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lobby - Page 890

  • L’extrême centre, le populisme des élites

    C'est, selon son habitude, à une fine analyse que Roland Hureaux se livre ici [Causeur - 20.05]. Nous sommes familiers de sa pensée politique depuis qu'il fut l'un des participants du colloque d'Action française du 7 mai 2016, à Paris. On parle souvent des populismes, de droite ou de gauche, comme de menaces extrémistes ; moins de celle incarnée par l’idéologie libérale majoritaire. Roland Hureaux considère que la menace qu'incarne l’extrême centre s’avère pourtant plus dangereuse et mériterait d’être reconsidérée… Il nous paraît avoir bien raison.  LFAR

    « Il se fait passer pour raisonnable mais présente les dangers de toutes les idéologies ».

    C’est une chose entendue chez les gens de bon ton, dans les classes dirigeantes occidentales : il faut se méfier des extrêmes, ils sont dangereux. L’extrême droite évoque le spectre du nazisme (à supposer que le « parti socialiste national des travailleurs allemands » d’Hitler ait été vraiment de droite), l’extrême gauche le spectre du stalinisme ou du maoïsme.

    Non seulement, ils sont dangereux, mais ils véhiculent, dit-on, des sentiments mauvais, « nauséabonds »: ils sont le parti de la haine.

    Le peuple et son contraire

    Le populisme, qui ambitionne d’exprimer le sentiment populaire, porte généralement des idées jugées extrémistes en particulier quand il remet en cause l’ordre libéral international ou encore la construction européenne ou l’euro : il sent mauvais. Pour tout dire, comme son nom l’indique, il sent le peuple. Il faut s’en méfier comme de la peste. Dans notre géographie idéologique, les personnes convenables ne sauraient se mêler à lui.

    Face aux extrêmes, les centristes de toute nature sont, eux, des gens bien élevés : ils s’inscrivent dans le « cercle de la raison » tracé par Alain Minc. Ils ne rejettent ni l’euro ni l’Europe de Bruxelles, pas même l’Otan ou le libre-échange, encore moins la mondialisation, nécessairement heureuse. Pour parler comme Karl Popper, ils sont partisans de la  société ouverte et non de la  société fermée. La société, c’est comme le visage qu’il vaut mieux  avoir ouvert que fermé.

    L’illusion de la modération

    Les hommes du centre représentent une idéologie libérale très convenable. Dangereuse illusion.

    D’abord parce que le rattachement des idées de la droite ou de la gauche fortes aux totalitarismes du passé, que généralement ces courants récusent, est hasardeuse. Une personnalité aujourd’hui aussi peu contestée que le général De Gaulle fut, tout au long de sa carrière, suspectée, voire accusée de menées fascistes ; nous mesurons aujourd’hui l’absurdité de ce procès.

    Ensuite et surtout parce que le libéralisme auxquels se réfèrent les gens convenables a, lui aussi, pris au fil des ans le caractère d’une idéologie ; c’est cette idéologie que nous appelons l’extrême centre.

    L’extrême centre, une idéologie comme les autres

    Une démarche idéologique se reconnait à plusieurs caractères : des idées trop simples, comme par exemple la suppression de la propriété privée ou le libre-échange universel, avec souvent des effets collatéraux désastreux : l’oppression totalitaire ou la régression économique dans le cas du libéralisme européen. Au bout, le rejet des peuples : hier les dissidents, aujourd’hui les gilets jaunes.

