Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 1233

  • Acte 7 : Les Gilets Jaunes toujours présents aux Champs Élysées.

  • Gilet jaune des villes, Gilet jaune des campagnes : où en est le mouvement après l'acte 7 ?

    Gilet jaune des villes, Gilet jaune des campagnes : où en est le mouvement après l'acte 7 ?
    © Stephane Mahe Source: Reuters
    Un gilet jaune à Bouguenais, le 10 décembre 2018 (image d'illustration).

    Le mouvement citoyen connaît, selon les chiffres du gouvernement, une baisse de mobilisation. Toutefois, soutenus par une majorité de Français selon les sondages, les Gilets jaunes ne semblent pas près de baisser les bras.

    Difficile de passer à côté : le constat qui s'impose après l'acte 7 de la mobilisation des Gilets jaunes, le 29 décembre, est celui d'un rassemblement moins dense que les précédents, certains allant jusqu'à qualifier, en cette période des fêtes de fin d'année, le rassemblement parisien d'«anecdotique».

    «Le mouvement semble poursuivre sa décrue», explique ainsi l'AFP, en fin de journée, au vu des derniers chiffres nationaux du gouvernement (12 000 manifestants en France), eux-mêmes annoncés... en milieu d'après-midi. Quant à la capitale, la préfecture de police a précisé que «seules 800 personnes [...] dans plusieurs cortèges erratiques» s'y étaient retrouvées.

    Lire la suite

  • Suède : la télévision publique accusée d’avoir minimisé les horribles meurtres des randonneuses scandinaves au Maroc

    Suède – La télévision publique suédoise SVT a essuyé des critiques de la part de certains téléspectateurs, la chaîne est accusée d’avoir minimisé les détails horribles des meurtres des deux randonneuses scandinaves au Maroc.

    Louisa Vesterager Jespersen, 24 ans, du Danemark, et Maren Ueland, 28 ans, de Norvège, ont été tuées alors qu’elles étaient en randonnée dans les montagnes du Haut Atlas au Maroc. Les deux filles ont été poignardées plusieurs fois, l’une d’entre elles a été décapitée devant une caméra, la vidéo s’est rapidement répandue sur les réseaux sociaux.

    (…) La veille de Noël, le radiodiffuseur public national suédois a diffusé un reportage sur les meurtres barbares, mais a choisi de ne pas se concentrer sur les détails du crime ou sur les liens désormais établis avec le terrorisme islamique. Le reportage de SVT ne mentionne pas qu’une des jeunes femmes avait été décapitée, ne dit rien sur le lien avec l’islamisme et fait simplement référence à des « blessures au couteau » sur le cou d’une des victimes.

    Bizarrement, le reportage se concentrait presque entièrement sur le fait que le partage de cette vidéo de décapitation constituait un délit punissable par la loi.

    L’angle étrange adopté par SVT a incité les téléspectateurs à penser que le radiodiffuseur public semblait plus préoccupé par le partage de la vidéo macabre que par le meurtre en lui-même.

    Un utilisateur de Twitter a écrit qu’au début, il pensait que l’utilisation de l’expression « blessures au couteau » au lieu de « décapité » n’était qu’une sorte de formulation malheureuse jusqu’à ce qu’il réalise que dans le reportage, cette expression avait été répétée plusieurs fois.

    Lire la suite

  • Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose… enfin, peut-être !

    x2018-09-28_183016_FAKE-NEWS.jpg.pagespeed.ic.s88jtu8cri.jpg

    La chronique de Philippe Randa

    C’est le nouveau monstre à la mode qui défraie les landernaux politiques dans le monde entier : la fausse nouvelle ou « fake news ».

    Emmanuel Macron, à peine élu à la Présidence de la République s’est plaint d’en avoir été particulièrement victime, accusant la Russie poutinienne, par complaisance lepéniste, d’avoir abondamment fourni les réseaux sociaux en mensonges divers et variés pour l’empêcher d’accéder à la Fonction Suprême. Sans succès, à l’évidence.

    Du coup, une loi est annoncée pour lutter contre les « fake news » et beaucoup craignent qu’elle soit principalement destinée à museler les médias hostiles envers la pensée unique : que ce soit moins le mensonge qui soit à juste titre traqué que la liberté d’expression qui ne soit réprimée au nom d’une censure d’État qui n’oserait pas dire son nom.

