NOTICE ROUGE D'INTERPOL
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Joachim Véliocas est le fondateur de l’Observatoire de l’islamisation et l'auteur de nombreux ouvrages, il publie cette semaine Mosquées radicales – Ce qu’on y dit, ce qu’on y lit (DMM), fruit d’une enquête dans les mosquées françaises. Il déclare dans Minute :
"Selon le ministère de l’Intérieur, 148 mosquées seraient « radicales ». Comment cette « radicalité » est-elle mesurée et qu’en pensez-vous ?
Celles-ci, recensées par la DGSI, la Direction générale de la sécurité intérieure, correspondent aux salafistes de type wahhabite, qui boivent les paroles des cheikhs saoudiens, mais bien d’autres sont radicales (au sens d’un retour aux racines médiévales de l’islam). Ainsi les Frères musulmans de l’UOIF en gèrent environ 200, les islamistes turcs du Millî Görü (mouvement pro-califat) soixante-dix, et les Turcs rattachés au ministère des Affaires islamiques turcs, une cinquantaine. Cela fait déjà autour de 320 mosquées radicales au sens propre du terme ! Je pense que l’Intérieur minimise le problème dans ses communications aux journalistes pour ne pas effrayer le grand public, car, même dans les mosquées marocaines se prévalant de professer « l’école du juste milieu » (« Manhaj al-Wassat »), terme très mal com pris, j’ai écouté un imam justifier par la sunna la lapidation jusqu’à la mort et le djihad dès lors qu’il est ordonné par un gouverneur musulman. Cet imam est le président du CFCM en Lorraine, pas du tout un imam des caves…
A vous lire, on a l’impression que toutes les mosquées de France ouvrent leurs portes aux prédicateurs les plus radicaux, qui peuvent venir tranquillement y prôner la supériorité de la loi islamique sur la loi française. Est-ce à ce point ?
Le laxisme du ministère de l’Intérieur est incroyable. Je donne les noms des prédicateurs étrangers ayant obtenu des visas, encore après janvier 2015, pour venir expliquer qu’il faut tuer les apostats, par exemple, dans les belles mosquées de l’Hexagone ! La DGSI va découvrir dans mon livre que les prédicateurs Abdulrahman Arushaydan (saoudien), Haytham Sarhan (saoudien), Omar Abdelkafi (égyptien) sont inconsidérément accueillis sur notre sol. Haytham Sarhan a même ses livres en téléchargement sur le site de la plus grande mosquée de Marseille, Al-Islah. Ce « savant » de Médine ordonne de tuer les esprits libres qui abjurent l’islam (conférence aux Mureaux). Omar Abdelkafi (Frère musulman égyptien) interprète l’attaque du Bataclan comme une « pièce de théâtre ». L’imam de la gran de mosquée de Toulouse-Le Mirail est lui un Malien qui attend le retour d’un Jésus islamiste qui viendra « casser la Croix », justement le titre du numéro de juillet 2016 de « Dabiq », la re - vue de l’Etat islamique, parue quelques jours après l’assassinat du père Jacques Hamel dans l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray [...]"
L’ouverture des frontières permet de pressurer les salaires pour mieux engraisser les actionnaires.
Le chômage a beau briser les illusions de millions de Français qui galèrent pour survivre dans un contexte de casse sociale, la priorité de certains semble être de trouver un emploi pour des « réfugiés » qui comptent bien s’installer durablement chez nous. Derrière les discours humanistes de façade affichés par quelques multinationales se profile l’espoir d’engranger des bénéfices toujours plus importants. L’ouverture des frontières permet, ainsi, de pressurer les salaires pour mieux engraisser les actionnaires. Aujourd’hui, afin de fuir le manque de reconnaissance et la pression fiscale, de nombreux Français s’exilent pour tenter leur chance ailleurs. Des Français veulent émigrer ? Tant mieux. Plutôt que d’essayer de les retenir en leur offrant d’autres perspectives, remplaçons-les par des immigrés !
