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magouille et compagnie - Page 1533

  • L’Europe Unie du grand remplacement : comment en est-on arrivé là ?

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    Bernard Plouvier

    Durant les Golden Sixties, il y a avait du travail et même beaucoup de travail, plus que les Européens ne pouvaient en assumer. En outre, le « peuple éternellement martyr » voulait assurer ses arrières en introduisant des cibles potentielles, en cas de nouveau déchaînement xénophobe.

    Le résultat ne se fit pas attendre. On introduisit massivement des travailleurs, soit des hommes faits, provenant de Turquie (Allemagne), du Maghreb (France, où les Noirs ne sont arrivés que secondairement), d’Afrique noire et maghrébine (Belgique), d’Insulinde et de Guyane (Pays-Bas), des Antilles, des Indes et d’Afrique noire (Grande-Bretagne).

    Là-dessus, se produisit un phénomène imprévu, tant il est vrai que les experts ne servent strictement à rien : ils ne prévoient jamais que ce qui ne se produit pas ! Dès le premier choc pétrolier et la montée en flèche de toutes les matières premières, en 1973, les Européens – qui n’étaient pas, alors, des réplicons de Nord-Américains -, réduisirent leur consommation et en revinrent aux ancestrales habitudes d’économie.

    La grande distribution d’Europe occidentale, qui rêvait aux superbénéfices des cousins d’Amérique du Nord, se lança dans une opération de propagande humanitaire : il fallait absolument, au nom du Seigneur et des Droits de l’Homme réunis, regrouper les familles des pauvres travailleurs immigrés.

    En France, deux politiciens très sensibles aux ukases des hommes d’argent, les sieurs Giscard d’Estaing et Chirac, édictèrent le Décret 76-383, du 29 avril 1976 (paru au JO du 2 mai), légalisant le regroupement familial. Et affluèrent femmes, enfants & vieillards ; coran, mosquées & imams ; jeunes (et moins jeunes) délinquants-racketteurs-vandales-violeurs ; trafiquants de haschich (Maroc), d’héroïne (via la Turquie), ecstasy, méth-amphétamine, cocaïne et autres merveilles de la chimie parfois casher (si, si !).

    Il ne manquait plus que quelques guerres néocoloniales, induites par les maîtres des USA et imposées à leurs valets des États européens, pour que surgisse le Djihâd et ses attentats aveugles, prouvant que l’on peut tuer beaucoup d’innocents avec des moyens rudimentaires.

    En résumé, l’on en est arrivé là, parce que les opinions publiques européennes se sont laissé berner par de faux sentiments humanitaires. On avait besoin de travailleurs et on importa la misère, sous-douée & sous-productive, du Tiers-Monde. S’enrichit beaucoup la grande distribution, tandis que la foule des glorieux parasites d’associations humanitaires trouvait à s’occuper de façon particulièrement flatteuse pour l’égo de ses membres.

    Manifestement, au moins 45% des citoyens des États d’Europe occidentale et scandinave ont compris l’origine de leur malheur, mais beaucoup n’osent s’affranchir de la propagande niaise et catastrophiste : que vont devenir nos gentils immigrés et notre économie si compliquée, lorsque les méchants populistes seront arrivés démocratiquement au pouvoir ?

    C’est à répondre à ces questions que les populistes doivent s’attacher. Les remèdes existent, puissants, impitoyables, car adaptés à la situation très périlleuse des Européens. Il importe de les faire connaître en assurant les Nations autochtones qu’ils seront appliqués dans toute leur rigueur.

    - Retour intégral des extra-Européens dans leurs continents d’origine, une fois terminées leurs études et leurs stages de formation.

    - Retour à une politique économique de préférence continentale en matière d’emploi, de ré-industrialisation européenne, d’accords commerciaux négociés de pays à pays.

    - Indépendance totale des États européens, avec abandon des tutelles de New York (Finance) et de Washington (Ukases politiques et militaires).

    - Union intime de l’Europe occidentale et scandinave avec l’Europe danubienne et l’immense Russie.

    En France, on en est loin, voire même à des années-lumière ! Le personnel politique est vieux, usagé, bon à mettre, très poliment, à l’hospice. C’est à la jeune génération de créer le nouveau populisme européen.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/12/07/l-europe-unie-du-grand-remplacement-comment-en-est-on-arrive-6006143.html

  • Google veut normaliser idéologiquement sa plateforme Youtube

    Google veut embaucher 10 000 personnes. Cette armée numérique serait employée à renforcer la censure de la plateforme Youtube, qui sert à diffuser des vidéos.

