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magouille et compagnie - Page 1306

  • Ni mondialisme, ni communisme, ni empire ou dictature européenne, juste une Europe des nations fondée sur ses racines chrétiennes

    Ni mondialisme, ni communisme, ni empire ou dictature européenne, juste une Europe des nations fondée sur ses racines chrétiennes

    Excellent discours de Viktor Orban qui sait de quoi il parle. Extrait :

    Mesdames et messieurs,

    Ceux qui dominent Bruxelles aujourd’hui sont ceux qui en lieu et place de l’alliance des Nations souhaitent un empire européen. Un empire européen dont les dirigeants ne seraient pas choisis par les peuples, mais qui serait dirigé par les bureaucrates bruxellois. Nous en sommes aujourd’hui au point que dans de nombreux pays, les partisans de l’empire européen sont au pouvoir. C’est pourquoi nous savons à quoi ressemblera ce Meilleur des Mondes si cela ne tient qu’à eux. Apparaissent en nombre croissant des hommes en âge de se battre, venus des quatre coins du monde, et qui façonnant à leur image les villes européennes de notre vivant, transformant les Européens autochtones, lentement mais sûrement, en minorité. La terreur devient partie intégrante de la vie des grandes villes. La manipulation politique se basant sur l’État de droit devient quotidienne. La liberté de parole et de presse se limitent à leur opinion.

    Mesdames et messieurs,

    Ceux qui veulent faire de l’Union européenne un empire européen sont tous sans exception partisans de l’immigration. Ils ont fait de l’acceptation de l’immigration l’étalon de l’européanité, et attendent que chaque pays et chaque peuple deviennent sans délai multiculturels. Aujourd’hui nous le voyons, malgré leurs forces policières et militaires considérables, ils n’ont volontairement pas défendu l’Europe des masses migratoires. Si nous en avons été capables, ils auraient pu l’être également. Ce ne sont pas les capacités qui ont manqué, mais la volonté. L’élite bruxelloise et autres dirigeants antinationaux considèrent l’immigration comme une chance et une option, encore aujourd’hui. Une chance pour transformer l’Union européenne des Nations en empire monolithique, multiculturel et aux peuples mélangés. Une Europe sans États-nations, une élite coupée de ses racines nationales, un consortium de multinationales, et une coalition des spéculateurs financiers. Voilà qui serait le paradis de George Soros.

    Mesdames et messieurs,

    Nous sommes en octobre, mais tout le monde en Europe pense à mai prochain. Les élections du Parlement européen au mois de mai décideront du sort de l’Europe. Les peuples européens vont devoir décider de leur avenir. Nous autres Hongrois ne pouvons rester silencieux. Si le message n’est pas clair, il est alors impossible de se rassembler, même derrière la cause la plus importante et la plus juste. Il faut donc nous élancer en premier, et faire appel à ceux qui croient en l’Europe des Nations. Il faut faire voler haut le drapeau de l’Europe libre et forte. Choisissons l’indépendance et la coopération des Nations face au gouvernement mondial et à son contrôle. Rejetons l’idéologie mondialiste et soutenons à sa place la culture du patriotisme. Si l’univers bariolé des différentes nations peuple le monde, celui-ci en sera plus riche, et l’humanité, peut-être meilleure. Nous croyons que chaque nation est particulière, unique à sa façon, et peut illuminer le coin du monde qui lui a été confié. C’est ce en quoi nous croyons, et c’est d’ailleurs pour cela que nous nous sommes révoltés en 1956. Nous adorons notre culture, qui maintient et protège notre liberté. Nous croyons dans les familles fortes, nous considérons comme exceptionnelles nos traditions et notre Histoire, nous célébrons nos héros, et plus que tout, nous aimons notre patrie. Nous ne voulons et nous n’allons pas y renoncer pour faire plaisir à un quelconque empire ou gouvernement mondial. Nous ne voulons pas effacer nos sentiments patriotiques, mais au contraire, les renforcer, et même, les libérer, afin qu’ils permettent aux Hongrois d’exprimer les capacités et les talents qui sont en eux. L’Histoire nous enseigne que dans les pays souverains, la liberté est préservée, la démocratie dure, et la paix règne.

