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  • Julien Rochedy : « Il faut se battre pour sauver l’Europe ! » [Vidéo]

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    Le média Sunrise continue de produire des vidéos et propose, en plein été, un entretien passionnant avec Julien Rochedy, ancien président du Front national de la jeunesse et auteur nietzschéen du Marteau. Une vidéo qui aborde de nombreux sujets politiques et civilisationnels, égratignant parfois sévèrement les conservateurs n’ayant pas pris la mesure de la rupture anthropologique et des solutions à y apporter.
    Polémia

    Immigration extra-européenne, islamisation, ethnomasochisme…

    L’Europe peut-elle encore être sauvée ?

    Certains jeunes Européens ont décidé de se battre.
    Julien Rochedy est de retour !

  • « Le plus grand massacre de l’histoire de l’humanité »

    Conférence du docteur en philosophie Holger Strohm.

    Une analyse que tout humain devrait considérer avec la plus grande attention et la plus grande gravité ! Holger Strohm rend compte aujourd’hui des liens et des causes des nombreux conflits et des nombreuses souffrances qui sévissent actuellement sur notre planète. Il y soulève de nombreuses questions. Les nombreuses guerres des dernières décennies, ainsi que les Première et Seconde Guerres mondiales, sont-elles le fruit du hasard ? Ou y a-t-il un plan soigneusement élaboré derrière cette destruction, derrière cet endettement mondial, derrière le déclin des valeurs à tous les niveaux, derrière l’immense pollution de l’environnement, etc.

    Y a-t-il des gens qui ont planifié et écrit depuis longtemps cette situation désastreuse ? Et qu’est-ce que les Guidestones en Géorgie, aux États-Unis, et le plan visant à réduire la population mondiale à moins de 500 millions de personnes ont à voir avec cela ? L’histoire de l’humanité est pleine de pillages et de guerres. Et au Moyen Âge et à l’époque coloniale, des pays entiers ont été anéantis et pillés, et ainsi certaines personnes sont devenues incroyablement riches. Comme le montrent sans équivoque les citations de Churchill, deux guerres ont été imposées à des pays comme l’Allemagne pour nous piller. Et tout cela ne s’arrête pas parce que le Nouvel Ordre Mondial et ses francs-maçons de haut rang prétendent tout contrôler et dominer : l’éducation, l’argent, le droit, la politique, l’économie, l’histoire, la psychologie, le mental, la médecine, la religion, les médias, etc., et ils décident aussi quelles personnes peuvent prendre des postes importants pour imposer leur politique. Ces personnes ne sont ni de gauche, ni de droite. Elles sont tout à la fois. Elles divisent les gens pour les exploiter, selon le système du fascisme. Elles provoquent le chaos et les conflits pour dominer sur le monde.

    Source: kla.tv

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/09/%C2%A0le-plus-grand-massacre-de-l-histoire-de-l-humanite%C2%A0-6169243.html

  • Le plan Kalergi: le génocide des peuples

     

  • Racisme anti-blanc : “L’homme blanc ne peut avoir raison contre une noire et une arabe”, déclare Maboula Soumahoro

    Voici les derniers propos maboules de Maboula Soumahoro :

    « L’homme blanc (…) ne peut pas avoir raison contre une noire et une arabe. Il va vraiment falloir que la France s’en rende compte. »

    (déclaration diffusée dans l’émission de Lauren Bastide sur France Inter)

    Qui est Maboula Soumahoro ?

    Née dans une famille d’origine ivoirienne, elle a grandi en France, dans un quartier populaire du Kremlin-Bicêtre.

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  • Statistiques ethniques : prouvez-nous que nous avons tort

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    Par Cyril Raul, militant identitaire ♦ L’idéologie de gauche recèle aujourd’hui une forme d’obscurantisme : alors même qu’elle prétend se parer des oripeaux du progrès, elle censure la recherche à travers l’interdiction des statistiques ethniques en France. Une prohibition dont elle est à la fois garante et tributaire.