    Il s’agirait de supprimer les « contenus extrémistes ». On devine que les vidéos islamistes ne seront pas les seules concernées et que la dissidence anti-mondialiste sera évidemment visée.

    Les organisations et les personnes censurées auront toujours la possibilité de se tourner vers la plateforme russe Rutube. 

     

    Le PDG de Google (Eric Schmidt) explique et assume la censure à venir !

     

    https://fr.novopress.info/

  • Le ministère de l’Intérieur donne son accord aux islamistes pro-charia et pro-niqab pour la réouverture de la mosquée de Stains

    Voir l'image sur Twitter 

    L’Intérieur donne son accord aux islamistes pro charia et pro niqab pour la réouverture de la mosquée de Stains. Ils peuvent traiter la police de raciste et être reçus à @Place_Beauvau !! > http://islamisation.fr/2017/12/06/linterieur-donne-son-accord-aux-islamistes-pro-charia-pour-la-reouverture-de-la-mosquee-de-stains/ 

    https://fr.novopress.info/

  • Huit clandestins sur dix refusent que les flics prennent leurs empreintes

    Empreintes-600x434.jpg

    stories.virtuemart.product.2850_page_01nsp_149.jpgPrès de huit clandestins sur dix interpellés dans l’Union européenne refusent que leurs empreintes soient relevées, empêchant de facto l’application des accords de Dublin, donc leur renvoi vers le pays par lequel ils sont entrés. Une information qui figure dans un rapport du sénateur Buffet, dont Minute se fait l'écho cette semaine dans l’article ci-dessous.

    L’article 55-1 du code de procédure pénale stipule que « le refus, par une personne à l’encontre de laquelle il existe une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner qu’elle a commis ou tenté de commettre une infraction, de se soumettre aux opérations de prélèvement (empreintes digitales, photographies) ordonnées par l’officier de police judiciaire est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende ».

    Mais, ça, c’est uniquement pour les Français. Parce que, pour les clandestins, refuser de faire enregistrer ses empreintes, c’est un an d’emprisonnement et 3 750 euros d’amende… et uniquement depuis 2016. Une honteuse discrimination accentuée par les juges, car, écrit François-Noël Buffet, « en pratique, les parquets n’engagent que très peu de poursuites, voire aucune » ! Il y aurait pourtant matière : « 62 % des étrangers interpellés par la direction centrale de la police aux frontières (DCPAF), écrit le sénateur Buffet, refusent que leurs empreintes soient recueillies » ! Sans aucune conséquence autre, donc, que leur maintien… en France.

    Dans la gestion des flux migratoires, la question des empreintes est centrale.Depuis les accords de Dublin, signés en 1990, c’est le pays qui prend les empreintes du clandestin pour les inscrire dans le fichier Eurodac qui est prié de prendre en charge ses démarches d’asile. Comme l’explique Buffet, « à titre d’exemple, une personne ayant déposé sa demande d’asile en Grèce avant de se rendre en France doit être “réadmise“ vers la Grèce, seul pays compétent pour traiter son dossier ».

    Mais justement parce qu’on on ne veut pas les voir revenir, dans des pays comme la Hongrie, la Roumanie, la Bulgarie, l’Italie ou la Grèce, on ne se précipite pas pour relever les empreintes de ceux que l’on a réussi à appréhender. Concrètement, seuls 23 % des clandestins interpellés dans l’UE après « franchissement irrégulier d’une frontière extérieure de l’Union européenne » font « l’objet d’un prélèvement d’empreintes digitales »… C’est ce que Buffet nomme poliment une « stratégie d’évitement »…

