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magouille et compagnie - Page 1404

  • Blanquer : la mise en œuvre d’une politique éducative élitiste en faveur des populations issues de l’immigration

    6a00d83451619c69e2022ad36af935200c-250wi.jpgAnalyse de Claude Meunier-Berthelot pour Le Salon beige :

    Le 11 septembre 2018, Blanquer est venu se produire au micro d’un Pujadas, non seulement complaisant mais complice, pour l’aider à  justifier ses propos de la veille au micro de JJ.Bourdin sur l’enseignement de l’arabe à l’école  et à s’insurger contre les contestations  soulevées par cette annonce.

    Comme l’a souligné Pujadas, Monsieur Blanquer est un ministre qui pèse au sein du gouvernement et pour cause ! il le sert merveilleusement  dans sa visée mondialiste dont l’objectif est de détruire l’identité française, notamment par la mise en œuvre d’une politique éducative élitiste en faveur des populations issues de l’immigration au détriment de nos enfants pour qui l’Ecole devient un simple lieu de vie, et dans le même temps, anesthésiant le public, le bernant en permanence avec des propos mensongers dispensés avec un aplomb et un cynisme dépassant toute mesure * , tout cela, sous des dehors de Monsieur « Propre ».

    Les contestations

    Monsieur Blanquer perçoit mal les contestations et n’hésite pas à fustiger les opposants qui n’avancent rien de plus que des propos de bon sens :

    Ce qui ne l’empêche pas de parler d’ « emballement médiatique, de déformation des propos, de mensonges, de vouloir exciter l’opinion de façon surréaliste, d’exciter les gens les uns contre les autres, d’instrumentaliser le débat pour de petites bassesses politiciennes, de dérive dans le mensonge permanent sur les réseaux sociaux… »  réseaux sur lesquels il n’a aucune prise pour l’instant, raison pour laquelle il les attaque tout particulièrement, car c’est précisément là que se fait le rétablissement de la vérité politique que ce gouvernement cherche à camoufler aux Français.

    Ce qu’il faut retenir des oppositions à cette décision, ce sont deux choses : D’une part, qu’il vaudrait mieux d’abord apprendre le français à nos enfants, d’autre part, qu’il y a danger d’islamisation de la France.

    Sans vouloir entrer dans les détails*, il faut dire qu’il n’y a rien d’excessif dans ces propos :

    Apprentissage de la langue française

    Pour ce qui est d’apprendre le français à nos enfants, il faut rappeler que malgré les déclarations - celles-là bien mensongères - de Monsieur Blanquer, il n’a nullement procédé – pour nos enfants - au rétablissement des méthodes dites « syllabiques » de lecture - en réalité alphabétiques -  qui seules, permettent de maîtriser la langue et les méthodes semi-globales perdurent,  ne permettant pas  d’appréhender la très riche culture française.

    D’ailleurs, à cet égard, nous aimerions  que Monsieur Blanquer vienne à un quelconque micro, nous détailler les décisions prises pour la valorisation de la langue française à l’école, du primaire à l’université incluse. Nous l’attendons !

    Les méthodes alphabétiques ne sont pratiquées que dans les REP, pour les immigrés, en classes dédoublées.

    Danger d’islamisation de la France

    C’est d’autant plus cohérent comme propos, que l’arabe est appréhendé à travers la lecture du Coran dont le caractère «religieux » n’échappe à personne et dont le contenu révèle des dangers incalculables, mettant gravement en danger notre société. Vouloir que nos enfants apprennent l’arabe, c’est vouloir les islamiser, il n’y a aucun excès dans ces propos.

    Conclusion

    Fustigeant également les associations qui se mobilisent contre l’éducation sexuelle à l’école, Monsieur Blanquer  n’aspire qu’à une chose :  imposer le silence aux opposants, en résumé à tous ceux qui veulent protéger nos enfants et sauver la France,  !

    C’est cela, la démocratie selon Blanquer, c’est cela un « honnête homme » !                                     

