Le Pacte mondial de l’ONU sur les migrations qui sera ratifié en décembre 2018 s’inscrit dans cette volonté internationale de tentative de régulation des flux migratoires. Ce document formel n’a pas de valeur contraignante, certains pays comme les États-Unis, la Hongrie, Israël et d’autres ont refusé de le signer. Explication de Jean-Paul Gourévitch au micro de Boulevard Voltaire.
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Jean-Paul Gourévitch : « Ce pacte mondial de l’ONU sur les migrations est déséquilibré, vide, et inapplicable ! »
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L’islamisation de la Seine-Saint-Denis est bien une réalité
Lu dans Famille chrétienne :
Le résultat fait froid dans le dos. Les lieux visités, les deux cents entretiens effectués avec des islamologues, des hauts fonctionnaires, des policiers, des magistrats, des responsables communautaires vont tous dans le même sens. « L’islamisation progressive de la Seine-Saint-Denis est bien une réalité. » D’abord, il y a le spectacle de la rue, avec son cortège de femmes voilées, du simple voile au hijab, qui cache entièrement les cheveux mais laisse voir le visage, en passant par le niqab qui ne laisse qu’un petit espace pour les yeux. Ce dernier est interdit, en principe, du coup certaines femmes portent des masques chirurgicaux, certificat médical à l’appui – le même type de certificat qui sert à « prouver » l’allergie au chlore, pour éviter de se montrer à la piscine en maillot de bain. Dans la rue également, les produits « halal », qui se vendent un peu partout, voire s’imposent quasiment comme une obligation. Et à la devanture des librairies, des livres qu’on ne voit que dans ces quartiers, du style J’aime mon mari, où l’on apprend aux femmes à obéir en tout point et en tout temps à leur seigneur et maître.
À l’école, au réfectoire, les élèves s’organisent spontanément en tables « pures » et « impures », les musulmans d’un côté et les autres à part, et refusent de manger de la viande s’ils n’ont pas la certitude qu’elle est halal. « Ils sont tétanisés, raconte une directrice d’école. J’ai vu des mômes de 8 ou 9 ans vomir… » Au groupe scolaire Al Andalus, école hors contrat pour filles, les enseignantes sont en jilbab noir – comme leurs élèves dès l’adolescence –, les poupées n’ont pas de visage, en raison de l’interdit portant sur la représentation des êtres humains, et la musique est bannie, les salafistes ayant décrété qu’elle était bonne pour les singes et les porcs.
Au dépôt RATP des Pavillons-sous-Bois, célèbre « repaire de barbus », le principe officiel de neutralité est quotidiennement bafoué. Certains refusent de conduire juste après qu’une femme a tenu le volant. Et les conducteurs sont choisis en fonction de leur couleur de peau : « Pour conduire un bus dans un quartier où il n’y a que des Arabes, on fait conduire le bus par un Arabe. Un bus qui doit circuler dans un quartier où il n’y a que des Noirs, on le fait conduire par un Noir », résume crûment un agent.
Sans oublier les gynécologues à qui l’on demande la réfection de l’hymen des jeunes filles afin qu’elles arrivent « vierges » au mariage, les « mariages » temporaires pour avoir une relation sexuelle autorisée, les réunions « non mixtes » à la fac où l’on tient une parole « non blanche », la polygamie qui théoriquement n’existe pas mais sur laquelle certains intellectuels réclament un « débat »… Voilà, très rapidement résumée, la situation sur le terrain. Comment en est-on arrivé là ? […]
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Gilbert Collard : "Pourquoi on ne taxe pas Total ou le kérozène des avions plutôt que les pauvres…
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Cet antisémitisme a un nom : islamisme !
Le 21 novembre, lors de la séance des questions au gouvernement à l’assemblée nationale, le député LR Brigitte Kuster a interrogé le Premier ministre sur l’augmentation du nombre d’actes antisémites :
Mais de quel antisémitisme parlons-nous, monsieur le Premier ministre ? Vous ne le dites jamais. C’est comme si, derrière les statistiques, il n’y avait ni coupable, ni criminel. Bien sûr, toutes les formes d’antisémitisme sont à combattre sans relâche, celle des groupuscules néofascistes comme celle, plus sournoise, de certains militants pro-boycott. Mais ces mouvements sont-ils la cause principale de l’explosion de haine que nous connaissons actuellement ? Le doute est permis.
