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magouille et compagnie - Page 1401

  • I-Média n°211 – Affaire Benalla : Scandale d’Etat ou hystérie médiatique ?

    Une émission présentée par Hervé Grandchamp et Michel Geoffroy (absence de Jean-Yves Le Gallou)

    Affaire Benalla : Scandale d’Etat ou hystérie médiatique ?

    Affaire Benalla, Une semaine de rebondissement médiatique. Un scandale d’Etat sur fond de crise politique.

    Le Zapping d’I-Média

    Retour de la grossophobie dans les médias, en application du principe de Lagardère de Renaud Camus « si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère viendra à toi ». Le principe de grossophobie qui permet de culpabiliser les personnes non grosses, plutôt que d’incriminer la malbouffe.

    Faut-il sauver les casques blancs ?

    Les casques blancs évacués de la Syrie. Une organisation soutenue par les occidentaux et présentée par les médias comme « humanitaire », bien qu’elle comporte de nombreuses zones d’ombres.

    Les tweets d’I-Média

    Omar Sy pourrait jouer Arsène Lupin dans une prochaine série Netflix. Après le docteur Knock, l’acteur à succès pourrait interpréter le gentleman cambrioleur de Maurice Leblanc. Une certaine réécriture de l’histoire pour faire correspondre le cinéma à une vision du monde « métissé »

    Charline Vanhoenacker, l’humour au service du militantisme

    Portrait piquant de Charline Vanhoenacker, la journaliste belge qui se prend pour une humoriste.

    Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste après)

    Lien Rutube :
     
  • Romain Espino : « Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, la pression sur Génération identitaire est bien plus forte »

    Conséquence de l’opération de Génération identitaire au col de l’Échelle, en avril dernier, pour empêcher des illégaux d’entrer sur le territoire national, son porte-parole, Romain Espino, n’a plus d’emploi aujourd’hui, notamment suite à la pression exercée par des militants d’extrême gauche. Il réagit au micro de Boulevard Voltaire.

    http://www.bvoltaire.fr/romain-espino-depuis-lelection-demmanuel-macron-la-pression-sur-generation-identitaire-est-bien-plus-forte/

  • Nos ONG sont-elles (entre autres) la composante navale de DA’ECH ? [2]

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    Aquarius ou Cheval de Troie ? Deux thèses, désormais, s’affrontent quant à la nature de cet essaim1 de navires qu’entretiennent (comment, à quelles fins & avec quel argent ? Autant de questions sans réponse à ce jour) des ONG plus douteuses les unes que les autres. Las, Rome – Di Maio & Salvini regnante – a décidé de siffler la fin de cette récréation où s’engraissaient, passeursvice-passeurs corsaires (sic) de ISIS/DA’ECH, dans un indécent ballet rappelant ce que que furent la traite & la piraterie barbaresque qui, alors, ravageaient notre versant de la Méditerranée. Autre rappel historique qu’il nous semble opportun de faire : en ces temps de troubles & de fureur, c’est à côté du Turc que se tint la France lors de la Bataille de Lépante. Épisode 2.

    « Malte ne reçoit personne, la France refoule les gens à la frontière, l’Espagne défend ses frontières avec des armes. A partir d’aujourd’hui, l’Italie commencera aussi à dire non à la traite des êtres humains, non à l’immigration clandestine ».
    Matteo Salvini (2), vice-président du Conseil & ministre italien de l’Intérieur, sur Facebook.

    | Q. Vu le battage médiatique orchestré autour de l’Aquarius, doit-on s’attendre à une marche arrière de la part de Rome sur le sujet des migrants et de leurs proxies ?

    Jacques Borde. Je ne le crois pas. En tout cas nous n’en prenons pas le chemin, dans la mesure où le vice-président du Conseil & ministre italien de l’Intérieur, Matteo Salvini, a réitéré ses prises de position extrêmement ferme en la matière.

    Affirmant notamment « Que le navire s’appelle Aquarius ou See-Watch (3) ne change pas grand chose, nous voulons mettre fin à ce trafic d’êtres humains et s’il y a d’autres navires, d’autres ONG battant pavillon étranger, nous tiendrons le même raisonnement. Que ces messieurs sachent que l’Italie ne veut plus être complice du business de l’immigration clandestine, et il devront donc chercher d’autres ports (non italiens) vers lesquels se diriger. En ministre et en père, je le fais pour le bien de tous (…). Alors que le navire Aquarius navigue vers l’Espagne, deux autres navires d’ONG battant pavillon des Pays-Bas (Lifeline et Seefuchs) sont arrivés au large des côtes libyennes, en attente de leur cargaison d’être humains abandonnés par les passeurs ».

    Autrement dit, Roma non molla (Rome ne faiblit pas).

    | Q. Et une cassure entre 5 Stelle et la Lega sur cette même question migratoire ?

