magouille et compagnie - Page 1405
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Bonne question :
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Nous sommes en PAYS OCCUPÉ, il faut entrer en RÉSISTANCE !
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Les migrants : c’est bien pour se faire mousser ou se pousser du col
Les migrants : si on voulait être cynique, on dirait que ce n’est que du bonheur ! Pas pour les migrants, évidemment, mais pour tous ceux qui font leur miel de ces migrations de grande ampleur.
Du bonheur, d’abord, pour les passeurs. Un article du Parisien, le 10 juillet dernier, révélait que, selon l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (UNODC), ce trafic d’êtres humains (2,5 millions de personnes) a rapporté entre 5,5 et 7 milliards de dollars en 2016. On est loin, bien sûr, de ce que rapporte le trafic de drogue – 243 milliards en 2015, selon ce même UNODC – qui touchait, en bout de chaîne, 183 millions de consommateurs dans le monde.
Du bonheur, ensuite, pour toutes ces associations, organisations non gouvernementales qui se posent en corsaire de la cause humanitaire et, ce faisant, en complices passifs des passeurs. Du bonheur, sans doute, aussi, pour leurs donateurs qui s’offrent une bonne conscience, souvent déductible des impôts, comme c’est le cas en France. SOS Méditerranée, par exemple, qui arme l’Aquarius, serait financé à 98 % par des fonds privés. On notera quand même, pour l’anecdote, qu’en 2016, seize députés français, socialistes et radicaux de gauche, puisèrent dans leur réserve parlementaire pour subventionner cette association. On pourrait citer Bruno Le Roux, éphémère ministre de l’Intérieur de François Hollande, ou Sandrine Mazetier, vice-présidente de l’Assemblée nationale dans la précédente législature.
Du bonheur, aussi, pour des rescapés politiques, déjà couverts d’honneurs et de prébendes, comme Jean-Claude Gayssot, longtemps membre du Parti communiste, ministre des Transports sous Jospin et qui, aujourd’hui, à 74 ans préside le port de Sète ou, pour être plus précis, le conseil d’administration de l’établissement public régional Port de Sète Sud de France. Un établissement qu’il préside depuis mars 2017 après une élection à l’unanimité, bien aidée par la présidente socialiste de la région Occitanie Carole Delga. Et le voilà qui se pousse du col, proposant d’ouvrir le port de Sète à l’Aquarius en authentique humaniste, un peu comme s’il régnait sur une république maritime. Il nous semblait pourtant qu’en 1797, Napoléon Bonaparte avait supprimé la dernière existante – je veux parler de Venise – en permettant qu’elle devienne une province de l’Empire autrichien !
Du bonheur, enfin, pour Jean-Guy Talamoni, président de l’Assemblée de Corse qui s’érige, non seulement en donneur de leçons de morale humanitaire – car lui aussi propose que la Corse accueille l’Aquarius –, mais en potentat local qu’il n’est pas. En effet, on a peine à voir le rapport entre l’accueil des migrants et les compétences de la collectivité de Corse : aménagement du territoire, développement économique, culture et patrimoine, éducation et formation, langue, environnement… Jusqu’à nouvel ordre, Talamoni n’est pas le roi Théodore et la République est encore indivisible !
Mais il est vrai que la nature a horreur du vide et que, pour l’instant, Emmanuel Macron, à vouloir pratiquer la politique du « en même temps », donne la curieuse impression que l’État français est aux abonnés absents sur ce dossier. On ne peut être gentil et méchant à la fois. Matteo Salvini l’a bien compris : il fait le méchant, et cela lui réussit pas trop mal pour l’instant. Alors, en France, ici et là, on se fait mousser, on se pousse du col en jouant les phares de l’humanité compatissante. C’est bien, pour cela, les migrants, surtout quand on sait que, de toute façon, on n’a pas autorité et compétence pour agir. Votre proposition d’accueil des migrants fera flop au large de la côte ? Pas grave, on aura fait parler de soi, fait croire qu’on est plus important qu’on ne l’est et gagné à pas cher des jetons de moralité.
Au moment où le point final est mis à ce papier, on apprend qu’Emmanuel Macron a annoncé que la France allait accueillir 60 migrants de l’Aquarius. On passe du cabotinage au cabotage.
