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lobby - Page 926

  • Les Black Blocs, ces enfants de bourgeois qui se donnent des frissons

    Les Black Blocs, ces enfants de bourgeois qui se donnent des frissons

    Samuel Pruvot a enquêté pour Famille chrétienne sur les Black Blocs. Une source du ministère de l’Intérieur lui indique :

    «Ces jeunes sont en général issus des classes moyennes ou supérieures. Ils sont instruits et ils ont les moyens de se déplacer à l’étranger pour commettre leurs méfaits. »

    Nos dirigeants politiques ont-ils pris conscience des dangers ?

    «Ils ont pris la décision de dissoudre certains groupes d’extrême droite, mais ils font preuve d’un certain laxisme avec l’ultragauche. Il est temps pour eux de s’attaquer à ces groupuscules nocifs et toxiques qui constituent le vivier de recrutement des black blocs. Certains pensent encore, à tort, qu’il faut que jeunesse se passe… »

    Jacques de Guillebon ajoute :

    «Refusant les voies du parlementarisme comme celles qu’offre la société – famille, école, Église –, assimilées à des instruments de domination, il ne leur reste plus que cette voie-ci. » «Ayant moi-même, jeune, participé à ce type de manifestations, alors contre la mondialisation, je conçois la fièvre qui peut saisir le manifestant et quelle jouissance il y a à détruire des “symboles du capitalisme”. Mais là, c’est de toute évidence organisé, voulu, planifié, et c’est le fait d’enfants de bourgeois qui se donnent des frissons. »

    https://www.lesalonbeige.fr/les-black-blocs-ces-enfants-de-bourgeois-qui-se-donnent-des-frissons/

  • La bonne nouvelle du jour : les complices de l’immigration clandestine en grève

    La bonne nouvelle du jour : les complices de l’immigration clandestine en grève

    Les associations de soutien aux migrants se mettront « en grève » le 9 avril :

    Une vingtaine d’associations et de collectifs d’aide aux migrants ont annoncé mercredi qu’elles comptaient suspendre leurs interventions à Paris et en proche couronne, mardi 9 avril, pour dénoncer « l’action des pouvoirs publics » face à cette situation « dramatique ».

    « Depuis plus de trois ans un cycle infernal fait de campements, de démantèlements, de dispersions et de harcèlements se développe dans le Nord-Est de Paris et dans son immédiate périphérie, avec à chaque fois une violence accrue », affirment dans un communiqué ces associations, parmi lesquelles Médecins du monde, Emmaüs France et le Secours catholique.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-bonne-nouvelle-du-jour-les-complices-de-limmigration-clandestine-en-greve/

  • Un antiracisme coupable du délit de bêtise…, par Philippe Bilger

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    Des étudiants et des militants de la cause noire ont empêché par la force la tenue d’une pièce d’Eschyle, Les Suppliantes, au motif que des acteurs blancs portaient des masques sombres ou étaient grimés en noir” (Le Monde).

    Ces étudiants appuyés et soutenus par le CRAN jamais en retard d’un combat absurde dénonçaient le “blackface”, un procédé qui consistait à exhiber et à ridiculiser des Noirs pour amuser les Blancs.

    Pour le metteur en scène Philippe Brunet, helléniste passionné, il s’agit “d’une forme d’ordre moral imposé de force“. Il récuse à juste titre l’accusation d’avoir voulu tourner en dérision les Noirs alors que dans le théâtre antique, le masque est constamment utilisé et que faute de budget et de temps, il n’a pu faire porter aux comédiens les masques dorés initialement prévus.

    Par ailleurs, la tragédie d’Eschyle est aux antipodes du sarcasme et de la discrimination : elle se contente d’être une grande oeuvre universelle.

    Philippe Brunet, la pièce ayant dû être annulée, s’interroge sur un dépôt de plainte ou non. Ces censeurs se rengorgeant face au succès de leur intervention, la plainte marquerait un coup d’arrêt et l’expression du refus de céder à cette scandaleuse intimidation (Le Figaro).

    Que tirer de cette lamentable péripétie ?

    D’abord l’absence de culture, radicale, de ces étudiants et militants. Ils ignorent tout et ont remplacé le savoir par un esprit vindicatif compulsif mettant sur le même plan des démarches douteuses et racistes qui ont existé et des manifestations honorant le théâtre et n’offensant en aucun cas ce qu’ils sont.

