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magouille et compagnie - Page 1567

  • L'affaire du glyphosate révèle le fonctionnement de l'UE

    6a00d83451619c69e201bb09d57d49970d-800wi.jpgLa Commission européenne a échoué ce matin à faire renouveler la licence du glyphosate pour cinq ans. Il y a eu 14 pays pour la proposition, 9 contre (dont la France), et 5 abstentions (dont celle de l’Allemagne). Il fallait une majorité qualifiée, soit 16 Etats et 65% de la population.

    Selon les traités signés par les Etats membres (et contre l'avis de plusieurs peuples), quand la Commission n’arrive pas à ses fins et que le temps presse (la licence du glyphosate expire le 15 décembre), elle réunit un "comité d’appel", formé de représentants de haut niveau des Etats membres.

    Ou bien le comité d’appel rend les armes, ou bien il persiste dans l’opposition. Dans ce cas… c’est la Commission européenne qui prend la décision finale… C'est cela la démocratie européenne : cause toujours.

    Michel Janva

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  • Influencer la vie politique ? La LICRA et la franc-maçonnerie veulent que ce soit leur chasse gardée !

    A l’initiative d’un Collectif laïque, la LICRA, les différentes obédiences maçonniques et quelques-unes de leurs organisations satellites viennent de publier un communiqué intitulé Réintroduction des religions dans le champ politique qui, en substance, prétend s’alarmer d’une prétendue influence « informelle » des religions sur la vie et les institutions politiques.

    Et ce communiqué de conclure :

    Les seuls représentants sont les élus du peuple issus du suffrage universel.

    Sous le communiqué, la liste des signataires :
    Grand Orient de France, Fédération Française du Droit Humain,
    Grande Loge Mixte Universelle, Grande Loge Mixte de France,
    Grande Loge des Cultures et de la Spiritualité, Union des Familles Laïques (U.F.A.L), EGALE, Laïcité Liberté, Fédération Nationale des Délégués Départementaux de l’Education Nationale (D.D.E.N),
    AWSA – France, Association Européenne de la Pensée Libre (A.E.P.L) Ile-de-France, Libres MarianneS, C.A.E.D.E.L. – Mouvement Europe et Laïcité, Regards de Femmes, Femmes Contre les Intégrismes, Ligue du Droit International des Femmes, Conseil National des Associations Familiales Laïques (C.N.A.F.A.L), Le Chevalier De La Barre, Observatoire de la Laïcité de Provence (O.L.P.A), l’Observatoire de la Laïcité de Saint Denis (O.L.S.D), Observatoire de la Laïcité du Val d’Oise – Forces Laïques, Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme (L.I.C.R.A.), Association des libres penseurs de France (A.D.L.P.F),
    Comité 1905 Auvergne-Rhône-Alpes, Comité 1905 de Draguignan, Comité 1905 de l’Ain, Viv(r)e la République, Comité Laïcité République.

    Autant de sociétés secrètes et de lobbies qui considèrent visiblement que l’influence de la vie et des institutions politiques doit être leur chasse gardée.

    Pour mémoire, quelques photos significatives à ce sujet, parmi tant d’autres.

    Renouvellement de partenariat entre le ministre socialiste de l’Education nationale et la LICRA
    Convention entre le ministre UMP de l’Education nationale et la LICRA

  • Thomas Joly était convoqué au Palais de Justice de Beauvais ce matin

    23244350_1169061726560641_1333659659736095217_n.jpg

    Un communiqué de Thomas Joly :

    Dans la joie et la bonne humeur propres à ceux qui ont raison, moi-même et quelques militants du Parti de la France étions au Tribunal de Beauvais aujourd'hui pour mon audience. Le jugement sera rendu le 23 novembre. Un compte-rendu détaillé de l'audience sera publié sous peu. Sachez que je n'ai pas baissé la tête devant ce tribunal politique (même si les magistrats sont restés très mesurés, les ordres de poursuite venaient de Paris et non localement) et mon avocat a fait une brillante plaidoirie.