    Paranoïa ? Manipulation politique ? Complotisme ? À l’évidence, personne ne sait trop quoi en penser. François-Bernard Huygue a donc jugé utile de publier un petit livre fort décapant pour trier le bon grain de la réelle manipulation de l’ivraie complotiste : « Fake news la grande peur » (VA Editions cliquez ici) se lit facilement en une dizaine de chapitre qui permettent de se faire une idée sur la façon de « nommer le faux », de comprendre une « fausse nouvelle », de savoir si la société actuelle baigne autant qu’on le dit dans le « faux », de découvrir qui en sont véritablement les responsables et en fin de compte, de répondre à une question qui pourrait surprendre de prime abord : les citoyens en sont-ils finalement les victimes …ou les coupables ? Enfin, existe-t-il des « remèdes » pour contrecarrer la désinformation sous toutes ses formes…

    Autrefois, en temps de guerre , on nommait cela, tout simplement, de la propagande ; à moins, que nous ne soyons déjà (encore ? toujours ?) en guerre… et que tout le monde n’en ait pas vraiment conscience. Le livre de François-Bernard Huygue n’en serait donc que plus urgent à découvrir.

    Publiée dans le quotidien Présent.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’émergence d’un international-nationalisme ?

    Capture-48-845x475.png

    La fièvre nationaliste s’étend de part et d’autre de l’Europe, et ce, avec ou sans gilets jaunes : du Portugal à la Hongrie en passant par la France et la Belgique. Par exemple, la majorité de centre droit au Danemark a décidé, récemment, de mettre en place des mesures drastiques en matière d’immigration, celles-ci visant principalement la communauté musulmane (baisse des allocations pour les réfugiés, peines de prison doublées, éviction des caïds de cité et crèche obligatoire). À cela s’ajoutent l’élection de Trump aux États-Unis (en 2016) et celle, plus récente, de Bolsonaro au Brésil.

    Assurément, une lame de fond frontiériste traverse le monde occidental. La crise du libre-échangisme est en train d’éclater au grand jour. Le monde de la « flexisécurité », du « bonus-malus », du « microcrédit », du « contrat gagnant-gagnant » et du « migrant » n’arrive plus à convaincre les masses submergées par l’hyperconsumérisme prédéterminé.

    La crise de l’Occident n’est plus un fantasme pour des pessimistes patentés, mais clairement une réalité. Le nomadisme forcené, inhérent à un creusement assumé des inégalités, ne peut plus fonctionner à long terme ; si ce n’est à marche forcée. À partir de la révolution humaniste du XVIIIesiècle, l’ordre libéral-libertaire avait amorcé la libre-circulation exponentielle des biens, des marchandises, des capitaux, des actions ainsi que des familles et des individus. Mais aujourd’hui, la machine technologique s’est emballée à un niveau tel que les peuples finissent par comprendre que le nomadisme ne leur est point réservé. Ainsi, des irréductibles préfèrent leur terre à la Terre.

    Le péché originel de cet ordre consiste à faire de l’argent une fin en soi, et non un simple moyen (de même pour l’outil administratif). Celui qui est frappé par le déclassement plonge logiquement dans le sentiment d’insubsistance : il a la sensation de ne plus exister. L’ordre libéral-libertaire, faisant l’objet de tant de prédictions (de Spengler, avec Le Déclin de l’Occident, en 1918, à Fukuyama, avec La Fin de l’histoire et le dernier homme, en 1992), n’arrive plus à faire rêver les foules. Car une misère intégrale ne peut être seulement financière, mais également affective et sexuelle. De Tokyo à Los Angeles, chacun s’enferme dans son petit écran pour tenter vainement de se rendre vivant. Sans complétude, rien ne résiste à la solitude. L’homme moderne est déjà un être électrisé : à jamais connecté, c’est-à-dire sciemment immatriculé. En attendant la contamination généralisée, le paysan et l’agriculteur ont encore le courage de ne pas abdiquer. Ravaisson avait écrit, dans son Testament philosophique : « Être c’est agir ; l’action est l’existence même. » Au bout du compte, on ne réagit plus quand on ne demande qu’à agir.

    L’ordre libéral-libertaire risque de se rebiffer, autrement dit de se radicaliser. Dans ce cas, il soumettra ceux qui ne demandent qu’à être soumis (notamment à un « dieu vengeur ») et ne fera qu’un avec un totem numérique constitué par les plus performants algorithmes. Alors, tous ceux qui n’accepteront pas ce modèle civilisationnel seront voués à s’effacer d’eux-mêmes. Inéluctablement, l’ordre libéral-libertaire ne peut plus se contenter d’être totalitaire, mais ouvertement autoritaire. En attendant que s’accomplisse ce destin funeste, les « résignés-réclamants » (de Jacques Attali) veulent encore croire que le bonheur est dans le pré, voire sur les ronds-points. Dans tous les cas, ils ne veulent plus se contenter de la télé et du canapé.