    Mesdames et messieurs,

    Pensons aux combattants de la liberté de 56, remémorons-nous les Gars de Pest, choisissons le futur du patriotisme et de la fierté nationale !

    En avant la Hongrie, en avant les Hongrois !

    https://www.lesalonbeige.fr/ni-mondialisme-ni-communisme-ni-empire-ou-dictature-europeenne-juste-une-europe-des-nations-fondee-sur-ses-racines-chretiennes/

  • Années 30 : chemises brunes ou racailles dans les rues sous Macron ?

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    Les lecteurs de Boulevard Voltaire et d’ailleurs, férus d’Histoire sérieuse et de Grand Guignol, auront tout de suite saisi les limites de la grossière comparaison d’Emmanuel Macron entre l’Europe d’aujourd’hui et celle des années 30. Même le communiste Maurice Ulrich, journaliste à L’Humanité, a dénoncé le clip du gouvernement pour les européennes :

    « C’est indigne d’un gouvernement de la République. Indigne ! C’est un maniement de la peur. C’est de la propagande pure et simple ! Je n’ai aucune indulgence pour Salvini et Orbán, mais enfin, qu’est-ce qu’on fait là ? C’est clair, on les met dans les mêmes attitudes que celles d’Hitler parlant dans ses meetings. C’est ça que veut dire ce clip ! C’est le message subliminal. Eh bien, je dis, c’est indigne. »

    Par ailleurs, arriver la bouche en cœur, le 1er novembre 2018 au petit matin, en agitant la peur des « années 30 » alors que la soirée a été marquée par des violences urbaines de bandes de racailles et la découverte d’un lance-roquettes dans le 93 expose logiquement le Président à de cinglantes remarques, comme ce tweet, simplement juste, d’Alexandre Devecchio, jeudi soir :

    « Pas de chemises brunes marchant sur Rome, mais des hordes sauvages patrouillant à Lyon, Metz, etc. Nous ne sommes pas dans les années 30 et le pouvoir ferait bien de s’occuper des vraies menaces. »

    Face à l’Histoire, Emmanuel Macron devrait être un peu plus prudent, plus mesuré et, pour le présent, plus attentif aux véritables défis de l’heure. Ce genre de parallélisme déplacé, anachronique, où l’on se donne le beau rôle et le privilège de donner le mauvais à qui on veut, peut aussi vous revenir en boomerang. Tôt ou tard.

    Mais, en ce 1er novembre où le Président avait choisi de se reposer à Honfleur – et de le faire savoir -, il n’avait visiblement pas encore pris connaissance des événements de la nuit et des réactions indignées que déclenchait sa comparaison, à gauche comme à droite. « Je ne lâche rien », répétait-il, comme pour se rassurer lui-même. Pour lâcher, il faudrait avoir prise. A-t-il encore prise sur la réalité ? La vraie, celle des rues enflammées, pas celle fantasmée.

    Pascal Célérier

    http://www.bvoltaire.fr/annees-30-chemises-brunes-ou-racailles-dans-les-rues-sous-macron/

  • Pierre Vial soutient le mouvement du 17 novembre

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    Pierre Vial, Président de Terre et peuple

    Le 17 novembre beaucoup de Français vont manifester leur ras le bol contre l’exploitation éhontée qu’ils subissent en tant qu’automobilistes, dont pour beaucoup l’automobile n’est pas un objet de luxe, de loisir mais bel et bien un outil de travail ou un moyen de liaison indispensable dans la vie quotidienne, en particulier dans les zones rurales, pour lesquelles les technocrates parisiens ont un souverain mépris. C’est pourquoi Terre et Peuple appelle ses membres et ses amis à participer activement aux manifestations du 17 novembre. Le peuple doit se faire entendre et respecter. Seule paie la rébellion.

