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lobby - Page 867

  • Toulouse : polémique autour du 115 qui doit désormais transmettre au gouvernement sa liste de migrants

    « Le gouvernement veut mettre le 115 sur écoute ». C’est ce que dénoncent des associations dont le SIAO (Service intégré d’accueil et d’orientation, 115) de Toulouse, depuis que le gouvernement leur demande de lui transmettre des informations sur les demandeurs d’asile qu’elles hébergent.

    Anonymat, confidentialité, inconditionnalité. Ce sont les mots d’ordre du 115. C’est à ce numéro que les personnes sans domicile peuvent demander un hébergement d’urgence […]. Désormais, depuis le 4 juillet, les associations qui gèrent ces centres d’hébergement d’urgence doivent fournir à l’Etat des renseignements concernant les demandeurs d’asile qu’elles hébergent.

    L’instruction ministérielle a été rendue publique le 9 juillet 2019. Elle prévoit donc que tous les SIAO de France fournissent mensuellement à l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII), la liste (les identités) des personnes demandeuses d’asile bénéficiaires d’un hébergement d’urgence […].

    Si plusieurs associations toulousaines fournissent déjà des informations concernant les demandeurs d’asile qu’elles hébergent, la majorité ne souhaite pas le faire et refuse de devenir « un agent du gouvernement ». C’est ce qui préoccupe Thomas Couderette du Cedis 31 (Collectif d’entraide et d’innovation sociale).

    Quelques chiffres

    • En Occitanie, en 2015, il y avait 1,4 places en hébergement pour 1.000 personnes de 20 à 59 ans d’après un rapport du préfet de la région.
    • Selon la Cimade, le dispositif d’accueil dédié aux demandeurs d’asile compterait environ 103.000 places alors que le nombre de demandeurs d’asile en cours d’instance, bénéficiant des conditions d’accueil serait de 140.939 en décembre 2018.

    France 3 Occitanie

    http://www.fdesouche.com/1242209-toulouse-polemique-autour-du-115-qui-doit-desormais-transmettre-au-gouvernement-sa-liste-de-migrants

  • PMA, CETA, Greta, Mercosur : le pouvoir aux lobbies !

    En France, comme ailleurs, la démocratie n’est plus qu’une parodie.En dépit des nombreuses vertus des institutions républicaines et démocratiques ayant sonné le glas de la monarchie absolue au XVIIIe siècle, les mains invisibles n’ont cessé de faire valoir leurs prérogatives : des institutions ne devenant plus que des cache-sexes pour de multiples juridictions. S’appuyant, légitimement, sur la représentation politique, la démocratie moderne reste le régime des lobbies.
    Trois faits d’actualité le prouvent : la présentation de « la PMA pour toutes » au dernier Conseil des ministres avant la trêve estivale (le 24 juillet), l’adoption du CETA à l’Assemblée nationale (le 23 juillet ; 266 voix contre 213), la réception de l’écologiste suédoise, Greta Thunberg (16 ans), au palais Bourbon (le même jour ; la cohérence du « en même temps » !) et la ratification à venir de l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur. 
    Dans ces cas précis, le peuple est privé de tout pouvoir décisionnel. 
    En l’espèce, la pratique démocratique est oligarchique ou n’est pas.
    Quand le politique s’éclipse au profit du médiatique, ce sont les images qui passent pour des idées : une mise en scène bien rôdée dans laquelle les députés macroniens doivent se précipiter vers la jeune prophétesse de malheur, cette dernière faisant son sermon à la tonalité néo-évangéliste (« On nous accuse, nous les enfants, d’être des alarmistes. Mais avez-vous seulement lu le dernier rapport du GIEC ? »). 
    Cette adolescente, affectée, par ailleurs, d’un autisme d’Asperger, ne cesse de faire la tournée des grandes instances internationales pour vendre les thèses du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. 
    Qui oserait, en effet, s’en prendre à l’icône cochant toutes les cases du pathos à bon compte ?
    Le même jour, les mêmes députés n’ont pas hésité à voter en faveur du CETA (signé, initialement, entre l’Union européenne et le Canada, le 30 octobre 2016), un autre accord de libre-échange permettant, comme toujours, la réduction des droits de douane ainsi que la convergence des normes sanitaires et industrielles. 
    Concrètement, un poulet canadien, très riche en antibiotiques, se retrouvera dans les assiettes françaises. 
    Une balle de plus dans la tête de l’éleveur français ! 
    Il en est de même concernant les tractations avec le Mercosur, composé du Brésil, de l’Argentine, du Paraguay, de l’Uruguay et du Venezuela.
    Encore dans le dos des peuples, le Brésil – qualifié de « premier consommateur de pesticides au monde » (selon une tribune parue dans Le Monde, le 24 juillet) – pourra imposer, dans le marché agroalimentaire européen, des produits éminemment toxiques.
    Tant de lobbies tiennent des élus, leur principe étant de s’extraire des législations de chacun des États-nations.
     Logiquement, ils prônent la disparition des frontières et la constitution d’un gouvernement mondial dont les principaux membres seraient corruptibles à souhait. 
    Dans ce cas de figure, le courant LGBTQI+, ne peut qu’imposer ses lois. 
    In fine, les transhumanistes en tout genre avancent leurs pions : mondialisation oblige, la GPA est « déjà là », puisque les enfants nés sous GPA sont « déjà là ».
    « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux », avait écrit La Boétie. 
    Alors, à quand le retour du peuple dans l’arène politique ? 
    Henri Feng

