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magouille et compagnie - Page 1798

  • Attentat de Nice : Olivier Bettati pointe la responsabilité et les manipulations de Christian Estrosi

    Interview intéressante donnée au journal Présent par Olivier Bettati, ancien bras droit d’Estrosi et conseiller municipal FN, qui réclame deux commissions d’enquête : l’une sur le rôle de l’Etat et l’autre sur celui de la mairie.

    Il est interrogé par Caroline Parmentier :

    « Pourquoi êtes-vous si circonspect sur le témoignage de la policière de Nice qui accuse le gouvernement de pression ?

    J’ai été l’adjoint d’Estrosi pendant 25 ans et je connais parfaitement tout ce petit monde. Il faut savoir que la technique d’Estrosi c’est de faire en permanence de la com sur la com, de manière à ce que l’on n’ait pas le temps de réfléchir à ce qui s’est passé à l’étape d’avant. L’étape d’avant c’est quoi ? Dans la nuit du 14 juillet, les bandes-vidéo ont toutes été saisies par la justice comme cela se fait à chaque fois. Deux jours après, il y a une réquisition faite par le parquet demandant la destruction des bandes. Pourquoi ? Pour éviter de les retrouver au mieux sur des réseaux sociaux, au pire dans la propagande de Daech. Ça se passe toujours comme ça et heureusement. La technique de com d’Estrosi a été de dire : « c’est un scandale d’Etat, on veut effacer les traces de ce qui s’est passé ». Et pendant trois jours tout le monde est rentré dans ce truc-là. Mais expliquez-moi quel intérêt aurait le ministre de l’Intérieur à envoyer une barbouze pour harceler un délégué syndical de la police municipale de Nice dans la ville d’Estrosi et lui demander de bidouiller des bandes dont les originaux sont depuis trois jours entre les mains de la justice ? Je rappelle que la policière Sandra Bertin est très proche d’Estrosi et de l’UMP. Pendant les Régionales elle a fait campagne ouvertement pour Estrosi, retweetant des messages contre Marion Maréchal-Le Pen.

    Estrosi a donc, selon vous, tenté d’allumer un contre-feu de façon à effacer ses propres failles de la nuit du 14 ?

    Exactement. Quand j’ai donné ma conférence de presse quelques jours après l’attentat, j’ai rappelé qu’Estrosi n’était pas le maire de Nice. Mais il est l’adjoint à la sécurité et à la circulation et occupe donc un rôle clé dans ce qui s’est passé. Pourquoi ne s’est-il pas rendu aux réunions organisées en préfecture concernant la mise en place du dispositif de sécurité et la répartition des rôles entre la police nationale et la police municipale pour le grand feu d’artifice du 14 juillet ? Au début, il a commencé par dire que ce n’était pas vrai puis il a fini par avouer sur BFM qu’il n’était pas à ces réunions. Or, en tant qu’adjoint à la sécurité il se devait d’y être. S’il y était allé il aurait été en mesure de prendre des décisions déterminantes comme de décider de la présence de policiers nationaux et pas de policiers municipaux sur le dispositif du soir. Or la police municipale était, à partir de 20 heures 30, seule en charge de la sécurisation de la promenade des Anglais à l’angle du boulevard Gambetta. Pourquoi lui, qui est en charge également de la circulation, a-t-il choisi, alors qu’il savait qu’il n’aurait plus de police nationale, de traiter l’entrée de la zone festive par un dispositif dit de circulation plutôt qu’un dispositif de sécurité ? C’est-à-dire sans les quatre blocs en béton qui auraient dû être déposés de chaque côté de la promenade des Anglais et auraient permis de bloquer l’entrée du camion tueur. Le choix qui a été fait par l’adjoint à la sécurité et à la circulation a été la mise en place d’un simple dispositif de circulation angle boulevard Gambetta/promenade, ce qui au regard du danger est une faute lourde.

    […] Pourquoi le commissaire divisionnaire Sylviane Casanova, ancien chef de notre police municipale, un grand flic, a-t-elle été remerciée et remplacée à la demande d’Estrosi par un simple agent de catégorie B, un copain à lui, élu Les Républicains et qui le soir du 14 juillet était absent, parti dans sa commune avoisinante ? Pourquoi l’ancien sous-préfet, Christophe Aumonier, unanimement reconnu comme un excellent spécialiste de la police, a-t-il été viré et remplacé par l’épouse du directeur de cabinet de Christian Estrosi, Véronique Borré, qui n’a aucune espèce de compétence en matière de sécurité ? […] »

    Estrosi manipulateur ? Qui en doutait encore ?

    http://www.medias-presse.info/attentat-de-nice-olivier-bettati-pointe-la-responsabilite-et-les-manipulations-de-christian-estrosi/58768

  • 13 suspects de jihadisme soumis au bracelet électronique

    Combien d'Adel Kermiche en France actuellement ?

