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magouille et compagnie - Page 1539

  • Femmes SDF en France : Elles vivent dans la rue pendant que les migrants dorment à l’hôtel

    On estime qu’en France, les femmes représentent 40% des sans-abri. 2 SDF sur 5. Elles sont de plus en plus nombreuses, mais personne ne les voit, ou si peu. Elles se rendent parfois invisibles, à cause des risques d’agression, plus grands quand on est une femme.

    Elles s’appellent Myriam, Barbara, Katia, Martine, elles tracent leur route et essaient de s’en sortir. Elles sont plus vulnérables et constituent souvent des proies. Pour se protéger, elles se cachent jusqu’à se rendre invisibles. Elles se cachent dans les cages d’escaliers ou les parkings.

    Rupture, divorce, accidents de la vie? A Paris, elles seraient 7 000 à vivre dans la rue. Leur situation est souvent plus précaire et dangereuse que celle des hommes. Barbara, Martine et Myriam évoquent leur réalité. Une rupture familiale, un divorce qui tourne mal, un accident de vie, chacune à son histoire.

    Elles tentent de se reconstruire afin de renouer avec leurs proches, retrouver leurs enfants et leur dignité. Elles expliquent à quelle pression bien spécifique elles sont soumises et pourquoi elles sont forcées de se cacher pour passer inaperçues.

  • Le politicien professionnel ne veut pas votre bien

    Le politicien professionnel est sans doute un mal nécessaire de la démocratie mais ce n’est ni un gentil ni un altruiste

    Par Dominique Philos.
    Un article de Témoignage fiscal

    Ex: https://www.contrepoints.org

    Les quelques réflexions qui suivent m’ont été inspirées par l’attitude de Thierry Solère, député Les Républicains, par ailleurs visé par une enquête fiscale, qui a changé « d’écurie » pour passer à LREM et qui s’est accroché à ses fonctions de questeur pour des raisons financières (doublement de l’indemnité de base de 5.600 € par mois) mais aussi de pouvoir ; et qui a dû s’incliner… de très mauvaise grâce tout en risquant finalement d’être exclu de LREM pour des petits arrangements entre amis avec Urvoas, ancien ministre socialiste de la Justice.

    Faire de la politique son métier

    Le politicien professionnel fait de la politique son activité exclusive mais reste marginal par rapport au nombre total d’élus, qui sont majoritairement des non professionnels. Or, il peut apparaître singulier de vouloir faire carrière dans un secteur qui relève en principe du seul mandat électif périodique ; lequel rend nécessairement aléatoire, en fonction du résultat des élections, toute projection de carrière.

    On connaît pourtant des politiciens professionnels qui ont eu quarante ans ou plus d’activité exclusivement politique ; ce qui justifie que l’on s’intéresse un peu à eux.

    Nul besoin de diplôme pour se lancer en politique ; il suffit d’avoir de l’audace, de l’ambition, pas trop de scrupules, une élocution aisée, une aptitude à mentir et à dissimuler.

    Le politicien professionnel cultive l’amitié politique et les réseaux essentiellement à des fins de Cursus Honorum et de pouvoir. Son ambition est d’arriver aux fonctions les plus prestigieuses et il va tout faire, une fois arrivé à la position convoitée, pour s’y maintenir.

    Les arguments du politicien professionnel pour être élu

    Le discours du politicien tourne toujours autour du même sujet et utilise toujours les mêmes arguments : Votez pour moi, je vais assurer votre bonheur et, évidemment, la population ne demande bien souvent qu’à croire aux belles promesses du politicien qui n’hésitera jamais à caresser l’électeur dans le sens du poil !

    La réalité qui se cache derrière ce discours est un peu plus nuancée… réalité qui révèle souvent une distorsion entre l’éthique affichée et des petits accommodements personnels.

    Le cadre d’action du politicien professionnel, spécialement en France, est l’État car c’est lui qui lui donne sa légitimité et ses moyens d’action tout en exploitant le besoin de protection et d’assistanat d’une partie notable de la population qui ne demande pas mieux que d’être prise en charge par un État présenté comme protecteur, de la naissance à la mort, avec un travail, une sécurité sociale, des vacances, des colonies de vacances, une retraite et un logement fournis par ce même État.