    *cf. ouvrage paru le 05/09/2018 :« Blanquer, ce monstre froid »- remède de cheval contre la blanquer-mania–Editions des trianons.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/09/blanquer-la-mise-en-%C5%93uvre-dune-politique-%C3%A9ducative-%C3%A9litiste-en-faveur-des-populations-issues-de-limm.html

  • Pendant que les plumitifs de la presse du Système s'évertuent à vouloir faire condamner Estéban et ses camarades, les nervis antifascistes veulent faire régner la terreur dans le Quartier Latin et s'attaquent à la Nouvelle Librairie...

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    Source de l'article suivant : Breizh info cliquez ici

    Nous avions évoqué l’ouverture récente, à Paris, de la Nouvelle Librairie, librairie non conformiste, dirigée par François Bousquet, rédacteur en chef de la revue Éléments.

    Dans la foulée d’un article plutôt à charge du journaliste Jérôme Dupuis pour L’Express, intitulé « Une librairie d’extrême droite à l’assaut du quartier latin », cette dernière a connu des dégradations de sa devanture, et un employé a été menacé le lendemain, au sein même de la librairie. Une plainte a été déposée.

    Un article qui – prémonition ? – se concluait ainsi : « En choisissant de s’afficher publiquement au cœur du Quartier latin, François Bousquet et ses quatre associés sont bien conscients qu’ils offrent une cible de choix aux « antifas » de toutes obédiences. Une nuit de décembre 2013, la librairie Facta, située rue de Clichy, avait subi une attaque d’un genre particulier : des individus avaient brisé la vitre et aspergé de peinture rouge des centaines de livres avec un pistolet compresseur. La proximité immédiate du Sénat, avec ses policiers et ses caméras, dissuadera-t-elle des activistes de vandaliser la librairie de la rue de Médicis ? Le Quartier latin en a vu d’autres. Et le sanglier gaulois veille. »

    Sur le blog de la revue Éléments, François Bousquet n’a pas tardé à réagir, dans une lettre à Jérôme Dupuis que nous reproduisons ci-dessous :

    Sous la plume de Jérôme Dupuis, Lèchepress a fait paraître un article contre la Nouvelle Librairie intitulé « Une librairie d’extrême droite à l’assaut du Quartier latin ». Sa conclusion se lit comme une menace : la Nouvelle Librairie offre une « cible de choix aux antifas ». Dès le lendemain, un groupe d’individus proféraient des menaces dans la librairie même. Retour sur une opération de manipulation.

    Comme disait Georges Darien, vous faites un sale métier, journaliste, mais vous avez une excuse : vous le faites vraiment, mais alors vraiment salement. J’ai accepté de vous rencontrer sur la recommandation d’un ami commun et de vous ouvrir les portes de la Nouvelle Librairie. À la suite de quoi nous avons échangé une heure trente. J’ai eu tout le temps de vous expliquer en détail la nature de notre projet, nos ambitions, la ligne politique qui est la nôtre.

    Ouvrir, s’ouvrir aux paroles dissidentes, réfractaires, transversales, contre la Sainte-Alliance libérale-libertaire. Extrême droite !

    Je vous ai rappelé que, chez nous, beaucoup lisent les livres de Jean-Claude Michéa ; d’autres, comme moi, ceux de Pasolini. Extrême droite !

    Je vous ai précisé que la présence de Georges Valois, qui a payé de sa vie ses engagements (mort en déportation à Bergen-Belsen, en 1945) et aura passé toute sa vie militante et intellectuelle à unir gauche conservatrice et droite révolutionnaire, nous inspirait. Extrême droite !

    Je sais bien que tous les chemins mènent au point Godwin – Hitler, l’extrême droite –, mais avec vous on n’a pas le temps de s’asseoir qu’il est déjà atteint : « Une librairie d’extrême droite à l’assaut du Quartier latin ». Poum !