    Henri Feng

    http://www.bvoltaire.fr/lemergence-dun-international-nationalisme/

  • Gilets jaunes: «C'est le mouvement de la France qui souffre»

    Gilet jaune.pngComme chaque samedi, les reporters de RT France sont allés à la rencontre des Gilets jaunes lors du septième acte de mobilisation. Si certains regrettent la faible affluence, ils comptent sur une recrudescence en début d'année prochaine.
    Ce 29 décembre, lors du 7e acte de la mobilisation des Gilets jaunes, les reporters de RT France ont rencontré et recueilli des témoignages de manifestants à Paris.
    Marcel est là pour son cinquième samedi de mobilisation à Paris. Pour lui, le mouvement des Gilets jaunes est celui de «la France qui souffre». Selon lui, la situation des personnes en situation de précarité envoie un très mauvais signal aux générations futures. «Les jeunes veulent aller vers le travail en pensant qu'ils vont vivre de leur travail et pouvoir se faire plaisir encore un peu», explique Marcel, qui compte poursuivre la mobilisation «tant que le gouvernement ne veut pas entendre» les Gilets jaunes.
  • Le Royaume-Uni s’inquiète du nombre important de traversées de migrants « facilitées par des groupes criminels »

    Dans la nuit de mercredi à jeudi, et toute la matinée de jeudi, les opérations de sauvetage se sont multipliées dans la Manche pour secourir une trentaine de migrants.

    La multiplication des tentatives de traversée de la Manche par des migrants est « profondément inquiétante », a estimé jeudi la secrétaire d’État britannique à l’Immigration Caroline Nokes après que 34 nouveaux migrants ont été secourus. « Le nombre d’incidents ces derniers jours est profondément inquiétant. Une part (de ce trafic) est clairement facilitée par des groupes criminels, tandis que d’autres tentatives semblent opportunistes », a noté Caroline Nokes.

    (…) Europe 1

    http://www.fdesouche.com/1133949-le-royaume-uni-sinquiete-profondement-du-nombre-croissant-de-traversees-de-migrants-facilitees-par-des-groupes-criminels

  • Qui va marcher pour Macron le 20 janvier ?

    Aussi incroyable que cela puisse paraître, un appel à une marche de soutien au président de la République le 20 janvier 2019 a été lancé sur Facebook.

    L’affaire semble tellement mal embarquée que cet appel à une marche “en soutien à Emmanuel Macron” a rapidement été rebaptisé “Marche républicaine des libertés”. Une appellation plus fourre-tout, de façon à permettre à tous les BHL, CRIF et autres GODF de se ranger plus facilement dans cette manifestation destinée à contrer les gilets jaunes.

    La question toute naturelle qui vient à l’esprit est de savoir qui organise cette marche. Pour l’instant, seul un prénom est mis en avant : Laurent, qui se présente comme un ingénieur toulousain qui ne cache pas sa sympathie pour La République En Marche.

    Sur Europe 1, l’anonyme Laurent s’est lancé dans un plaidoyer pour sauver le soldat Macron.

    “Quand j’entends ‘le président des riches’, qu’il est à la solde des banquiers, d’un nouvel ordre mondial complotiste, ça me choque et je trouve ça injuste.”

    Alexandre Benalla sera-t-il dans le coup ?

    https://www.medias-presse.info/qui-va-marcher-pour-macron-le-20-janvier/102994/

  • Gilets Jaunes et Affaire Benalla : on va tout droit vers un coup d’Etat militaire ou une guerre civile

    (Une analyse du journaliste Cheikh DIENG, basé à Paris)

    En France, la situation va de mal en pis. Ce 27 novembre, j’avais prédit, dans un édito, la fin tragique du Mandat d’Emmanuel Macron. Je tiens à préciser ici que je ne souhaite à la France ni la guerre civile, ni un coup d’Etat militaire. Cependant, les récents événements qui ont bousculé l’agenda politique français depuis novembre (Gilets Jaunes, Affaire Benalla) sont en train de me donner raison.

    Aujourd’hui, il faut être de très mauvaise foi pour ne pas voir cette rage du peuple qui veut une seule chose : se débarrasser de son président de la République, même si les méthodes (pour se débarrasser de Macron) diffèrent. En effet, certains veulent que le changement se fasse dans la douceur. Tandis que les plus durs veulent en finir avec Macron, quitte à « rentrer dans l’Elysée » (pour reprendre les mots d’un gilet jaune).

    Lire la suite sur Lecourierdusoir