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/pma-ceta-greta-mercosur-le-pouvoir-aux.html

  • Le clown utile et ses manipulateurs

    Par Bernard Plouvier

    Le XXe siècle de l’ère dite chrétienne fut le grand siècle des expériences politiques.

    Après les excès d’un enthousiasme trop facilement détourné par des aventuriers, qui ont parfois dégénéré en guerres civiles ou internationales et ont constamment débouché sur un échec, les bons peuples d’Occident se sont laissé tenter par les démons de l’individualisme et de l’hédonisme, mâtinés d’altruisme à grand spectacle, dont la dernière plaisanterie est une grotesque manifestation de mégalomanie : il ne s’agit rien de moins que de « sauver la planète ».

    De leur côté, les mahométans, stimulés par le pétrodollar, se sont éveillés après un demi-millénaire de léthargie, découvrant la joie de nuire à autrui masquée par l’alibi religieux. Il faut reconnaître que la théorie puis la pratique impérialiste et guerrière du sionisme leur ont fourni l’occasion idéale d’un déchaînement de fureur destructive et de haine meurtrière.

    Notre triste présent d’Européens est fait de terrorisme, de haines raciales, d’immigration-invasion et de vaticinations pseudo-écologiques. On a les quatre Cavaliers de l’Apocalypse qu’on mérite !

    Les seuls media qui comptent de nos jours - les « réseaux sociaux » et la TV, qui ont relégué au rang d’accessoires la radio et le cinéma - ont renouvelé le mode opératoire du bourrage de crâne.

    On préfère désormais multiplier les présentateurs plutôt que d’exhiber constamment la même tête et la même voix. La diversité apparente a pour but de faire croire en une multiplicité d’opinions. Mettre en scène chaque mois, voire toutes les semaines, un nouveau pitre pour vanter la qualité d’un brouet inchangé depuis les années 1990, c’est devenu le nec plus ultra du formatage d’opinion publique.

    Puisque les adultes travaillent (du moins sont-ils censés le faire), on a de plus en plus recours aux adolescents, à la fois improductifs et gros consommateurs, mais d’un fanatisme à toute épreuve. Convaincus de l’excellence de ce qu’on leur a mis en tête, ils emportent très facilement la conviction de leurs contemporains, tandis que des adultes à-demi idiots s’extasient devant ces perroquets juvéniles.

    Il n’existe aucun consensus scientifique sur les mécanismes qui font se déplacer la glace d’un pôle à l’autre de notre planète (dislocation au Nord et accrétion au Sud, avec refroidissement de l’Atlantique Nord et de l’Antarctique & réchauffement médian).

    Alors que les grosses têtes et leurs super-ordinateurs géants multiplient en vain les modèles théoriques, on exhibe devant des parlementaires incompétents, mais avides d’esbrouffe, une dinde prétentieuse et nordique, tandis qu’en Afrique du Sud s’agite une prophétesse locale… ce ne fera jamais que deux candidates de plus au Prix Nobel de la Paix !

    Derrière les prestations à hurler de rire ou à vomir des charlots et des charlottes de l’écologie de pacotille, il est indispensable de chercher à qui profite le spectacle.

    L’Afrique est un énorme continent, aux sol et sous-sol richissimes, nanti de populations incapables de les exploiter. De nombreuses sociétés, multinationales ou non, dirigent cette exploitation depuis plus d’un siècle. Étant donnée la rapacité des dirigeants autochtones, qui est la principale activité africaine à connaître une expansion, les patrons de ces grandes entreprises aimeraient refiler aux contribuables des pays développés la facture du graissage de patte des insatiables élus du peuple et des innombrables profiteurs de leurs clans.

    Le tam-tam médiatique sur le « réchauffement climatique » et ses explications foireuses vole au secours des superbénéfices des grandes compagnies. C’est assez dire à quel point les clowneries d’adolescents, en apparence moins faisandés que les ringards du marxisme reconvertis dans l’écologie de bazar, revêtent une importance majeure dans le monde merveilleux de l’économie globale et de la mondialisation du bourrage de crânes.       

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/07/26/le-clown-utile-et-ses-manipulateurs-6166719.html

  • A propos du CETA, Macron et Hulot en opposition frontale...

