sommes pas encore, il s’en faut de beaucoup !

    En attendant, revenons à la campagne européenne.

    J’avais alerté depuis plusieurs mois plusieurs amis et relations sur l’optimisme un peu naïf qui régnait dans cette équipe.

    D’abord, connaissant plusieurs personnes qui étaient « assurées » d’être n°3 sur la liste, j’avais prudemment évoqué le fait qu’il me semblait compliqué d’avoir plusieurs personnes à la même place ! Déjà début décembre, le nom de Jean-Philippe Tanguy, lieutenant de Nicolas Dupont-Aignan, circulait avec insistance – bien que l’on voie mal ce qu’il apporte à son « grand homme » au plan politique, à moins que la stratégie soit de draguer des électorats de gauche comme l’électorat anticlérical ou l’électorat LGBT (j’y reviendrai plus bas).

    Ensuite, tout le monde se félicitait de voir la liste caracoler en bonne situation dans les sondages, autour de 7-8%. Mais, là aussi, je m’étais interrogé à voix haute sur la réalité des chiffres – y compris d’ailleurs devant Nicolas Dupont-Aignan lui-même qui me demandait en juillet dernier ce que pouvaient faire les catholiques de conviction pour soutenir sa démarche. Ma conviction était que, dès le début de la campagne « réelle », les mastodontes LR et RN allaient réoccuper tout l’espace médiatique à droite et que les « challengers » auraient alors mangé leur pain blanc. Mais tous mes interlocuteurs me répondirent à l’unisson que la dynamique était du côté des Amoureux de la France.

    Enfin, il me semblait évident que, ces deux premiers éléments entrant en collision, l’annonce officielle de la liste serait un moment particulièrement compliqué pour la liste DLF, plus ou moins ripoliné en Amoureux de la France (c’était bien la peine d’avoir moqué naguère le Rassemblement Bleu Marine comme un faux nez du FN !).

    Nous y sommes. Depuis quelques heures, nous découvrons que le roi est nu et que la liste n’est, en réalité, qu’une liste Dupont-Aignan. Plus exactement, c’est une aventure personnelle, mais avec des inconvénients supplémentaires qui vont fortement endommager l’image de Nicolas Dupont-Aignan – qui ne transforme donc pas l’essai de son courageux franchissement du « cordon sanitaire » entre les deux tours de la présidentielle.

    Déjà, l’éviction d’Emmanuelle Gave avait montré que « NDA » se soumettait volontiers au médiatiquement correct. Mais les principaux colistiers envoient, me semble-t-il, des signaux catastrophiques à l’électorat de droite. Stéphanie Gibaud, la deuxième sur la liste, est cette personne qui « balança » au fisc les noms des contribuables fuyant l’enfer fiscal français en violant la confiance de son employeur et de ses clients. Bien sûr, l’évasion fiscale est un délit. Bien sûr, elle pose de sérieux problèmes moraux. Mais, enfin, présenter, à la mode de certains gauchistes, la délation et le vol de données personnelles comme un acte sublime de résistance est peut-être un tantinet exagéré ! Même pour les plus vertueuses indignations, les coups de téléphone anonymes à la Kommandantur n’ont pas bonne presse dans l’opinion ! Nous avons déjà évoqué, dans le Salon beige, le cas de la quatrième, Marie-Jo Zimmermann, qui attaque les LR pour être trop conservateurs. On pourrait les critiquer pour être trop peu courageux, trop soumis au politiquement correct, mais trop conservateurs ! Là, les bras vous en tombent. Elle aurait voulu offrir 2 points de plus à François-Xavier Bellamy qu’elle ne s’y serait pas pris autrement !

    Le plus grand repoussoir reste cependant le bras droit (ou plutôt le bras gauche) de Nicolas Dupont-Aignan, Jean-Philippe Tanguy (en photo). Je disais plus haut que je ne voyais pas ce qu’il apportait politiquement. En revanche, je vois bien ce qu’il retranche. Cet énergumène – qui était, paraît-il, à la manœuvre pour évincer Emmanuelle Gave – est un stakhanoviste du tweet. Il tweeta naguère sa joie d’être à la gay pride (qui n’est pas exactement le lieu du plus grand respect de la dignité humaine, puisque, dans ces cortèges souvent insultants pour la foi de millions de chrétiens, souvent attentatoires à la pudeur la plus élémentaire, des militants homosexualistes en transforment d’autres en animaux, avec chaînes et muselières de cuir). Plus anciennement, il avait attaqué violemment l’Eglise supposée « manquer d’empathie » (dans le tweet ci-joint… supprimé depuis, je crois).