Bernard Plouvier
Pour un État, pour une Nation, la franche bêtise, la sottise crasse installées au Pouvoir, ou dans ses apparences, c’est la ruine assurée pour une génération, voire davantage. C’est ce qui est arrivé à la France depuis 1976.
Durant les années 1960, un certain patronat – celui des travaux publics, du textile et de la métallurgie – avait commencé d’importer des travailleurs extra-européens, en lieux et place ou en concurrence des Italiens et des Portugais, puisque le « rideau de fer » soviétique avait tari l’afflux des travailleurs polonais, si important durant l’entre-deux-guerres.
Lors de ces « golden sixties », tout se passait assez bien : les matières premières étaient bon marché, le plein emploi assuré et les immigrés maghrébins limitaient leur délinquance à des rixes internes, pour des raisons de politique exotique qui n’intéressaient personne. La ville de Roubaix, où l’auteur de ces lignes passait enfance et adolescence, était prospère en plus d’être un havre de paix sociale (sauf durant les chienlits électorales, où les communistes s’ébrouaient pour freiner leur déclin déjà évident).
Vinrent le premier choc pétrolier (1973) et la navrante dénatalité des autochtones, évidente dès la première moitié de la décennie 70. En 1976, deux politiciens-liges du capital industriel et commercial français – le Président Giscard d’Estaing et son très ambitieux premier ministre Jacques Chirac – crurent intelligent de renforcer une consommation intérieure stagnante par le décret sur « le regroupement familial des travailleurs immigrés » (paru au JO le 29 avril), aussitôt comparé, par ceux qui avaient quelques connaissances historiques, au funeste Édit de Caracalla. Le 9 novembre 1994, ce décret fut « consolidé » dans sa capacité de nuisance.
Entretemps, la situation sociale avait bien changé. Dès 1983, le cap des trois millions de chômeurs était franchi, on parlait de « délocaliser » les entreprises en des zones de plus bas salaires et de moindre protection sociale, le pays commençait à voir fleurir de multiples zones de non-droit et les images d’émeutes raciales égayaient ou consternaient régulièrement les téléspectateurs français (et britanniques, d’ailleurs).
L’An 2000, peut-être pour fêter l’approche du 3e millénaire, de merveilleux démagogues, brouillés avec les règles les plus élémentaires de calcul du prix de revient (on peut être sorti de l’ENA et n’être pas capable de passer avec succès le Certificat d’études primaires), abaissèrent à 35 heures la durée de travail hebdomadaire, mais 35 heures payées 40 (l’on était déjà passé de 40 à 39 heures, dans les mêmes conditions, au début de l’ère Mitterrand). Officiellement, cette « loi de progrès social » avait pour but de « favoriser l’emploi »… alors même qu’elle accroissait les coûts salariaux des entreprises de 10% ! Le « peuple de veaux » (appellation d’origine gaullienne contrôlée) applaudit, puis s’étonna de voir grandir les chiffres du chômage.
En 2008, selon les statistiques officielles (volontiers « remodelées » : cela fut toujours considéré comme un privilège régalien), 10% de la population française était immigrée et 20% des « Français » étaient fils ou filles d’immigrés, les Africains – noirs et maghrébins – fournissant plus de la moitié de ces deux lots (mais aussi 80% des hôtes des maisons d’arrêt).
De nos jours, la ville de Roubaix, à très forte majorité maghrébine, est devenue une cité où s’agitent des clans rivaux de narcotrafiquants, où la délinquance est énorme, et où l’on constate des zones de « nettoyage ethnique » (entendre : des quartiers d’où l’on chasse les autochtones blancs pour les remplacer par des musulmans ; pour les initiés, c’est le cas du quartier de l’Épeule). Et l’on pourrait en dire autant de zones entières de Tours-Nord, Joué-lès-Tours, Marseille, Villeurbanne, Rouen-Sotteville etc. etc. etc.).