    Treize personnes seraient actuellement surveillées à l'aide d'un bracelet électronique en France en lien avec des affaires de jihadisme, selon Reuters qui cite le ministère de la Justice.

    7 personnes sont mises en examen et en attente de jugement, assignées à résidence sous surveillance électronique.

    6 individus sont placés sous surveillance électronique après avoir été condamnés.

    Michel Janva

  • Pendant que les islamistes tuent, les politiciens s’invectivent.

    L’expérience des deux guerres mondiales et celle tirée de conflits plus récents ont largement démontré la pertinence de la phrase anglaise : Business as usual… les affaires se poursuivent, par tous les temps !

    De fait, le sultan turc et son entourage commercialisent le pétrole de l’État Islamique de Mossoul, alors que l’État turc fait théoriquement partie de la coalition formée pour abattre Daesh et son calife autoproclamé, Abou Bakr II.

    Chez nous, ce n’est pas mieux. En cet été de l’An 2016, où presque chaque jour amène son lot de faits-divers islamo-toxiques, nos vaillants politiciens échangent des injures. En ce 26 juillet, où des racailles musulmanes viennent d’égorger un prêtre lors de sa messe, dans une commune proche de Rouen, la polémique enfle, moins à propos des dramatiques carences de la Police nationale, à Nice, le soir du 14 juillet, que du mal à l’ego de notre distingué – et si efficace – ministre de l’Intérieur.

    Or, si l’avenir politique des sieurs Estrosi et Cazeneuve est engagé – et un honnête citoyen peut considérer qu’il s’en moque royalement -, ce furent plus de 80 promeneurs qui trouvèrent la mort, ce soir-là, et 200 autres qui y débutèrent leur calvaire de blessés et, pour certains, d’invalides.

    La polémique actuelle porte sur d’éventuelles pressions qui auraient été exercées par la hiérarchie policière, voire (c’est là que gît la bombe politique) par les honnêtes hauts-fonctionnaires du ministère de l’Intérieur, sur une agente de la Police municipale de Nice, dont les idées et l’engagement politique seraient proches de celles du Président de la région et adjoint du maire de Nice, dénommé Estrosi.

    Aux dernières nouvelles, cette policière se plaindrait qu’on lui ait demandé de certifier qu’elle voyait une (ou des) voiture(s) de Police nationale là où elle n’en voyait point. Il devrait être simple de déterminer s’il existait ou non de telles voitures aux points où fonctionnent les appareils d’enregistrement… à condition de ne pas faire disparaître les traces de cette vidéo-surveillance !

    Car, l’État français et sa merveilleuse Police nous ont habitués à certaines curiosités : ministres ô combien intègres et si respectueux de l’honneur féminin, policiers irréprochables (à Lyon et ailleurs), hauts-fonctionnaires tant économes de l’argent public, etc. Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur et des Cultes serait « nauséeux », nous apprend la presse de gauche. L’on espère surtout, pour la réputation de l’État, qu’il n’est pas nauséabond.

    Mais, assez parlé de politicaille (à relents maçonniques, puisque l’on sait que la haute hiérarchie de la Police est fortement infiltrée de Frères Trois Points). On se moque des états d’âme d’un Cazeneuve comme de ceux d’un Estrosi. La question n’est vraiment pas là.

    En France, l’été de 2016, des paumés de banlieue, des fruits pourris de l’immigration musulmane tuent de façon quasi-quotidienne : on tire, on égorge, on use de camions-béliers et l’on peut imaginer sans peine que, dès que l’approvisionnement sera de nouveau assuré, les petites frappes du djihadisme vont reprendre le maniement des explosifs.

    Tous sont des musulmans, des haïsseurs d’infidèles, en même temps que des sociopathes, Ces abrutis, mal élevés par des parents indignes, sont passés de la délinquance au crime de droit commun. Ce sont des électrons-libres, non-contrôlés par qui que ce soit, qui veulent simplement faire parler d’eux, devenir des héros pour d’autres crétins de banlieues, et jouir du bizarre paradis (fait de banquets et d’orgies) d’un certain allah.