    Au(x) début(s) - c'était hier, et cela paraît si loin !... - Nicolas Hulot était présenté comme le symbole du Macronisme triomphant; il était "une prise" de choix, et montrait qu'on allait voir ce que l'on a allait voir sur le climat, sur les promesses présidentielles, sur un avenir meilleur, bref, sur tout... On a surtout vu partir le sieur Hulot au bout d'assez peu de temps (et d'une façon fort cavalière, fort peu protocolaire) : comme Gérard Collomb (dans un autre domaine et pour d'autres raisons) on se contentera de dire que Hulot a eu du flair, qu'il a senti le vent tourner et qu'il est parti juste à temps. Ce que c'est que d'avoir le nez creux !

    Aujourd'hui, la belle photo des début s'est déchirée : comme dans un couple qui se sépare, ce n'est pas pour les enfants, le chien ou les petites cuillères que se disputent les deux ex meilleurs amis du monde qui allaient tout changer etc... etc...

    Non, c'est pour le CETA que, par déclarations interposées, l'opposition est rude et frontale. Hulot demande aux députés "d'avoir le courage de ne pas le voter", alors que Macron clame haut et fort que le CETA c'est ce qu'il nous faut.

    macron hulot aujourd'hui.png

    Comment est-il possible que, en aussi peu de temps, un président et son ancien ministre en soient passé de l'accord soi-disant parfait à l'antagonisme le plus parfait ? Il est ahurissant que, en si peu de temps, un président contredise son ex ministre de naguère (ou l'inverse) et cela nous amène à la question essentielle : la personnalité de Macron.

    Chateaubriand parlait de son "imperfection en politique" pour expliquer l'échec désastreux de Napoléon. La formule peut s'appliquer tout autant à Macron. De Bayrou (parti quelques semaines après sa nomination) à Collomb et Hulot, en passant par l'épisode tragi-comique de de Rugy mais aussi par Castaner - dont l'incompétence notoire n'est un secret pour personne et qui aurait du être "démissionné" depuis trente-cinq semaines... - il est clair que Macron ne sait pas s'entourer, ne sait pas choisir ses Ministres. 

    Pire : quand, d'aventure, il en a reçu un bon, comme Le Drian - qui a été plus qu'excellent aux Armées - il le change de poste, et le met aux Affaires étrangères, où il est aussi plat qu'il fut brillant à la Défense !...

    Des anti-royalistes primaires croient critiquer Louis XIV en disant que, en réalité, la grandeur du règne ne vient pas de l'action du Roi mais du travail de ses ministres : cette prétendue critique est absurde, car, ces ministres, qui les a choisis ? Louis XIV, évidemment...

    Avec Macron, c'est tout l'inverse : cette cascade de départs/démissions, d'affaires, de désaccords suivant un unanimisme de façade, révèle une personnalité qui, à l'inverse du Grand roi, ne sait pas s'entourer, ne sait pas discerner les talents, et s'entoure donc mal.

    Avec les conséquences que l'on voit, depuis la fin d'un "état de grâce" dont l'affaire Beanalla aura sonné la fin, comme les péripéties d'un mauvais feuilleton, dont, au bout du compte, c'est la France qui fait les frais...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/07/23/a-propos-du-ceta-macron-et-hulot-en-opposition-frontale-6166001.html

  • Répartition : est-ce la fin du monopole ?

    6a00d8341c715453ef0240a49a0bb5200d-320wi.jpgTrop souvent notre république enterre certaines réformes promises, et souvent nécessaires. Ainsi, les plus urgentes ne se réaliseront pas. D'autres, au contraire, beaucoup plus discutables, s'avancent comme inexorablement. On les dit sociétales, dès lors qu'elles flattent certaines sensibilités, pourtant minoritaires dans le pays. Interdit d'y toucher, sous peine d'être accusé de diverses phobies.

    Ceci ne constitue pas un apanage du pouvoir actuel. Mais cette double atteinte à la démocratie, c'est-à-dire à la décision du peuple, semble, ces temps-ci, vouée à l'aggravation.

    Ainsi a-t-on officiellement appris ce 24 juillet, la renonciation de l'État à une véritable diminution du poids de la fonction publique. Cette triste annonce se voit confirmée par les chiffrages réels. Pendant la campagne de 2017, on avait entendu parler de 120 000 postes en moins. Certes les collectivités locales étaient les plus menacées, par une perte représentant quelque 60 % de ce contingent fantasmé. Maintenant, sur tout le quinquennat, le déclin global des effectifs devrait à peine atteindre le nombre de 15 000.

    Et encore : 15 000 en 5 ans cela veut dire 3 000 par an. Or, dans le monde réel, on se situe difficilement à ce niveau. L'objectif de 1 600 n'a pas été observé en 2018. Ceci malgré la seule suppression de 3 500 personnes gérant, dans les services dépendant de Bercy, une taxe d'habitation vouée à disparaître. Les 100 000 fonctionnaires de l'administration fiscale, surnuméraire si on la compare à celle de pays comparables, et si on accepte de mesurer l'impact de son informatisation, semblent à vrai dire le seul vivier de réduction.