    Le mouvement est aussi soutenu par Carl Lang cliquez là et par la Ligue du Midi cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • #Montpellier

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    « Il n’y a pas un jour sans que l’on ait affaire à des MNA (mineurs non accompagnés, NDLR) impliqués dans des actes de délinquance. Un phénomène très prégnant dans le centre-ville », remarque une source policière. Impliqués dans des vols à l’arraché de bijou, de téléphone portable, parfois avec violence (voire sous la menace d’un couteau) et même dans des cambriolages. Recrutés aussi comme petites mains pour la vente de drogue ou de cigarettes de contrebande.

    Sentiment d’impuissance

    Le phénomène n’est cependant pas quantifié. Les services de police ne cachent plus leur sentiment d’impuissance face à ces mineurs, souvent hébergés en hôtel, interpellés la nuit après des agressions, puis placés en garde à vue mais renvoyés quelques heures plus tard vers les mêmes hébergements sans plus de contraintes. Du fait de leur statut de mineur, soumis à l’ordonnance de 1945.

    Depuis deux ans, les services de police tirent la sonnette d’alarme sur la multiplication des infractions du fait de ces jeunes livrés à eux-mêmes, qui débarquent en continu dans l’Hérault via des réseaux de passeurs. Notamment depuis le Maroc ou l’Albanie.

    Source : midilibre.fr

    https://www.news.suavelos.eu/montpellier-la-police-se-dit-impuissante-face-a-lexplosion-du-nombre-de-mineurs-etrangers-et-de-leur-criminalite/

  • D’anciens hôtels reconvertis en centres d’accueil pour migrants

    Une cinquantaine d’hôtels Formule 1 ont été rachetés et mis à disposition pour accueillir des sans-abris et des migrants. Pour mieux reloger et faire des économies…

    http://www.fdesouche.com/1098983-danciens-hotels-reconvertis-en-centres-daccueil-pour-migrants
  • Retraite par points : la misère en perspective

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    La réforme la plus radicale de Macron

    C’est peut-être la réforme la plus radicale d’Emmanuel Macron : l’institution d’un régime universel de retraites par points. Et, curieusement, dans un pays réputé conservateur et adepte des polémiques, cette réforme semble faire son bonhomme de chemin tranquillement, poussée par le tout aussi bonhomme Jean-Paul Delevoye. L’emballage égalité-universalité-simplicité et le slogan bébête « pour qu’un euro cotisé rapporte la même chose à tous » semblent avoir tué tout esprit critique. Est-ce justement sa radicalité qui lui vaut un attentisme plutôt positif des Français ? Ou le fait qu’ils aient la tête ailleurs, dans le budget carburant par exemple ? Or, cette retraite par points pourrait leur coûter bien plus cher que les pleins de cet hiver et faire de leur retraite un grand soir très froid…

    Heureusement, un économiste vient de tirer la sonnette d’alarme pour arracher les Français à cette indifférence dans laquelle MM. Macron et Philippe aimeraient les maintenir. Car cette réforme sera redoutable pour les futurs retraités en les condamnant à la paupérisation.

    Dans Les Échos, Christian Saint-Étienne, professeur d’économie au CNAM, démasque l’objectif véritable de cette réforme :

    « Le but réel du régime de retraite par points est de baisser les retraites sans le dire et en faisant sauter tous les systèmes de solidarité inclus dans le système actuel. »

    Et il précise le rôle du fameux « point » dans cette stratégie de laminage des retraites :

    « La valeur du point peut baisser aussi bien que monter : compte tenu de l’état de l’économie française, il aura tendance à baisser, y compris une fois que vous êtes déjà parti à la retraite, car il sera calculé chaque année. »

    La réforme sera aussi un moyen de rayer les avantages pour enfants qui, pour les parents de famille nombreuse, constituaient une compensation pour les années d’arrêt et, désormais, pour les années de décote.

    Loin d’ignorer les contraintes financières et de prôner le statu quo, Christian Saint-Etienne propose une certaine convergence des régimes existants en continuant à jouer sur les durées de cotisation et l’âge de départ, tout en maintenant trois systèmes différents : « le premier pour la totalité du secteur privé hors indépendants, le deuxième pour les indépendants et le troisième pour le secteur public ». On ne voit pas pourquoi, en effet, à situations différentes, on ne devrait pas maintenir des systèmes différents, et les arguments qu’il avance sont convaincants.

