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magouille et compagnie - Page 1538

  • Face aux éoliennes, dans l'Aude comme à Bruxelles, la résistance s'amplifie

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    Sur les communes de Bourriège et de Toureilles (Aude), la population se mobilise depuis des années contre les projets de construction d’éoliennes.
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    Lire le livre choc d'Alban d'Arguin cliquez ici 

  • La police politique de Macron perquisitionne la secrétaire de Vigilance Halal avec le RAID !

  • Jean-Michel Blanquer et l'Agrif vont déposer plainte contre Sud-Education

    6a00d83451619c69e201bb09d99e32970d-800wi.jpgLe ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer a décidé de porter plainte contre Sud Education 93, qui organise un atelier interdit aux Blancs :

    "On parle de 'non-mixité raciale', de 'blanchité', de 'racisés' [...] les mots les plus épouvantables du vocabulaire politique sont utilisés au nom soi-disant de l'antiracisme alors qu'ils véhiculent évidemment un raciste. C'est pourquoi, puisque ce syndicat a décidé de parler aussi de racisme d'Etat, que j'ai décidé de porter plainte pour diffamation à l'encontre de Sud Education 93". 

    Il regrette également que le syndicat national ne se soit pas désolidarisé de la section de Seine-Saint-Denis.

    L'Agrif également :

    "L’organisation par le syndicat de gauche Sud-Éducation d’un stage soi-disant « antiraciste » mais d’apartheid anti-blanc révèle combien il n’est plus désormais qu’une courroie de transmission du PIR (Parti des Indigènes de la République) d’Houria Bouteldja et de son conseiller idéologique Saïd Bouamama. Ce stage a pour but essentiel « la lutte contre l’islamophobie ». On sait ce que cela recouvre en réalité : une active propagande d’islamophilie. Sud et le PIR assortissent cela de la provocation délibérée d’une « formation » d’un apartheid séparant les enseignants blancs des non-blancs.

    Depuis bientôt 10 ans (première plainte le 13 février 2008), l’AGRIF a été la seule association à porter devant la justice les propos racistes d’Houria Bouteldja, traitant les Français de « sous-chiens », et les écrits de son mentor Saïd Bouamama ainsi que les paroles de son rappeur Saïd Saïdou sous les titres de « Nique la France ». Tous ceux qui, ministres et députés, sous les gouvernements de messieurs Sarkozy et Hollande, avaient juré de ne pas laisser passer pareilles éructations racistes, n’ont finalement rien fait. Seule l’AGRIF a agi et attend pour le 10 janvier 2018 l’arrêt contre « Nique la France » de la Cour d’appel de Lyon devant laquelle la Cour de cassation a heureusement renvoyé l’arrêt cassé de la Cour d’appel de Paris.

    Le « stage » Sud-PIR d’apartheid raciste montre combien madame Bouteldja, devant les tribunaux, se moquait cyniquement du monde en osant prétendre que ses catégories de « blancs » et de « non-blancs » ne correspondaient pas du tout à la réalité d’une discrimination raciale que la loi devrait punir mais à une classification idéologique. Tout simplement, dans sa dialectique islamo-gauchiste elle n’a cessé à la fois de classifier tous les musulmans dans les « non-blancs » et de ranger avec ces derniers les non-blancs non-musulmans.

    Le pire, c’est que le PIR a désormais noyauté et dirige des syndicats et autres associations avec l’appui politique de la mouvance mélenchonienne. On est là devant l’aveuglante évidence de ce que l’AGRIF n’a cessé la première de formuler et de clamer : « L’idéologie antiraciste n’est qu’un racisme en sens contraire »."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Au mieux naïfs, au pire hypocrites, en tous cas incohérents

    Membre fondateur de SOS racisme (avec Eric Ghebali, Julien Dray, Harlem Désir, BHL, David Assouline, Daniel Saada,  Marc Ladreit de Lacharrière, Pierre Bergé …) ex militant de la LCR, antifrontiste canal hystérique, catalogué comme un des représentants de l’aile gauche du PS, Gérard Filoche (72 ans en décembre) a donc finalement été exclu mardi du Parti Socialiste. Une décision prise à l’unanimité et en son absence par le Bureau national du PS dont il était membre. Connu pour ses grossièretés,  M. Filoche l’était aussi pour son opposition virulente au virage libéral de la vieille maison socialiste. Il s’était signalé récemment par ses tentatives de mobilisation au sein de sa famille politique contre la loi travail. Il était dans le collimateur de l’aile réformiste européiste de son parti, incarnée notamment ces dernières années par DSK, Pierre Moscovici, François Hollande et lenéomarcheur Manuel Valls. Pour autant,  c’est sur l’accusation d’antisémitisme que M. Filoche a été débarqué.  Il est reproché à ce syndicaliste, ex inspecteur du Travail, d’avoir relayé sur son compte tweeter, avant de l’effacer très rapidement, un visuel reproduisant « Emmanuel Macron, le bras ceint d’un brassard nazi orné d’un dollar à la place de la croix gammée » (Afp) avec en arrière fond notre planète, le drapeau américain et de l’Etat d’Israël, un banquier de la famille Rothschild, l’homme d’affaires israélien Patrick Drahi et le conseiller des princes Jacques Attali (qu’il a certainement croisé à l’époque glorieuse de la fondation/instrumentalisation de SOS  racisme par la mitterrandie…). Un photomontage qu’on l’accuse d’avoir récupéré sur le site d’E&R et  qu’il avait agrémenté du commentaire suivant à l’adresse du président de la République: «un sale type, les Français vont le savoir tous ensemble bientôt. »