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Voile de Gap : Marlène Schiappa a pris son temps pour réagir…
Elle en a pris, du temps, pour réfléchir, Marlène Schiappa, depuis plusieurs jours que des femmes politiques LR et LREM, à propos d’une fillette portant le voile en affiche de la campagne publicitaire de l’enseigne américaine Gap, « Back to School », diffusée aux États-Unis et au Royaume-uni, se sont, de façon virulente, exprimées à plusieurs reprises sur la question. Décoiffant !
Il faut dire qu’elle prend des vacances bien méritées, la secrétaire d’État à l’Égalité femmes-hommes, et qu’au bord de la mer, entourée de « mixité sociale » sans affreux « yachts pour milliardaires » au milieu de « tout le monde » (pour reprendre les mots de son interview donnée à La Provence, la semaine dernière), elle a autre chose à faire et à penser ! Et puis, qui sait si ce n’était pas un « choix éclairé » de la part de cette gamine, de se cacher les cheveux, puisque maman Schiappa « n’interdirait rien idéologiquement » à ses filles, n’est-ce pas ?
En tout cas, côté féministes, éclairées celles-ci, on ne décolère pas. Non sans raison. C’est Florence Portelli, la vice-présidente du groupe LR au conseil régional d’Île-de-France, qui se montrait « assez abasourdie par le silence des féministes » en face de « ce genre d’affiche scandaleux ». « En quoi une petite fille est un symbole sexuel », « en quoi son visage exprimerait quelque chose d’indécent » ? Finalement, Marlène est d’accord : « À 9/10 ans, ce n’est pas un choix de porter le voile. » Mais à onze, l’âge de son aînée, si ?
Pour Valérie Boyer, la députée LR des Bouches-du-Rhône, voiler des gamines occidentales, contrées dans lesquelles se sont déchaînées les campagnes « MeeToo » et « BalanceTonPorc », tandis qu’en Orient « des femmes risquent leur peau pour l’enlever », est proprement inadmissible. Du côté de LREM, seule la députée Anne Lang s’est dite « heurtée » par cette affiche « tout à fait insupportable ».
Mais Marlène a donc réagi, alors, où est le problème ? Le problème, c’est que Marlène Schiappa, si elle n’y avait pas été un peu obligée, dérangée par le coup de téléphone d’un journaliste à l’heure de l’apéro, aurait peut-être fait la sourde oreille.
Féministe, Marlène Schiappa ? Une féministe, mais du XXIe siècle, qui voit dans le voile « un choix pour les femmes adultes » en même temps qu’« une forme de promotion de l’islam politique ». Mais alors, que peut bien signifier d’autre le voile porté par des mineures ? Mystère. Et contre l’expansion de cet islam politique, qui apparemment l’inquiète, que fait-elle, celle qui s’autodéfinit comme une ambitieuse ? On ne saura pas.
Marlène Schiappa, la féministe type de notre époque, maniant avec aplomb des contradictions qu’aucune lueur de lucidité ne vient jamais ébranler. Une féministe d’un genre nouveau pour qui les « ennemis des droits de la femme et de l’homme » sont « les extrémistes nationalistes et les obscurantistes de l’autre ». Vous savez, ceux qui « s’allient » et « promeuvent un idéal de société mortifère dans lesquels les femmes n’ont plus de liberté ».
Vous savez quoi ? En fait, Marlène, qui « s’imagine avoir des orgasmes à l’Assemblée », doit aimer se faire désirer. Apprécier que des journalistes « aillent la chercher ». Alors, celle qui reçoit « des menaces de mort et de viol » a pris son courage à deux mains pour envoyer un courrier à Gap. Pour lui remonter les bretelles, lui dire tout le mal qu’elle pensait de cette affiche promouvant l’obscurantisme musulman ? Notre culottée de féministe lui a tout bonnement demandé… de « s’expliquer ». Waouh !
En Macronie, avec des féministes de cet acabit, les obscurantistes sont tranquilles…
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Suite aux délires du stalinien Gayssot, la réaction de la Ligue du Midi :
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La « ruine tête alcoolique » stalinienne Gayssot, - qui a bénéficié d’un parachute doré comme directeur du Port de Sète- vient de déclarer son intention d’ouvrir le port à l’AQUARIUS, le navire refoulé de tous les ports européens de Méditerranée. Évidemment Carole Delga, présidente de la région et immigrationniste bêlante lui a immédiatement emboîté le pas…Attention ceci n’est pas une visite technique et il s’agit bien de déverser 141 migrants, dont 67 jeunes migrants isolés en provenance du Soudan et d’Érythrée.
