magouille et compagnie - Page 1236
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BFM se penche sur le bobard calculette du ministère de l’Intérieur
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Éric Ciotti : « Notre pays est au bord de la faillite »
Entretien décapant avec un élu qui assume une position de « franc tireur », à droite toute.
Le Point : La France est-elle au bord de la guerre civile ?Éric Ciotti : La crise des Gilets jaunes exprime une légitime colère face à l'assommoir fiscal. J'ai soutenu ce mouvement, mais malheureusement, aujourd'hui, il a été dévoyé par la violence de quelques-uns et la manipulation de groupes extrémistes. Le bilan humain est très lourd : 1 400 blessés parmi les forces de l'ordre, plus de 2 000 chez les manifestants, et 11 morts. C'est inédit en métropole depuis la guerre d'Algérie. Les raisons de cette colère sont, certes, anciennes. Mais Emmanuel Macron porte aussi une très lourde responsabilité. Il a mené une politique économique et sociale profondément injuste et inefficace. Et il a été un pyromane qui a allumé l'incendie par ses provocations verbales, son comportement clivant et stigmatisant.En qualifiant le chef de l'État de pyromane, n'ajoutez-vous pas de la violence ?C'est malheureusement le constat que dressent les Français. Il me semble d'ailleurs qu'Emmanuel Macron l'a compris puisque nous assistons à une forme d'acte de contrition et de changement dans sa communication. Jupiter se veut moins arrogant et plus humble, ce qui signe l'échec des deux premières années du quinquennat. Le président de la République a trompé les Français. Pour certains, dont je ne fais pas partie, il a suscité une vraie espérance qui reposait sur un rêve de concorde… et c'est tout le contraire qui s'est produit. On attendait un rassemblement des forces de notre pays et le macronisme s'est réduit au culte de la personnalité.Pourquoi la parole publique est-elle discréditée ?La communication s'est trop souvent substituée à l'action. Notre vie publique souffre d'une overdose de communication impuissante. Certains ont promis le rêve et les Français se réveillent avec des lendemains qui déchantent. Arrêtons de masquer la réalité ! Il faut dire que notre pays est au bord de la faillite, comme l'avait diagnostiqué François Fillon, et que l'on ne peut pas préserver notre système grevé par 1 300 milliards d'euros de dettes et 100 milliards de déficit budgétaire. La démocratie retrouvera de la force lorsque les citoyens auront enfin le sentiment que ce gouvernement ne leur ment pas. Nous devons en finir avec le temps de l'esbroufe et des politiques saltimbanques.[...]Entretien complet dans lepoint.fr -
Flicage sur internet : le rapport Avia/Taieb/Amellal et sa mise en œuvre
Flicage sur internet : qui a entendu parler du rapport élaboré par Laetitia Avia députée LaRem (dont la famille est originaire du Togo), Gil Taïeb vice-président du Crif et Karim Amellal écrivain ? Ce rapport, commandé par Emmanuel Macron lui a été remis en septembre 2018 et prévoit d’encadrer au plus près la liberté d’expression sur internet sous couvert de lutte contre le racisme. Explorons quelques pistes liberticides parmi d’autres proposées dans le rapport.
Les réseaux sociaux sous surveillance
Les grands opérateurs auraient un délai de 24h pour supprimer un « contenu haineux ». Rappelons pour mémoire que le fameux pacte de Marrakech considère de facto que tout propos hostile à l’invasion migratoire ou simplement négatif doit être considéré comme délictueux et que les médias qui les propageraient doivent être punis financièrement.
Les opérateurs devraient nommer un représentant auprès de l’Union Européenne et remettre un rapport annuel qui rendrait compte de leur activité « anti haine ». Les amendes pourraient être multipliées par cent (oui par 100, vous lisez bien) pour atteindre 37,5M€ pour les personnes morales et 7,5M€ pour les personnes physiques.
Création d’une étoile jaune « porteur de haine »
Le rapport propose – sans rire – de « Créer un logo unique de signalement des contenus illicites, visible et identifiable sur toutes les plateformes » (recommandation 8).
Dans la recommandation 11 « il pourrait être envisagé de soutenir les initiatives de « Name and shame » visant à publier la liste des annonceurs dont les contenus sont visibles sur des sites internet diffusants des propos haineux ». Ce qui rejoint une partie des recommandations du pacte de Marrakech, voici un deuxième article sur le sujet.
