Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 1267

  • Les obsèques de Macron se sont déroulées sans fleurs ni couronne…

    Capture-19.png

    Il est mort très jeune. Même pas trois ans.

    Vous étiez, Monsieur le Président, le saint Georges qui allait terrasser le dragon. Un dragon incarné par une cruelle diablesse blonde. C’était elle ou moi, proclamiez-vous. Tous les jours que le bon Dieu fait, vous alertiez la France sur le danger mortel que lui ferait courir une victoire du dragon.

    À ce combat périlleux, vous vous étiez préparé depuis longtemps. Pendant des mois, on vous a vu à la télévision, vous montrant, parlant, pérorant, faisant don de votre personne à la France. Un entraînement nécessaire avant le duel mortel avec le Belzébuth femelle.

    Au début, Monsieur le Président, vous aviez un peu sous-estimé votre adversaire. C’est pourquoi vous avez d’abord envoyé au casse-pipe un brave petit fantassin du nom de Nathalie Loiseau. Erreur, funeste erreur : il aurait fallu un soldat d’élite !

    La diablesse, elle, avait choisi, pour porter ses couleurs, un petit jeune de vingt-trois ans. Il fut à la hauteur. Et votre candidate, Monsieur le Président, parut soudain très vieille…

    La défaite se profilait. C’est alors que, n’écoutant que votre courage, vous vous êtes rendu à Domrémy. Là, vous entendîtes des voix qui vous disaient : « Emmanuel, va sauver le royaume de France qui est en grand péril ! » Dès lors vous n’hésitâtes pas à revêtir une armure et à payer de votre personne. Et même, poussant l’esprit de sacrifice jusqu’à des frontières inconnues, vous avez accepté de vous confier à un « youtubeur ». Le dragon, c’est sûr, allait être terrassé.

    Mais la sorcière blonde avait jeté sur vous un maléfique sortilège. Plus on vous voyait, plus vous bombiez le torse, plus la liste du petit jeune progressait. À croire que vous jouiez contre votre propre camp…

    Aujourd’hui, jour de deuil, le glas a sonné dans toutes nos églises : le dragon a triomphé. Il se pavane sans vergogne dans nos rues, dévorant au passage quelques petits enfants. Vous avez eu, Monsieur le Président, la plus belle mort qui soit : la mort d’un guerrier. Honneur ou courage malheureux ! Vos pages, vos seigneurs, vos serviteurs affirment pourtant que vous allez ressusciter. Mais Pâques, c’est déjà passé !

    Benoît Rayski

    https://www.bvoltaire.fr/les-obseques-de-macron-se-sont-deroulees-sans-fleurs-ni-couronne/

  • Intouchables

    par Louis-Joseph Delanglade

    La sécurité intérieure et extérieure de la France reste à bon droit un domaine régalien et le secret absolu la condition bien compréhensible de l’efficacité de certains de ses services.

    Cela n’empêche pas de prétendus « pouvoirs » de tenter de s’y immiscer. Ainsi en est-il des velléités récurrentes du Parlement pour exercer un droit de contrôle accru sur les services secrets (dernier épisode en date, celui de la délégation parlementaire au renseignement, fin novembre 2018). On peut pourtant se demander si un contrôle parlementaire de ce qui relève de la sécurité fondamentale du pays est vraiment opportun : appréciation sans doute fort peu démocratique, mais réaliste. Plus récemment, c’est le « pouvoir médiatique » qui s’est manifesté, une fois de plus, en suivant ses errements habituels. 

    Du coup, suite à leurs révélations sur des ventes d’armes et sur l’affaire Benalla, la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI) a convoqué plusieurs journalistes oeuvrant pour le compte d’un journal (Le Monde), d’une radio (Radio France), d’une émission de télévision (Quotidien) et d’un site d’investigation (Disclose). Indignation et postures de martyr dans les rédactions concernées, et même au-delà (une quarantaine de rédactions se sont solidarisées), toutes dénonçant un moyen de pression pour contrer « le secret des sources ». On doit d’abord s’interroger sur le  bien-fondé de cette notion. Existent aussi, par exemple, le secret de la confession, le secret médical ou le secret des délibération d’un jury d’assises. Mais que pèsent tous ces secrets en cas de nécessité supérieure et ultime ? 