    Mais il est un caractère de l’idéologie qui, plus que les autres, ne trompe pas, c’est l’intolérance, le refus de conférer quelque respectabilité que ce soit aux positions adverses. Car toute idéologie est un projet messianique : l’ambition de transformer radicalement  la condition humaine, par la suppression de tel ou tel fondamental anthropologique : la propriété, la nation, ou l’instauration de la démocratie libérale. L’opposition aux idéologies n’est pas une opinion parmi d’autres ; elle est tenue par ses partisans pour un obstacle à une ambition  mirifique. Les ennemis du communisme  étaient des « vipères lubriques ». Ceux du libéralisme, assimilé à tort ou à raison aux constructions supranationales sur lesquelles repose l’Occident : Otan, Union européenne, etc. sont relégués dans les ténèbres extérieures où ont sombré  les gens infréquentables. Infréquentables, c’est-à-dire qu’aucun débat n’est permis avec elles. Dix prix Nobel d’économie ont contesté la pertinence de l’euro ; il n’est néanmoins pas permis d’en débattre ; sur l’euro, l’intimidation des opposants est telle que le Parti communiste  et le nouveau Front national (Rassemblement national) n’osent plus le remettre en cause.

    La menace fantôme

    Cette véhémence contre les opposants a son volet national. L’idéologue a besoin d’adversaires diaboliques. Porteur d’une vision eschatologique qui doit faire passer des ténèbres à la lumière, il ne supporte pas d’être mis en échec. La moitié néo-conservatrice (ou ultralibérale) de l’opinion américaine, qui a  soutenu Hillary Clinton, n’a toujours pas digéré la victoire de Trump, voué aux gémonies : l’idéologie amène la grande démocratie américaine au bord de la partition. La même véhémence a aussi un volet  international : porteuse d’un projet universel, l’idéologie ne supporte pas non plus les résistances extérieures à son projet universel. A intervalles réguliers, l’idéologie dominante occidentale désigne un bouc émissaire tenu pour l’ennemi de l’humanité et lui fait la guerre ; elle a besoin de produire des monstres pour se justifier : de Bachar el Assad à Vladimir Poutine, pour ne prendre que de récents exemples. Ceux qui, aux Etats-Unis et en Europe occidentale sont les plus agressifs vis-à-vis de la Russie sont, sur le plan intérieur,  des centristes.

    Le bilan des guerres des vingt dernières années est accablant : elles ont fait des centaines de milliers de morts. Aucune pourtant n’a été déclarée par des extrémistes, presque toutes par des idéologues du « mainstream ». En tous les cas, en Europe au moins, elles ont reçu le soutien de courants centristes et le désaveu de ceux que l’on taxe d’extrémisme.

    On dira que Bush fils et son âme damnée Dick Cheney, responsables de la  guerre d’Irak (2003) étaient des extrémistes – peut-être mais les Clinton, Obama et leurs émules  européens  qui  ont soutenu leurs entreprises : Blair, Hollande, Macron, Merkel, Juncker étaient tenus à des degrés divers pour des modérés.

    Les moins démocrates d’entre tous ?

    A l’inverse, les présidents américains qui sont passés pour des hommes de la droite dure, Nixon, Reagan et jusqu’ici Trump n’ont, à la différence des précédents,  déclenché aucune guerre mais, au contraire, en ont terminé plusieurs.

    Quand la secrétaire d’Etat américaine Madeleine Albright dit en 1996 que le renversement de Saddam Hussein méritait qu’on lui sacrifie la vie de plus de 500 000 enfants irakiens, elle exprime l’opinion d’une centriste.

    Avant même de faire des guerres, certains centristes s’avèrent des gens dangereux : le chercheur américain David Adler n’a-t-il pas montré que l’électeur du centre, aux États-Unis, était le moins attaché à la défense de la démocratie ? Ce qui est assez logique s’agissant d’un idéologue certain d’avoir raison et donc intolérant à toute opposition.  

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    Roland Hureaux  est essayiste

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/05/21/l-extreme-centre-le-populisme-des-elites-6152599.html

  • Mathieu Bock-Côté : Le néoféminisme policier

    Cette chronique de Mathieu Bock-Côté - de celles que nous reprenons souvent pour leur pertinence - est parue dans le Journal de Montréal du 15 mai. Qu'on le lise ! Tout simplement. LFAR  

    « Il incarnait un homme ne doutant pas d’être un homme »  

    Alain Delon est une figure majeure du cinéma français des dernières décennies. Il a tourné avec les plus grands réalisateurs et porté les plus grands rôles.

