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lobby - Page 867

  • KOSOVO : L’EXEMPLE A NE PAS SUIVRE

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Mercredi 20 mars dernier, il y a quelques jours, cela faisait 20 ans que les premières bombes  américaines et celles des  pays membres de l’OTAN dont, hélas, celles de la  France, tombaient sur la Serbie et sa province du Sud, le Kosovo.

    La Serbie fut notre alliée pendant la Grande guerre, il n’y a qu’à comptabiliser le nombre d’avenues Pierre Ier de Serbie qui existent dans certaines villes de France et de Navarre. Ces raids de bombardement qui durèrent pendant près de 80 jours, aboutirent à déposséder ce pays de sa province historique, le Kosovo, majoritairement peuplée d’Albanais, suite à un très fort différenciel de natalité  et à une sournoise et massive immigration. (Noter qu’Il y a aussi des Albanais en Macédoine qui constituent environ un quart de la population, ce quin’est pas sans poser des problèmes de cohabitation.) Et en plus, ce 20 mars coïncida avec la confirmation de la condamnation, par la Cour pénale internationale de La Haye, du leader des Serbes de Bosnie, Radovan Karadzic, à la détention perpétuelle.

    Comment expliquer ce « deux poids, deux mesures », si l’on compare son sort avec celui d’Hashim Thaçi, le leader des musulmans kosovars ? Que l’ex-Président de la Républika SRPSKA de Bosnie, Karadzic, ait une responsabilité dans le massacre de Srebrenica en compagnie de son chef militaire d’alors, le général Mladic, c’est plus que probable. (Au fait, que faisaient les troupiers de l’ONU, notamment Hollandais, qui étaient sur place ? Rien, rien, comme d’ailleurs ceux stationnés dans les années 1990 au Rwanda, ni comme les militaires français qui, le 5 juillet 1962 à Oran, restèrent l’arme aux pieds pendant la chasse aux Pieds noirs.) Mais ceci est une autre histoire.

    Thaçi aussi coupable que Milosevic ou Karadzic

    Il y a une Injustice dans le traitement de ces deux personnalités, à tout le moins manque de symétrie judiciaire, car le Président Hashim Thaçi du Kosovo, cet Etat bidon, Etat mafieux, est passé au travers des mailles des filets onusiens et otanien. (Kosovo, un « Etat » toutefois reconnu par une centaine de pays, - dont la France, toujours à la pointe d’une mauvaise action diplomatique, mais pas par l’Espagne, et on la comprend avec son problème catalan !). 

    Le chef de « l’Etat » kosovar est à tout le moins, le responsable présumé d’une entreprise de nature « criminelle ». Ce n’est pas moi qui le dis mais, notamment, la Suissesse Carla del Ponte, procureur général au TPIY, le tribunal pénal international sur l’ex-Yougoslavie, dans différents rapports adressés aux Nations unies. Elle y dénonça, en son temps, notamment les trafics d’organes et les prélèvements de sang effectués contre leur volonté sur des prisonniers serbes, miliciens ou civils. Le chef de l’UCK ne pouvait pas ne pas être au courant de ces actes « délictueux », pour rester correct. L’UCK d’Hashim Thaçi, était une organisation terroriste notamment soutenue par nos « bons » amis et alliés Allemands, qui luttait contre les Serbes pour arracher « leur » province à la domination de Belgrade. Les alliés pensèrent qu’il aurait été trop énorme de rattacher directement le Kosovo à l’Albanie voisine, alors ils préférèrent créer un Etat fantoche pour une période, sans doute transitoire. Les masques sont tombés et 20 ans après ce dépeçage, - le Monténégro se sépara aussi de la Serbie, faisant de ce pays une contrée sans débouché maritime -, la minorité serbe qui est restée, ne survit dans ses enclaves que grâce à la protection onusienne et à l’action désintéressée d’associations caritatives. On sait que le berceau de la nation serbe est niché ici, dans ce Kosovo, - pensons à la bataille perdue  de « Kosovo Polje » en 1389 -, majoritairement peuplé d’une population d’origine ethnique albanaise.