    Jacques Borde. (Sourire) C’est le dernier fantasme qui parcourt le Boboland. Je crains fort que cet onanisme poisseux ne résiste guère aux faits.

    Ou plutôt aux propos extrêmement clairs des deux figures de proue de l’administration romaine. Notamment leurs commentaires sur les accusations du procureur Carmelo Zuccaro, le plus haut magistrat de Catane soit dit en passant, s’interrogeant sur la « concentration anormale de navires » en Méditerranée et, du coup, soupçonnant certaines ONG de nouer des contacts avec des « trafiquants d’êtres humains ».

    Primo, Luigi Di Maio, lorsqu’il relève que « Les ONG sont accusées d’un fait très grave. À ceux qui disent que ce n’est pas le moment de les attaquer, je réponds qu’ils font partie de cette bande d’hypocrites qui ont toujours fait semblant de ne pas voir le business de l’immigration ».

    Secundo, Matteo Salvini qui note que « Nous sommes face à une invasion organisée, financée et planifiée, et j’espère que le procureur de Catane pourra aller au fond des choses ».

    | Q. Des soupçons, disiez-vous. De quelle nature ?

    Jacques Borde. Zuccaro dit détenir des preuves et évoque, entre autres, « des appels téléphoniques depuis la Libye à certaines ONG, des lampes qui éclairent la route des bateaux de ces organisations, des bateaux qui coupent soudainement leurs transpondeurs [les appareils qui permettent de les localiser] » (3). En février dernier, Carmelo Zuccaro a donc ouvert une enquête sur les activités des ONG en mer pour comprendre comment elles se financent et dans quel but.

    Il était temps…

    | Q. Un peu court, non ? Quoi d’autre ?

    Jacques Borde. Pour étayer ses dires, le procureur Zuccaro s’appuie aussi sur un rapport de Frontex (4). Publié en décembre dernier, le document de l’agence européenne de contrôle aux frontières s’inquiète d’une « possible collusion entre les réseaux de trafiquants de migrants et les navires des ONG qui les récupèrent en mer comme des taxis ».

    Nous verrons bien ce que donnera l’enquête du procureur Zuccaro.

    Mais ça commence à faire du monde pour accuser ces ONG de toujours la même chose : se mêler de ce qui ressemble comme deux gouttes d’eau à une traite négrière.2.

    | Q. Qui de l’isolement de Rome sur ces questions migratoires ?

    Jacques Borde. (Éclat de rire) C’est l’autre tarte-à-la-crème du cloaca mediatica maxima et de l’intelligentsia gauchiste qui lui fournit les gros bataillons de ses plumes.

    Appelons-ça, par commodité, du révisionnisme médiatique. En fait, c’est le contraire qui se passe.

    Comme l’a reconnu, la mort dans l’âme le titre phare de cette presse hors-sol, le science-fictif Libération, « … un peu partout en Europe, populations et gouvernements tendent à adopter des positions de plus en plus dures face aux arrivées massives de migrants » (5).

    Pire (ou mieux, selon le point de vue), un sondage OpinionWay pour Public Sénat, Les Échos et Radio Classique, indique que 56% des Français estiment que la France « a fait le bon choix » en n’accueillant pas l’Aquarius, contre 42% à penser le contraire (2% ne se sont pas prononcés).

    Outre-Rhin, un sondage montre, lui, que près de 90% de la population allemande « veut plus d’expulsions de clandestins », et, rappelle Libé, « plusieurs pays ont porté à leur tête des dirigeants aux positions fermes contre l’immigration ».

    Vous avez dit isolé !!!!

    | Q. Sinon, qui sont ces migrants que nous débarquent les idiots utiles style SOS Méditerranée ? En a-t-on la moindre idée ?

    Jacques Borde. Plus ou moins.

    Si l’on en croit l’ex-directeur de l‘Office français de l’immigration et de l’intégration(OFII), et président du Conseil de direction de l’Institut européen en sciences des religions (IESR) (6), Didier Leschi, qui a quelques notions sur le sujet :

    1- en majorité des migrants économiques. À noter, au passage, une augmentation (+68%) de migrants venant de Côte d’Ivoire, pays qui connaît une croissance économique exceptionnelle.
    2 – des hommes jeunes, peu instruits, en majorité musulmans. Et là relisez ce que je vous dis depuis des mois sur les soldats du califat projetés en Europe par Al-Dawla al-Islāmiyya fi al-Irāq wa al-Chām (ISIS/DA’ECH) (7).

    | Q. Sinon, à quoi joue l’Espagne selon vous ? Une approche humanitaire de sa part ?

    Jacques Borde. Vous plaisantez, j’espère ! Le choix qu’a fait la nouvelle administration Sanchez n’a rien d’humanitaire, ou encore moins d’humaniste. C’est, allons droit au but, celui de l‘économie latifundiaire gourmande en main d’œuvre bon marché, donc immigrée.