    Article paru dans Minute n° 2850 du 6 décembre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • Oui, les coups, ça fait mal

    dessin-konk-non-a-la-haine-300x251.jpgJean d’Ormesson hier, Johnny Hallyday cette nuit… Ce sont deux personnalités très populaires,  certes à des niveaux et dans des registres bien différents,  qui nous ont quittés ces dernières heures. On ne touche pas impunément, même incidemment,  à une légende nationale comme Johnny et le porte-parole de Jean-Luc Mélenchon, le député Alexis Corbière, en a fait les frais, éreinté par une avalanche de critiques après un tweet particulièrement maladroit dans sa forme et sa chronologie . «  La triste mort de Johnny Hallyday ne doit pas nous faire oublier le mauvais coup qu’ils nous préparent (prochaine cible: le Smic) »  a-t-il tweeté,  en référence  au rapport commandé par le gouvernement  qui préconise  une  non revalorisation du salaire minimum au 1er janvier. Un tweet  effacé par la suite…mais trop tard. Quand on manque de la plus élémentaire psychologie, quand on  ne sent pas l’émotion de nombreux Français, voilà ce qui arrive…  M. Corbière est plus audible quand il défend son patron qui, selon ses propres termes, est tombé dans un traquenard médiatique lors de son passage sur France 2 dans L’émission politique, questionné par une succession de journalistes et  d’invités hostiles. Oui,  certes, mais c’est le sort réservé depuis toujours dans ce type d’émission à tous  des ténors du Front National!  De Jean-Marie à Marine Le Pen,  – et Bruno Gollnisch a eu également son lot de coups fourrés et d’attaques médiatiques sur et en dehors des plateaux… - les frontistes en on vu d’autres, des plus odieuses et des plus saignantes!

    Si Alexis Corbière a effacé son tweet, Jean-Luc Mélenchon lui, n’assume plus ce qu’il écrit (?).  Le Huffington Post, caution bourgeoise et libérale s’il en est, s’émeut ainsi d’une phrase du dirigeant de La France insoumise,  qui figurait   sur son blogue , avant lui aussi de la faire disparaître  en la reformulant.  Dans sa recension lundi de son passage sur France 2,   il attaque notamment  Nathalie Saint-Cricq, François Lenglet  mais aussi Léa Salamé, épouse à la ville de l’essayiste  socialo-mondialiste Raphaël Glucksmann . Au sujet de cette dernière Mélenchon avait écrit: « Je ne me suis pas préoccupé de ses liens familiaux, politiques et communautaires. Quand elle m’a pris à parti sur mon patrimoine de riche, moi le fils d’un postier et d’une institutrice, j’aurais pu lui en jeter de bien bonnes à la figure en matière de patrimoine et de famille. » Une phrase caviardée  peu après, mais là aussi trop tard,  en  «liens familiaux et communautaires politiques. » Un nouveau lapsus? Mais là aussi le mal était fait et cette sortie  sur les liens communautaires,   « ambiguë », « détestable »  dixit  Jean-Michel Apathie et Claude Askolovitch ,  a été soupçonnée  de flatter de bas-instincts innommables .« Sur la matinale de France Inter, l’éditorialiste Thomas Legrand l’a déploré lui aussi : Cette phrase n’est normalement pas du registre mélenchonien. Elle est (et je ne fais jamais ce parallèle, mais là…), elle est lepéniste (jean-mariste). » Mazette !

    Même les plus irréprochables, certes, ne sont pas à l’abri  de l’accusation d’antisémitisme et/ou de racisme. Ainsi  l’ami de Bernard-Henry Lévy, Yann Moix, a été épinglé par association communautariste  baptisée  Conseil représentatif des institutions noires de France (Cran) . Il est reproché à M. Moix, à l’occasion de la venue le 25 novembre  sur le plateau  de On est pas couché sur France 2 d’Alain Finkielkraut, des propos de bon sens, contre les délirantes exigences mémorielles et culpabilisatrices…du Cran.

    « Le problème affirmait-il,  quand le passé dépend du présent, c’est qu’il y a forcément des anachronismes et qu’on va de ce fait aller voir des crimes contre l’humanité chez Colbert, on va aller voir des crimes contre l’humanité chez Napoléon, ce qui est absolument débilissime, dans la mesure où c’est un concept moderne inventé à Nuremberg (…). L’histoire est tiraillée entre le présent depuis lequel elle fait sens parce qu’elle doit ressembler à la société, et en même temps l’anachronisme qui la fait rendre aberrante quand on lui pose des systèmes de pensée qui n’existaient pas il y a deux cents ans. »