    C’est de la bêtise dans sa quintessence.

    Mais, comme ce groupuscule et le CRAN sont prétendus progressistes, de gauche et forcément admirables puisqu’ils mettent en cause un racisme, aussi imaginaire soit-il, ils ne sont pas traités comme ils le mériteraient : pour des ignares que l’idéologie a rendu délirants. Il y a encore un zeste de révérence pour ces obsessionnels de la race. Au point de faire ressembler leur antiracisme à une lamentable pantalonnade tristement contre-productive.

    Tentons de deviner quelles seraient les réactions si l’extrême droite ou le catholicisme conservateur, face à d’authentiques indignités, se révoltaient et faisaient annuler une pièce emplie de toutes les nauséabondes audaces que l’air du temps adore : la prévision est facile, ce serait un lynchage politique et médiatique contre ces rustres incapables d’apprécier les vrais, les grands spectacles.

    Deux poids deux mesures à l’évidence.

    Cessons de gratifier en l’occurrence ces étudiants et le CRAN de quoi que ce soit d’autre que de bêtise !

    Il faudrait inventer ce délit pour eux.

    Philippe Bilger

    Texte repris du site Philippebilger.com

    https://fr.novopress.info/

  • Pacte de Marrakech : la fausse fake news…, par Ivan Rioufol

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    Se méfier des chasseurs de “fake news” : ils se révèlent souvent les adeptes des désinformations et des mensonges qu’ils dénoncent. “La désintox a souvent le parfum de l’intox”, note la spécialiste des médias, Ingrid Riocreux (1), exemples à l’appui. Dans son livre, elle stigmatise “le monde idéal du Journaliste, où tout le monde est favorable à l’IVG et à l’immigration, où règne un consensus universel parfait sur la question du réchauffement climatique, où tout le monde considère Donald Trump uniquement comme un histrion, (…)“. La mode est, ces temps-ci, à la “déconstruction” d’informations qui dérangent.

    L’exercice est rarement très convaincant. Les redresseurs de torts, presse écrite comme audiovisuelle, s’y adonnent néanmoins avec gourmandise. Ce sont les mêmes faux curés qui adorent depuis toujours prêcher la morale, quitte à plier les réalités à leur idéologie humanitariste. Ces pédago-justiciers appartiennent à un petit monde en quête de respectabilité : il a de lui-même une opinion si élevée qu’il juge ceux qui lui tournent le dos comme des arriérés. Dernièrement, la meute éreintait ainsi les “complotistes” qui alertaient, comme votre serviteur (bloc-notes du 14 décembre), sur la signature, le 10 décembre 2018 à Marrakech (Maroc) du “pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières”, ratifié notamment par Emmanuel Macron. Les traqueurs de “fake news” juraient que ce texte, présenté en effet comme non contraignant, n’avait aucune incidence sur les politiques migratoires pourtant promues en termes élogieux. Ce que nous y lisions n’était donc pas ce que nous y lisions…

    C’est pourtant en appui de ce pacte, également signé par le Vatican, que le pape François a argumenté son “discours aux migrants”, samedi à Rabat. Il a appelé “à passer des engagements pris” à des “actions concrètes pour considérer les migrants comme des personnes et non des numéros”. Sa position vient démentir les bobards colportés par une maréchaussée mobilisée dans l’enfumage toxique. Le pape considère, logiquement, que le texte signé l’engage et qu’il doit être suivi d’effets. La France comme Le Vatican ont ainsi accepté de “recadrer le discours sur la migration“, de faciliter le regroupement familial, de valoriser les cultures accueillies. Les signataires (160 pays) sont d’accord plus généralement pour défendre une immigration qui “contribue à la prospérité mondiale”, pour sanctionner financièrement les médias mal-pensants, pour ne pas faire de différence entre l’immigré légal et le clandestin.

    Non seulement le pacte de Marrakech offre, comme je le soulignais, un socle pour des jurisprudences et des lois futures, mais il autorise dès à présent à promouvoir une ouverture à l’immigration de peuplement. “Vous n’êtes pas des marginaux, a assuré le pape aux migrants, vous êtes au centre du cœur de l’Eglise“. Pour le Chrétien, selon le pape, un immigré est “le Christ lui-même qui frappe à nos portes”. Ceux qui ont banalisé le pacte de Marrakech en insultant les lanceurs d’alerte ont menti. Ce sont les mêmes professionnels du déni.

