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magouille et compagnie - Page 1357

  • Gilets jaunes: Marion Maréchal apporte “un soutien ardent” au mouvement

    Parmi les soutiens aux gilets jaunes se trouve Marion Maréchal. Elle était présente samedi dernier sur les Champs-Élysées, une présence qui avait été remarquée. Elle explique son soutien aux gilets jaunes.

  • La fracture sociale entre les nantis de Macron et les gilets jaunes

    Reçus sur le plateau de l’émission “La Grande Explication”, une émission de débat sur LCI, quelques Gilets Jaunes ont été confrontés à des membres du gouvernement et de la majorité, des personnalités et des intellectuels.

    Une émission qui a montré la véritable fracture sociale existant entre les nantis de Macron et les petits ou Français moyens.

    Notamment l’ancien militant trotskiste et figure de Mai-68, le cinéaste Romain Goupil,qui avait appelé à voter Emmanuel Macron à la présidentielle , et a oublié ses anciens amours politiques d’antan, s’est fait le défenseur virulent et violent de l’actuel président de la République.

    Présente à l’émission, la secrétaire d’État à la transition écologie Emmanuelle Wargon a bafouillé lorsqu’il lui a été demandé de révéler le montant de son salaire.

    La déconnexion du pays légal face à la réalité économique actuelle du pays réel était patente. La fracture sociale n’est pas prête de se résorber avec un establishment politique et intellectuel aussi méprisant pour le petit peuple des Français.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/la-fracture-sociale-entre-les-nantis-de-macron-et-les-gilets-jaunes/101704/

  • Les gilets jaunes : changement de cap ? – Journal du jeudi 29 novembre 2018

    Social / Les gilets jaunes : changement de cap ?

    Tentative de récupération par la gauche, courtiser par les vedettes du show-biz, à quelques heures de la manifestation de samedi les gilets jaunes pourraient bien changer de couleur.

    Immigration / Le pacte sur les migrations divise L’Europe

    Approuvé en juillet par l’ensemble des pays de l’ONU à l’exception des Etats-Unis, le pacte mondial sur les migrations est de plus en plus contesté. Alors que les refus se multiplient, une ombre plane autour de son approbation le 10 décembre prochain.

    Politique / LFI : les gauchistes mènent la danse

    Djordje Kusmanovic, le conseiller pour l’international de Jean-Luc Mélenchon claque la porte de la France Insoumise. Il livre un constat implacable d’un mouvement gouverné par un groupe sectaire et anti démocratique, obsédé par les vieilles lunes d’extrême-gauche.

    Ecologie / Menace sur le cèdre du Liban

    https://www.tvlibertes.com/les-gilets-jaunes-changement-de-cap-journal-du-jeudi-29-novembre-2018

  • Ludovine de La Rochère : « Les gilets jaunes ne doivent pas se laisser berner par des débats en région ! »

    La présidente de la Manif pour tous rappelle que la grande consultation nationale organisée sur la PMA a révélé une très forte opposition mais que le gouvernement n’en a pas tenu compte.

    « J’ai parlé avec un représentant des gilets jaunes qui insiste sur la perte de sens et la déshumanisation. À cet égard, nos préoccupations se rejoignent… »

    La Manif pour tous a laissé un petit conseil aux gilets jaunes : ne pas écouter le gouvernement lorsqu’il parle de consultation nationale. Pourquoi cet avertissement ?

    Le gouvernement, avec Emmanuel Macron, a récemment proposé aux Français de participer à une consultation officielle, légale, publique et très importante. Ce fut les États généraux de la bioéthique.
    Cette consultation a connu une participation massive. Elle a été d’une ampleur inédite et on peut s’en réjouir. Sauf que les résultats ne conviennent pas au gouvernement. L’opposition massive a été exprimée à plus de 80 % à la PMA sans père.
    Alors, que se passe-t-il ? On voit les écarts successifs de tel ou tel membre du gouvernement qui piétine et omet complètement les résultats des États généraux de la bioéthique, en tout cas pour le moment, et continue à annoncer une volonté de légalisation de la PMA sans père.