    C’est aussi simple que ça ! Car, oui, comme tous les ans, il y a du travail dans les orangeraies, oliveraies, etc., payé une misère sans le droit du sol, le regroupement familial, les allocations, etc. ! La liste est trop longue.

    Ce qui veut dire que passé la saison des récoltes, dans quelques mois, ces ex-travailleurs précaires si chers (sic) à la gauche libérale se chercheront un nouveau havre pour accueillir leur misère organisée en amont par ce crime organisé immigrationniste qui gangrène l’Europe.

    | Q. Un havre, où donc ?

    Jacques Borde. En France, notamment.

    L’Aquarius, n’en doutez pas, c’est la nouvelle vague pour combler les vides de cette traite humaine qui alimente des entreprises peu scrupuleuses. En fait, nous ne sommes pas si loin que ça de la traite négrière mise en place pour (notamment) l’industrie cotonnière étasunienne jusqu’à la Civil War (1861-1865).

    Où voyez-vous une onde d’humanité là-dedans ?

    [à suivre]

    Notes

    1 Au sens militaire du terme, bien évidemment.
    2 Par ailleurs, vice-président du groupe Europe des nations & des libertés.
    3 La Stampa (23 avril 2018).
    4 Pour Agence européenne pour la gestion de la coopération opérationnelle aux frontières extérieures des États membres de l’Union européenne. Frontex étant la forme abrégée de Frontières extérieures. A existé entre 2004 et 2016, date à laquelle elle a été remplacée par l’Agence européenne de garde-frontières & de garde-côtes. En anglais, European Border & Coast Guard (EBCG).
    5 Libération.
    6 Crée en 2002, fait partie l’École pratique des hautes études (ÉPHÉ).
    7 Ou ÉIIL pour Émirat islamique en Irak & au Levant.

    https://voxnr.com/49525/nos-ong-sont-elles-entre-autres-la-composante-navale-de-daech-2

  • Nos ONG sont-elles (entre autres) la composante navale de DA’ECH ? [1]

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    Aquarius ou Cheval de Troie ? Deux thèses, désormais, s’affrontent quant à la nature de cet essaim1 de navires qu’entretiennent (comment, à quelles fins & avec quel argent ? Autant de questions sans réponse à ce jour) des ONG plus douteuses les unes que les autres. Las, Rome – Di Maio & Salvini regnante – a décidé de siffler la fin de cette récréation où s’engraissaient, passeursvice-passeurs & corsaires (sic) de ISIS/DA’ECH, dans un indécent ballet rappelant ce que que furent la traite & la piraterie barbaresques qui, alors, ravageaient notre versant de la Méditerranée. Autre rappel historique qu’il nous semble opportun de faire : en ces temps de troubles & de fureur, c’est à côté du Turc que se tint la France lors de la Bataille de Lépante. Épisode 1.

    | Q. À la fermeté de Rome (et de Vienne), les partisans de l’Union, nous opposent l’applicabilité de Dublin, qu’en pensez-vous ?

    Jacques Borde. (Éclat de rire) Vous parlez de l’Affaire de l’Aquarius. Et, en l’espèce, de l’Accord de Dublin. Sauf que l’applicabilité d’un accord :

    1- relève plus d’un principe général.
    2- est parfaitement discutable.
    3- n’est en rien automatique.
    4- que tout État signataire peut choisir de s’en retirer. Définitivement ou partiellement, le cas échéant.

    À meilleure preuve, la sémillante Bundeskanzlerin (2) Angela D. Merkel, marquée à la culotte par la composante la plus réactionnaire de son administration, a bien décidé de ne plus appliquer Dublin à propos des flots de migrants se présentant à ses bonnes frontières tudesques. Comme quoi…

    Sans, notez-le, déclencher l’émoi que provoquent les propos de bon sens de Matteo Salvini (3), le tout frais vice-président du Conseil & ministre italien de l’Intérieur.

    | Q. Mais la responsabilité de l’Italie quant aux risques encourus ?

    Jacques Borde. Concernant l’Aquarius et la foultitude d’esquifs servant d‘idiots utilesau crime migratoire organisé, et à ceux que Matteo Salvini appelle, à juste raison, ses « vice-passeurs », rappelons que :

    1- la Libye se trouve, sauf happening tectonique qui m’aurait échappé, de l’autre côté de la Méditerranée.
    2- les pays l’avoisinant, Égypte, Tunisie, pour ne citer que ceux-là, sont tout aussi concernés que l’Italie ou Malte. Les ports n’y manquent pas :
    – la Goulette, Radès, Bizerte, Sousse, Sfax, Gabès, Zarzis, etc., pour la Tunisie.
    – quant à l’Égypte : Port-Saïd (le port avec le plus grand trafic portuaire au monde), Alexandrie et le port de Dekheila, qui est l’extension naturelle du port d’Alexandrie (depuis 1986).