    On ne peut pas accepter que des documents estampillés « confidentiel défense » fuitent dans la presse (en l’occurrence des documents concernant les ventes d’armes à l’Arabie séoudite et aux  Emirats Arabes Unis) ou que soit divulguée l’identité d’un membre des unités des forces spéciales (en l’occurrence un sous-officier de l'armée de l’air, nommé dans l’affaire Bennala). Mme Ndiaye, porte-parole du gouvernement a donc eu raison de rappeler (Europe 1, jeudi 23) qu’il est normal et « qu’un État protège un certain nombre de données nécessaires à des activités de défense extérieure et militaires » et « que l’Etat français s’interroge sur le fait qu’il puisse y avoir des fuites en son sein ». Rappelons tout de même la réaction bien différente de Mme Loiseau sur le sujet : « ma conviction, c'est qu'il y a un devoir de vigilance extrême sur la protection de la liberté de la presse, des sources » (France Inter, 23 mai)… 

    Mme Ndiaye, ayant affirmé en préalable que « les journalistes sont des justiciables comme les autres », a fait frémir les diverses rédactions de France et de Navarre, dénonçant à l’unisson « ces convocations qui ressemblent à de nouvelles tentatives d’intimidation de journalistes qui n’ont fait que leur travail : porter à la connaissance des citoyens des informations d’intérêt public. » Diable ! Il serait donc d’intérêt public de discréditer le commerce des armes qui constitue une source de revenus importants pour notre pays et qui, s’il était suspendu, n’empêcherait nullement ceux qui en ont envie de continuer à s’entre-tuer. il serait donc d’intérêt public de porter à la connaissance de tous l’identité d’un de ces soldats qui, on l’a vu tout récemment au Mali, sont capables de mourir pour leur mission. 

    Nous préférons penser qu’il serait plutôt d’intérêt public de faire en sorte que les journaleux ne se croient plus intouchables. 

    image.jpg

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/05/26/intouchables-6153995.html

  • Attentat de Lyon : Mohamed Hichem M., Algérien et auteur… d’« explosions », par Franck Deletraz

    Mohamed-Hichem-9373-p3-fd-lyon.jpg

    Une chose est d’ores et déjà certaine : la couverture politico-médiatique de ce nouvel attentat islamiste, perpétré à Lyon vendredi dernier en fin d’après-midi par un Algérien de 24 ans répondant au doux nom de Mohamed Hichem M., restera dans les annales comme un chef-d’œuvre de désinformation et d’intoxication à quelques heures d’un scrutin électoral capital. Des membres du gouvernement aux journalistes des grands médias, tous se seront en effet efforcés de minimiser, et même de cacher, par tous les moyens possibles, à nos compatriotes, l’évidence d’un nouvel attentat musulman commis sur notre sol. Y compris même, en osant parler d’« explosion » pour ne surtout pas prononcer le mot « attentat »…

    Un acte terroriste évident

    Un comble quand on sait que, dès l’annonce de cet événement, la nature terroriste de l’acte ne faisait absolument aucun doute. Alors que le suspect avait déposé dans une rue piétonne très fréquentée de Lyon, juste à côté d’une boulangerie, un sac contenant un détonateur à distance, une quantité non négligeable d’explosif TATP, et de nombreuses piles, billes et vis qui, en explosant, ont fait 13 blessés, dont une petite fille, le gouvernement et les médias se bornaient à parler pudiquement d’une… « explosion », comme si une conduite de gaz avait éclaté ! De la même manière, alors que la volonté du suspect de faire un maximum de victimes était elle aussi manifeste, les médias, incitant à la plus grande prudence, évoquaient un possible règlement de comptes dans le cadre d’une « affaire conjugale » ou encore « professionnelle »…

    L’extraordinaire travail des enquêteurs

    Grâce à la police, dont les enquêteurs ont une fois de plus accompli un travail extraordinaire, la vérité n’aura cependant pas tardé à éclater au grand jour. En exploitant au maximum les images des caméras de vidéosurveillance montrant le suspect circuler à vélo et déposer son colis piégé, en épluchant les quelque 300 témoignages recueillis grâce à l’appel à témoins lancé dès vendredi soir, mais, surtout, en comparant des composants de la bombe, encore intacts, relevés sur la scène de crime avec les achats de particuliers dans la région lyonnaise, les enquêteurs de la DCPJ et de la DGSI sont rapidement parvenus à identifier et à interpeller le suspect, lundi matin à Lyon : Mohamed Hichem M., un Algérien né à Oran en 1995, étudiant en informatique, qui a rejoint sa famille près de Lyon au cours de l’année 2017, et a effectué en mars dernier « un certain nombre d’achats suspects, en grande quantité » sur le site Amazon, dont des piles type LR6, des circuits électroniques, des litres d’eau oxygénée et d’acétone qui ont pu servir à la composition de l’engin explosif. Lors de la perquisition qu’ils ont effectuée au domicile de l’individu, les policiers ont d’ailleurs retrouvé des éléments chimiques entrant dans la composition du TATP.