    Invité pour s’expliquer sur la chaîne d’information israélienne francophone I24 (appartenant à M. Drahi), Gérard Filoche a renouvelé  ses excuses devant les journalistes Anna Cabana et Maurice Szafran.  « Evidemment j’ai été négligent (…) je n’ai pas été attentif, je n’aurais pas dû le faire. » « C’est le capitalisme qui a mis Hitler au pouvoir (…).  Hitler a été choisi par le capitalisme et être anticapitaliste c’est aussi être antiraciste, c’est aussi être contre l’antisémitisme. Je hais le racisme, je hais l’antisémitisme (…) Le capitalisme c’est lui qui nourrit l’antisémitisme. »

    Des explications qui n’ont pas franchement convaincu M. Szafran et Mme Cabana, cette dernière lui assénant la célèbre formule de cette figure de la gauche révolutionnaire allemande que fut  August Bebel (1840-1913),  président au début du siècle dernier  du Parti social-démocrate (SPD): « L’antisémitisme est le socialisme des imbéciles. » Une manière de renvoyer M. Filoche à la filiation d’un certain socialisme français largement teinté d’antisémitisme il est vrai, celui des Fourrier, des Blanqui, des Proudhon, pour ne pas parler de celui d’un certain Karl Marx

    Seul le NPA, nouvelle mouture de la LCR, a pris sa défense dans un communiqué publié sur son site: « (Filoche) a, il y a des années, quitté la LCR, pour adhérer au Parti socialiste, croyant à tort en la possibilité d’un tournant à gauche d’au moins un secteur de cette organisation. Au sein de ce parti de tous les reniements, Gérard Filoche, à sa façon, a défendu les intérêts du monde du travail. C’est en fait ce qu’on lui reproche. Pour les dirigeants du PS qui, une fois de plus, le dénoncent et demandent son exclusion, il s’agit d’éliminer celui qui est resté fidèle à une certaine vision de ce que devrait être un parti qui se réclame du socialisme. »

    Socialisme qui n’a jamais connu les attaques antidémocratiques des oligarchies financières, visant à étouffer les capacité des d’action de l’opposition nationale,  que  Marine dénonçait hier lors d’une conférence de presse. Il faut croire que le FN en serait un adversaire plus dangereux… Cette extrême gauche anticapitaliste dont se revendique M. Filoche jouit cependant toujours d’une certaine mansuétude pour peu que celle-ci se pare des couleurs consensuelles de l’anticolonialisme, concept fourre-tout et souvent cache-sexe commode des pires aberrations et des pires dérives.

    On le constate de nouveau avec les commentaires entourant le départ de Robert Mugabe, 93 ans, à la tête depuis 1980 de l’Etat du  Zimbabwe (ex colonie britannique sous le nom de Rhodésie), pour le plus grand malheur de l’immense majorité de ses  14,5 millions d’ habitants, noirs comme blancs (ces derniers  étaient encore  140 000 en 1986, seulement  30 000 en 2013 selon le dernier recensement…). Fuyant le chaos social et économique, des milliers de zimbabwéens noirs ce sont  réfugiés en Afrique du Sud, non sans y créer de nouvelles tensions et des violences (dont ils furent aussi victimes lors d’émeutes  sanglantes) , accusés par la population sud-africaine d’être en partie responsables de la hausse constante de la criminalité et du chômage dans les années qui ont suivi l’abolition de l’apartheid.

    Sans taire complètement (comment cela serait-il possible?) les ravages causés par la politique de M. Mugabe et de ses équipes, les gros médias se sont employés à minorer (par omission)  le bilan désastreux d’un homme qui s’est accroché au pouvoir jusqu’à la fin avant d’être lâché  finalement par son propre parti, la ZANU-PF. Le correspondant du Monde relate que  que « son départ a été accueilli par des scènes de liesse populaire. » « Le père violent»  « renonce  à poursuivre la lutte, à s’agripper à un pouvoir en train de glisser entre ses mains décharnées. Il renonce aux élections de l’année prochaine, il renonce à fêter ses cent ans au pouvoir malgré le cancer qui le ronge, il renonce même à  ce que son cadavre remporte les élections , comme l’a encore promis sa femme, Grace Mugabe, qui n’en est pas à une bêtise près, et porte une grande responsabilité dans sa chute. »

    Le règne de Robert Mugabe, qui se définissait comme  « marxiste-léniniste-maoïste »  fut abominable à plus d’un titre.  L’ africaniste Bernard Lugan en dressait jeudi dernier  un portrait sans concessions mais d’une implacable lucidité sur son blogue.  Depuis 37 ans, «Comrade Bob  régnait  sur ce qui fut la prospère Rhodésie dont il fit un goulag ruiné. Et pourtant, l’héritage laissé par le régime blanc était exceptionnel : le pays disposait d’excellentes infrastructures routières et ferroviaires, la population était largement alphabétisée et l’économie de type industriel avait un secteur agricole hautement compétitif. De plus, la politique des sanctions internationales avait contraint les Rhodésiens à créer une industrie de transformation. Quelques années plus tard, l’héritage laissé par les  colons  ayant été dilapidé, la faillite était totale. En 1995, l’augmentation de 67% du prix du litre d’essence et de 345% de celui du pétrole lampant utilisé pour la cuisine et l’éclairage domestique provoqua de graves émeutes dans les principales villes du pays. Leur répression fut sanglante…»