    Donc largement de quoi prendre en charge les passagers (sic) en difficulté de notre Aquarius. Sauf qu’en l’espèce, il s’agissait non pas de simples passagers mais des victimes du trafic d’êtres humains mis en place par les passeurs et vice-passeurs du crime migratoire organisé ad usum Da’echi !

    | Q. Parler de l’Axe n’était-il pas malheureux comme choix pour évoquer, comme cela a été fait, à propos de l’union de quelques-uns par rapport à la crise migratoire ?

    Jacques Borde. Pff ! Là, franchement, on coupe un peu les cheveux en quatre, non ?

    Un certain nombre d’intervenants, à commencer par votre serviteur, parlent aussi de l’Axe atlantique, à propos des pays de l’OTAN. Évidemment, voir Allemands, Autrichiens et Italiens se lier au sein d’un Axe n’était sans doute pas la formule la plus heureuse.

    Quant à ceux qui au sein de l’intelligentsia de gôôôôche s’en offusquent tant, je leur rappellerai que c’est la SFIO (de gauche, ô combien) qui a porté au pouvoir Pétain. Sans parler de ces magistrats (de gauche encore) qui ont acté et fait appliquer les lois raciales de Vichy qui ont conduit nos malheureux compatriotes juifs dans les camps de la mort…

    | Q. Et les migrants en perdition ?

    Jacques Borde. Quelle perdition ? De quoi parlons-nous au juste ? Une fois recueillis, les près de 700 de l’Aquarius ne risquaient absolument plus rien.

    Quant à juger de l’opportunité d’accepter tel ou tel navire, s’impose la notion de danger et de péril pour les équipages et les passagers. Or, pour qu’il y ait cette forme d’assistance à personne en danger navalisé (sic), encore faillait-il qu’il y eût péril en la demeure. Ou plutôt en l’esquif ! Ni tempête, ni grain en passe de menacer l’Aquarius. Et la perspective d’aller se réfugier à Tripoli ou Tunis. Techniquement parfaitement réalisable. Mais, comble inenvisageable pour nos vice-passeurs – et, n’en doutons guère, leurs commanditaires – grouillant en cette Méditerranée qui, ben oui, à deuxrives !

    Le reste, désolé de le dire, c’est du verbiage munichois dans la bouche d’agents et de corsaires (sic) du Takfir tentant de justifier leur infâme traite humaine.

    | Q. Quid du fait que l’Italie a d’abord autorisé l’Aquarius entrer dans ses eaux territoriales pour accoster ?

    Jacques Borde. C’est un fake, un médiamensonge répété. Mais qu’attendre d’autres des Munichois qui campent littéralement sur les plateaux TV pour y déverser leurpropaganda staffel éhonté ? En fait, Rome :

    1- a simplement laissé à l’Aquarius la liberté d’entrer dans ses eaux territoriales.
    2- envoyé deux des bâtiments de sa Guardia Costiera porter assistance à l’Aquarius.
    3- affirmé, comme c’est de son droit le plus absolu, son refus d’autoriser l’accès de ses ports, aux migrants (sic) embarqués dans des conditions discutables sur ce navire de SOS Méditerranée. Une ONG controversée à bien des égards.

    | Q. Donc vous ne croyez pas la version des faits présenté par ces ONG notamment ?

    Jacques Borde. Absolument pas. C’est du bourrage de crâne.

    Au point que Matteo Salvini, a une nouvelle fois interdit l’accès aux ports italiens à deux navires d’ONG pro-takfirî opérant au large des côtes libyennes, « en attente de leur cargaison d’êtres humains. Alors que le navire Aquarius navigue vers l’Espagne (arrivée prévue dimanche matin), deux autres navires d’ONG battant pavillon des Pays-Bas (Lifeline et Seefuchs) sont arrivés au large des côtes libyennes, en attente de leur cargaison d’être humains abandonnés par les passeurs ». Or, « Que ces messieurs sachent que l’Italie ne veut plus être complice du business de l’immigration clandestine, et ils devront donc chercher d’autres ports (non italiens) vers lesquels se diriger. En ministre et en père, je le fais pour le bien de tous ».

    Une position qui rejoint, c’est à noter, celle des gardes-côtes libyens qui avaient prévenu SOS Méditerranée que la présence de l’Aquarius favorise les passeurs : « Vous rendez service aux passeurs (…). Les passeurs savent que vous êtes là, et donc ils envoient chaque fois plus de gens en mer ».

    | Q. Qui est responsable de cet invraisemblable pataquès ?

    Jacques Borde. En cette affaire, je dirai : à peu près tout le monde sauf… l’Italie !

    Et quitte à parler de responsabilité, rappelons celle, immense, de ces flottes corsaires sillonnant la Méditerranée pour s’y approvisionner en migrants (sic). Quelque part, ne sont-elles pas de facto une composante navale de Al-Dawla al-Islāmiyya fi al-Irāq wa al-Chām (ISIS/DA’ECH) ? (4).