    Les bons esprits en attribueront, bien sûr, la faute aux gilets jaunes, puisqu'ils obligent à augmenter, quoique chichement, les moyens de la police.

    On doit se féliciter au contraire, et sans doute ponctuellement soutenir, Bruno Le Maire, à propos du virage sémantique accompli le même 24 juillet. Au conseil des ministres, il n'intervenait pas dans l'interminable feuilleton Delevoye, du devenir, du calcul et de l'âge théorique, des pensions du système monopoliste, CNAV, AGIRC-ARRCO etc. Mais il finalisait, par une ordonnance définissant le nouveau régime des produits d’épargne retraite, la loi Pacte votée le 11 avril par le Parlement. On va enfin ouvrir, en France, petitement au départ, la porte à la concurrence des caisses privées, qu'on appelle fonds de pensions, pour bien les distinguer des caisses de retraite, alors que les deux mots devraient vouloir dire exactement la même chose.

    Ce changement reste pour l'instant fragile, virtuel et, en partie, symbolique. Il importe donc de le renforcer et de le confirmer.

    La lenteur avec laquelle le modèle social français évolue sur son dogme de la retraite par répartition constituera peut-être, en effet, un cas d'école dans la réflexion économico-politique du futur.

    Il faut souligner deux ou trois choses bien distinctes :

    1° l'État central parisien, droite et gauche confondues a toujours freiné des quatre fers pour empêcher cette réforme.
    2° l'évolution est venue des circonstances du XXe siècle.
    3° elle s'imposera désormais, du fait des réalités du XXIe siècle.

    C'est en 2015, sous la présidence de Monsieur Patate que les socialo-centristes avaient envisagé d'ouvrir aux fonds de droit privé l'accès au marché de l'épargne vieillesse.

    On doit se souvenir qu'en ce temps-là l'actuel chef de l'État servait François Hollande, en qualité de ministre des Finances. Valls, premier ministre mit son veto au projet.

    1. L'enterrement des réformes depuis un quart de siècle. Les commentateurs professionnels ont, de toute évidence, oublié comment en 1997, Alain Juppé, toujours lui, chouchou de Chirac, et son successeur désigné, s'était employé à saboter une loi votée par le parlement. Fourcade, au Sénat, avait accompli une manœuvre de retardement fort efficace, à laquelle personne n'avait voulu attacher d'importance. Malgré le vote parlementaire, le gouvernement réussit à geler tout décret d'application.

    En décembre 1997, au nom du patronat, Seillère considérait déjà que : "le développement des entreprises internationales s'est de longue date opéré à partir de cet engrais qui fait la croissance et que l'on refuse systématiquement aux entreprises françaises. (...) Quand je dis que Juppé n'a pas été plus motivant que Jospin, je traduis une réalité d'entrepreneur".

    Le verrouillage du modèle social français aura ainsi été théorisé et imposé pendant un quart de siècle autant par les chiraquiens que par le PCF. Il a paralysé ce pays.

    2. La conception tragique du régime, il y 78 ans. On sait, ou plutôt on devrait savoir que le système dit de la répartition remonte à 1941. Il ne suffit pas de maudire cette date. Le contexte, quelque peu différent, c'est le moins qu'on puisse dire, mérite d'être rappelé. Le gouvernement d'alors se trouvait confronté à une situation concrète terrible : 2 millions de jeunes actifs, chefs ou soutiens de famille se trouvaient prisonniers ; de nombreuses pénuries se manifestaient dans divers secteurs ; les échanges commerciaux étaient largement bloqués, - ce qui réjouirait aujourd'hui nos écologistes ; cependant que l'on nourrissait une armée d'occupation.

    Moins mal intentionné que ne le disent aujourd'hui les imbéciles, les ignorants et les communistes – ce sont parfois les mêmes, mais pas toujours – le Vieux Maréchal souhaitait, sincèrement je crois, à la fois reconstruire un pays dévasté et trouver des formules de réconciliation. Les gouvernements de Front populaire, puis radicaux-socialistes, qui s'étaient succédé à partir de 1936, étaient, certes, parvenus au désastre que l'on devrait savoir, mais non à la tenue de leurs promesses, laquelle comportait la fameuse retraite des vieux travailleurs. C'est dans cette affreuse époque qu'est née ce qu'on appelle la répartition, c'est-à-dire le système des caisses publiques monopolistes qui quadrillent la société.

    Ce régime s'inspirait tout simplement de la formule étatiste du Social Security Act de 1935 mettant en place l'État-providence aux États-Unis. L'équipe gouvernementale dirigée par l'amiral Darlan, grand admirateur de Roosevelt, avait cédé les rennes de sa politique économiquement dirigiste à des cercles issus et imbus des idées planificatrices des années 1930. Ceux-ci, également à l'aise par ailleurs en tant qu'experts du conseil national de la Résistance, en rédigeaient les programmes, développaient les mêmes idées, martelaient les mêmes idées. Depuis, dans ce pays, rien n'a vraiment changé, sous la berceuse et les fadaises de nos pseudo-débats.