    (1) Les marchands de nouvelles (L’Artilleur)

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 1er avril 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Municipales à Marseille : alliance en vue entre LREM et LR

    Municipales à Marseille : alliance en vue entre LREM et LR

    Autant fusionner immédiatement les listes Loiseau et Bellamy pour les européennes, ce serait plus honnête pour les électeurs:

    Il y aura bien un candidat Les Républicains (LR) et un candidat La République en marche (LREM) pour les municipales de 2020 à Marseille, mais une alliance est dans l’air. Pas une alliance de premier tour, donc, mais plutôt une alliance de deuxième ou même de troisième tour, lorsqu’il faudra élire le maire au sein du conseil municipal. C’est ce que dit un acteur local.

    À Marseille, LR est en position de force. La ville est dirigée depuis 24 ans par Jean-Claude Gaudin et la majorité présidentielle n’a pas de poids lourd à opposer aux Républicains. L’option Christophe Castaner, l’actuel ministre de l’Intérieur, a été écartée. Les “marcheurs” sont tellement inconsistants qu’une partie du gouvernement a même envisagé à un moment de soutenir une liste emmenée par Martine Vassal, la patronne LR du Conseil départemental des Bouches-du-Rhône. Elle fait partie des trois candidats potentiels du côté des Républicains, avec le sénateur Bruno Gilles et le président du Conseil régional Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca), Renaud Muselier. Ces trois-là doivent se mettre d’accord. L’ordre vient carrément de Paris. Si on est unis, on est certains de gagner, c’est l’analyse d’un connaisseur du dossier.

    https://www.lesalonbeige.fr/municipales-a-marseille-alliance-en-vue-entre-lrem-et-lr/

  • Fuite en avant des banques centrales pour retarder l’explosion du Système

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    Marc Rousset

    Lors d’une conférence à Paris, le jeudi 28 mars 2019, le vice-président de la Fed, Richard Clarida, a pu déclarer : « Si nous avons un choc défavorable, la première réponse serait d’employer les outils monétaires habituels. Si cela ne suffit pas, il y a d’autres instruments dans la boîte à outils qui ont déjà été employés et il est certain qu’on les emploierait à nouveau si nécessaire. » Autrement dit, baisse à venir des taux d’intérêt déjà pas très élevés et reprise probable, en 2019 ou en 2020, de la création monétaire non conventionnelle par achat d’obligations, le fameux « QE ». Mais c’est aussi reconnaître l’échec de la politique laxiste pratiquée jusqu’à présent par les banques centrales.

    En fait, la Fed a jeté l’éponge le 20 mars dernier avec une volte-face historique puisque, trois mois auparavant, elle affirmait que la taille de son bilan serait réduite, en 2019, de 50 milliards de dollars par mois et que les taux continueraient de grimper. En septembre 2019, la Fed aura toujours, dans son portefeuille, plus de 3.500 milliards d’obligations, soit 17 % du PIB, alors que ce chiffre s’élevait à seulement 6 % en 2006. L’économie est droguée avec des taux bas, une liquidité record, une dette record, trop d’entreprises zombies, une croissance insuffisante et une bulle des actifs. La Fed ne peut plus faire marche arrière, seulement aller de l’avant tout droit dans le mur, tout comme la BCE en Europe !

    La Fed a capitulé face aux pressions politiques de Trump et des « banksters » de Wall Street. Le conseiller économique de Donald Trump, Larry Kudlow, a appelé, vendredi dernier, la Fed à baisser ses taux immédiatement d’un demi-point pour les ramener entre 1,75 % et 2 %, au lieu de 2,25 % et 2,50 %. Trump vient de nommer Stephen Moore, un économiste soumis, au Conseil de la Fed en précisant qu’il n’avait pas l’intention de limoger le président de la Fed, Jerome Powell, soi-disant indépendant. L’outil « Fed Watch » du marché de Chicago CME montrait, vendredi dernier, une très forte probabilité que les taux soient rabaissés.