    Il incarnait par ailleurs une forme de virilité mythique, magnétique, animale. Il faut regarder à ce sujet son éloge il y a quelques semaines par l’animatrice française Sonia Mabrouk sur la chaîne CNews — on le trouvera sur YouTube.

    Delon

    Alain Delon est ce qu’on appelle un monstre sacré. Et le Festival de Cannes a décidé de lui remettre cette année la palme d’honneur. C’est une manière de couronner sa carrière. Le tout aurait dû se passer dans la joie et l’allégresse.

    C’était sans compter les vigilantes les plus motivées du néoféminisme policier à l’américaine. Pour protester contre l’honneur fait à Alain Delon, Women and Hollywood, une association militante, a lancé une pétition qui a vite rassemblé plusieurs dizaines de milliers de noms.

    On reproche à Alain Delon des prises de position politiques au fil du temps — la plupart sont décontextualisées. Je résume en un mot : on lui reproche de ne pas être de gauche et de ne pas avoir les opinions recommandées sur les questions politiques qui aujourd’hui dominent l’agenda.

    On aurait envie de dire : qu’importe ! Qu’importe que ce grand acteur soit de gauche, de droite, de centre ou d’ailleurs ? Qu’importe qu’il ait aussi dit d’authentiques conneries ? On célèbre ici un acteur et son art, pas un militant politique et son engagement ! Les honneurs et les hommages doivent-ils être réservés aux hommes et aux femmes qui sont du bon côté de l’époque ? Est-ce qu’un artiste devient d’un coup indigne de notre admiration s’il ne va pas dans le sens du progrès ? Aurons-nous encore demain le droit de lire Balzac, Flaubert, Muray ou Houellebecq ?

    On peut être certain que l’immense majorité des signataires qui dénoncent Delon ne connaissent pas grand-chose à son œuvre. D’ailleurs, les Américains s’intéressent rarement à autre chose qu’eux-mêmes et lorsqu’ils le font, c’est pour reprocher au monde de ne pas se soumettre à leurs codes culturels.

    Mais les signataires cèdent au réflexe pétitionnaire débile qui consiste à vouloir lyncher médiatiquement tous ceux qui s’écartent du politiquement correct. C’est au nom de la tolérance que se déchaîne aujourd’hui la tentation de l’intolérance.

    Heureusement, les autorités du Festival de Cannes se tiennent debout et ne reculent pas. Elles dénoncent la police politique à l’américaine. Elles clament le droit pour un homme de penser ce qu’il veut, elles rappellent que les propos scandaleux d’aujourd’hui ne l’étaient pas hier, elles ajoutent que célébrer un artiste ne consiste pas à proclamer qu’il est un saint.

    France

    En gros, poliment, mais fermement, elles rappellent que la France n’est pas l’Amérique et n’a pas l’intention de se soumettre au puritanisme qui domine aujourd’hui l’empire de notre temps.

    Vive la France qui sait dire non aux censeurs !

    Si la controverse s’était passée au Québec, on peut être assuré que nos élites se seraient couchées devant la meute et excusées d’avoir eu l’idée de penser autrement qu’elle.   

     

  • Marlène Schiappa et Nick Conrad : une indignation si discrète…

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    « J’ai brûlé la France… LA DROITE s’insurge contre le nouveau clip de Nick Conrad, Castaner saisit la justice » (20 Minutes), “Je brûle la France : tollé à DROITE après le nouveau clip de Nick Conrad, l’auteur de Pendez les blancs” (LCI), « le rappeur Nick Conrad à nouveau dans le viseur de la DROITE » (Le Huffington Post), tels sont les titres que l’on pouvait lire dans la presse, dimanche.