    Seulement, pas besoin de creuser bien longtemps pour s’apercevoir de la vacuité du discours car :

    Quand il promet qu’il va verser des aides sociales, il oublie juste de vous dire que ce n’est pas son argent qu’il va distribuer mais celui extorqué à d’autres, voire même, comble de l’ironie et du cynisme, à vous-même, mais le tout est de vous convaincre.

    Quand il promet des services publics gratuits, l’illusion trompeuse de la gratuité laisse à penser que le politicien œuvre pour le bien public, or si les services publics sont gratuits pour certains c’est qu’ils sont payés par d’autres ; les fonctionnaires ne sont pas des bénévoles.

    L’illusion maintenue avec l’argent public

    Quand il prévoit de financer des investissements (« ici l’État investit pour votre avenir»), il oublie juste de vous dire que ce sont vos impôts qui sont investis et que le politicien sait surtout dépenser avec prodigalité l’argent des autres ! Par ailleurs, les miracles accomplis par les politiciens se résument bien souvent à une illusion provoquée par l’escamotage des coûts réels des dépenses financées par l’impôt.

    Quand il promet la création d’emplois, en fait, il ne crée pas d’emplois, au mieux il peut seulement recruter des fonctionnaires qui ne sont pas des emplois productifsmais uniquement des emplois payés par les impôts des autres. Il peut aussi distribuer vos impôts par le biais de subventions pour attirer des entreprises susceptibles de créer ces emplois.

    Finalement, la constante est que le politicien professionnel promet beaucoup en dépensant votre argent !

    Les  buts réels du politicien professionnel

    Contrairement à ce qu’il tente de faire croire, le politicien professionnel ne veut pas votre bonheur, il veut essentiellement le sien et fera toujours passer ses intérêts avant ceux de ses électeurs. Le politicien a, avant tout, pour but le pouvoir et l’argent (et le sexe en prime, parfois) mais il préfère faire croire à son engagement altruiste ; c’est à la fois plus glorieux et plus valorisant pour son ego… souvent largement dimensionné. On a quelquefois parlé d’hubris à propos de certains.

    En outre, il n’hésitera pas à sacrifier les intérêts de ses électeurs aux siens propres notamment lorsqu’il obéit à des directives d’appareil ; même si celles-ci sont contraires à l’intérêt de ses concitoyens. Car il est avant tout dans le calcul politicien.

    Ayant accès aux fonds publics, il va utiliser, en tant qu’élu, votre argent à son bénéfice personnel d’une part pour s’assurer un train de vie tout à fait confortable(on se souvient de la gauche caviar) et d’autre part pour assurer sa réélection c’est-à -dire son maintien en place.

    Pour cela, il faut qu’il soit populaire et surtout qu’on le voit et qu’on ne l’oublie pas. Il va donc sur les plateaux télé et participe à tous les évènements médiatiques (y compris à l’enterrement d’un chanteur populaire) pour y être vu ou pour discourir de sujets dont parfois il ignore tout. Il va aussi tenter de contrôler son image et notamment acheter la presse, avec vos impôts, pour qu’elle parle de lui favorablement ; car quoi de mieux qu’une presse subventionnée et complaisante et d’autant plus complaisante qu’elle dépend du politique pour sa survie.

    La manipulation de la population

    Il n’a échappé à personne que les politiciens professionnels exploitent tous les ressorts psychologiques, et quelquefois les plus vils, des électeurs pour arriver à leurs fins (cupidité, jalousie, victimisation …). En fait, le politicien professionnel se crée une clientèle c’est-à-dire qu’il va prêcher dans le sens des idées de la fraction de la population visée afin de recevoir son assentiment ; l’électorat n’étant finalement perçu que comme un marché à conquérir (le marketing politique n’est pas un vain mot).

    La désignation de boucs émissaires et de la responsabilité des autres est aussi bien une technique classique pour attirer un électorat que pour détourner l’attention et éluder ses propres responsabilités car, vous l’aurez peut-être remarqué, mais le politicien professionnel n’a jamais tort et ne se trompe jamais ! On l’a compris : la lâcheté ou, à tout au moins, le manque de courage est aussi un de ses traits de comportement.

