magouille et compagnie - Page 1511
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Syrie : la ligne rouge sang des Occidentaux - Journal du Mercredi 11 Avril 2018
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ATTAQUE CHIMIQUE EN SYRIE : LA GRANDE MANIPULATION
Cette fois, ça y est : Bachar a franchi la ligne rouge ! Il a bien choisi son moment : l’armée syrienne a repris 95 % de la Ghouta, le dernier carré islamiste contrôle 1,5 km2 et l’assaut final commençait sur Douma. L’issue était certaine, surtout avec l’appui de l’aviation russe.
Et c’est maintenant qu’il déclenche son attaque chimique… Drôle d’idée !
Revenons aux faits : les lanceurs d’alerte sont les Casques blancs. Qui sont-ils ? Des islamistes, combattants ou non selon les cas, qui jouent le rôle d’une sorte de défense civile. Ce sont des militants soigneusement sélectionnés : ne devient pas Casque blanc qui veut, en zone djihadiste.
Les services sanitaires prennent le relais et confirment sur Internet l’attaque chimique. Qui sont-ils ? De vrais médecins, certes, mais islamistes également. Ils ont choisi le camp djihadiste depuis le début de la guerre, dans cette Ghouta sunnite largement acquise aux milices combattantes.
Puis ce sont les photos et les vidéos : impossible de savoir d’où elles viennent. Le Figaro, en pointe sur le sujet, nous montre la photo d’une fillette qui pleure et d’un petit garçon affublé d’un masque à oxygène. Voilà une preuve ! Et l’ineffable Isabelle Lasserre (la même qui soutenait les islamistes tchétchènes contre les Russes), écrit : « Selon les organisations humanitaires, le nouveau massacre de la Douma, le dernier bastion rebelle dans la Ghouta orientale, aurait fait 48 morts. Sur les réseaux sociaux, les photos des enfants en train de suffoquer sont insoutenables. »
La messe est dite et l’on appréciera, au passage, le style de cette journaliste militante : « les organisations humanitaires » (nullement islamistes, bien sûr), « le bastion rebelle » (rebelle est plus chic qu’islamiste), « les réseaux sociaux », le conditionnel. Le Figaro, Le Monde et Libé devraient faire page commune sur la Syrie.
Immédiatement, les Occidentaux voient rouge. Rien n’est sûr, pourtant ? Mais si : c’est forcément Bachar, cet « animal », comme dit Trump qui n’en rate pas une.
Les Occidentaux sont, de toute façon, prisonniers de leur rhétorique manichéenne depuis sept ans. À force de répéter que Bachar est un monstre « qui massacre son propre peuple », aucun recul, aucune analyse un tant soit peu objective ne sont maintenant possibles.
Alors, que vont-ils faire ? Maintenant qu’ils ont désigné le coupable sans aucune preuve, il faut agir, sinon, que diront les médias et la police de la pensée ? Edwy Plenel et BHL vont s’indigner !
Et puis, cette fois, 48 Tomahawk lancés un peu nulle part ne suffiront pas à calmer les ardeurs guerrières des faucons de Washington, Londres et Paris.
Heureusement qu’il y a des Russes sur place, sinon Damas pourrait finir comme Bagdad.
http://www.bvoltaire.fr/attaque-chimique-syrie-grande-manipulation/
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Zoom - Yves-Marie Adeline : Nous vivons dans une oligarchie !
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La Russie avertit Macron et les USA : Toute attaque de la Syrie au profit des djihadistes entraînera une « riposte russe »
Source Breiz Atao cliquez ici
Alors qu’une nouvelle opération d’intoxication a été lancée par les USA, la France, la Grande-Bretagne et Israël contre la Syrie pour justifier une intervention au profit des djihadistes contre le gouvernement de Bachar al-Assad, la Russie a annoncé que cela supposera de l’affronter militairement.
« La Russie répondra si son armée est frappée par des frappes US en Syrie » a indiqué un sénateur russe.
Comme le rappelle le journaliste Elijah Magnier, qui couvre le conflit depuis le début, toute frappe contre l’armée syrienne reviendra à frapper l’armée russe car cette dernière a des officiers dans toutes les unités du gouvernement syrien.
Mensonge visant à légitimer une intervention au profit des djihadistes
Malgré l’utilisation frauduleuse et récurrente de mensonges sur l’utilisation « d’armes de destruction massive » par des pays que les USA, Israël ainsi que leurs vassaux veulent détruire, le même motif est utilisé une nouvelle fois par les médias occidentaux et leurs commanditaires.