    Merci à tous pour votre soutien, en particulier à ceux qui ont pu se libérer.

    Quoi qu'il advienne je serai toujours en première ligne face à l'invasion afro-musulmane et personne ne me fera taire ! Me ne frego !

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  • EMMANUELLE DUVERGER-MÉNARD : « L’ASSEMBLÉE A LEVÉ L’IMMUNITÉ PARLEMENTAIRE DE MARINE LE PEN. ON MARCHE SUR LA TÊTE ! »

    L’Assemblée nationale vient de lever l’immunité parlementaire de Marine Le Pen. Pour Emmanuelle Ménard, cette décision absurde signe l’incohérence de l’Assemblée. Quand on se pose en défenseur de la liberté d’expression, il faut la défendre pour tous, pas seulement pour les copains.

    Emmanuelle Ménard, après Gilbert Collard, l’Assemblée nationale a décidé, aujourd’hui, de lever l’immunité parlementaire de Marine Le Pen pour avoir divulgué des photos d’exécution de Daech. Que vous inspire cette décision ?

    Je suis un peu abasourdie par cette décision. Je ne comprends pas l’incohérence de l’Assemblée.
    Hier, le Premier ministre fait une déclaration disant qu’il faut absolument protéger la liberté d’expression, la liberté de la presse et combattre les gens qui menacent Charlie Hebdo, par exemple.
    Les parlementaires applaudissent à tout rompre, debout dans l’Hémicycle.
    Et aujourd’hui, le bureau de l’Assemblée vote pour la levée de l’immunité pour simplement avoir publié des photos. C’était une visée informative pour montrer ce que font les terroristes. Ce n’était pas pour encourager ou faire l’apologie du terrorisme, mais pour montrer la monstruosité des actes de ce genre.
    Je ne comprends donc pas.

    De nombreuses personnalités du Front national ont fait un rapprochement entre le sort du député M’Jid El Guerrab et Marine Le Pen. Ils disent qu’il est moins risqué d’aller agresser quelqu’un avec un casque de moto que de dénoncer le terrorisme de Daech. Qu’en pensez-vous ?

    Je ne veux surtout pas mettre les deux choses en parallèle.
    Les deux événements n’ont rien à voir l’un avec l’autre.
    Toutefois, je comprends que certains puissent trouver qu’il y a deux poids deux mesures.
    Mais je ne veux pas les comparer.
    Dans le cas de Marine Le Pen, nous sommes vraiment dans la liberté d’expression et de la liberté d’information. Ce n’est pas le cas de ce député qui donne des coups de casque sur son adversaire politique.
    La défense de la liberté d’expression, après le discours du Premier ministre, qui suscite une ovation des parlementaires, et le lendemain une levée de l’immunité pour des photos publiées sur un compte Twitter.
    On marche sur la tête !

    La décision de l’Assemblée nationale a fait réagir. Le #soutienMarine est en top tweet sur le réseau social. Il semblerait que la décision ait choqué les internautes et, donc, les électeurs français. Cela vous surprend-il ?

    Je comprends que cela puisse choquer. Moi-même je le suis.
    On ne peut pas se poser en « père la morale » de façon systématique, comme le fait le mouvement En Marche ! dans l’Hémicycle, et avoir des actes en totale contradiction. Ce n’est pas possible !

    Le Premier ministre a rappelé, hier, que la liberté d’expression peut choquer. C’est le propre de la liberté d’expression. Si c’est défendre seulement la liberté d’expression des copains, c’est très facile.
    Donc, quand on défend la liberté d’expression, quand on se pose en défenseur de la liberté d’expression, il faut défendre la liberté d’expression de tout le monde.

    En plus, ici, il ne s’agissait pas de faire l’apologie d’actes odieux, mais au contraire de les dénoncer. Je ne comprends donc pas la logique.