    Par ailleurs, Christian Saint-Étienne a perçu tout ce que peut avoir d’anxiogène cette incertitude sur l’avenir des retraites et de leur montant :

    « La vérité au sein d’un régime paramétré rénové est infiniment préférable à la variabilité d’un régime à points qui prépare un appauvrissement spectaculaire des classes populaires à terme. »

    Son titre affichait aussi l’enjeu : « La retraite par points : un désastre annoncé. »

    Désormais, la question est de savoir si le désastre annoncé, ce sera pour les Français condamnés à une retraite calculée dans cette nouvelle monnaie de singe que sera le « point » ou pour Emmanuel Macron, le liquidateur historique de leurs retraites. Il paraît que le gouvernement a décidé de repousser la présentation de cette réforme après les élections européennes. Une raison de plus pour voter en mai prochain.

    Frédéric Sirgant

    http://www.bvoltaire.fr/retraite-par-points-la-misere-en-perspective/

  • Marc Rousset : Le tsunami financier sera déclenché par l’envolée des taux d’intérêt

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    Selon Claudio Borio, économiste en chef de la BRI (Banque des règlements internationaux), « il ne reste plus beaucoup de médicaments dans la pharmacie pour soigner le patient ou le soigner en cas de rechute ».

    Les nuages sont nombreux à l’horizon : guerre commerciale sino-américaine, ralentissement économique en Chine, budget italien explosif, négociations sur le Brexit, un prince assassin fragilisé en Arabie saoudite et, surtout, les premiers effets du resserrement monétaire avec des taux d’intérêt en hausse.

    Le projet de budget italien pour 2019 prévoit un déficit augmenté de 22 milliards d’euros, à 2,4 % du PIB, multiplié par 3, très éloigné des 0,8 % promis par le précédent gouvernement de centre gauche. L’ancien Premier ministre Matteo Renzi, qui était dans les bonnes grâces de Bruxelles, avait pu proposer des déficits de 2,9 % pendant trois années d’affilée. C’est la raison pour laquelle Matteo Salvini répète à qui veut l’entendre « Me ne frego » (« Je m’en fous »), le cri de ralliement des chemises noires de Mussolini pendant les années 1930. Juncker, de son côté, estime le budget inacceptable, d’où un dialogue de sourds.

    L’Italie est un véritable volcan financier car les banques italiennes détiennent non seulement 350 milliards de créances pourries (22 % du PIB), mais aussi 387 milliards d’euros de la dette publique dont la valeur s’érode, ce qui entraîne inéluctablement des pertes et la diminution de leurs capitaux propres. Les taux actuels de 3,58 % de la dette publique italienne (131 % du PIB) ont toutes les chances de s’envoler, avec une possible dégradation de la note souveraine fin octobre. L’écart avec le taux allemand à 10 ans de 0,46 % est déjà de 3,12 %. Le calme avant la tempête.

    La dette chinoise totale représente 250 % du PIB, d’où le durcissement des conditions de crédit, la diminution des investissements publics et des projets de « nouvelles routes de la soie », le ralentissement de la croissance autour de 6 %, soit son plus bas niveau depuis neuf ans, et la chute de 20 % de la Bourse de Shanghai.

    Aux États-Unis, la probabilité est grande pour que la Fed continue de resserrer la vis monétaire en vendant 50 milliards de dollars d’obligations par mois, ce qui commence à se ressentir sur les taux obligataires, désormais à 3,23 %, soit le plus haut niveau depuis 2011. La Fed souhaiterait aussi augmenter le taux d’intérêt à court terme de 2,25 % à 2,50 %, le 19 décembre, afin de prévenir l’inflation et de pouvoir baisser les taux si, demain, une récession apparaît. Trump pratique, en fait, une relance budgétaire très dangereuse de « fuite en avant » à contretemps. Les programmes militaires sont en hausse de 6 %, pour atteindre le chiffre ahurissant de 601 milliards de dollars, tandis que les impôts diminuent. Le déficit budgétaire 2019 atteindra 1.000 milliards de dollars ; l’endettement de la consommation atteint les 4.000 milliards de dollars et la dette publique devrait s’élever à 40.000 milliards en 2030, soit le double de la dette actuelle !

