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magouille et compagnie - Page 1404

  • Posokhow répond à Gourévitch, qui nie le Grand Remplacement

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    Par André Posokhow, consultant ♦

    Jean-Paul Gourévitch a accordé au Monde et Vie du 10 mai 2018 un entretien dans lequel il affirme que le grand remplacement n’est pas pour demain mais que la population résidant en France se transforme. Il s’en est suivi des échanges avec Jean-Yves Le Gallou sur le site de Polémia et une confrontation sur la chaine de réinformation TV Libertés. Jean-Paul Gourevitch a tenu à publier, le 20 juin sur Polémia, une réponse à un article du 7 juin dans lequel j’ai présenté les flux à l’origine du grand remplacement et ajouté un certain nombre de commentaires. Dans cette réponse, il persiste à nier l’application à la France du concept du grand remplacement.
    En retour je souhaite présenter les raisons pour lesquelles ce déni du grand remplacement ne m’apparaît pas convaincant et apporter quelques précisions sur cette question qu’un nombre croissant de Français et d’Européens jugent de plus en plus angoissante.

    A aucun moment Jean-Paul Gourévitch n’a été soupçonné de refuser de débattre sur des chiffres

    Contrairement à ce qu’il laisse entendre, il n’a jamais été reproché à Jean-Paul Gourévitch de refuser de débattre de chiffres. En revanche nous ne pouvons que tomber d’accord avec lui sur le fait que ceux-ci « peuvent être légitimement contestés compte tenu de l’imprécision parfois volontaire des sources officielles ».

    En fait nous affrontons des mensonges par omission et brouillage de la part d’organismes publics payés par nos impôts. Le meilleur exemple est la lacune scandaleuse de la part des organismes statistiques d’estimations, fussent-elles approximatives, des flux et des stocks d’immigrants clandestins ou illégaux comme on voudra. Mais n’est-ce-pas le meilleur moyen pour devenir titulaire d’une chaire au collège de France ?

    Il est question de submersion migratoire et de mutation ethnique et non plus simplement d’immigration

    Les chiffres cités en tête de mon article sont bien ceux de Jean-Paul Gourévitch qui, compte tenu d’un solde migratoire des immigrés de 180 000, d’un départ définitif d’expatriés de 80 000 et d’un solde naturel des naissances d’origine étrangère de 150 000, aboutit à un total annuel de 410 000 personnes,

    Il faut savoir de quoi on parle.

    Que dans le cadre d’une immigration raisonnable et on peut citer celle des Portugais à titre d’exemple, on distingue immigrés et étrangers qui n’ont pas vocation à s’implanter durablement dans un pays d’accueil, on peut le comprendre, quoique ceux-ci se transforment souvent en immigrés naturalisés.

    En revanche, ce dont nous parlons ne relève plus de l’immigration. Il s’agit d’un déversement massif de population, d’un raz-de-marée migratoire de longue durée vers l’Europe occidentale en provenance principalement d’Afrique qui, pour reprendre les termes de Jean-Paul Gourévitch transforme la population résidant en France. Celle-ci est menacée de ne plus être en majorité un peuple européen de race caucasienne, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Dans ces conditions, la France ne serait plus la France comme le disait Charles de Gaulle et – peut-on ajouter -, l’Europe ne serait plus l’Europe. C’est à cette mutation civilisationnelle et biologique que se réfère, me semble-t-il, le concept de grand remplacement initié par Renaud Camus.

    Dans ce contexte, il parait indispensable de se référer non au «  solde naturel des naissances d’origine étrangère » de Jean-Paul Gourévitch mais aux chiffres relevant du test de drépanocytose qui fait apparaître l’africanisation et la maghrébisation de notre population, les chiffres des DOM-TOM pouvant être considérés comme non significatifs.

    Il a bien été fait une balance entre ceux qui arrivent et ceux qui partent et même d’une manière trés prudente

    L’évaluation d’un solde migratoire, insiste à juste titre Jean-Paul Gourévitch, ne peut être faite qu’en faisant la balance entre ceux qui arrivent et ceux qui partent. C’est, me semble-t-il ce que j’ai fait. En effet, j’ai retenu des chiffres INSEE de 79 000 en 2015 pour les retours et de 50 000 pour les décès contre 10 000  dans le rapport pour Contribuables associés de Jean-Paul Gourévitch. Ces chiffres ne sont pas explicités par l’INSEE ce qui met en cause leur fiabilité. Je les ai retenus par prudence et afin de ne pas apparaître comme  gonflant les chiffres en faveur de la thèse du grand remplacement, ce qui n’a d’ailleurs pas recueilli le plein assentiment de tous.

    Je ferais d’ailleurs à Jean-Paul Gourévitch le doux reproche d’avoir retenu en faveur de sa thèse le chiffre minimum : 180 000, de sa fourchette de solde migratoire venu de l’étranger 180 000/280 000 et non un chiffre intermédiaire.