    Bruno Gollnisch au nom du Front National, était bien seul en avril 2008, en pleine période de « chasse aux Zimbabwéens blancs »,  « victimes  depuis plusieurs années d’une véritable épuration ethnique »,  du « racisme d’Etat »,   à dénoncer « le silence  de  l’Union européenne, de l’Union Africaine et d’une communauté internationale qui traquent inlassablement le racisme et la xénophobie. » Une nouvelle « chasse à l’homme ethniquement incorrect » qui se déroulait ce au moment M. Mugabe pourtant battu à l’élection présidentielle, encourageait l’occupation illégale par ses partisans de fermes détenues par des fermiers d’origine européenne.

    En janvier 2013,  à l’occasion d’un vote au Parlement européen  sur un accord de partenariat entre  l’UE et certains Etats d’Afrique de l’Est et du Sud, Bruno Gollnisch s’étonnait une nouvelle fois  «  du silence assourdissant de ces textes sur la corruption et les violences du régime Mugabe, notamment celles qu’ont subies certaines minorités ethniques (…) des expropriations par les armes et des assassinats de fermiers blancs pourtant tout aussi zimbabwéens que leurs bourreaux et persécuteurs. » Il pointait pareillement le  mutisme des instances bruxelloises  «  sur l’indigénisation obligatoire des entreprises étrangères présentes au Zimbabwe, imposant la vente de parts majoritaires de leur capital à des Zimbabwéens, exclusivement des Zimbabwéens noirs. Venant de n’importe quel pays Européen ou Américain, cette mesure de préférence nationale et de réappropriation des entreprises par des acteurs économiques nationaux, aurait soulevé un tollé. »

    « Vous êtes au mieux naïfs, au pire hypocrites, en tous cas incohérents » concluait le député européen frontiste. Autant de qualificatifs que l’on pourrait appliquer à Gérard Filoche et aux  insoumis du même acabit, mais aussi à une classe politicienne qui s’émeut aujourd’hui  de l’esclavagisme en Libye, après avoir largement  soutenu et applaudi à la destruction de ce pays voulue par le trio Sarkozy-Juppé-BHL. 

    https://gollnisch.com/2017/11/23/mieux-naifs-pire-hypocrites-cas-incoherents/

  • Thomas Joly condamné pour avoir montré la réalité de l'islamisme

    257869780.jpgUn communiqué de Thomas Joly
    Secrétaire général du Parti de la France
    Suite au procès qui s'est déroulé le 9 novembre dernier au tribunal de Beauvais, le jugement a été rendu ce 23 novembre : deux mois avec sursis, 2.000 € d'amende.
    Il s'agit clairement d'une condamnation politique ciblée alors même que l'infraction était inexistante puisqu'il n'y a eu ni préjudice ni victime. Je constate un acharnement judiciaire à mon endroit afin de m'interdire de m'exprimer contre, rappelons-le, la barbarie de Daech.
    Sur les conseils de mon avocat, je fais donc appel de cette sanction inique destinée à intimider tous ceux qui luttent politiquement contre la colonisation migratoire, l'islamisation de la France et le terrorisme au nom d'Allah.
    Aucun jugement, aucune condamnation, aucune amende ne me feront taire ni ne m'empêcheront de dire la vérité à mes compatriotes.

  • CAMBADÉLIS VEUT DÉFENDRE LES MUSULMANS CONTRE LES IDENTITAIRES. OU SOIGNER SA CARRIÈRE

    Comme on défend les femmes contre les porcs, et les mamans contre les mères, et les filles contre leurs pères…

    Ce jour-là, le 21 novembre 2017, le député honoraire Jean-Christophe Cambadélis se réveilla, en sueur : il avait eu une vision au cours de la nuit. Il courut jusqu’à la rédaction du Huffington Post et cria : « Il faut défendre les musulmans contre les identitaires ! »

    En effet, quel musulman se sent en sécurité quand il traverse Castelnaud-la-Chapelle ou Saint-Amand-de-Coly ? Dans ces territoires perdus, tous les ans, les attentats à l’eau bénite se multiplient pendant la fête de Pâques, et on fête la fin du carême en brûlant des voitures ; tous les mois, on lapide des pompiers à coups de boîtes de cassoulet ; toutes les semaines, on retrouve, sur le trottoir où ils priaient paisiblement, des musulmans traumatisés après avoir été aspergés au cabernet-sauvignon ; et tous les jours, des indigènes déchaînés rasent les barbes et arrachent les voiles en hurlant : « Montjoie ! Saint-Denis ! »

    N’oublions pas, non plus, les meurtres des journalistes de Charia Hebdo, qui avaient osé caricaturer saint Jean-Baptiste. Nous étions alors des millions à défiler, des millions qui disaient : « Je suis Charia », « Plus jamais ça », « Nous étions tous des juifs allemands, soyons tous des musulmans français ». N’oublions pas. N’oublions jamais. Et contre ce péril blanc, lisons Edwy Plenel. 