    Certains membres du gouvernement se sont engagés sur une légalisation de la PMA sans père avant la fin 2019. Par ailleurs, la cause LGBT a été déclarée grande cause nationale par Marlène Schiappa. On a l’impression que le gouvernement avance de son côté sur ce sujet-là…

    En réalité, ces déclarations d’intention sont le résultat de la pression que certains membres du gouvernement veulent absolument mettre. Marlène Schiappa avait dit, en septembre 2017, que la PMA sans père serait légalisée avant fin 2018. En réalité, elle exprimait ainsi ce qu’elle souhaitait. Mais elle n’est ni Édouard Philippe ni Emmanuel Macron. Elle s’était fait remettre à sa place.
    Pour autant, on voit bien, malgré tout, qu’ils sont plusieurs, aux places les plus éminentes en termes de pouvoir politique, à vouloir la même chose. La menace, le danger sont donc bien réels. Pour autant, le calendrier et les modalités ne sont pas encore connus.
    Nous devons absolument nous faire entendre comme citoyens français sur un sujet aussi fondamental que le respect des besoins et des droits de l’enfant, le respect de la filiation et de la médecine.
    De leur côté, les gilets jaunes sont dans la même situation et ne doivent pas se laisser berner par des propositions de « débats en région », comme ils disent, dont on sait ce qu’ils donnent, et qui obligent de toute façon, ensuite, à continuer à se battre pour se faire entendre. C’est pourquoi nous alertons les gilets jaunes sur ce sujet-là.

    Peut-on imaginer une convergence des luttes entre les gilets jaunes et la Manif pour tous ?

    J’ai parlé, il y a quelques jours, avec un des huit représentants des gilets jaunes. J’ai été très frappée de son propos. Il disait qu’ils étaient confrontés à une question d’humanité. Il voulait dire qu’il y avait une perte de sens dans nos vies contemporaines qui ont un côté très déshumanisant.
    Cette analyse rejoint absolument les questions de la PMA sans père, de la gestation pour autrui et toutes ces pratiques déshumanisantes qui déconnecteraient complètement la filiation de la réalité de nos humanités. À certains égards, nous nous rejoignons.
    Il y a, ensuite, la question des taxes, des impôts. Bien sûr, c’est très grave pour les Français, qui sont en peine et en grande difficulté pour continuer à vivre. Ils sont ponctionnés de tous les côtés et leur vie quotidienne devient presque impossible.
    Je crois, néanmoins, que l’enfant, la famille, la filiation et l’humain sont encore davantage et complètement au cœur des sujets de société dont je parle. Et malgré tout, on ne peut pas mettre sur le même plan l’accroissement des taxes et la question de la conception de l’enfant et de sa filiation.

    http://www.bvoltaire.fr/ludovine-de-la-rochere-les-gilets-jaunes-ne-doivent-pas-se-laisser-berner-par-des-debats-en-region/

  • 600 radars hors service

    600 radars hors service

    Lu ici :

    Bâchés, repeints, habillés d’un gilet jaune, on estime qu’au moins 600 radars automatiques sont actuellement hors service en FranceParmi eux, plus de 130 ont été totalement détruits depuis le 17 novembre.

    Depuis le début du mouvement des gilets jaunes, nous avons recensé sur les réseaux sociaux et dans la presse locale tous les radars qui ont été détruits, vous en trouverez la liste détaillée et vérifiée à la fin de l’article. A ce jour, notre décompte fait état de 133 radars détruits entre le 16 et le 26 novembre mais certains ont dû échapper à notre recensement.

    Le phénomène s’étend à toute la France, même si certains départements sont plus touchés que d’autres. On peut citer par exemple le Doubs, où 5 radars fixes ont été incendiés la même nuit dont un qui avait été installé le jour même! Ou encore ceux du Gard et de la Haute-Loire, qui avec 7 radars détruits, sont les plus touchés juste devant la Vienne ou le Morbihan où 5 radars ont été incendiés.

    Cette vague de dégradations ressemble à celle des Bonnets rouges fin 2013 lors de laquelle, un grand nombre de radars avaient également été détruits mais dans un ensemble plus limité de départements.

    La plupart des radars ont été incendiés et on ne trouve plus que leur carcasse calcinée au bord de la route parfois avec des rubans “Gendarmerie Nationale” ou cellophané au plastique noir avec un ruban mentionnant une “maintenance technique”. Que ce soit des radars fixes, des radars discriminants ou des radars autonomes, le mode opératoire est souvent le même, c’est à dire la mise à feu des appareils grâce à des pneus dont on distingue souvent les restes au pied des cabines.