Chacun se souvient de ce prétexte à l’ONU pour la guerre d’Irak en 2003 avec pour conséquence la mort d’un million de personnes et l’émergence de l’Etat Islamique. cliquez ici
Le même scénario s’est reproduit contre la Libye de Mouammar Kadhafi en 2011, avec les conséquences que l’on sait : l’effondrement de ces états laïcs, la montée en puissance de milices djihadistes armés par les pétromonarchies et les états occidentaux et enfin, le chaos migratoire. cliquez ici
Malgré cette réalité, la propagande néo-conservatrice, qui domine largement les médias occidentaux et français, ont décidé de recourir à la même excuse pour secourir les djihadistes soutenus par les pétromonarchies et Israël, dans la région de Damas.
C’est une organisation financée par George Soros (source) et affiliée aux Frères Musulmans, les « Casques Blancs », qui ont une nouvelle fois monté une attaque chimique fictive.
Sputnik News (source) :
Comme hier, la frappe de ce lundi 9 survient au surlendemain d’une attaque chimique supposée. Si Washington et Paris ont rapidement démenti être à l’origine de ces frappes — les regards se tournant à l’heure qu’il est vers Tel Aviv —, d’autres points de rapprochement entre ces deux épisodes de crise subsistent.
Comme en avril 2017, les preuves brandies sont les photos et vidéos d’une «ONG médicale» — à savoir les sulfureux Casques blancs — auxquelles s’ajoutent les accusations des «rebelles» — en l’occurrence de Jaych al-Islam, des extrémistes qui n’hésitent pas à exécuter les civils hostiles à leur mainmise dans la Ghouta orientale.
Rappelons que les Casques blancs ont été créés en 2013 par un ancien officier britannique reconverti dans le mercenariat, présentés par nos confrères français comme une «ONG» opérant en zone rebelle. Ils sont très officiellement financés et soutenus par l’USAID, l’agence gouvernementale américaine pour le développement et le Foreign Office britannique. Cette vidéo de septembre 2016, où l’on voit Boris Johnson évoquer sa «fierté» de prodiguer 32 millions de livres sterling de soutien aux Casques blancs — soit alors la moitié de l’aide qu’ils recevaient — peut en témoigner.
Macron décide de mentir sciemment
Malgré cette réalité, Emmanuel Macron a décidé de mentir sciemment à l’opinion publique pour soutenir le principe d’une guerre d’agression illégale contre le gouvernement syrien qui mène une guerre victorieuse contre le djihadisme.
S’il n’y a eu à ce stade aucune enquête et qu’aucun élément n’a été présenté à l’opinion publique pour étayer ces accusations, le président français a déjà validé les préparatifs militaires sous les ordres des USA.
Au demeurant, la « sensibilité » de la présidence française sur les quelques morts alléguées par les djihadistes par un « gazage », la même n’a jamais jugé utile de tenir le même discours à l’Arabie Saoudite, elle-même engagée dans une famine organisée contre la population du Yémen.
Il faut dire que la France vend d’importantes quantités d’armement à la tyrannie wahhabite saoudienne, de quoi acheter le silence de la très droits-de-l’hommiste présidence française.
En tout état de cause, la France devra affronter la Russie, puissance nucléaire dont les forces sont déployées partout en Syrie.
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Incroyable : les noms de 2 626 agents du renseignement aux mains d’une islamiste
Trouvé sur Le Point : L’information est connue des autorités depuis un an mais était traitée avec la plus stricte confidentialité. En avril 2017, une jeune femme, Mina B., fichée S, est entendue dans le cadre d’une enquête judiciaire portant sur ses liens avec la mouvance radicale. Lors de son audition, Mina s’épanche. La police va alors découvrir des informations si sensibles qu’elles feront l’objet d’une seconde enquête préliminaire…
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UNIVERSITÉ DE NANTERRE : COMMENT ON A ÉCHAPPÉ DE PEU À LA TUERIE…
Encore plus sauvage que le Vietnam et les soldes du Black Friday réunis, Nanterre 2018 demeurera dans les mémoires des démocrates. Là, en effet, les combats font rage comme jamais depuis ce lundi. Évidemment, l’endroit n’est pas le premier trou perdu venu, puisque c’est de « cette université emblématique de la région parisienne qu’est partie la contestation en Mai 68 », nous rappelle L’Obs, avec cette mâle assurance propre aux correspondants de guerre.