    Le grand krach de 1929 a commencé quand les actions s’évaluaient à trente fois leurs gains annuels. Aujourd’hui, elles représentent presque 10 % de plus. Mais il semble aussi que les taux à dix ans des obligations, après avoir chuté régulièrement pendant quarante ans depuis 1980, repartent à la hausse, ne serait-ce que pour éviter le croisement illogique des courbes d’intérêt à court terme et à long terme. Or, de 1940 à 1980, soit pendant le même laps de temps, cela avait été exactement le contraire, avec une hausse continue des taux d’intérêt jusqu’à près de 16 % en 1980. Nous sommes donc à la veille d’un gigantesque krach des actions et des obligations. Les banquiers centraux contrôlent plus difficilement les taux obligataires que les taux à court terme. Pour certains observateurs, le krach obligataire a même déjà commencé en Italie et aux États-Unis.

    Les capitaux propres des banques européennes, dans une union monétaire et bancaire incomplète, sont incapables de faire face à un krach boursier, obligataire et bancaire. Les capitaux propres de la BNP s’élèvent à 107 milliards d’euros, soit 5 % seulement des 1.960 milliards d’euros de son bilan – une taille comparable au PIB de la France. C’est la raison pour laquelle de plus en plus de banques centrales, dans le monde, achètent à nouveau de l’or. Tous nos malheurs ont commencé il y a cinquante ans, lorsque Nixon annonça, le 15 août 1971, la fin de la convertibilité du dollar en or !   

    Économiste

    Ancien haut dirigeant d'entreprise

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Contre la politique de la clique mondialiste, en attendant la grève générale : à partir du 17 novembre la France sera bloquée

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    La colère gronde, les automobilistes appellent à se mobiliser le 17/18/19/20 novembre, contre l'augmentation du prix du gasoil/essence. Des dizaines d'opérations escargots sur les autoroutes de France partout sont prévues. Un seul responsable : le pouvoir mondialiste !

    La Ligue du Midi appelle au blocage :

    Savez-vous que depuis le mois de janvier 2018, à la pompe, le gazole a augmenté de près de 50 centimes, soit une hausse de l’ordre de 50 % en 10 mois ?

    Ça ne peut plus durer… Pour un automobiliste lambda de la France périphérique qui prend son véhicule pour aller travailler chaque jour, la dépense supplémentaire est de 120 euros par mois, soit près de 250 euros pour un couple. Dans ces conditions, nombreux sont ceux qui se demandent si ça vaut « vraiment le coup » d’aller travailler en ville, surtout si l’on rajoute l’usure du véhicule, le parking, les radars, la garde des enfants, la cantine etc…etc.

    Selon un sondage IFOP publié par le JDD, 77 % des Français jugent que leur pouvoir d’achat a diminué depuis l’élection d’Emmanuel Macron. Aussi, le gouvernement qui sent la colère populaire gronder, tente de se défausser en accusant l’augmentation des cours du pétrole, et prétend « Taxer la pollution plutôt que les travailleurs ». Foutaises… En fait, ils ne font rien contre la pollution – exemple du glyphosate ou du nucléaire –, mais ils sont en train de ruiner les travailleurs et plus généralement les couches populaires qui représentent la grande majorité de la population.

    Ce gouvernement est en train de ruiner la FranceLe « système » à la solde de Bruxelles et des multinationales a un besoin impératif de croissance qu’il tente de trouver en finissant de livrer aux marchés les derniers pans du patrimoine commun : services publics, participations publiques, fonctions régaliennes, tout va y passer… MACRON n’est là que pour finaliser la « grande braderie », car les marchés n’ont pas besoin de travailleurs mais de consommateurs même insolvables. Leur consommation sera financée par la suppression de notre protection sociale et par la dette qui sera ponctionnée sur le patrimoine financier et foncier de la classe moyenne de souche. Un immense transfert social est en train de se produire, les classes populaires doivent être ruinées pour que les nouveaux venus puissent consommer et produire de la croissance.