    Concernant les mineurs isolés non-accompagnés, il ne s’agit pas d’une extrapolation mais d’un cri d’alarme

    Concernant les mineurs non accompagnés, je renvoie aux articles des 7 et 6 juin 2018 sur Polémia qui traitent de l’article de Monde et Vie et du rapport bipartite sur cette question d’où sont tirés les chiffres cités.

    Jean-Paul Gourévitch estime qu’il est hasardeux d’extrapoler des évolutions linéaires sur des données qui ne sont connues que depuis 5 ans. Je n’ai rien extrapolé du tout. La vérité – que rappelle d’ailleurs Dominique Bussereau, président de l’Assemblée des départements de France, qui n’est pas un dangereux extrémiste – est que les chiffres ont explosé depuis 3 ou 4 ans et que les départements sont financièrement étranglés. Tenir compte de cette réalité d’un passé récent pour avertir des dangers à en attendre dans les années qui viennent est simplement de la lucidité. C’est un lancer d’alerte. La meilleure preuve que ce phénomène est dangereux pour notre pays est que les pouvoirs publics l’encouragent et le subventionnent.

    On ne peut dédaigner les tests de drépanocytose  qui sont particulièrement adaptés à cette problématique du Grand Remplacement

    Mon interlocuteur estime que le test de drépanocytose n’est pas un critère infaillible pour juger des naissances d’origine étrangère.

    Peut-être mais, pour juger de la transformation de notre population et de sa mutation ethnique et civilisationnelle, c’en est un. Et au vu des lacunes statistiques c’est même le seul.

    Il me semble, à l’encontre de Jean-Paul Gourévitch, que le fait que ces tests aient été faits en 2015 sur 73,4 % des nourrissons en Île-de-France constitue la preuve la plus affolante de cette mutation biologique de notre pays. Jean-Yves Le Gallou a d’ailleurs souligné sur TV Libertés la progression du ratio de ces tests depuis quelques années.

    Il est  tentant de demander à ceux qui nient le grand remplacement à partir de quel niveau d’invasion ils estiment que celui-ci sera atteint. Pour ma part, il me  semble que le chiffre de 410 000 nouveaux entrants, soit l’équivalent de la ville de Toulouse, tous les 365 jours sur lequel se fonde Jean-Paul Gourévitch pour affirmer que le grand remplacement n’est pas pour demain, constitue bien le meilleur argument de son existence.

    Quelles responsabilités ?

    Concernant ce qui n’est de ma part qu’un  commentaire sur les descendants d’immigrés, population que Jean-Paul Gourévitch n’évoque pas dans Monde et Vie, il me laisse des responsabilités que j’assume.

    Il n’est pas nécessaire de faire référence aux livres de Michèle Tribalat : Assimilation la fin du modèle français et de Malika Sorel-Sutter : Immigration-intégration ; le langage de vérité et Décomposition Française pour rappeler l’existence dans notre pays des très nombreuses zones de non-droit où règnent le communautarisme, les visages barbus, l’islam, le droit musulman, les imams agressifs, le voile mais surtout où sont pratiqués le mépris et la détestation de la France et des Français.

    La réalité est pire. Que l’on relise les confidences sidérantes de Hollande aux deux journalistes du Monde avant la fin de son mandat sur la sécession de territoires : «Comment peut-on éviter la partition? Car c’est quand même ça qui est en train de se produire: la partition.». C’est à lui, à ses semblables et à ceux qui ferment les yeux qu’il faut rappeler leurs responsabilités.

    La vraie question n’est pas politique. Elle est civilisationnelle et vitale

    Jean-Paul Gourévitch souligne que mon texte relève d’une prise de position politique. Comment, une fois qu’ont été présentés le plus sincèrement possible les chiffres, peut-on rester sur de simples constats distanciés ? La question est plus que politique ; elle est civilisationnelle et vitale.

    Je ferais observer aimablement à Jean-Paul Gourévitch qu’affirmer que la France est devenue une « copropriété » (P 179 de son livre Les Véritables enjeux des migrations constitue une prise de position politique extrêmement grave.

    L’Europe occidentale est elle aussi devenue une copropriété ? Et l’Allemagne, pays de Goethe, et l’Italie, pays de Dante ?

    En dernier lieu

    Enfin, être qualifié dans le dossier éminemment public de Contribuables associés d’économiste de droite ou d’extrême droite c’est subir le même traitement que l’AFP et la gauchosphère subventionnée ont administré à Jean-Paul Gourévitch lors de la parution des Migrations pour les nuls.