Dans le même article « parallèlement, il conviendrait de promouvoir les démarches dites d’« investissement publicitaire responsable » des entreprises, qui consistent à éviter la publication sur des sites toxiques ou non désirés (pornographie, antisémitisme, fausses informations, propagande extrémiste etc.) ».
Le terme propagande extrémiste est assez vague pour subir n’importe quelle interprétation et aboutir à un très vaste champ de répression.
Surveiller et punir mais sans débat contradictoire
Bien entendu (recommandation 10), les dénonciations devraient être facilitées sur une plate-forme unique, les juges saisis illico obligés de statuer dans les meilleurs délais et par mise en demeure. Encore mieux,
« Serait ouverte la possibilité pour le juge de recourir à la procédure simplifiée de l’ordonnance pénale comme il le fait déjà aujourd’hui pour les actes de contrefaçon sur Internet. L’ordonnance pénale est une procédure qui permet un traitement rapide des affaires en ce qu’elle ne nécessite pas de contradictoire et donc pas d’audience ».
Pas de contradiction, pas d’audience, automaticité pénale, bienvenue dans le meilleur des mondes Avia/Taïeb/Amellal. Plus récemment deux ministres du gouvernement Philippe, Mounir Mahjoubi et Marlène Schiappa ont présenté un plan d’action inspiré du fameux rapport. Nous aurons l’occasion d’y revenir.
Article paru sur le site de L’OJIM
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Gilets jaunes : la nouvelle donne
Le camp des gazelles a fait entendre sa voix. « C dans l’air » réunissait, ce lundi soir, Brice Teinturier, Soazig Quéméner, Éric Fotorino et Christian Saint—Palais autour des « images glaçantes » de ce week-end. Le titre de l’émission était : « Dans le piège de la haine ». Configuration parfaite de l’aveuglement de la bien-pensance avec la grande découverte d’un climat de violence dans notre société. Rappel des faits : une voiture de police caillassée à Lyon par des casseurs avec, à son bord, une policière terrorisée. L’exfiltration, de la manifestation, d’Ingrid Levavasseur. Alain Finkielkraut honteusement insulté dans la rue. Qu’était devenue l’image d’Épinal des gilets jaunes ? Comme on était loin du pouvoir d’achat, face à l’antisémitisme et à la détestation de tout pouvoir. Face à ces rues et ces réseaux sociaux où on se lâche ignominieusement !
C’est un fait : le mouvement des gilets jaunes aurait dégénéré. Avec le vent, le monde intellectuel a retourné sa veste. « S’il faut choisir, je ne balance pas. Je veux être peuple », disait déjà La Bruyère. Mais pas n’importe lequel : un peuple policé. Ingrid Levavasseur, à qui on avait offert la politique sur un plateau télé, est désavouée par les siens. Elle qui se croyait pourtant déjà en haut de la liste !
Ensuite, considération sur le climat délétère de notre République. Monsieur Teinturier s’étonna que la société ne réagît pas collectivement à des horreurs comme l’affaire Halimi. Évidence exprimée par Tocqueville que « le peuple des sociétés démocratiques est devenu indifférent à tout sauf à ses intérêts privés ». (Et quand un peuple exprime son opinion sur laquelle on s’assied ?) Décidément, on déteste les effets dont on chérit les causes. N’en déplaise à ceux qui se bouchent le nez, ce qui se passe reflète la France : celle du « pouvoir », aux manettes et au micro, qui fait débat pendant que les autres défilent après avoir « fait rond-point ».
La table où l’on cause dans un sens puis dans l’autre. Dehors, les pigeons devenus des loups, avec tout plein de plumes qui volent. Sans oublier les sourciers qui reniflent des relents nauséabonds. Mais pas grand-chose sur l’homme, connu des services publics pour sa rhétorique islamiste, qui éructe sa haine, ni sur la forme nouvelle, prise chez nous, par cette haine depuis quelques années déjà. Qu’y a-t-il donc eu, ce week-end, que nous ne connaissions, de visible dans la rue ?