    En réalité, ce ne sont pas les musulmans que Cambadélis défend ; c’est lui-même, et sa carrière politique, car Cambadélis, c’est déjà la France d’après, celle qui sait qu’elle devra son avenir à cet électorat qui a déjà en partie « grand-remplacé » les Français, cette force politique à laquelle le socialiste moyen se soumet pour survivre – car il croit qu’il survivra, le naïf, quand il sera le premier à disparaître de la vie politique : qui pourrait avoir confiance dans un tel opportuniste, capable d’une traîtrise aussi parfaite ?

    « Il faut défendre les musulmans contre les identitaires ! » Oui, et je propose que l’on fasse taire définitivement les seconds, qu’ils cessent de tourmenter les premiers. Oui, défendons les musulmans contre les identitaires, comme on défend les femmes contre les porcs, et les mamans contre les mères, et les filles contre leurs pères, et les lecteurs contre les écrivains insoumis et les murs contre les cons, et les cons contre Jean-Christophe Cambadélis, député honoraire.

    http://www.bvoltaire.fr/cambadelis-veut-defendre-musulmans-contre-identitaires-soigner-carriere/

  • Enseigner la haine du Blanc, par Caroline Parmentier

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    8994-20171124.jpgAprès le festival « afroféministe » Nyansapo, après le camp d’été « décolonial », le stage de profs interdit aux Blancs. Le faux antiracisme s’affirme de plus en plus ouvertement comme ce qu’il est : un authentique racisme anti-blanc.

    Jean-Michel Blanquer porte plainte contre la tenue d’un stage d’enseignants interdit aux Blancs, organisé en Seine-Saint-Denis par SUD-éducation 93. Parmi ces fauteurs de guerre civile, on retrouve toute la clique habituelle des racistes et des islamo-collabos : le syndicat SUD, le CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France), les compagnons de route des Indigènes de la République, Nacira Guénif, vice-présidente de l’Institut des cultures d’islam ou encore Marwan Muhammad (qui revendique le droit de se battre en France « pour que notre pays devienne musulman dans les trente ou quarante prochaines années »). Muhammad tiendra une conférence sur l’islamophobie dans l’éducation nationale. Il ne manque que Danièle Obono.

    Intitulé « Au croisement des oppressions – Où en est-on de l’antiracisme à l’école ? » et prévu les 18 et 19 décembre, le stage syndical de SUD-éducation 93 prévoit des ateliers et réunions réservés aux « personnes racisées » c’est-à-dire non accessible aux Blancs : « Outils pour déconstruire les préjugés de race, de genre et de classe » et « Atelier récit d’expérience : quelle vie professionnelle pour les enseignant-e-s racisé-e-s ? ». En écriture inclusive of course. Il est particulièrement rassurant d’apprendre que 70 professeurs dont on imagine la bonne influence et le genre de savoir transmis aux élèves, sont déjà inscrits.

    « On parle de non-mixité raciale, de blanchité, de racisés […] les mots les plus épouvantables du vocabulaire politique sont utilisés au nom soi-disant de l’antiracisme alors qu’ils véhiculent évidemment un racisme », a réagi le ministre de l’Education devant l’Assemblée nationale. « C’est pourquoi, puisque ce syndicat a décidé de parler aussi de racisme d’Etat, j’ai décidé de porter plainte pour diffamation à l’encontre de SUD-éducation 93. »

    Le syndicat national SUD a apporté tout son soutien à sa section de Seine-Saint-Denis, assurant que « le ministre de l’Education n’a pas à intervenir sur le contenu des stages syndicaux ». Inutile de préciser que le premier syndicat de droite qui aurait appelé à une réunion interdite aux Noirs, aurait été immédiatement interdit et dissout, ses responsables lynchés dans les médias et traduits en justice. Marine Le Pen qui a salué l’intervention salutaire du ministre, a demandé des « sanctions exemplaires » contre « les professeurs fautifs ».

    L’article annonçant le stage ségrégationniste a été publié sur le site internet de SUD-éducation 93 le 19 octobre, mais il a fallu attendre le 20 novembre, un mois plus tard, pour qu’il suscite des réactions, d’abord via les réseaux sociaux. Repéré dans un tweet par Nassim Seddiki, secrétaire général du Printemps républicain, il a été repris par le toujours très vigilant Fdesouche, qui en a fait un article qui a largement circulé. Dans cette gauche qui s’écharpe sur le racisme antiraciste, la Licra condamne les ateliers interdits aux Blancs mais également l’utilisation du terme « racisé » dans le programme : « Nous refusons d’étiqueter les enfants des écoles de la République et leurs enseignants en fonction de critères dignes d’une exposition coloniale. »

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 23 novembre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • L’arrestation de six nouveaux “réfugiés”-terroristes syriens en Allemagne survient au plus mauvais moment pour Angela Merkel

    réfugiés terroristes Syriens Allemagne
    C’est justement alors que les négociations pour former un nouveau gouvernement venaient de capoter sur la question de l’immigration que les Allemands apprenaient l’arrestation de six nouveaux « réfugiés » syriens soupçonnés de préparer une série d’attentats pour la date-anniversaire de l’attentat au camion sur un marché de Noël de Berlin. Un attentat qui a fait douze morts et plus de cinquante blessés en 2016 et qui a été commis par Anis Amri, un Tunisien lui-même arrivé illégalement en Italie en 2011 en tant que « réfugié ». Eh oui, désormais même les grands médias de gauche le reconnaissent, certes un peu tard, tel le “New York Times” : il y avait bien des terroristes parmi les migrants.