En 2016, le chômage réel (toutes catégories associées) dépasse le niveau des cinq millions, en France. La Dette de l’État obère les Finances publiques pour deux ou trois générations, les salaires (au moins pour les emplois à faible qualification) sont quasi-bloqués depuis une dizaine d’années alors que les prix alimentaires de détail ont crû depuis l’introduction de l’euro. Quant au terrorisme musulman, l’actualité des années 2014-2016 démontre à l’évidence qu’il est devenu une institution nationale, voire un objet d’exportation… en bref : tout va mal. Et l’on trouve naturel d’accroître encore le nombre d’immigrés d’origine extra-européenne, musulmans pour l’écrasante majorité d’entre eux.
La bêtise (apparente) des gouvernants est rarement gratuite. On peut même affirmer qu’elle est télécommandée par ceux à qui ce crime d’État profite. En revanche, la passivité & l’inertie des peuples sont énormes. Toutefois, il suffit d’une minorité pour faire éclater un monde de pourriture et d’absurdité. Après tout, nos ancêtres se sont lancés dans le mouvement insurrectionnel durant les années 1789-1794, alors que la France se portait infiniment mieux sous le débonnaire Louis XVI qu’en Chiraquie, en Sarkozie ou en Hollando-Vallserie.
Il est vrai qu’en 1789, quand il s’était agi de voter pour désigner les députés aux États-Généraux, seuls les hommes avaient eu le droit d’opiner (quelque fût leur niveau de fortune) : ni les femmes (sauf les veuves devenues chefs de famille, qui eurent droit de vote par l’entremise d’un avoué), ni les vagabonds, ni les non-Français n’avaient alors le droit d’influer directement sur la vie publique. Heureux temps !
Alliance VITA dénonce la précipitation avec laquelle le gouvernement, relayé par le PS, s’acharne sur la question de l’avortement par l’instauration d’un nouveau délit d’entrave numérique, en accusant des « faux sites Internet » de tromper les femmes.
Ce texte, qui sera examiné le 1er décembre en procédure accélérée, indique qu’il s’agit de sites Internet qui « détournent les internautes d’une information fiable et objective ». Alliance VITA, dont le service d’écoute SOS Bébé (www.sosbebe.org) a été cité par le gouvernement, dénonce la manière dont il tente de censurer les opposants à la banalisation de l’avortement en ciblant les sites qui informent les femmes sur les alternatives à l’IVG.
Pour Alliance VITA, la question de l’objectivité de l’information est réellement en jeu. Caroline Roux, coordinatrice des services d’écoute, souligne que :
« En réalité, l’information des pouvoirs publics en matière d’IVG s’est dégradée depuis 15 ans. Ils ont renoncé à indiquer aux femmes, qui consultent en vue d’une IVG, les aides aux femmes enceintes auxquelles elles auraient droit. Le gouvernement sur son propre « site officiel » n’en fait aucune mention. De plus sur ce site, un prétendu expert affirme qu’il n’y a pas de séquelles psychologiques à long terme après un avortement. Cela va à l’encontre de notre expérience et de ce que vivent un certain nombre de femmes. Le sondage IFOP « les Français et l’IVG », publié fin septembre, révèle la sensibilité des Français sur ce sujet. La Haute Autorité de Santé regrette le manque d’évaluation sur ce point. L’immense majorité des femmes souhaite une véritable politique de prévention de l’IVG. Il est donc irresponsable de cacher la réalité d’un acte qui n’a rien d’anodin dans la mesure où c’est, à chaque fois, le destin de vies humaines qui est en jeu. Et nous accompagnons des femmes qui en endurent souvent des conséquences difficiles, dans la solitude. »
Tugdual Derville, délégué général :
« Au-delà du scandale que constitue, dans le contexte que nous connaissons, le fait de décider un état d’urgence législatif sur un sujet nécessitant discernement, recul et vrai débat, il est irresponsable de mettre sur la sellette notre service d’écoute.Depuis plus de 20 ans, il fait un travail de service public déserté par les pouvoirs publics. Notre site SOS Bébé a été cité à maintes reprises par les médias depuis qu’a éclaté la polémique lancée par Madame Rossignol, sans que nous ayons été appelés par ses services pour connaître les informations qui seraient en cause, ou s’intéresser à notre expérience de terrain. Nous avons demandé un rendez-vous à la ministre qui n’a toujours pas répondu. L’urgence est d’instaurer un débat dépassionné sur les conditions d’une véritable politique de prévention de l’avortement, spécialement pour les femmes confrontées à des grossesses inattendues. »
Alliance VITA a lancé une pétition contre, d’une part, la censure gouvernementale et d’autre part, pour une meilleure information sur les aides financières et sociales aux femmes enceintes. Celle-ci a déjà recueilli plus de 30 000 signatures. L’association dévoilera prochainement sa nouvelle campagne nationale de sensibilisation destinée à pallier le défaut d’information gouvernemental sur ce sujet sensible.