    Le comble, c’est que cette politique est présentée sous le nom de « théorie monétaire moderne » ! En fait, la TMM n’est ni moderne ni une théorie, mais de la démagogie pure et simple pour justifier les bas taux d’intérêt et le laxisme de la création monétaire. Le Système veut nous faire croire, par ce subterfuge, que les taux d’intérêt pourraient un jour remonter, alors qu’il en sera incapable. Selon le site Bloombergmondialement connu, « la TMM est une blague qui n’est pas drôle ». Les empereurs romains et les rois de France pratiquaient déjà la création monétaire laxiste avec de moins en moins d’or et d’argent dans chaque pièce de monnaie. On peut illusionner en créant de la monnaie à volonté, mais on ne peut pas créer de la richesse économique à volonté sans capital, sans technologie et sans travail compétitif.

    Le taux des obligations américaines à long terme sur dix ans est passé en dessous du taux des bons du Trésor à trois mois pour la première fois depuis 2007. Au cours des sept dernières fois où la courbe de rendement s’est inversée, l’économie américaine est entrée, en moyenne, en récession après onze mois. Selon le modèle de récession de la Fed de New York, la probabilité de 29 % est aujourd’hui plus élevée que celle observée avant cinq des sept dernières récessions. Le fait qu’en Europe, le taux négatif du Bund allemand à 10 ans de -0,008 5 % soit inférieur à celui du taux japonais de -0,008 3 % – une première depuis 2016 – est aussi annonciateur de cataclysme.

    Le retour en grâce des métaux physiques précieux en or et en argent est aussi très préoccupant puisque, de 2009 à 2018, les achats d’or de 16.200 tonnes ont été multipliés par 4 par rapport à 1999-2008, tandis que les achats d’argent de 57.800 tonnes étaient multipliés par 3,8.

    Les banques centrales, en créant de la monnaie non conventionnelle et en baissant les taux d’intérêt, empêchent les banques, les États hyper-endettés et les Bourses de s’écrouler dans l’immédiat, mais elles ne pourront pas empêcher l’inéluctable récession à venir et c’est alors que le Système explosera d’une façon encore plus violente, avec un effondrement monétaire en lieu et place d’un simple krach économique, financier et boursier, style 1929 !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/02/fuite-en-avant-des-banques-centrales-pour-retarder-l-explosi-6141010.html

  • NOUS SOMMES LA HAINE (LE RACISME ANTI-BLANC EN 2019)

  • Video. Pour un député LREM, il est justifié de mentir aux Français sur le terrorisme

    571c9673c461883a228b458f.jpgLe député «En Marche» Patrick Vignal explique tranquillement qu'il est justifié de mentir aux Français sur le terrorisme pour leur donner de l'espoir et n'assume plus quand Clément Viktorovitch lui fait remarquer l'énormité de ses propos.
    « S'il faut dire la vérité aux Français, ça veut dire 10 ans de sang et de larmes.»

    Source: Cnews - (YouTube)

    https://www.peupledefrance.com/2019/04/video-depute-lrem-justifie-mentir-francais-terrorisme.html#more

  • Porte-mensonges du gouvernement : nous ne sommes pas Sibeth

    Porte-mensonges du gouvernement : nous ne sommes pas Sibeth

    Lors de la passation de pouvoir avec Benjamin Griveaux, Sibeth Ndiaye, nouvelle porte-parole du gouvernement, a menti dès son premier discours. Elle a raconté une belle histoire : elle est née à Dakar et a grandi en Seine-Saint-Denis. Franco-sénégalaise, naturalisée française en 2016, elle a expliqué :

    “Avant même d’être Française j’ai compté parmi les engagés de ce pays en Seine-Saint-Denis notamment où rien n’est simple mais tout est possible“.

    “Ce département j’y ai vécu, travaille et j’y ai appris. J’y ai appris que dès lors que l’action publique ose, elle peut changer le cours des choses et la vie des gens. J’y ai appris que dès lors que nous faisons fi de nos différences et unissions nos forces, nous sommes capables du meilleur (…) La France m’a beaucoup donné, c’est à moi de le lui rendre “.

    La réalité est quelque peu différente. Sa famille fait partie de l’élite sénégalaise. Son père a participé à la création du Parti africain de l’indépendance avant de devenir numéro deux du Parti démocratique sénégalais d’Abdoulaye Wade et membre de l’Assemblée nationale. Et sa mère, haute magistrate, a présidé la chambre pénale de la Cour de cassation du Sénégal et a été présidente du Conseil constitutionnel de 2002 à 2010.