    Il cherchera et trouvera, au moyen d’explications simplistes, des responsables à la situation et à l’insatisfaction de sa clientèle, et, de ce fait, il n’hésitera pas à s’attaquer aux étrangers, à l’Europe, aux riches, aux banques, aux juifs fraudeurs fiscaux qui « ruinent le pays » en n’acceptant pas la spoliation, à des profiteurs hypothétiques étant entendu que les profiteurs sont toujours les autres … tout en exploitant la crédulité, les sentiments xénophobes et la peur de la population.

    Manipuler l’opinion

    La promesse de faire payer les autres, surtout les autres, ne peut d’ailleurs que recevoir l’assentiment d’une population qui rêve du « grand soir » et qui a tendance à se victimiser.

    De ce fait, il n’aura aucun scrupule à manipuler l’opinion et à mentir pour parvenir aux fonctions qu’il convoite et utilisera à cet effet toutes les ressources de la démagogie et du clientélisme (il peut même défendre des idées auxquelles il ne croit pas) ; le cynisme étant d’ailleurs un mode ordinaire de gestion du politicien qui reste, quoiqu’il arrive, un opportuniste.

    L’électeur n’apparaît finalement être, dans ce schéma, qu’un instrument, un moyen pour permettre au politicien professionnel d’arriver à ses fins car le tout c’est d’être élu !

    Le rêve du politicien est en fait de contrôler la population qui devient soumise et obéit ; ce qui est facile dans les régimes autoritaires de type URSS ou Allemagne nazie mais est évidemment plus compliqué dans les démocraties où il est nécessaire de recueillir l’assentiment, au moins passif, des populations.

    Le politicien n’a alors que deux solutions : acheter les électeurs avec l’argent… des autres en organisant des transferts autoritaires de richesse au profit de sa clientèle ou leur faire peur afin de les rendre plus réceptifs, plus malléables à son discours. L’écologie, je devrais plutôt dire l’hystérie réchauffiste, (on nous parle désormais d’urgence climatique) est l’archétype du sujet qui permet de conditionner la population pour lui faire accepter une vérité officielle et la contraindre à accepter des contraintes et des impôts qu’elle n’accepterait pas autrement.

    C’est juste une version actualisée de la carotte et du bâton.

    L’envers du décor est que le jour où il faudra solder les dettes de l’État et sa dette colossale (pour l’instant arrêtée à 2.200 mds €), ces mêmes politiciens sauront vous expliquer qu’il faut payer, mais de responsable… vous n’en trouverez pas ; car, et c’est le défaut de notre démocratie, le politicien peut faire à peu près n’importe quoi sans encourir de sanction (à part électorale), à la grande différence d’un mandataire social (gérant ou PDG de société) qui, s’il gère mal, sera révoqué très rapidement et fera probablement un séjour en prison.

    En outre, volontiers moralisateurs, les politiciens professionnels font preuve d’une bonne dose de vénalité et d’absence de scrupules. En témoigne la liste, arrêtée en 2013, de 160 politiciens de tous bords condamnés (ici).

    Rapporté au nombre total d’élus (5 ou 600.000), ce nombre est certes dérisoire mais si on le rapporte aux 577 députés et 348 sénateurs, la proportion devient alors beaucoup plus significative parce que, on omet en général de vous le dire, les politiciens condamnés sont la plupart du temps des politiciens professionnels.

    Le verrouillage du système

    Les politiciens ont su organiser le système de telle façon qu’on ne peut plus se passer d’eux et le système électoral fait qu’il suffit de recueillir l’assentiment de la plus forte minorité pour arriver au pouvoir (puisque la démocratie moderne n’est pas le gouvernement par la majorité mais bien celui de la plus forte minorité) bien aidé en cela par un système électoral à deux tours calculé pour éliminer les concurrents, éviter la dilution des votes et canaliser l’électorat !

    De plus, il est nécessairement en faveur de l’accroissement du rôle de l’État, et si vous y prêtez un peu attention vous observerez que les politiciens professionnels évoquent souvent le rôle, l’importance et les missions de l’État pour la raison qu’il va en résulter pour eux une augmentation parallèle de leur pouvoir sur la société ; lequel va leur permettre, en s’ingérant et en légiférant sur tous les aspects de notre vie, de devenir des intermédiaires ou des arbitres indispensables.

    L’opportunisme plutôt que les convictions

    En fait, si l’on y regarde bien, l’utilité du politicien est tout à fait marginale et on connaît des cas où des États ont pu fonctionner sans gouvernement et sans dommage pendant de longues périodes (en Belgique notamment pendant 18 mois).