    Libérer les sciences humaines

    La submersion migratoire que nous subissons est un phénomène qui n’a tout simplement jamais été observé dans notre histoire. Nous n’avons dès lors jamais autant eu besoin des sciences humaines qu’à notre époque pour la décrire et la chiffrer, pour dresser le tableau de ce bouleversement humain. Or, censurer les statistiques ethniques, c’est supprimer un pan des sources les plus utiles au travail des démographes, des géographes ou des sociologues. Libérons ces sources, libérons le travail des chercheurs et des universitaires honnêtes. Les Christophe Guilluy, Michèle Tribalat ou autre Jean-Paul Gourévitch doivent pouvoir accéder à tous les chiffres, sans restriction ni tabou. À l’instar de leurs homologues des pays anglo-saxons, où le poids de l’idéologie sur la recherche est beaucoup moins prégnant qu’en France.

    Dissiper le flou

    Certes, il existe aujourd’hui de nombreuses sources chiffrées sur l’immigration. Et même de plus en plus, notamment grâce à de récentes recherches fondées sur l’onomastique (1). Mais l’absence des statistiques ethniques laissera toujours un vide, une brèche grâce à laquelle les données à notre disposition seront systématiquement relativisées, retournées, noyées, voire raillées par quelques experts-idéologues surmédiatisés bien moins scientifiques que militants (2). Ces derniers savent manier habilement les statistiques imparfaites et les chiffres lacunaires pour mieux entretenir le flou.

    Face à ces vieilles techniques d’enfumage, les statistiques ethniques présentent un triple avantage : elles sont simples, nettes et incontestables. Elles ne laissent que peu de place au relativisme et aux interprétations biaisées de la gauche universitaire.

    Une raison qui explique sans doute la quasi-absence de débats dans le monde de la recherche sur l’opportunité d’autoriser les statistiques ethniques (3), dans un univers penchant fortement à gauche de l’échiquier politique. Des chercheurs contre la libération des sources : voilà bien une position paradoxale, car tout scientifique devrait au contraire militer contre la censure des sources, cette matière première à partir de laquelle se façonne tout travail de recherche sérieux.

    Chiffrer le ressenti

    En autorisant les statistiques ethniques, nous aurions enfin les réponses aux questions les plus taboues et polémiques de notre société. Qui peuple nos prisons ? Quel est le profil des délinquants ? Qui sont les premières victimes des violences raciales ? Qui touche les aides sociales ? Sans oublier bien d’autres domaines de recherche tels que l’engorgement des urgences hospitalières et des tribunaux, les accidents de la route, le harcèlement de rue ou la violence à l’école. Les statistiques ethniques éclaireraient les vérités enfouies, elles révéleraient les évidences grâce à une nouvelle cartographie du réel. Elles transformeraient nombre de pressentiments en certitudes, nombre d’impressions en convictions.

    Mais à ce jour, la submersion migratoire dont nous éprouvons tous les jours les effets dévastateurs n’est pas précisément ni clairement chiffrée. En l’absence de chiffres autorisés, il sera toujours aisé pour les experts de gauche de nous taxer de biais cognitif, de relativiser notre ressenti et de disqualifier notre discours.

    Et s’ils avaient raison ? Et si la situation de notre pays était moins pire que ce que notre expérience personnelle nous laisse croire ? Tous nos constats sur l’immigration, la dissolution de notre identité ou le racisme anti-blanc ne seraient-ils pas en fait que les fruits d’une interprétation très subjective et pessimiste de la réalité ?

    Nous ne pouvons plus laisser la place au doute. Dissipons définitivement l’incertitude. Messieurs les experts pour qui la submersion migratoire n’existe pas, les Clément Viktorovitch ou les Hervé Le Bras, militez avec nous pour la légalisation de statistiques ethniques : prouvez-nous une bonne fois pour toutes que nous avons tort.

    Cyril Raul 08/08/2019

    (1) L’onomastique est l’étude des noms propres. Saluons ici l’avancée que constitue le travail de Jérôme Fourquet dans son ouvrage L’Archipel français (Seuil, 2019), dans lequel l’auteur a recours à l’onomastique pour déterminer le nombre de naissances d’enfants portant un prénom musulman chaque année en France.

    (2) On songe par exemple ici à Clément Viktorovitch, professeur de rhétorique à Sciences-Po Paris et passé maître dans l’art de l’enfumage chiffré, comme ici face à Charlotte d’Ornellas.

    (3) Citons néanmoins l’ouvrage de Michèle Tribalat, Statistiques ethniques, une querelle bien française, (L’Artilleur, 2016) qui avait tenté d’ouvrir le débat sur le sujet.