    Les automobilistes et motards sont d’autant plus en colère que l’État tente de les culpabiliser afin de les tondre un peu plus chaque jour : de nouveaux radars haute performance, capables de flasher 32 véhicules à la fois, des retraits de points en folie, des contrôles techniques angoissants…

    Face à un État centralisateur aux mains des mondialistes qui stérilise tout contrepouvoir et digère toutes les oppositions conventionnelles au parlement, seule la mobilisation de terrain peut être efficace. Rares sont les hommes politiques venus au renfort des aspirations du peuple. Le vide s’est fait entre le pouvoir et le peuple. Les partis électoralistes conventionnels sont aux abonnés absents. Des opportunités historiques vont se faire jour, il n’y a plus rien entre le peuple et ce pouvoir en phase de décomposition finale.

    Car ce pouvoir malgré son arrogance est extrêmement fragile, son socle de légitimité est trop faible pour qu’il puisse contenir la poussée qui monte inexorablement… Qui dans l’administration ou dans la société civile le protégera contre un mouvement populaire de vaste ampleur ?

    Souvenons-nous de la « révolution de jasmin » en Tunisie et le départ de BENALI, parce qu’un marchand à la sauvette s’était fait brutaliser par un policier à Sidi Bouzid. Des conditions analogues se présentent à nous. Un premier ballon d’essai nous est proposé : celui des actions à travers tout le territoire le 17 novembre qui pourraient tout emporter.

    Qui peut savoir qui ou quel évènement fera reculer ce régime ? Quelle sera la goutte qui fera déborder la coupe « trop pleine » ? Cette goutte sera peut-être celle du prix du gazole et des carburants qui prend à la gorge les familles d’ouvriers, de cadres, d’artisans, d’entrepreneurs…

    Les identitaires et patriotes doivent venir en soutien et contribuer à la réussite de la mobilisation du 17 novembre. Nous devons tout faire pour développer ce mouvement et pour le faire déboucher sur ces questions vitales pour notre peuple qui sont celles du déclassement et de la paupérisation.

    Richard Roudier

    Consignes

    La 17 novembre : ne faire « aucun achat », n’aller dans « aucune banque », ne « pas se servir aux pompes » à essence, « aucun cinéma », « aucune dépense » de quelque sorte, pas « un seul centime », « aucune caisse en marche dans tout le pays », « ne pas prendre de transports en commun », pas de péages, parkings, autoroutes, là oui on bloque ce qui emmerde le plus le gouvernement c’est à dire « LE FRIC »

    En voiture, moto, scooter… amenez vos gilets jaunes !!!

    * comme partout en France

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/01/contre-la-politique-de-la-clique-mondialiste-en-attendant-la-6101707.html

  • Pierre Vial, Président de Terre et Peuple, apporte son soutien à la marche de la Reconquête du samedi 10 novembre prochain

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    Pierre Vial, Président de Terre et peuple, invite les adhérents et sympathisants du mouvement à participer, dans un souci unitaire et avec les drapeaux tricolores frappés de l'Edelweiss, à la marche de la Reconquête du samedi 10 novembre organisée par le Dissidence française de Vincent Vauclin.

    Le communiqué de la Dissidence française :

    Le samedi 10 novembre à 15h s'élancera la Marche de la Reconquête, contre l'immigration massive et pour l'instauration immédiate de la préférence nationale !

    MOBILISATION GÉNÉRALE !

    Nous lançons aujourd'hui un appel à tous les nationalistes et patriotes français : soyons nombreux à répondre présents à cet évènement, pour enfin faire entendre notre voix et ne plus laisser la rue aux ennemis de notre pays !

    Cette manifestation a été déclarée en préfecture et son parcours approuvé par les pouvoirs publics. Plusieurs organisations patriotes seront représentées lors de cette grande manifestation unitaire.

    Invitez vos amis et partagez massivement cet évènement, nous comptons sur vous !

    RDV LE SAMEDI 10 NOVEMBRE 2018 À 15H
    PLACE DE LA BOURSE, PARIS (2ème ARR.)

    L'appel de Vincent Vauclin :