    A coup sûr, ce jeune homme est admirablement bien placé pour faire la leçon à Mère Thérésa ou à saint Vincent de Paul ! Comme si l’Eglise catholique n’était pas, notamment, la plus grosse institution charitable du monde…

    Mais, on le voit, M. Tanguy est fondamentalement un cathophobe et un militant LGBT. J’ignore si c’est également la doctrine de Nicolas Dupont-Aignan. Ce dernier m’avait assuré partager l’essentiel de mes convictions, mais il est bien connu que les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent… En tout cas, il est évident que cette candidature, non seulement n’apporte rien électoralement à Nicolas Dupont-Aignan, mais va lui coûter des voix. Ce n’est pas la peine de draguer les gilets jaunes, si c’est pour promouvoir une idéologie bobo macroniste.

    J’ignore ce qui va se passer dans les prochaines semaines. Mais, à l’heure où j’écris ces lignes, il me semble extrêmement difficile que l’ex liste des Amoureux de la France atteigne les 5% nécessaires pour obtenir des élus. Il est même possible qu’elle passe au-dessous de 3%, sous l’influence du vote utile (quand on veut s’opposer à Macron, on vote RN ou LR, en fonction de sa sociologie d’une part, et de sa sensibilité au discours conservateur ou au discours populiste d’autre part). Si c’est le cas, cela va poser de sérieuses questions de financement. Au passage, je serais curieux de savoir avec quel argent Dupont-Aignan a remboursé les quelque 2 millions d’euros que Charles Gave avait commencé à prêter à la liste – ce qui impliquait qu’il figure dessus pour satisfaire aux exigences du Code électoral.

    Bref, toutes ces interrogations me conduisent à penser qu’en réalité, Nicolas Dupont-Aignan ne souhaite pas se présenter et cherche un prétexte pour jeter l’éponge. Cela aurait du moins le mérite d’éviter que la « droite hors les murs » ne manifeste une nouvelle fois sa nullité électorale. Mais quel gâchis !

    Guillaume de Thieulloy

    Directeur du Salon beige

  • Affaire Laura Calu : voir le Mal en face

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    Un des traits marquants de l’homme contemporain, festiviste et déchristianisé, est son incapacité à hiérarchiser le Mal. L’affaire Laura Calu le démontre une nouvelle fois.
    À la suite de sa vidéo virale dans laquelle la jeune humoriste raconte l’agression ultra-violente de son petit ami à Paris dans la nuit de vendredi à samedi, une multitude d’internautes ont préféré pointer les dysfonctionnements des agents du service public lors de la prise en charge de la victime plutôt que d’affronter la question cruciale de l’ensauvagement de nos rues.

    Certes, le récit de Laura Calu en dit long sur le délitement moral et financier des services publics. Des pompiers sous-équipés, des policiers blasés ne procédant à aucune ronde, un chauffeur d’ambulance se trompant de service médical, une course en taxi improvisée pour regagner les urgences dentaires à l’autre bout de la ville, la probable mise en danger de la victime, un sentiment d’abandon, la vision cauchemardesque d’un hôpital public désossé – l’horreur le disputant à l’absurde lorsqu’une employée d’accueil de la Salpêtrière demanda à l’humoriste de nettoyer elle-même, avec un chiffon et un peu de produit antiseptique, la dent de son compagnon ramassée sur le trottoir.

    Cependant, comme un point aveugle, l’agression en elle-même semble passer au second plan chez ces internautes très politiquement corrects, dont les commentaires nombreux sont tous frappés du sceau du déni le plus complet. Et de ce nivellement des faits et de leur gravité. Alors qu’un millénaire d’Église et de bon sens populaire avait permis de hiérarchiser le Mal – le paroxysme de cet échelonnement étant l’Enfer de Dante –, la société contemporaine paraît incapable de le définir.

    Désormais, la non-assistance à personne en danger serait aussi fautive que le lynchage. La prise en charge douteuse aux urgences aussi traumatisante que le passage à tabac d’un homme par trois prédateurs. La réaction désinvolte d’un policier aussi coupable que la tentative de mise à mort de la victime.

    Une société qui ne sait regarder droit dans les yeux sa propre part d’ombre ni nommer clairement ce qu’elle voit court le risque de poursuivre durement des délits mineurs et d’absoudre les crimes les plus graves.