    Le « 9-3 », un Kosovo français ?

    Soudainement, en évoquant le Kosovo, je pense à notre Île de France, - allez savoir pourquoi ? -, et, notamment, à la basilique de Saint-Denis où reposent les restes de certains de nos monarques, basilique nichée au cœur d’un département, le « 9-3 », en voie d’islamisation définitive. La Serbie cogne à la porte de l’Union européenne et, un comble, à celle de l’OTAN qui tua, bon an, mal an, un grand nombre de civils innocents. Saluons tout de même au passage, une fois n’est pas coutume, la décision prise à l’époque, par Jacques Chirac, qui ne voulut pas que nos aviateurs bombardent Belgrade.

    Où en sommes-nous en cette période anniversaire ? Le Kosovo est perdu pour la Serbie, c’est clair. Mais il y a au nord la poche de Mitroviça, peuplée à 100 % de Serbes. Les présidents des deux pays se sont discrètement rencontrés pour discuter d’un éventuel partage territorial : un Kosovo amputé de Mitroviça  en échange de l’abandon de toute idée de souveraineté par la Serbie sur le Kosovo, et d’une vallée limitrophe peuplée d’une minorité musulmane. Et cet artificiel Kosovo n’ayant aucune capacité à vivre réellement en autonomie pourrait, à terme, se rattacher à l’Albanie qui, confidentiellement, ne souhaite que ça, réalisant ainsi son rêve de « Grande Albanie ». Le salaire immérité de son adhésion à l’Alliance atlantique ? D’ailleurs, les sentiments des populations, s’expriment par drapeaux interposés : les Kosovars n’arborent que très rarement l’emblème artificiel concocté par les instances mondialistes pour leur pays, mais carrément l’aigle noir à deux têtes sur fond rouge, les couleurs  de Tirana. Mais il y a un « hic » à cette solution qui serait, somme toute, de nature in fine, à pacifier un conflit territorial sans fin au cœur des Balkans : la sacrosainte Intangibilité des frontières. Pourtant, l’ex-URSS a bien éclaté en 1991, comme l’ex-Yougoslavie elle-même, sans oublier l’ancienne Tchécoslovaquie.  

    Comme d’ailleurs, en Afrique, le Soudan à qui a été arraché le  Sud chrétien et animiste, surtout pétrolier !, et l’Erythrée à l’Ethiopie. Et qui peut nous dire si demain, le Royaume-Uni ne sera pas désuni sous l’impact d’un « Brexit » dur, entrainant alors l’Ecosse dans la sécession ? Les Europhiles nous disent que le nationalisme « c’est la guerre ». La guerre, ce sont de mauvais traités qui la préparent. Est-il utile de rappeler que pour le second conflit mondial, tout partit des Sudètes, cette région peuplée à 100 % d’Allemands, qui « enveloppait » la Tchécoslovaquie, et de l’invraisemblable poche de Dantzig ? Sans oublier que le traité de Trianon amputa la Hongrie de l’ex-Empire austro-hongrois, d’au moins 50 % de son territoire ? Ceci donnant d’ailleurs l’occasion à Viktor Orban, de proposer la nationalité magyare à toutes les minorités hongroises vivant « hors de ses murs », en Slovaquie, Voïvodine et Roumanie. Même les pacifiques contrées comme l’Autriche et l’Italie vivent, parfois, une « guerre des nerfs » à propos du Sud-Tyrol pour les uns, du Haut Adige pour les autres, un même territoire germanophone. Pour ne pas déterrer la hache de guerre avec la défunte Italie fasciste, De Gaulle, si prompt plus tard à renier l’Algérie française mais à agiter les passions souverainistes au Québec, refusa d’annexer le Val d’Aoste, pourtant francophone à l’époque, pour préserver l’entente future avec Rome. Alors oui, « les mauvaises paix préparent les bonnes guerres ». Mais de nos jours, à tout le moins chez nous, dans cette partie encore « civilisée » de l’Occident européen, il ne serait pas utile de modifier la géographie politique, - oublions les querelles linguistiques de nos voisins belges et autres -, alors que des hordes étrangères, inassimilables par leur nombre, se ruent sur nos frontières, à l’exception notable désormais, de notre sœur latine, et de la Hongrie.