    Face à ces déchets intellectuels et sociaux, les mesures à prendre doivent être radicales : les détecter par l’espionnage des banlieues et des mosquées-salles de sports de combat, les capturer discrètement, les interroger sans ménagement et les faire disparaître. Puis agir de même avec celles et ceux que les premiers capturés ont dénoncés ou qui les ont aidés.

    Hélas, pour l’heure, alors que l’islam tue quotidiennement, on amuse la galerie avec l’ego surdimensionné de politiciens. Manifestement, la Ve Ripoublique, agonisant dans la bêtise et l’abjection, n’est plus adaptée à l’évolution de notre société.

    À l’heure du péril, l’on n’a nullement besoin de raisonnements humanistes, mais de mesures de Salut Public. Nous sommes en guerre et, à la guerre, la modération est pure imbécillité.

    Bernard Plouvier

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/07/26/pendant-que-les-islamistes-tuent-les-politiciens-s-invective-5830315.html

  • Pour Valls, le danger c'est la "trumpisation des esprits"

    Lu dans Les 4 Vérités :

    "[...] À quoi se reconnaît la « trumpisation des esprits » ? Les mauvais esprits pourraient évoquer la coupe de cheveux du milliardaire et la comparer défavorablement à la coupe, si chère aux contribuables, de M. Hollande. Mais M. Valls, homme sérieux s’il en est, répond que la trumpisation se reconnaît à « la violence politique, l’outrance, la mise en cause de la démocratie, les accusations lancées à l’emporte-pièce, la calomnie ».

    Quand M. Valls traite ses adversaires, y compris les pacifiques Veilleurs, de « factieux », ce n’est pas de l’outrance. En revanche, quand un dirigeant LR met en cause le dispositif de sécurité, le soir du 14 juillet à Nice, ce n’est rien de moins qu’une « remise en cause de la démocratie »!

    Il est d’autant plus cocasse d’entendre critiquer ces « remises en cause de la démocratie » que M. Valls et ses amis n’ont jamais hésité un instant à critiquer telle décision du peuple qui avait le malheur de leur déplaire. Il faut, en effet, bien comprendre ces mots codés du langage politicien: quand on parle de « démocratie », on ne veut évidemment pas parler de ce que veut le peuple – dont tout le monde se contrefiche –, mais on veut désigner ce que la nomenklatura veut pour le peuple.

    Mais il faut voir aussi le sectarisme de ces braves gens. Une simple critique du dispositif de sécurité, un simple doute sur telle déclaration gouvernementale, n’est rien de moins qu’une « remise en cause de la démocratie » – dont je rappelle que le code pénal la sanctionne plus sévèrement que le viol sur mineur !

    Faut-il que le gouvernement soit aux abois pour user d’arguments aussi faibles ? Le pire étant que les dirigeants LR, soi-disant « trumpisés », affichent, sur la sécurité et l’immigration, un bilan presqu’aussi mauvais que celui du PS... Et qu’ils ne semblent pas prêts à abandonner les vieilles lunes socialistes en ces domaines, puisqu’ils se gargarisent, eux aussi, de « vivre ensemble » et de « padamalgam » !"

    Michel Janva

  • Tribune libre – Que de déséquilibrés !, par Vincent Revel

    Notre époque moderne doit être bien malade pour fabriquer autant de déséquilibrés ! Il n’y a pas une semaine qui passe sans que cette espèce nouvelle du genre humain ne vienne nous rappeler d’une façon violente la fragilité de la vie.

    Selon la novlangue de notre système de désinformation, la mode du déséquilibré est en vogue chez nos jeunes issus des minorités dites discriminées. La folie règne en maîtresse absolue dans les rangs de nos compatriotes musulmans. Une folie, soi-disant imprévisible, qui éclate à tout moment et pousse un grand nombre de nos « chances pour la France » à commettre l’irréparable, l’inqualifiable et l’incompréhensible.

    Face à cette poussée de violence, non pas due à la religion islamique mais bel et bien à cette folie passagère ciblant exclusivement le même type d’individus, nos sociétés modernes se retrouvent désarmées. Grâce à un grand élan de générosité des fleuristes et des fabricants de peluches et de bougies, l’homo economicustrouve quand même un réconfort salvateur. Par de grandes messes laïques et humanistes, l’homme moderne, membre consentant d’une masse uniforme, cherche une rédemption dans les slogans préfabriqués.