  • Ces mosquées liées au djihâd réouvertes après l'état d'urgence (novembre 2017)

  • Journalistes de droite, comptez-vous

    stories.virtuemart.product.2846_page_01nsp_106.jpgLu dans Minute :

    J

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le scénario apocalyptique du G7 Santé : un milliard de réfugiés climatiques d’ici 2050

    migrants-file-300x170.jpgUn milliard de « réfugiés climatiques » d’ici 2050 : cn’est pas un scénario apocalyptique digne des meilleurs films catastrophes hollywoodiens, c’est le pronostique établi par le G7 des ministres de la Santé qui se tient actuellement à Milan en se basant sur le rapport Lancet Countdown et d’autres documents comme celui de l’ONG Oxfam International. La thèse que ces organismes soutiennent serait que cette migration climatique est déjà en acte et ne peut cesser, réchauffement climatique oblige : entre janvier et septembre de cette année, environ 15 millions de personnes, dont 14 millions de pauvres, ont du fuir leurs maisons pour se mettre à l’abri d’un événement météorologique extrême, estiment-ils.

    Le réchauffement climatique ne serait-il pas alors la bonne excuse pour imposer aux peuples occidentaux des migrations de masses si ces changements de climat ne sontpas freinés ? C’est l’analyse d’un journaliste italien, Paolo Mauri, paru sur le quotidien Il Giornale qui a décortiqué les implications des politiques internationales qui depuis des années essayent de « mettre un terme, mais le peuvent-elles, à ces changements climatiques ».

    L’auteur fait en premier la distinction entre météo et climat :

    « La météo n’est pas le climat. Des événements météorologiques extrêmes ont toujours existé dans les anales de l’histoire humaine même avant que l’on ne commence à mesurer les températures et les précipitations systématiquement. »

    Pour appuyer ses dires il cite le prestigieux Centre Météo de Lombardie qui, il y a quelques mois, face à l’émotion créée de toutes pièces par les médias en relation avec les orages dévastateurs qui frappèrent le nord de l’Italie, précisa que

    « il existe des tests historiques qui documentent – avec les dates et la localisation – les événements météorologiques les plus sévères des siècles passés, certains remontant à l’époque romaine. Jusqu’il y a quelques décennies, la mort et la destruction sur une grande échelle étaient des conditions nécessaires pour que le souvenir en soit transmis à la postéritéCe qui veut dire qu’un quartier inondé ou un alpage effondré, peut-être avec la perte de bêtes et quelques bergers, étaient des épisodes qui n’arrivaient même pas à la chronique locale ».

    En donnant une large visibilité à ces phénomènes météorologiques, les médias favorisent une perception catastrophique d’événements pourtant pas si nouveaux que ça souligne le journaliste italien.

    Il rappelle ensuite que

    « le NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), fameux institut américain qui travaille sur le climat et les océans, a conclu dernièrement que le nombre de tornades violentes qui ont frappé les États-Unis depuis l’après-guerre à aujourd’hui est en déclin. Quant à la World Meteorological Organization (WMO) dans un récent document de l’Intergovernmental Panel on Climate Change(IPCC), “Managing the risks of extreme events and disasters to advance climate change adaptation. Summary for policymakers, a admis qu’il y a une relative faiblesse et peu d’évidences sur l’échelle mondiale en ce qui concerne les statistiques à long terme qui montrent des augmentations d’intensité ou de fréquence des événements extrêmes. »

    « Que signifie tout ceci ? »  se demande le journaliste : 

    « Qu’est-ce qui a changé ? Étant bien entendu que le déplacement de populations est une réalité, et considérant que l’écrasante majorité vient de pays sous-développés ou tout au moins avec des économies arriérées, ce modèle de migrations climatiques prend un peu « l’eau » – pardonnez le jeu de mots – de toutes parts. Si l’on peut donner pour certain qu’une sécheresse soudaine forcera la population à se déplacer des campagnes aux villes – donc une migration interne – comme cela est advenu en Syrie, la raison pour laquelle un orage ou une tempête devrait forcer des millions, voire des centaines de millions, de personnes à migrer d’un État à un autre en ayant comme but l’Europe est bien moins évidente. L’Italie est un pays avec un fort risque hydrologique et l’a toujours été, cependant l’émigration de milliers d’Italiens vers les Amériques ou vers l’Europe du Nord n’a jamais été motivée par les événements météorologiques extrêmes – que nous avons démontré être une constante dans l’histoire – mais bien par des facteurs économiques ; en outre les différents rapports démontrent comment ces motivations prétendument « climatiques » concernent presque exclusivement le continent africain, avec quelques exceptions fournies par l’Asie (Bangladesh, Népal) et par l’Océanie (Fiji). » 