La FRANCE mise sous pression
Comme le Ligue l’avait annoncé lors de la venue de l’AQUARIUS à MARSEILLE, début juillet pour ravitaillement, la fermeture des accès par l’ITALIE et par MALTE à transposé le flux vers l’ESPAGNE et maintenant vers la FRANCE.
Et voilà qu’avec l’initiative irresponsable d’un « bolcheviste » à la botte des multinationales, notre pays se trouve directement concerné et pris en otage. Or, si le précédent se crée, si un seul migrant débarque à SÈTE ou dans n’importe quel autre port français de Méditerranée, ce sera une noria incessante qui se mettra en route et des milliers d’envahisseurs qui seront déversés chez nous dans les mois qui viennent… et avec le chômage qui sévit en Occitanie, « qu’est-ce qu’on va en faire ? » disent nos compatriotes…
Un rejet catégorique et massif de la part du public
La lecture des commentaires des lecteurs dans la presse et particulièrement suite à l’article paru ce jour dans la Dépêche du Midi est édifiante. Elle marque un rejet massif et quasi unanime qui se traduit par des commentaires extrêmement virulents même après la modération habituelle.
La coupe est pleine, malgré la propagande, malgré le bourrage de crâne médiatique, l’opinion n’avale plus, elle recrache toute idée de nouvelle arrivée de migrants. Elle ne supportera aucun précédent de débarquement d’envahisseurs.
Chiffres truqués, situation hors de contrôle…
Les pouvoirs publics sont débordés par l’ampleur de l’invasion. Ils ne savent plus où caser les nouveaux arrivants et le moindre repli du pays en est « farci ». Tous les chiffres sont truqués. Le pays est littéralement submergé. Cela se voit à l’œil nu, plus personne ne peut l’ignorer et encore moins le cacher.
L’affirmation du refus de l’invasion par l’Italie, Malte, la Pologne, l’Autriche, la Hongrie, les pays du groupe de Višegrad a créé un mouvement qui a « libéré » l’opinion publique en France. Désormais la question de l’invasion obstrue tout le champ politique, elle est au premier rang des préoccupations. Plus personne ne croit au mythe de l’intégration ou du vivre-ensemble. Au contraire, quotidiennement, chacun peut mesurer les méfaits de l’invasion, chacun en subit les conséquences directes dans sa vie personnelle. Plus personne n’y échappe. Les consciences se sont éveillées, c’est irréversible. L’immigration clandestine, c’est l’insécurité garantie dans les villes grandes ou moyennes d’Occitanie dès la nuit tombée avec la « valse des poignards ». D’ailleurs certains indices révèlent que le changement d’attitude du peuple est en cours de prise en compte par les tenants de la mondialisation qui sentent bien qu’il leur faut au moins faire une pause (1).
Les politiques dûment avertis
Les politiques ne peuvent pas se tromper sur l’état de l’opinion publique, ils sont avertis. Personne ne veut voir arriver de nouveaux migrants débarqués par ces ONG (2) qui trafiquent avec les passeurs et qui se remplissent les poches tel le Réseau Accueil Insertion des migrants qui vient de se voir sanctionner par le Conseil Départemental de l’Hérault. Par conséquent, toute ouverture du pays même partielle, même a minima pour des raisons prétendument humanitaires sera interprétée comme un défi, comme un passage en force. L’opinion, particulièrement en Occitanie et sur l’arc méditerranéen, n’acceptera aucun compromis aucune mise devant le fait accompli de la part des politiques.
Pour stopper totalement et définitivement l’invasion migratoire, la Ligue du Midi exige l’organisation d’un référendum dès la rentrée.
Des risques très sérieux de troubles à l’ordre public
La Ligue attire solennellement l’attention des décideurs. Le contexte est extrêmement tendu et tout passage en force pourrait provoquer de graves troubles à l’ordre public et des actes de violences qui pourraient ouvrir un cycle que plus personne ne saurait maîtriser.
Que les politiques y prennent garde, les français ne se laisseront pas faire sans réagir. Trop c’est trop.
