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magouille et compagnie - Page 1571

  • Le préfet du Var impose l'installation d'immigrés dans une commune FN

    6a00d83451619c69e201bb09df0f38970d-200wi.jpgLa préfecture du Var a informé le Maire FN du Luc en Provence, qu'une trentaine d'immigrés, exclusivement des hommes (!), devraient être installés au foyer API (quartier des Retrâches), dans le courant du mois de janvier 2018. Des habitants ont donc lancé une pétition pour s'opposer à cette immigration subie :

    "Considérant que la France n'a pas à accueillir des dizaines de milliers de migrants, qui sont en réalité des clandestins entrés illégalement sur le territoire national,

    Considérant que la ville du Luc en Provence connaît depuis de nombreuses années une situation socio-économique difficile, qui pourrait être aggravée par l'arrivée de "migrants",

    Considérant que le lieu choisi pour les accueillir est un quartier difficile, où la venue de "migrants" pourrait engendrer des dérapages incontrôlables,

    Considérant que la brigade de gendarmerie locale est en sous-effectifs,

    Pour toutes ces raisons, nous, citoyens du Luc en Provence, refusons que notre ville serve de souffre douleur à la politique irresponsable de l'Etat, en se voyant imposer la venue de migrants."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • M. BLANQUER SE COUCHE À SON TOUR DEVANT LE CONSEIL D’ÉTAT – ET LE VOILE ISLAMIQUE

    Les différents ministres de l’Éducation nationale, derrière des proclamations de fermeté, ont tous cédé à ce prosélytisme.

    Fort du soutien populaire qu’il recueille par ses options de bon sens en faveur d’un retour à des apprentissages efficaces des fondamentaux, M. Blanquer, après avoir lancé des « unités laïcité » qui ne trompent personne, vient s’aventurer sur le terrain plus concret de l’intrusion des signes islamiques à l’école.

    Depuis l’affaire du voile de Creil en 1989, les différents ministres de l’Éducation nationale, derrière des proclamations de fermeté, ont tous cédé à ce prosélytisme qui n’a cessé de s’amplifier. Et la Justice française était là pour permettre aux signes musulmans de pénétrer dans l’enceinte des établissements, avec des arrêts du Conseil d’État, tous plus muslim-friendly les uns que les autres. Tout comme son « étude » de 2013 sur les accompagnateurs de sorties scolaires qui, n’étant pas fonctionnaires, n’étaient pas tenus à l’obligation de neutralité religieuse !

    Précisant sa vision du problème dimanche, au « Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI« , M. Blanquer, que l’on aurait pu croire plus combatif que ses prédécesseurs, s’est en fait montré très conciliant, apportant la caution du « en même temps » macronien à toutes leurs démissions irresponsables :

    « Mon approche personnelle, c’est que toute personne qui accompagne les élèves est en situation d’être ce qu’on appelle un collaborateur bénévole du service public […] qui doit se conformer à un certain nombre de devoirs. C’est ma position.

    – Donc pas de voile pour les accompagnatrices, selon vous ?

    – Normalement non. Maintenant, je respecte le droit, bien entendu, et il y a un état de la jurisprudence qui doit être consacrée.

    Belle réponse sur laquelle on pourra méditer longtemps. M. Blanquer a inventé en direct le syllogisme de la soumission :

    L’intrusion de l’islam est anormale.
    Mais le droit l’autorise.
    Or, je respecte le droit.
    Donc je me couche devant l’entrée de l’islam dans les établissements scolaires.

    L’Histoire retiendra que c’est un agrégé de droit public qui l’a formulé ou « consacré », pour reprendre son mot qui en dit si long. Une consécration de la soumission qui a, au moins, le mérite de la clarté : il ne faudra pas compter sur M. Blanquer pour changer ces lois qui « consacrent » le voile islamique à l’école.

    Après la longue liste des ministres de l’Éducation nationale depuis M. Jospin en 1989, après le Conseil d’État, M. Blanquer est venu apporter, avec son syllogisme, sa pierre à l’édifice de la démission de l’État devant les exigences islamiques à l’école.

    http://bvoltaire.com/m-blanquer-se-couche-a-tour-devant-conseil-detat-voile-islamique/

  • L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère

    Quarante chambres d’étudiants réservées aux migrants (mineurs isolés), exonération des frais d’inscription, accompagnement social et sanitaire. Voilà les clauses de la capitulation de la direction de l’Université de Nantes face à l’occupation menée, dans la faculté, par l’extrême gauche depuis plusieurs jours. Avec, de surcroît, l’annonce du président, Olivier Laboux, de ne pas souhaiter l’intervention des forces de l’ordre suite à la demande d’expulsion déposée devant le tribunal administratif et jugée ce lundi 4 décembre.