    Paolo Mauri ironise alors :

    « Peut-être que l’Europe et les Amériques sont épargnées par les changements climatiques ? Ce n’est peut-être pas vrai que cyclones et tempêtes tropicales dévastent avec la même intensité le Golfe du Mexique et les Caraïbes ? »

    « Quel est donc le vrai facteur qui sous-tend ces vagues migratoires ? » interroge le journaliste.

    « Encore une fois, cela s’avère être la recherche d’un style de vie meilleur. Certes, un éboulement ou un orage peuvent donner l’impulsion à ce qu’une personne puisse prendre définitivement la décision d’abandonner sa propre terre […]. Mais encore une fois, le changement climatique peut être une cause concomitante, non la cause principale. »

    Pour mieux expliquer son propos, Paolo Mauri livre un rappel opportun sur le climat terrestre :

    « Notre planète est sortie lentement de ce qu’on a appelé « le Petit Âge glaciaire » qui a duré entre 1300 et 1800 : les dernières implantations de Vikings au Groenland avant l’arrivée des glaces sont datées de 1406 et en 1469 la production de vin en Angleterre cesse, symptôme du refroidissement terrestre. Petite ère glaciaire qui suivit une période très chaude pour la terre commencée en 900. En somme, cycliquement le climat terrestre se modifie, alternant périodes chaudes à froides avec des pics de chaleur ou de gel qui peuvent être très longues à l’échelle de temps humaine. »

    « La recherche scientifique nous dit que l’augmentation des gaz à effet de serre […] augmente la température moyenne de la planète et que cette augmentation de CO2 a une empreinte humaine bien précise parce que le carbone qui le compose est de nature fossile. Cela est-il suffisant pour dire que l’homme est en train de changer le climat de la terre ? Peut-être, mais cela ne nous intéresse pas »

    précise le journaliste.

    « Ce qui nous intéresse c’est que la politique internationale du G7 milanais parle de migrations apocalyptiques et cherche à mettre un frein à ce phénomène en proposant une drastique réduction des émissions et un projet de « développement durable » pour les pays les plus arrièrés et pour ceux qui sont en train de devenir des puissances économiques mondiales. Il y a seulement un problème. « Développement durable » est un oxymore ; s’il y a un vrai développement il ne peut y avoir durabilité et vice-et-versa. Le PIB de la Chine avec toutes ses problématiques de nature environnementale (ou de l’Inde) est là à nous le démontrer. »

    En conclusion, tant que le réchauffement climatique anthropique persistera dans « l’imaginaire collectif  de l’homme du troisième millénaire », les  solutions proposées par le G7 Santé, et autres rendez-vous internationaux, pour y mettre un terme étant des leurres, les phénoménales migrations d’aujourd’hui ont encore de beaux jours devant elles… Le Grand Remplacement est en marche avec la bénédiction des grands de ce monde

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/le-scenario-apocalyptique-du-g7-sante-un-milliard-de-refugies-climatiques-dici-2050/82848/

  • GAZ RUSSE : LE DROIT DE CUISSAGE ÉCONOMIQUE AMÉRICAIN A BIEN FAILLI ENCORE FRAPPER !

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    Marc Rousset

    L’Europe a deux ennemis – l’islamisme et l’immigration – et deux adversaires – la Chine et les États-Unis.

    Ces derniers pratiquent, par exemple, un impérialisme économique inadmissible envers l’Europe en imposant des sanctions ahurissantes aux banques (BNP-Paribas) et aux sociétés européennes qui ne respectent pas les sanctions imposées par les États-Unis, sous le seul prétexte que la monnaie utilisée dans les transactions commerciales, les investissements ou leurs financements est le dollar américain.