    Jusque-là inconnu de la police, non fiché S, le suspect, placé en garde à vue avec quatre membres de sa famille, se refusait toujours mardi à donner la moindre explication aux enquêteurs. Cependant, l’interpellation depuis, par la BRI et la SDAT, et le placement en garde à vue d’un « deuxième suspect », lui aussi « de nationalité algérienne », pourrait bien accélérer l’enquête.

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 28 mai 2019

    https://fr.novopress.info/214676/attentat-de-lyon-mohamed-hichem-m-algerien-et-auteur-d-explosions-par-franck-deletraz/

  • L’immigration, une fatalité et une nécessité ? Un énorme mensonge !

    france-immigration-peuplement-588x330.jpg

    Par Julien Dir, contributeur pour Breizh-Info ♦ À longueur du débat sur l’immigration, on entend les partisans d’un laxisme généralisé à nos frontières (qu’elles soient européennes ou françaises) dire qu’il serait impossible de contrôler l’immigration, que « de toute façon, vous ne pourrez jamais empêcher les gens qui veulent venir en Europe d’y accéder, par tous les moyens ».
    Ces phrases sont énoncées comme des prophéties divines presque, auxquelles il serait impossible de répondre. Pourtant, ce sont des mensonges, car ce que ne vous disent pas ces gens qui vous expliquent à longueur de journée que l’immigration serait à la fois un besoin et une fatalité, c’est que des solutions, concrètes, existent, pour stopper totalement l’immigration et dissuader les immigrés du monde entier de venir en France (et même pour inciter ceux qui sont déjà en Europe à repartir).

    Refouler systématiquement les bateaux de migrants

    Les armées européennes alliées à Frontex ont les effectifs (plutôt que de mettre des soldats avec des armes approvisionnées, mais non armées pour faire Vigipirate) pour patrouiller — cela demande une volonté globale en Europe — en Méditerranée notamment, pour éliminer physiquement les passeurs (qui se soucie que l’on élimine des djihadistes au Mali ? Des islamistes en Syrie ? Pourquoi pas des pirates en Méditerranée ?), repousser les bateaux qui approchent de nos côtes, liquider les esclavagistes en Libye. Tout est une question de volonté politique.

    L’Australie a considérablement freiné les tentatives pour accoster son île. La Hongrie y est parvenue — par la terre cette fois-ci, avec des moyens limités. L’Europe en serait incapable ? Ben voyons…

    Faire pression économique sur les pays de départ

    Vous vous rappelez des embargos contre l’Irak, contre l’Iran ? Vous vous rappelez des pays ostracisés dans le monde ? Pourquoi l’Europe, au nom de la protection et de la sécurité de ses frontières et de sa civilisation, ne pourrait pas faire de même ? Réclamer aux États africains qu’ils agissent, à la fois sur la démographie de leurs nations (pour la freiner) et qu’ils prennent les mesures (cela ne nous regarde pas de savoir lesquelles) pour empêcher l’émigration.

    Vous ne faites rien pour empêcher vos ressortissants de partir ? Arrêt de l’aide au développement, ce résidu post-colonialiste consistant à donner de l’argent, notre argent, à toute la planète, sans demander le moindre compte.

    Vous ne faites toujours rien pour empêcher vos ressortissants de partir ? Gel des comptes bancaires que les dirigeants de ces pays possèdent en Europe. Interdiction pour eux de venir se soigner dans nos hôpitaux. Fin des passeports diplomatiques, fermeture des ambassades.

    Cela va bien entendu de pair avec l’interdiction, pour les entreprises européennes, de se lancer à la conquête de marchés dans les pays dont les ressortissants veulent immigrer chez nous, pendant une période définie. Il n’y a aucune raison réciproquement à toutes ces mesures, que les Européens se fassent de l’argent sur le dos des Africains ou des Asiatiques…

    Ne dites pas que c’est impossible, d’autres l’ont fait avant l’Europe, et d’autres le feront encore après. La volonté politique qu’on vous dit !