    Dupuis déclenche les menaces des « antifas »

    Vous n’êtes pas un bon enquêteur, mais vous êtes un bon indic de la police de la pensée. La conclusion de votre article le montre : « La proximité immédiate du Sénat, avec ses policiers et ses caméras, dissuadera-t-elle des activistes de vandaliser la librairie de la rue de Médicis ? »

    Les « antifas », qui sont les chiens de garde du Système – sans quoi ils ne bénéficieraient pas d’une telle impunité – n’en attendaient pas plus pour se déchaîner. Vous les connaissez bien : ce sont des gens comme vous qui les ont dressés à la manière des chiens de Pavlov. Ils salivent à l’évocation des mêmes mots « fasciste », « extrême droite », etc. Rabattre, comme dans une chasse à l’homme, la meute des « antifas » sur la proie. Cela s’appelle dans les écoles de journalisme la dé-on-to-lo-gie. J’y vois pour ce qui me concerne une « incitation à la violence ». Et un panneau devant notre librairie: « À abattre » !

    Et vous avez réussi au-delà de toute mesure. Dans la nuit même de la publication de votre article, des dégradations contre la devanture de la librairie ont eu lieu ; le lendemain, des menaces physiques à l’intérieur même de la librairie. Elles nous ont conduits à déposer plainte. Souhaitons que nous en restions là, sans cela votre pusillanimité aura été funeste.

    François Bousquet

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    Annonce parue sur Synthèse nationale en juillet lors de l'ouverture de la Nouvelle Librairie

  • La connivence entre la macronie et l'extrême gauche continue... [Add.]

    6a00d83451619c69e2022ad39109d2200d-120wi.jpgAprès la rencontre "fortuite" entre Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon à Marseille, cela commence à faire beaucoup de signes d'apaisement entre la macronie et l'extrême gauche.

    Le président de la république aurait décidé de reconnaître la responsabilité de la France dans la mort de Maurice Audin, un militant communiste complice des terroristes du Parti communiste algérien, arrêté par l'armée française en 1957 durant la bataille d'Alger et porté disparu

    Et Emmanuel Macron choisit la veille du début de la fête de l'Huma pour cette nouvelle repentance à sens unique. L'Humanité jubile !

    Addendum : réaction courageuse de Marine le Pen 

    "Maurice Audin a caché des terroristes du FLN qui ont commis des attentats. Macron commet un acte de division, en pensant flatter les communistes. Quel est l’intérêt pour le président de la République de rouvrir des blessures, en évoquant le cas de Maurice Audin ? Il souhaite surfer sur la division des Français, au lieu de les réunir dans un projet "

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • On détient enfin la preuve d’une ingérence dans les élections américaines

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    Et ce n'est pas la Russie constate Olivier Bault dans Présent :

    "Si ingérence il y a eu, et de taille, c’est de la part du géant de l’internet Google.Et il ne s’agit pas ici de l’accusation portée le 28 août dernier par le président Donald Trump contre la société californienne. Trump s’insurgeait alors contre le fait que la quasi-totalité des informations le concernant, affichées dans les résultats des recherches Google, provenaient des médias de gauche et il promettait qu’il allait s’attaquer à ce grave problème. [...]

    Les dirigeants de Google ont toujours prétendu ne pas user de leur pouvoir pour favoriser un camp contre un autre même si leur penchant à gauche n’est un secret pour personne. Un nouveau rapport publié par le Washington Examiner montre d’ailleurs que90% des donations faites par les employés de Google vont aux Démocrates. Mais il y a bien pire. Une longue chaîne de mails internes divulguée par la chaîne Fox News lundi soir apporte la preuve que la direction de Google a cherché à faire gagner Hillary Clinton aux dernières élections. Au centre du scandale, il y a un long message envoyé le 9 novembre 2016, au lendemain des élections, par Eliana Murillo, la responsable du département de Marketing multiculturel du géant de l’internet. Ce message semble impliquer directement le PDG de Google, Sundar Pichai, qui a la double nationalité indienne (va-t-on parler d’ingérences indiennes ?) et américaine, ainsi que Philipp Schindler, un des principaux vice-présidents de la compagnie, puisque Eliana Murillo affirme les avoir tenus au courant.