    Source : Les Identitaires.com

    https://www.polemia.com/statistiques-ethniques-prouvez-nous-avons-tort/

  • Soros : “L’Occident doit tomber avant qu’un seul gouvernement mondial ne soit établi”

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    George Soros est un “philanthrope“ milliardaire qui est devenu connu comme l’homme qui a liquidé la Banque d’Angleterre lorsqu’il a gagné un bénéfice étonnant de 1 milliard de dollars en 1992 lors de la crise financière du célèbre vendredi noir. Ces jours, Soros est plutôt connu pour être politiquement actif dans l’élaboration et l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial.

    Ndlr : Son Open Society Institute est présente dans plus de 60 pays et dépense environ 600 millions de dollars par an pour tolérer les idées que George Soros veut promouvoir. Soros et ses organisations ont joué un rôle clé dans certaines révolutions dans le monde au cours des dernières décennies, mais l’objectif principal pour George Soros est aujourd’hui de mener à bien un changement politique mondial.

    Soros, le shelob du Nouvel Ordre Mondial

    Ndlr : Chaque fois que nous parlons de George Soros, nous sommes presque sûrs d’être traités de “complotiste paranoïaque“ ; C’est le meilleur moyen trouvé par les belles âmes de la conscience démocratique afin de discréditer quiconque essaie d’expliquer le rôle des élites technocratiques dans la création et la manipulation des crises internationales qui tournent le monde à l’envers.
    Soros discute de la création d’un Nouvel Ordre Mondial, il parle de la nécessité d’une baisse contrôlée du dollar américain et parle du besoin à long terme d’une monnaie mondiale. 
    Et la question qui subsiste est souvent celle-ci: “S’il y a vraiment un tel secret du gouvernement mondial, alors, où est-il, et dites-nous qui le dirige ?”

  • SOLIDARITÉ AVEC CASAPOUND ! NOS CAMARADES ITALIENS DANS LE COLLIMATEUR DE LA MAIRIE DE ROME

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    Matteo Petrachi Terre et peuple cliquez ici

    Rome, le 25 Juillet 2019

    C'est en fin de matinée qu'a pointé le bout de son nez le Maire de Rome, Virginia Raggi, accompagnée de policiers au siège de nos camarades de la Casapound, située « via Napoleone III ». En effet, les lettres de marbre ornant la façade de l'immeuble sont jugées « abusives »... Il est vrai que dans le quartier « populaire » de l'Esquilino, cela ferait presque « brutta figura1 »... ! D'autant plus que nos chers camarades à la Tortue Fléchée, toujours aussi clairvoyants et prompts à systématiquement se remettre en question, ont suspendu une longue bannière plus haut sur la façade sur laquelle est écrit : « Questo è il problema di Roma », littéralement « Ceci est le problème de Rome ». Pour Virginia Raggi, peut-être la provocation de trop, ou peut-être une occasion de pouvoir faire évacuer une bonne fois pour toutes les militants.

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    Casapound Italia a donc été mise en demeure de retirer la bannière ainsi que les lettres de marbre, sous peine d'amende et d'évacuation forcée. Cependant, au gouvernement, l’évacuation du bâtiment ne semble pas être considérée comme une priorité, bien qu'il eut été soi-disant estimé depuis 2003 un « dommage public » supérieur à 4 millions d’euros pour les « pertes de recettes » du fait de « l'occupation » des lieux.

    Début juillet, l’Agenzia Del Demanio2 avait déjà déposé une plainte pour demander l’évacuation : une plainte qui, selon ladite agence publique, « promet de faire bondir au sommet de la liste des expulsions le siège de CasaPound » mais jusqu’à présent, il ne semble pas y avoir eu de mesures allant dans ce sens. Alors que la Raggi essayait de notifier sa mise en demeure, la Lega et le M5S ont rejeté à la Chambre un ordre du jour proposé par le Parti Démocrate qui engagerait le gouvernement à faire évacuer le bâtiment.

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    Rome, le 06 Août 2019

    Nouvelle venue de Virginia Raggi et ses sbires en fin d'après-midi, sommant nos camarades de retirer immédiatement leurs lettres de marbre. C'est après de longues discutions visant à apaiser les tensions et surtout pour faire entendre raison à Madame le Maire que les militants ont finalement décidé de s'exécuter.