    Ce droit de cuissage économique américain en Europe a failli se manifester encore de façon scandaleuse lorsque l’Amérique de Donald Trump a eu la prétention de faire sanctionner par le Congrès les entreprises européennes Engie, Shell, OMV, Uniper (groupe allemand E.ON) et Wintershall (groupe allemand BASF). Le prétexte évoqué était qu’en construisant le nouveau gazoduc Nord Stream 2 pour faire venir le gaz de Russie, l’Europe ne prendrait pas assez souci de son indépendance et de sa sécurité énergétique.

    Nord Stream 2, détenu par le russe Gazprom et financé par les industriels européens, est un gazoduc qui longera le gazoduc Nord Stream 1 déjà existant entre la France et l’Allemagne en passant par la mer Baltique. Il augmentera, fin 2019, de 55 milliards de m3 (soit d’un tiers) la capacité d’exportation bienvenue du gaz russe en Europe.

    En d’autres termes, les États-Unis, plus royalistes que le roi, voulaient pénaliser sous un prétexte hypocrite et fallacieux des entreprises européennes prêtes à s’approvisionner en Russie plutôt que de faire venir du gaz de schiste américain liquéfié (GNL) par bateaux méthaniers dans les ports européens. Isabelle Rocher, le directeur général d’Engie, a évoqué « une ingérence américaine assez spectaculaire et inacceptable ». De son côté, le 19 octobre 2017, Vladimir Poutine a pu déclarer : « Les récentes sanctions adoptées par le Congrès américain étaient ouvertement conçues pour pousser la Russie en dehors du marché européen et forcer l’Europe à se tourner vers du gaz naturel liquéfié des États-Unis, plus cher et en quantités insuffisantes ».

    La vérité, c’est que le gaz russe constitue bien, au contraire, une source de diversification énergétique fiable et très bon marché pour l’Europe alors que ses autres sources d’approvisionnement (Norvège, Pays-Bas, Algérie) sont sur le déclin.
     
    Le gaz de schiste GNL américain n’est pas fiable quant à ses quantités produites fluctuantes trop dépendantes du prix du pétrole. De plus, le coût économique du transport par méthanier et de sa regazéification dans les ports européens n’est pas compétitif avec le gazoduc russe Nord Stream 2. Il faudrait, par exemple, 700 navires méthaniers pour fournir autant de gaz à l’Europe que Nord Stream 1.

    Dans cette affaire, la Pologne, prête à américaniser l’Europe, suite à sa haine et rivalité historique séculaire avec la Russie, a tout fait également pour faire capoter le projet Nord Stream 2. La Pologne a signé un contrat avec Donald Trump lors de sa visite à Varsovie, « trop content de signer dans le quart d’heure », pour construire un terminal de regazéification à Świnoujście, port de la Baltique. La Pologne souhaitait ramener à zéro en cinq ans les achats de gaz russe qui couvrent aujourd’hui les trois quarts de sa consommation.

    Le bouquet, c’est que le principal exportateur américain de gaz de schiste GNL (la société Cheniere) préfère vendre son gaz de schiste liquéfié 25 % plus cher en Asie qu’en Europe, suite à la concurrence du gaz russe. La société renâcle et n’a toujours pas signé, à ce jour, de contrat à long terme avec la Pologne. Même la Lituanie a préféré acheter du gaz russe avec un rabais exceptionnel de 25 %.

    L’Atlantique n’est pas une mare aux canards (« the pond »), comme le prétendent les Anglo-Saxons, mais un véritable océan à franchir, alors qu’on peut aller à pied de Brest à Vladivostok ! Le seul avenir face à tous les dangers, c’est la grande Europe avec ses matières premières en provenance de l’immense Sibérie et les exportations d’hommes, de savoir-faire, de produits industrialisés et de capitaux en provenance, comme disait Paul Valéry, de la péninsule du cap asiatique.