    Opportunisme, clientélisme, ambition démesurée, veulerie et vacuité sont les traits de comportement habituels du politicien professionnel et vous pouvez lire l’article de Nathalie MP sur son site (ici). Il vous éclairera sur la réalité de la politique française et « l’engagement » de politiciens sans conviction mais opportunistes.

    Vous me direz : On ne demande pas aux politiciens d’être gentils mais d’être efficaces et compétents.

    Seulement, le problème est qu’ils sont très rarement compétents et donc, a contrario, le plus souvent sont totalement incompétents et s’en remettent aux spécialistes c’est à dire …. à l’administration.

    En fait, le politicien professionnel est le plus souvent un individu ordinaire, sans talent, sans compétence, vénal et sans scrupule qui exploite la naïveté de ses électeurs et n’hésitera pas à mentir pour justifier ses propres actions (on se rappelle la déclaration de celui-là selon laquelle « il ne pouvait pas dire la vérité aux français car ils ne comprendraient pas »).

    Finalement, bien qu’omniprésents, il ne faut surtout ne pas se faire d’illusion quant à leurs convictions et leur rôle dans la société. Le politicien professionnel est sans doute un mal nécessaire de la démocratie mais ce n’est ni un gentil ni un altruiste.

    Je ne sais pas si cela peut vous rassurer mais c’était déjà le cas sous la République Romaine du temps de Jules César. Nous n’avons visiblement pas fait beaucoup de progrès depuis.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Macron à Calais : La répétition en Marche, par Etienne Defay

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    9032-20180119.jpgIl nous étonnait depuis six mois en recyclant les vieux slogans tout en les faisant passer pour des formules innovantes et audacieuses. Il maîtrisait comme personne l’art de ménager la chèvre et le chou. Prônant le conservatisme avec Blanquer, défendant la fermeté avec Collomb tout en ménageant le laxisme avec l’affable Nicole Belloubet. Sa tournée en Afrique était dans les mêmes tons : faire acte de repentance tout en souhaitant tourner la page puis humilier un président africain dans la pure tradition françafricaine.
    Humanité et fermeté, le concept éculé

    Bernard Cazeneuve, Claude Guéant, Nicolas Sarkozy, Manuel Valls… Tous ont utilisé cette formule, tous ont prôné le concept. Et tous ont occupé la place Beauvau. Emmanuel Macron n’a donc rien inventé et l’Elysée utilise des éléments de langage de premier flic. Un slogan évidemment repris par ce concept novateur qu’est la République en Marche, et nous voyons depuis quelques heures le sémillant Benjamin Griveaux le rabâcher à tous les médias sur tous les formats comme si la formule sortait de quatre heures de « brainstorming ».

    Il faut dire qu’il y avait un enjeu derrière ce déplacement calaisien. Critiqué jusque dans son propre camp et par ses amis les plus proches, Emmanuel Macron se devait d’assumer et de porter sa loi Immigration. Si l’indigence des réformes proposées n’est plus à démontrer, il y avait un symbole à défendre. Encore une guerre de communication, encore des débats ne reposant sur rien. Mais telle est la métapolitique en vogue. Opposer du vent au vent pour faire tourner les grands bras des moulins. La guerre n’est pas dans le concret, elle porte sur les sondages et les annonces. Raymond Devos armé d’un accordéon avait bien prophétisé notre Président : « Quand on tape à droite ça siffle à gauche, quand on appuie à gauche ça siffle à droite et à l’intérieur c’est du vent. »

    Tiédeur quand tu nous tiens

    En bref, notre réincarnation louis-philippesque a encore montré toute la mesure de son talent à Calais ce mardi. Tapant sur les doigts des forces de l’ordre qui n’en demandaient pas temps, il a déclaré que désormais l’Etat prendra en charge l’aide logistique et humanitaire. Au grand dam des associations pour qui Calais est devenue un argument idéologique de poids. Et des forces de l’ordre qui se sont vues réclamer davantage de déontologie. En fin de compte, l’exécutif a fait une démonstration de communication impeccable, cela le locataire de l’Elysée nous y avait habitués avec la précision et le brio qu’on lui connaît. Et puis, il faudrait être de mauvaise foi pour ne pas le lui concéder. En revanche, on attend toujours les actes concrets. Par exemple, Emmanuel Macron a annoncé une prime spéciale pour les forces de l’ordre stationnées à Calais. Comment et sous quelle forme ? C’est un autre sujet.