    André Posokhow 21/07/2018

    Crédit photo : Domaine public, via PixaBay

  • Le Parlement européen coupe les subventions des élus du parti de Marine Le Pen

    Après la justice française, qui a saisi quelque 2 millions d'euros d'aides publiques, les subventions attribuées aux élus du Rassemblement national (RN) siégeant au Parlement européen pour financer leur activité ou recruter des collaborateurs ont été gelées

    Les juges visent l'utilisation d'assistants payés sur les fonds du Parlement européen pour des tâches bénéficiant au parti. Les investigations ont établi que 23 des 54 assistants parlementaires recensés déclaraient le siège du FN (devenu RN) comme lieu de travail, et huit d'entre eux y exerçaient à temps plein.

    Convoqué le 6 juillet, Bruno Gollnisch a signifié sa "suspicion" envers la partialité de la juge Claire Thépaut :

    "Selon la rumeur publique, vous seriez membre du Syndicat de la magistrature. Or cette organisation a pris à plusieurs reprises position sur le plan politique contre la formation à laquelle j'appartiens." "Je n'ai pas à rendre des comptes sur la façon dont j'ai organisé mon secrétariat parlementaire."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Emmanuel Macron lâché par le « Parti médiatique » ?

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    L’imposture de l’élection d’Emmanuel Macron est en partie due à un unanimisme de la presse qui n’a pas hésité à matraquer son audience sans retenue, tel un Alexandre Benalla dans une manifestation, que le supposé deus ex machina allait tout changer à la politique. Et quinze mois plus tard, l’organe d’agit-prop qui se prévaut du titre de quotidien de référence de France lâche son poulain en déclenchant la curée, avec un scandale bien sidérant qui dégénère en mode feuilleton.

    L’effet de meute est normal : dès lors qu’une information croustillante et vérifiée sort, chaque titre doit rattraper le retard et se ruer à l’hallali. Le Figaro qui occultait le traitement judiciaire des affaires de Serge Dassault, ça écorne forcément l’image de sa rédaction dont la cécité sélective est mise en évidence. Le « Parti médiatique » lâche donc Emmanuel Macron par mimétisme, parce que l’un d’entre eux, Le Monde, entraîne les autres dans une espèce de non-choix.

    Deux questions se posent dès lors.

    Le lâchage – si l’on part de l’hypothèse que ce lynchage est un indice de lâchage – des oligarques qui détiennent les médias est-il définitif ? La République sait trouver des fusibles, ces boucs émissaires des temps modernes qui ne seront pas exécutés, mais seulement renvoyés dans une scène de carnaval aux effets prétendument cathartiques. Un talentueux acteur comme notre Président saura s’y attribuer le beau rôle. Après, les Français ont la mémoire courte, disait un maréchal lors des heures les plus sombres de notre histoire. Alors conjecturons que ces oligarques, qui peut-être ne souhaitaient pas abandonner la créature qu’ils ont imposée au pays, tenteront de sauver un soldat Macron qui pourrait leur servir à nouveau.

    Pourquoi Le Monde a-t-il pris cette décision ? C’est la question que se posait, dès le 19 juillet, Christian Combaz dans un tweet. Le tandem Pigasse–Niel pourrait être déçu du macronisme, il y en a d’autres, et pour plein de raisons. Il est vrai que la « communication maîtrisée » voulue par l’Élysée peut faire grincer des dents et regretter les connivences passées, comme celles ayant permis à deux journalistes de divulguer le contenu de documents « secret défense » transmis par l’hôte de l’Élysée de l’époque. Ou bien s’est imposé le constat objectif qu’Emmanuel Macron va trébucher du fait de sa pratique très autocratique du pouvoir. Dés lors, la prise de distance la plus anticipée possible devient une espèce de joker, et le croche-patte un atout maître. Ou encore le changement de poulain est possible : un qui voudrait croire à un retour possible et qui, trahi par son successeur, souhaiterait se venger, libérer la place et qui dispose des réseaux pour le faire.

    Il y a bien, aussi, l’hypothèse que des journalistes et une rédaction « mainstream » soient vertueux, aient lu la Charte de Munich, aient décidé de l’appliquer. Fin de la blague.

    Rémy Mahoudeaux

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-lache-par-le-parti-mediatique/

  • Censure en direct de l’envoyé spécial de France 3 car il parlait trop des incidents sur les Champs Elysées

    Curieux incident d’antenne, dimanche 15 juillet, lors de la diffusion du Soir 3 entièrement consacré à la victoire de la France au Mondial de football. Un journaliste de la rédaction s’apprête à intervenir en direct dans le journal depuis la terrasse Publicis qui surplombe la place de l’Etoile et les Champs Elysées. Il est un peu plus de minuit et le journaliste décrit la situation qui se déroule sous ses yeux : la fête a dégénéré et est désormais finie. Le drugstore et de nombreux magasins ont été pillés. Les Champs Elysées et l’Etoile sont désormais évacués, quadrillés par les CRS et baignés dans des effluves de gaz lacrymogène qui rend l’air irrespirable, y compris sur la terrasse au sommet de l’immeuble d’où se tient le direct…

    On n’en saura pas plus. Au bout de quarante secondes, le direct est coupé sans plus d’explications sur décision de la rédactrice en chef. (de 3’14 à 4’00) L’explication n’a été donnée que le lendemain au journaliste : son direct a été interrompu parce qu’il a exagéré l’ampleur des violences et qu’il aurait dû évoquer « l’atmosphère de liesse… » qui n’existait plus depuis près de deux heures !

