L’épisode fait le tour des réseaux sociaux, ce 18 juillet. Les résultats du vote au Parlement européen sont dévoilés. Ursula von der Leyen est réélue dans un fauteuil à la présidence de la Commission européenne par 401 voix prêtes à trahir les intérêts de leur nation, contre 284. Le vote semble faire au moins une heureuse : Manon Aubry félicite aussitôt très chaleureusement von der Leyen, l’embrassant avec des gestes tendres et lui parlant dans un grand sourire. L’Allemande câline aussi notre pasionaria LFIste. Une scène d’affection touchante à vous tirer les larmes.
magouille et compagnie - Page 118
-
[EDITO] UE : Manon Aubry et Ursula von der Leyen, au théâtre ce soir !
-
60 % des entreprises ont suspendu les investissements, 28 % licencieront en cas de SMIC à 1 600 €. LFI… ça fait pas envie !
L’économie est une chose très simple. Tellement simple qu’il n’y a bien que les économistes prétentieux généralement universitaires et fonctionnaires pour croire que l’économie est une science.
L’économie c’est du bon sens et de la philosophie politique. L’économie, c’est en réalité la compréhension des ressorts humains pour en tirer le meilleur parti… dans la recherche du bien commun.
L’économie est de l’intendance.
Une intendance qui doit être au service du bien commun.
Mais, le développement du bien commun, ne signifie pas de donner l’argent que nous n’avons pas, de partager l’argent gagné difficilement par d’autres en faisant fi de la réalité des processus de création de richesses.
-
Les fausses promesses de l’OTAN encouragent les espoirs irréalistes de l’Ukraine
par Thierry Bertrand
La politique irresponsable de l’Alliance de l’Atlantique Nord vis-à-vis de l’Ukraine se poursuit, nourrissant de faux espoirs, rendant la paix moins probable et le conflit plus dangereux.
Lors du sommet de l’OTAN de 2024 à Washington, consacré au 75èmee anniversaire de l’Alliance, les dirigeants ont proposé à l’Ukraine une nouvelle dose de faux espoirs dans sa guerre contre la Russie, ce qui est pire que l’inaction.
Malgré une aide occidentale importante, il sera peut-être difficile pour Kiev de conserver ce qu’il possède. Cela suggère qu’il faudrait entamer des négociations avec Moscou pour mettre fin ou même geler le conflit en concluant une trêve dès maintenant, avant que la situation sur le champ de bataille ne se détériore et que l’espace de négociation ne se rétrécisse, écrit Politico.
-
Macron préfère l’armée ukrainienne à l’armée française
Pour l’Ukraine :
Emmanuel Macron annonce la livraison d’avions de chasse et le renfort d’instructeurs militaires.
Pour la France, selon le Canard enchaîné :
-
Retailleau explique le mystère Bellamy : de l’Absurde à la Nausée
Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.
Bruno Retailleau, ancien ami de Philippe de Villiers, est également un cas intéressant de la Droite molle. Il a de bonnes idées sur le fond, mais lui aussi est tordu et lâche dans sa « stratégie ».
Hier, sur Europe 1 (https://www.youtube.com/watch?v=dICpf0Hn5Xk ), il donnait quelques « explications ». Nous passons de l’Absurde de Camus décrit ici (https://lesalonbeige.fr/bellamy-philosophe-de-labsurde-ou-prison-mentale/ ), à la Nausée de JP Sartre…
-
Von der Leyen coupable et réélue - JT du jeudi 19 juillet 2024
A la une de cette édition, la réélection d’Ursula von der Leyen à la tête de la Commission européenne. Un nouveau mandat largement acquis alors même que la Justice vient de remettre en cause sa gestion du covid-19 et des achats de produits vaccinaux.
-
L’ARCOM, une autorité indépendante ? Vraiment ?
Arnaud Raffard de Brienne
Selon la vulgate de l’époque, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, l’ARCOM pour faire court, relèverait d’une « autorité publique indépendante ». Passons pour ce qui est de l’autorité et son aspect public mais qu’il nous soit permis de douter sérieusement de son indépendance.
Avec un collège dont trois membres sont désignés par le Sénat, trois autres par le président de l’Assemblée nationale, un par le Conseil d’Etat dont nous ne connaissons que trop les pompes et les œuvres, un dernier par la Cour de cassation et, pour conclure en beauté, son président directement nommé par le président de la république, l’idée même d’indépendance relève de l’indécence là où nous apparait plutôt, et de façon criante, une parfaite dépendance au Système, ses serviteurs, ses orientations et lubies.
-
Les élections sont-elles toutes truquées ? Les partis politiques sont-ils tous manipulés ? Ou sont-ils tous complices ?
Petite revue de la presse résistante (extraits)
Pierre-Emile Blairon
Cette petite revue de la presse de la dissidence [1], consacrée à l’éventualité d’une manipulation des résultats de ces dernières législatives françaises, et plus généralement au déroulement des élections en France et dans le monde, nous a amenés à nous poser des questions concernant le rôle des partis en France et à supputer le degré de leur sincérité vis-à-vis de leurs engagements moraux, déclamés en permanence avec force effets de manche sur l’importance du respect des valeurs républicaines, humanistes, écologiques, sociales, progressistes ou autres (autant de mots creux), de leurs « engagements » concernant le respect du mandat que leur ont confié leurs divers groupes d’électeurs, et la volonté affichée en permanence de tout mettre en œuvre pour les satisfaire.
-
La Bundeswehr a préparé un plan en cas de guerre avec la Russie
par Pierre Duval
Les médias d’outre-Rhin révèlent la mise en place de plans à grande échelle pour garantir une «architecture de défense durable et prête pour le combat». L’Allemagne est décrite comme étant un centre stratégique de l’OTAN en Europe permettant de faire circuler rapidement les convois militaires sur le front en direction de la Russie. Il y a un camp de prisonniers de guerre qui est, aussi, prévu dans ces plans.
-
Macron hors la loi…
Article 8 de la constitution. Le président de la République nomme le Premier ministre. Voilà le libellé, rien de plus rien de moins. Selon la lecture macroniste du texte, étant donné qu’il n’y a pas de délai, il le désignera quand il voudra. En attendant, il a accepté la démission d’Attal, mais le gouvernement reste au pouvoir. Du jamais vu durant la Vème République. Mais avec Macron il y a eu beaucoup de jamais vu sous la cinquième République. D’autant que Macron viole l’article 23 de la constitution, qui lui est très clair, pour une fois : « Les fonctions de membre du Gouvernement sont incompatibles avec l’exercice de tout mandat parlementaire ». On attend avec impatience la lecture de ce cher Fabius… On se demande bien quelle proportionnalité il va pouvoir trouver, ou génuflexion il va faire, pour dire que Macron peut tordre le cou à cet article… C’est tout simplement illégal, et aucun parlementaire ne se saisit de l’affaire. Ca commence bien on dirait en matière d’opposition molle. Macron valide la démission de son Premier ministre, non sans rappeler qu’il appartenait au camp présidentiel et cherche à trouver des alliés pour un gouvernement d’union. Si les parlementaires avec cela n’ont toujours pas compris le problème, c’est à désespérer de tout.