    Le Président souffle donc le chaud et le froid en permanence, une stratégie qui n’étonne plus personne, car toute personne mélangeant de l’eau chaude et de l’eau froide connaît le résultat final : de l’eau tiède. Il en va de même pour la politique.

    Etienne Defay

    Article paru dans Présent daté du 18 janvier 2018

    https://fr.novopress.info/209159/migrants-de-calais-la-repetition-en-marche-par-etienne-defay/

  • Trois remarques du FN suite à l’annulation du transfert vers Notre-Dame des Landes

    6a00d83451619c69e201b7c9464473970b-200wi.jpgIntéressantes remarques de Pascal Gannat, conseiller régional FN des Pays de la Loire et vice-président du groupe :

    "La décision du Président de la République Emmanuel Macron et du gouvernement d’Edouard Philippe sur le projet d’aéroport de Notre Dame des Landes appelle 3 réflexions

    -L’archaïsme du fonctionnement des institutions politiques et administratives, pratiquant l’opacité sur les contrats avec VINCI, incapables de prendre les décisions nécessaires dans des délais évitant les divisions et le blocage du développement de Nantes Atlantique depuis 10 ans, ainsi que du schéma des infrastructures de circulation autour de la Métropole Nantaise et cet aéroport.

    -La tolérance inadmissible dont ont bénéficié des groupes ultra violents se disant Antifas, occupant des portions de la ZAD et saccageant régulièrement les centres villes de Nantes et de Rennes : leur évacuation et leur dissolution est un impératif de sécurité et de paix civile.

    -L’erreur politique de la majorité de la droite et du centre de Bruno Retailleau puis de Christelle Morançais qui ont fait alliance avec le PS pour soutenir NDDL, puis ont fait voter pour Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle : ils ont été balayés aux législatives dans notre région et viennent de subir une réplique de ce tsunami avec la décision de ce jour. Ce n’est pas avec Emmanuel Macron que la droite LR rebâtira une majorité dans l’avenir, y compris en Pays de Loire aux prochaines élections régionales, mais avec la Droite nationale."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Justice : Emmanuel Macron refuse d’accorder son indépendance au parquet

    Emmanuel Macron a tranché le débat sur l’indépendance de ces magistrats. Lors de l’audience solennelle de rentrée de la Cour de Cassation, lundi 15 janvier, le chef de l’Etat s’est prononcé en faveur du maintien d’une “chaîne hiérarchique” entre les magistrats du parquet et le ministre de la Justice. “Le parquet à la française se doit d’être rattaché à la garde des Sceaux, a déclaré le président. Qui pourrait assurer la politique pénale en autonomie complète ? A la fin tout doit procéder quelque part de la légitimité du peuple.”

    Fin de non-recevoir pour le CSM

    Mais pour renforcer l’indépendance des procureurs, le président de la République s’est prononcé pour l’alignement de leurs conditions de nomination sur celles des juges du siège, c’est-à-dire après avis conforme du Conseil supérieur de la magistrature (CSM). Jusqu’ici, le gouvernement n’était pas tenu de suivre l’avis du CSM pour nommer les magistrats du parquet, alors qu’il doit s’y conformer pour ceux du siège. Mais dans les faits, depuis 2012, l’exécutif a toujours suivi son avis pour les parquetiers.

    La prise de position présidentielle équivaut à une fin de non-recevoir aux plaidoyers des deux plus hauts magistrats de France, également présidents du CSM, Bertrand Louvel, premier président de la Cour de cassation, et Jean-Claude Marin, son procureur général. Tous deux avaient réclamé, en ouvrant l’audience, la fin du lien hiérarchique entre le parquet et le garde des Sceaux.

    source: francetvinfo.fr

    https://www.patriote.info/actualite/justice/justice-emmanuel-macron-refuse-daccorder-son-independance-au-parquet/