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    « Virginia Raggi marque un point. Dans une ville devenue latrine et blague de l’Italie, la beauté d’une écriture de marbre parfaitement en ligne avec le style rationaliste d’un palais des années 1930 dénote trop. Nous l’enlevons momentanément en attendant la renaissance de Rome qui aura lieu le jour – désormais proche – dans lequel le fléau taliban de Madame Raggi sera définitivement vaincu et chassé de Notre ville ». C’est ainsi que CasaPound a motivé sa décision de supprimer la célèbre inscription en marbre de la façade de l’édifice de via Napoléon III.

    Casapound, le problème de Rome. Vraisemblablement, faire partie d'un mouvement nommé « 5 Étoiles » ne fait pas briller de par son bon sens Madame le Maire, qui semble oublier ou ne pas voir ce qui se passe dans les rues de sa ville : Ordures non ramassées et accumulées, végétation non entretenue, routes et ouvrage d'art dégradés, migrants parfois drogués et/ou alcoolisés, violents ou parfois nus, faisant leur besoins en pleine rue à la vue de tous, sans oublier les « oubliés » : ces familles Italiennes sans ressources, dont certaines d'entre elles sont justement hébergées par « le problème de Rome ».

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    Nous faisons naturellement part de tout notre soutien à nos camarades Italiens, en leur souhaitant de savoir rester les derniers debout dans l'Arène. Et comme le chante notre camarade et ami Gianluca Iannone, à notre tour nous leur disons : « Tenete duro, non mollare, ne vedrete delle belle ! Arremba Sempre ! »3

    Notes

    1 Trad : « Mauvaise Image »

    2 Organisme public gérant les propriétés appartenant à l'état.

    3 « Tenez-bon, ne lâchez rien, vous en verrez de belles ! Toujours à l'abordage ! » ZetazeroalfaDisperato Amore, RTP / Perimetro 2010.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Faut-il les appeler "antifascistes" ?

    6a00d8341c715453ef0240a4c1ad61200b-320wi.jpgL'essor prodigieux de l'illettrisme, conséquence des carences de l'éducation monopoliste étatique confère une importance grandissante aux batailles de mots et aux maquillages des faits. Nous pouvons le constater tous les jours et dans tous les domaines.

    Organe officiel de Boboland, le quotidien Le Monde joue, certes, un rôle central dans cette manipulation verbale et dialectique.

    Or, ce 6 août il mettait en ligne, bien en évidence sur son site, un étrange papier intitulé : "Le parquet de Paris s’oppose à la libération du militant antifasciste Antonin Bernanos." L'article précise que celui-ci, depuis le 18 avril : "a été mis en examen pour 'violences en réunion n’ayant pas entraîné d’incapacité' et 'vol avec violences ayant entraîné une incapacité supérieure à 8 jours' puis incarcéré.[1] Comme souvent dans les colonnes de ce journal, cela partait d'une dépêche de l'AFP. Provenance réelle de l'information : anonyme, comme trop souvent.

    On ne cherchera pas ici à démêler le vrai du faux. Il s'agit en effet d'une affaire judiciaire actuellement couverte par ce que l'on ose encore appeler, défense de rire, "secret de l'instruction" [2]. On s'emploiera encore moins à accabler un garçon qui doit pour l'instant avoir suffisamment d'ennuis. Il est question de "vol et violences". On verra bien à l'audience, si l'affaire vient un jour devant un tribunal. On notera qu'il s'agit d'une bagarre avec des adversaires relevant de ce que la novlanque médiatique désigne désormais sous le vocable d'ultradroite.

    Dans le texte, assez cafouilleux pour donner la certitude, pas seulement l'impression, d'une hypocrisie totale, on découvre une nouvelle affaire révélatrice d'un réseau international de violence.

    Malgré certaines similitudes d'apparence, il convient d'abord de ne pas trop vite confondre les "antifas" et les "black blocs".

    Sous cette dernière appellation, qui, faut-il le préciser n'inspire à votre serviteur aucune sympathie particulière, s'avancent en fait des partisans de l'anarchie. Sans doute une structure discrète les ramifie-t-elle. Ils se définissent cependant eux-mêmes sans référence à aucune organisation. Mais ils agissent en fonction d'un modus operandi assez précis : la constitution d'un "bloc noir", faussement spontané sans doute, bien huilé et savamment programmé, mais qui ne se revendique d'aucune direction. Ils cassent tout, c'est vrai. En revanche, gare à la CGT quand elle marche sur leurs plates-bandes. Le camarade Martinez a failli en faire les frais, personnellement et physiquement le 1er mai dernier à Paris[3] lorsqu’il a cherché à les devancer dans le noyautage des "gilets jaunes", leurs homologues [originellement plus ou moins ressentis comme] "de droite" (?).

