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magouille et compagnie - Page 1531

  • PAS DE BANQUE POUR LE FRONT NATIONAL ? ON NE PEUT PLUS LOGIQUE

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    Il est symptomatique de voir les banques s’acharner sur le FN. D’abord, elles se mettent d’accord pour lui refuser tout emprunt nécessaire au financement de sa campagne. Maintenant, elles décident, presque simultanément, de fermer son compte purement et simplement ainsi que celui de sa dirigeante. Le gouvernement ainsi que la Banque de France (qui ne représente plus que les intérêts de l’Union européenne) donnent généreusement leur bénédiction à ce lynchage financier. Haro sur le baudet !

    Quelle mouche les a piquées ? Serait-ce dû aux prises de position de Marine Le Pen et son équipe, Gilbert Collard en tête, qui ont souvent eu des mots un peu crus à l’égard de nos banques ? Un crime de lèse-majesté qui semble coûter cher. Qui d’autre a eu le courage de dénoncer le scandale bien étouffé de cette oligarchie financière qui tient les manettes ?

    La Banque de France ne joue plus, depuis longtemps, le rôle de banque de la nation.
    Aujourd’hui, le pays n’emprunte pas à sa banque nationale à un taux d’intérêt 0 mais s’endette jusqu’au cou et même au-delà auprès de toutes ces fameuses institutions privées qui gèrent le monde : Goldman Sachs, Rothschild mais aussi la Société générale, etc.

    La dette publique colossale ne fait pas que des laissés-pour-compte… Rothschild ? Vous avez dit Rothschild ? Qui, donc, aurait intérêt à protéger les intérêts de Rothschild dans notre pays ? Attendez, ne me dites pas que le président de la République lui-même aurait flirté avec ce monde de filous… Quand même ! Ceci explique peut-être cela.

    Par ailleurs, rappelez vous le tollé créé à l’occasion de l’abandon de l’euro proposé par le sulfureux FN. Tout, mais pas ça ! L’ensemble des médias, comme une seule voix, est monté au créneau. Les Français seraient contre. Mais puisqu’on vous le dit ! Il suffit de le marteler pour finir par y croire. Une version, mais très lourde alors, de la méthode Coué. On a dû appeler les plus éminents spécialistes à la rescousse. Même le sempiternel Francois Lenglet qui, fort d’une formation pourtant littéraire, passe évidemment pour l’économiste compétent de service, a donné du sien. Le brave homme a dû oublier son propre ouvrage qui remet en cause la zone euro…

    Il s’agissait de créer la psychose sur un sujet somme toute complexe dont les grands perdants auraient été… les banques, vous l’avez deviné.

    Si la France recouvre sa monnaie et le pouvoir de la créer, nos amis de la finance internationale perdraient quelques-uns des milliards qui leur remplissent les poches.
    D’autres ont essayé, diraient Chevallier et Laspalès, mais même les Américains sont pieds et mains liés à Goldman Sachs et consœurs. La Fed ne représente que celles-ci comme chez nous.

    Les intérêts sont trop importants, sans jeu de mots. Il suffit donc d’écarter les trublions comme le FN sans trop de mal.

    Reste à voir si les banques étrangères suivront le pas dans cet ostracisme. J’imagine que l’AfD allemande et la FPÖ, par exemple, doivent avoir un compte quelque part ?

    Un premier pas vers l’Europe des nations ?