    Voir la video=> https://www.dailymotion.com/video/x6phhwx

     

     

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 1997-2004 : le crépuscule de la liberté de la presse

    A partir de 1972, une série de textes rognent durablement la liberté de la presse. Nous analyserons brièvement les quatre principaux : la loi Pleven de 1972, la loi Fabius-Gayssot de 1990, la loi Taubira de 2001, la loi Perben-Nouchet de 2004
         La loi Pleven a été présentée comme une loi contre le racisme et l’antisémitisme. Dans sa rédaction actuelle, elle prévoit un an d’emprisonnement et/ou 45 000 euros d’amende et/ou la perte des droits civiques et familiaux pour « ceux qui [par un moyen de presse] auront provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ». Ce texte mérite au moins deux observations : 
         - Il criminalise la discrimination nationale, qui est pourtant le fondement des institutions de nos cinq Républiques – et, accessoirement, de l’ensemble des Etats à travers le monde, à toutes les époques de l’humanité ; 
         - Il est dangereusement flou car l’expression « provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence » n’est évidemment qu’une affaire d’appréciation ! 
    Or, de nos jours, critiques les politiques d’immigration (ou y proposer des alternatives) expose vite au risque d’être accusé de racisme ; le protectionnisme est une pensée suspecte de xénophobie ; celui qui dénonce la politique israélienne adopte une position « antisioniste », antichambre de l’antisémitisme – l’accusation peut être étendue à la moindre critique envers l’humoriste Bernard-Henri Lévy. De même, la réprobation de certaines pratiques de l’islam – polygamie, mutilations sexuelles, inégalité homme-femme, apologie du djihad, abattage halal, prières de rue, peine de mort pour l’apostasie... – peut illico déclencher l’accusation d’islamophobie. Et tout cela, évidemment, se règle au pénal ! 
    Jean-Yves Le Gallou, La tyrannie médiatique 

  • Grand Timonier Génial est-il un adolescent attardé, un potache en goguette ou le nouveau Parrain ?

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    Bernard Plouvier

    La Coupe du monde de football l’a présenté en supporter adolescent et cela fut diversement apprécié un peu partout sur la planète. Diverses remarques, fidèlement répercutées par une troupe de mercenaires médiatiques, témoignent d’un humour de potache, dont la finesse n’est pas la qualité dominante.

    D’autres comportements de Macron, "notre Grand Timonier génial" sont plus inquiétants. Il est vite devenu évident que son mépris des humbles transparaissait de ses décisions. Divers projets de lois ainsi que des réparties cinglantes font supposer un égo quelque peu démesuré, davantage attendu d’un dictateur de république bananière que d’un chef d’État réputé démocratique.

    On s’est beaucoup amusé qu’un Président, fabriqué par les media menteurs de 2016-17, ait la prétention de dire ce que doit être la « Bonne Information », par opposition à celle qui lui déplait et qu’il qualifie de « Fausse nouvelle » - Fake News, dans son discours franglais de banquier cosmopolite.

    Or, l’actualité nous présente un autre aspect du grand homme. Dès le 2 mai, le ministre de l’Intérieur aurait fait savoir aux « hommes du Président » qu’un haut-fonctionnaire de leurs services se serait comporté en pseudo-policier brutal, usurpant la fonction et les attributs de véritables agents des forces de l’ordre.

    En d’autres termes, un agent très proche de Macron, l’accompagnant même dans ses déplacements vélocipédiques, se serait comporté en Barbouze au petit pied, tabassant un manifestant isolé et désarmé. 

    Pour une fois SOS-Racisme et les autres associations de la même eau ne protestent guère, étant donné que le dit haut-fonctionnaire temporaire est issu de cette immigration maghrébine, dont chacun sait qu’elle enrichit considérablement notre pays d’antique civilisation de ses immenses talents et qualités.  

    Super-Macron s’en était pris, lors d’une réception au Vatican, à la « Mafia bretonne », et l’on a stigmatisé à juste titre cette sortie imbécile et injurieuse, qui n’était nullement spirituelle… sauf à condamner le comportement d’une partie du personnel politique de cette région, mais il aurait été bon, dans ce cas, de le préciser.   