À l’inverse, il existe une forme d’antisémitisme qui procède d’un véritable système, qui agit à visage découvert et dont la dangerosité n’est plus à prouver. Cet antisémitisme tue : Mireille Knoll, Sarah Halimi et tant d’autres. Il chasse des familles de quartiers où elles vivaient depuis des générations et refuse, voire interdit, l’enseignement de la Shoah à l’école.
Cet antisémitisme a un nom, monsieur le Premier ministre : islamisme ! Et ce nom, jamais vous ne le prononcez !
Aussi, dans ce contexte, croyez-vous que les mesures que vous avez annoncées suffiront à combattre le fascisme islamiste ?
Réponse de Christophe Castaner, ministre de l’intérieur :
Madame la députée, l’antisémitisme n’a ni frontière, ni discernement et n’appartient à personne, mais il frappe. Il frappe très violemment à travers les attentats, et nous avons évoqué, il y a quelques jours à peine, les conséquences dramatiques de l’attentat de Pittsburgh.
Vous avez évoqué ces personnes, victimes, dans leur quotidien, de ces actes antisémites, ainsi que ces deux femmes, mortes de l’antisémitisme. Ce sujet doit évidemment tous nous mobiliser, et personne ici n’oublie les attentats, les assassinats, les violences, pas plus que l’antisémitisme du quotidien.
Il a de nombreuses sources, que nous connaissons. L’islamisme radical en est une, madame la députée. Mais elle n’est hélas pas la seule. Le populisme, l’extrême-droite et la banalisation du discours antisémite sur les réseaux sociaux contribuent à ce vent mauvais qui souffle sur la France.
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Zoom – Paul-François Paoli : La France est-elle devenue protestante ?
Journaliste au Figaro littéraire, Paul-Francois Paoli, l’auteur de « L’imposture du vivre-ensemble » publie les « Confessions d’un enfant du demi-siècle ». Un traversée française des cinquante dernières années broyées par le communisme, le nihilisme et le rationalisme.
Ancien militant de la gauche révolutionnaire, Paoli se fait aujourd’hui le contempteur du relativisme, du cynisme et de l’individualisme. Il pointe du doigt le rôle néfaste de certains intellectuels, au premier rang desquels Jean-Paul Sartre « le plus démodé, le plus idéologue et le plus indigent ».
Mais l’auteur va plus loin dans sa réflexion. Pour lui, la France a cessé d’être catholique et la république y est devenue formelle. En privilégiant l’individu sur le groupe, la libre conscience sur la vérité déposée, la liberté sur l’autorité, la France est devenue protestante.https://www.tvlibertes.com/paul-francois-paoli-la-france-est-elle-devenue-protestante -
VENDREDI PROCHAIN, 23 NOVEMBRE, ALBAN D'ARGUIN, AUTEUR DU LIVRE "ÉOLIENNES UN SCANDALE D'ÉTAT", PRENDRA LA PAROLE À AIRVAULT DANS LES DEUX-SÈVRES
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«BFM menteurs !» : une cinquantaine de «gilets jaunes» protestent devant la rédaction de BFM TV
© BERTRAND GUAY Source: AFP
La chaîne d'information BFM TV est dans le collimateur des «gilets jaunes».Latentes depuis des années, les critiques contre la presse trouvent un exutoire avec le mouvement des «gilets jaunes» et BFM TV, notamment, dont l'honnêteté journalistique est remise en question par les manifestants, devient la cible de leur colère.
D'abord concentré sur la hausse du prix des carburants, le mouvement des «gilets jaunes» est en train de changer de dimension pour exprimer un mécontentement beaucoup plus large envers le pouvoir. Et, pour beaucoup de manifestants, la presse, accusée de mal représenter le mouvement et de faire in finele jeu du gouvernement, se retrouve sous le feu des critiques.
Ainsi, le 19 novembre au soir, une cinquantaine de «gilets jaunes» se sont rendus devant la rédaction de BFM TV pour y crier leur colère. Sous un concert de klaxons, les manifestants ont scandé à plusieurs reprises «BFM menteurs !», avant de huer des personnes sortant du bâtiment.
Une action qui fait écho à de nombreuses autres depuis le début du mouvement, où les journalistes de la chaîne d'information – et d'autres médias traditionnels – ont pu constater leur impopularité. «BFM c'est des experts de merde», avait par exemple lancé une personne en plein direct de la chaîne, le 17 novembre sur les Champs-Elysées.