    Sibeth Ndiaye faisait partie de l’équipe de campagne de Strauss-Kahn en 2006 avec… Benjamin Griveaux, Ismaël Emelien, Stanislas Guérini… et Cédric O nommé lui aussi hier secrétaire d’Etat.

    Et elle a trempé dans l’affaire Benalla :

     

  • Défense des peuples autochtones? Chiche!

    europe-tableau-Delecluze.jpgLe 18 janvier dernier pour sa première visite en Amazonie, depuis la ville de  Puerto Maldonado, au Pérou, le pape François  avait lancé un vibrant plaidoyer en faveur des «  peuples autochtones amazoniens (qui)  n’ont jamais été autant menacés sur leurs territoires » par  « la forte pression des grands intérêts économiques. » Peuples autochtones qui avaient aussi en Jacques Chirac un défenseur engagé. En 2006, à  l’occasion de l’inauguration du Musée des Arts premiers quai Branly, M. Chirac déclarait notamment: «Qui ne voit qu’une mondialisation qui serait aussi une uniformisation ne ferait qu’exacerber les tensions identitaires, au risque d’allumer des incendies meurtriers ?». Une évidence, notions-nous alors, pour notre famille de pensée qui combat résolument le «monde gris » des tenants d’une idéologie mondialiste qui réduit l’individu à sa simple dimension « marchande » et voit dans la préservation des cultures enracinées et des identités un frein insupportable à la mondialisation  Bien sûr, les organismes de l’ONU, Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron comme le pape François apparaissent sensibles à la défense des identités pour tous… sauf pour les Français et les Européens. Ils n’ont rien fait pour empêcher voire ont encouragé une submersion démographique qui s’apparente à un véritable ethnocide culturel et qui répond justement à cet objectif « d’uniformisation » de la planète qu’ils prétendent ou ont prétendu combattre.

    Dans cette même veine, Facebook, sous le prétexte a priori bien légitime de lutter contre la propagation de la haine, a annoncé son intention de « bannir les contenus relevant du nationalisme blanc ». Haine suprémaciste qui n’est l’apanage d’aucune race,  il est donc loisible de s’interroger sur le fait de savoir si les discours a priori haineux à caractère ethnique seront bannis de la même façon quand ils seront portés par des non blancs… Par ailleurs, «le réseau social explique qu’il a depuis longtemps banni les discours de haine raciale et la suprématie blanche, mais reconnaît qu’il n’appliquait pas la même règle pour le nationalisme et le séparatisme. » Tout le problème est bien de s’accorder sur la définition même de cette haineà laquelle les esprits progressistes assimilent souvent sans vergogne, le simple souhait pour les occidentaux de défendre leur identité qu’il serait pourtant  aussi stupide qu’odieux de criminaliser.

    Guillaume Bernard, maître de conférences (HDR) à l’ICES (Institut Catholique d’Etudes Supérieures), le notait avec justesse en octobre 2013 sur le site Atlantico : « alors même qu’ils incarnent l’identité de référence, celle du lieu, nombre de Français se considère acculés à une sorte de résistance. Pour résumer, l’immigration est vécue comme une invasion, la mondialisation comme un déracinement. Il ne s’agit donc pas d’un rejet de l’autre en tant qu’il est différent, mais le refus de la dépossession de ses racines et du fractionnement culturel du territoire. »

    Un état de fait que le pape François a à l’évidence beaucoup de mal à appréhender. En visite à Rabat (Maroc) la semaine dernière, le Saint-Père s’est fait de nouveau le chantre du multiculturalisme et du vivre-ensemble, convoquant pour se faire les Evangiles a rapporté vatican news : « L’Église reconnaît les migrants comme l’image du Christ. Ici il y a un chemin à faire ensemble, comme de vrais compagnons de voyage, un voyage qui nous engage tous, migrants et autochtones, dans l’édification de villes accueillantes, plurielles et attentives aux processus interculturels, des villes capables de valoriser la richesse des différences dans la rencontre de l’autre (…).  Le Saint-Père (a remercié) tous ceux qui se mettent au service des migrants, qui sont les images du Christ lui-même qui frappe à nos portes».