    Les Etats-Unis vont nous « larguer » ? Tant mieux !

    Les Etats-Unis, leader de la coalition qui détruisit l’intégrité territoriale de la Serbie, semblent changer de cap sous la houlette de Donald Trump. Ils s’éloignent et oublient apparemment, leur tropisme européen*, pour se concentrer sur leur traditionnelle « chasse gardée », l’Amérique latine. Parallèlement, ils regardent de plus en plus vers le Pacifique. Raison de plus pour les nationalistes, patriotes, identitaires et autres « lépreux » européens que nous sommes, de se concentrer sur l’essentiel, en oubliant des querelles de frontières dépassées… L’essentiel ? La sauvegarde de nos populations, la conservation de notre exceptionnel patrimoine civilisationnel, contre une envahissante immigration incontrôlée, majoritairement afro-musulmane, encouragée par une pseudo élite masochiste, trahissant sa pourtant traditionnelle  mission de conductrice de peuples.

    L’occasion pour les pays qui le veulent et le peuvent, de se grouper pour assurer une défense commune indépendante.

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  • Le Havre : un test intéressant pour LR et Laurent Wauquiez

    Le Havre : un test intéressant pour LR et Laurent Wauquiez

    Empêtré dans une affaire sordide, le maire du Havre a donc démissionné. Il semble que le successeur d’Edouard Philippe ait pris sa décision après avoir rencontré discrètement le Premier ministre et alors que la presse se rend compte que tout le monde semblait bien informé des moeurs délirantes du maire :

    “C’était un secret de polichinelle”.

    “J’ai coupé nos relations pourtant très fortes il y a plusieurs mois, quand j’ai été informée du phénomène. Je n’ai pas été destinataire des photos, mais je me suis rendue compte qu’elles avaient été envoyées à plusieurs dizaines de femmes.”

    “Certaines élues ont reçu les photos, mais ont préféré se taire. Certaines par peur de perdre leur fonction, d’autres parce qu’elles l’avaient caché à leurs proches… D’autres encore par peur de représailles et parce qu’elles étaient dans des situations fragiles.”

    Une ancienne salariée a expliqué avoir quitté son emploi notamment en raison “de l’ambiance hyper-sexualisée qui régnait à l’hôtel de ville.

    En février dernier, Edouard Philippe déclarait à la presse :

    Je n’ignore rien de ce qui se passe au Havre“.

    On le saura. En attendant, il faut trouver une nouveau maire. Ce n’est ni lors du conseil municipal prévu lundi 25 mars, ni lors du conseil communautaire inscrit à l’agenda du mercredi suivant, que le nom du remplaçant de Luc Lemonnier sera connu.

    Le premier adjoint, Jean-Baptiste Gastinne, qui assure l’intérim, est d’ores et déjà officiellement candidat à cette élection. Ancien membre du Parti chrétien démocrate et proche de la Manif pour tous, il pourrait toutefois ne pas faire l’unanimité au sein de la majorité. Que va décider Laurent Wauquiez ?

  • Les leçons à tirer de l’assassinat raciste manqué de peu à Milan

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    Bernard Plouvier

    On imagine que tous les chefs de famille, que toutes les mères européennes autochtones connaissent l’information : le 20 mars, un « Italien » nommé Ousseynou Sy (en réalité un immigré sénégalais) a voulu immoler 51 enfants italiens, en mettant le feu au car scolaire dont il était le conducteur attitré.

    Prévenus, les carabiniers ont pu éteindre l’incendie, après avoir évacué les enfants avant qu’ils ne grillent, immolés au racisme de cet individu « en colère parce que des Noirs meurent lors de leur transit en Méditerranée »... un voyage que nul Européen ne leur a demandé de faire.