    Lire la suite sur REINFORMATION.TV

  • Le Figaro accable Ratko Mladic et tait l’épuration des serbes de Bosnie autour de Srebrenica

    Nous rediffusons cette mise au point de 2008 alors que Le Figaro vient de publier un article à charge sur Ratko Mladic, en taisant les massacres commis par les musulmans ayant conduit à l’offensive sur Srebrenica, en reprenant les chiffres de morts farfelus du TPI, institution inique dirigée par l’Otan alliée des islamistes à l’époque.

    Ratko-Mladic-criminel-ou-heros.jpg« Le Tribunal Pénal International passe par pertes et profits les massacres avérés de milliers de civils serbes par les troupes musulmanes de Bosnie dirigées par Naser Oric, et ignore toujours l’existence des camps de concentrations musulmans où croupirent des civils serbes, femmes et enfants inclus.

       Naser Oric fut acquitté, jeudi 3 juillet 2008 , par la chambre d’appel du Tribunal Pénal International de La Haye, après avoir été condamné en première instance en juin 2006 pour crimes de guerre. Si en 1992, estiment les magistrats, des civils serbes ont été passés à tabac et tués en Bosnie, « les preuves de la culpabilité de Naser Oric sont absentes », comme si celui qui était le commandant en  chef de l’armée bosniaque de 1992 à 1995 n’était pas au courant que ses hommes s’attaquaient à des milliers de civils, comme si il ne s’était rien passé après 1992 !

       Le Tribunal Pénal International, (création ad hoc américaine) après avoir sur le tard (2003 !) commencé à interpeller quelques criminels de guerre musulmans pour tenter de regagner de la crédibilité après avoir systématiquement arrêté les « criminels » du seul camp Serbe, vient de démontrer que son parti pris à l’égard des bosno-musulmans dans la continuité des choix de l’Otan, fait de La Haye le théâtre d’une des plus grandes parodies de justice de l’histoire moderne.

       De nombreux témoins de l’époque, du chef de la sécurité civile Patrick Barriot au général Lewis MacKenzy, premier commandant des forces de paix l’ONU à Sarajevo, en passant par le courageux général Morillon, avaient pourtant clairement décrit le rôle criminel du sanguinaire Naser Oric, sous les ordres de l’islamiste Alija Izetbegovic, conduit à la présidence de la Bosnie indépendante par l’Otan et son allié François Mitterand, sous l’influence de Bernard Henry Lévy.

    Naser Oric commandait  l’armée Bosno-musulmane lors du siège de Srebrenica  par les Forces Serbes, qui tenaient légitimement à régler leur sort aux djihadistes (qui s’assumaient comme tel) responsables d’une épuration ethnique, rélle et planifiée, elle

    8 000 morts lors de la reprise de Srebrenica ? Seuls 2079 corps identifiés par la Commission internationale pour les personnes disparues. Seulement des civils désarmés ? Non,  5500 hommes de la 28 eme division d’infanterie bosno-musulmane lourdement armés étaient dans le secteur…qui avaient refusé de rendre les armes, et majoritairement neutralisés lors de combats réguliers ! (Certes, des executions sommaires qu’il convient de punir, mais s’élevant à quelques dizaines et non avalisées par la hierarchie..)

      L’Association des anciens combattants de la Républika Srpska  révéla  détenir une liste de 954 combattants musulmans bosniaques tués au cours de la guerre civile en Bosnie avant fin 1994, qui figurent pourtant dans le compte des victimes  de Srebrenica datant de juillet 1995. La liste fait partie des rapports faits en fin 1994 au commandement du second corps d’armée bosno-musulman par le chef de la 28ème division en garnison à Srebrenica,  Naser  Oric lui-même.  Par ailleurs, l’Association de la Republika Srpska des prisonniers de camps cite l’exemple de Munira Subasic, présidente de l’Association des femmes musulmane de bosnie , qui a déclaré son fils comme une des victimes de Srebrenica. Or, son fils a été trouvé aux Etats-Unis sous un nom différent »

     » On peut être sans nouvelles des « civils disparus depuis deux ans » de Srebrenica, mais ça ne les empêche pas de voter aux élections de Bosnie de 1997 ! La liste ci- dessous constitue une partie de la liste des 3010 « civils disparus » qui ont participé aux élections de Bosnie et qui figurent dans la liste des votants de l’OSCE  » . DR Dragan Kalinic, président du Parlement de la République Serbe lors de sa présentation de ce « paradoxe » à l’OSCE et à l’UE….

                Alors que Le Monde décrit Oric comme un simple résistant « Naser Oric et ses compagnons d’armes résistent. » (source), se gardant bien de fournir à ses lecteurs des informations capitales pour cerner le rôle du criminel pendant la guerre, en faisant porter la responsabilité des « 7000 » morts de Srebrenica sur les seuls Serbes (oubliant que la plupart furent des soldats tués en  représailles aux nettoyage ethnique du noël orthodoxe 1993, et que le chiffre de 7000 ne repose sur aucune preuve) il est temps de donner la parole aux vrais connaisseurs du dossier :