    Comment ça… « la droite » ? Faites-moi peur, les amis, parce que la gauche, elle, ne s’insurge pas que l’on affirme « baiser la France jusqu’à l’agonie », ne fait pas de tollé quand on prétend « brûler la France », n’a pas dans le viseur celui qui fanfaronne « poser une bombe sous son panthéon » ?

    Dans un tweet, dimanche 19 mai, notre ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a quand même « [condamné] sans réserve et sans ambiguïté les propos inqualifiables et le clip odieux de #NickConrad » et affirmé  saisir le procureur de la République : “À [sa] demande, la plateforme Pharos œuvre au retrait de ce qui n’est rien d’autre qu’un appel à la haine de notre pays et à la violence”

    Lundi matin, la vidéo – montrant notamment le rappeur à quatre pattes sur une femme qu’il plaque au sol et tente d’étrangler après l’avoir suivie – était toujours visible en deux clics pour le quidam moyen n’ayant, comme moi, aucune compétence informatique. Il semblerait qu’il soit plus facile d’interdire l’accès aux contenus émanant de la mouvance identitaire. La technique parfois a ses mystères.

    Benoît Hamon lui, interrogé par Sud radio, annonce… roulements de tambour… attention, attention… « [son] total désaccord avec ce que [Nick Conrad] a dit ». “Total désaccord” ! quelle force, quel souffle, quelle détermination dans la désapprobation. Même pas un tout petit poil d’accord pour brûler la France ni poser une bombe sous son Panthéon.
    Ce service minimum expédié, il s’interroge néanmoins : « qu’est ce qui relève de la liberté de l’artiste et qu’est-ce qui relève du message politique ? », et met en garde : « Attention à ne pas condamner, brûler Gainsbourg, Brassens et beaucoup d’autres avant ! ». C’est Mozart qu’on assassine. Benoît Hamon nous joue de la flûte, mais au vu des sondages, pas sûr que les Français soient enchantés. Il est vrai comme le fait remarquer finement Le Figaro que “Benoît Hamon joue son va-tout dans les quartiers populaires » : « Si la présidentielle était à Barbès, je serais élu dès le premier tour avec 80 % des voix », s’est-il vanté à la cantonade, selon le quotidien, sur le marché du même nom. Craint-il que se fâcher avec les amateurs de rap, même le plus trash, le propulse définitivement tout au fond de la cuve du scrutin européen ? Barbès vaut bien une messe.

    Reste bien sûr Marlène Schiappa. Parce qu’une femme si prompte à voler au secours de celles qui subissent l’affreux outrage d’un bisou envoyé d’une tribune de l’Assemblée n’a pu que tomber en pâmoison devant cette mise en scène d’étranglement.

    Penses-tu. Elle révèle l’avoir découvert via « quelques comptes Twitter [l’interrogeant] au sujet d’un clip de rap dont [elle] ignorait comme beaucoup l’existence ». Elle rajoute que « ce clip injurieux/violent (aucune mention de la femme étranglée, NDLA) a été signalé à juste titre aux autorités compétentes par le ministre de l’Intérieur. [Elle] ne pense pas nécessaire de lui faire + de pub. »
    L’argument est malin. On ne s’indignera pas car ce serait rendre service à Nick Conrad, hé hé. Un peu, comme pour l’art contemporain dont la cote est proportionnelle à la réaction suscitée. C’est donc pour rendre service à des individus comme Éric Zemmour et lui permettre obligeamment de vendre ses bouquins – quelle chic copine – que Marlène Schiappa en fait régulièrement des tonnes sur son compte.

    Marlène Schiappa est d’ailleurs déjà passée à autre chose. dans le tweet suivant, elle réserve ses flèches acérées à François-Xavier Bellamy qui refuse de condamner l’Alabama et ses réformes législatives sur l’IVG. Le doux, le policé, l’aimable tête de liste LR est TELLEMENT plus inquiétant que Nick Conrad.