    Thomas Clavel

    http://www.bvoltaire.fr/affaire-laura-calu-voir-le-mal-en-face/

  • Quand BHL défendait l’assassin Cesare Battisti

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    Le 6 décembre 2009, BHL se prenant pour le Voltaire de l’affaire Calas ou pour le Zola vis-à-vis du capitaine Dreyfus, écrivait une « Lettre ouverte au président Lula sur le cas Cesare Battisti », lettre publiée dans La Folha de S.PauloLe Point et distribuée par le New York Times Syndicate. D’abord longtemps protégé par la Mitterrandie, Battisti avait trouvé refuge au Brésil, où il allait demeurer dix ans en toute impunité, avant que le nouveau président Bolsonaro ne décide de son extradition pendant que l’ancien (Lula) était installé en prison. Voici des extraits de cette lettre :

    « Monsieur le Président de la République,

    Je sais que le débat autour du cas de Cesare Battisti, ancien apôtre (sic) de la “lutte armée”, accusé d’actes de terrorisme dans l’Italie des années 70, fait rage dans votre pays […] Si je m’adresse néanmoins à vous, c’est parce qu’il n’est […] pas établi que Cesare Battisti soit ce terroriste que dépeint la presse et dont les crimes, s’il les avait commis, ne mériteraient aucune indulgence […] Cesare Battisti, que je suis spécialement venu rencontrer, il y a deux ans, dans sa prison de Brasilia (au nom de qui ?), nie, et a toujours nié, les crimes en question ; nombreux sont les juristes (lesquels ?) qui, après examen du dossier et au vu des mensonges très nombreux, et avérés, dont le repenti Mutti avait coutume d’émailler ses “confessions”, estiment plausible, je dis bien plausible, son innocence ; en sorte que vous courez aujourd’hui le risque de voir un homme dont le seul crime serait, dans cette hypothèse, d’avoir adhéré, dans sa jeunesse, aux funestes théories de la violence révolutionnaire finir ses jours en prison […] Battisti est, comme disait un célèbre écrivain français, “un individu sans importance collective” (BHL cite Céline…). Ne reposent sur ses épaules aucun de ces grands intérêts géostratégiques qui déclenchent, d’habitude, les mobilisations. Et je ne vous cache pas que cette solitude, cette éminente faiblesse contribuent à faire de lui, en Europe, l’objet d’une campagne de presse aussi féroce que disproportionnée (sic) ».

    Pas un mot sur le malheur des proches des victimes et le mépris dans lequel ils seront tenus pendant quarante ans.

    Cesare Battisti, capturé à la mi-janvier 2019 en Bolivie après trente-sept ans de cavale, est enfin extradé vers le pays de ses crimes le 14 janvier.

    Samedi 23 mars, le procureur Nobili, de l’unité antiterroriste de Milan, s’est rendu à la prison d’Oristano (Sardaigne) pour entendre l’ancien militant d’extrême gauche.

    Pendant neuf heures d’interrogatoire en deux jours, le magistrat a recueilli les aveux circonstanciés de l’ancien militant des Prolétaires armés pour le communisme (PAC), qui a reconnu les faits qui lui avaient valu sa condamnation : quatre assassinats, dont deux en tant qu’acteur direct, deux autres en tant que complice, un bijoutier, trois attaques ayant pour objet de mutiler le bas du corps, et de nombreux vols à main armée.

    La gauche française en avait fait son héros. Et l’image de la France s’est très dégradée chez nos voisins italiens.

    Matteo Salvini a salué la nouvelle de ces aveux, espérant « que les pseudo-intellectuels de gauche qui ont couvert et défendu ce personnage sordide présenteront bientôt leurs excuses ». Il a aussi fait allusion aux actuelles démarches italiennes en vue d’obtenir l’extradition de France d’une quinzaine d’anciens militants d’extrême gauche : « Nous travaillons pour ramener en Italie plusieurs terroristes, plusieurs assassins qui sont actuellement en vacances. »

    Henri Temple

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Le Comité économique et social européen vante les bienfaits du … grand remplacement

    Le Comité économique et social européen vante les bienfaits du … grand remplacement

    Le CESE (Comité économique et social européen), à ne pas confondre avec notre CESE français qui met les pétitions à la poubelle, a rendu un rapport sur… les bienfaits économiques de l’immigration publié au JO de l’UE le 22 mars.

    Pour ce comité, refuser l’immigration serait apocalyptique pour l’UE :

    S’en suit une éloge dithyrambique de l’immigration. Les migrants apportent même des « contacts internationaux » (réseaux de drogue et de prostitution ?)