Si des inégalités criantes engendrent une colère aveugle dont profitent certains venus de territoires perdus, des enjeux politiques s’invitent sur notre sol qui lui sont étrangers. Vouloir faire une nouvelle loi (une de plus) pour distinguer antisémitisme et sionisme comme on dénonce le sexisme, le racisme et « les phobies » montre un aveuglement ou un désarroi politiques qui ne datent pas d’hier. Le vivre ensemble est un néologisme pernicieux pour cacher une impuissance politique. On ne défilera donc pas « tous ensemble, tous ensemble ! » place de la République ? Quel désaveu du vivre ensemble ! Ce n’est pas Alain Finkielkraut qui me contredira. Inutile de ressortir des relents du temps passé.
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Ce régime a en réserve des capacités de destruction inépuisables
Deux drapeaux dans cette manif Gilets jaunes : français et breton
« Ses sacs de grains semblaient des fontaines publiques ». Victor Hugo, Booz endormi
La France se retrouve soudainement effrayée des violences qui la déchirent.
Et des fractures qui précipitent son éclatement. Comme si la répétition des mêmes phénomènes depuis des années, si leur aggravation constante et si la persistance et l’extension de leurs causes ne rendaient pas prévisible, inéluctable même, le point de délabrement national où nous en sommes rendus. Les politiciens, les politologues, les journalistes, les intellectuels, les élites vraies ou fausses, tout ce monde nous fait aujourd'hui le coup de l’angoisse ou, parfois, de la panique. Et pourtant ! La découverte ou la surprise ne sont vraiment pas de mise.
Un vieil adage tiré de l'écriture sainte et devenu fort banal, rebattu, même, caractérise exactement la situation. Il invite à en identifier les causes, les responsabilités. « Qui veut semer le vent récolte la tempête ». Tout y est, tout est dit.
Ils sont nombreux - quasi unanimes - ceux qui, ces jours-ci, versent des torrents de larmes, des larmes de crocodile, sur les violences de ces derniers mois mais aussi sur les fractures plurielles et profondes de la société française, sur son éclatement en apparence irréversible au point que l'existence même de ladite société devient incertaine, sur sa révolte, son incohérence, son irrespect, son inculture, etc. Mais les divers pleureurs devraient plutôt faire leur examen de conscience s'ils ont eu ou ont quelques parcelles de pouvoir politique, médiatique, judiciaire ou intellectuel, car de cette situation qu'ils déplorent ils portent les responsabilisés.
Faut-il encore dresser la liste des causes ? Des erreurs commises par idéologie, esprit politicien, orgueil, lâcheté, inculture, ambition, intérêt, soumission ? De l'immigration africaine ou orientale chiffrable en millions aux diverses dispositions prises pour disloquer les familles, y dissoudre toute autorité ; de la négation des races, des sexes, de toute forme d'appartenance historique ou naturelle à la dictature des minorités, sexuelles, raciales, ethniques ou religieuses ; de la culpabilisation de la France accusée tantôt de crime contre l'humanité (la colonisation) tantôt de soumission au nazisme (les années noires, la peste brune, l'histoire qui bégaye) à la négation sans nuance de la culture française censée ne pas exister ; d'un libre-échangisme dogmatique qui a désertifié le territoire national, ruiné la France périphérique, tué l'agriculture française et des pans entiers de notre industrie, avec pour résultat une masse de chômeurs et de pauvres incompressible en l'état de la politique des gouvernements successifs ; du désastre éducationnel à l'univers clos des cités et zones de non-droit, tout a été fait, tenté, imaginé, organisé, mis en place, ou accepté par la loi et par l'action publique pour déconstruire l'unité de la communauté nationale. Et sa souveraineté …
Des sommets de l'État, des hauts lieux d'où lesélites surplombent la société, les stratagèmes destructeurs, les lois mortifères, les comportements délétères ont été sans bornes. Les cerveaux ont regorgé d’idées. A cet égard, les réserves semblaient des fontaines publiques.
Le peuple français sera-t-il capable un jour d’accomplir une métanoia salvifique, d’exiger une politique radicalement autre ? Se trouvera-t-il quelqu’un pour diriger cette révolution contre-révolution ou alterrévolution ? Nous l’ignorons.
Mais de grâce, qu'on nous épargne maintenant les pleurs et les grincements de dent.