Tout commence donc à sept heures du matin, quand « une trentaine d’individus pénètrent par effraction dans un bâtiment. » Afin d’y organiser la résistance face à l’arbitraire, il va de soi. Seulement voilà, il y a comme toujours un traître dans la place, un certain Jean-François Balaudé, lequel prétend être le président de l’établissement. Et le représentant de la Cinquième colonne en question d’avouer : « On a demandé l’intervention des CRS, car ce n’étaient pas des étudiants de l’université. »
Présents sur les lieux, les intrépides reporters de L’Obs expliquent : « Les jeunes se sont retranchés sur un toit. » Tandis que les forces de l’ordre, n’écoutant que leur courage – ou les ordres de leur hiérarchie –, préféraient sagement se replier. Mais c’était pour mieux revenir. En effet, deux cents étudiants qui tenaient une assemblée improvisée, finissent par être délogés par les mêmes CRS. Bilan de cette véritable guérilla urbaine ? Trois blessés légers, dont deux policiers. Sans oublier ces blessures qui, elles, ne cicatrisent jamais, ces traumatismes psychologiques subis par ceux ayant vu la mort les frôler de trop près.
Ainsi, Jean-François Lé Val, élu du personnel au conseil d’administration, se dit extrêmement « choqué » : « Ça fait trente-huit ans que je suis ici, je n’ai jamais vu les CRS intervenir comme ça. » Plus terrifiant encore, Anne-Frédérique Perol, bibliothécaire, se dit « sidérée ». Mais ce n’est rien, par rapport au calvaire enduré par Zoé Vaillant, professeure de géographie : « Le président de Nanterre commémore Mai 68, mais quand on demande le dialogue, il envoie les CRS ! »
On remarquera, fait aggravant, que les sections d’assaut de l’ordre noir plus haut évoquées n’ont pas jugé bon de mettre sur place les cellules de soutien psychologique qui auraient permis d’aider les victimes à reconstruire des vies désormais brisées à jamais. Même ce geste humanitaire, l’État policier de Macron et de ses sbires l’a refusé, dévoilant ainsi son véritable visage.
Tout démocrate digne de ce nom ne peut donc que s’indigner devant les explications du fantoche Balaudé, tentant de justifier cette rafle ayant manqué de se transformer en bain de sang : « J’ai considéré qu’on n’était pas du tout dans le contexte de la mobilisation contre la loi ORE, la plateforme de revendication des jeunes occupant le bâtiment était beaucoup plus large, de style autonome. » Nous y voilà… De « style autonome » ? Comme on évoquait autrefois des « suspects de type méditerranéen »… Pourquoi cette « stigmatisation » ?
D’ailleurs, le sinistre Balaudé ne trompe personne, n’hésitant pas à signer son crime, lorsqu’il prétend : « Je souhaite repartir en dialogue avec mes personnels et mes étudiants. »
Plus sérieusement, on lui conseillerait plutôt de repartir en vacances.
http://www.bvoltaire.fr/universite-de-nanterre-on-a-echappe-de-a-tuerie/
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PRÉLÈVEMENT À LA SOURCE : LOURDE CHARGE POUR LES PME ET SPOLIATION DES CLASSES MOYENNES ?
Le prélèvement à la source est une complication pour les PME. Elles devront soit modifier les logiciels maison, soit demander aux comptables de s’occuper de ces problèmes ce qu’ils feront bien volontiers, mais en augmentant leurs honoraires (ce qui est normal, car toute travail mérite salaire). Par ailleurs, les dirigeants des entreprises petites ou moyennes seront, en cas d’erreur, pénalement responsables. Or cette réforme est une usine à gaz : comment être sûr d’appliquer le bon pourcentage sans se tromper ? Les contentieux risquent d’être nombreux et les sanctions vont pleuvoir sur des personnes qui n’ont rien demandé.
Les responsables syndicaux des dirigeants de PME demandent non le report de la mesure (il ne servirait à rien, car on en a déjà eu un), mais l’abolition des poursuites pénales en cas d’erreurs (sauf pour les fraudes manifestes, c’est-à-dire les patrons qui retiendraient les impôts, mais ne le restitueraient pas à l’État). Ils souhaitent également une aide financière, ce qui est logique puisque cette réforme va coûter de l’argent aux entreprises. Et pourtant, la perception de l’impôt sur le revenu engendrera pour l’État les mêmes frais qu’avant. Mais, bien entendu, le gouvernement va faire la sourde oreille. Pour lui il n’y a aucun problème et tout est réglé !