    Expulser automatiquement les clandestins présents sur le territoire, rompre les traités qui nous empêchent d’agir

    Un traité international, une convention, cela se signe. Cela s’efface également. La volonté politique, encore et toujours. Des avocats et des associations obtiennent que des « mineurs isolés » soient maintenus sur notre territoire ? Y compris quand ils commettent des actes de délinquance ? Fin des traités qui les protègent. Les compagnies aériennes ne veulent pas mettre à disposition leurs avions pour des expulsions massives ? Amendes pour entrave à la justice. Suppression d’appels d’offres. Sanctions économiques.

    Des individus ayant obtenu la nationalité française très récemment commettent des actes répréhensibles par nos lois ? Expulsion immédiate et sans discuter dans le pays d’origine.

    Pas besoin de supprimer l’AME et les aides si plus d’immigration

    La suppression de l’AME, l’Aide médicale d’État, et la suppression des allocations familiales, voici deux arguments bien hypocrites sortis par des responsables politiques qui ont la trouille d’aller plus loin dans leurs déclarations sur l’immigration. Pourtant, supprimer l’AME à l’heure actuelle reviendrait à exposer notre population à des maladies que nous avions chassées de notre continent. Ne pas soigner, y compris s’ils n’ont pas d’argent, les malades sur son territoire, c’est se tirer une balle dans le pied.

    Par contre, s’il n’y a plus d’immigration, et si les immigrés qui sont ici ne peuvent plus automatiquement bénéficier d’aides sociales et n’ont pas le droit de travailler, alors par définition, ils ne viendront plus. Fin du problème.

    L’immigration n’est pas une nécessité

    Notre continent vieillit. C’est cyclique, tout simplement. Là encore, ce n’est pas une fatalité. Et les politiques familiales incitant à faire des enfants si besoin est, cela existe aussi. Salaire parental, ouverture de crèches, d’écoles dans la ruralité. Mise en valeur de la famille (il est vrai que dans une société où le mot famille traditionnelle est en passe de devenir une injure, il y a du boulot), et, éventuellement, investissement dans la robotisation, pour éviter à tout le monde de devoir effectuer des tâches pénibles. La fameuse arnaque de « les immigrés font les travaux dont les Français ne veulent pas » doit être balayée. Les Français ne veulent pas bosser à nettoyer les toilettes de ceux qui s’en mettent plein les poches, pour 1 000 euros par mois. Ils ont raison. Ils exigent de la dignité, y compris salariale. Et si un robot pouvait empêcher, à la fois aux Français comme aux autres d’ailleurs, de faire des tâches ingrates, nos sociétés ne s’en porteraient que mieux.

    On voit encore une fois tout le paradoxe à ce que des gens qui se proclament de gauche, humanistes, et tout le tralala, trouvent fantastique que des immigrés fassent la plonge à mi-temps, nettoient les toilettes des aéroports et des gares, ou emballent du poulet halal n’ayant jamais vu le jour dans une usine tenue par un patron suspect. Le tout pour, cerise sur le gâteau, un salaire de misère permettant de se concentrer avec sa famille dans un logement pourri d’une grande agglomération.

    Le vrai humanisme, c’est de respecter chaque individu, chaque peuple, chaque ethnie, chaque civilisation. De permettre à chacun d’avoir un avenir sur SA terre. Nos pays ne sont pas des hôtels. Nous ne sommes pas interchangeables. Nous ne pouvons pas vouloir sauver la planète du réchauffement climatique, protéger les espèces animales en voie de disparition, et dans le même temps vouloir un grand brassage, un grand mélange de peuples qui par ailleurs, se font la guerre dès qu’on les force à vivre ensemble.

    Pas de dictature, du bon sens, de la volonté politique… et pas d’immigration

    Ce sont des mesures, toutes simples à mettre en place, qui ne chambouleront nullement le quotidien de notre peuple. Qui ne feront pas « basculer dans la dictature » comme hurleront quelques responsables associatifs épaulés médiatiquement à qui la France ou l’Europe peut proposer d’obtenir, moyennant accord avec les pays tiers, la résidence dans un des pays d’origine de ceux qu’ils s’acharnent à défendre au quotidien, bien plus que leur propre population, et parfois que leurs propres enfants.