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Des experts de l’ONU dénoncent des restrictions graves aux droits des manifestants « gilets jaunes »
C’est sur le site de l’ONU… Je pose ça là :
Le droit de manifester en France a été restreint de manière disproportionnée lors des manifestations récentes des « gilets jaunes » et les autorités devraient repenser leurs politiques en matière de maintien de l’ordre pour garantir l’exercice des libertés, selon un groupe d’experts des droits de l’homme des Nations Unies.
« Depuis le début du mouvement de contestation en novembre 2018, nous avons reçu des allégations graves d’usage excessif de la force. Plus de 1.700 personnes auraient été blessées à la suite des manifestations dans tout le pays», ont déclaré ces experts dans un communiqué de presse.
Ce groupe d’experts comprend Seong-Phil Hong, Président-Rapporteur du Groupe de travail sur la détention arbitraire, Michel Forst, Rapporteur spécial sur la situation des défenseurs des droits de l’homme, et Clément Nyaletsossi Voule, Rapporteur spécial sur les droits à la liberté de réunion pacifique et d’association.
Selon eux, « les restrictions imposées aux droits ont également entraîné un nombre élevé d’interpellations et de gardes à vue, des fouilles et confiscations de matériel de manifestants, ainsi que des blessures graves causées par un usage disproportionné d’armes dites ‘non-létales’ telles que les grenades et les lanceurs de balles de défense ou flashballs ».
« Garantir l’ordre public et la sécurité dans le cadre de mesures de gestion de foule ou d’encadrement des manifestations implique la nécessité de respecter et de protéger les manifestants qui se rendent pacifiquement à une manifestation pour s’exprimer », ont souligné les experts.
« Nous sommes conscients du fait que certaines manifestations sont devenues violentes et ont entrainé des débordements, mais nous craignons que la réponse disproportionnée à ces excès puisse dissuader la population de continuer à exercer ses libertés fondamentales. Il est très inquiétant de constater qu’après des semaines de manifestations, les restrictions et tactiques de gestion des rassemblements et du recours à la force ne se sont pas améliorées », ont-ils ajouté.
De plus, les experts ont exprimé leurs vives préoccupations quant à une proposition de loi visant prétendument à prévenir les violences lors de manifestations et à sanctionner leurs auteurs, dont certaines dispositions ne seraient, selon eux, pas conformes avec le Pacte international relatif aux droits civils et politiques auquel la France est partie.
« La proposition d’interdiction administrative de manifester, l’établissement de mesures de contrôle supplémentaire et l’imposition de lourdes sanctions constituent de sévères restrictions à la liberté de manifester. Ces dispositions pourraient être appliquées de manière arbitraire et conduire à des dérives extrêmement graves », ont souligné les experts.
Ils ont encouragé « la France à repenser ses politiques en matière de maintien de l’ordre et encourageons les autorités françaises à ouvrir des voies de dialogue afin d’atténuer le niveau de tension et de reconnaître le rôle important et légitime que les mouvements sociaux jouent dans la gouvernance ».
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Elle court, elle court, la bête immonde… Quand Agnès Buzyn accuse Marine Le Pen de néonazisme !
La haine islamiste contre Alain Finkielkraut, déclenchée par quelques fanatiques déguisés en gilets jaunes, a des répercussions politiques inattendues. Dès dimanche, sur le plateau de LCI, un ministre du gouvernement Macron-Philippe s’est déchaîné contre… non pas contre ceux qui rêvent d’islamiser la France mais contre… Marine Le Pen.
Et ce ministre n’est autre que celui des Solidarités et de la Santé, Mme Agnès Buzyn, hématologue de profession et, par la grâce d’Emmanuel Macron, persona grata de la République. Pour les solidarités, Mme Buzyn repassera car son attaque frontale ad hominem qui n’a duré que quelques secondes aura été d’une rare violence.
En cause, le tweet que la présidente du Rassemblement national a adressé à Alain Finkielkraut quelques minutes après les faits de la rue Campagne-Première dans des termes qui ne peuvent prêter à confusion. Un acte qu’elle a résumé par deux adjectifs : « détestable et choquant ». Eh bien, ce sont ces deux adjectifs qui ont choqué Mme Buzyn au point de la faire disjoncter sans sourciller. « Je ne suis jamais d’accord avec Marine Le Pen parce qu’elle joue un double jeu, elle joue sur l’ambiguïté, elle mange à tous les râteliers. Elle est contre l’antisémitisme, mais elle a plein de néonazis dans son entourage, et dès qu’elle peut aller en Autriche ou à Bruxelles avec tous les néonazis d’extrême droite d’Europe et du monde entier, elle y court. » Fermez le ban.