Quant aux contribuables, le réveil risque d’être amer. Ils auront dès le mois de janvier une paye minorée même si pour finir, leur pouvoir d’achat ne bougera pas. Car les prélèvements seront plus lourds dans un premier temps. Ceux qui payaient par tiers, par exemple, gardaient l’argent de leurs impôts jusqu’en mars. En outre, avec le prélèvement à la source, les déductions fiscales interviendront tardivement : un remboursement de 30 % en mars et le solde en septembre. Le contribuable paiera donc plus le premier semestre avant de récupérer sa mise. L’augmentation provisoire de la pression fiscale et l’impression (fausse) de diminution des revenus auront un effet récessif évident. Les Français restreindront leurs dépenses au début de 2019.
Mais le pire est sans doute à venir pour les classes moyennes. Tôt ou tard la CSG risque de fusionner avec l’impôt sur le revenu, avec à la clé la suppression du quotient conjugal (chaque membre du couple paiera séparément ses impôts, ce qui alourdira la facture des conjoints dont l’un gagne plus que l’autre), la suppression du quotient familial et de toutes les niches fiscales y compris celles pour les emplois à domicile. En plus, ceux qui gagnent moins seront exemptés de CSG et les classes moyennes paieront à leur place. Un premier projet a été présenté dans les colonnes du Figaro : il crée trois classes à 0 % jusqu’à 1900 euros, à 15 % entre 1900 et 5000 euros et à 40 % au-dessus. Un couple dont le mari gagne 9000 euros par mois, dont la femme ne travaille pas, deux enfants, payant 3000 euros annuels pour une aide ménagère paierait 2500 euros de plus. Les classes moyennes supérieures seront une nouvelle fois laminées, car les taux seront bien plus élevés que ceux de cette proposition.
http://www.bvoltaire.fr/prelevement-a-source-lourde-charge-pme-spoliation-classes-moyennes/
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Tribune libre : Pourquoi nos dirigeants mondialistes haïssent-ils leur peuple à ce point ?
Victor Hallidée Riposte laïque cliquez ici
Nombre de personnes se posent cette question qui revient de façon sporadique, obsédante :
Pourquoi cet acharnement à détruire l’avenir des générations futures et à faire de la France un futur Liban ?
Pourquoi les dirigeants des pays d’Europe de l’Ouest ont-ils opté pour le suicide… celui des peuples et des pays dont ils ont la charge ?
Autre modalité de formuler la question : pourquoi les pays de l’Est résistent-ils ? Pourquoi ont-ils encore l’amour de leur pays et de leur culture chevillé au corps ?
Ce qui sauve les pays d’Europe de l’Est, c’est qu’ils n’ont pas connu Mai 68, qu’ils n’ont pas été décérébrés par l’idéologie libertaire.
Tandis qu’en Europe de l’Ouest, la génération soixante-huitarde a déstabilisé notre édifice anthropologique : destruction des valeurs chrétiennes ; destitution du père et de toutes les figures représentatives de l’Autorité ; destruction de la famille ; déni de la différence sexuelle ; frustrations homosexuelles et post-féministes ; retour du refoulé chrétien : culpabilité, haine de soi.On ne peut rien comprendre si on ne prend pas en considération que cette génération parricide soixante-huitarde et post-soixante-huitarde, aux affaires depuis plus de trente ans, constituée en oligarchie euromondialiste, s’est fixée un but qui ne peut être avoué aux populations.
Si l’on nomme les choses par leur nom, il s’agit d’un COMPLOT élitaire, d’une stratégie, d’un discours public ad hoc, qui ont pour objet de mener ce projet à son terme.
Ce projet c’est l’objet sacré du fantasme, du désir des « élites » euromondialistes : LE GOUVERNEMENT MONDIAL !
Pognon et jouissance à gogo ! Vie de nababs… Tout ça vous met en affinités avec d’autres élites et d’autres lois…
Prenant appui sur ces affinités ploutopornocratiques inavouables, nos « gouvernances » optent pour le semblant, surfent sur un relativisme pervers (pour lequel tout vaut tout, à commencer par le bien et le mal, l’assassin et sa victime) et paradent en humanistes universalistes anti-racistes !