    Avec les "antifas", il s'agit d'une autre extrême gauche. Se réclamant, en apparence, d'une lutte impitoyable contre les groupuscules racistes ou néo-nazis, ils n'ont fait, à partir de 1985, que ressusciter une invention du Komintern, un produit d'appel lancé par Dimitrov en 1935, lors du 7e congrès à Moscou de l'Internationale communiste, sous l'appellation "d'antifascisme"[4].

    Une historiographie complaisante fait remonter les "antifas" à l'Angleterre décadente des années 1970. L'épicentre en réalité se situait alors en Allemagne de l'Est, d'où partaient encore les consignes soviétiques[5] en direction de plusieurs pays d'Europe occidentale, dont la France.

    L'antifascisme à Berlin était tellement à l'ordre du jour que c'est sous ce prétexte que fut érigé en 1961 un certain "mur de protection antifasciste", heureusement tombé en 1989.

    Sans doute le fascisme italien, dès son apparition en 1919 et sa marche sur Rome de 1922 a connu, jusqu'en 1943, ses admirateurs et ses adversaires, ses succès et ses excès, ses obligés et ses ennemis mortels, etc. Mais on doit rappeler que son chef est mort en 1945 et que tout ce qui ressemble, de près ou de loin, à la reconstitution de son parti tombe sous le coup du Code pénal italien.

    Les prétendus "antifas" se révèlent en réalité, par leurs méthodes, des imitateurs zélés du "squadrisme" des chemises noires. Nos technocrates de la communication ne devraient pas hésiter à les appeler tout simplement des "fascistes de gauche". Ils se bagarrent avec des garçons, certainement sincères, et dont j'avoue ici qu'ils me sont infiniment moins antipathiques, mais dont on se demande parfois, d'ailleurs, s'ils ne pourraient pas être qualifiés de "communistes de droite". Les uns et les autres fréquentent les mêmes costumiers. L'affaire Méric l'a tragiquement prouvé.

    Les appeler antifascistes ne relève pas seulement de l'erreur sémantique. Il s'agit d'une manœuvre caractéristique du manichéisme politiquement correct. Pas étonnant, estimera-t-on, de la part du Monde et de l'AFP. Les gens qui acceptent de leur reconnaître cette appellation les soutiennent en tant que bras armé du camp des bons et désignent leurs ennemis comme les méchants du film. Ça suffit. Basta.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    [1] cf. article "Le parquet de Paris s’oppose à la libération du militant antifasciste Antonin Bernanos"
    [2] L'article 11 du Code de procédure pénale dispose toujours [version juin 2000] : "Sauf dans le cas où la loi en dispose autrement et sans préjudice des droits de la défense, la procédure au cours de l'enquête et de l'instruction est secrète. Toute personne qui concourt à cette procédure est tenue au secret professionnel dans les conditions et sous les peines des articles 226-13 et 226-14 du code pénal."
    [3] cf. "1er-Mai : Philippe Martinez contraint de quitter momentanément la manifestation parisienne à cause des black blocs"
    [4] Imposture qui se révélera pendant la guerre d'Espagne. Lire Orwell "Hommage à la Catalogne".
    [5] Rappelons que c'est à Berlin-Est qu'un certain Vladimir Vladimirovitch Poutine fit ses premières armes d'agent du KGB.

    https://www.insolent.fr/2019/08/faut-il-les-appeler-antifascistes-.html

  • Le racisme sauverait-il l’Europe ?