    Louis-Georges Tin, président du Cran,  a saisi le président du CSA  pour que soit « sanctionné  le producteur de l’émission »   qui  a laissé passer des  ses propos, « réactionnaires », «  haineux et méprisants . » « Dire que ceux qui ont établi l’esclavage en France ont commis un crime contre l’humanité n’est pas anachronique. La loi Taubira votée à l’unanimité n’est pas anachronique ». Le relativisme moral est une pente dangereuse. De nombreux commentateurs s’y aventurent, et sombrent dans le révisionnisme le plus abject (…)  Cette idée grave est défendue par des figures de l’extrême-droite, mais par quantité de personnalités de tous bords, qui n’ont pas l’air extrémistes de prime abord. (…).  Le Cran appelle une fois de plus France Télévision à programmer davantage d’émissions sur l’esclavage et la colonisation pour lutter contre l’ignorance, le révisionnisme et le négationnisme qui gangrènent la société française. »

    La bêtise de ce qui tient lieu d’argumentaire à  M. Tin saute aux yeux.  Les Français n’ont rien à gagner dans une gueguerre des lobbies antinationaux  entre eux, d’une  compétition victimaire qui se fait sur notre dos. Nous le notions en septembre dernier,   la relecture simpliste, anachronique de notre passé  pour mieux  culpabiliser le gaulois reste  une entreprise   qui reçoit  le soutien intéressé d’une certain nombre d’officines  frayant dans les eaux troubles du mondialisme militant.

    Militantisme radical,  violent,   qui a été sanctionné par le tribunal correctionnel de Paris  lors du procès de sept  antifas,  le 11 octobre dernier,  rappelle l’AFP. Le 18  mai  2016, quai de Valmy,  « en marge des manifestations contre la loi travail », ils   avaient attaqué et brûlé une voiture de police dont les policiers avaient réussi à s’extraire in extremis, manquant de peu d’être transformés en torches vivantes . Parmi ces fils de bourgeois jouant les racailles,  « le militant antifasciste Antonin Bernanos, un étudiant de 23 ans descendant de l’écrivain Georges Bernanos », «  a été condamné à cinq ans de prison dont deux ans avec sursis pour avoir participé à (cette) attaque. » « Joint par l’AFP, son avocat a dénoncé une démonstration de force musclée : Ils sont venus à quinze pour l’embarquer, ils ont fracassé la porte de sa mère, alors qu’elle proposait d’ouvrir. Et à Me Arié Alimi de dénoncer : Mon client avait déjà effectué dix mois de détention provisoire et était éligible à un aménagement de peine. Il ne s’est jamais soustrait à la justice, il n’a jamais été convoqué pour une exécution de peine. » Ah! si la révolution pouvait se faire dans le confort! Brûler des flics-collabos-du-capital-et-du-racisme le matin et revenir chez papa-maman le soir dans un appartement douillet pour se mettre les pieds sous la table… 

    Comme le chantait Johnny, Les coups ça fait mal,   ceux qu’on donne comme ceux qu’on reçoit, avec des poings ou avec des mots. Il s’agit parfois de passer à la caisse et de payer l’addition. De se conduire en homme et de ne pas pleurnicher. C’est en tout cas un conseil à suivre si l’on ne veut pas passer pour un révolutionnaire ou un insoumis en peau de lapin, comme le sont en fait ces  militants d’extrême gauche instrumentalisés par un Système qu’ils prétendent combattre. 

    https://gollnisch.com/2017/12/06/oui-coups-ca-mal/

  • La Réinformation a besoin de vous !

    Voici la lettre que Polémia a envoyée à l’ensemble de ses adhérents le 28 novembre 2017. La Réinformation a besoin de vous !


    Chère Madame, Cher Monsieur, Chers amis,
    Chers fidèles soutiens de Polémia,

    Permettez-moi de commencer ce courrier par une petite devinette : Quel est aujourd’hui le parti (pardon : le « mouvement », en novlangue) au pouvoir ? La République en marche, me direz-vous. C’est-à-dire la nouvelle étiquette de la gauche libérale/libertaire.

    Et en 2010 ? L’UMP qui n’avait pas encore pris le nom de Les Républicains.

    Et en 2000 ? Le PS.

    Et en 1995 ? Le RPR.

    Et si tout cela n’était qu’apparence ? Jeu d’ombres et théâtre de marionnettes ?

    Aux manettes ? Le Parti des médias !

    Car en 1995, 2000, 2010 et 2017, c’est toujours le même parti qui est aux manettes : le Parti des médias, le PDM.