    S’il était avéré que GTG-Super-Macron ait protégé une Barbouze amie, en délicatesse avec la loi, on pourrait s’interroger sur un autre aspect de sa très riche personnalité. Bill Clinton se recycle actuellement dans le thriller. Il est possible que Génial-Président-Macron prépare sa reconversion au cinéma et qu’il veuille reprendre le rôle où brilla Marlon Brando.

    Mais cette reconversion ne peut se faire qu’après la fin de ses fonctions de chef de l’État. Au vu de ses prestations de 2017-18, nul patriote ne verserait de larme si Super-Génial-Président décidait de s’en aller prématurément.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/07/21/grand-timonier-genial-est-il-un-adolescent-attarde-un-potach-6067745.html

  • Black Blocs, Antifas, No Borders… L’extrême gauche violente au service du Système

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    Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦

    Il y a quelques semaines, Michel Geoffroy publiait un article sur le rôle d’idiot utile joué par les casseurs d’extrême gauche. Alors que l’affaire Alexandre Benalla est en train de se transformer en désastre pour l’Elysée, il nous est apparu intéressant de publier à nouveau ce texte. Pourquoi ? Tout simplement car la présence au cœur des manifestations de l’extrême gauche de ce qui se semble être l’homme de main d’Emmanuel Macron interpelle. Pour quelle raison se trouvait-il là ? Pourquoi utiliser une telle violence contre les manifestants ? Quel était le rôle de cet homme et de ceux qui l’accompagnaient ? L’extrême gauche violente étant d’une grande utilité pour le pouvoir en place, la présence d’Alexandre Benalla pose de nombreuses questions.

    Black Blocs, Antifas , Zadistes et No Borders rythment désormais notre quotidien. Ils sont partout : dans les rues, dans les facs, à Notre-Dame-des-Landes ou à Calais. A Paris, à Rome ou à Berlin. Dans les manifs aussi. Le 1er mai dernier, Paris a ainsi été le théâtre de violents affrontements à l’initiative des Black Blocs. Des incidents à replacer dans la longue cohorte des violences et intimidations en tous genres auxquelles se livrent ces individus depuis des années au su et au vu de tout le monde et qui ne semblent guère émouvoir les pouvoirs publics.
    Pourquoi donc ? Parce que ces violents groupuscules servent la Davocratie triomphante, tout simplement.

    Pour ce qui est contre

    Les revendications et prises de position de ces extrémistes sont des plus floues, d’autant que leur production intellectuelle se réduit à quasiment rien.

    Héritiers des autonomes et de ceux qui prônaient l’action directe et immédiate dans les années 1960, ils semblent a priori contre tout : contre le capitalisme, le fâââchisme, le racisme, le nucléaire, les MacDos, les Forums internationaux, les voitures Mercedes, les abribus, les frontières ou contre les aéroports. Et surtout contre la police qu’ils appellent à affronter partout et si possible violemment.

    Leur mode d’action repose principalement sur l’utilisation des réseaux sociaux transfrontières qui permettent de mobiliser très rapidement les individus tentés par la castagne partout en Europe. Tentés aussi par la constitution de zones autonomes où ils peuvent se rassembler pour essayer de donner un contenu à leurs rêveries.

    Une masse de manœuvre pour le Système

    L’absence de ligne politique et d’organisation qui les caractérise constitue évidemment une incitation pour tous les services spéciaux à les manipuler à des fins très différentes de celles qu’affichent ces mouvances.
    Car, si on quitte la morale des intentions pour celle des résultats, force est de constater que toutes ces mouvances roulent avant tout pour l’oligarchie.

    Historiquement, d’ailleurs, l’extrême gauche fut encouragée par la classe politique occidentale à partir des années 1960, comme moyen de réduire l’influence des partis communistes en Europe principalement auprès de la jeunesse. Car tous ces « gauchistes » imprégnés de trotskisme libertaire vomissaient les partis communistes autant et sinon plus que le capitalisme. Aujourd’hui que le communisme a disparu, ils continuent de servir l’oligarchie, mais de façon différente.

    Les Blacks Blocs et les Antifas constituent en effet le « service action » de l’oligarchie. Ils roulent pour elle et non pas pour la cause de la révolution anticapitaliste. Au contraire, ils servent en France la cause du néo-capitalisme mondialiste.

    Les chiens de garde de l’antiracisme

    Les Antifas sont avant tout les chiens de garde de l’antiracisme officiel, c’est-à-dire qu’ils luttent en priorité et souvent violemment contre tous ceux qui refusent le Grand Remplacement européen, le sans-frontiérisme de nos élites et la déconstruction de notre civilisation. Leur cible principale reste, par un heureux hasard, chez nous le Front national, c’est-à-dire le seul parti politique paraissant en mesure de menacer l’hégémonie de la Davocratie jusqu’en 2017.