    Depuis le 22 novembre 2017, dix salles de cours ont été « réquisitionnées » par l’extrême gauche pour y faire dormir plus d’une dizaine de migrants. Mais également pour en faire un espace « social », entre concerts, jeux, alcoolisation et rêveries militantes…

    L’annonce qu’une quarantaine de chambres gérées par le CROUS (Centre régional des œuvres universitaires et scolaires) seront affectées en priorité aux migrants étudiants à partir du 1er février 2018 a du mal à passer chez certains étudiants français qui, eux, doivent se loger à des prix beaucoup plus élevés dans Nantes.

    « L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère au logement et à l’enseignement », peste William, en deuxième année d’histoire. « L’université va prendre en charge une bonne partie du coût de ces gens. Il faut savoir : ils sont mineurs ou pas ? Il ne me semblait pas qu’à 16 ans on entre en faculté, à moins d’être tous des surdoués… »

    Ce dernier nous confie être dégoûté :

    « Je ne comprends pas comment on peut rester aussi passif. Chaque jour qui passe, c’est une concession faite aux nouveaux arrivants, et une capitulation face à une extrême gauche violente, la même qu’on retrouve à casser en manif contre l’aéroport ou contre les violences policières. Et nous, avons-nous encore le droit de vivre et d’être aidés dans notre propre pays ? »

    Du côté de l’Université de Nantes, nous avons tenté de joindre M. Laboux et son cabinet, sans succès pour le moment.

    Le CROUS versera en sus une aide alimentaire aux migrants qui bénéficieront des 40 chambres universitaires. L’Université de Nantes s’engage aussi à accompagner gratuitement les migrants (pouvant justifier d’un diplôme donnant accès à l’enseignement supérieur) souhaitant effectuer une formation diplômante. Elle veut aussi faciliter l’apprentissage du français, « via le service universitaire des langues qui les accueillera et les orientera ». Un accompagnement social et sanitaire leur sera garanti. « Nous souhaitons répondre à ces situations humaines extrêmement douloureuses. Scolariser, former, c’est insérer durablement dans une société », justifie Olivier Laboux à 20 minutes.

    Voilà qui viendra compléter la capitulation et les annonces de relogement, par Johanna Rolland, maire de Nantes, face aux pressions réussies (bien organisées et très médiatisées, sans aucune contestation) de l’extrême gauche nantaise, pourtant ultra minoritaire.

    Les journalistes subventionnés ne savent plus quoi faire par ailleurs pour justifier, y compris l’injustifiable, c’est-à-dire l’immigration illégale :

    Ainsi, le journal La Croixprenant l’exemple des migrants à Nantes, évoque le cas de Moussa, qui aurait immigré du Mali – un pays pas en guerre – en raison simplement… d’un différend familial et d’une volonté d’aller à l’école :

    « Issus majoritairement d’Afrique de l’Ouest (Guinée, Côte d’Ivoire, Mali, Congo…), ces adolescents ont bien souvent quitté leur pays pour fuir un milieu familial pauvre, parfois violent, et assouvir leur plus grand rêve : étudier. Comme en témoigne Moussa, venu du Mali, qui dort lui aussi à l’université : “Mon père a deux femmes et l’une d’elles ne m’aime pas. C’était difficile à la maison, et moi, j’ai toujours voulu aller à l’école”.

    « Engagé dans un recours contre sa non-reconnaissance de minorité, il s’apprête à partir à Saint-Nazaire, où plusieurs hébergeurs vont l’accueillir à tour de rôle. “Si j’ai pris le bateau pour traverser la Méditerranée, avec des femmes et des enfants qui pleuraient à côté de moi, c’est pour enfin aller à l’école”, confirme à ses côtés Ibé, épuisé par son parcours d’exil. »

    « Avec ce type d’argument, c’est le monde entier qui pourrait venir chez nous… », remarque Marie, une étudiante manifestement désabusée.

    Breizh-info 05/11/2017

    Source : breizh-info.com

    https://www.polemia.com/luniversite-de-nantes-instaure-la-preference-etrangere/

  • Elisabeth Lévy : « Immigration : la coulpe est pleine ! »

    On nous serine que l’immigration est un sujet trop clivant pour être débattu. Pourtant, deux tiers des Français réclament qu’on l’arrête ou la réduise drastiquement. La France mérite mieux que ce déni de démocratie.