La haine des dirigeants sans foi ni loi de nos pays se reporte alors, en réflexe de caste, sur les peuples européens qui n’ont que leur attachement à leur mode de vie, à leur culture, leur civilisation. Peuples auxquels ils ne s’identifient plus et qu’ils méprisent.
Dès lors leur sacrifice devient possible.
Quelles sont les affinités qui conduisent nos ploutocrates à embrasser les desseins de théocraties archaïques et violentes ?
La visée des soixante-huitards et post-soixante-huitards – jouir sans limite – n’est-ce pas précisément ce en quoi consiste la tyrannie des autocraties islamiques ?
Nos soixante-huitards aux commandes en bavent d’envie et de duplicité…
Esclavage ? Permis ! Profits sans limites réservés aux aristocraties en place ? Permis !
Pedophilie ? Permis ! Polygamie ? Permis ! Meurtre ? Permis !
Et bien sûr, des sauf-conduits pour les dirigeants (homosexualité, orgies, consommation d’alcool, etc. – étant seulement interdits aux masses, au bétail humain).
Un principe de domination dictatorial, autocratique, sans empêchement légal ni culpabilité ! Le rêve pour nos soixante-huitards ! Ah ! Mais c’est bien sûr ! La jouissance est de ce côté ! Détruire, faire disparaître le christianisme et la démocratie, ainsi que ceux qui y sont attachés, voilà la solution ! La submersion islamique fera le travail !
Le principe de fonctionnement de ce « post-modernisme managérial » repose sur la capacité à faire partie des dominants. Exit les scrupules et la culpabilité. Qu’importe si à cette aune, les compétences seront en recul et le bakchich en hausse. Bienvenue aux pervers et truands de tous poils !
Telle est la mentalité des « managers post-modernes », tel Macronus Jupiteribus, qui invitait les jeunes, lors de sa campagne électorale, à avoir un idéal digne de leur époque, celui de devenir milliardaires.
Ce à quoi aboutit l’idéologie libertaire-libérale – sous couvert d’alibis humanitaires, de l’amour de l’Autre, de l’égalité et de la fraternité avec l’Autre – c’est à la destruction de la société chrétienne égalitaire, son remplacement par une société inégalitaire (inégalités homme/femme, musulman/non-musulman) bien plus propice à la marchandisation du monde.
Instrumentaliser les principes chrétiens pour faire disparaître le christianisme ! Bien joué ! Pas des demi-pervers les gars ! Sauf que vous êtes en train de scier la branche sur laquelle vous êtes assis ! Quand vous serez convertis à l’islam, vous resterez des Blancs, des Occidentaux, pour ceux avec lesquels vous aspirez à gouverner. Le racisme et l’ethnocentrisme, le tribalisme inhérents aux sociétés archaïques, se substitueront au théocentrisme pour vous exclure et mettre votre existence en danger.
Vous avez joué l’islamisation de l’Europe : malheur aux femmes, malheur aux minorités chrétiennes, juives, athées, etc. Malheur aux faibles, aux vieux sans ressources (l’euthanasie chère à Attali pèse sur leurs têtes). Malheur à ceux qui ont une éthique, un esprit critique et des scrupules (la fin de la liberté d’expression est en marche) !
Ploutocrates-oligarques, vous devrez en rendre compte !
Au diable la démocratie empêcheuse de jouir en rond ! Telle est la mentalité des soixante-huitards au pouvoir et de la génération inculte qui suit, conservatrice aveugle et abrutie des anti-valeurs soixante-huitardes.
Ironie tragique : cette fuite en avant de l’idéologie soixante-huitarde libertaire, aux manettes depuis plus de trente ans, aboutit à l’islamisation de l’Europe !
Mais il est logique qu’un mouvement qui s’attaque à l’anthropologie d’une société, qui supprime les fondements d’une civilisation, va dans le sens de sa destruction.
C’est longtemps après, aujourd’hui, que se manifestent les résultats concrets, complètement fous et abjects.
Les peuples européens vont-ils aller sans réagir à l’abattoir que leur ont concocté leurs criminels dirigeants (l’islamisation sous contrainte de la machette et de la kalachnikov, la menace de l’égorgement, les crimes de masse) comme sont allés aux chambres à gaz – parce qu’ils ne pouvaient y croire – les juifs qui débarquaient des trains qui les conduisaient dans les camps de concentration ?