  • L’AGRIF fait condamner le raciste Bouamama

    nique-le-france_bouamama-300x300.jpgPoursuivis en 2012 pour leur CD Nique la France, le rappeur Saïd Zouggagh « Saïdou » du groupe ZEP et le « sociologue » Saïd Bouamama avait bénéficié le 28 novembre 2012 d’un article d’une rare débilité dans Les Inrocks, le torchon pseudo-culturel d’extrême gauche, signé par un certain Basile Lemaire, qui situe l’AGRIF… à droite du Front National !!! Bon, c’est vrai que quand on place Jean-François « Copé » Copelovici à l’extrême droite… Ainsi d’ailleurs que d’une pétition de soutien signé d’un ramassis, d’illustres inconnus, d’has been (Elie Medeiros, Siné) et de never be (le reste), ainsi que quelques politicards dont je me fais une joie de rappeler les noms : Olivier Besancenot, Rokhaya Diallo, Eva Joly, Noël Mamère, Clémentine Autin, Houria Bouteldja, Sergio Coronado mais aussi une certaine… Judith Butler ! Il y a beau avoir 8 tentacules différentes chez une pieuvre, quand on les remonte, on arrive à la même tête…  Relaxés le 19 mars 2015, les racistes antiblancs furent condamnés en cassation le 1er mars 2017 et le dossier renvoyé en appel. 5 ans après, le climat à changé. Parce que Charlie, parce que Hypercasher, parce que Bataclan, alors Zemmour, alors Finkielkraut, alors Lévy, et donc…

    Le 15 janvier, l’AGRIF publiait le communiqué suivant :

    « C’est une heureuse décision rendant justice à l’AGRIF que vient de rendre ce vendredi 12 janvier 2018 la Cour d’appel de Lyon. Elle a en effet condamné les injures racistes anti-françaises perpétrées dans une production rapeuse sous le même titre que le livre « Nique la France », ayant pour auteur le dénommé Saïd Zouggagh, plainte dont elle avait été déboutée par la Cour d’appel de Paris. Mais la Cour de cassation, ayant cassé cet appel d’une manière très sévère sur le fond, avait ordonné que le procès soit déporté devant la Cour d’appel de Lyon. Cette dernière a jugé que les propos poursuivis étaient de nature à mériter une condamnation, certes à la peine symbolique d’un euro de dommages et intérêts, mais condamnation explicite et significative assortie de l’injonction de verser 3000 € à l’AGRIF pour ses frais de procédure et d’avocat. Cette satisfaction judiciaire marque le combat mené par l’AGRIF face à l’entreprise de haine contre la France, les Français et les blancs, inspiré par madame Houria Bouteldja, porte-parole du PIR (Parti des Indigènes de la République). Ce parti, fer de lance de toute une mouvance tenant des discours de guerre civile, a tenté à ses débuts de s’avancer sous le couvert de l’idéologie de l’antiracisme. Mais nous en avons démonté la dialectique de camouflage, mettant en évidence le fait que, selon notre expression, l’antiracisme est en fait « un racisme en sens contraire ». L’AGRIF défend, quelle que soit soient leur race, ou leur religion, tous les Français injuriés ou agressés pour le seul fait d’être français. Elle défend notamment les chrétiens, quelle que soit leur origine, discriminés ou persécutés pour le seul fait d’être chrétien. L’arrêt de la Cour d’appel de Lyon manifeste combien est nécessaire le combat de l’AGRIF contre le racisme de l’islamo-gauchisme. »

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/lagrif-fait-condamner-le-raciste-bouamama/86342/

  • Immigration : près de 50% des Français croient au «remplacement»