    La première leçon à tirer de cette tentative d’assassinat raciste, qui n’a échoué que de très peu, porte sur les emplois qu’il est dangereux, voire stupide de confier à des immigrés « bizarres » : armée, police, gardiennage de prison, mais aussi tout poste les mettant en situation de dominance sur des personnes qui ne peuvent se défendre.

    Comme un nombre non négligeable d’attentats racistes ou djihadistes ont été perpétrés par des immigrés qui ne posaient apparemment pas de problème – c’est-à-dire des individus sans manifestation psychiatrique évidente, non catalogués fanatique religieux ou proclamant haut et fort leur racisme anti-Blancs -, il est un devoir de précaution : celui d’interdire tout emploi sensible à « nos chers immigrés ».

    Et l’on rappelle que dans de très nombreuses « démocraties » (dont la France), aucun gouvernement n’a pris l’avis de la Nation souveraine à propos de l’immigration extra-européenne qui confine à l’invasion et s’avère, année après année, de plus en plus dangereuse.

    Non plus seulement par un risque de remplacement de population majoritaire – du fait d’une natalité bien supérieure à celle des Européens autochtones -, mais aussi par la multiplication des viols et des appels au meurtre de Blancs, par les attentats de mahométans et par des manifestations de racisme dirigé contre les Européens.

    On parlait autrefois d’importer des travailleurs et l’on a importé la haine raciale et le Djihâd !  

    Une autre leçon à tirer est celle de la nécessité, pour tout Européen, de se munir d’un téléphone portable lorsqu’il s’aventure en cité riche en indésirables, pour lancer en cas d’urgence un appel au secours.

    Cela s’est avéré efficace à Milan et on ne peut que féliciter les forces de l’ordre italiennes. Reste à savoir si, dans la France de MM Macron et Castaner, les policiers, surmenés à force de frapper et de mutiler du Gilet Jaune, réagiraient aussi vite et avec autant d’efficacité. Il faut l’espérer, car sinon l’on serait en droit d’imaginer que nos impôts et taxes, qui forment une charge non négligeable, sont détournés à d’autres fins que celle d’assurer la sécurité des honnêtes citoyens, raison première du Pacte social.

    Que l’on exige la fermeture des téléphones portables des élèves et des étudiants durant les cours, c’est une mesure logique. Mais que l’on interdise les téléphones portables à l’école, c’est une mesure stupide dans l’état d’insécurité des populations européennes envahies de sujets à-demi fous de haine. 

    Une fois encore, il est urgent de consulter les peuples d’Europe sur la nécessité de poursuivre l’immigration-invasion et sur l’option inverse, celle du Grand Retour à l’envoyeur.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/03/24/les-lecons-a-tirer-de-l-assassinat-raciste-manque-de-peu-a-m-6138459.html

  • Immigration : qui a dit que l’Occident était xénophobe  ?

    Le Pew Research Center a montré que, bien loin d’être une particularité occidentale, le désir de juguler l’immigration est commun à de nombreux pays : Ces dernières années, on a beaucoup écrit sur la peur de l’immigration en Occident. Par contre, ce qui n’a pas retenu beaucoup d’attention, c’est ce que des pays extérieurs à l’hémisphère occidental peuvent aujourd’hui penser de l’immigration. Quelle est l’opinion des Nigérians, Indiens, Turcs ou Mexicains vis-à-vis des migrants qui arrivent dans leur pays  ? On n’en entend pas souvent parler.