    L’effort mené par l’équipe de la responsable du Marketing multiculturelle consistait, en manipulant les résultats des recherches sur internet et aussi dans le cadre d’un partenariat avec des ONG gauchistes, à inciter les Latino-américains citoyens des Etats-Unis à aller voter. Et il ressort clairement du long mail de Mme Murillo que la direction de Google pariait sur le fait que ces Latino-américains voteraient massivement pour Hillary Clinton. Dans le bilan de l’opération dressée par la responsable du département du Marketing multiculturel de Google, la stupeur et la déception ressentie par le fait que 29% des Latinos aient finalement voté pour Donald Trump n’est pas masquée, et Mme Morillo reconnaît explicitement que certaines des actions menées étaient des « donations secrètes » en faveur de la campagne de la candidate démocrate. Ce pourrait aussi être un angle d’attaque possible pour Donald Trump et ses partisans, car c’est illégal et ils disposent désormais des aveux involontaires d’une dirigeante de Google."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Nicolas Bay : « 72 migrants clandestins dans un petit village, c’est un scandale démocratique et une injustice ! »

    Le député européen Rassemblement national Nicolas Bay réagit au vote de l’article 7 par le Parlement européen contre la Hongrie de Viktor Orbán et à l’installation de migrants dans le petit village varois de Châteaudouble, dans le Var : « La venue de Marine Le Pen est légitime dans ce village où elle a obtenu près de 50 % des voix ! »

    Les députés européens ont sorti l’arme nucléaire contre Viktor Orban. C’est sous ce dénominatif qu’est qualifié l’article 7 des traités européens. Ils bannissent la Hongrie des débats européens.
    Quelle réaction avez-vous eue suite à cette décision de vos collègues ?

    Les institutions européennes sont dans une sorte de fuite en avant contre un pays et un gouvernement qui refusent les diktats de la Commission européenne. Ils refusent en particulier la politique de relocalisation forcée des migrants. C’est l’une des raisons pour lesquelles le parlement européen a déclenché l’article 7 qui va aboutir à priver la Hongrie de son droit de vote au Conseil.
    Cela révèle la vraie nature de l’Union européenne telle qu’elle est conduite aujourd’hui, c’est-à-dire, une Européenne punitive, coercitive qui nie la liberté des nations, refuse que les peuples puissent se défendre et qui est prête à tout pour museler l’expression populaire.
    Face à cela, nous avons eu une réaction de défense envers la Hongrie et Viktor Orban.
    Qu’avez-vous pensé du discours de Viktor Orban ?

    Une fois de plus, Viktor Orban a fait preuve d’une grande patience à l’égard des incessantes attaques dont il est l’objet. On l’a vu également défendre une ligne politique très claire. Pas du tout une ligne européenne. Il défend une Europe fondée sur les nations qui doivent être respectées, une Europe qui est capable de défendre son identité, notamment l’identité chrétienne à laquelle il a largement fait référence, à une Europe qui doit être celle des protections et des peuples et non pas une Europe des bureaucrates et des banquiers.
    Ce sont deux visions différentes qui s’affrontent.
    Le vote d’aujourd’hui au parlement européen est un vote de clarification politique. D’un côté, ceux qui veulent aller encore plus loin dans les défauts de l’Union européenne, son fonctionnement antidémocratique, les politiques de suppression de toutes protections et de toutes régulations économiques, la politique d’accueil, une immigration massive et anarchique. Et de l’autre, Viktor Orban, l’Autriche, l’Italie, la Pologne et nous au sein de notre groupe Europe des nations et des libertés qui défendons une vision totalement différente, à la hauteur du génie de notre civilisation et susceptible de donner à nos nations la puissance collective qu’elles ont perdue dans le cadre de l’Union européenne.
    Lors de votre intervention, vous avez opposé le camp des progressistes qui est constitué de Merkel et Macron en tête. Face à lui, le camp de l’Europe des nations qu’incarneraient Salvini et Orban.
    Est-ce l’Europe des nations contre l’Europe fédérale du progrès ?

