magouille et compagnie - Page 1692
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I-Média S03E47 : Migrants et vote FN, le pur bobard d’Europe 1
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L'électricité éolienne aux abonnés absents alors que la France grelotte
Communique de presse de la Fédération Environnement Durable
Sortie prochaine d'un livre consacré au scandale éolien :
Le 6 janvier à 8h une vague de froid a recouvert la France. La consommation d’électricité de notre pays était assurée à 74% par les centrales nucléaires et les barrages hydrauliques alors que les énergies intermittentes comme l’éolien ne participaient qu’à hauteur de 1,8% du total.
De plus la France était contrainte d’importer 9% de son électricité au lieu d’exporter 10% à 15% comme elle le faisait traditionnellement avant l’arrivée des programmes de la « Transition Energétique ».
Ces chiffres officiels (1) du réseau de Transport de l'électricité (RTE) démontrent à quel point la filière éolienne, développée depuis des années à grand renfort d’annonces et de subventions et qui produit de l’électricité ruineuse et intermittente, est une erreur stratégique. Les français ont besoin au contraire d’une électricité fiable et bon marché.Plusieurs millions de ménages sont en situation énergétique précaire et n’ont même plus les moyens de se chauffer. France info a diffusé à la même heure le témoignage d’une habitante de la région Est ou la température a atteint -9°C. Elle a décrit les difficultés auxquelles elle était confrontée. Celles-ci ressemblaient à celles vécues par nos parents lorsque la France occupée était soumise aux restrictions et aux pénuries et de chauffage.
(1) cliquez ici
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Donald Trump - Les Clinton sont des criminels, rappelez vous de cela, ce sont des criminels (vostFr)
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Liberté d'expression : le gouvernement ne manque pas d'air
Un appel à la liberté d'expression de la part du gouvernement, après le délit d'entrave, ils se moquent de nous. Chez Nous est un film de Lucas Belvaux qui raconte l’ascension d’un parti populiste, dirigé d’une main de fer par une femme, et tout cela rappelle le Front national. Avant même sa sortie, le 22 février, l’oeuvre est largement critiqué par le FN. Audrey Azoulay, la ministre de la Culture, a volé au secours du film vendredi sur Europe 1 :
"Cette polémique montre que le FN ne change pas". "Critiquer un film parce qu’il a une vison d’une réalité politique, parce qu’il s’appuie sur une réalité politique, et toute de suite appeler à la censure et crier au scandale, c’est ça qui est scandaleux. C’est ça qui montre la vision qui peut être celle de l’extrême droite de la liberté d’expression".
"Aujourd’hui, c’est vraiment une valeur que nous devons défendre. On est deux ans après Charlie Hebdo, on sait à quel point ce sujet est brûlant. Nous sommes dans un pays de liberté".
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Steve Pieczenik - La reprise du pouvoir US pourrait être proche (vostFr)
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Bonne nouvelle : Washington écarté des négociations du plan de paix syrien
Pendant que les médias traditionnels se focalisaient sur le « piratage » présumé des élections américaines par des hackers russes et les sanctions prises par le président Obama en guise de dernier round, un événement plus significatif a échappé à leur radar : la rencontre organisée le mois dernier entre les ministres des Affaires étrangères de Russie, d’Iran et de Turquie, s’est conclue par un accord de cessez le feu en Syrie. A ce jour, son application semble être en bonne voie, offrant aux Syriens, au terme de presque six années de guerre, la possibilité de reconstruire leurs vies.
Ce que cet accord a aussi de remarquable, c’est qu’il a été conçu, signé et mis en oeuvre en dehors de toute implication du gouvernement américain.
En réalité, la recherche d’une issue au conflit syrien par ces trois pays est le résultat d’une frustration face à l’entêtement de Washington, qui a toujours refusé de faire le tri entre les « rebelles modérés” et les groupes terroristes et a misé jusqu’au bout sur le renversement du régime syrien. Le gouvernement d’Assad et une grande partie de l’opposition ont été eux aussi partie prenante de cet accord, dont le gouvernement américain ne voulait pas.