    Quid, donc, de ces vice-passeurs mondains qui entassent, en toute connaissance de cause et au mépris de toutes les règles de sécurité maritime, un maximum de personnes sur leurs navires ? Business is business and a passenger is a passenger, en quelque sorte.

    | Q. Mais ce sont d’Européens dont vous parlez ?

    Jacques Borde. Oui, mais comme l’étaient ces mercenaires des mers Génois, Corses, Catalans et Gascons (comme votre serviteur) qui rangeaient leurs navires et leurs équipages sous la bannière barbaresque.

    | Q. Pourquoi parler de Corsaires, plutôt de que de pirates ?

    Jacques Borde. Cela dépendait. Beaucoup d’entre eux disposaient des équivalents de l’époque de ce qu’on été nos lettres de course, ici délivrées par des (quasi) Cités-États. Alger notamment. Statutairement, de jure donc plus des corsaires que des pirates. Je vous rassure, capturés à leur tour, ils étaient généralement pendus de bonne manière. À moins d’avoir de la monnaie d’échange. Des otages réduits en servitude de l’autre côté de la Méditerranée. Là, on pouvait discuter…

    [à suivre]

    Notes

    1 Au sens militaire du terme, bien évidemment.
    2 Chancelière fédérale.
    3 Par ailleurs, vice-président du groupe Europe des nations & des libertés.
    Ou ÉIIL pour Émirat islamique en Irak & au Levant.

    https://voxnr.com/49519/nos-ong-sont-elles-entre-autres-la-composante-navale-de-daech-1

  • Brigitte Macron, première dame low cost

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    Alors que l’affaire Benalla bat son plein avec son cortège de flonflons et de serpentins, les magistrats de la Cour des comptes, soucieux d’entretenir la bonne ambiance, ont publié leur évaluation du budget annuel alloué à Brigitte Macron. Youpi !

    Alors, nous avons donc dit : six bureaux, deux voitures, un directeur de cabinet, un chef de cabinet et deux secrétaires, dont une partagée avec le secrétariat du conseiller porte-parole… Je pose un, je retiens deux : 278.750 euros par an. Estimation a minima, comme l’ont précisé les auteurs de cet inventaire. « La Cour s’est attachée à recenser les différentes dépenses qui sont plus particulièrement affectées à Brigitte Macron, sans toutefois pouvoir chiffrer la totalité de ces dépenses, en l’absence d’une comptabilité analytique suffisante. »

    Une opacité justifiée par la confusion entre les moyens mis à la disposition de chaque membre du couple. Brigitte Macron bénéficie, par exemple, des services de la coiffeuse maquilleuse de la présidence. Une bonne réplique à ceux qui pensaient que la coupe au carré était réalisée au taille-haie par le jardinier du palais.

    En 2017, Christophe Castaner avançait que « le coût des moyens mis à la disposition de la conjointe du chef de l’État s’élève, du fait de ses collaborateurs, à 440.000 euros »« Un chiffre provenant des services de Bercy. » Mais au diable les chiffre ! Première dame est devenu, au fil des quinquennats, un poste, une fonction à part entière, une investiture. Partie de potiche bien aimable, la voici devenue investie d’une mission, soupçonnée d’influencer son Président de mari dans les plus hautes décisions, personnage incontournable, éminence grise protégée par plusieurs membres du GSPR… Une œuvre d’art.

    Première ministre du paraître, Brigitte Macron s’est spécialisée dans la fonction de portemanteau prestigieux. Sur ses épaules défilent les tenues les plus diverses, les tentatives drapières les plus improbables. Encore plus humanitaire que celles qui l’ont précédée, Brigitte Macron a fait don de son corps à la haute couture. Reine du sac à main, en concurrence directe avec Élisabeth d’Angleterre, dont elle lorgne la santé en vue d’un éventuel putsch. Toute cette débauche costumière ne nous coûte pas un sou, affirme la Cour des comptes, confirmant ainsi l’aspect « recherche pure » de la démarche. « La Cour s’est fait confirmer que la personne chargée de choisir les vêtements qui lui sont prêtés pour les manifestations et les déplacements officiels n’est pas rémunérée par la présidence de la République. »

    Dans le classement des dépenses causées par le fonctionnement des premières dames, Carla Bruni arriverait en tête, avec un montant de 720.000 euros, suivie de Valérie Trierweiler, 481.900 (crêpage de chignon inclus). Hit-parade établi par L’Obs. L’ambiance promise retombe comme un soufflé. Les magistrats de la Cour des comptes ont mis à sécher leur pétard mouillé. Par cette canicule, tous les espoirs sont permis.