    L’immigration n’est pas une fatalité. Les Africains et les Asiatiques ne sont pas de grands enfants que nous devrions prendre par la main, mais des peuples qui doivent apprendre à réguler leur démographie, à développer, s’ils le souhaitent, leur économie, et à vivre selon les préceptes de leurs civilisations. Les immigrationnistes se comportent d’ailleurs très souvent comme des néo-colonialistes, mais il est vrai qu’en matière de colonialisme, la gauche a de l’expérience.

    L’immigration, une fatalité et une nécessité ? Non. Nous n’avons pas besoin d’immigrés. Pas de quotas, rien. Et nous pouvons empêcher ceux qui ne sont pas invités à venir chez nous d’y rentrer. Mesures économiques, mesures militaires, mesures sociales.

    Ce n’est pas compliqué, c’est au contraire très simple… basique. Tout est question de volonté et de courage politique !

    Julien Dir 25/05/2019

    Source : Breizh-Info

    https://www.polemia.com/immigration-fatalite-necessite-enorme-mensonge/

  • Quand des élus LR préfèrent voter Front de gauche plutôt que RN

    Quand des élus LR préfèrent voter Front de gauche plutôt que RN

    Et après, ils s’étonnent d’être jugés incohérents et non crédibles par les électeurs. Cela se passe au conseil municipal de Nîmes pour désigner un élu pour siéger à Nîmes Métropole. Les élus LR ont préféré voter pour le Front de gauche pour éviter que ce soit un élu RN :

    Depuis que le LR Anthony Chaze s’est retrouvé dans l’impossibilité de siéger à l’Agglo, du fait de son recrutement dans l’une des communes de Nîmes métropole, l’un des 104 sièges étaient vacants. La Ville a pensé un temps qu’il n’était pas nécessaire de renvoyer quelqu’un, le préfet a finalement donné une autre interprétation.

    Les LR étant déjà au complet à l’Agglo, les conseillers municipaux nîmois ont eu à choisir entre trois candidats. L’UDI Nathalie Bousquet, la FG Janie Arnéguy et le RN Olivier Rolland.

    Alors que le chef du groupe LR Julien Plantier donnait (publiquement) une consigne de vote blanc à son groupe, une grande partie de ses membres faisaient un autre choix, votant pour la FG Janie Arnéguy (17 voix), tandis que Nathalie Bousquet ne récupérait que les voix de son groupe, les centristes (9 voix) de même que le RN (7 voix).

    https://www.lesalonbeige.fr/quand-des-elus-lr-preferent-voter-front-de-gauche-plutot-que-rn/

  • RÉSULTAT DES EUROPÉENNES (JE RÉPONDS À EDOUARD PHILIPPE)

  • VOTEZ CONTRE LE CLIMAT : LE TOTALITARISME QUI VIENT

    Boulevard_Voltaire_22nov2018.jpg

    Franck Buleux Métainfos cliquez ici

    Lors de ces élections européennes, il est de notoriété publique que la surprise est venue des voix écologiques. Le total des voix EELV (Europe-Écologie-Les Verts), Génération écologie (GE), le Parti animaliste et Francis Lalanne, proche de l’Alliance indépendante écologique (AEI) s’élève à 18 %.

    Bien entendu, les médias et l’Éducation nationale ont beaucoup œuvré à ce résultat, intégrant dans l’esprit des plus jeunes électeurs, l’ennemi principal, c’est-à-dire le climat.

    Comme nos ancêtres les Gaulois (réfractaires ?) qui avaient peur que le ciel ne leur tombe sur la tête, les néo-électeurs ont peur du climat.

    Cette orientation de l’opinion permet de conjurer d’autres phénomènes graves : le phénomène migratoire et les orientations de l’Union européenne. D’ailleurs, on en arrive même à dire que les phénomènes migratoires sont liés au climat, cela pour éviter de limiter les migrations aux guerres (ce qui, de facto, permettrait de rejeter la plupart des migrants), voire même de « surfer » sur cette vague dite populiste en affirmant que la limitation des migrants s’opérera quand le Soleil perdra de son rayonnement… En ce sens, le vote vert est démagogique et d’un populisme exacerbé. Il repose sur un préjugé, celui du réchauffement climatique ou plus exactement, du dérèglement climatique. En effet, si le réchauffement n’est pas avéré, il s’agit probablement de dérèglement. Et si vous n’y croyez pas, les ayatollahs verts vont feront la morale. Le danger c’est le climat vous dis-je, le climat ! Les climato-sceptiques n’ont guère droit à la parole, les médias les traitant même de « révisionnistes », renvoyant le traitement de leurs idées au néant intellectuel. Vous n’avez pas la parole car vous contestez le dérèglement climatique.