Les néoconservateurs et les « interventionnistes humanitaires » nous rabâchent depuis des années que les Etats-Unis ont un rôle central à jouer dans la résolution de toute crise survenant dans le monde. Nous sommes « la nation indispensable » proclament-ils, sans notre implication, le monde s’effondre. Notre crédibilité est en jeu, et si nous n’y allons pas, personne ne le fera à notre place. Les événements de la semaine dernière ont prouvé le contraire.
Le fait est que la façon dont les Etats-Unis s’impliquent pour « résoudre » les crises revient le plus souvent à les faire perdurer. Prenons l’exemple du conflit qui sévit depuis plus de soixante ans entre la Corée du Nord et la Corée du Sud. L’intervention américaine a-t-elle apporté quoi que ce soit dans la résolution du problème ? Et que dire de nos décennies d’ingérence dans le conflit israélo-palestinien ? Les milliards que nous y avons investis en dessous de table et en actions d’ingérence nous ont-ils rapprochés de la paix ?
La non-ingérence dans les affaires des autres ne décrédibilise aucunement les Etats-Unis aux yeux du monde. C’est au contraire à cause de nos actes d’ingérence, de nos bombardements, de nos drones et de notre engagement en faveur de renversements de régimes que nous sommes déconsidérés. L’obstruction américaine en Syrie a contribué à la poursuite de la guerre. Pendant que les Syriens et les Russes libéraient Alep-Est après quatre années d’occupation par al-Qaida, l’administration d’Obama réclamait un cessez-le-feu. Pendant que les Syriens commençaient à regagner leurs demeures dans Alep-Est, le Département d’Etat s’évertuait à nous persuader que les Russes et le gouvernement syrien s’amusaient à assassiner des civils.
Alors pourquoi cette obsession médiatique sur les accusations non prouvées de piratage informatique russe et sur la riposte prévisible et tout aussi absurde du président Obama ? Parce que ces grands médias sont inféodés aux interventionnistes de Washington et s’acharnent à détourner l’attention de ce qui pourrait être le début de la fin de cet interminable cauchemar syrien.
Ils ne veulent pas que les Américains apprennent que le reste du monde peut résoudre ses crises sans que les Etats-Unis aient à jouer le rôle de gendarme. Quand il sera admis que nous n’avons pas besoin de nous impliquer dans des conflits extérieurs à notre pays, les néoconservateurs auront perdu. Espérons que cette prise de conscience sera rapide!
Ron Paul Traduit par Sylvie Jolivet pour Arrêt sur Info
Source | 3 janvier 2017
http://www.voxnr.com/7567/bonne-nouvelle-washington-ecarte-des-negociations-du-plan-de-paix-syrien
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Les contribuables devront payer une dette de 119 millions d’euros à cause du fiasco Autolib’
Source cliquez ici
“Une révolution urbaine “, promettait Bertrand Delanoé le 5 décembre 2011. Seulement voilà, en interne, le groupe Bolloré prévoit en réalité près de 180 millions de pertes, dont les deux tiers seront très probablement payées grâce aux impôts. Avec 131 000 abonnés, le système de voitures électriques est au point mort, comme le montre l’étude du cabinet conseil 6t, de surcroît face à la concurrence des VTC, dont les tarifs égalent presque ceux des Autolib’.
119 millions de pertes payées par la contribuable ?
Comme le rapporte Le Canard Enchaîné, le 22 novembre dernier, la société Autolib’ a dressé son bilan financier auprès d’Autolib’ Metropole (un syndicat mixte des 97 villes d’Ile-de-France adhérentes au “service d’autopartage”). L’annonce est fracassante : le groupe Bolloré table sur un déficit de 179 millions d’euros d’ici 2023, date de la fin du contrat.