    Le Parti des médias gouverne les esprits par une propagande incessante. Il ne rapporte pas les faits, il nie le réel. Il ne distingue pas le vrai du faux. Il dit le « bien » et dénonce le « mal »… ou plutôt ce qu’il juge ainsi en fonction de ses préjugés idéologiques et de ses intérêts.

    Des articles à l’eau de jasmin

    Pour le Parti des médias il est normal que le Conseil d’Etat réclame la suppression de la Croix surmontant la statue de Jean Paul II à Ploërmel car c’est une question de « laïcité ».

    Mais il est non moins jugé normal que les arrêtés municipaux interdisant le port du burkini sur les plages soient cassés au nom de la liberté religieuse des musulmans et de la « liberté de circulation » des personnes.

    Et c’est au nom de l’ « égalité » que les maires se voient imposer la fourniture de repas halal dans les écoles. L’abattage halal, le ramadan, l’Aïd el Kébir sont salués dans les médias comme des pratiques sympathiques qu’ils encouragent par des articles à l’eau de jasmin.

    Et quand la Place de la mairie de Clichy est occupée huit mois de suite chaque vendredi par des musulmans en prière, les médias n’en parlent pas… sauf pour dénoncer une manifestation de protestation d’élus Les Républicains. Ce qui donne ce titre hallucinant repris partout : « Une centaine d’élus perturbent une prière de rue ». Un peu comme si on déplorait que le facteur refuse de se faire mordre par le chien !

    Le PDM construit l’opinion et s’impose aux décideurs

    Bien sûr, cette manière des médias de rapporter les faits construit l’opinion. Et pèse sur les décideurs.

    Dans les tribunaux ce sont les juges politiquement corrects qui donnent le « la » et imposent leur point de vue. Les autres rasent les murs par peur d’être dénoncés et marginalisés comme le juge François Lagarde, jeune énarque écarté du Tribunal administratif de Lyon après avoir été dénoncé dans la presse pour ses prises de position rigoureuses contre l’immigration clandestine !

    La situation est encore pire en politique. Lors de la dernière présidentielle les médias ont fabriqué Macron et tué Fillon.

    Les médias sont les faiseurs de rois

    S’agissant des partis politiques, ils opposent les « gentils » (longtemps le PS, remplacé aujourd’hui par LREM) aux « très méchants » (le FN), les Républicains occupant la position du « méchant », mais un peu moins à condition qu’il n’ait aucun rapport avec le « très méchant ». La politique vue par les médias, c’est un conte pour enfants… Mais surtout les médias sélectionnent les hommes politiques selon un seul critère : leur conformisme au politiquement correct.

    Un seul critère : le conformisme

    Aux bien-pensants les invitations permanentes, le tapis rouge et les gestes de connivence. Aux dissidents le tapis de bombes médiatiques, les gestes glaçants et le bannissement. C’est pour cela que chez Les Républicains les médias ont infligé durant toute l’année 2016 un festival Juppé tout en promouvant Valérie Pécresse, NKM, Darmanin, Bruno Le Maire et maintenant Maël de Calan. Ce sont les ectoplasmes politiquement corrects qui sont placés sous la lumière. Aux autres l’éteignoir ou le dénigrement. Le FN n’est pas davantage épargné par ce phénomène d’où l’omniprésence médiatique de Philippot avant qu’il ne prenne la porte, tout en gardant son rond de serviette chez BFM-Macron et dans bien des médias.

    Le PDM : une force d’occupation mentale

    Vous le voyez, c’est le Parti des médias qui nous gouverne. Il se comporte en force d’occupation mentale de l’esprit des Français et sélectionne leurs dirigeants politiques et judiciaires. Sans le Parti des médias les délires politiques ne seraient pas possibles. Sans le Parti des médias les délires judiciaires seraient impossibles. Grâce à ses donateurs Polémia a pu concentrer ses coups sur le Parti des médias. Nous avons concentré nos analyses sur le système médiatique et, disons-le, nos coups contre le Parti des médias. Jugez-en plutôt :

    • En quinze ans des centaines d’articles sur le site polemia.com, l’un des premiers sites de réinformation ;
    • La publication de l’ouvrage de référence sur La Tyrannie médiatique chez Via Romana ;
    • La publication du Dictionnaire de novlangue, plusieurs fois mis à jour par Michel Geoffroy ;
    • Le lancement du Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie qui vient de fêter ses dix ans ;
    • L’organisation des Journées de la Réinformation, précieux lieu d’échanges, qui ont contribué à la naissance de grandes initiatives comme l’OJIM (Observatoire des journalistes et de l’information médiatique), Boulevard Voltaire et TVLibertés ;
    • C’est aussi dans cet esprit que j’anime chaque semaine sur TVLibertés I-média, l’émission critique de référence sur les médias ;
    • Et, bien sûr, les Forums de la dissidence et la Cérémonie des Bobards d’Or !