    3. Ce sont les nécessités de l'avenir de l'économie française, de l'industrie et de la société qui imposeront l’essor de fonds privés. L'assurance-vie, privilégiée par le fisc parce qu'elle est recyclée, aux 3/4, 1 350 milliards sur 1 750, dans le financement de l'énorme dette étatique, contre à peine 230 milliards d’euros d'encours dans les produits actuels d'épargne retraite, ficelés par les monopoles.

    Voilà pourquoi votre fille est muette et votre économie stagnante.

    JG Malliarakis

    https://www.insolent.fr/

  • « Blanchir quelqu’un » serait un vocabulaire raciste ? Bientôt, le blanc sera carrément interdit

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    Beaucoup d’internautes ont été surpris de lire, sur Twitter, le message suivant écrit par la députée et ex-ministre PS George Pau-Langevin :

    « Sur l’affaire #DeRugy, toute la presse se répand en disant que suite aux enquêtes effectuées il serait “blanchi” ce qui signifie qu’il était noirci par les accusations ! Quand ce vocabulaire attachant toujours un sens négatif à la couleur noire sera-t-il périmé ? »

    Voilà donc une autre polémique inutile lancée sur le rapport de la gauche avec la race.
    Alors, petit rappel : en droit, le verbe d’action « blanchir quelqu’un » est le fait de trouver des preuves, des arguments dans le but d’innocenter quelqu’un accusé à tort.
    Ce verbe, pour présenter une personne disculpée dans une affaire faisant appel à la morale, est plutôt perçu dans notre entendement comme positif, dans le sens où il permet un retour moral au sein de la société.

    Jusqu’à ce jour, aucun Noir, Blanc, Jaune ou autre n’a eu à se plaindre d’avoir été blanchi, bien au contraire.

    L’élue George Pau-Langevin cache à peine qu’elle a fait du communautarisme son fonds de commerce depuis qu’elle a dirigé le MRAP, l’une des plus grandes boutiques communautaires en France. Elle s’est toujours battue afin d’imposer, dans le cadre de ses mandats électoraux, une discrimination positive. Elle avait même pris la position de considérer comme « tout à fait normal » que l’on facilite la tâche aux Noirs en les désignant dans des circonscriptions gagnables.

    George Pau-Langevin, fermement opposée à la méritocratie, partisane de la remise en question permanente de tout ce qui fait le socle du vivre ensemble, à l’image des requêtes abracadabrantesques de ses amis du CRAN qui voudraient déboulonner la statut de Colbert au nom de la réparation mémorielle sur l’esclavage.

    Non, Mme George Pau-Langevin ! Nous n’avons jamais entendu, en droit, « noircir quelqu’un » avec des accusations. Par contre, nous entendons souvent « blanchir quelqu’un » et ça n’a rien de raciste. De plus, son usage renforce la langue française du poids des couleurs.

    Allons-nous, alors, interdire, sous couvert d’antonymes, vote blanc, examen blanc, mariage blanc, drapeau blanc, blanc-seing, blanchir l’argent sale, se faire des cheveux blancs, blanc bonnet/bonnet blanc, arme blanche, etc. ?

    Verlaine Djeni

    https://www.bvoltaire.fr/blanchir-quelquun-serait-un-vocabulaire-raciste-bientot-le-blanc-sera-carrement-interdit/

  • Retour sur les violences de "supporteurs" (?) algériens : Robert Ménard pose la bonne question...

    "Ces supporters de l’Algérie sont-ils des Français de cœur ou des Français de CAF ?" 

    17'26 de bon sens, à écouter ici (désolé pour la publicité d'introduction) :

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/07/24/sur-tv-libertes-robert-menard-pose-la-bonne-question-6165993.html#more
  • Aldous Huxley l’avait prédit, Emmanuel Macron va le faire

    Aldous Huxley l’avait prédit, Emmanuel Macron va le faire

    De Bernard Antony :

    Avec la loi Macron-Buzyn sur la « PMA sans père » dont le projet est adopté ce mercredi en conseil des ministres, la révolution sociétale de la République en marche vers le totalitarisme du meilleur des mondes va accomplir une étape décisive.

    Aldous Huxley qui le publia en 1932 avait été véritablement prophétique avec son « Brave new world ». Presque un siècle le séparait pourtant de notre époque mais il avait très justement imaginé ce que pourrait devenir un monde dominé par une science sans conscience, utilisant sans scrupule la génétique et le clonage et plus largement ce que nous appelons les « manipulations génétiques » avec, de plus en plus, une bioéthique sans éthique.