    Jany Leroy

    http://www.bvoltaire.fr/brigitte-macron-premiere-dame-low-cost/

  • Les Populistes, les Racistes et la Gauche

    antifas

    Les gauchistes ont une (in)capacité unique : Ils font le contraire de ce qu’ils cherchent faire. Prenons, par exemple, la pauvreté et la faim sur le continent africain. Depuis les années ’80 je me souviens de la Gauche en train de promouvoir, suivant le système américain des Témoins de Jéhovah et des Mormons, un système éprouvée avec succès, les campagnes de l’UNICEF pour les enfants de l’Ethiopie, Bob Geldof et «we are the world», et les publicités de petits africains la bouche couverte avec du porridge.

    Pourtant, trente ans plus tard, les petits Africains restent affames, et ce qu’ont réussi les gauchistes, est de faire de Geldof un homme riche et heureux de manger sa brioche, comme tous ceux qui se sont occupés de la famine africaine, y comprises les organisations qui allaient  nourrir les africains, des organisations comme celles qui les envoient maintenant en Europe  pour les nourrir, cette Europe diabolique du colonialisme d’antan.

    De même avec les programmes pour les chômeurs, dont les Gauchistes ont fait leur bandiera rossa. Ces programmes  ont ouvert des jobs pour des bureaucrates vachement bien payes, y compris les hommes politiques de Gauche, à des organisations et des concordats capitalistes telle l’Union Européenne. Ce qu’ils ont réussi est l’institutionnalisation des sans-  Tiers-Monde en Europe,  resserrent autour d’eux le cercle pour dépérir tout réflexe créatif.

    Nous pouvons donc conclure de ce qui précède et bien plus, que nous avons toutes les raisons de croire que la lutte de la Gauche « contre le racisme et la xénophobie », aura des non-résultats pareils. Déjà, les journalistes gauchistes, des juges autoproclamés de la volonté des peuples Européens, comparent les dirigeants politiques des pays européens comme Kurz, Orban, Kaczynski et Salvini, avec Mussolini et les fascistes, en raison de leur grande popularité grâce aux positions pro-européennes qu’ils proclament.

    Quelle honte pour Soros et Bruxelles que les peuples ont donné l’ordre à ces personnes  de mettre une fin aux « frontières ouvertes » !  Quelle honte de voir le Nationalisme surmonter la Mondialisation qu’ils renforcent  par tout moyen possible! Un, deux, trois, beaucoup de Mussolinis, et encore plus de fascistes, grâce à ce groupement  politique mixte des capitalistes et des bolcheviks.

    En effet, comme l’a démontré le sondage de la société de recherche Pew, la montée des « populistes » n’est pas constaté en raison de la crise économique, seulement, comme les analystes disent, exprimant le vœu pieux de leurs patrons. En Allemagne, par exemple, 77% de ceux en faveur de l’Afd (Alternative pour l’Allemagne) disent que leur opinion sur l’économie du pays est bonne. L’étude Pew, qui examine l’espace politique dans huit pays de l’Europe occidentale (l’Europe centrale et la Grèce n’y sont pas inclus), a eu lieu du 30 Octobre au 20 Décembre 2017, aux pays : Danemark, France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, L’Espagne, la Suède et le Royaume-Uni, des pays représentant 70% de la population européenne et 75% de l’économie de l’Union Européenne.

    Les conclusions de la recherche ?

    • Les « populistes » sont la plus grande force politique en Europe
    • Le facteur idéologique reste puissant pour déterminer la façon dont les Européens sont confrontés à des questions de politique clés.
    • La nostalgie de l’Europe « à eux» est importante dans la sélection des partis. Six Français sur dix qui ont une opinion positive du Front National disent que la vie en France est pire qu’elle ne l’était il y a 50 ans.
    • L’Ethnocentrisme, et la conviction que leur culture Européenne est supérieure, jouent un rôle décisif dans leurs choix politiques (61% des sympathisants Afd, 56% du parti Le Pen, et 47% du Parti pour la Liberté (PVV) aux Pays-Bas).
    • L’islam ne convient pas à l’Europe (75% des sympathisants allemands Afd, 66% des partisans de PVV et 63% du FN, disent que l’islam est fondamentalement incompatible avec leur culture et leurs valeurs).

    Quel dommage que certains d’ entre nous ne s’ennuient pas de penser! Que pour nous régurgiter ce que nous servent les racistes anti-blancs et anti-européens qui se propagent avec profit aux lieux universitaires, aux gouvernements et aux « organisations non gouvernementales » contre les Blancs, les Européens, les Grecs, n’est pas notre « tasse de thé », comme diraient les Anglo-Saxons.