    Alors, une fois que vous avez compris que l’on ne peut pas se passer des immigrés, il faut accompagner cette immigration…

    A noter ce passage qui valide le grand remplacement, sans citer le mot qui fâche :

    Et toute cette propagande est à l’avenant, c’est dire s’ils sont fous. Vous pouvez consulter le fil de Damieu Rieu qui a décrypté ce rapport.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-comite-economique-et-social-europeen-vante-les-bienfaits-du-grand-remplacement/

  • Éoliennes : l’affaire du siècle ?

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    Patrick Lallemand Boulevard Voltaire cliquez ici

    Que va donner le grand débat ? Avec impatience, nous attendons le retour de nos revendications… et nous verrons alors comment nous avons été écoutés ou… enfumés ! Je prends l’exemple de l’éolien, devenu l’un – mais pas le seul ! – de mes chevaux de bataille… Amoureux des vieilles pierres, amoureux de nos paysages si divers et si majestueux, en un mot amoureux de notre pays et de ses habitants, nous avons été des centaines de milliers de Français à crier aux membres du gouvernement : halte à l’éolien !

    Plus de quatre mille associations locales et nationales environnementales et plus d’une centaine d’associations départementales et nationales défendant le patrimoine immobilier et paysager ont demandé, avec force, l’arrêt d’installation des éoliennes sur notre territoire. Ces corps intermédiaires seront-ils un jour écoutés ?

    Sans être exhaustives, voici les principales raisons de notre refus de ces « machines », installées à travers tout le pays par des centaines de promoteurs, menteurs, avides d’argent et manipulateurs auprès des pouvoirs publics et des propriétaires locaux… aidés par l’État français !

    Avons-nous besoin de ce parc éolien ?

    La France est excédentaire en production d’électricité car elle est contrainte d’exporter 11 % de sa production aux pays voisins et à des prix déficitaires ! Donc, nous n’avons aucunement besoin de cette source d’énergie.

    Le parc coûte cher à l’économie française :
    – pour un prix exorbitant de son installation, il n’est utile – ou soi-disant utile – que 25 % du temps (soit vent trop faible, soit vent trop fort !) ;
    – de plus, l’éolienne est totalement fabriquée à l’étranger et les installateurs sont en majorité des étrangers, sous le régime de « travailleurs détachés ».

    Le parc éolien coûte cher aux contribuables. En effet, sur chacune de nos factures d’électricité, la toute petite ligne CSPE (« contribution au service public de l’électricité », prélèvement fiscal sur la consommation d’électricité en France, créé au début des années 2000 et qui ne cesse d’augmenter) est faite pour engraisser les producteurs de ce type d’énergie. Arrêtons leurs éoliennes, cette ligne aura disparu et « notre pouvoir d’achat » sera meilleur !

    Le parc éolien apporte un préjudice certain sur l’écologie des territoires :
    – la pollution des sols : l’énorme socle de béton armé est coulé définitivement dans le sol (car sur les plans technique et financier, rien ne sera réalisable pour l’en sortir) ;
    – l’environnement immédiat de ces « moulins à vent » est déformé : les haies sont arrachées, les bois supprimés et des routes sont créées en plein champ ;
    – un massacre de la biodiversité en détruisant la faune (la chauve-souris, par exemple, espèce protégée car en voie de disparition, ne supporte pas les variations de pression au voisinage des pales).

    Le parc éolien désertifie nos campagnes :
    – La qualité de vie des riverains (jusqu’à 3.000 mètres des éoliennes) est brusquement altérée, touchant même la santé de certains (l’Académie de médecine regroupe tous ces aspects nocifs sous l’appellation « syndrome des éoliennes »). Il serait grand temps de mettre en avant le fameux principe constitutionnel « de précaution » contre ces machines assez monstrueuses au motif de la santé publique.
    – Les biens immobiliers, dans un cercle de plus en plus grand, perdent leur valeur (40 %), le patrimoine naturel et culturel représenté par nos paysages et nos monuments historiques est attaqué. Ainsi, le cadre de vie de nos campagnes ne va plus attirer ce flot de touristes, ni ces familles françaises, vivant dans les villes, désirant se ressourcer durant les vacances dans de petites communes autrefois silencieuses et paisibles…

    L’État saura-t-il prendre en compte l’appel de ces centaines de milliers de Français qui pensent que l’économie, l’énergie, la technique sont au service de l’homme et non l’inverse ? Le cadre de vie d’une famille française doit être en harmonie avec la nature et non déformé et altéré par ces machines bruyantes et anonymes. C’est bien ce qu’ont voulu et même osé dire au gouvernement un président de région (« Foutez-moi la paix avec les éoliennes ») ou un président de département (« Ras le bol, des éoliennes et de leurs promoteurs sans foi ni loi… »).