    Les techniques d’action des Antifas sont variées mais reposent en général sur la violence et l’intimidation vis-à-vis des militants et sympathisants des mouvement identitaires et nationaux. Leur arme préférée est la menace de contre-manifestations violentes qui sert alors de prétexte aux autorités préfectorales, afin de prévenir des « troubles à l’ordre public », pour interdire ou tout le moins restreindre fortement la liberté de réunion.
    On a d’ailleurs vu lors des violences du 1er mai à Paris des manifestants arborer ironiquement un calicot sur lequel on pouvait lire « risque de trouble à l’ordre public », écrit en lettres d’or sur fond noir !

    Les chasseurs de dissidents

    Les Antifas aiment aussi beaucoup la chasse à l’homme dissident : le dénoncer et le harceler sur les réseaux sociaux ou jusque chez lui, voire essayer d’obtenir à son encontre une mesure de licenciement, comme cela se pratique déjà aux Etats-Unis ou en Allemagne [1].
    Les Antifas jouent donc le rôle des rabatteurs dans la chasse au gibier patriote, identitaire et européen qu’organise de plus en plus la Davocratie en Europe. Ils désignent les nouvelles sorcières avant de les remettre aux mains du pouvoir temporel.

    Le but de ces opérations est, bien sûr, d’intimider et si possible de casser la dynamique de la dissidence identitaire et nationale en Europe et notamment dans notre pays, qui reste la clef de l’Europe pour la Davocratie.

    Diaboliser l’opposition de gauche

    L’action des Blacks Blocs vise une manœuvre différente mais symétrique dans sa finalité : il s’agit cette fois de diaboliser l’opposition de gauche aux projets macroniens de déconstruction néo-libérale.

    Par un heureux hasard, les autonomes se sont mis à saccager les universités qu’ils occupaient au moment où s’engageait la réforme de la SNCF. Et par ce même hasard qui fait décidément bien les choses, voilà que des « incidents » se mettent à émailler les manifestations des syndicats contre la réforme, incidents culminant avec les violences Black Blocs du traditionnel défilé du 1er mai. Sans oublier le fait que le gouvernement décide justement d’évacuer au même moment les zadistes de Notre-Dame-des-Landes.

    Tout cela n’est peut-être qu’un pur hasard.

    Divertir et contaminer

    Il semble pourtant difficile de ne pas voir que ces violences remplissent une double fonction au profit du pouvoir :

    • une fonction de divertissement de l’opinion, d’abord,  puisque la mise en scène des violences permet de masquer en partie la grogne sociale qui s’installe dans notre pays : pendant que les médias s’étendent à l’envi sur les Blacks Blocs, ils parlent moins des syndicats et de leurs revendications ;
    • ensuite, ces violences ont une fonction de contamination : elles visent à assimiler l’opposition sociale et syndicale aux projets du gouvernement, à l’agitation violente de l’extrême gauche radicale par un effet d’amalgame. Vous êtes contre la réforme de la SNCF ? N’êtes-vous finalement pas du côté des casseurs ?

    Certains sondages semblent montrer que cette manœuvre remplit son office pour une partie de la vieille droite [2] : Macron doit avoir raison puisque les Blacks Blocs cassent contre lui !

    Une étonnante passivité des pouvoirs publics vis-à-vis des casseurs autonomes

    Il est également frappant de constater combien ces casseurs Antifas, Black Blocs ou autres noms d’oiseaux exotiques, bénéficient d’une étonnante passivité des pouvoirs publics, pour ne pas dire plus.

    A la différence de ce qui s’est passé lors des Manifs pour Tous par exemple, on n’a pas connaissance d’interpellations préalables de jeunes casseurs par les services de police.

    Ce qui est d’autant plus curieux que ces agitateurs, dont beaucoup utilisent les réseaux sociaux pour communiquer entre eux, ont souvent déjà eu maille à partir avec les forces de l’ordre de différents pays et que la perspective d’une action des Black Blocs semblait connue des services de renseignement [3] et qu’ils sont souvent reconnaissables à leur accoutrement.

    Les arrestations et gardes à vue restent aussi en nombre limité et de toute façon elles ne se traduisent pas forcément par l’ouverture de procédures judiciaires : un traitement par conséquent très différent de celui qui est infligé par exemple aux militants de Génération Identitaire dont les actions n’ont en outre rien de violent la plupart du temps.

    La voix de son maître

    Ces mêmes casseurs bénéficient en outre de la complaisance des médias mainstream qui ne voient en eux la plupart du temps que des « militants » de la noble cause « antiraciste », « antifasciste », « écolo », « altermondialiste » ou « antinucléaire ». On ne les traite pas de hooligans ! Non : on réserve ce terme aux manifestants identitaires…

    Une complaisance pour le moins significative puisque ces mêmes médias sont la voix de la super-classe mondiale.