    L’immigration est, on le sait, un sujet explosif, sur lequel il est prudent, dans l’espace public, de se contenter de platitudes compassionnelles, surtout si on est aux affaires ou candidat à l’être. Alors que depuis quarante ans la France est confrontée à une immigration massive dont les partisans les plus zélés ne cessent de proclamer, pour s’en réjouir, qu’elle change le visage du pays, la question a échappé à la délibération démocratique, le simple fait de vouloir qu’on en parle suffisant à classer ceux qui s’y risquaient dans le camp des populistes.

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  • Nous serons submergés par un islam conquérant et des Africains prolifiques, sauf si…

    Par Jean-Yves Le Gallou, président fondateur de Polémia 

    Alors que les crédits budgétaires 2018 consacrés à la lutte contre l’immigration diminuent, la politique agricole commune en prévoit de nouveaux pour implanter les « migrants » dans les campagnes. Entretien accordé à Riposte Laïque.

    Riposte laïque : 18 mois après la publication d’Immigration : la catastrophe. Que faire ?comment jugez-vous l’évolution de la situation ?

    Jean-Yves Le Gallou : Le torrent migratoire s’accélère. Le nombre de titres de séjour distribués en 2016 s’est établi à 227.923 : en augmentation de 5% par rapport à 2015.

    Dans le même temps 85.696 étrangers ont déposé une demande au titre du droit d’asile : en augmentation de 7% par rapport à 2015, 40% par rapport à 2013 et 120% par rapport à 2007. Bien sûr les 3/4 ou les 4/5 de ces demandeurs seront déboutés mais le plus grand nombre de ces déboutés resteront comme clandestins dans l’espoir d’être régularisés.

    Riposte laïque : A-t-on une idée du nombre de clandestins ?

    Jean-Yves Le Gallou : Je ne me hasarderai pas à une estimation… par crainte de sous-estimation ! Simplement les bénéficiaires de l’Aide médicale d’État étaient 300.000 en 2016 : en augmentation de 49% depuis 2011… Or l’immense majorité des clandestins sont des jeunes hommes qui ne doivent pas avoir souvent besoin de consultations médicales…

    Riposte laïque : On a l’impression qu’il n’y a plus du tout de frontières.

    Jean-Yves Le Gallou : C’est le ressenti des dirigeants et des fonctionnaires de la police aux frontières. On ne contrôle plus les entrées… et on n’expulse plus personne ou quasiment plus personne.

    Toutes causes confondues, le ministère de l’Intérieur prétend avoir expulsé 12.961 clandestins en 2016, un chiffre en baisse de 15% par rapport à 2014. Encore est-il doublement bidonné : il prend en compte les rares sorties volontaires ; lorsqu’un clandestin qui s’apprête à quitter (volontairement) la France est détecté et à la frontière il se voit notifier un OQTF (Obligation de quitter le territoire français) : cela ne sert à rien, puisque c’est précisément ce qu’il est en train de faire, mais cela gonfle les statistiques de réussite de la procédure !

    Par ailleurs, s’agissant des retours vraiment forcés, le gouvernement a menti au Sénat. Il a donné le chiffre de 6.166. Mais la Commission européenne qui rembourse les frais correspondants dans le cadre du FAMI (Fonds asile migration et intégration) n’a reçu que 2.429 dossiers. Bref, une arnaque statistique de 250% !

    Riposte laïque : Le gouvernement veut-il vraiment arrêter l’immigration clandestine ?

    Jean-Yves Le Gallou : Non ! Macron fait des simagrées expliquant devant les caméras à une clandestine marocaine voilée : « Madame, il faudra repartir ». Mais il fera jour demain… Et dans la vraie vie les crédits budgétaires 2018 consacrés à la lutte contre l’immigration diminuent de 7%, alors que le reste des crédits de la mission « Asile, intégration, immigration » augmente de 12% : 85 millions (en baisse) contre l’immigration clandestine, 1,2 milliard (en hausse) pour « l’accueil ».

    Riposte laïque : On a le sentiment d’une vraie préférence étrangère ?

    Jean-Yves Le Gallou : C’est hélas vraiment le cas ! J’ai déjà cité un exemple : accueil, les crédits augmentent ; refoulement des clandestins, les crédits baissent. Pas besoin d’un dessin pour comprendre !