    « Le 6 mai 1992 deux petits hameaux, Blj et Gniona, avaient été saccagés et brûlés comme un signal, deux jours avant que le le juge Goran Zekic, président du SDS (parti politique des Serbes de Bosnie) et député ne soit tué par les milices musulmanes. Le 7 mai suivant, sept Serbes qui cherchaient à s’échapper de Srebrenica furent pris en embuscade et assassinés. Le 15 mai, les villages de Viogor, Orahovica, Karno, Civeci et Radosevi furent attaqués. De cette façon, de mai 1992 à janvier 1994, jusqu’à 192 villages furent pillés et incendiés. Pendant cette période, 8000 maisons serbes furent attaquées et 5400 complètement détruites. Le nombre de tués était de plus de 1000, y compris des femmes, des enfants et des vieillards et 90% furent tués principalement durant les six premiers mois à partir de mai 1992 en dépit qu’ils fussent des civils » (source:  témoignage de Milivoje Ivanisevic intitulé Chronique de notre cimetière paru dans le journal hollandais De Groene Amsterdammer du 13 mars 1996, et rapport de la République serbe de Bosnie pour le TPI)

       Dans son article La véritable histoire de Srebrenica paru dans The Globe and Mail du 14 juillet 2005, le général Lewis  MacKenzie évoquait la personnalité de Naser Oric :

    Cela se passe début juillet 1993 :

       « Il n’a pas fallu longtemps aux musulmans bosniaques pour comprendre que l’ONU n’était pas en mesure de tenir sa promesse de « protéger » Srebrenica. Avec une certaine aide extérieure, ils ont commencé à infiltrer des milliers de combattants d’armes dans la zone protégée. Au fur et à mesure que les combattants bosno-musulmans  étaient mieux équipés et entraînés, ils se sont mit à sortir de Srebrenica, à incendier les villages serbes et à tuer leurs occupants, avant de regagner rapidement la sécurité de la zone protéger de l’ONU (quel courage). Ces attaques ont atteint un sommet en 1994, et ont continué jusqu’au début de 1995, après que la compagnie d’infanterie canadienne ait été remplacée par un contingent hollandais plus important. Les Bosno-Serbes avaient peut être l’armement le plus lourd, mais les Bosno-musulmans étaient leurs égaux en capacité d’infanterie, indispensables sur le terrain rugueux de Srebrenica. Quand la neige a fondu au printemps de 1995, il est devenu évident pour Naser Oric, l’homme qui commandait les combattants bosno-musulmans, que l’armée bosno-serbe allait attaquer Srebrenica pour faire cesser ses attaques de villages serbe. » 

       Soit une légitime défense. Le commandant des forces de paix insiste sur le fait que l’armée serbe, lors de la libération de Srebrenica, avait pris soin de séparer les femmes et les enfants des militaires bosno musulmans ayant du sang sur les mains, ce geste démontrant clairement qu’il n’y avait pas de volonté de génocide. Il poursuit sur la querelle des chiffres :

    «  Les éléments fournis au tribunal pour crimes de guerres de La Haye soulèvent de sérieux doutes sur le chiffre « jusqu’à » 8000 bosno-musulmans massacrés. Ce chiffre inclus « jusqu’à » 5000 enregistrés comme manquant (nda : le plus souvent réfugiés vers de nord, aucun élément ne prouve leur présence dans le « charnier »). Plus de 2000 corps ont été exhumés à Srebrenica et dans les environs, et ils comprennent les victimes de trois années d’intenses combats dans la région (nda : et non celles du pseudo génocide). L’arithmétique ne peut tout simplement pas confirmer le chiffre de 8000 tués. Naser Oric, le chef militaire bosno-musulman à Srebrenica, est actuellement inculpé à La Haye de crimes commis pendant la « défense » de la ville. Les preuves à ce jour montrent qu’il a été responsable du meurtre d’autant de civils serbes à l’extérieur de Srebrenica  qu’il y a eu de gens massacrés par l’armée bosno-serbe à l’intérieur de la ville »

       Pour connaître la vérité sur Srebrenica, lire le receuil de documents de l’association Vérité et Justice Le dossier caché du « génocide » de Srebrenica incluant l’analyse du groupe de recherche américain,le rapport officiel des serbes de Bosnie censuré jusqu’alors, et des témoignages d’hommes de terrains, dont des hauts gradés.

       Il serait trop long de citer tous les témoignages accablant contre Naser Oric, délibérément ignorés par la presse française. Eve Crépin, infirmière française de terrain témoigna face à Clara Del Ponte lors du Procès Milosevic, pour rendre à Naser Oric ce qui est à Naser Oric, et à Radko Mladic ce qui est à Radko Mladic :                                                      

    «  Des milices musulmanes furent créées à Sarajevo et dans ses environs dès l’année 1991, avant la proclamation de l’indépendance de la Bosni-Herzegovine. Elles avaient pour but de terroriser la population serbe de Sarajevo et de ses environs, par exemple Tarcin. Dès 1992, les milices musulmanes de Naser Oricont semé la terreur autour de Srebrenica. C’est à partir de Srebrenica que les troupes de Naser Oric,commandant des forces de l’armée bosniaque dans cette enclave, ont massacré des centaines de civils serbes dans les villages alentours[1]Le 7 janvier 1993, jour de Noël orthodoxe, les troupes de Naser Oricattaquèrent des villages et des fermes serbes. Une cinquantaine de civils serbes furent tués au cours de ce massacre. Srebrenica a été déclarée zone de protection des Nations Unies en 1993. Mais rien n’a changé. La zone n’a pas été démilitarisée par les forces bosniaques. Elle a continué de servir de base arrière aux troupes musulmanes jusqu’en juillet 1995. Entre 1500 et 2000 serbes ont été tués entre ces quatre années. Tous les comptes rendus d’autopsie de ces victimes existent. Ils ont été présentés au Tribunal Pénal International pour l’ex-Yougoslavie en 2000par le docteur Zoran Stankovic. Concernant Gorazde, un massacre de la population serbe fut perpétré le27 août 1992 par des milices musulmanes.