    Si certaines cabines n’ont pas totalement été détruites grâce à l’intervention rapide des pompiers, elles sont tout de même hors-service car les composants interne du radar ont été soumis à une forte chaleur. […]

     

    À tous les lecteurs du Salon Beige en France, j’irai droit au but : pour poursuivre son travail le Salon Beige a besoin de vos dons. Le combat culturel que nous menons est violent et nos opposants disposent de moyens infiniment plus importants que les nôtres. Nous sommes en permanence ciblés par des personnes et des groupes qui savent utiliser l’argent, les médias et … la justice pour nous combattre et nous détruire.

    Oui, notre existence dépend de vos dons. Nos besoins ne sont pourtant pas immenses, loin de là !
    Il suffirait que chaque année 3 000 personnes fassent un don ponctuel de 50 € ou bien que 1 250 fassent chaque mois un don de 10 € pour que l’existence du Salon Beige soit assuré !

    Vous savez le rôle que le Salon Beige joue chaque jour dans la lutte contre la culture de mort et pour la dignité de l’homme; vous connaissez notre pugnacité à combattre chaque jour contre l’avortement, l’euthanasie, le mariage pour tous, la PMA, la GPA et toutes les dérives libertaires.

    Le Salon Beige ne remplace pas votre rôle dans ces combats, il les facilite, les accompagne et les stimule.
    S'il vous plait, faites un don aujourd'hui. Merci

    On ne lâche rien, jamais !

    Guillaume de Thieulloy
    Directeur du Salon Beige

    https://www.lesalonbeige.fr/600-radars-hors-service/

  • Gilets Jaunes – Blocage des grands pôles logistiques pour faire pression sur l’économie

    La mobilisation des Gilets Jaunes se maintient. Des blocages des grands pôles logistiques sont organisés pour avoir un impact sur l’économie et mettre Emmanuel Macron sous pression.

  • Le coût des ex-présidents et des ex-premiers ministres révélé

    Le coût des ex-présidents et des ex-premiers ministres révélé

    LE SCAN POLITIQUE - L'État prend encore en charge le carburant de Valéry Giscard d'Estaing et a récemment remplacé les berlines de trois anciens premiers ministres.

    On savait que les anciens membres de l'exécutif profitaient de certains avantages après leur départ de l'Élysée ou de Matignon. Mais le détail des dépenses engagées par l'État n'était pas connu. Mardi, Mediapart le révèle. Valéry Giscard d'Estaing est l'ancien chef de l'État qui coûte le plus cher aux Français (environ 2,5 millions d'euros par an), devant Nicolas Sarkozy (2,2 millions) et Jacques Chirac (1,5 million).

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  • Les radars brûlent par dizaines mais Édouard Philippe n’a toujours pas compris

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    Le 20 août dernier, alors que l’on parlait canicule, que le prix du gazole n’en était qu’au début de sa grimpette et que les gilets jaunes étaient sagement pliés dans tous les vide-poches, je signalais ici la révolte sourde de la France périphérique contre le matraquage fiscal du gouvernement d’Édouard Philippe ciblant systématiquement les automobilistes. Cette pré-révolte, comme un prologue du mouvement des gilets jaunes, s’attaquait aux radars, que l’État multipliait et qui, avec le passage autoritaire et généralisé aux 80 km/h, devenaient le symbole d’un État préleveur et culpabilisateur et des cibles privilégiées pour l’exaspération populaire.

    Vandalisme par destruction ou coups de peinture, c’étaient des dizaines de radars dans certains départements, des centaines en France, qui étaient concernés. Dès ce moment-là, le pouvoir aurait dû comprendre qu’une révolte couvait chez ces Français contraints de prendre leur voiture pour travailler et faire vivre leurs familles. Édouard Philippe resta sourd.

    Ce qui est sûr, c’est que les Français concernés avaient vu juste : le passage aux 80 km/h a dopé l’activité des radars, prenant au piège de plus en plus d’automobilistes. Dans certains départements et sur certaines périodes, les radars ont flashé deux ou trois fois plus qu’avant et, ainsi, multiplié les gains pour l’État, aux dépens du Français qui roule et qui bosse. Rappelons, pour les bonnes âmes, que 95 % de ces infractions concernent des dépassements de moins de 20 km/h et une grande majorité de moins de 10 km/h.