    Le Forum de la dissidence : coup de savate au Parti des médias !

    Le Troisième Forum de la dissidence s’est tenu le 18 novembre dernier. Ce fut un grand coup de savate porté à la tyrannie médiatique. D’abord par la définition d’une « bonne droite », c’est-à-dire d’une droite qui ne se soumet pas au terrorisme intellectuel de la gauche. Une bonne droite qui accepte de « livrer la guerre nucléaire culturelle ». Une bonne droite qui s’affiche sans crainte comme identitaire et conservatrice.

    Une bonne droite qui a fait fi de tous les interdits médiatiques. Par les thèmes abordés, mais aussi par les personnalités qui se sont succédé à la même tribune. Après une série d’interventions intellectuelles de fond ce fut le tour des « politiques » : Bruno Mégret, Jean-David Cattin, de Defend Europe, Pierre Cassen de Riposte laïque, mais aussi, venus des rivages de LR, l’activiste Internet Samuel Laffont et l’entrepreneur libéral conservateur Charles Beigbeder. Bref, un Forum très transgressif ! Notamment parce que des hommes venus des deux rives de la droite se sont rencontrés et parlé. Dissidence 1, Parti des médias 0 ! Mais l’étape qui suit est aussi essentielle :

    C’est la 9e Cérémonie des Bobards d’Or qui aura lieu lundi 12 mars 2018. Comme chaque année il s’agit de rire aux dépens de ceux qui nous désinforment ! Et les candidats sont déjà nombreux !

    L’AFP pour commencer. L’AFP – l’agence française de propagande – pour qui des élus qui protestent contre l’occupation de rues à Clichy « perturbent des musulmans en prière ». Une désinformation copiée/collée par des dizaines de médias.

    Parmi les candidats, on trouve aussi les pseudo-chasseurs de « fake news » (bobards), ces chiens de garde du politiquement correct, qui prétendent rétablir la vérité – leur vérité – au détriment du réel. Je pense aux « Décodeurs du journal Le Monde », à Désintox de Libé, au Lab d’Europe1, tous financés par vos impôts pour faire régner la doxa politiquement correcte. A coups de bobards sur le halal ou les clandestins. Tout cela nécessite une veille constante. Et une grande vigilance car nous n’avons pas le droit à l’erreur.

    Aidez Polémia !

    Aidez-nous à mobiliser les forces et les moyens nécessaires pour combattre le Parti des médias.

    Aidez Polémia à faire de cette 9e cérémonie des Bobards d’Or une réussite majeure. Cela n’est pas possible sans efforts ni moyens !

    Nous avons à nouveau réservé le très beau Théâtre du Gymnase sur les Grands Boulevards et prévu un buzz d’enfer, à base de vidéos soignées, pour faire connaître la manifestation et la retransmettre en direct.

    Notre objectif : plus de 600 participants, des dizaines de milliers de spectateurs en direct, puis des vidéos virales vues plus de 100.000 fois, avec des dizaines de reprises sur les sites de réinformation. Pour cela, nous avons besoin d’un budget d’au moins 25.000 €. Avec votre soutien, ces 9e Bobards d’Or feront date et cibleront le véritable ennemi : le Parti des médias.

    Avec mes remerciements anticipés, je vous prie d’agréer, Chère Madame, Cher Monsieur, Chers fidèles soutiens de Polémia, l’expression de mes meilleurs sentiments nationaux, identitaires… et fermement dissidents.