La Ligue du Midi rejette radicalement cette initiative individuelle d’un personnage caduc qui ne dispose d’aucune autorité pour ouvrir le pays à l’invasion migratoire. Nous appelons les décideurs à la responsabilité et à ne rien faire qui puisse créer les conditions d’une réaction passionnelle d’une population excédée.
Face à la gravité de la situation, nous appelons toutes les organisations patriotes et tous les citoyens à s’unir et à manifester - si le navire se présente au large de Sète - pour faire barrage au débarquement de nouveaux migrants.
Notes
(1) Gibraltar est en train de retirer son pavillon à l’Aquarius qui n’est pas habilité pour procéder à des « sauvetages »
(2) Tout le monde sait que les embarcations des migrants sont guidées par les ONG (naufrageurs des temps modernes) à partir des côtes africaines et coulées sciemment en haute-mer
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Gap affiche une fillette voilée dans sa dernière campagne de pub : ça y est, nous y sommes…
Au milieu d’un groupe d’enfants ou en duo avec un garçon qui arbore fièrement sa coupe afro pose une fillette d’une dizaine d’années, coiffée d’un hijab. La campagne publicitaire que Gap vient de lancer pour la rentrée aux États-Unis et au Royaume-Uni a déclenché l’ire de nombreux internautes français. Des Républicains à La République en marche, plusieurs personnalités politiques, comme Mmes Guirous et Boyer, Bergé et Lang, ont également condamné, voire appelé à boycotter la marque américaine de vêtements.
Anne-Christine Lang dénonce une « volonté de polémique pour faire un buzz ». La provocation est probable : si la Bible prédit le « malheur à celui par qui le scandale arrive », dans le domaine du marketing, c’est souvent tout le contraire. Mais, pour que le scandale soit financièrement rentable, il faut aussi des gens que ce scandale lui-même scandalise. Autrement dit, dans cette affaire, des gens qui ne comprennent pas qu’on cherche des noises à Gap, et même qui trouvent très bien cette publicité. Il ne doit certes pas en manquer, et pas seulement des musulmans adeptes du voile.
Sur son site, rapporte Le Figaro, Gap France « expliquait […] : “Cette saison, Gap Kids encourage les enfants à renouer avec l’école en célébrant les différences” » (la phrase a fort opportunément disparu depuis). Rien de nouveau sous le soleil, voilé ou non : en 2017, pour justifier une affiche publicitaire montrant « une jeune femme coiffée d’un voile très couvrant », l’enseigne affirmait déjà que « Gap est une marque qui célèbre la diversité ». La diversité, forcément, c’est bien. Du moins, une certaine diversité. Car le hijab n’est pas un couvre-chef comme le bob ou le chapeau cloche. C’est un signe religieux. Et, dans le monde selon Gap, s’il y a de la place pour le foulard musulman, on ne trouve nul accessoire rappelant d’autres religions.
Lydia Guirous n’a donc pas tort de voir dans cette publicité une « soumission à l’islamisme » et de souligner que le port du voile islamique imposé aux fillettes « est une maltraitance et un piétinement de nos valeurs d’égalité, de liberté et de laïcité ! »
Mais, à une époque où tout le monde trouve normal que les femmes mûres s’habillent comme des adolescentes et les fillettes comme des femmes, il n’est pas étonnant que certains trouvent naturel qu’une enfant de neuf ou dix ans soit voilée comme l’est sa maman. D’autre part, si les filles sont ainsi à l’image de leurs mères, elles en sont aussi l’image. C’est là que la publicité est perverse. Si elle est odieuse par l’instrumentalisation qu’elle fait de l’enfant, elle est dangereuse par l’image qu’elle donne à travers cette fillette voilée, par métonymies successives, de la femme voilée, du voile islamique et de l’islamisme.
Sur la photo, l’enfant rit : le voile n’est donc pas un instrument d’oppression mais sinon le gage, du moins une des sources du bonheur. Elle est vêtue d’une veste en jean et d’un pantalon skinny : le voile, et par conséquent l’islamisme, ne sont donc pas incompatibles avec la modernité et la culture occidentale. Quant à ceux qui s’indignent que cette publicité considère qu’une fillette est un objet sexuel potentiel, les islamistes auront tôt fait de retourner leur argument par ce syllogisme : on voile des fillettes ; or, une fillette ne saurait être un objet sexuel, donc le port du voile islamique ne fait pas de la femme un objet sexuel.