    En épigraphe de son chef-d’œuvre d’anticipation, Huxley avait placé, en français, ces lignes du grand philosophe russe Nicolas Berdiaeff :

    « Les utopies apparaissent comme bien plus réalisables qu’on ne le croyait autrefois. Et nous nous trouvons actuellement devant une question autrement angoissante : comment éviter leur réalisation définitive ?… Les utopies sont réalisables. La vie marche vers les utopies. Et peut-être un siècle nouveau commence-t-il, un siècle où les intellectuels et la classe cultivée rêveront aux moyens d’éviter les utopies et de retourner à une société non utopique moins « parfaite » et plus libre ».

    On ne peut hélas que le constater, l’espérance de Berdiaeff en un mouvement anti-utopie des « intellectuels » n’est pas en voie de réalisation.

    La médiacratie idéologique marxiste ou libéralo-libertaire n’a en effet cessé d’étouffer les intellectuels de droite, imposant comme une évidence qu’il ne saurait y avoir d’intellectuels que de gauche.

    Aussi, lorsque la philosophe Sylviane Agacinski lance ses alertes face au bouleversement de la filiation qu’entraîne la disparition du père dans la procréation, lorsqu’elle plaide, citant Aristote, un retour au sens commun, la voilà désormais inéluctablement disqualifiée comme étant de droite.

    Mais revenons encore un peu aux lumières d’Huxley.

    Voici un extrait de sa nouvelle préface à son livre, en 1946 :

    « La révolution véritablement révolutionnaire se réalisera, non pas dans le monde extérieur, mais dans l’âme et la chair des êtres humains. Vivant comme il l’a fait à une époque révolutionnaire, le Marquis de Sade s’est tout naturellement servi de cette théorie des révolutions afin de rationaliser son genre particulier de démence.

    Robespierre avait effectué le genre de révolution le plus superficiel, la politique. Pénétrant un peu plus profondément, Babeuf avait tenté la révolution économique. Sade se considérait comme l’apôtre de la révolution véritablement révolutionnaire, au-delà de la simple politique et de l’économique – de la révolution des hommes, des femmes et des enfants individuels, dont le corps allait devenir désormais la propriété sexuelle commune de tous, et dont l’esprit devait être purgé de toutes les connaissances naturelles, de toutes les inhibitions laborieusement acquises de la civilisation traditionnelle ».

    Ces lignes devraient suffire pour éclairer ceux qui ne voient pas qu’avec sa « République en marche », avec son progressisme, avec ses projets de loi de réformes sociétales, Emmanuel Macron n’est pas seulement un homme de gauche. Car il est un très fanatique idéologue et acteur de la révolution sadienne, d’une radicale révolution de désintégration sociale, la révolution déconstructiviste sociétale.

    Je l’ai déjà écrit, il y a du Néron dans ce Macron.

    J’avais, à tort, prédit qu’il ne resterait pas longtemps au pouvoir. Jusqu’ici au moins, je me suis en effet trompé.

    Pour la plus grande joie des « frangins » du Grand-Orient et autres obédiences de même acabit, la franc-maçonnerie n’est sans doute pas encore au bout de son sale travail de destruction de la famille, de la personne, de la société.

    https://www.lesalonbeige.fr/aldous-huxley-lavait-predit-emmanuel-macron-va-le-faire/

  • Revue de presse : GRETA LA SCIENCE

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    Michel Onfrey cliquez ici

    François de Rugy s’étant fait rattraper cet été par des homards devenus fous, peut-être parce qu’ils étaient imbibés d’Yquem, a quitté son poste de ministre de l’Ecologie. J’aurais aimé qu’il soit remplacé par Greta Thunberg qui, végane, n’aurait jamais pu causer la mort de ces pauvres crustacés géants ! Végane et probablement buveuse d’eau, elle ne sort jamais sans sa gourde rouge écoresponsable - comme jadis le commandant Cousteau avec son bonnet ou aujourd’hui Christophe Barbier qui arbore son écharpe rouge, même en temps de canicule - pardon : en temps d’épisode caniculaire. La jeune fille qui ne sourit jamais, comme Buster Keaton à qui elle ressemble tant, ne pourrait donc pas non plus vider la cave du contribuable. Ce serait une garantie de moralisation de la vie politique. Après quinze défections depuis le début de son court règne, dont celles de onze ministres, Manu, tu devrais y songer…
    Cette jeune fille arbore un visage de cyborg qui ignore l’émotion - ni sourire ni rire, ni étonnement ni stupéfaction, ni peine ni joie. Elle fait songer à ces poupées en silicone qui annoncent la fin de l’humain et l’avènement du posthumain. Elle a le visage, l’âge, le sexe et le corps d’un cyborg du troisième millénaire : son enveloppe est neutre. Elle est hélas ce vers quoi l’Homme va.
    Les journalistes nous font savoir avec moult précaution, presque en s’excusant, qu’elle est autiste - il faut le dire, sans le dire, tout en le disant quand même. Dont acte. Je laisse cette information de côté. L’usage métaphorique de ce mot est interdit par la bienpensance, mais on découvre également qu’il l’est aussi dans son sens premier. Donc on le dit, mais on n’a rien dit.
    Quelle âme habite ce corps sans chair ? On a du mal à savoir… Elle sèche l’école tous les vendredis en offrant l’holocauste de ce qu’elle pourrait apprendre à l’école pour sauver la planète. Est-ce que ce sera suffisant ? Vu la modestie de l’offrande, je crains que non…
    Trop contents de ce magnifique prétexte pour ne pas aller au collège, un troupeau de moutons de cette génération qui se croit libre en bêlant le catéchisme que les adultes leur inculque, propose de suivre son exemple et offre en sacrifice expiatoire la culture qu’elle n’a pas, mais qu’elle pourrait avoir - si d’aventure elle allait à l’école, encore que, si c’est pour y apprendre les billevesées gretasques…
    La cyborg suédoise a même annoncé qu’elle prévoyait de prendre une année sabbatique pour sauver la planète ! En effet, pourquoi apprendre des choses à l’école quand on sait déjà tout sur tout ? La preuve, plume à la main, le soir dans son lit, elle lit avec passion les volumineux dossiers du GIEC dont elle débite les chiffres, donc la science, avec une voix de lame de fer - jadis, c’était Rimbaud ou Verlaine qu’on citait quand on n’avait pas dix-sept ans…