    Sur ce sujet, deux enquêtes récentes fournissent d’intéressants résultats. Le pourcentage de sondés souhaitant moins ou plus du tout d’immigrants dans leur pays était plus élevé en Afrique du Sud (65 %), Argentine (61 %), au Kenya (60 %), Nigeria (50 %), en Inde (45 %) et au Mexique. (44 %) qu’en Australie (38 %), au Royaume-Uni (37 %) ou aux États-Unis (29 %). Dans les vingt-sept pays passés en revue, moins du tiers des personnes interrogées déclaraient que leur pays devrait accueillir davantage d’immigrants. Une étude Ipsos MORI de 2017 sur les tendances « nativistes » (l’hostilité à l’égard de l’immigration) mondiales brossait un tableau similaire. Lorsqu’on leur demandait s’ils pensaient que leur pays serait « plus fort » s’il « stoppait l’immigration », davantage de Turcs (61 %) et d’Indiens (45 %) avaient acquiescé en comparaison avec les Britanniques (31 %), les Australiens (30 %), les Allemands (37 %) ou les Sud-Africains (37 %). Quant à la question « vous sentez-vous étranger dans votre propre pays ? » – un autre indicateur d’hostilité à l’égard de l’immigration –, 57 % des Turcs, 54 % des Sud-Africains, 46 % des Brésiliens et 39 % d’Indiens avaient répondu par l’affirmative. Les chiffres étaient moins importants chez les Allemands (38 %), les Britanniques (36 %) ou les Australiens (36 %). Enfin, 74 % des Turcs, 64 % des Péruviens, 62 % des Indiens et 60 % des Sud-Africains étaient d’accord pour dire que les employeurs devaient donner « la priorité » aux locaux plutôt qu’aux d’étrangers, contre 58 % des Américains, 48 % des Britanniques et 17 % des Suédois.

    Croire que le « nativisme » est réservé aux Occidentaux blancs est une idée reçue. Il s’agit en réalité d’un phénomène mondial qui est souvent plus fort dans les pays non occidentaux.

    (…) Le Point

    http://www.fdesouche.com/1180739-immigration-qui-a-dit-que-loccident-etait-xenophobe%e2%80%89

  • Zoom – Richard Roudier : « le scandale de la Commission d’enquête »

    Le président de la Ligue du Midi, Richard Roudier, est dans le collimateur de l’incroyable « Commission d’enquête sur l’extrême droite » présidée par une députée communiste de la France Insoumise. Il dénonce le scandale d’une commission parlementaire qui appuie son action sur des mensonges… et des provocations ! Inouï !

    https://www.tvlibertes.com/zoom-richard-roudier-le-scandale-de-la-commission-denquete

  • LE CLIMAT DÉLÉTÈRE DANS LEQUEL EST ENTRÉ LE QUINQUENNAT

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    Le climat délétère dans lequel est entré le quinquennat d’Emmanuel Macron ne semble pas près de se dissiper, même si, à l’heure où nous écrivons, les sondages semblent lui être moins défavorables.

    C’est évidemment dû à cette partie fluctuante de l’opinion qui ne se détermine que sur l’apparence. C’est malheureusement elle qui décide du résultat des élections, par sa frilosité (voter contre les candidats extrémistes), voire sa passivité (s’abstenir) : c’est en ce sens-là aussi, que le suffrage universel est conservateur. Prête à soutenir, de loin s’entend, les gilets jaunes dans un premier temps, pour recueillir les fruits de leur action, chose faite, ou à peu près, en matière de pouvoir d’achat – les mesurettes de Macron de décembre dernier –, elle préfère tourner la page.

    Les citoyens actifs sont peu nombreux. Et il est normal qu’il en soit ainsi. Tous les citoyens n’ont pas vocation à faire de la politique, du moins au plan national, ou n’ont pas le caractère assez trempé pour manifester, ou, tout simplement, la possibilité matérielle de le faire. On doit même se féliciter d’une mobilisation aussi durable, même s’il est normal qu’elle s’essouffle. Il y a de l’abnégation chez les Gilets jaunes, d’autant qu’ils ont à faire face à une oligarchie impitoyable, qui a rompu avec l’État de droit, car elle sait, mieux encore que les Gilets jaunes eux-mêmes, que ce mouvement la condamne sans appel. C’est pourquoi elle a si peur et ne lâchera rien, bien sûr, ni sur les plans économique et financier, ni sur celui de l’Europe, ni sur celui de la transformation sociale et sociétale de notre pays, tout simplement parce que tout se tient.