    http://bvoltaire.com/de-banque-front-national-on-ne-plus-logique/

  • Financement de Daech: l'ex-PDG de Lafarge Bruno Lafont mis en examen

    La direction française de Lafarge pouvait-elle ignorer le pacte conclu par sa filiale syrienne avec l'Etat islamique (EI)? L'ex-PDG Bruno Lafont et un autre dirigeant ont été mis en examen ce vendredi 8 décembre pour "financement d'une entreprise terroriste", tout comme l'ex-directeur général Eric Olsen jeudi, une première pour de grands patrons français. 
    Bruno Lafont, PDG du cimentier Lafarge de 2007 à 2015, et Christian Herrault, ex-directeur général adjoint chargé notamment de la Syrie, ont également été mis en examen pour "mise en danger de la vie d'autrui", a-t-on appris de source judiciaire. 
    Ils ont été placés sous contrôle judiciaire et devront s'acquitter d'une caution, a ajouté cette source, sans en préciser le montant. Les deux dirigeants avaient été placés en garde à vue mercredi dans les locaux du Service national de douane judiciaire (SNDJ) avec Eric Olsen. 
    Ce dernier, DRH puis directeur général adjoint du groupe à l'époque des faits, avant de devenir directeur général après la fusion du cimentier français avec le Suisse Holcim en 2015, a été mis en examen jeudi pour les mêmes chefs et également soumis à un contrôle judiciaire. Il devra s'acquitter d'une caution de 200.000 euros, a indiqué à l'AFP une source proche du dossier. 
    L'affaire est hors norme: la filiale syrienne (Lafarge Cement Syria, LCS) de la société est mise en cause pour avoir pactisé avec l'EI entre novembre 2013 et septembre 2014 afin de maintenir son usine de Jalabiya dans une zone de conflit tenue notamment par l'organisation jihadiste. 
    Elle lui a fait remettre, via un intermédiaire, plus de 500.000 dollars et lui a acheté des matières premières, dont du pétrole, en violation d'un embargo de l'Union européenne, selon un rapport rédigé à la demande de LafargeHolcim par le cabinet américain Baker McKenzie. 
    Lafont "régulièrement informé"? 
    Les enquêteurs tentent de déterminer si la direction à Paris était au courant de tels agissements. Les contradictions entre les trois responsables sont nombreuses. 
    Christian Herrault, qui a reconnu début 2017 que le groupe avait été victime d'une "économie de racket", a de nouveau assuré en garde à vue, puis devant les juges vendredi, "avoir régulièrement informé Bruno Lafont de la situation", a relaté une source proche du dossier à l'AFP. 
    D'après le rapport Baker McKenzie, l'ex-directeur adjoint opérationnel a aussi affirmé avoir adressé un courriel à Bruno Lafont en juillet 2014 pour l'informer que l'usine était à l'arrêt, le temps de trouver un accord "clair" avec l'EI. 
    Mais l'ex-PDG, entendu en janvier en audition libre par le SNDJ, a démenti avoir eu connaissance de tels faits. "Pour moi, les choses étaient sous contrôle", avait-il affirmé. 
    "Mon client assume toutes ses responsabilités. Une seule question se posait pour lui: fallait-il abandonner l'usine au main de l'ennemi ou se soumettre au racket pour pouvoir résister", a réagi l'avocate de Christian Herrault, Solange Doumic. 
    Il est aussi reproché à Lafarge de ne pas avoir assuré la sécurité de ses employés syriens, restés seuls sur place alors que la direction de l'usine avait quitté la Syrie et que les expatriés avaient été évacués. 
    Outre les trois responsables, trois cadres de Lafarge, dont deux ex-directeurs de l'usine, ont été mis en examen dans cette enquête menée au pas de charge par les juges d'instruction. Placés sous contrôle judiciaire, "ils rejettent la responsabilité de la poursuite de l'activité de la cimenterie sur la maison-mère", d'après une autre source proche du dossier. 
    Quant à Eric Olsen, il a affirmé devant les juges "n'avoir cessé d'alerter les dirigeants opérationnels, notamment Chistian Herrault, sur la situation dans l'usine, relevant qu'il n'avait pas le pouvoir de la fermer", d'après cette source. Il a démenti avoir eu connaissance de tout versement litigieux. 
    "Mon client va former un recours contre sa mise en examen et ne souhaite qu'une chose: que toute la lumière soit faite sur cette affaire le plus vite possible", a déclaré à l'AFP son avocat, Pierre Cornut-Gentille. 
    Des organisations non gouvernementales, dont Sherpa, partie civile dans ce dossier, souhaitent aussi que les investigations fassent la lumière sur ce que savaient les autorités françaises de l'époque sur les activités de Lafarge en Syrie.