    naturalisationFaudrait-il en arriver à cette déplorable extrémité, pour sauvegarder les origines ethniques, culturelles et civilisatrice du « Vieux continent » ?
    Puisque ce régime comme les précédents, non seulement ne fait rien pour nous protéger d’une disparition programmée, mais au contraire la favorise de son mieux.
    Ceci dit, dans la suite de la vidéo sur le « Génocide planifié des européens » Avec un Macron qui se pose en accélérateur du « progressisme », dans un mondialisme tueur de souveraineté. 
    Et sur le rôle autrefois pervers et malfaisant de ce personnage méconnu, mais actif, nommé Kalergi.
    Comme le précise la vidéo, c’est lui le principal idéologue de cette idée démoniaque qui consiste à transposer des population d’Afrique et d’ Asie (Moyen Orient surtout) vers nos pays, afin de les déstabiliser d’abord et de les dissoudre dans un melting-pot de consommateurs dociles et malléables, sans passé, sans terroirs ni traditions, gouvernés par une élite  dominatrice bancaire , et  de technocrates , qui elle prendra soin de rester bien blanche.
    Ce plan, qui depuis plus de quarante ans, fonctionne à merveille montre maintenant, à qui veut bien voir, son vrai visage.
    Immigration de masse, avec des ONG agressives et parties prenantes dans ce plan machiavélique. Prétendant agir au nom du Droit international, qui poussent même l’excès de zèle jusqu’à faire du forcing sur des pays, comme l’Italie, qui pourtant, refusent ces arrivées non désirées. 
    Vous n’en voulez pas, vous en aurez quand même !
    Cette volonté de passer outre à des décisions gouvernementales, sous couvert de bons sentiments d’aide à des « réfugiés » ; donc de transgresser les lois nationales est pourtant visible. 
    Elle l’est d’ailleurs tellement, que les français, dans leur majorité ne veulent pas y croire.  
    Plus c’est gros, moins ça passe, contrairement là, au dicton.
    Pourtant, Sarkosy, ce grand « patriote » était, pour une fois sincère, quand il déclarait: » On ira ensemble vers le Nouvel Ordre Mondial et personne, je dis bien personne, ne pourra s’y opposer…et si le métissage ne ce fait pas, il faudra le provoquer de force » 
    Ce qui d’ailleurs ce constate parfaitement dans les rues de nos villes.
    Cette idée d’uniformité mondiale qui se concrétise à présent, part certainement des Jacobins, au moment de la Révolution, avec cette volonté de République universelle, pour en arriver à la Société des Nations, en 1918, suivie de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, qui justifie l’immigration, pour en arriver dernièrement au fameux Pacte de Marrakech, qui place les nations signataires en position d’accueillir tous les candidats à l’immigration. 
    Soit: « Organiser le regroupement familial, avec les mêmes droits qu’avec les natifs » 
    Ainsi, n’importe quel clandestin sera considéré comme réfugié. 
    Avec ce pacte, ce n’est plus, vous devez, mais vous êtes obligés! (Si les GJ connaissaient le coût de cette immigration, ils seraient des millions à manifester).
    Ce que confirme un financier américain, Peter Sutherland : « L’Europe nourrit encore un sens de son homogénéité et de la différence des autres. 
    C’est précisément, ce que l’UE, doit détruire.
    Ce qui reste, en effet, le projet de Bruxelles, dans sa volonté de Fédération, ouverte sur le monde. 
    Pas d’enracinement, pas de frontières, mais citoyens du monde. 
    Pour Attali, la France est un hôtel. 
    Elle sera bientôt un hôtel de passe, avec le transfert de peuples exogènes, que nous sommes obligés d’accepter avec le sourire, sinon la sanction tombera.
    Et pourtant un chercheur à l’IFRI, Matthieu Tardis déclare qu’aucun Traité international ne peut imposer à des Nations d’accueillir des immigrés. 
    Ce que n’empêche pas le Système de n’en tenir aucun compte et nos gouvernants de nous présenter ce phénomène anti démocratique, comme une fatalité, faite de ruse et de mauvaise foi.
    On envoie d’abord, des hommes seuls, des ados et des enfants, le reste suivra, au nom des grands principes.
    Junker, toujours égal à lui même: « Nous prenons une décision, nous la mettons sur la table et nous attendons pour voir ce qui se passe, si elle ne provoque pas de rejet, parce que la plupart des gens ne comprennent rien à ce qui a été décidé, nous poursuivons, pas à pas, jusqu’au point de non retour ».
    Saint Augustin disait: « A force de tout voir, on finit par tout supporter, à force de tout supporter on finit par tout tolérer, à force de tout tolérer, on finit par tout accepter ».
    En espérant quand même, que les français démentiront un jour cet aphorisme, pour sortir à temps de leur avachissement, pour refuser ce qu’on leur impose, dans le silence des médias. 
    Avant que la société tombe dans le réflexe d’un racisme aveugle.
    Car rien n’est plus explosif, qu’une réalité cachée qui apparait soudainement, comme à la sortie d’un rêve.
    Onyx

  • Oui, Bercoff a raison : "Il faut quand même un tout petit peu aterrir dans le réel..."

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/