    Des « révolutionnaires »… financés par les oligarques

    Non seulement il ne semble pas que ces extrémistes violents soient particulièrement pourchassés par les forces de l’ordre, y compris à l’heure de la menace terroriste, mais ils sont en outre souvent financés et aidés par certains oligarques. Ce qui n’est certainement pas innocent.

    On sait par exemple depuis les « Sorosleaks », que les fondations mondialistes de George Soros financent les No Borders. Le député Bernard Carayon a pour sa part relevé des financements par l’Union européenne via le relais d’ONG immigrationnistes [4].

    Certaines collectivités locales ne sont pas en reste. On apprend ainsi par exemple que la ville d’Angers louerait un local à une association qui répond au doux nom de « L’Etincelle » et qui correspond en réalité à des Antifas. Des « révolutionnaires » financés… par le contribuable en quelque sorte. Il est probable que cette initiative étrange n’est pas la seule de son genre et un examen attentif des subventions publiques révélerait sans doute bien des surprises.

    Il se peut, bien sûr, que certains adolescents des Blacks Blocs ou des Antifas qui jettent des pavés contre la police croient œuvrer ainsi pour l’avènement prochain de la société sans classe et du bonheur libertaire. Mais cela ne change rien au fond.

    La Davocratie sait aussi se servir des idiots utiles pour faire avancer son projet mondialiste.

    Michel Geoffroy 06/05/2018

    [1] Voir par exemple l’action conduite récemment contre Romain Espino, de Génération Identitaire, auprès de son employeur, le Crédit Agricole.

    [2] Voir sur ce plan le baromètre Kantar Sofres OnePoint du mois de mai pour Le Figaro Magazine.

    [3] Cf. article du Figaro.fr du 2 mai 2018 : « 1er Mai : les services de renseignement avaient anticipé la venue des Black Blocs ».

    [4] Atlantico du 12 mai 2016.

    Crédit photo : FEDRA Studio [CC BY 2.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/black-blocs-antifas-no-borders-lextreme-gauche-violente-au-service-du-systeme-deux/

  • Le plus grand défi

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    Par Bernard Pascaud

    486981856.jpgLa volonté de plus en plus nette des peuples européens à vouloir rester souverains et à préserver leurs identités constitue un désaveu cuisant à l’encontre des politiques migratoires voulues par l’Union européenne.

    Celle-ci s’en trouve d’ailleurs de plus en plus divisée. Or ce qu’il est convenu d’appeler la crise migratoire trouve sa source dans la croyance en la mondialisation heureuse, laquelle suppose la suppression des frontières et la généralisation du libre-échange appliqué aux capitaux, aux marchandises et aux hommes. La mondialisation n’a pas rendu le monde plus harmonieux, elle l’a mis au service d’intérêts marchands et financiers avec tout le cynisme qui s'en suit. Appliqué aux flux de main-d’œuvre ce libéralisme migratoire ne conçoit les hommes qu’interchangeables et les sociétés que multiculturelles. Lorsqu’en 2015 la chancelière Merkel a opté pour un accueil massif de « réfugiés », elle ne faisait que répondre aux souhaits du patronat allemand de bénéficier d’une main‑d’œuvre bon marché d’hommes jeunes et aptes au travail en remplacement d’une population allemande déclinante et vieillissante. 

    Jouant de l’hypocrisie la plus consommée, cette politique migratoire de masse se farde de préoccupations humanitaires et de références à des « valeurs » dont il n’est justement pas palpable d’estimer ce qu’elles valent d’heureux. Elle bénéficie de soutiens considérables (tel celui du milliardaire George Soros) et de la fréquente complicité médiatique aimant jouer du registre compassionnel. L’affaire de l’Aquarius est ici archétypale. Elle a donné à penser que les « migrants » avaient été secourus en mer quand ils ont été embarqués paisiblement aux larges des côtes libyennes comme autrefois le faisaient les bateaux négriers. Ainsi les complices de passeurs clandestins font-ils figure de sauveurs. En réalité ils contribuent à encourager les départs, c’est-à-dire à favoriser la perte de forces vives pour les pays émetteurs de migrants. L’universitaire Stephen Smith, spécialiste des questions migratoires sur ce continent, n’hésite pas à dire que le premier acte du migrant n’est pas héroïque mais constitue plutôt un acte d’abandon, un défaitisme. De surcroît, explique-t-il, ce ne sont pas les personnes les plus pauvres qui partent, mais des représentants de la classe moyenne africaine aujourd’hui émergente. S’ils font le choix de partir vers l’Europe, c’est en raison du différentiel de niveau de vie entre les deux continents. Mais, eux partant, l’espérance pour les autres recule. « Les migrants tournent le dos à un continent en panne dont les insuffisances leur semblent irréparables à l’échelle d’une vie humaine. Ils se sauvent.(...) L’acte civique consisterait à retrousser les manches et à investir toute cette énergie qui est aujourd’hui mobilisée pour des départs individuels dans des efforts collectifs pour changer la face du continent. » (1). On invoque volontiers le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, mais bien peu le droit des peuples à pouvoir vivre dans leurs pays. Quoiqu’il en soit ces flux migratoires s’amplifieront, compte tenu de l’extrême jeunesse de la population africaine (40% de moins de 15 ans) et, par suite, de la forte croissance démographique qui en résultera dans les décennies à venir. 