  • Wauquiez, la droite "dure" avec des élus qui aident les mosquées dans toute la France

  • En France, le djihad base son efficacité sur l’expérience

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    Romain Caillet, ancien proche du milieu djihadiste, vient de sortir un livre intitulé “Le combat vous a été prescrit”. Il s’agit d’une longue enquête qui retrace l’histoire du djihad en France depuis 30 ans.

    Dans un entretien accordé à Spoutnik, il y explique ceci :

    Mérah est le premier projet terroriste qui réussit depuis les années 90. (…) Là, des jeunes de banlieue ont une expérience de la criminalité et c’est ça qui fait leur force. Dans ceux qui ont réussi à commettre des attentats, c’est quasiment toujours le même profil : un jeune issu de l’immigration avec un gros passé judiciaire. Pourquoi ? C’est plus simple quand on a une expérience de la criminalité, de vous procurer des armes sans attirer les soupçons. Dar El-Islam, l’ancien magazine en langue française de l’EI, disait “faites-vous passer pour des jeunes qui veulent préparer un casse”. Ils connaissent déjà les codes, les réseaux pour se procurer des armes, et une semi-expérience de la clandestinité. Il y a une certaine efficacité de ce profil… 

    https://fr.novopress.info/208820/en-france-le-djihad-base-son-efficacite-sur-lexperience/

  • Le préfet du Var impose l'installation d'immigrés dans une commune FN

    6a00d83451619c69e201bb09df0f38970d-200wi.jpgLa préfecture du Var a informé le Maire FN du Luc en Provence, qu'une trentaine d'immigrés, exclusivement des hommes (!), devraient être installés au foyer API (quartier des Retrâches), dans le courant du mois de janvier 2018. Des habitants ont donc lancé une pétition pour s'opposer à cette immigration subie :

    "Considérant que la France n'a pas à accueillir des dizaines de milliers de migrants, qui sont en réalité des clandestins entrés illégalement sur le territoire national,

    Considérant que la ville du Luc en Provence connaît depuis de nombreuses années une situation socio-économique difficile, qui pourrait être aggravée par l'arrivée de "migrants",

    Considérant que le lieu choisi pour les accueillir est un quartier difficile, où la venue de "migrants" pourrait engendrer des dérapages incontrôlables,

    Considérant que la brigade de gendarmerie locale est en sous-effectifs,

    Pour toutes ces raisons, nous, citoyens du Luc en Provence, refusons que notre ville serve de souffre douleur à la politique irresponsable de l'Etat, en se voyant imposer la venue de migrants."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • M. BLANQUER SE COUCHE À SON TOUR DEVANT LE CONSEIL D’ÉTAT – ET LE VOILE ISLAMIQUE

    Les différents ministres de l’Éducation nationale, derrière des proclamations de fermeté, ont tous cédé à ce prosélytisme.

    Fort du soutien populaire qu’il recueille par ses options de bon sens en faveur d’un retour à des apprentissages efficaces des fondamentaux, M. Blanquer, après avoir lancé des « unités laïcité » qui ne trompent personne, vient s’aventurer sur le terrain plus concret de l’intrusion des signes islamiques à l’école.

    Depuis l’affaire du voile de Creil en 1989, les différents ministres de l’Éducation nationale, derrière des proclamations de fermeté, ont tous cédé à ce prosélytisme qui n’a cessé de s’amplifier. Et la Justice française était là pour permettre aux signes musulmans de pénétrer dans l’enceinte des établissements, avec des arrêts du Conseil d’État, tous plus muslim-friendly les uns que les autres. Tout comme son « étude » de 2013 sur les accompagnateurs de sorties scolaires qui, n’étant pas fonctionnaires, n’étaient pas tenus à l’obligation de neutralité religieuse !

    Précisant sa vision du problème dimanche, au « Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI« , M. Blanquer, que l’on aurait pu croire plus combatif que ses prédécesseurs, s’est en fait montré très conciliant, apportant la caution du « en même temps » macronien à toutes leurs démissions irresponsables :

    « Mon approche personnelle, c’est que toute personne qui accompagne les élèves est en situation d’être ce qu’on appelle un collaborateur bénévole du service public […] qui doit se conformer à un certain nombre de devoirs. C’est ma position.

    – Donc pas de voile pour les accompagnatrices, selon vous ?