    Une enquête à l'Ifop concernant le rapport des Français au «conspirationnisme» a testé différentes théories. Parmi celles recueillant le plus l'adhésion des sondés figure celle d'une «immigration comme projet politique organisé par les élites». 
    La fondation Jean Jaurès (proche du Parti socialiste) et Conspiracy Watch ont commandé une enquête à l'Ifop au sujet du «conspirationnisme». Publiée le 7 janvier, elle révèle que 79% des Français adhèrent à une «théorie du complot» et que près de la moitié de ceux-ci (48%) pensent qu'il existe une «immigration comme projet politique organisée par les élites».
    Les personnes souscrivant à cette idée du «remplacement» de population sont plus nombreuses dans la classe d'âge la plus élevée (54% chez les plus de 65 ans) que chez les plus jeunes (44% chez les 18-24 ans). 78% des sympathisants du Front national (FN) adhèrent à cette idée, ainsi que 60% des sympathisants de droite. Cette proportion est même légèrement plus forte parmi les sympathisants de la France insoumise (FI, 32%) et du PS (35%) que parmi ceux de La République en marche (30%). 
    Le détail de l'étude montre qu'une très large majorité des Français, soit 72%, considèrent l'immigration comme «un processus inquiétant, qui cause des problèmes de coexistence entre des cultures très différentes et menace à terme notre mode de vie». Parmi les sympathisants de LREM (62%) du FN (90%) ou de la FI (61%), cette opinion est majoritaire quelle que soit la frange du spectre politique à laquelle s'identifient les sondés, seuls les sympathisants écologistes ne sont «que» 49% à y souscrire. 
    79% des Français «complotistes» ? 
    L'étude de l'Ifop s'intéresse en outre à d'autres «théories du complot», ciblant pèle-mêle l'existence de «zones d'ombre» dans l'enquête sur les attentats contre Charlie Hebdo, la croyance selon laquelle la terre est plate, que «le virus du sida a été créé en laboratoire et testé sur la population africaine avant de se répandre à travers le monde» ou encore que «le ministère de la santé est de mèche avec l'industrie pharmaceutique pour cacher au grand public la réalité sur la nocivité des vaccins». Au total, pas moins de 79% des Français adhéreraient à l'une des théories listées par l'étude. 
    Cette tendance très marquée s'accompagne d'une défiance sensible à l'égard des médias. 36% des Français pensent ainsi que ceux-ci sont «largement soumis aux pressions du pouvoir politique et de l’argent». S'ils ne sont que 17% à le penser parmi les sympathisants de LREM, ils sont 40% chez les sympathisants FN et 55% chez les sympathisants FI. 
    Cette étude a été conduite auprès d’un échantillon de 1 000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, complété par un échantillon de 252 personnes de moins de 35 ans, qui ont été remises à leurs poids réel au sein de l’échantillon lors du traitement statistique des résultats. Au total, 1 252 personnes ont donc été sondées.

  • JUPPÉ L’IMPOSTEUR

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    On se contentera de rappeler qu’il a remis la Légion d’honneur à Tareq Oubrou, grand recteur de la mosquée de Bordeaux, membre de l’UOIF, c’est-à-dire des Frères musulmans.

    Juppé a cessé de cotiser au parti qui lui a assuré la carrière que l’on sait et, par le fait même, dévoilé ce qu’il a toujours été : un membre caricatural de la caste qui a géré et continue de gérer le déclin et la décadence de la France.

    « Le meilleur d’entre nous », selon Chirac, a toujours fait preuve d’une arrogance froide et d’un mépris peu compatible avec l’esprit de la démocratie française. On cherche, en vain, dans son parcours les raisons du respect admiratif qu’il suscite.
    Interrogé, le 2 octobre 2014, par Pujadas au sujet des « états généraux de l’immigration » du RPR du 31 mars 1990 qui proposaient la fermeture des frontières, l’incompatibilité de l’islam avec la France et la préférence nationale, Alain Juppé a paru surpris. Celui qui était à l’époque secrétaire général du RPR s’est vite repris : « Vous avez marqué un point ». Tout est dit.

    Les idées et les valeurs, en politique, n’ont d’importance que pour la plèbe ignorante. Mais le parcours du génie est semé d’erreurs et de fautes. Passons sur celles qui lui ont valu d’être condamné.

    En revanche, ce sont les bourdes politiques qui doivent d’abord retenir l’attention. Bénéficiant toujours du succès du mouvement conduit par Chirac et animé par Pasqua, il s’est fait élire à Paris. Sans doute est-il considéré comme un excellent maire de Bordeaux, mais cette ville, dirigée par Jacques Chaban-Delmas depuis le lendemain de la Seconde Guerre mondiale, n’a jamais été à gauche et lui a été offerte en héritage.
    Sur le plan national, le bilan est beaucoup moins brillant. À deux reprises, en 1986, lorsqu’il est au Budget, puis en 1993, quand il participe à son gouvernement, Juppé est aux côtés d’Édouard Balladur. En 1995, il choisit néanmoins de soutenir Chirac et de participer à son élection, grâce à une campagne démagogique au nom de la lutte contre la fracture sociale. Devenu Premier ministre, il continue d’une manière plus brutale et moins habile la politique de redressement voulue par Balladur : privatisations maladroites, augmentation de la pression fiscale de l’ISF à la CSG et tentative de modification des régimes spéciaux des retraites.

