
En 1852, les États-Unis décident de forcer le Japon (qui vivait à l’époque dans une sorte d’autarcie) à ouvrir les ports japonais au commerce.
Pour ce faire, en 1853, ils envoient sur place le commodore Perry, avec 10 canonnières dans la baie de Tokyo.
Le Japon cède, et la convention de Kanagawa est signée. C’est le début de ce que l’on nomme les « traités inégaux ».