    – Normalement non. Maintenant, je respecte le droit, bien entendu, et il y a un état de la jurisprudence qui doit être consacrée.

    Belle réponse sur laquelle on pourra méditer longtemps. M. Blanquer a inventé en direct le syllogisme de la soumission :

    L’intrusion de l’islam est anormale.
    Mais le droit l’autorise.
    Or, je respecte le droit.
    Donc je me couche devant l’entrée de l’islam dans les établissements scolaires.

    L’Histoire retiendra que c’est un agrégé de droit public qui l’a formulé ou « consacré », pour reprendre son mot qui en dit si long. Une consécration de la soumission qui a, au moins, le mérite de la clarté : il ne faudra pas compter sur M. Blanquer pour changer ces lois qui « consacrent » le voile islamique à l’école.

    Après la longue liste des ministres de l’Éducation nationale depuis M. Jospin en 1989, après le Conseil d’État, M. Blanquer est venu apporter, avec son syllogisme, sa pierre à l’édifice de la démission de l’État devant les exigences islamiques à l’école.

    http://bvoltaire.com/m-blanquer-se-couche-a-tour-devant-conseil-detat-voile-islamique/

  • L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère

    Quarante chambres d’étudiants réservées aux migrants (mineurs isolés), exonération des frais d’inscription, accompagnement social et sanitaire. Voilà les clauses de la capitulation de la direction de l’Université de Nantes face à l’occupation menée, dans la faculté, par l’extrême gauche depuis plusieurs jours. Avec, de surcroît, l’annonce du président, Olivier Laboux, de ne pas souhaiter l’intervention des forces de l’ordre suite à la demande d’expulsion déposée devant le tribunal administratif et jugée ce lundi 4 décembre.

    Depuis le 22 novembre 2017, dix salles de cours ont été « réquisitionnées » par l’extrême gauche pour y faire dormir plus d’une dizaine de migrants. Mais également pour en faire un espace « social », entre concerts, jeux, alcoolisation et rêveries militantes…

    L’annonce qu’une quarantaine de chambres gérées par le CROUS (Centre régional des œuvres universitaires et scolaires) seront affectées en priorité aux migrants étudiants à partir du 1er février 2018 a du mal à passer chez certains étudiants français qui, eux, doivent se loger à des prix beaucoup plus élevés dans Nantes.

    « L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère au logement et à l’enseignement », peste William, en deuxième année d’histoire. « L’université va prendre en charge une bonne partie du coût de ces gens. Il faut savoir : ils sont mineurs ou pas ? Il ne me semblait pas qu’à 16 ans on entre en faculté, à moins d’être tous des surdoués… »

    Ce dernier nous confie être dégoûté :

    « Je ne comprends pas comment on peut rester aussi passif. Chaque jour qui passe, c’est une concession faite aux nouveaux arrivants, et une capitulation face à une extrême gauche violente, la même qu’on retrouve à casser en manif contre l’aéroport ou contre les violences policières. Et nous, avons-nous encore le droit de vivre et d’être aidés dans notre propre pays ? »

    Du côté de l’Université de Nantes, nous avons tenté de joindre M. Laboux et son cabinet, sans succès pour le moment.

    Le CROUS versera en sus une aide alimentaire aux migrants qui bénéficieront des 40 chambres universitaires. L’Université de Nantes s’engage aussi à accompagner gratuitement les migrants (pouvant justifier d’un diplôme donnant accès à l’enseignement supérieur) souhaitant effectuer une formation diplômante. Elle veut aussi faciliter l’apprentissage du français, « via le service universitaire des langues qui les accueillera et les orientera ». Un accompagnement social et sanitaire leur sera garanti. « Nous souhaitons répondre à ces situations humaines extrêmement douloureuses. Scolariser, former, c’est insérer durablement dans une société », justifie Olivier Laboux à 20 minutes.

    Voilà qui viendra compléter la capitulation et les annonces de relogement, par Johanna Rolland, maire de Nantes, face aux pressions réussies (bien organisées et très médiatisées, sans aucune contestation) de l’extrême gauche nantaise, pourtant ultra minoritaire.