    «Faisant allusion à la conférence de Marrakech, qui a entériné il y a quelques mois l’adoption du Pacte mondial pour une migration sûre, ordonnée et régulière, François a expliqué que «ce qui est en jeu, c’est le visage que nous voulons nous donner comme société et la valeur de toute vie. (…) le Pape a rappelé que l’établissement de canaux migratoires réguliers, avec des voies sûres et légales, «est nécessaire pour ne pas accorder de nouveaux espaces aux ‘marchands de chair humaine’ qui spéculent sur les rêves et sur les besoins des migrants.»

     Dire cela, constate Bruno Gollnisch, c’est méconnaitre gravement toute la nocivité de ce Pacte des migrations, dit de  Marrakech, adopté par l’assemblée de l’ONU en décembre dernier. Dans le dernier numéro en date  de l’excellente revue  trimestrielle Conflits, l’universitaire Thierry Buron soulignait  la philosophie générale de ce Pacte, pour le moins problématique: «les migrations sont un fait historiquement inévitable, une conséquence de la mondialisation»,  «un  droit», « (migrations qui sont) un facteur de prospérité et (qui)  doivent devenir bénéfiques pour tous.» «La lutte contre les trafics humains doit permettre l’organisation de migrations régulières, avec toutes les aides possibles. Les migrations ne sont jamais illégales, mais seulement irrégulières. Il faut donner des papiers à tous (…). Le retour du migrant est possible, seulement  volontaire et aidé.»

    Un Pacte qui  «va dans le sens des associations humanitaires pro-immigrés, qui ont joué dans son élaboration un rôle actif auprès des organes de l’ONU; il reprend leur thématique, leurs objectifs et leur langage (…).  Ses défenseurs, réagissant aux mouvements de protestation (notamment des populistes et nationaux européens, NDLR), insistent sur son caractère non contraignant. Pourtant   le contenu et le ton sont nettement injonctifs. La souveraineté des Etat est reconnue formellement, mais tout, dans le fond et dans la forme, impose aux pays de destination une politique, une idéologie et une morale en faveur des migrations. »

    Bref, un Pacte a service d’une  logique planétarienne, dans lequel  «les concepts de nation et d’identité ne sont pas pris en compte. Les Etats et les forces politiques et sociales, courroies de transmission du Pacte dans les pays, ont l’obligation de lutter contre les médias, les groupes et les personnes suspectes de racisme, de xénophobie, de discrimination et d’intolérance au moyen de la répression afin de rendre l’image du migrant positive. Le Pacte n’institue pas un équilibre entre immigrants et populations d’accueil (on ne prévoit pas  de les consulter) sur le plan des besoins, des intérêts, des perceptions. Il préconise un programme théorique et pratique mondial de coopération ayant priorité sur des accords régionaux et bilatéraux concrets.» Un Pacte, on l’aura compris destiné avant tout «aux pays de souche européenne, responsables autrefois de la colonisation et sommés de s’ouvrir aujourd’hui aux flux du monde entier. »

    Une question migratoire dont les Européens ont bien compris le caractère crucial pour leur avenir, même si le sondage yougov, réalisé auprès de 40.000 personnes dans seize pays de l’UE commandé par le très antinational groupe de réflexion  European Council on Foreign Relations (ECFR), en minore l’importance. Pour autant, France Inter est bien forcé de noter que «Parmi les questions posées –quels sont, selon vous, les deux principaux problèmes auquel fait face votre pays ?, l’immigration arrive en tête des réponses les plus souvent données (23 % des réponses) à l’échelle de l’Europe.»

    Il y a quatre mois, et il serait étonnant que dans ce laps de temps les préoccupations des citoyens aient beaucoup changé, l’Eurobaromètre dont faisait état fdesouche indiquait que L’immigration est de très loin le problème le plus important pour les Français et les Européens . A la question  Quels sont les problèmes les plus importants auxquels doit faire face l’UE ? l‘immigration arrivait largement en tête pour 40% des sondés,  devant le terrorisme (20%), l’état des finances publiques des Etats membres(19%) , la situation économique (18%), le changement climatique (16%) et le chômage (13%)… Les indigènes, les autochtones européens  ont clairement des priorités qui ne sont pas celles de la Caste euromondialiste.

    https://gollnisch.com/2019/04/02/defense-des-peuples-autochtones-chiche/