       De nombreux camps de détention pour Serbes furent ouverts en Bosnie par les Musulmans (Celebici et Tarcin). Certains sont restés ouverts jusqu’aux accord de Dayton en 1995. Le camp de Celecebi[2], en Herzegovine, a commencé a fonctionné dès le 20 mai 1992. Des organismes comme le CICR, la Direction du Centre pour les Droits de l’Homme à Genève et les organes d’information de l’ONU, étaient au courant de l’existence de ce camps (nda : Le Monde préférait reprendre les intoxications d’Izetbegovic sur les camps serbes qui n’ont jamais existés !). Plus de 500 citoyens civils serbes de la région de Konjic ont été emprisonnés, torturés dans ce camp. Tous les certificats, radiographies, analyses ou comptes rendus d’autopsie effectués pour ces victimes existent et attestent de ces faits[3].

       Le camp de Tarcin[4](silo de Tarcin à côté de Sarajevo) était un camp de détention créé par les Musulmans pour les habitants serbes des environs de Sarajevo. Ila été ouvert en mai 1992 et n’a été fermé qu’en janvier 1996, après la signature des accords de Dayton. Environ 550 civils de nationalité serbe dont 11 femmes ont été détenus dans ce camp. Beaucoup de victimes de ce camp y sont mortes soit de tortures, soit de faim. Les survivants seront  marqués  à vie par ce qu’il y ont subi. Les témoignages recueillis sont insupportables »                                      

       Le témoignage édifiant de Eve Crépin est tiré du document préfacé par le Général Pierre-Marie Gallois« Le procès de Milosevic ou l’inculpation du peuple serbe », L’Age d’Homme, 2005, page 201.

       Ce témoignage fait parti du dossier d’instruction contre Naser Oric, mais les « juges » à la solde de l’Otan préfèrent croire Naser Oric, « aucune preuve » malgré les tombes, les milliers de familles qu’il suffit d’aller interroger, et les uniformes bien identifiables des hommes de Oric.

    Autre témoignage, vidéo cette fois. Un journaliste du Toronto Star, le 16 juillet 1995 décrit une vidéo analysée par la rédaction du journal canadien, montrant des scènes d’épuration ethniques aux alentours de Srebrenica :

       « Sur la vidéo, des maisons en train de brûler, des cadavres, des têtes tranchées, et des gens s’enfuir. [Le Commandant] Oric pendant tout ce temps souriait, admirant son oeuvre. ‘Nous leur avons tendu une embuscade’, dit-il lorsque un nombre de Serbes morts apparut à l’écran. La séquence suivante montrait des corps de personnes qui avaient été tués à coup d’explosifs : ‘On a envoyé ces types dans la lune’, dit-il fièrement. Lorsqu’ arrive la scène d’une cité fantôme, aux murs criblés de balles, sans aucun corps apparent, Oric se hâte d’annoncer : ‘Nous avons tué là 114 Serbes‘. Plus tard, il y avait des célébrations, avec des chanteurs chantant ses louanges d’une voix hésitante » Notez que Oric dit bien que ses « troupes » ont mutilé et abattu des villageois, pas des troupes serbes.

      ‘Nous avons du utiliser les armes blanches cette nuit-là’, explique Oric lorsque les scènes d’hommes morts découpés au couteaux se suivent sur son Sony 21 pouces…Etendu sur un divan bien rembourré, une pièce de tissu de l’armée US fièrement exposé sur le coeur, …le commandant musulman est l’homme fort de cette ville [de Srebrenica], que le Conseil de Sécurité des Nations Unies a déclaré ‘zone de sécurité’ protégée« 

    Le colonel français Patrick Barriot sur le terrain à l’époque, témoigna devant Clara del Ponte de ces faits d’armes jamais jugés des Bosno-musulmans :

    « Aussitôt que l’armée fédérale yougoslave (JNA) se fut retirée de la région , au mois de mai 1992, le commandement des forces musulmanes de Srebrenica fut confié à des repris de justice tels que Naser Oric et Zulfo Tursunovic. Srebrenica fut transformée en base de repli des combattants bosniaques qui effectuaient des incursions dans les villages serbes alentour. De mai 1992 à janvier 1994, près de 200 villages serbes furent mis à sac et plus de 1000 civils massacrés y compris femmes, enfants et vieillards. Le 7 janvier 1993, jour de Noel orthodoxe, les troupes bosniaques massacrèrent les habitants du village de Kravica. Le nombre de Serbes massacrés dans les environs de Srebrenica de 1992 à 1995 est au moins égal aux nombres de Musulmans bosniaques tués lors de la prise de la ville en juillet 1995. (…),Dans la nuit du 11 au 12 juillet, entre 10 000 et 15 000 Musulmans armés (chiffre confirmé par Naser Oric) ont quitté Srebrenica pour tenter de rejoindre à travers bois Tuzla et Kladanj. Durant la nuit, ces hommes se sont violemment affrontés aux forces serbes positionnés dans la forêt autour de Srebrenica. Environ 1800 soldats musulmans sont morts au cours des combats. Les forces serbes ont  perdu de leur côté plus de 500 hommes (rapport de 1 à 3).  »  Le procès de Milosevic ou l’inculpation du peuple serbe , L’Age d’Homme, 2005, page 58.