    Les journalistes subventionnés ne savent plus quoi faire par ailleurs pour justifier, y compris l’injustifiable, c’est-à-dire l’immigration illégale :

    Ainsi, le journal La Croixprenant l’exemple des migrants à Nantes, évoque le cas de Moussa, qui aurait immigré du Mali – un pays pas en guerre – en raison simplement… d’un différend familial et d’une volonté d’aller à l’école :

    « Issus majoritairement d’Afrique de l’Ouest (Guinée, Côte d’Ivoire, Mali, Congo…), ces adolescents ont bien souvent quitté leur pays pour fuir un milieu familial pauvre, parfois violent, et assouvir leur plus grand rêve : étudier. Comme en témoigne Moussa, venu du Mali, qui dort lui aussi à l’université : “Mon père a deux femmes et l’une d’elles ne m’aime pas. C’était difficile à la maison, et moi, j’ai toujours voulu aller à l’école”.

    « Engagé dans un recours contre sa non-reconnaissance de minorité, il s’apprête à partir à Saint-Nazaire, où plusieurs hébergeurs vont l’accueillir à tour de rôle. “Si j’ai pris le bateau pour traverser la Méditerranée, avec des femmes et des enfants qui pleuraient à côté de moi, c’est pour enfin aller à l’école”, confirme à ses côtés Ibé, épuisé par son parcours d’exil. »

    « Avec ce type d’argument, c’est le monde entier qui pourrait venir chez nous… », remarque Marie, une étudiante manifestement désabusée.

    Breizh-info 05/11/2017

    Source : breizh-info.com

    https://www.polemia.com/luniversite-de-nantes-instaure-la-preference-etrangere/

  • Elisabeth Lévy : « Immigration : la coulpe est pleine ! »

    On nous serine que l’immigration est un sujet trop clivant pour être débattu. Pourtant, deux tiers des Français réclament qu’on l’arrête ou la réduise drastiquement. La France mérite mieux que ce déni de démocratie.

    L’immigration est, on le sait, un sujet explosif, sur lequel il est prudent, dans l’espace public, de se contenter de platitudes compassionnelles, surtout si on est aux affaires ou candidat à l’être. Alors que depuis quarante ans la France est confrontée à une immigration massive dont les partisans les plus zélés ne cessent de proclamer, pour s’en réjouir, qu’elle change le visage du pays, la question a échappé à la délibération démocratique, le simple fait de vouloir qu’on en parle suffisant à classer ceux qui s’y risquaient dans le camp des populistes.

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  • Nous serons submergés par un islam conquérant et des Africains prolifiques, sauf si…

    Par Jean-Yves Le Gallou, président fondateur de Polémia 

    Alors que les crédits budgétaires 2018 consacrés à la lutte contre l’immigration diminuent, la politique agricole commune en prévoit de nouveaux pour implanter les « migrants » dans les campagnes. Entretien accordé à Riposte Laïque.

    Riposte laïque : 18 mois après la publication d’Immigration : la catastrophe. Que faire ?comment jugez-vous l’évolution de la situation ?

    Jean-Yves Le Gallou : Le torrent migratoire s’accélère. Le nombre de titres de séjour distribués en 2016 s’est établi à 227.923 : en augmentation de 5% par rapport à 2015.

    Dans le même temps 85.696 étrangers ont déposé une demande au titre du droit d’asile : en augmentation de 7% par rapport à 2015, 40% par rapport à 2013 et 120% par rapport à 2007. Bien sûr les 3/4 ou les 4/5 de ces demandeurs seront déboutés mais le plus grand nombre de ces déboutés resteront comme clandestins dans l’espoir d’être régularisés.

    Riposte laïque : A-t-on une idée du nombre de clandestins ?

    Jean-Yves Le Gallou : Je ne me hasarderai pas à une estimation… par crainte de sous-estimation ! Simplement les bénéficiaires de l’Aide médicale d’État étaient 300.000 en 2016 : en augmentation de 49% depuis 2011… Or l’immense majorité des clandestins sont des jeunes hommes qui ne doivent pas avoir souvent besoin de consultations médicales…

    Riposte laïque : On a l’impression qu’il n’y a plus du tout de frontières.