    L’idéologie antinucléaire, fondée sur une réflexion sans lendemain, et la lâcheté de nos hommes politiques avides d’un électorat soi-disant écologique nous ont apporté cette arnaque financière, véritable saccage de notre pays, véritable désastre économique, véritable « affaire du siècle »…

    NDLR SN, sur le scandale éolien, lire aussi :

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  • Application de loi contre les “fausses nouvelles” : la censure en marche ?

    Application de loi contre les “fausses nouvelles” : la censure en marche ?

    Décriée lorsque Poutine fait voter le même type de loi en Russie, la loi contre les fausses nouvelles est passée comme une lettre à la poste en France. Si aucun média dominant ne la critique, c’est justement parce que ce sont les médias alternatifs ou de réinformation qui vont en être les victimes. Vous devrez donc compter sur France Inter, France info, France 2, le Monde etc pour vous informer…

    Ce post a vocation à ouvrir le débat notamment en raison du fait que cette loi va s’appliquer à l’occasion de la campagne électorale des européennes et des premiers signes inquiétants apparaissent. Ainsi, Vivien Hoch vient de recevoir ce message de Google :

    Vivien Hoch
     
    @vivien_hoch

    Reçu à l'instant de Google. Et bientôt le gouvernement va couper internet pendant les élections ?
    Comme ça il n'y aura que les canaux officiels radio, télé qui parlent de politique ? 

     
    144 personnes parlent à ce sujet
     
     Ce sont visiblement les prémices de l’application de la loi votée en France :

    Fin décembre, la loi contre les « fake news » a été publiée au Journal officiel. Le texte prévoit de nouvelles obligations pour les plateformes de diffusion, en particulier durant les trois mois précédents des élections générales (présidentielles, législatives, européennes, etc.).

    Une transparence devra être assurée par les opérateurs, du moins ceux dépassant un seuil de connexion. Ils devront alors révéler à chaque utilisateur « une information loyale, claire et transparente » sur l’identité de ceux qui ont payé pour promouvoir « des contenus d’information se rattachant à un débat d’intérêt général » et sur l’utilisation des données personnelles.

    En outre, ils rendront public le montant des rémunérations reçues en contrepartie de cette promotion « lorsque leur montant est supérieur à un seuil déterminé ».

    Facebook, Twitter et Youtube vont être directement concernés et c’est visiblement le cas pour le compte Twitter de Vivien Hoch

    Déjà, le texte fixe à cinq millions de visiteurs uniques par mois et par plateforme, le seuil de connexion au-delà duquel les obligations de transparence s’imposent. Un tel niveau devrait nécessairement concerner Facebook ou Twitter, Youtube/Google ou Dailymotion, et même un grand nombre d’acteurs ayant une certaine popularité.

    Ce qui est surprenant et inquiétant dans le message reçu par Vivien Hoch, c’est que Google demande “d’interrompre les annonces faisant la promotion de contenus d’information se rattachant à un débat d’intérêt général“. Et ce jusqu’à la fin des européennes. Il semblerait qu’il s’agisse d’une interprétation abusive d’une loi délicate à appliquer :

    Le régime est limité dans le temps. De même, la fausse information devra concerner des allégations ou imputations qui « ne recouvrent ni les opinions, ni les parodies, ni les inexactitudes partielles ou les simples exagérations », a prévenu l’institution. Le « lol » sur Twitter devrait donc être sauf. En outre, ces fausses informations seront « celles dont il est possible de démontrer la fausseté de manière objective ».

    Enfin, poursuivent les « Sages », « seule la diffusion de telles allégations ou imputations répondant à trois conditions cumulatives peut être mise en cause : elle doit être artificielle ou automatisée, massive et délibérée».

    En dépit de ces précautions supplémentaires, le Conseil constitutionnel a flairé un risque d’abus. Pour protéger la liberté d’expression, ce régime ne devra être activité qu’en présence de fausses informations dont le « caractère inexact ou trompeur est manifeste ». « Il en est de même, a-t-il ajouté dans sa réserve, pour le risque d’altération de la sincérité du scrutin, qui doit également être manifeste ».