    Quel bon travail font ces antiracistes, en mettant en évidence le racisme comme option Physio-logique, c’est-à-dire dictée par la Nature et la Logique, par leurs décisions politiques,  la seule alternative pratique pour les peuples d’Europe. L

    Les leaders d’opinion, les bénéficiaires de Soros et les orphelins de Staline, sont attristés par le fait que les élections sont quand-même encore menés, et que les partis avec des points de vue différents sont acceptés avec enthousiasme par les peuples de l’Europe. Car en Autriche ou en Hongrie,  le gagnant est celui qui mène la nation, et se prononce sur les lois! Quel horreur ! Comment traiter ce fait ? Les esprits progressistes des fans de la guillotine et du Goulag n’y arrivent pas. Comment se rendre compte que pour les hommes libres, pas les  cerveaux rincés des enfants du tube des partis, il est tout à fait normal que les Européens ne veulent pas avoir comme voisins des gens qu’ils n’ ont pas invités dans leur pays, leur ville et leur quartier, non moins parce que qu’ importe ce qu’ils fassent, ils ont l’indemnité, car quiconque dénonce quelqu’un d’ entre eux, il  commet un « crime de haine »?

    Par conséquent, vous serez à tort, Gauchistes. Continuez de jouer ce jeu évidement profitable pour vous. Vous jouez avec le dos des capitalistes du type  Soros (vous connaissez le truque du temps de Parvus, de Lénine et du train allemand fermé). La révolution de Prague et la Timisoara, n’a rien enseigné au prolétariat des imbéciles utiles.  Les peuples d’Europe, renaissent des cendres des deux grandes guerres du 20ème siècle et parmi la cupidité des rongeurs mondiaux, en sortiront les gagnants. Jusqu’à la Victoire, et au-delà.

    IRENE DIMOPOULOU

    Directrice de l’hebdomadaire Grec, EMPROS

    https://voxnr.com/49603/les-populistes-les-racistes-et-la-gauche

  • Ils plient mais sont loin d’avoir rompu, par Jean-David Cattin

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    Par Jean-David Cattin, directeur national des Identitaires 

    Certains aiment à croire que la « droite » aurait gagné la « bataille des idées ». Peut-être… mais elle n’a certainement pas gagné la guerre. Du moins pas encore.

    Certes, les victoires des « populistes » se succèdent sur le plan électoral dans toute l’Europe, les succès de librairie d’auteurs incorrects se multiplient, à la télévision quelques journalistes et chroniqueurs ont réussi depuis plusieurs années à faire entendre une voix discordante (1). Mieux, les journaux qui font leur une sur les méfaits de l’immigration et de l’islamisation connaissent un succès envié par beaucoup de titres de la presse historique.

    Mais, dans cette lutte pour l’opinion publique, la gauche rend coup pour coup et est loin de laisser échapper son hégémonie. Ainsi, a-t-on vu récemment Éric Zemmour perdre son passage bihebdomadaire « On n’est pas forcément d’accord » sur RTL, après avoir déjà perdu son « Z comme Zemmour » quotidien. Sur le terrain électoral, le Rassemblement National a lui droit à un traitement de choc en se voyant confisquer 2 millions d’euros par des magistrats politisés. Sur le terrain militant, le mouvement identitaire se fait interdire ses manifestations par des préfets sous des motifs fallacieux, une répression qui s’ajoute à une censure quasi-totale sur les réseaux sociaux. Pour faire bonne mesure, les activistes sont frappés d’amendes à faire pâlir bien des malfrats endurcis.

    À cela s’ajoute une omniprésence des idées « progressistes » et politiquement correctes dans les nouveaux médias dont l’audience est loin d’être ridicule et qui influencent bien au-delà des cercles militants. Ainsi Brut, le HuffpostKonbini ou Vice (pour ne citer qu’eux) bénéficient d’une exposition majeure notamment auprès des jeunes générations grâce à leur maîtrise des outils de communication modernes. Il y a quelques années encore, elles accusaient pourtant un sérieux retard dans ce domaine. Preuve de leur résilience malgré le choc de la réalité migratoire, des attentats et d’une insécurité de moins en moins supportée. Le succès de la réinformation est réel et durable mais ne doit pas occulter ces évolutions récentes.

    De leur côté, les écoles de journalisme continuent de fournir des bataillons de diplômés politisés rompus au combat des idées. Bien plus subtils qu’une grossière propagande d’État, leur traitement et tri orientés de l’information, leurs investigations à sens unique et leurs représentations malhonnêtes de la réalité donnent aux idées de gauche un poids considérable dans la bataille pour l’opinion publique. En décalage total avec leur représentation électorale, ils continuent pourtant de fournir la partition aux élites dirigeantes et aux donneurs de leçons des centres urbains certains de leur supériorité morale face à la masse ignorante.

    La guerre est donc loin d’être gagnée, d’ailleurs ce n’est pas ainsi qu’il faut le voir. Il y aura toujours des batailles à mener. Des moyens de communication originaux font leur apparition et des nouveaux acteurs rentrent dans la danse, comme les Qataris d’Al-Jazeera avec leur relai d’influence AJ+ et son quart de million d’abonnés sur Facebook. Les lauriers de la bataille des idées et de l’information ne sont jamais acquis et il faut veiller à ne jamais s’endormir dessus. Il faut développer des outils percutants qui ne touchent pas que les convaincus, être à l’affût des nouvelles méthodes de communication et ne négliger aucun canal. Et s’il nous arrive d’être en retard ou de perdre une bataille, toujours remettre l’ouvrage sur le métier.