    Gabrielle Cluzel

    https://www.bvoltaire.fr/marlene-schiappa-et-nick-conrad-une-indignation-si-discrete/

  • Vincent Lambert : l’affaire qui divise la France – Journal du mardi 21 mai 2019

     

    Vincent Lambert : l’affaire qui divise la France

    Alors que le médecin en charge de Vincent Lambert avait débuté l’arrêt des traitements et la sédation profonde, la cour d’appel de Paris a ordonné la reprise des soins. Un nouveau sursis pour le devenir d’un homme qui divise le pays.

    Macron, la vraie tête de liste

    A 5 jours des élections européennes, Emmanuel Macron a définitivement pris les rênes de la campagne. Multipliant les rencontres et les déclarations, le chef de l’état apparaît comme le véritable candidat de la République en marche et fait passer Nathalie Loiseau au second plan.

    Taxe Gafa : le Sénat sceptique ?

    C’est un des cheval de bataille du ministre de l’Economie Bruno Le Maire : taxer les géants d’internet ! Alors qu’une position européenne commune sur la question n’a pas été trouvée, les équipes Macron avancent seuls dans ce dossier… au risque, selon l’opposition, de devoir rembourser les sommes versées dans quelques années…

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/vincent-lambert-laffaire-qui-divise-la-france-journal-du-mardi-21-mai-2019

  • Agnès Buzyn doit démissionner

    Agnès Buzyn doit démissionner

    Le 5 mai 2019, Agnès Buzyn affirmait que la France n’est «pas tenue» par l’avis du comité de l’ONU.

    Le 20 mai 2019, on apprend que la cour d’appel

    “ordonne à l’État français (…) de prendre toutes mesures aux fins de faire respecter les mesures provisoires demandées par le Comité international des droits des personnes handicapées le 3 mai 2019 tendant au maintien de l’alimentation et l’hydratation”.

    https://www.lesalonbeige.fr/agnes-buzyn-doit-demissionner/

  • C’est la république qu’il faut euthanasier, et non Vincent Lambert !

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    Alain Escada, président de Civitas

    La mise à mort de Vincent Lambert a débuté ce matin : il s’agit là ni plus ni moins d’un assassinat aggravé par le fait qu’il s’agit d’une personne vulnérable.

    Assassinat car cette mise à mort ne passe pas par un arrêt des soins, mais par une privation de son alimentation et de son hydratation, chose nécessaire à chaque être vivant. La mauvaise foi du docteur Sanchez et du gouvernement se démontre un peu plus dans leur refus d’accepter le transfert vers l’un des sept centres spécialisés qui avaient dit leur volonté d’accueillir Vincent Lambert.

    Que l’on se cache ou pas derrière la loi Léonetti, cette mise à mort constitue un crime.

    C’est cette république maçonnique qu’il faut euthanasier, et non Vincent Lambert.

    C’est la franc-maçonnerie, à l’origine de cette république et de quantité de ses lois scélérates, qui promeut la culture de mort pour les innocents et sauve la vie des criminels !

    Civitas rappelle son opposition farouche à cette culture de mort, de l’avortement à l’euthanasie.

    Un jour viendra, tôt ou tard, où Emmanuel Macron et le Dr Sanchez devront rendre des comptes.

    Emmanuel Macron, en tant que Chef de l’Etat, avait le devoir de protéger les plus vulnérables. Il porte désormais le poids de la condamnation à mort imposée à Vincent Lambert, au seul motif d’être une personne handicapée.

    Le Dr Sanchez, en tant que médecin, avait le devoir de protéger la Vie. Il vient de parjurer son serment d’Hippocrate et se rend l’exécutant d’un crime d’Etat.

    Désormais, les personnes handicapées sont à la merci de tous les abus de cette république maçonnique.