    Je crois qu’il y a deux visions très claires. Mattéo Salvini et Viktor Orban en sont un peu aujourd’hui le fer de lance. Ils sont au pouvoir dans leur pays de cette Europe des nations et des protections.
    De l’autre côté, on a Emmanuel Macron avec le gouvernement socialiste espagnol de Monsieur Sanchez, lâché d’ailleurs en rase campagne par Angela Merkel qui est très fragilisée. Ils sont en situation de marginalisation et en échec total. Ils défendent encore ce vieux modèle du mondialisme, de la dérégulation totale et de la disparition des protections, alors que ce modèle n’était nulle part ailleurs sur la planète.
    Marine Le Pen a fait sa rentrée politique à Châteaudouble, un petit village du sud de la France.
    Pourquoi Châteaudouble ?
    En quoi ce village est important pour le Rassemblement national et Marine Le Pen ?

    Ce petit village varois de Châteaudouble est emblématique. C’est une commune qui compte un peu plus de 200 habitants à l’année et 500 pendant la période estivale. On impose à ce village 72 migrants clandestins logés aux frais du contribuable dans une ancienne maison de retraite réquisitionnée par le préfet.
    On assiste là à un scandale démocratique.
    Évidemment, la population n’a pas été consultée. Si elle l’avait été, elle aurait évidemment refusé cette relocalisation forcée de migrants. C’est également une injustice faite à nos compatriotes et en particulier aux plus modestes d’entre eux. On offre finalement le gîte et le couvert aux clandestins alors qu’on ne le fait pas pour les Français qui sont dans la précarité.

    Lors du cortège des élus, Marine Le Pen a été quelque peu bousculée.
    Est-ce que cela traduit une déficience de la présidente du Rassemblement national ou est-ce le fait d’une poignée de militants ?

    C’est incontestablement le fait de quelques dizaines de militants d’extrême gauche hargneux venus dans ce village de manière très artificielle puisqu’ils n’y habitent pas. Ils sont venus uniquement pour faire croire qu’il y aurait une opposition à Marine Le Pen.
    Je rappelle que Marine Le Pen a obtenu près de 50 % des voix dans ce petit village de Châteaudouble à l’élection présidentielle. Elle y est un peu chez elle. Elle a toute légitimité pour s’y rendre.
    En revanche, ces militants gauchistes n’ont rien à y faire. On voit qu’ils n’ont aucun autre argument que l’agressivité et la violence. Cela a le mérite de la clarté. D’un côté, on voit des élus responsables, comme Marine Le Pen et le Rassemblement national qui défendent les Français et de l’autre côté, des militants extrémistes qui agissent par idéologie et qui veulent imposer une immigration qu’eux-mêmes, à titre personnel, ne subissent pas. Ils veulent imposer l’immigration à ce petit village, mais eux-mêmes ne vont pas la subir au quotidien.

    Nicolas Bay

    http://www.bvoltaire.fr/nicolas-bay-72-migrants-clandestins-dans-un-petit-village-cest-un-scandale-democratique-et-une-injustice/

  • Contradictions républicaines

    6a00d8341c715453ef022ad3b08675200b-320wi.jpgCe 12 septembre L'Opiniondonnait la parole à deux représentants du parti qui s'intitule fièrement Les Républicains. L'un, le plus fougueux, le plus vigoureux et, pour certains lecteurs, sans doute le plus convaincant s'appelle Sébastien Pilard. Il est conseiller régional LR des Pays de la Loire et membre du bureau politique desdits Républicains. Il opine que l'on ne doit pas mettre la Hongrie au ban de l'Union européenne.[1]

    Le second, plus célèbre pour avoir fait voter une loi bioéthique dont il porte le nom Jean Leonetti, lui aussi membre du parti Les Républicains répondait au contraire, aux questions de Nicolas Beytout : Orban, dit-il, "s’est détaché des règles européennes et du PPE"[2] et, sans se démentir, il précise qu’il n’existe pas de porosités avec l’extrême droite, estimant en revanche qu’il n’y a pas de divergences entre le projet européen du parti et celui d’Alain Juppé.