    Jean-Yves Le Gallou
    Président de Polémia
    28/11/2017

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  • Les appariteurs ou agents provocateurs de la police

    Un pas supplémentaire dans le chaos contrôlé quand des policiers en civil, dits appariteurs, viennent encadrer et diriger les casseurs, voire se mettent à casser eux-mêmes et à agresser d’autres membres des forces de l’ordre, plus ou moins réduits à la passivité par leur hiérarchie. Principe du contre-feu appliqué aux techniques de gestion de foules, ou comment garder la maîtrise d’une émeute en y participant soi-même. Un cas d’école est aujourd’hui bien documenté : les manifestations de 2006 en France contre le CPE (contrat première embauche). Bruno Julliard, président du syndicat étudiant UNEF, et Patrick Buisson, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, rendront public au fil des années un secret de Polichinelle, à savoir que Sarkozy, ministre de l’Intérieur d’un Gouvernement de droite, soutenait les manifestations de gauche et avait donné l’ordre de recruter des casseurs afin d’envenimer la situation pour nuire à son rival Dominique de Villepin à l’élection présidentielle de 2007. 
    Lucien Cerise, Retour sur Maïdan. La guerre hybride de l’OTAN

  • Contribuables associés révèle les 10 associations les plus subventionnées par l’Etat

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Les chiffres étaient passés inaperçus dans le lot de documents du projet de loi de finances pour 2018. En 2016 l’Etat aura versé aux associations 4,7 milliards d’euros de subventions. Et ce montant a doublé par rapport à 2015. Sur les près de 57 000 bénéficiaires, près de 900 associations reçoivent plus d’un million d’euros chacune.
    C’est l’AFPA (l’association pour la formation professionnelle des adultes) qui reçoit le plus gros montant avec 154 millions d’euros.

    Elle a pourtant été critiquée par la Cour des Comptes pour sa gestion.

    Ensuite, quatre associations spécialisées dans l’hébergement social et l’accueil d’immigrants totalisent 217 millions d’euros : COLLIA (anciennement Association de formation des travailleurs africains et malgaches), AURORE, FRANCE TERRE D’ASILE et EMMAUS SOLIDARITE.

    Ces associations immigrationnistes sont ainsi financées par l’Etat pour encourager l’immigration et aider les clandestins à faire des recours en justice contre l’Etat !

    Le Fonds de financement du dialogue social reçoit quant à lui 33 millions d’euros. Il permettra à huit centrales syndicales de se partager un pactole de 100 millions d’euros grâce à la nouvelle taxe syndicale imposée aux entreprises.

    Il faut ajouter à ces subventions de l’Etat les commandes publiques et les aides des autres collectivités territoriales.

    La seule Mairie de Paris a distribué en 2015 quelques 310 millions d’euros aux associations (soit 140 € par habitant). En définitive, l’INSEE estime à 47 milliards d’euros la dépense publique totale dont bénéficient les associations.

    La sous-traitance associative de missions de service public ne va pas sans poser quelques problèmes…

    Le contrôle des dépenses par le Parlement est aléatoire et les entorses au principe de neutralité du service public sont fréquentes. Ainsi la Ligue de l’enseignement qui reçoit 27 millions d’euros n’a pas hésité en 2015 à appeler à faire barrage au Front national. Quant à France Terre d’Asile, son idéologie est clairement affichée de promouvoir l’asile sans limite.

    Dans le but de mettre un terme au gaspillage public, Contribuables Associés suggère une réduction de 50 % des subventions et un contrôle renforcé.

    https://fr.novopress.info/

  • La Commission européenne appelée à couper les fonds à la Hongrie : pour lui faire payer sa gestion des migrants ?

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    La Hongrie dénonce une attaque politique. L’objet de sa colère, c’est une lettre, dans laquelle la Commission européenne est appelée à couper les fonds à Budapest.

    Dans ce courrier, une demande surprenante : la Commission européenne est appelée à couper les fonds à Budapest, jusqu’à ce que “les libertés démocratiques fondamentales soient rétablies et la corruption combattue.” La correspondance, datée du 23 novembre, est signée par un ancien ministre des Finances allemand, et trois ex-commissaires européens.

    Janos Lazar, porte-parole du Premier ministre, s’insurge :

    C’est une attaque politique de la gauche. Les libéraux et les socialistes, les opposants du Fidez et les chrétiens-démocrates l’ont réclamée à la Commission européenne. Ca n’a rien à voir avec la vraie vie et la réalité.

    Il semble surtout que Bruxelles souhaite faire payer la Hongrie pour son refus d’accueillir plus de migrants…