    Quelle intelligence est celle de ce cyborg ? On ne sait… Ce qu’elle lit, à défaut de le dire librement, n’est pas écrit par une jeune fille de son âge. La plume sent trop le techno. Sa voix porte le texte d’autres qui n’apparaissent pas. Qu’est-donc d’autre qu’un cyborg, si ce n’est le sujet d’acteurs invisibles ? Cette intelligence est vraiment artificielle, au sens étymologique : c’est un artifice, autrement dit, un produit manufacturé. Toute la question est de avoir par qui. Or, la réponse est simple, il suffit de se poser une autre question : à qui profite ce crime ? La réponse se trouve probablement dans l’un des dossiers du GIEC - la bible de cette pensée siliconée.
    Que dit ce corps qui est un anticorps, cette chair qui n’a pas de matière, cette âme qui fait la grève de l’école, cette intelligence ventriloquée ? Ce que les adultes de la bienpensance progressiste débitent depuis des décennies.
    Notre époque voit arriver au devant de la scène des enfants rois. J’ai dit ailleurs que la maladie avait gagné le palais de l’Elysée. Ce règne des enfants rois est celui de l’intolérance à la frustration et du mépris des adultes, alors que ces êtres en cours de fabrication se contentent de débiter des discours d’adultes - du moins, de certains adultes, ceux de l’avant-garde éclairée de la métamorphose la plus récente du capitalisme : l’écologisme. Ce cyborg parle en faveur d’une révolution initiée par le capitalisme vert.
    Certes, comme toujours, les véritables motifs - d’incommensurables profits… - ne sauraient être avoués tels quels. Il faut un excipient moral à cette révolution permettant d’entretenir le culte du Veau d’Or. Et quoi de mieux que le projet de sauver une planète en danger de mort ?
    Cette jeune fille de seize ans qui prévoit de ne plus aller à l’école, puisqu’elle parle au nom de la science, ignore qu’un philosophe qui s’appelle Hans Jonas a rédigé il y a bien longtemps le logiciel avec lequel fonctionne son intelligence artificielle.
    Dans Le Principe responsabilité (1979), Jonas fait avoir qu’en matière de survie de la planète, il s’agit d’en finir avec la raison des Lumières qui n’a rien produit, sinon des catastrophes, et qu’il faut désormais opter pour "une heuristique de la peur". Autrement dit : il faut dramatiser, inquiéter, amplifier, exagérer, faire peur, c’est-à-dire tout le contraire de penser, examiner, réfléchir, débattre. On ne pense plus, on récite ; on n’examine plus, on assène ; on ne réfléchit plus, on psalmodie; on ne débat plus, on insulte, on excommunie, on anathèmise. On ventile…
    Ce cyborg post-capitaliste parle en effet au nom de LA science. Mais, du haut de ses seize ans, que sait-elle de l’astrophysique, des cycles cosmiques, des orages solaires et de leurs cycles, autant d’informations qui relèvent aussi de la science, mais auxquelles ni elle ni les siens ne font jamais référence quand il s’agit de penser la question du réchauffement climatique - une incontestable vérité : il n’y a pas à douter de ce fait mais des causes que certaines en donnent.
    Pour Greta Thumberg, il semble que LA science se réduise au compendium de passages à réciter, hiératique comme dans une cour du palais des papes planétaire, après prélèvement des phrases stabilotées dans les rapports du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat.
    A l’Assemblée nationale, où, semble-t-il, elle a été invitée par un monsieur Orphelin, toujours avec le masque de Buster Keaton, elle a froidement fait la leçon à des adultes qui, se faisant mépriser, ont consciencieusement applaudi. Il faudra un jour réfléchir sur le rôle tenu en politique par l’humiliation chez certains qui jouissent à se trouver des maîtres et à jouir dans la soumission - fasciste, brune, rouge, noire, islamiste ou verte. 
    Cette fois-ci, le maître est une maîtresse : c’est une jeune fille au corps neutre et à la parole belliqueuse. A la tribune, il semblait que c’était Mélenchon dans le corps d’Alice au pays des merveilles. Effet terrible : la menace du Tribunal révolutionnaire exprimée avec une voix pré-pubère blanche comme la mort… On se croirait dans un manga. Glaciale, elle a tapé les élus, elle a cogné les politiques, elle a frappé les chefs d’entreprise, elle a giflé les adultes, elle a molesté les journalistes, et le public a applaudi, la regardant comme s’il s’était agi d’une nouvelle apparition de Thérèse à Lourdes.