Ce n’était sans doute pas le but, mais cette campagne donne une formidable publicité à l’islamisme. Sans compter que les fillettes voudront toutes un hijab à la rentrée. Gap serait bien inspiré d’ajouter ce produit à son catalogue.
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Querelle sur les transferts iraniens de liquidités: Washington fait pression sur l'Allemagne
Washington : Le gouvernement américain accentue ses pressions sur l’Allemagne pour empêcher une somme de 300 millions d’euros en avoirs iraniens de quitter l’Allemagne. Il s’agit d’avoirs appartenant à la banque publique commerciale euro-iranienne qui sont entreposés actuellement dans les coffres de la banque fédérale allemande. Téhéran veut se préparer à faire face aux sanctions élargies que lui impose Washington ; or, comme le versement d’une telle somme n’est plus possible, à cause des conditions qui ont été modifiées, le gouvernement iranien s’efforce de faire rapatrier cet argent en liquidités. Washington veut empêcher cette opération.
Le gouvernement américain compte sur un refus allemand de procéder à ce transfert de liquidités et se réfère aux nouvelles conditions régissant les transactions commerciales internationales qu’a acceptées la banque fédérale allemande. « Nous serions reconnaissants à nos partenaires du gouvernement allemand, s’ils admettent la nécessité de contrer les activités destructrices de l’Iran », a déclaré l’ambassade des Etats-Unis. La décision de la banque fédérale allemande de rendre ses règles plus sévères, « contrecarrera les efforts problématiques de l’Iran, de faire transférer par avion, au départ de l’Allemagne, des cargaisons entières de liquidités ».
Ces nouvelles conditions pour les transactions, qui entreront en vigueur le 25 août prochain, veulent que, pour des paiements en liquidités aussi importants, il faut donner des explications, notamment pour empêcher le financement du terrorisme. Si les explications ne s’avèrent pas suffisantes, la transaction pourra être refusée. Les Etats-Unis reprochent à l’Iran d’utiliser l’argent demandé pour financer des activités terroristes au Proche Orient.
L’Allemagne, une fois de plus, s’est placée entre plusieurs chaises, parce que Berlin, comme toutes les autres capitales des pays de l’UE, ne veulent pas davantage heurter l’Iran, au moment où les Etats-Unis lui infligent de nouvelles sanctions. Le refus du transfert demandé pourrait avoir des conséquences fâcheuses pour l’Allemagne et pour l’Europe dans son ensemble.
Ex : http://www.zuerst.de
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Bravo l'Italie ! Bravo Salvini !
« L’Aquarius avec 141 autres immigrants à son bord : une propriété allemande, affrété par des ONG françaises, avec un équipage étranger, dans les eaux maltaises, battant pavillon de Gibraltar. Il peut aller où il veut, pas en Italie ! »
Matteo Salvini (Twitter).
Le navire humanitaire Aquarius avec 141 personnes, sauvées au large de la Libye, a de nouveau été interdit d’entrer dans un port italien, a indiqué le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini dans un tweet.
Avec 141 migrants secourus près de la Libye, le bateau humanitaire Aquarius, affrété par l’association SOS Méditerranée, a de nouveau voulu entrer dans un port italien, mais a reçu un refus de la part du ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini.
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Ces deux mois de canicule qui ont causé des milliers de morts
C'était en 1911 et c'était pire que notre épisode de 15 jours. Mais à l'époque, personne ne vendait du réchauffement climatique. Un très bon article appuyépar les reportages de la presse de l'époque.
"On estime que 40 000 personnes périrent à cause de la chaleur au cours de l'été 1911, principalement des enfants en bas âge. Une catastrophe sanitaire largement documentée par les bulletins statistiques de l'époque mais qui fut passée sous silence par la presse, sans doute sous la pression des pouvoirs publics alors engagés depuis plusieurs années dans une lutte contre la mortalité infantile, dont cette crise menaçait de révéler les faiblesses.
Au total, ce sont deux mois et demi d’extrême sécheresse et de températures élevées que connurent les Français cet été-là. La canicule finira par cesser définitivement au milieu du mois de septembre, après quelque 70 jours de chaleur écrasante".