“La délégation de service public prévoit que les pertes soient prises en charge par Bolloré, mais à hauteur de 60 millions d’euros”, indique le Volatile. Quid des 119 millions restant ? Les mairies devront se répartir la dette en fonction d’un calcul au prorata du nombre de voitures Autolib’ installées dans leur commune. Une annonce qui affole les élus franciliens.
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#LeVraiFillon : quand François Fillon efface son programme...
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Bavière : 42,7 % des viols et agressions sexuelles commis par des étrangers
(NOVOpress avec le blog de Lionel Baland) : En 2014, selon les chiffres officiels de la police, 32,9 % des viols et agressions sexuelles étaient commises par des étrangers. Un tiers ! Ce chiffre, déjà considérable, a encore augmenté. En 2015, suite à l’ouverture des frontières par la chancelière Angela Merkel, le pourcentage est monté à 42,7 % ! Un chiffre très officiel puisqu’il est issu des statistiques criminelles pour l’année 2015 de la police bavaroise.
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Le parti de la haine et du rejet de l’autre
C’est sa ville de Chicago, troisième des Etats-Unis par la taille, ravagée par la crise et la criminalité, qui a été choisie par Barack Obama, pour y prononcer la semaine prochaine son discours d’adieu. Celui des illusions perdues peut-être pour un président sous le mandat duquel 43 millions d’Américains tombés dans la pauvreté ne survivent que grâce à l’aide alimentaire, dans un pays toujours aussi violent. Tout un symbole, quatre adolescent noirs vivant à Chicago ont été inculpés hier de crime raciste envers un jeune blanc handicapé qu’ils ont kidnappé, séquestré pendant près de deux jours et soumis à des sévices corporels. Ils ont diffusé leurs tortures en direct sur Facebook, assorties de remarques anti Trump et anti blancs. On arrête pas le progrès. De nombreux commentateurs ont avancé que les agresseurs étaient en lien avec la très subversif et nocif mouvement «Black Lives Matter» qui attise les tensions raciales, officine financée par le très défavorablement connu milliardaire mondialiste George Soros.
En France, les médias nous resservent ces dernières heures l’affaire des assistants parlementaires du FN qui serait un boulet pour la campagne de Marine, alors qu’elle n’est qu’une énième déclinaison de la persécution dont sont victimes les nationaux de la part de l’institution bruxelloise et de ses relais politiques en France. Toutes choses parfaitement comprises et analysées par la journaliste Elisabeth Lévy qui était hier soir à l’antenne de l’émission On refait le monde sur RTL.
Gros médias qui, débordés par les réseaux sociaux et internet, sont désormais obligés d’évoquer, même a minima, le cas Christophe Bejach, directeur général des actions européennes de la société d’investissement Monument Capital Group Holdings LLC. Ce monsieur, de nationalité française et vivant à Londres, a été condamné en décembre dans la capitale britannique à 100.000 euros d’amende, 20 jours de travaux d’intérêt général et 100 jours de traitement médical pour pédopornographie. Piégée par une policière, il a été soupçonné de vouloir mettre sur pied une séance de photos érotiques avec trois fillettes âgées de 8, 10 et 12 ans. Les policiers ont trouvé à son domicile des photos de viols de fillettes; il a par ailleurs avoué son attirance pour les petites filles « de deux fois cinq ans ».
M. Bejach fut aussi un membre fondateur d’un cercle de réflexion archétypale du PS du XXIème siècle, de la gauche progressiste, à savoir Terra Nova, et conseiller technique au ministère des finances de Bercy sous la direction d’Arnaud Montebourg jusqu’en 2014. Certes, nous croyons bien volontiers M. Montebourg et son entourage quand ils affirment que ce pédophile n’avait pas de contacts privés avec le candidat à la primaire socialiste. Certes, ce malade a mené une existence de techno plus en retrait par exemple que ce soutien de François Bayrou, l’eurodéputé Modem Robert Rochefort, vice-président du parti centriste, condamné en août dernier pour exhibition sexuelle a proximité d’enfants dans un magasin de bricolage. Mais imagine-t-on qu’un ex-collaborateur, un soutien même éloigné de la candidate du FN, n’aurait pas été épinglé plus bruyamment par les médias dans les mêmes circonstances?