Il n’est pas impossible que les peuples se réveillent et que la peur change de camp. Un signe encourageant : quelques rats commencent à quitter le navire…
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Derrière les blocages : l’extrême gauche - Journal du mardi 10 avril 2018
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Le « scandale Facebook » - dit aussi « scandale des données »
Mark Zuckerberg
Le « scandale Facebook » - dit aussi « scandale des données » - fait la « une « des médias du monde entier. L'indignation est générale.
Comme si l'objet du scandale était une surprise. Alors que de fait l'exploitation commerciale des informations personnelles ou non imprudemment mises en ligne sur Facebook par des multitudes d'internautes des cinq continents est au principe même de ce réseau mondial tentaculaire. C'est d'ailleurs là aussi son principe financier qui a produit ses profits colossaux et engendré sa puissance, égale ou supérieure à nombre d'États ...
Autour de deux milliards d'utilisateurs se sont ainsi vautrés dans l'étalage vulgaire de leur intimité, de leur mode de vie, de leurs opinions, de leurs comportements privés, et même de leurs pulsions les plus diverses, voire les plus scabreuses, abandonnant cette pudeur ancestrale, ce silence jaloux sur les « misérables petits tas de secrets* » qui avaient prévalu depuis la nuit des temps. Comme si, dans le monde virtuel, l'homme de l'ère numérique s'était senti soudain libéré de cette sorte de retenue qui est naturelle aux rapports humains, charnels, du monde réel. Retenue qui est pourtant l'un des fondements de la vie en société, de la civilisation elle-même.
Facebook a vendu très cher ces données. Elles seraient « le pétrole » de l'ère postmoderne, la richesse immatérielle de cette société liquide, cette « civilisation » de l'impudeur où ne subsistent plus que l'individu réduit à l'état de consommateur hyperconditionné, et le marché qui l'encadre et l'exploite. Cette emprise d'un 3e ou 4e type s'exerce notamment grâce à la maîtrise sophistiquée d'une masse considérable de données sans qualités autres que mercantiles. Ses champions d'origine US sont les GAFA.
Et voici que le scandale Facebook s'amplifie. Qu'il prend des proportions inouïes. Que son titre perd 15% à Wall-Street. Qu'il est introduit dans l'aire politique et judiciaire. En France, des caisses de retraite ou de Sécurité Sociale ferment leurs pages Facebook - et / ou leurs comptes Twitter. Nombre de particuliers ou d'institutions en font autant. De multiples plaintes sont déposées. Notamment auprès de la CNIL. Aux Etats-Unis le Congrès est saisi de la question et doit procéder aujourd'hui à l'audition de Mark Zuckerberg. Il ne faut pas trop s'attendre, nous semble-t-il, à ce que, malgré les quatre-vingt sept millions de membres américains de Facebook lésés par ses pratiques, les Institutions fédérales états-uniennes s'aventurent à porter sérieusement atteinte à la puissance et à la richesse de ce fleuron hégémonique de leur « industrie » numérique.
La repentance tardive de Mark Zuckerberg, son actuel président, égal ou supérieur à nombre de chefs d'État, semble activer l'incendie plutôt que de l'éteindre, au point que son prédécesseur, Sean Parker vient d'accuser le Facebook de Mark Zuckerberg d'exploiter « la vulnérabilité humaine ». C’est parler d'or.
Mais il y a plus grave, nous semble-t-il que le dévoilement mercantile de ces millions de « misérables petits tas de secrets » dont seuls les intéressés s'imaginent qu'ils ont un intérêt.
En premier lieu, l'affaire Facebook met en marche, par réaction, une volonté affichée de reprise en mains et de contrôle par la police de la pensée, des espaces de vraie liberté qui ont pu se développer sur Internet. Gare aux sites, blogs et autres qui divergeront avec le politiquement correct ! Gare aux fermetures à venir. Sur Facebook et ailleurs. Le moment est peut-être venu pour la cléricature des systèmes dominants de réduire les insupportables médias qui échappent encore à son contrôle.
Il y a en second lieu, s'agissant de l'addiction d'un grand nombre de gens, surtout jeunes, â la fréquentation trop exclusive de Facebook et des réseaux parents, le reformatage débilitant de nos catégories mentales et intellectuelles. A la fois cause et symptôme, parmi d'autres, du terrible affaissement culturel de nos sociétés. Sommes-nous condamnés à n’être plus qu’un peuple d'ilotes ? C'est une grande question.
* Expression de François Mauriac reprise par André Malraux dans les Antimémoires.
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