    Pour exorciser cette folie dévastatrice, l’homme moderne cherche à comprendre en se remettant en cause, en culpabilisant, en s’autoflagellant et en déclarant haut et fort : « Plus jamais ça ! » Il tend la main et annonce au monde entier qu’un câlin est plus beau et plus puissant que la haine, que le pardon est plus noble que la colère, que la dignité, cachant en fait une lâcheté, est plus grande que la vengeance.

    Face à cette injustice, l’homme fragile des temps modernes préfère les idéologies creuses et utopistes plutôt que la dure réalité. Il espère qu’en enfermant ceux qui lui veulent vraiment du mal dans une supposée folie, que le temps finira pas dissoudre la menace qu’il sent malgré tout de plus en plus présente et pesante. Il se réfugie dans un monde irréel, sans frontière. Il prie, comme le plus dévot des croyants, en écoutant aveuglément ses maîtres à penser.

    Comme on chassait la peste au Moyen Age, il croit qu’en appliquant à la lettre les rites nouveaux de la société antiraciste que le danger passera de lui-même. Il pense que cette folie est passagère comme peut l’être une crise adolescente.Il refuse de voir la vérité. Cette dernière lui fait bien trop peur pour l’admettre. Car reconnaître que derrière nos déséquilibrés se trouvent en fait une véritable armée au service de la pire idéologie religieuse-politique, c’est accepter l’échec flagrant du « bien vivre ensemble », c’est aussi devoir renoncer au rêve du multiculturalisme en faisant acte de courage.

    Tout ceci n’est pas à la portée des hommes modernes, pétris d’humanisme, castrés dès la plus tendre enfance par un système éducatif déconstruisant des millénaires de mémoire. Voir que nos fameux déséquilibrés sont de plus en plus nombreux chez nous, qu’ils peuvent passer à l’acte n’importe quand et n’importe où, est impensable pour des gens qui ont appris à vivre dans l’illusion permanente.

    Le courage manque aujourd’hui à nos dirigeants pour parler franchement à nos concitoyens. Les djihadistes ne lâcheront pas l’Europe et les Européens du simple fait de nos concepts généreux. Plus vite nous le comprendrons, plus vite nous pourrons régler le problème islamique sur le Vieux Continent.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/202724/tribune-libre-de-desequilibres-vincent-revel/

  • Attentats en Allemagne : menace islamique et politique migratoire en toile de fond

    L’Allemagne a été frappée par trois attaques d’une rare violence en une semaine à peine. Munich, Reutlingen, Ansbach…

    Ces trois événements perpétrés par trois tueurs aux profils distincts soulèvent aujourd’hui des craintes auprès de la population. France 24 propose une émission pour tenter de mieux cerner les motivations des auteurs de ces agressions ou attentats.


     

  • Pour SOS Racisme, Daech est une secte d’extrême droite

    Pour faire simple, l’État islamique – pardon, Daech – mérite d’être combattu parce qu’il serait d’extrême droite.

    Le lendemain de l’attaque terroriste de Munich par un jeune Germano-Iranien, Dominique Sopo, président de SOS Racisme, s’empressait de tweeter : « Mensonges et haines du #FN suite aux attaques de #Munich inspirées par un meurtrier d’extrême droite. » Ou comment, en 101 caractères (espaces compris), réaliser un joli petit amalgame en béton ! En effet, ce terroriste, nous dit-on, aurait planifié de longue date son geste et était fasciné par le massacre commis en 2011 par le Norvégien Anders Breivik, qui se revendiquait d’extrême droite. Or, le Front national étant d’extrême droite, selon la classification établie de toute éternité, je vous laisse poursuivre le raisonnement… Que du bonheur, quoi !

    Aujourd’hui, 26 juillet, assassinat d’un prêtre catholique dans son église, alors même qu’il disait la messe. Pas de tweet de M. Sopo, mais un communiqué sur la page Facebook de l’association SOS Racisme. Un communiqué pour le moins consternant.

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  • Mosquée de Saint-Etienne-du-Rouvray : une filière jihadiste vers la Syrie connue depuis 2014

    Article du Parisien du 24 novembre 2014 :

    "Ils sont quatre jeunes convertis à l'islam radical. Tous se connaissaient, et tous fréquentaient les mêmes mosquées d'Elbeuf et de Saint-Etienne-du-Rouvray, selon nos informations.Un micro-réseau de filière jihadiste vers la Syrie a été mis au jour en Normandie depuis qu'un des leurs, Maxime Hauchard, a été identifié sur une vidéo de Daech la semaine dernière. Un « foyer de dérive radicale », selon le parquet de Rouen, qui a évoqué « des liens établis » entre eux.