    Jean-David Cattin 27/07/2018

    (1) Au point que certains médias de gauche comme les Inrocks font désormais la promotion de l’interdiction des talk-shows qui feraient la part trop belle aux opinions qui les dérangent.

    Source : Les Identitaires

    Crédit photo : Les Identitaires

    https://www.polemia.com/ils-plient-mais-sont-loin-davoir-rompu-par-jean-david-cattin/

  • Romain Espino (GI) : « Le harcèlement des pro-migrants a payé : je suis désormais sans travail ! »

  • Marine Le Pen : « Cette commission est une vaste opération visant à tout prix à empêcher l’émergence de la vérité »

    Jeudi matin, Marine Le Pen a décidé de quitter la commission parlementaire de l’Assemblée nationale pour aller assister à celle du Sénat. Réaction au micro de Boulevard Voltaire de la présidente du Rassemblement national et députée du Pas-de-Calais, au cinquième jour de la tenue de cette commission de l’Assemblée nationale, présidée par une députée de la majorité. « Circulez, il n’y a rien à voir ! »

  • Nouvel impôt sur les pauvres : le gouvernement veut-il taxer les ventes sur Le Bon Coin ?

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    Le gouvernement traque tous les fraudeurs et veut les faire cracher au bassinet. Une catégorie d’« abominables » et d’« indécrottables » voleurs échappait, jusqu’alors, au fisc : ceux qui vendent sur Le Bon Coin ou prennent des passagers avec BlaBlaCar. Un projet de loi a donc été déposé.

    Les sites qui vendent ou proposent des services devront, à partir de 2020, déclarer tous les gains de leurs utilisateurs sous peine d’une amende de 50.000 euros. Évidemment, ils obéiront. Le pouvoir prétend que seuls les sites du type Airbnb sont visés par cette mesure, la lutte contre les logements loués aux touristes étant, en effet, devenue en quelques années une priorité nationale. Mais le gouvernement mentirait-il ? Sachant que les Français sont vent debout contre la taxation des ventes sur Le Bon Coin, chercherait-il à les endormir ?

    Car la loi, bien entendu, n’est pas nominative. Elle n’oblige pas tel ou tel site à déclarer ses utilisateurs, mais elle s’adresse à tous sans distinction. Aussi Le Bon Coin ne sera-t-il pas épargné, d’autant plus qu’un certain nombre de particuliers se servent de lui pour écouler leur production ou vendre leurs marchandises sans payer aucune TVA, ce qui leur permet d’obtenir un revenu complémentaire souvent modeste. De même, on trouve sur ce site des « artisans » qui proposent leurs services et pratiquent en fait du travail au « noir ».

    Le Bon Coin est un élément essentiel de ce qu’on appelle l’économie informelle et il est, pour cela, dans le viseur du gouvernement. Les sénateurs ont bien essayé de protéger les « petits vendeurs » en proposant une franchise de 3.000 euros qui aurait mis à l’abri la plupart des utilisateurs du Bon Coin, mais cette mesure sera sans doute retoquée par l’Assemblée nationale, où LREM est majoritaire. Probablement, il faudra, à partir de 2020, ajouter à ses revenus le produit des ventes dès le premier euro. Et, en principe, vous devriez vous acquitter de la TVA (soit 20 %) mais, comme vous l’avez déjà payée lors de l’achat et qu’en théorie vous pourriez récupérer cette dernière, vous serez peut-être dispensé de cette taxe. Enfin, il faut l’espérer.

    En utilisant BlaBlaCar, un usager qui transporte des passagers ne fait aucun bénéfice. Il n’a le droit de facturer qu’une part des frais (essence, usure de la voiture, péage). En principe, donc, les sommes récoltées sur BlaBlaCar ne seront pas ajoutées à la déclaration de revenus, mais peut-être fera-t-on payer la TVA sur celles-ci ?

    68 % des Français déclarent qu’ils n’utiliseront plus Le Bon Coin ou BlaBlaCar si cette mesure était prise, ce qui, à terme, condamnerait ces sites. Pourtant, faire du covoiturage, recycler de vieux vêtements, vendre des meubles dont on n’a plus l’usage est « écologique », bien que ce terme soit souvent galvaudé. Qu’importe, pour l’État ? Des « fraudeurs » impénitents seront sanctionnés et il ne voit pas plus loin que le bout de sa lorgnette.

    Christian de Moliner

    http://www.bvoltaire.fr/nouvel-impot-sur-les-pauvres-le-gouvernement-veut-il-taxer-les-ventes-sur-le-bon-coin/