Le sang de Marine Le Pen n’a fait qu’un tour et ses doigts ont aussitôt frappé sur les touches de son portable cette réponse : « Ces propos sont infâmes et Agnès Buzyn en répondra devant la Justice. » Rajoutant cette phrase très politique, en référence, notamment à la crise des gilets jaunes : « Ce gouvernement est de plus en plus indigne, en plus d’être totalement incompétent. »
Voilà donc le RN accusé d’être le parti du néonazisme revu et corrigé par le XXIe siècle et par les fantasmes d’un gouvernement de plus en plus aux abois. Car porter une telle accusation, qui ne trompera que bien peu d’électeurs, est effectivement très grave lorsqu’elle émane d’un ministre. Alain Finkielkraut ne s’y est pas trompé car, dès dimanche, il a lui même affirmé que le RN n’avait plus rien à voir avec le parti de Jean-Marie Le Pen, mais tout va être fait pour combattre le RN avant les élections européennes. Le parti de Marine Le Pen doit s’attendre au pire.
En attendant, le trésorier du RN, Wallerand de Saint-Just, a indiqué au journal Le Parisien que la plainte sera déposée pour « injure ». « Dire ce qu’a dit Mme Buzyn, c’est juridiquement et intellectuellement une injure publique. On n’est pas dans la diffamation car il n’y a pas d’imputation d’un fait précis. »
Elle court, elle court la bête immonde, chère aux fantasmes de Mme Buzyn. Elle court, la campagne électorale des européennes qui a, d’ores et déjà, commencé. Mme Buzyn ne ferait-elle pas mieux d’arrêter la désertification hospitalière de nos campagnes !
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I-Média n°238 – Les plus beaux mensonges médiatiques de l’année récompensés !
La Xe cérémonie des Bobards d’Or
Ce lundi, au Théâtre du Gymnase à Paris, avait lieu la cérémonie des Bobards d’Or qui récompense chaque année les meilleurs mensonges des journalistes ! Nous découvrirons ensemble le riche palmarès de cette 10e édition.
Zapping
Les femmes djihadistes partis rejoindre l’Etat islamique souhaitent désormais retourner en France sans rien modifier de leur approche rigoriste de la religion musulmane.
Les actes antisémites ne risquent donc pas de baisser de si tôt…Les Gilets Jaunes, une révolte antisémite ?
Alain Finkielkraut a été pris à partie verbalement par quelques excités islamistes lors de l’acte 14 des Gilets Jaunes. Pour de nombreux journalistes et commentateurs, le mouvement des Gilets Jaunes est une révolte possiblement antisémite.
Tweets
Après Hapsatou Sy qui quitte Salut les Terriens, Eric Zemmour a réussi à faire démissionner Yacine Bellatar de LCI. Un pouvoir salué par certains internautes moqueurs.
Antisémitisme : émoi médiatique, emballement pénal
Alors que des actes possiblement antisémites se multiplient depuis quelques jours, Emmanuel Macron a annoncé lors du dîner du CRIF que la censure serait renforcée sur les réseaux sociaux. Inquiétant.
https://www.tvlibertes.com/i-media-n238-les-plus-beaux-mensonges-mediatiques-de-lannee-recompenses
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Zemmour : « Le rassemblement contre l'antisémitisme à Paris est une mascarade »
Pour qui s'intéresse à la vraie politique, ce passage d'Éric Zemmour sur LCI, mardi dernier, mérite d'être suivi en entier (25').
Donc, selon Lafautearousseau à regarder, écouter, absolument.