      A noter que, lors de la prise de la ville, les forces serbes ont évacué en bus vers Kladanj, en territoire musulman, femmes, enfants et vieillard. Les hommes ont été appellé à déposer les armes. Ceux qui l’ont fait ont été amenés à Bratunac pour vérification d’identité afin de déterminer si ils étaient impliqués dans les massacres de civils des années précédentes. Des échanges de prisonniers ont eu lieu avec le gouvernement islamiste de Alija Izetbegovic. Le « mythe des 7000 morts » du « génocide » a été construit en rassemblant un gros millier de corps des musulmans n’ayant pas voulu déposer les armes…du théatre 100% Izetbegovic, ayant déjà été capable de tirer des obus sur son propre peuple (marché de Markalé à Sarajevo ) afin de faire porter le chapeau aux Serbes… 

       Il faut relire attentivement la Déclaration islamique d’Alija Izetbegovic, chef de Nasir Oric et premier président de la Bosnie indépendante, pour comprendre le caractère djihadiste du comportement de l’armée islamique bosniaque, préparée doctrinalement à l’extermination totale des non-musulmans.

    1] Ces troupes ont pillé, détruit, mis à feu et à sang plus d’une centaine de localités autour de Srebrenica. Les habitants des villages y ont été brûlés, égorgés, décapités, éventrés avec des objets contandants. Ces exactions ont fait des dizaines de milliers de réfugiés et près d’un millier de civils tués. (nda : pas assez pour Clara del PonteLe général Morillon lui-même a assisté à l’exhumation des fosses communes.

    [2] Les auteurs de ces horreurs sont les membres du HOS (les « chemises noires » neo-nazies, qui regroupent des Croates et des Musulmans. L’existence de ce camp s’inscrivait dans un vaste programme d’épuration ethnique de la région de Konjic qui a commencé le 10 avril 1992 à l’encontre des civils serbes, femmes, enfants, vieillards ou hommes. La présence d’Alija Izetbegovic ( nda :soutenu à l’époque par Mitterand et BHL) et d’un général de l’armée bosniaque dans ces camps est prouvée. En outre, plusieurs milliers de Serbes ont été obligés de partir de la région de Konjic.

    [3] Voir l’article de Libération du 17novembre 1998 intitulé « Le TPI à l’écoute des victimes serbes »

    [4] Alija Izetbegovic était au courant de l’existence de ce camp puisque c’est lui qui délivrait les autorisations de visite du camp aux représentants de la Croix-Rouge.

    http://islamisation.fr/2017/11/22/le-figaro-accable-ratko-mladic-et-tait-lepuration-des-serbes-de-bosnie-autour-de-srebrenica/

  • Haziza, qui avait insulté La Manif Pour Tous, suspendu suite à une plainte pour agression sexuelle

    Astrid de Villaines, journaliste de LCP-AN, a déposé une plainte, dimanche 19 novembre, contre Frédéric Haziza présentateur phare de La chaîne parlementaire qu’elle accuse d’agression sexuelle. Une enquête préliminaire a été ouverte et a été confiée à la brigade de répression de la délinquance contre la personne de la police judiciaire. Les faits seraient survenus le 20 novembre 2014. Alors qu’Astrid de Villaines souhaitait rejoindre son bureau, le présentateur lui aurait bloqué le passage.

    «Je suis donc passée devant lui, face à face. Monsieur Haziza a alors tendu son bras droit, autour de ma taille. Sa main s’est alors retrouvée au niveau de mes fesses, côté gauche, en l’appuyant fortement. Dans le même temps, monsieur Haziza m’a pincé la fesse gauche».

    Immédiatement convoqué dans le bureau du rédacteur en chef de l’époque, le présentateur et journaliste aurait d’abord nié les faits.

    «Monsieur Haziza nous a déclaré (devant elle et le rédacteur en chef) ne pas m’avoir touché les fesses, mais juste les genoux et n’a pas reconnu les faits devant mon rédacteur. Je précise que monsieur Haziza a déclaré devant mon rédacteur, vouloir m’acheter une viennoiserie afin que cet incident s’achève. Je précise avoir quitté la salle après ces propos déplacés».

    Dans sa plainte, Astrid de Villaines ajoute que le présentateur avait eu des «gestes ou des allusions déplacées» les années précédentes. Saisi par le Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) de LCP, la direction a adressé un avertissement à l’encontre de Frédéric Haziza. Gérard Leclerc, président de la chaîne à l’époque, confirme

    «qu’une procédure avait été ouverte et qu’une sanction avait été décidée à l’encontre du journaliste».

    Certains salariés, citant des précédentes affaires d’agressions sexuelles ayant entraîné des licenciement dans l’entreprise, jugent que la sanction prononcée contre le présentateur avait été très faible. BuzzFeed a recueilli le témoignage de deux autres femmes envers lesquelles Frédéric Haziza aurait eu des comportements inappropriés.

    Mardi soir, LCP a annoncé la suspension du journaliste.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html