    Jean-Yves Le Gallou : C’est le ressenti des dirigeants et des fonctionnaires de la police aux frontières. On ne contrôle plus les entrées… et on n’expulse plus personne ou quasiment plus personne.

    Toutes causes confondues, le ministère de l’Intérieur prétend avoir expulsé 12.961 clandestins en 2016, un chiffre en baisse de 15% par rapport à 2014. Encore est-il doublement bidonné : il prend en compte les rares sorties volontaires ; lorsqu’un clandestin qui s’apprête à quitter (volontairement) la France est détecté et à la frontière il se voit notifier un OQTF (Obligation de quitter le territoire français) : cela ne sert à rien, puisque c’est précisément ce qu’il est en train de faire, mais cela gonfle les statistiques de réussite de la procédure !

    Par ailleurs, s’agissant des retours vraiment forcés, le gouvernement a menti au Sénat. Il a donné le chiffre de 6.166. Mais la Commission européenne qui rembourse les frais correspondants dans le cadre du FAMI (Fonds asile migration et intégration) n’a reçu que 2.429 dossiers. Bref, une arnaque statistique de 250% !

    Riposte laïque : Le gouvernement veut-il vraiment arrêter l’immigration clandestine ?

    Jean-Yves Le Gallou : Non ! Macron fait des simagrées expliquant devant les caméras à une clandestine marocaine voilée : « Madame, il faudra repartir ». Mais il fera jour demain… Et dans la vraie vie les crédits budgétaires 2018 consacrés à la lutte contre l’immigration diminuent de 7%, alors que le reste des crédits de la mission « Asile, intégration, immigration » augmente de 12% : 85 millions (en baisse) contre l’immigration clandestine, 1,2 milliard (en hausse) pour « l’accueil ».

    Riposte laïque : On a le sentiment d’une vraie préférence étrangère ?

    Jean-Yves Le Gallou : C’est hélas vraiment le cas ! J’ai déjà cité un exemple : accueil, les crédits augmentent ; refoulement des clandestins, les crédits baissent. Pas besoin d’un dessin pour comprendre !

    Mais voici d’autres exemples.

    Si vous avez un enfant, il doit subir, nolens volens, 11 vaccins sinon il ne pourra pas être scolarisé ; mais les clandestins, eux, ne sont pas vaccinés ; et les immigrés réguliers non plus, d’ailleurs, ce que déplore le rapport sénatorial. Le nombre des visites médicales passées à l’OFII (Office français de l’immigration et de l’intégration) s’est effondré en moins de trois ans, passant de 210.000 à 50.000, au moment même où l’épidémie de tuberculose revient. Ces gens-là sont des criminels.

    Dans le top 10 des associations les plus subventionnées par l’État, cinq se consacrent exclusivement ou principalement à l’immigration, dont France Terre d’Asile à hauteur de 40 millions d’euros.

    Le plus ahurissant est le 6e considérant de la décision du Tribunal administratif de Paris du 25 novembre 2017 retenant comme motif important pour interdire la manifestation de Génération identitaire contre l’islamisation l’existence d’un grand nombre de manifestations à Paris dont : des rassemblements de la mouvance panafricaine, de la Brigade Anti-négrophobie, de collectifs et associations, telles que le Collectif représentatif des associations noires (CRAN), l’association Unies et solidaires pour l’Afrique et sa renaissance (AUSAR), le collectif Black Lives Matter France, le Parti des indigènes de la République (PIR) ainsi qu’une manifestation de ressortissants togolais. Or, toutes ces manifestations, qui avaient été déclarées plus tard à la préfecture de police que celle de Génération identitaire (déclarée le 25 octobre, un mois avant !), se sont vu accorder une véritable priorité. De même le pouvoir a toléré tous les vendredis pendant 8 mois l’occupation de la Place de la mairie de Clichy par des musulmans prétendument en prière. Successeur de Maurice Papon, le préfet de police Michel Delpuech applique la préférence étrangère dans le droit de manifester.

    Et la politique agricole commune prévoit des crédits nouveaux pour implanter les « migrants » dans les campagnes.