Bonne écoute ! LFAR
La rédaction de LCI
INVITE POLITIQUE - Eric Zemmour était l'invité de Christophe Jakubyszyn ce mardi sur LCI. L'éditorialiste a expliqué d'où venait, selon lui, la vague d'actes antisémites que connait actuellement la France et a donné son sentiment sur la grande mobilisation contre l'antisémitisme prévue ce mardi.Le polémiste était notamment interrogé sur son sentiment à propos de l'antisémitisme en France, la grande journée de mobilisation contre l'antisémitisme, la loi portée par Sylvain Maillard pour lutter contre l'antisionisme et a pointé la responsabilité de l'antisémitisme sur... l'immigration.Concernant la grande manifestation contre l'antisémitisme qui doit se dérouler partout en France, ce mardi 19 février, il n'y va pas par quatre chemins : "c'est une mascarade", dit-il. "Cette manifestation est une mascarade car les organisateurs sont des pompiers pyromanes (...) Ceux qui l'organisent sont responsables de deux manières : ne pas endiguer l'immigration de masse qui en est le terreau, et nous avoir expliqué que l'islam est une religion de paix et d'amour", analyse l'éditorialiste qui indique qu'il ne sera pas dans la rue, ce mardi, "avec des gens que j'estime être responsable de tout ce qui arrive". D'ailleurs, la présence d'Edouard Philippe au rassemblement parisien ne semble pas lui plaire : "je préférerais qu'il travaille sur l'immigration".
Car pour lui, l'antisémitisme que connaît la France actuellement est la conséquence de "l'immigration de masse". "Cette immigration est le terreau de l'antisémitisme. Il n'y a plus d'enfants juifs dans les écoles de Seine-Saint-Denis. Ce n'est pas dans les écoles publiques du XVIe arrondissement !", dit-il. Selon lui, "il y a une alliance entre l'extrême gauche qui cherche des troupes avec les jeunes musulmans de banlieue contre le capitalisme, et les frères musulmans qui cherchent des alliés pour islamiser la France et abattre juifs et chrétiens. Il y a une stratégie des frères musulmans de colonisation pour dominer le pays".
Puis d'évoquer les églises profanées : "on parle des actes antisémites, on devrait aussi parler des églises profanées tous les jours. Ça vient d'où, ça ? J'aimerais bien qu'on le sache ! Pourquoi on souille, massacre, détruit les églises ? Qui a tué des juifs ? Qui a tué le père Hamel ? Ce sont les mêmes".
Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen ambigus ?
Estime-t-il qu'il y a de l’ambiguïté dans les positions de Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon sur ce sujet ? "Chez Marine Le Pen, il y a une histoire de l'antisémitisme maurrassien, des pseudo bons mots et des fréquentations de son père, même si autour de lui il y avait des résistants et des collabos. Elle a toujours essayé de montrer qu'elle n'est plus dans cette lignée-là", dit-il.
Quant à Jean-Luc Mélenchon, Eric Zemmour estime que le patron de la France Insoumise est "pris entre deux eaux". "La culture révolutionnaire et son environnement, comme Danièle Obono, proche des milieux islamo-gauchistes. Elle a du mal à dire "Vive la france"". Et de faire ce constat très personnel : "on voit bien que l'islamo-gauchisme bouffe la France Insoumise".
Au sujet de la loi sur l'antisionisme que la majorité souhaite porter, Eric Zemmour estime que dans cette affaire, "on traite les conséquences et jamais les causes"."C'est toujours la même chose (...) On peut critiquer Israël. On peut être juif et ne pas être sioniste... Vous en avez un devant vous. Ces lois essayent de verrouiller les comportements et la liberté de parole, j'y suis hostile, fortement. Je pense qu'il faut traiter ça par la raison et le débat", explique le polémiste.
http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/02/21/z-6130466.html
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Gilets Jaunes, acte 15 : s’inscrire dans la durée – Journal du 22 février 2019
Gilets Jaunes, acte 15 : s’inscrire dans la duréeQuinzième semaine de mobilisation pour les Gilets Jaunes ! En dépit d’une actualité délicate, des dizaines de milliers de Français devraient retourner dans la rue pour faire valoir leur mécontentement face à l’exécutif.
L’agriculture à la croisée des chemins
La 56ème édition du Salon de l’Agriculture ouvre ses portes samedi. L’occasion pour les agriculteurs de retisser un lien de confiance avec les Français alors que le monde paysan continue de s’interroger sur son devenir.
Jeux Vidéo : la locomotive culturelle
Avec un nouveau record de vente en 2018, le secteur du jeu vidéo n’en finit d’atteindre des sommets. Une performance qui le place loin devant la littérature ou encore la musique.
L’actualité en bref