    Souvenez-vous de la mise à l’écart de l’ancien ministre socialiste de l’Éducation nationale, Claude Allègre, parce qu’il avait osé remettre en cause le dogme, celui du climat déréglé.

    Le vote contre le climat représente le choix électoral le plus mondialiste qui soit. Le thème de l’écologie traditionnelle, dite « de droite » est à redécouvrir avec l’expression du localisme. Mais nous en sommes loin et ce n’est pas le propos de ce billet. Aujourd’hui, les défenseurs auto-proclamés de la planète veulent totalement modifier notre système.

    Les khmers verts sont près du pouvoir, d’ailleurs ils ont déjà participé au gouvernement de la gauche plurielle de Lionel Jospin, entre 1997 et 2002. En effet, ils n’hésiteront pas à servir de roue de secours de La République en marche (LRM), s’il en était besoin. Comme en Allemagne, ou au choix, ils peuvent soutenir les démocrates-chrétiens d’Angela Merkel comme les sociaux-démocrates.

    Le totalitarisme qui vient, ce n’est pas le populisme qui n’a aucune structure idéologique commune si ce n’est la reconstitution des frontières, c’est ce mode de pensée du quotidien, avec des règles alimentaires strictes (les végan), l’énergie du soleil et du vent, la culture sans engrais.

    Le modèle écologique est bien plus qu’un mouvement politique, c’est le mouvement qui définira, si l’on n’en prend pas garde, notre quotidien.

    Nous nous émouvons, parfois et à juste titre, de modes de vie différents de notre culture européenne mais ces modes de vie ne concernent que des minorités. Ici, le danger ne vient pas de l’étranger mais d’une mouvance occidentale qui n’a qu’un seul but : transformer le quotidien de tous et de chacun.

    Bien sûr, cette poussée n’est pas nouvelle, les mouvements écologiques avaient déjà fait l’objet de poussées électorales. En France, la « poussée verte » a fait tomber de nombreuses mairies de droite en 1977. Depuis 1977, les élections européennes ont vu les mouvements verts avec des scores à deux chiffres, d’Antoine Waechter avec 12 % en 1989 jusqu’à Daniel Cohn-Bendit avec 16 % il y a dix ans, mais ce qui est interpelant aujourd’hui, c’est la conjonction entre des institutions, une certaine jeunesse déconnectée des problèmes culturels et sociaux et les urnes.

    Ces mouvements n’ont rien de scientifique, ils sont la réponse de l’irrationnel. Ils ne voient pas, ils estiment. Le climat a été remplacé, selon eux. Ils sont les chantres d’un certain remplacement.

    Le clivage de demain s’inscrit dans les élections d’hier. Les Gilets jaunes sont loin, j’entends déjà parler d’espérance verte. Une couleur dont il faut se méfier.

    2017 12 01 PUB SITE 1.jpg
  • LE DÎNER DU SIÈCLE – Les Reportages de Vincent Lapierre