    (…)

    Rappelons que le Conseil constitutionnel a quelque peu raboté la portée de l’expression « contenus d’information se rattachant à un débat d’intérêt général ». Ces informations ne sont que celles en « lien avec la campagne électorale ». Il appartiendra donc à chaque plateforme de déterminer celles en lien et celles qui ne le sont pas.

    Sous cette réserve interprétative, imposée à l’ensemble des institutions, il a jugé ces obligations conformes aux libertés et droits fondamentaux puisqu’elles visent à « fournir aux citoyens les moyens d’apprécier la valeur ou la portée de l’information ainsi promue et contribue par là même à la clarté du débat électoral ».

    Le décret notifié à Bruxelles est censé être applicable à partir du 15 avril. Il devrait ainsi s’appliquer lors des prochaines élections européennes, prévues entre les 23 et 26 mai 2019.

    A suivre de près…

    https://www.lesalonbeige.fr/application-de-loi-contre-les-fausses-nouvelles-la-censure-en-marche/

  • Le protégé de l’intelligentzia de gauche, le terroriste marxiste italien Cesare Battisti, reconnaît ses crimes

     
    Il a été pendant des décennies le protégé de intelligentzia de gauche, des bonnes consciences moralisatrices, de Carla Bruni à François Hollande, en passant par l’incontournable BHL, feu le président socialiste François Mitterrand, la chanteuse Lio, l’écrivain Fred Vargas, et tant d’autres tels Philippe Sollers, Guy Bedos, Jacques Higelin, Sapho, Pierre Vidal-Naquet, Dan Franck, Miou-Miou, Georges Moustaki et même le député de l’UMP Jacques Remiller, sans oublier Danièle Mitterrand.
    Toute une gauche de radicaux-chic qui ont soutenu comme un seul homme, ils ont l’esprit de caste !, l’activiste et terroriste d’extrême-gauche, l’ancien leader des Pac, les prolétaires armés pour le communismeCesare Battisti, qu’ils avaient décrété innocent, parce que pur dans son action prolétarienne, des crimes dont une magistrature  ‘fascisante‘ l’avait accusé.
    Après 37 années de cavale et de protection en France et en Amérique du Sud, après avoir été arrêté en Bolivie à la mi-janvier et extradé dans la foulée en Italie, Battisti vient finalement de sortir de son silence de plomb en reconnaissant les crimes pour lesquels il doit purger une peine d’emprisonnement à perpétuité, à laquelle il a été condamné par contumace en 1987. 
    Il a reconnu sa participation matérielle à quatre assassinats durant ces années de plomb italiennes : deux en tant qu’acteur direct, le gardien de prison Antonio Santoro, le 6 juin 1978, à Udine, et le policier Andreza Campagna, le 19 avril 1979, à Milan, et deux autres en tant que complice, un bijoutier, Pierluigi Torregiani, et un boucher, Lino Sabbadin, ainsi que trois « jambisations » (des attaques destinées à blesser aux jambes) et de multiples vols à main armée.
    « Il a trouvé refuge à l’étranger pendant des dizaines d’années en profitant d’une image de victime innocente d’une persécution politique. 
    Maintenant il a décidé de dire la vérité », a déclaré le procureur Alberto Nobili, chef de l’unité antiterroriste de Milan, lors d’une conférence de presse, lundi 25 mars. 
    Le magistrat a par ailleurs ajouté que l’ancien activiste a présenté ses excuses aux familles de ses victimes « pour la douleur qu’il leur a causée »
    Une belle claque pour tous ces intellectuels humanitaristes, bien-pensants, communistes et post-communistes, et cette culture de gauche forte de ses « vérités » idéologiques qui s’avèrent toujours des mensonges ! 
    Une claque d’autant plus tonnante et douloureuse que selon le quotidien italien La Stampa, au cours de sa confession tardive, Battisti n’a pas eu un seul mot de reconnaissance envers ses soutiens, bien au contraire :
    « Je n’ai jamais été victime d’une injustice, je me suis moqué de tous ceux qui m’ont aidé, je n’ai même pas eu besoin de mentir à certains d’entre eux. »  
    Francesca de Villasmundo

  • L'école de Marion Maréchal vandalisée

    Marion Maréchal. Photo © KONRAD K./SIPA

    L’Issep Lyon, l’école fondée par Marion Maréchal, a été la cible de dégradations dans la nuit de mardi à mercredi. L’ex-élue dénonce des “ milices d'extrême gauche violentes ”.

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