Le Figaro N°20 991
Une chose est sûre : les très grosses entreprises si friandes d’immigrés ne sont pas près d’augmenter les salaires…
Depuis 1996, grâce aux directives européennes du travailleur détaché, nous connaissions « le plombier polonais ». Grâce au « dispositif d’intégration » destiné aux réfugiés, place désormais au peintre en bâtiment afghan, au carreleur soudanais et à l’électricien érythréen.
Poignées de main et sourires chaleureux, Emmanuelle Cosse et Myriam El Khomri, le 3 novembre, à Champs-sur-Marne, venues rendre visite à ces migrants, étaient aux anges. Il s’agissait de louer le « dispositif d’intégration par l’hébergement, la formation et l’emploi ». La préférence immigrée plus qu’assumée : revendiquée.
FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie)
Soulagement dans le camp démocrate à deux jours du scrutin. Le FBI décidé finalement de ne pas poursuivre la candidate Hillary Clinton malgré la découverte sur un serveur il y a 10 jours de milliers de courriels lui appartenant et supposé détruit. A noter d’ailleurs le silence complaisant des médias de la grande presse sur le contenu de ces messages pourtant révélé par l’organisation non-gouvernementale Wikileaks. Il est loin le temps où le lanceur d’alertes Julian Assange était considéré comme un héros lorsqu’il dénonçait la politique étrangère de George W. Bush. Il est aujourd’hui accusé d’être un agent russe sous prétexte que ses révélations servent la campagne de Donald Trump.
Quelles sont les informations occultées par la grande presse ?
D’après Julian Assange, la fondation Clinton serait en partie financée par les mêmes soutenant l’Etat islamique. Des dons en provenance du Qatar et de l’Arabie saoudite sont ainsi évoqués. On peut également trouver dans ces courriels des documents relatifs à des voyages organisés par Jeffrey Epstein, milliardaire, délinquant sexuel condamné pour pédophilie ; voyages auxquels ont participé Hillary et Bill Clinton en compagnie de plusieurs membres du Congrès, ainsi que Anthony Weiner, ex époux de l’ancienne chef de cabinet et assistante de la candidate démocrate. Enfin, on y découvre l’intérêt du chef de campagne démocrate John Podesta pour des repas à tendances satanistes à base de sang, de sperme et de lait maternel, organisés par la New Yorkaise d’origine serbe Marina Abramovic. Cette artiste contemporaine est connue pour son goût prononcé de la provocation lors de ses performances dites artistiques.
Ces révélations de dernière minute changent-elles significativement la donne pour Hillary Clinton ?
Sa victoire quasi assurée ne semble plus l’être tout à fait. Pour asseoir sa légitimité, la candidate démocrate a besoin d’un mandat populaire incontestable, alors qu’elle était jusqu’à il y a peu sous le coup d’une enquête fédérale. Mais il semblerait au contraire que les résultats promettent d’être serrés. Dans ce cas Donald Trump n’admettra pas sa défaite facilement. Il a annoncé n’accepter le résultat que s’il l’emporte, dénonçant à l’avance une élection truquée, notamment à cause des votes électroniques qu’il juge facilement manipulables. Verdict mercredi matin.