    Nous nous trouvons dons en présence d'un débat. Le débat est toujours sain lorsqu'il est loyal, lorsque le juge est impartial et lorsqu'on laisse sa chance au fauve lâché dans l'arène. Toute la différence entre république et démocratie tourne autour de la conception du débat. Essence de la démocratie véritable, le débat ne saurait être attribué en propre au régime que l'on appelle république, sorte de projection de l'État jacobin avant-goût du totalitarisme. Il n'appartient guère en général aux gens qui se disent républicains. S'il caractérise plutôt la démocratie, au moins formellement, s'il devrait la caractériser, cela suppose toujours que les opinions s'expriment dans une libre confrontation.

    Toutes les opinions même religieuses, proclame la Déclaration des Droits de l'Homme de 1789 laquelle, il est vrai, assortit ce principe de liberté d'une inquiétante réserve, d'ordre réglementaire.[3]

    La Cinquième république, depuis la saison 5 ou 6, transgresse allègrement les règles fondamentales de ce savoir-vivre ensemble en l'interprétant comme : aucune opinion ne doit dépasser dans les rangs, surtout pas une conviction religieuse, en particulier chrétienne.

    Pour en revenir au débat actuel, il convient de se souvenir que Juppé mérite bien d'être cité en référence des gens qui voudraient bouter Budapest hors du continent. Après, viendra le tour de Varsovie, puis celui de Vienne, puis peut-être celui de la Hollande ou du Danemark, et certainement l'Italie. Ils seront exclus d'une Europe restreinte au grand-duché de Luxembourg. Et ceci se ferait donc au nom de principes adoptés précisément comme déclaration unanime des États à Nice en 2000, sous la présidence Chirac, texte rédigé par deux grandes figures de la pensée, nommées Toubon et Juppé, énoncé que l'on ne peut corriger qu'à l'unanimité.

    La contradiction entre membres de ce parti, qui s'appelle de façon tellement significative mais à vrai dire également si cocasse, si choquante pour l'oreille, Les Républicains, ne se pose pas en pour Orban ou contre Orban. Elle oppose le principe même du politiquement correct, d'une part, et la libre expression des opinions ainsi que le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, d'autre part.

    Dans ce débat, car cela reste encore un débat sans se poser la question du rapport de l'intéressé aux canons de la beauté antique, on éprouve furieusement la tentation de défendre, contre les admirateurs et les disciples de Juppé, les méchants du film.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    [1] cf. Sébastien Pilard (LR): "Le procès d’Orban devant le Parlement Européen, c’est l’Europe dont nous ne voulons plus"

    [2] cf. Jean Leonetti (LR): "Orban «s’est détaché des règles européennes et du PPE"

    [3] Article 10. "Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi."

    http://www.insolent.fr/2018/09/contradictions-republicaines.html

  • IVG : la (tardive) prise de conscience de son caractère homicide

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    Bernard Plouvier

    Scandale chez les plus enragées des féministes ! Le 11 septembre 2018, le Président du Syndicat National des Gynécologues-Obstétriciens a osé énoncer une vérité qu’aucun médecin ne peut renier : « Nous ne sommes pas là pour prendre des vies ».

    Il est évident que cette phrase ne condamne pas les (plutôt rares) avortements thérapeutiques, soit une nécessité vitale pour la femme enceinte et qui définit l’Interruption Médicale de Grossesse.

    La déclaration de Bertrand de Rochambeau n’a porté que sur l’avortement volontaire, autrefois jugé criminel et que la Loi Veil du 17 janvier 1975 a dépénalisé. On peut nuancer son propos sur un seul point. L’avortement peut se justifier moralement dans les suites d’un viol : c’est une IMG pour raison d’ordre psychologique et eugénique, laissée à l’unique appréciation de la victime.

    L’IVG est objectivement – pour qui considère la chose de façon éthique, sans la moindre référence à un dogme religieux, politique ou sociologique – un Homicide. À ceci près qu’il est autorisé par la loi, de ce fait banalisé, et même remboursé par la Sécurité Sociale depuis le 31 décembre 1982, François Mitterrand ayant estimée « urgente » cette mesure, repoussée par une majorité de sénateurs.

    En France et chaque année, on assassine – c’est la définition du meurtre avec préméditation –environ 225 000 enfants, privés du droit de naître. Et, pour combler les vides, on importe de l’extra-Européen par million chaque décennie !