    Trois mois après, en plein mouvement des gilets jaunes, la révolte contre les radars repart de plus belle. Depuis dix jours, plus de 130 radars ont été détruits. Au total, ce sont plus de 600 radars qui sont hors service. Comme cet été, certains départements sont davantage touchés : dans le Doubs, cinq radars fixes ont été incendiés au cours de la même nuit et l’un d’eux avait été installé le jour même, comme l’indique le site radars-auto.com. Dans l’Aisne, neuf radars en une semaine. Les départements du Gard et de la Haute-Loire sont aussi bien placés dans la contestation.

    Mais aux espiègles coups de peinture de cet été a succédé la destruction par le feu. Ces dégradations se chiffrent à environ trois millions d’euros de dégâts pour l’État, sans compter le manque à gagner des infractions non enregistrées.

    Avec ces 80 km/h et la multiplication des radars, le gouvernement comptait pulvériser le milliard d’euros de gains. Or, malgré l’augmentation totale des flashs, les recettes sont en diminution… grâce à (ou à cause de ; chacun son point de vue) l’action de ces révoltés des radars. Selon RTL, les recettes seraient en baisse de 15 %. C’est une nouvelle démonstration du principe que trop d’impôts non consentis par le peuple se soldent par moins de rentrées pour l’État. Surtout quand ces prélèvements ciblent toujours les mêmes catégories socio-géographiques et qu’elles sont imposées systématiquement avec le même discours culpabilisateur très contestable sur la préservation des vies.

    En août, nous écrivions qu’une révolte commençait parfois par un coup de peinture sur un radar. En novembre, les radars brûlent et les gilets jaunes sont partout, déterminés, certains érigeant même des sapins sur leurs ronds-points.

    Mais ce mercredi matin, Édouard Philippe a redit qu’il ne reviendrait pas sur cette politique. À ce stade d’aveuglement, je ne me risque plus à prédire la suite.

    Dominique Monthus

    http://www.bvoltaire.fr/les-radars-brulent-par-dizaines-mais-edouard-philippe-na-toujours-pas-compris/

  • La mobilisation des Gilets jaunes révèle un état pré-insurrectionnel de la France périphérique

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Depuis une dizaine de jours, près de 300.000 Français ont revêtu leur gilet jaune pour descendre dans la rue et organiser 2.000 barrages partout dans le pays. Demandons-nous ce matin qui sont ces Gilets Jaunes autant conspués par le système qu’ils sont massivement soutenus par les Français.

    Il s’agit de ce que le géographe Christophe Guilluy a nommé « la France périphérique ».

    A bien regarder les rassemblements de Gilets Jaunes, on observe une population massivement blanche et provinciale. Ces Français chassés dans les périphéries des villes par la hausse du coût de la vie dans les centres villes et par l’immigration des banlieues.

    Les Gilets Jaunes sont les Français délaissés par les institutions. La nouvelle taxe sur le carburant a cristallisé le ras-le-bol fiscal. Cette politique fiscale dont les Gilets Jaunes voient le bénéfice leur échapper pour le profit des banlieues de l’immigration.

    On constate une structure déconcertante, puisque ce mouvement spontané ne met pas en avant de représentant officiel.

    Cette configuration affole l’autorité publique qui n’a pas d’interlocuteur classique. C’est une force car le pouvoir ne peut pas intimider de groupe clairement identifié ou soudoyer des syndicats pour saper le mouvement. Les Gilets Jaunes possèdent aussi une capacité de mobilisation très forte et sans avoir de consigne à respecter.

    Cependant, ce défaut de représentation ne permet pas de porter des revendications claires. Le mouvement risque de s’essouffler si les manifestants ne sont pas capables de se structurer, à l’image du parti italien « 5 étoiles », créé à la suite d’une journée de colère.

    De leur côté, les autorités publiques laissent transparaître leur affolement par un recours à la désinformation, au mensonge et à la menace.

    Une enquête de Valeurs Actuelles révèle que Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur, était informé par les forces de l’ordre, sur le terrain, que les casseurs, sur les Champs-Élysées, étaient des bandes d’extrême-gauche, toujours plus violentes et impunies. Mais le ministre a préféré désigner ce qu’il appelle « l’ultra-droite » et son préfet de police a agité le spectre d’une dissolution !

    https://fr.novopress.info/

  • Un nouveau danger : le Pacte mondial sur l’immigration.