    Mais un jour viendra où justice sera rendue et où ceux qui sont coupables d’avoir prémédité la mise à mort d’innocents devront être punis sans pitié.

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  • La Cour d’appel de Paris appelle à faire vivre Vincent Lambert !

    La Cour d’appel de Paris appelle à faire vivre Vincent Lambert !

    On a gagné ! Hurle Me Jérôme Triomphe. La justice a tranché. Vincent doit être réanimé !

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  • Un Nouveau Commissaire Politique

    philippe-martinez

    Tel père, tel fils. L’ancien combattant rouge de la guerre d’Espagne a su donner à son fils la formation correspondante. 
    Et pour une Retirada désespérée qui s’est terminée au Perthus, la France a hérité pour sa malchance et pour celle de la gauche patriote d’un futur secrétaire d’une CGT devenue tout à fait anti-nationale.
    Un Martinez qui se prendrait volontiers pour le petit père des Peuples au point de vouloir lui ressembler physiquement.
    Sauf que Staline était aussi nationaliste qu’impérialiste.
    Alors que Martinez ne rêve que de supprimer toutes les frontières et en particulier celles de son pays de naissance.
    Comme Soros, il se bat contre les nations, pour le profit du CAC 40.
    Dans le « Monde », journal de la bourgeoisie intello gauche caviar, il lâchait : «  Je souhaite que Macron fasse le score le plus haut possible face à Marine Le Pen ».
    Cela dans la droite ligne de notre Président des Riches qui déclarait récemment en Roumanie : «  Je ferai tout pour que la liste du RN de MLP soit battue aux Européennes »
    Que faut-il en déduire ?
    Sinon que Martinez et son syndicat travaillent pour Macron et son parti En Marche.
    Cette même CGT qui avait contesté en termes méprisants les GJ du début, pour les parasiter et les récupérer ensuite.
    Dernièrement, on pouvait admirer un Macron tout souriant recevant un Martinez dans son plus beau costume avec une complicité de plus en plus évidente.
    Un syndicat dont le but serait de défendre en priorité les travailleurs français, mais qui préfère s’engager en faveur de l’immigration de masse et de son corollaire, l’islamo gauchisme.
    Qu’il ne s’étonne pas si les classes populaires se tournent de plus en plus vers le RN.
    C’est aussi une CGT qui avait défendu le port du voile lors de l’affaire Truchelut, mais avait laissé sans défense les quelques machinistes femmes de la RATP qui se plaignaient de l’entrisme agressif et de l’anti féminisme des musulmans radicaux de l’entreprise.
    Comme le refus de serrer la main ou de conduire un bus après une femme.
    Mais qui accepte le halal dans les cantines ou les prières ostentatoires sur les lieux de travail au mépris de la loi de 1905.
    Qui ne s’était pas privée de réclamer le licenciement de Zemmour, selon les vœux de Bellatar.
    Tout en approuvant la discrimination positive, au détriment du monde ouvrier français traditionnel. Bref la CGT, comme son mentor le PC, ont choisi leur camp.
    Les directives ne viennent plus de Moscou mais de la super classe mondiale financière.
    Clientélisme dira-t-on …
    Peut être aussi, collaboration consciente avec les forces qui nous dominent.
    Des gens qui vivent dans un autre paradigme, celui des années 30.
    Qui n’ont encore rien perçu du changement qui s’opère dans les mentalités au point de contribuer un peu plus à la démolition de notre Pays.
    Ce qui partout ailleurs passerait pour de la trahison.
    Ce qui finalement n’est pas nouveau quand on lit ce qu’écrivait Maurice Thorez, illustre figure du PCF dans le journal l’Humanité le 13 Juin 1933
    «Nous communistes de France luttons pour l’annulation du traité de Versailles, pour la libre disposition des peuples d’Alsace et de Lorraine jusqu’à la séparation avec la France pour les droits de tous les peuples de langue allemande à s’unir librement».
    Pendant ce temps l’URSS préparait l’annexion de plusieurs nations libres.
    Pour résumer, si Macron et ses affidés font prochainement un score honorable, tous les mondialistes qui narguent le petit peuple pourront remercier tous ces syndicats gauchistes dans leur hypocrisie de défenseurs des travailleurs.
    Onyx