    Étant seuls responsables du choix des politiciens qu’ils ont hissés aux apparences du pouvoir, les Français sont coupables des lois immorales, dépourvues de toute référence éthique, concoctées par les honorables « élus du peuple ».

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Et si on donnait d’abord à manger aux Français qui ont faim ?, par Caroline Parmentier

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    En France en 2018, sous le couple Macron qui se plaît à dire qu’il « mange le plus léger possible », soit « dix fruits et légumes par jour et beaucoup de fruits de mer », un Français sur cinq a des difficultés à se procurer de la nourriture pour assurer trois repas par jour.

    Ce sont des témoignages qui serrent le cœur : « Je travaille et je gagne 1 300 euros par mois », témoigne une mère seule. « J’ai 600 euros de loyer et 400 euros de charges incompressibles. Il me reste 10 euros par jour pour m’habiller et me nourrir avec mes deux enfants. Je ne fais moi-même qu’un repas par jour à deux euros. Jamais de viande ni de poisson. C’est vite vu, c’est en général du pain, avec ce que je peux mettre dessus. »

    « L’alimentation est souvent la variable d’ajustement face à des dépenses contraintes comme le loyer ou l’énergie », observe Amandine Lama d’Ipsos. On a généralement renoncé entre temps aux vacances, aux loisirs et aux soins médicaux. Quand l’AME (aide médicale aux étrangers en situation irrégulière) continue de nous coûter plus d’un milliard par an…

    Qu’ils mangent de la brioche du Lidl !

    A deux jours de la présentation du plan-pauvreté en 13 mesures de Macron, 27% des Français répondent à Brigitte qu’ils n’ont pas les moyens financiers de s’acheter quotidiennement des fruits et légumes. Ils n’ont qu’à manger de la brioche du Lidl, pensera-t-elle peut-être, car après tout contrairement à elle, ce n’est pas grave que les pauvres soient gros. C’est en effet l’un des paradoxes bien connu de la précarité : les régions où les Français sont les plus pauvres sont aussi celles où l’on trouve le plus de cas d’obésité. La faute notamment à la mauvaise bouffe, aux sodas à 0,99 euros et aux graisses saturées.

    Le Secours populaire français relève mardi dans un baromètre annuel IPSOS que 39 % de la population a été confrontée à des « privations multiples » en 2018. Un chiffre en hausse. Derrière ce chiffre il y a des familles, des enfants. « L’intensification de la pauvreté en France poursuit une tendance inquiétante. » Près d’un Français sur trois reconnaît avoir du mal à payer des actes médicaux mal remboursés (56% pour les foyers les plus modestes).

    Autre chiffre qui devrait interpeller le « président des riches » qui rêve de plein emploi et de lendemains qui chantent, tout en continuant d’accueillir massivement une immigration ruineuse et illégale : la majorité des personnes interrogées (81%) sont convaincues que leurs enfants seront plus vulnérables face à la pauvreté que leur génération. Sentiment éminemment anxiogène pour des parents. Ce n’était pas le cas il y a seulement dix ans, où les Français étaient persuadés que leurs enfants vivraient mieux qu’eux.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 12 septembre 2018

  • En politique, la solution passe par la « récupération »

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    Par Jean-David Cattin, directeur national des Identitaires ♦

    À chaque fait divers dramatique, les voix des bien-pensants s’élèvent pour interdire toute « récupération » sous le prétexte qu’il faudrait laisser les familles des victimes à leur deuil. La décence l’imposerait. C’en est inquiétant de systématicité, en particulier lorsque les victimes sont autochtones. Après les attentats islamistes, après les meurtres au couteau de plusieurs Français, il est des réalités qu’il ne faudrait pas dénoncer, des coupables que l’on ne devrait pas accuser.

    Lorsque la victime est un enfant migrant, les bornes de la décence cessent tout à coup d’exister, tout comme lorsqu’un « jeune » de cité meurt en fuyant un contrôle policier. Dans ces cas-là, la médiatisation est totale, pour ne pas dire totalitaire, la « récupération » par des associations politisées encouragée et relayée et les présumés coupables cloués au pilori. L’émotion doit être à sens unique pour que l’image du « vivre-ensemble » ne subisse aucun dommage.