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  • Pascal Praud met les gauchistes hors d'eux

    Dans les médias, Pascal Praud est une exception.

    Pour lui"le Conseil Supérieur des Programmes" est un danger public".

    Il avait ironisé sur le mur autour de la Tour Eiffel : "Paris bunkérisé, mais Paris vidé".

    Il avait mis un député PS face à ses contradictions. Ce dernier avait quitté le plateau en plein direct.

    Et il affirme que "le politiquement correct a bouffé nos esprits".

    6a00d83451619c69e201bb09d4b528970d-800wi.jpgAujourd'hui, la presse de gauche se déchaine contre lui car il a osé dénoncer l'excuse du racisme pour expliquer le comportement inacceptable de Evra :

    Vendredi soir sur le plateau de l'émission 20 h foot de C News, son présentateur Pascal Praud s'est violemment emporté. Le débat portrait sur le footballeur de l'OM Patrice Evra, mis à pied par son club pour le coup de pied adressé à un supporter en marge du match de coupe d'Europe, Guimares - Marseille. Invité pour débattre, le rappeur Rost a évoqué le caractère raciste de la provocation dont a été victime le défenseur marseillais et ancien joueur de l'équipe de France. Mais Pascal Praud ne lui a pas laissé terminer sa phrase : "Arrêtez ! Je vous interromps. Arrêtez de mettre les insultes racistes à tout bout de champ sur le débat ! C'est intolérable !", a hurlé l'animateur. Rost a alors tenté de reprendre la parole pour terminer son propos : "Je donne des raisons. Quand tout votre vie vous subissez ça et que vous vous retrouvez dans un stade, où vous vous faites insulter en permanence, à un moment, il y en a ras le bol !" Il a menacé de quitter le plateau s'il n'était plus possible de débattre convenablement. Les autres personnes sur le plateau ont tenté de calmer l'animateur, visiblement hors de lui. Mais l'échange houleux s'est poursuivi. "C'est obsessionnel chez vous, c'est obsessionnel de tout ramener au racisme! Là, ce n'est pas un cas de racisme!", a poursuivi M Praud. "Vous êtes insupportable", a conclu Rost."
  • Charte des Patriotes : Florian Philippot révèle ses contradictions, par Marc Limeuil

    Publiée hier, la Charte des Patriotes, le parti créé par Florian Philippot, révèle au grand jour les contradictions de celui qui n’a rien de la belle mécanique intellectuelle qui manquerait au Front national. Florian Philippot fait clairement prévaloir ses idées progressistes sur la souveraineté populaire.

    Outre que, dans cette Charte qui comprend vingt-six points, la question de l’immigration, réduite aux seuls clandestins, n’arrive qu’en vingt-et-unième position – alors que le « bien-être » des animaux, ces « êtres sensibles », est le point n° 6… –, Florian Philippot affirme dans le même article 23, d’un côté que « le gouvernement doit se concentrer sur les grands problèmes de la nation et laisser à la société le soin de définir son modèle de société, par des outils comme le référendum d’initiative populaire », et de l’autre, à la ligne suivante, que « Les Patriotes respectent les derniers choix de société comme le mariage pour tous », défini comme ressortant de « l’épanouissement de chacun dans un respect scrupuleux des libertés individuelles ».

    Or, rappelons-le à l’auteur de cette « charte » qui ferait rigoler n’importe quel jury de son cher Sciences Po, ce n’est pas « la société » qui a décidé d’imposer le « mariage pour tous », mais le gouvernement de l’époque, et celui-ci l’a fait contre l’avis de « la société », qui avait justement réclamé un référendum sur le sujet par le dépôt, au Conseil économique social et environnemental (Cese) d’une pétition signée par près de 700 000 personnes !

    Celle-ci avait été jugée irrecevable, sans doute au grand soulagement de Florian Philippot, qui sera aimable d’indiquer, dans une prochaine mouture de sa « charte », quels sujets peuvent être soumis à référendum… et quels sujets ne doivent surtout pas l’être.

    Marc Limeuil

    https://fr.novopress.info/