    "Nous les enfants", dit-elle quand elle parle ! Quelle civilisation a jamais pu se construire avec des enfants ? C’est le monde à l’envers ! Qui plus est : avec des enfants expliquant aux adultes qu’il n’ont rien à faire des cours qu’ils leurs dispensent et que, de ce fait, ils entendent prendre une année sabbatique avant même d’avoir obtenu le brevet des collèges ? C’est vouloir entrer dans le monde du travail en commençant par plusieurs années de retraite !  Il est vrai que le coeur du projet présidentiel du "socialiste" Benoit Hamon…
    Que disent les adultes ayant fabriqué cette génération d’enfants rois qui décrète les adultes criminels, irresponsables, méprisables, détestables ? Comme dans les mangas SM, ils jouissent et disent "Encore ! Encore !"… Elle attaque les journalistes ? Et que répond la corporation ? Elle prend les coups et se force à sourire : ce serait Mélenchon, ils le vomiraient, mais comme c’est du Mélenchon enveloppé dans les rubans d’Alice, ils baissent le tête, regardent leurs pieds et filent doux… Le fouet claque au-dessus de la tête des patrons ? Le Medef se tait et, penaud, tient la main des journalistes.
    L’Alice suédoise tance les adultes, elle leur dit, avec son visage non pas de marbre mais de latex: nous sommes des objets de haine, vous nous menacez, vous nous traitez de menteurs. Des adultes censés incarner la représentation nationale applaudissent… Prenant un plus long fouet, elle ajoute, s’adressant aux mêmes : "vous n’êtes pas assez mûrs". Dans un spasme de jouissance sadomasochiste, sauf une femme qui semble raison garder, bravo madame, tous applaudissent.
    Et puis, le diable est dans les détails, ce cyborg neutre et pâle comme la mort, au visage tendu par les épingles du néant, signe parfois ses imprécations avec l’index et le majeur de chaque main, comme pour signifier des guillemets. Il n’y a que dans ces cas-là qu’elle semble encore humaine.
    On retrouve alors, débordant cette intelligence artificielle, un geste d’humanité, même si c’est un geste panurgique : c’est celui d’une gamine de seize ans qui a les tics de son âge - autrement dit : l’éthique de son âge… Cherchons bien, elle pourrait même arborer un tatouage et rentrer dans son hôtel végane en trottinette électrique - escortée toutefois par des motards de la République. Qu’attend Macron pour la nommer en remplacement du ministre que le homard a tué ?
    Il n’y a rien à reprocher à une enfant qui veut voir jusqu’où va son pouvoir d’agenouiller les adultes, c’est dans l’ordre des choses. Le pire n’est donc pas chez elle, elle fait ce que font tous ses semblables, mais il se trouve chez ces adultes qui jouissent de se faire humilier par l’une de leur créature : un enfant qui fait la leçon aux adultes qui ne mouftent pas et jubilent même de recevoir des coups de leur progéniture, voilà sans conteste matière à conjecturer que nous entrons dans le stade suprême du nihilisme…

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La Macronie ou l’arrogance incarnée – Journal du jeudi 25 juillet 2019

    La Macronie ou l’arrogance incarnée

    Alors qu’Emmanuel Macron a multiplié les petites phrases méprisantes depuis son arrivée au pouvoir il y a deux ans, le style s’est propagé à l’ensemble des équipes En Marche. Une arrogance générale qui pourrait se retourner contre le parti présidentiel.

    PMA : Manif Pour Tous, le retour ?

    Une loi bioéthique pour la rentrée et une opposition qui commence à se former timidement. Si la riposte parlementaire s’annonce marginale, La Manif Pour Tous, elle, entend faire descendre du monde dans la rue mais la tâche s’annonce plus complexe que sous François Hollande.

    Vacances des français : des budgets contrôlés

    En hausse selon certaines enquêtes en baisse selon d’autres, le budget des français pour les vacances varie selon l’étude de référence et la méthode employée… en revanche une tendance globale semble se dégager en cette période de crise : la vigilance dans les dépenses.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/la-macronie-ou-larrogance-incarnee-journal-du-jeudi-25-juillet-2019