    Riposte laïque : L’immigration c’est la faute à l’UE alors ?

    Jean-Yves Le Gallou : Non, c’est une vision aussi simpliste que fausse.

    Certes, l’Union européenne met en œuvre, tout comme l’État français et les principaux États européens de l’Ouest, une politique mondialiste et immigrationniste. Ceci étant, expliquer comme l’a fait Philippot, et Marine Le Pen lorsqu’elle était à sa remorque, qu’il suffirait de sortir de l’Union européenne pour maîtriser l’immigration est un mensonge absolu. Il s’agit d’un détournement de la lutte contre l’immigration en lutte contre l’UE, en refusant de voir les vrais problèmes de l’immigration et en évitant les sujets qui fâchent les médias. Bref, un discours qui a mélangé cynisme et lâcheté, paresse et ignorance.

    Quelques faits, quelques chiffres :

    – En 2016, en France, 88.510 entrées au titre du regroupement familial imposé depuis 1979 par une décision du Conseil d’État surinterprétant la Convention internationale des droits de l’enfant. Ce n’est pas davantage l’UE.

    – En 2016, en France, 73.324 entrées au titre de l’immigration des étudiants… alors même qu’il n’y a pas assez de places dans les universités pour les Français, d’où les procédures de tirage au sort. Ce n’est pas non plus l’UE.

    – En 2016, en France, 85.696 demandes d’asile en application de la Convention de Genève surinterprétée de manière laxiste par les juges. Ce n’est toujours pas l’UE.

    – En 2016, en France, à peine plus de 2.500 retours forcés de clandestins par application laxiste d’une législation française complexe par des juges –administratifs et judiciaires – surinterprétant la Convention européenne des droits de l’homme. Ce n’est pas non plus l’UE.

    – Ce n’est pas davantage l’UE qui impose au gouvernement des naturalisations indues d’étrangers (tels que parasites vivant uniquement de l’aide sociale ou candidats au titre de Français ayant déchiré la charte de citoyenneté), c’est le Conseil d’État.

    – On pourrait aussi parler de la nouvelle filière d’immigration clandestine : de grands gaillards africains qui se déclarent « mineurs », généralement sans l’être, et qui sont alors pris en charge par l’aide sociale à l’enfance, ce qui coûte 50.000 euros par an et par tête aux départements. Ce n’est pas davantage l’UE mais un détournement de la Convention internationale des droits de l’enfant.

    Vous le voyez, le pouvoir politique est comme un bouchon de liège ballotté dans une mer agitée par les associations, les médias et les juges – les juges qui ont le vrai pouvoir.

    Riposte laïque : Il n’y a donc pas de solutions ?

    Jean-Yves Le Gallou : Si. Que le pouvoir politique reprenne le pouvoir de décision aujourd’hui accaparé par les juges. C’est ce que font les gouvernants à l’Est en Tchéquie, en Pologne, en Hongrie. Ces dirigeants ne sont pas sortis de l’UE mais ils ont engagé les réformes constitutionnelles nécessaires pour échapper à la paralysie judiciaire. En France cela signifie 5 grandes mesures : inscrire le droit à la défense de l’identité dans la Constitution, retirer au Conseil constitutionnel le droit de corriger les lois sur le fond, dénoncer les conventions internationales interprétées de manière abusive (Asile, CEDH, CIE), supprimer les subventions aux associations immigrationnistes, libérer les tribunaux de la tyrannie des juges immigrationnistes.

    Riposte laïque : Et sinon ?

    Jean-Yves Le Gallou : Le reste c’est du baratin. Si nous ne faisons pas cela nous serons submergés par un islam conquérant et des Africains prolifiques.

    Jean-Yves Le Gallou 04/12/2017

    Source : Nous serons submergés par un islam conquérant et des Africains proliférant, sauf si…
    Voir aussi : Immigration, asile et intégration. Échec et mensonge du gouvernement face au Sénat

    https://www.polemia.com/nous-serons-submerges-par-un-islam-conquerant-et-des-africains-prolifiques-sauf-si/

  • Pourquoi la condamnation des 5 de Poitiers est scandaleuse ?

    Damien Rieu répond en vidéo

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html