  • L’échec du macronisme en France

    Paris, le 24 novembre 2018 ©Matis Brasca
    Le 14 mai 2017, Emmanuel Macron prenait ses fonctions de président de la République française. Deux ans plus tard, nous pouvons réaliser que le nom de Macron sera associé à la répression. Sans doute cet homme a-t-il voulu, veut-il encore s’illustrer autrement, par ses valeurs, par ses talents, par son programme dont il est fier. 
    Mais l’histoire est cruelle et, comme le disait Merleau-Ponty : « Le politique n’est jamais aux yeux d’autrui ce qu’il est à ses propres yeux […]. 
    Acceptant, avec un rôle politique, une chance de gloire, il accepte aussi un risque d’infamie, l’une et l’autre imméritées. » 
    Sans nous arrêter à ce sentiment d’injustice, il est temps pour nous d’analyser, au-delà d’une personne, l’échec du macronisme. 
    Par Jean-Marc Ghitti, philosophe, professeur agrégé et docteur, auteur aux éditions de Minuit et aux éditions du Cerf. I
    l a écrit récemment un essai : Gilets jaunes, un signe de notre temps (Améditions, janvier 2019).
    L’élection n’aura pu suffire à garantir la légitimité d’un homme, sorti par traîtrise de son propre camp, et qui ne pouvait se prévaloir ni d’une carrière politique antérieure, ni d’un ancrage dans l’histoire (aucune expérience à mettre en avant et aucun héritage idéologique à prendre en charge). Déclaré vainqueur d’un double vote marqué par le retrait inattendu du président en exercice, par une campagne médiatique contre le candidat favori et par la peur panique de l’extrême droite, il n’a recueilli qu’un nombre de voix limité sur son nom. 
    Il n’en a pas moins bénéficié d’une majorité parlementaire écrasante. 
    Sans tenir compte de ce concours de circonstance, il s’est enivré de la situation. 
    Il n’a pas compris que son pouvoir signifiait, non pas le signe de son destin personnel, mais la pathologie de nos institutions qui appelait une réforme immédiate. 
    La non-représentativité de l’Assemblée nationale, le pouvoir exorbitant concentré à l’Élysée et la toute-puissance de l’exécutif au détriment du législatif ont été les vices institutionnels sur lesquels le macronisme a pu se donner l’illusion de sa propre force.
    En France, les réussites, même hasardeuses, attirent toutes sortes d’opportunistes ! 
    Le jeune président a réuni autour de lui tous ceux qui mettaient leur réussite personnelle au-dessus de leur enracinement politique et étaient prêts à trahir leur appartenance. 
    Le macronisme a pu donner à certains l’illusion d’être un centre politique. 
    Mais, du centrisme, il ne partageait aucune valeur. 
    Il aura été plutôt un conglomérat de carriéristes sans foi ni loi pour qui le ni droite ni gauche n’était pas un désir gaullien de se placer au-dessus des partis, ni même une sagesse inspirée par la modération et la juste mesure, mais bien le désir inquiétant d’en finir avec la politique au nom d’un pragmatisme à courte vue, d’un économisme libéral sans valeur et d’un individualisme de la réussite personnelle. 
    La nouvelle équipe a cru pouvoir réduire la démocratie à quelques consultations électorales espacées le plus possible dans le temps.
    C’est sur cette base que le macronisme a séduit la bourgeoisie branchée des grandes villes, en lui offrant un miroir jeune et dynamique en quoi elle a pu narcissiquement se reconnaître et s’aimer. 
    Les salles de rédaction de la grande presse parisienne, parfaite expression de cette bourgeoisie, ont alors mis les moyens médiatiques au service du gouvernement macronien, et d’autant plus facilement que les propriétaires affairistes de ces organes y trouvaient également leur compte. 
    Sur cette base sociologique ainsi confortée, le macronisme s’est pris pour la France sans douter le moins du monde de sa légitimité.
    Il est alors apparu tout à fait normal au président de prendre la position de chef de l’exécutif, laissant du coup vacante sa fonction la plus noble et la plus délicate : celle de gardien de la cohésion nationale. 
    On l’a vu adopter sans réflexion une conception activiste de la politique en faisant passer à marche forcée tout un train de mesures sans prendre le soin ni les expliquer, ni d’y associer les acteurs politiques du pays, écartant les maires, les syndicats, la deuxième chambre et tous les autres relais. Or, gouverner ne signifie pas appliquer un programme à la lettre, sans tenir compte ni des circonstances, ni des oppositions, ni du débat parlementaire, ni de la capacité des gens concernés à mettre en œuvre des ordres venus d’en haut. 
    En marche a pensé pouvoir conduire, sous la houlette d’un président activiste, une transformation autoritaire du pays par la force de la contrainte juridique.
    L’échec du macronisme en France, c’est que ce dispositif politique, sociologique et juridique a été brusquement arrêté par le réveil de la population au travers du mouvement des gilets jaunes. 
    La France ne s’est pas laissée réduire à cette fausse représentation de soi et ne s’est pas identifiée à cette image par laquelle on a voulu la manipuler.
    L’affaire Benalla, dès la première année du quinquennat, constitue le premier signe de déclin précoce du macronisme. 
    Là où il y a de l’humain, il y a de l’inconscient ! 
    Ce président ivre d’orgueil ne clamait si fort sa légitimité que parce qu’il n’en était pas convaincu lui-même. 
    C’est ce qu’il avouait dans ses maladresses, lapsus et actes manqués, dont le plus significatif aura été, dans l’affaire Benalla, cette fanfaronnade : « Qu’ils viennent me chercher ! » 
    Comment mieux dire qu’inconsciemment il ne se sentait pas à sa place à l’Élysée ? 
    Formule malheureuse, que les forces les plus invisibilisées du pays ont pris à la lettre, en se mettant en marche sur le palais présidentiel et en marchant, semaine après semaine, à seule fin de moduler une unique revendication : Macron dégage !
    Le macronisme aurait peut-être encore pu reconnaître dans le mouvement contestataire le retour de son propre refoulé. 
    Quand la réalité sociale et historique d’un pays est déniée et rendue invisible par l’aveuglement des ambitieux, il est forcé, par une loi nécessaire et sans exception, qu’elle revienne se manifester avec angoisse et violence. 
    Mais la négation et le recouvrement du pays réel est si essentiel au macronisme qu’il n’a pas pu s’en départir. 
    Il a voulu finasser et faire des distinctions qui n’ont pas lieu d’être entre les violents, les manifestants pacifiques mais actifs et les soutiens passifs du mouvement. 
    Le propre d’un mouvement social, c’est que ces trois catégories sont liées et solidaires. 
    Le macronisme a voulu apporter une réponse pénale à un problème politique, ce qui était un déni supplémentaire ne pouvant que renforcer la contestation.
    On a vu alors le macronisme entrer dans un processus de radicalisation dont les différents signes sont devenus repérables au fil des semaines : le recours à la violence, le mensonge et la manipulation, le resserrement de la secte autour de son gourou. 
    Peu à peu tous les masques sont tombés. 
    Le gouvernement de la France, apeuré, aux abois, s’est enfoncé dans une dérive sectaire mettant en scène son chef adulé lors d’une tournée médiatique nommée « Le grand débat. » 
    Les organes de la presse officielle ont montré leur vrai visage : ils se sont livrés à une manipulation de l’information et l’opinion, se comportant en pures et simples relais de la communication gouvernementale, tentant de faire diversion en parlant d’autre chose comme il est de stratégie habituelle en période de troubles, et allant jusqu’à colporter des mensonges d’État. 
    On n’a pas craint de recourir à des manœuvres d’intimidation contre l’opposition politique et contre la presse indépendante : perquisitions, plaintes, disqualification de la parole dissidente. 
    On a fait voter, en urgence, des lois de police et on a instrumentalisé l’institution judiciaire, en lui donnant des consignes de sévérité exceptionnelle, au mépris de la séparation des pouvoirs. 
    Mais surtout, tout au long de ce mouvement de radicalisation, le macronisme s’est historiquement et définitivement associé à la répression politique. 
    Si bien que désormais, quels que soient les soubresauts par lesquels il pourra encore se maintenir au pouvoir, le macronisme porte la marque indélébile d’un recours à la violence qui en signe l’échec.
    source