Du bruit, Vincent Peillon, nous l’avons vu, en fait à tort et à travers, et ses soutiens aussi, à l’image du député PS de Haute-Garonne Kader Arif, fédéraliste européen, Secrétaire d’Etat aux anciens combattants jusqu’en 2014, avant de démissionner suite à l’ enquête préliminaire du parquet financier au sujet de la société d’un de ses frères.
Invité de la webémission du HuffPost, M. Arif, comme M. Peillon dénonçant le « fascisme rampant » du FN, a repris de vieux éléments de langage. Après tout, comme le disait déjà Staline, «si vous parlez avec un homme de droite, traitez-le de fasciste, pendant le temps qu’il mettra à se disculper, il n’argumentera pas…». Une vieille ficelle qui sert aussi désormais à cacher le vide abyssal des propositions des candidats antinationaux, à dissimuler leurs lieux communs programmatiques, leurs vieilles recettes éculées, leur absence d’imagination.
« Je suis inquiet» a affirmé ce député PS. «Les mots ont du sens. Le FN est un parti d’extrême droite (…). Oui, je pense que ce parti-là, accompagné par la fachosphère, est un parti fasciste sur un certain nombre du sujet », se disant « très inquiet des porosités qui s’opèrent entre une partie de la droite et du FN ». « Je veux pas dramatiser les choses, mais je me méfie des lâchetés individuelles et collectives dont on est tous capables. Quand je regarde ce qu’ont été les années 30. Une république affaiblie, une crise économique, la montée progressive du nazisme, qui a pris le pouvoir par les urnes… L’Europe tournait la tête. Je ne fais pas de parallèle, mais il faut que l’histoire ne se répète pas ».
Les mantras stupides et grossiers de M Arif, constate Bruno Gollnisch, ont été rabâchés jusqu’à la nausée ces dernières décennies par ce Système qui assiste effrayé à ce retour du réel en politique qu’il a tenté de dissimuler aux Français. Ils prennent aussi une résonance particulière alors qu’ont été commémorés cette semaine les deux ans du massacre commis par les frères Kouachi dans les locaux de Charlie-Hebdo.
Une des victimes de cette tuerie fut l’économiste eurosceptique Bernard Maris qui était une des plumes de Charlie. Un homme intelligent qui dans son livre « Et si on aimait la France » avait eu le courage intellectuel de dénoncer (sur le tard) avec lucidité les errements idéologiques de la gauche, le drame de l’immigration sans frein, le masochisme anti-français, la bobo-attitude… Il reprenait aussi à son compte les analyses des Fractures françaises de Christophe Guilluy sur la France des relégués, des oubliés, des petits blancs, des classes moyennes et populaires abandonnés par une gauche sous influence Terra Nova.
Quelques mois avant cette tuerie, en mai 2014, M. Maris écrivait cependant dans Charlie-hebdo : «Dans le village où j’habite, peuplé de quelque 650 habitants, 38% d’entre eux ont voté pour le FN. Les 62 autres % ne comprennent pas. Pourquoi choisir le parti de la haine, du rejet des autres, de la peur, du repli sur soi? (…). Comment faire confiance à un parti qui a promis de faire la chasse aux journalistes, de les attaquer à mort, de leur marcher dessus?».
Le parti de la haine et du rejet de l’autre existe bien, mais assurément il se trouve du côté des adversaires de ceux qui entendent défendre les valeurs de notre incomparable civilisation helléno-chrétienne, préserver, fortifier, assurer un avenir français à notre nation et à notre peuple. Cette évidence-là ne cesse d’être démontrée par les événements.
https://gollnisch.com/2017/01/06/parti-de-haine-rejet-de-lautre/