    Ces réalités appellent les nations européennes à définir des politiques migratoires dignes de ce nom. C’est peut-être le plus grand défi auquel elles soient confrontées. Ni la peur, dont chacun sait qu’elle est mauvaise conseillère, ni la compassion, qui extrapole exagérément les cas particuliers en généralités, ne peuvent sainement les inspirer. Il faut savoir raison garder. S’il y a « crise » aujourd’hui dans les pays d’accueil comme la France, ce n’est point en raison des prétendues caractères racistes et xénophobes de leurs habitants ou de leur insensibilité aux détresses humaines. Affirmer cela est se borner à ne jamais rien résoudre et à exacerber les tensions. Le malaise procède du constat alarmant d’une forte présence de population immigrée peu ou pas assimilée (ne parle-t-on pas de « territoires perdus » ?), jointe à une pression toujours plus forte d’une immigration incontrôlée et d’une intégration en panne. La société s’en trouve mécaniquement déstabilisée sur les plans social, économique et culturel. Sans parler des questions sécuritaires. Les Français (comme d’autres peuples en Europe) ressentent combien est menacé le droit légitime d’un peuple à sauvegarder son identité culturelle et historique. Une nation est une triple référence à un territoire, à un peuple et à une culture. Or ces trois réalités structurantes ne semblent plus défendues en tant que telles. S’en réclamer est même jugé contraire à l’ordre moral en cours. N’est moralement licite que d’en appeler au cosmopolitisme, au multiculturalisme et à l'immigrassiez-vous. Pour autant il n’est pas question d’envisager des nations-forteresses où les frontières seraient perpétuellement hermétiques, le droit d’asile nié et la société muséifiée. Il s’agit de définir ce que pourrait être une immigration sagement maîtrisée et régulée, en fonction des capacités réelles du pays récepteur en termes d’accueil et d’assimilation satisfaisants. Mais cela suppose une philosophie politique bien différente de celle qui prévaut actuellement (2). On en revient toujours à la question du bien commun, et à la question de l’Etat qui doit en être le maître d’œuvre.   

    1. Stephen Smith La ruée vers l'Europe — La jeune Afrique en route pour le Vieux continent, Grasset 2018

    2. Qu’on se rappelle l’affirmation inconcevable qu’avait osé proférer Erdogan (réélu ce 24 juin en Turquie) devant le Parlement allemand en 2008 : « L’assimilation est un crime contre l’humanité. » Les autorités allemandes avaient laissé courir...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/07/19/le-plus-grand-defi-6067376.html

  • Macron réunit les grands patrons pour qu’ils s’engagent à recruter les « jeunes des quartiers difficiles »

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    Emmanuel Macron a réuni mardi à l’Élysée les patrons des cent plus grandes entreprises françaises pour les appeler à renforcer les embauches des « jeunes » dans les « quartiers en difficulté ».

    Fier de lui, Macron a annoncé que les 30.000 offres de stages de classe de 3e promises dans son discours sur la politique de la ville en mai étaient déjà trouvées pour être proposées aux jeunes – mais lesquels ? – l’an prochain.

    15.000 stages seront proposés dans les services de l’État, et 15.000 autres dans les entreprises, dont 1.500 pour BNP-Paribas, 600 pour Accor et 1.300 pour la fédération du Bâtiment Travaux publics.

    « Un pays ne peut pas réussir quand seuls quelques uns réussissent », a affirmé Emmanuel Macron en concluant cette réunion intitulée « La France, une chance. Les entreprises s’engagent ».

    « L’Etat ne peut pas tout, les entreprises doivent s’engager », a répondu Patrick Pouyanné, PDG de Total, dans une parfaite harmonie de discours de « vivre ensemble ».

    Les patrons de Kering, BNP-Paribas, Accor, L’Oréal, Danone et Pernod étaient notamment présents, ainsi que ceux de plusieurs entreprises étrangères implantées en France, dont Zara, Novartis ou Coca-Cola.

    Emmanuel Macron a déclaré « tenir beaucoup » au testing, qui sera mené dans 40 des 120 plus grandes entreprises en septembre pour vérifier l’absence de discrimination à l’embauche. La seule discrimination autorisée et même souhaitée par l’Etat étant la « discrimination positive » qui se fait au détriment des Français de souche.

    http://www.medias-presse.info/macron-reunit-les-grands-patrons-pour-quils-sengagent-a-recruter-les-jeunes-des-quartiers-difficiles/95082/