    Mais voici d’autres exemples.

    Si vous avez un enfant, il doit subir, nolens volens, 11 vaccins sinon il ne pourra pas être scolarisé ; mais les clandestins, eux, ne sont pas vaccinés ; et les immigrés réguliers non plus, d’ailleurs, ce que déplore le rapport sénatorial. Le nombre des visites médicales passées à l’OFII (Office français de l’immigration et de l’intégration) s’est effondré en moins de trois ans, passant de 210.000 à 50.000, au moment même où l’épidémie de tuberculose revient. Ces gens-là sont des criminels.

    Dans le top 10 des associations les plus subventionnées par l’État, cinq se consacrent exclusivement ou principalement à l’immigration, dont France Terre d’Asile à hauteur de 40 millions d’euros.

    Le plus ahurissant est le 6e considérant de la décision du Tribunal administratif de Paris du 25 novembre 2017 retenant comme motif important pour interdire la manifestation de Génération identitaire contre l’islamisation l’existence d’un grand nombre de manifestations à Paris dont : des rassemblements de la mouvance panafricaine, de la Brigade Anti-négrophobie, de collectifs et associations, telles que le Collectif représentatif des associations noires (CRAN), l’association Unies et solidaires pour l’Afrique et sa renaissance (AUSAR), le collectif Black Lives Matter France, le Parti des indigènes de la République (PIR) ainsi qu’une manifestation de ressortissants togolais. Or, toutes ces manifestations, qui avaient été déclarées plus tard à la préfecture de police que celle de Génération identitaire (déclarée le 25 octobre, un mois avant !), se sont vu accorder une véritable priorité. De même le pouvoir a toléré tous les vendredis pendant 8 mois l’occupation de la Place de la mairie de Clichy par des musulmans prétendument en prière. Successeur de Maurice Papon, le préfet de police Michel Delpuech applique la préférence étrangère dans le droit de manifester.

    Et la politique agricole commune prévoit des crédits nouveaux pour implanter les « migrants » dans les campagnes.

    Riposte laïque : L’immigration c’est la faute à l’UE alors ?

    Jean-Yves Le Gallou : Non, c’est une vision aussi simpliste que fausse.

    Certes, l’Union européenne met en œuvre, tout comme l’État français et les principaux États européens de l’Ouest, une politique mondialiste et immigrationniste. Ceci étant, expliquer comme l’a fait Philippot, et Marine Le Pen lorsqu’elle était à sa remorque, qu’il suffirait de sortir de l’Union européenne pour maîtriser l’immigration est un mensonge absolu. Il s’agit d’un détournement de la lutte contre l’immigration en lutte contre l’UE, en refusant de voir les vrais problèmes de l’immigration et en évitant les sujets qui fâchent les médias. Bref, un discours qui a mélangé cynisme et lâcheté, paresse et ignorance.

    Quelques faits, quelques chiffres :

    – En 2016, en France, 88.510 entrées au titre du regroupement familial imposé depuis 1979 par une décision du Conseil d’État surinterprétant la Convention internationale des droits de l’enfant. Ce n’est pas davantage l’UE.

    – En 2016, en France, 73.324 entrées au titre de l’immigration des étudiants… alors même qu’il n’y a pas assez de places dans les universités pour les Français, d’où les procédures de tirage au sort. Ce n’est pas non plus l’UE.

    – En 2016, en France, 85.696 demandes d’asile en application de la Convention de Genève surinterprétée de manière laxiste par les juges. Ce n’est toujours pas l’UE.

    – En 2016, en France, à peine plus de 2.500 retours forcés de clandestins par application laxiste d’une législation française complexe par des juges –administratifs et judiciaires – surinterprétant la Convention européenne des droits de l’homme. Ce n’est pas non plus l’UE.

    – Ce n’est pas davantage l’UE qui impose au gouvernement des naturalisations indues d’étrangers (tels que parasites vivant uniquement de l’aide sociale ou candidats au titre de Français ayant déchiré la charte de citoyenneté), c’est le Conseil d’État.

    – On pourrait aussi parler de la nouvelle filière d’immigration clandestine : de grands gaillards africains qui se déclarent « mineurs », généralement sans l’être, et qui sont alors pris en charge par l’aide sociale à l’enfance, ce qui coûte 50.000 euros par an et par tête aux départements. Ce n’est pas davantage l’UE mais un détournement de la Convention internationale des droits de l’enfant.