  • UE : Rassemblement des nationalistes sur fond de polémiques – Journal du lundi 20 mai 2019

     

    UE : Rassemblement des nationalistes sur fond de polémiques

    Influence supposée des Etats-Unis et de la Russie dans les élections européennes, démission du premier ministre nationaliste autrichien… la dernière semaine avant les élections européenne est l’occasion d’une grande offensive contre les mouvement patriotes et populistes.

    Nick Conrad réitère sa haine de la France

    Nouvel appel à la haine pour Nick Conrad. Quelques mois après avoir incité à prendre des blancs, le rappeur de Seine-Saint-Denis a dévoilé sa nouvelle chanson dans laquelle il dit “baiser la France”. Face à ses nouvelles provocations, le ministre de l’Intérieur a saisi le procureur de la République.

    Eurovision : le triomphe de la normalité ?

    Après des semaines de propagande pour faire accepter le candidat français Bilal Hassani, le verdict de l’Eurovision est tombé : les votants ont finalement préféré une chanson ordinaire sans revendication communautaire et un chanteur non travesti. La fin d’un temps ? Peut-être bien !

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/ue-rassemblement-des-nationalistes-sur-fond-de-polemiques-journal-du-lundi-20-mai-2019

  • Marion Maréchal : “Le principe est donc renversé, notre société peut tuer de très grands handicapés au nom de la dignité et peut-être, surtout, des économies”

    Marion Maréchal : “Le principe est donc renversé, notre société peut tuer de très grands handicapés au nom de la dignité et peut-être, surtout, des économies”

    Marion Maréchal a pris position aujourd’hui pour la survie de Vincent Lambert, dans un texte publié par Valeurs actuelles :

    “Ce lundi 20 mai, pour la première fois, l’Etat français autorise l’euthanasie d’un être humain. Le terme, trop violent, n’est pas employé et pourtant il ne s’agit pas d’autre chose. Vincent dont le corps est paralysé et non inanimé, qui ne peut pas communiquer mais n’est pas en état végétatif, va être volontairement privé d’eau et de nourriture jusqu’à ce que mort s’en suive. Il n’y aura rien à débrancher, Vincent vit par lui-même. Et pour se donner bonne conscience, car l’agonie sera longue, le corps médical l’endormira. Comme on endort un chien qui va se faire piquer chez le vétérinaire.

    1700 personnes sont dans son cas. À partir d’aujourd’hui, le principe est donc renversé, notre société peut tuer de très grands handicapés au nom de la dignité et peut-être, surtout, des économies. La famille se déchire, le corps médical s’oppose et beaucoup voient dans les dix dernières années de vie de Vincent un calvaire à abréger.

    Seulement voilà, ce n’est pas à nous de décider qui est digne de vivre ou de mourir, quelle vie est acceptable ou ne l’est pas. C’est à nous, en revanche, de prendre soin des plus faibles et des plus dépendants d’entre nous. Sauf à tuer notre honneur, en même temps que Vincent Lambert.

    Selon moi, le cas Vincent Lambert est instrumentalisé pour permettre une application plus large de la loi sur l’euthanasie, voire pour préparer les esprits à une nouvelle loi plus laxiste.  C’est pourquoi je prends position aujourd’hui.”

    https://www.lesalonbeige.fr/marion-marechal-ce-nest-pas-a-nous-de-decider-qui-est-digne-de-vivre-ou-de-mourir-mais-cest-a-nous-en-revanche-de-prendre-soin-des-plus-faibles-et-dependants-dentre-n/