    C’est l’oligarchie qui a désigné l’ennemi, dans sa diversité, mais par-delà ses contradictions, en accusant aussitôt les gilets jaunes d’homophobie, après avoir fait de même de la Manif pour tous en 2013. Par-delà les contradictions sociales, qui interdisent encore toute convergence des luttes, il n’y a pas de solution de continuité de la Manif pour tous aux gilets jaunes... Comme si le sociétal était le marqueur de cette oligarchie, ce qu’il est, en fait.

    Car la PMA pour toutes, avant la GPA pour tous, comme la tentative de supprimer les mots père et mère des formulaires scolaires, disent la vérité de la déconstruction mondialiste de notre société, que le gilet jaune, qu’une Église devenue élitiste a repoussé, comme le bourgeois encore catholique, refusent d’un même élan, celui d’une loi naturelle encore ancrée en eux, comme l’expression du bon sens, tout simplement – c’est en ce sens-là aussi que le suffrage universel était conservateur et ne l’est peut-être plus : le bon sens est aujourd’hui devenu un délit.

    Comme nous l’écrivions déjà en 2013, fustigeant la frilosité de Marine Le Pen à soutenir la Manif pour tous au nom de sa priorité sociale, celui qui n’avait pas encore revêtu un gilet jaune pour défendre sa dignité n’a pas envie que sa fille soit condamnée, un jour, à louer son ventre pour manger. Tout se tient. Mais qui le sait ? Le militant de la Manif pour tous, par sa culture démocrate-chrétienne et, souvent ce qu’il croit être son intérêt, est évidemment pro-européen et appartient, de manière contradictoire, au camp progressiste et mondialiste, tout en en récusant les conséquences au plan sociétal. Le Gilet jaune est objectivement, voire consciemment eurosceptique : d’où sa criminalisation par l’élite. D’où, aussi, le recours décomplexé au complotisme par l’État, relayé par la grande presse, la loi sur les fake news et une campagne européenne qui s’annonce sous haute surveillance. Il n’est pas certain, toutefois, qu’abreuvé depuis la maternelle des bienfaits de l’Europe, le Gilet jaune ose aller jusque-là : désigner la prison des peuples comme l’ennemi immédiat.

    On croit souvent que l’événement décide de tout : or il ne décide de tout que lorsque qu’une minorité suffisamment éclairée de citoyens peut lui donner l’inflexion nécessaire, au moment opportun. Éclairer le choix de nos concitoyens pour y participer activement, telle est notre raison d’être.   

  • Médias et immigration : deux combats révolutionnaires incontournables.

  • Age des immigrés : les tests osseux sont conformes mais encore faut-il s’y conformer…

    Age des immigrés : les tests osseux sont conformes mais encore faut-il s’y conformer…

    Le Conseil constitutionnel a déclaré conforme à la Constitution les conditions d’examens radiologiques osseux aux fins de détermination de l’âge, telles que définies dans la loi de 2016 relative à la protection de l’enfant (Décision n° 2018-768 QPC du 21 mars 2019).

    Nous pourrions dire “enfin” : nous allons pouvoir montrer qu’un certain nombre d’immigrés qui se déclarent mineurs sont bels et bien majeurs.

    A ceci près que le Conseil valide une loi qui dit :

    Les examens radiologiques osseux aux fins de détermination de l’âge, en l’absence de documents d’identité valables et lorsque l’âge allégué n’est pas vraisemblable, ne peuvent être réalisés que sur décision de l’autorité judiciaire et après recueil de l’accord de l’intéressé.

    Comment fait-on lorsque la personne ne veut pas donner son accord pour réaliser ce test ?

    https://www.lesalonbeige.fr/age-des-immigres-les-tests-osseux-sont-conformes-mais-encore-faut-il-sy-conformer/