    Vous le voyez, le pouvoir politique est comme un bouchon de liège ballotté dans une mer agitée par les associations, les médias et les juges – les juges qui ont le vrai pouvoir.

    Riposte laïque : Il n’y a donc pas de solutions ?

    Jean-Yves Le Gallou : Si. Que le pouvoir politique reprenne le pouvoir de décision aujourd’hui accaparé par les juges. C’est ce que font les gouvernants à l’Est en Tchéquie, en Pologne, en Hongrie. Ces dirigeants ne sont pas sortis de l’UE mais ils ont engagé les réformes constitutionnelles nécessaires pour échapper à la paralysie judiciaire. En France cela signifie 5 grandes mesures : inscrire le droit à la défense de l’identité dans la Constitution, retirer au Conseil constitutionnel le droit de corriger les lois sur le fond, dénoncer les conventions internationales interprétées de manière abusive (Asile, CEDH, CIE), supprimer les subventions aux associations immigrationnistes, libérer les tribunaux de la tyrannie des juges immigrationnistes.

    Riposte laïque : Et sinon ?

    Jean-Yves Le Gallou : Le reste c’est du baratin. Si nous ne faisons pas cela nous serons submergés par un islam conquérant et des Africains prolifiques.

    Jean-Yves Le Gallou 04/12/2017

    Source : Nous serons submergés par un islam conquérant et des Africains proliférant, sauf si…
    Voir aussi : Immigration, asile et intégration. Échec et mensonge du gouvernement face au Sénat

    https://www.polemia.com/nous-serons-submerges-par-un-islam-conquerant-et-des-africains-prolifiques-sauf-si/

  • Pourquoi la condamnation des 5 de Poitiers est scandaleuse ?

    Damien Rieu répond en vidéo

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 84 % des migrants « mineurs » en Suède dont l’âge a été vérifié sont en réalité des adultes

    84 migrants mineurs Suède réalité adultes
    Ce sont les chiffres officiels du gouvernement suédois, publié après une campagne de vérification réalisée à sa demande par un institut national de médecine légale entre mars et octobre de cette année. Au total, 7.858 tests ont été effectués sur des migrants qui se prétendaient mineurs. Des informations à mi-parcours faisaient état de proportions semblables.
    Les tests ont révélé que 6.628 d’entre eux avaient probablement 18 ans ou plus. 112 cas supplémentaires sont douteux faute de pouvoir faire des vérifications plus fines mais ils sont « possiblement » à ranger dans cette catégorie de migrants qui ont menti sur leur âge.
    Il s’agit d’un carottage : entre 2015 et 2016, ce sont quelque 80.000 migrants qui sont entrés en Suède en avançant leur minorité, circonstance qui améliore les chances de voir son dossier accepté.

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  • L'émission "Synthèse" de jeudi dernier avec Alban d'Arguin

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  • ME FRÉDÉRIC PICHON : « JE SUIS ABASOURDI ! LE TRIBUNAL A DONNÉ RAISON AUX FRÈRES MUSULMANS… »

    La décision du tribunal de grande instance de Poitiers vient de tomber : les cinq identitaires de Poitiers écopent de 40.000 euros d’amende, cinq ans de privation des droits civiques, un an de prison avec sursis.

    Leur avocat, Maître Frédéric Pichon, compte bien sûr interjeter appel mais est sous le choc de ce jugement clairement politique. C’est, selon lui, une victoire des islamistes. Il fait, bien sûr, le parallèle avec l’incroyable impunité dont ont bénéficié les Femen à Notre-Dame et dénonce une justice à géométrie variable, tournée vers la destruction de la France et de son identité.

    Il fait un appel aux dons, non pas pour payer l’amende car la loi l’interdit, mais pour les frais de procédure.

    Maître Pichon, la décision du tribunal de grande instance de Poitiers est tombée. La sanction est salée : 40.000 euros d’amende, un an de prison avec sursis, cinq ans de privation des droits civiques pour les cinq identitaires de Poitiers. Que pensez-vous de ce verdict ?