  • The Guardian titre sur une « montée du racisme » au Royaume-Uni, mettant en cause le Brexit

    brexit-farage

    27/05/2019 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    71% des minorités ethniques auraient eu à faire face à de la discrimination raciale selon le journal anglais The Guardian. Dans l’article en question paru le lundi 20 mai 2019, ces statistiques sont comparées à celles de janvier 2016, et en ressort une hausse de 13%. De même, est reporté dans cet article une multiplication par deux des actes racistes en Angleterre depuis 2013. Fort de ces chiffres, le quotidien en tire une conclusion sans appel, titrant que le racisme était en hausse dans tout le pays depuis le vote du Brexit.

    Si en effet le référendum de départ de l’Union européenne du Royaume-Uni s’est déroulé en juin 2016, donc entre les deux études statistiques, le mettre en cause à partir de cette unique concordance peut sembler hâtif.

    À ce compte de nombreux événements majeurs s’étant déroulés entre ces deux dates de sondages pourraient être dénoncés comme cause de cette montée de la discrimination raciale. L’on pourrait citer la crise migratoire à laquelle l’Europe fait face, mais aussi les scandales de gangs de violeurs de Rotterham, dans lesquels l’origine ethnique des criminels avait engendré l’inaction des autorités.

    https://fr.novopress.info/