    À Chemnitz, suite à un énième homicide vraisemblablement commis par des Syriens et Irakiens, plusieurs manifestations spontanées ont eu lieu pour dénoncer les meurtres d’Allemands par des migrants depuis leur arrivée massive dans le pays en 2015. Les médias de toute l’Europe ont encore une fois rivalisé de qualificatifs avilissants pour désigner les participants. Traiter de tous les noms les habitants en colère et inquiets de Chemnitz, voilà quel est le vrai scandale.

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  • Nouvelles étatisations sur ordonnance

    6a00d8341c715453ef022ad36a62e7200c-320wi.jpgParmi les images les plus belles et les plus suggestives de la Bible, l'une reste le plus souvent mystérieuse aux yeux des incroyants, quand elle ne suscite pas leur ironie : il s'agit de la diminution, de génération en génération, de la longévité, elle-même évidemment mythique, des patriarches. L'explication tient dans ce message, réaliste quoique macabre, de la progression du péché dans un monde coupé de la lumière divine.

    On pourrait en notre temps, déceler d'autres signes, bien différents sans doute, tels que l'effrayante prolifération des actes criminels monstrueux, impunis et sanglants, à l'encontre d'enfants ou de personnes sans défense.

    Mais le règne du mensonge paraît plus annonciateur encore des malheurs futurs, quand rien ne vient les corriger.

    À plusieurs reprises, depuis la loi sécurité sociale de Simone Veil en 1993, et notamment Chiraquo regnante en 2004, il avait été affirmé, comme un principe intangible, on a même parlé de règle d'or, que la séparation comptable de la protection sociale et du budget de l'État demeurerait définitivement étanche. C'est même en application de cette affirmation que fut institué le principe d'un rapport annuel de la Cour des comptes remis au parlement à la veille des débats budgétaires. Le premier en date fut diffusé en septembre 1995 et il se révélait tellement désastreux que l'on crut alors possible une réforme d'ensemble de ce système que le monde nous envie mais ne copie guère.

    En fait de réforme il fallut alors se contenter de son exact contraire, sous le nom de plan Juppé.

    Annoncé en novembre 1995, ficelé grâce à une nième réforme de la constitution votée en février 1996, les décrets se prolongeant jusqu'en 1997, ce désastreux programme multiplia les nuisances technocratiques. Il institua notamment une médecine sans médecins, grâce au numerus clausus.

    Et il mit en route une étatisation rampante de tous les protagonistes du système, désormais fonctionnarisés.

    Certes, il existe encore des îlots remarquables de compétences, de dévouements, de véritables vocations, des jeunes appelés par un feu sacré, que l’on trie trop souvent, hélas, en première année sur la base de leurs capacités en mathématiques. La dégradation continue de progresser dans les couloirs de nos antichambres de la mort. L'image biblique ne se dément pas.

    Or, une nouvelle réforme, présentée une fois de plus comme purement comptable, va mettre une fois de plus les organismes de prévoyance sociale sous la coupe de l'État. Celui-ci leur imposera de nouvelles exonérations mais il n'en assumera pas les coûts. Le même tour de passe passe a été ainsi imposé aux collectivités locales sans que personne n'y ait pris garde au départ.

    Nos ministres intègres, Agnès Buzyn et Gérald Darmanin, pour justifier la nouvelle mesure, s'appuient sur un rapport technocratique. Le document a été rédigé, à la demande du gouvernement, par Christian Charpy et Julien Dubertret, deux hauts fonctionnaires aux carrières bien représentatives. Ces deux personnages parlent à cet égard de nouvelles solidarités : puisque l'assurance maladie, à force de déremboursements, est parvenue à se rapprocher de l'équilibre comptable, elle doit voler au secours de cet État, toujours impécunieux, mais toujours généreux avec l'argent des autres.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/2018/09/nouvelles-etatisations-sur-ordonnance.html