    Je suis un peu abasourdi par cette décision. Je n’avais néanmoins pas trop d’illusion. Non que nous avions fait valoir des arguments pertinents dans le cadre de nos plaidoiries, mais nous connaissons aussi la Justice de notre pays. Cette décision est allée au-delà du réquisitoire pourtant assez sévère du ministère public, notamment sur les cinq ans de privation des droits civiques et le sursis avec mise à l’épreuve. Dans le cadre de ce sursis, mon client va être obligé de régler les 24.000 euros, avec ses camarades, de dommages et intérêts au titre des prétendus tapis qui auraient été dégradés. En réalité, ils ont en fait juste été déplacés du chantier jusqu’au toit. S’ils n’exécutent pas cette décision de remboursement des tapis, ils iront en prison.
    Je suis sous le choc de cette décision manifestement politique. C’est une victoire des Frères musulmans. Il faut le rappeler, le recteur de cette mosquée était le n° 2 de l’UOIF, c’est-à-dire la branche française des Frères musulmans, organisation qui est classée comme terroriste par plusieurs dizaines d’États dans le monde.
    Le tribunal a donc donné raison à une organisation classée terroriste. 

    S’agit-il, pour vous, d’une décision politique ?

    Je ne peux m’empêcher de faire la symétrie avec l’incroyable impunité dont, parallèlement, bénéficient les Femen lorsqu’elles vont à Notre-Dame. La mosquée de Poitiers était en construction, ce n’était donc pas encore un lieu de culte mais un simple chantier, contrairement à Notre-Dame de Paris. Non seulement elles ont été relaxées, mais les agents de sécurité qui ont voulu les évacuer ont été, pour l’un d’entre eux au moins, condamnés à une amende (sauf erreur de ma part) pour soi-disant violence alors qu’ils voulaient simplement les interrompre.
    Nous assistons donc à une Justice à géométrie variable, incroyablement tournée vers tout ce qui porte à la destruction de la France et de notre identité, et à une répression politique de plus en plus sévère des opposants à ce nihilisme ambiant.

    Dans quel état d’esprit sont vos clients ?

    Mon client était surtout très choqué par les cinq ans de privation des droits civiques. C’est leur droit de vote et donc leurs idées politiques qu’on a voulu ici sanctionner. Les gens qui pensent comme cela n’ont plus le droit de cité. C’est ce que veut dire cette décision. Le tribunal considère qu’aujourd’hui, être un identitaire en France doit vous amener à être un citoyen de seconde zone qui, en quelque sorte, doit avoir ses droits civiques et son expression politiques retirés.
    Il est évident que l’on va faire appel. Ce n’est qu’une première partie, nous irons jusqu’au bout. Je fais donc un appel aux dons, non pas pour payer l’amende puisque la loi l’interdit, mais au moins pour payer les frais de procédure afin de permettre à ces jeunes gens courageux de se défendre en Justice.

    http://bvoltaire.com/suis-abasourdi-tribunal-a-donne-raison-aux-freres-musulmans/

  • La Cimade contre l’Etat, avec l’argent de l’Etat

    index.jpgCette idéologie [immigrationniste] a ses précurseurs et ses Thénardier (ces aubergistes imaginés par Victor Hugo, qui exploitaient sans vergogne la misère de Cosette, l’orpheline confiée à leurs soins), ses juristes et ses communicants, ses chrétiens progressistes, ses maoïstes, ses trotskistes. 
    A tout seigneur, tout honneur, commençons donc par le service œcuménique d’entraide, la Cimade (comité inter-mouvements auprès des évacués), une association de solidarité active avec les étrangers, membre de la Fédération protestante de France. Forte de sa devise « En France, l’étranger n’est pas un problème ni une menace », l’association a tout fait pour que les étrangers soient de plus en plus nombreux à passer nos frontières, à rester dans le pays et même à devenir « français ». 
    Son action est aussi perverse qu’ambivalente : elle consiste à critiquer l’État pour lui en demander toujours plus, tout en agissant en son nom. La Cimade est en effet partenaire de l’État pour l’accueil des réfugiés et reçoit 4,5 millions d’euros de subventions publiques, soit les deux tiers de son budget
    Ses principales actions : l’assistance juridique aux étrangers, soit dans ses permanences, soit en centre de rétention administrative et en prison lors de ses visites, la gestion d’établissements sanitaires et sociaux. Elle monte, en outre, des actions de solidarité internationale, offre aux clandestins des cours de langue, sensibilise le grand public et les hommes politiques à ses thèmes. 
    Ce fut le premier fer de lance de l’idéologie immigrationniste. Au profit des étrangers, elle n’a cessé d’en demander toujours plus à l’État, aux Français et à leurs représentants. 
    Jean-Yves Le Gallou, Immigration, la catastrophe. Que faire ?