    Son impopularité s’envole. Après avoir congédié les « Jupettes » sans ménagement, le Premier ministre s’associe au secrétaire général de l’Élysée, Dominique de Villepin, pour suggérer au Président la dissolution de l’Assemblée nationale. Cette incompréhensible décision ramena la gauche au pouvoir.

    Cinq années pendant lesquelles la gauche profita de la croissance mondiale d’alors et ajouta, aux mesures de 1981 et de 1988, de nouveaux boulets aux pieds de l’économie française et développa sans vergogne des politiques laxistes sur le plan de l’immigration et de la sécurité.

    Son imposture confine aussi à la trahison quand, en 1969, il vote Krivine parce qu’il trouve que Pompidou « manque de punch ».

    Il se dit gaulliste, en participant de plus en plus ouvertement à l’abandon de la défense de la souveraineté et de l’identité de la France.

    Ardent européiste, il deviendra carrément communautariste en disant tout le bien qu’il pense des Frères musulmans. Lors de l’intervention militaire contre Kadhafi en Libye, il est ministre des Affaires étrangères et parle d’un investissement pour l’avenir, justifié par le contexte du « printemps arabe ». Quelques années plus tard, il reconnaîtra que cette opération a été un chaos et un fiasco.

    Cela ne l’empêchera pas de récidiver contre Bachar el-Assad, qui « fait le lit de Daech «  (l’État islamique) et tombera nécessairement.

    On se contentera de rappeler qu’il a remis la Légion d’honneur à Tareq Oubrou, grand recteur de la mosquée de Bordeaux, membre de l’UOIF, c’est-à-dire des Frères musulmans.

    « Homme de droite » préféré des médias, pour lesquels il a d’abord été une cible, puis un chouchou, puisque la gauche allait perdre. Finalement, ils ont eu encore mieux avec Macron.

    Juppé veut maintenant conduire la prochaine liste macroniste aux élections européennes, sans s’abaisser à rejoindre le mouvement présidentiel. Il faut espérer qu’aucun électeur « de droite » ne se laissera encore duper.

    http://www.bvoltaire.fr/juppe-limposteur/

  • Immigration : Macron étend un rideau de fumée

    17/01/2018 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le Président de la République s’est rendu hier à Calais pour défendre son projet de loi sur l’immigration et l’asile. L’occasion de dialoguer avec des étrangers dont on ne sait pas s’ils étaient demandeurs d’asile ou en situation irrégulière. Une opération de communication qui vise « en même temps » à faire croire au peuple de droite qu’il mène une ligne dure sur l’immigration, et au peuple de gauche qu’il est en empathie avec les immigrants et les associations collabos.

    Les médias de propagande accompagnent cette communication avec zèle…

    L’Obs a été jusqu’à présenter Macron en dictateur du début des années 1940. En cause, une circulaire qui demande aux associations qui sont payées par l’Etat pour héberger des demandeurs d’asile de bien vouloir indiquer qui elles hébergent. Une mesure dont il est incompréhensible qu’elle n’ait pas été prise plus tôt !

    Le futur projet de loi devrait aussi contenir des mesures positives

    Diminution du délai pour déposer une demande d’asile en procédure accélérée, diminution du délai de recours contre les décisions de refus d’asile, fin dans certains cas du caractère suspensif des recours contre ces refus, allongement de la durée maximale de rétention administrative…

    Ces mesures sont positives mais vraisemblablement insuffisantes à elles seules pour inverser la tendance de la submersion migratoire.

    D’autant plus que, parallèlement, le projet de loi faciliterait le séjour des réfugiés bénéficiant de la protection dite subsidiaire à la convention de Genève : ils bénéficieraient désormais d’un titre de séjour de quatre ans. Et les réfugiés mineurs pourraient faire venir leurs frères et soeurs : par exemple une fille supposée courir un risque d’excision au Mali pourra faire venir ses frères qui évidemment ne courent pas le même risque !
    On peut donc douter que l’immigration soit bientôt maîtrisée.

    Par son laxisme et sa générosité, la France continuera d’attirer les immigrés. Et ils sont nombreux. On vient d’apprendre que, en 2017, la France avait accordé 262 000 titres de séjour à des étrangers, soit une hausse de près de 14% par rapport à 2016.

    https://fr.novopress.info/