    [...] Maxime Hauchard, 22 ans, originaire du village du Bosc-Roger-en-Roumois (Eure), identifié comme l'un des bourreaux de 18 otages syriens égorgés sur la vidéo diffusée la semaine dernière, en est le parfait exemple. Il a choisi de rejoindre les rangs de Daech le 17 août 2013.

    Maxime n'était pas un homme seul. Il connaissait notamment un autre converti du même village, fils d'un couple d'exploitants agricoles, âgé de 26 ans, Jean [prénom modifié...]. A l'inverse de Maxime, lui était un très brillant étudiant, qui avait eu son baccalauréat scientifique avec mention bien. Il avait intégré une classe préparatoire au lycée Faidherbe de Lille (Nord) pour réussir dès la première tentative le concours ultra-sélectif de l'Institut national des sciences appliquées (Insa), une très prestigieuse école d'ingénieurs. Jean a choisi, après sa conversion il y a six ans, de rejoindre Médine (Arabie saoudite) en 2012, où il avait assuré « étudier la théologie », selon les proches qui ont gardé contact avec lui. Au dernier moment, il a renoncé à valider son diplôme. « Il était en contact avec Maxime car ils se connaissaient depuis toujours », détaille sa mère. Les deux garçons travaillaient notamment dans la même pizzeria halal de Bourg-Achard à deux pas du Bosc-Roger, où ils étaient livreurs pour se faire un peu d'argent.

    Un autre jeune, Frantz, 23 ans, a été arrêté début novembre à Saint-Pierre-lès-Elbeuf, avec sa compagne Laëtitia ainsi que sa belle-sœur, par les enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Des convertis prêts à partir en Syrie.

    Quant à Jordan, 22 ans, originaire de Vernon (Eure), il figure bien parmi ceux qui ont déjà rejoint les rangs du groupe Etat islamique.Leur point d'ancrage commun était une mosquée de tendance salafiste de Saint-Etienne-du-Rouvray."

    L'"effarement" ce matin de l'imam de Saint-Etienne-du-Rouvray ressemble à une belle application de la Taqiya. La mosquée de Saint-Étienne-du-Rouvray a été inaugurée en 2 000 sur une parcelle de terrain offerte par la paroisse catholique de la ville.

    Quand le ministre osera-t-il fermer les mosquées salafistes ?

    Michel Janva

  • Des églises comme cible. Comme un petit air d’Espagne…

    L’histoire ancienne et moderne de l’Espagne est une grande source d’enseignements pour les Européens.

    L’idée ici n’est pas de faire une redite du thème de la Reconquista. Cette période, longue de plusieurs siècles, a déjà été abondement commentée, tant dans des publications historiques que dans des discours plus « idéologiques ».

    C’est l’histoire plus récente de l’Espagne qui devrait plutôt attirer notre attention. Surtout vue sous l’angle des dernières actualités françaises… La période des années 30, plus particulièrement les semaines qui ont précédé la tentative de putsch de juillet 1936, est riche d’événements remarquables. Il y a des enseignements à tirer de cette course à la Guerre Civile. Au-delà de la situation chaotique de l’Espagne de cette époque (voir illustration), notamment  sur les plans économique, sociaux et politique, ce sont des circonstances très précises qui ont abouti à la situation de conflit.

    Prenons comme exemple, plus récemment, les émeutes urbaines de 2005. Ces dernières sont avant tout le fruit de problématiques ethniques et civilisationnelles qui sont les conséquences de politiques migratoires désastreuses. Néanmoins l’événement déclencheur a bien été la mort de deux petites frappes dans un transformateur électrique…

    Les événements anecdotiques précipitent toujours les situations larvées. Ils interviennent comme des déclencheurs, comme la « goutte d’eau »…

    Revenons à nos affaires ibériques.

    Dans l’Espagne de 1936 c’est toute une série sanglante d’attentats et de représailles qui a abouti au soulèvement militaire. Malgré les tensions qui traversaient la société espagnole de l’époque, l’armée ne serait jamais intervenue sans certaines circonstances.

    Il faut notamment songer à l’assassinat d’un lieutenant de police d’extrême gauche au service de la République, le lieutenant Castillo, le 12 juillet 1936 (6 jours avant le soulèvement militaire). Pour l’anecdote, les tireurs étaient un groupe de jeunes phalangistes désireux de se venger de la mort de certains de leurs camarades qu’avait fait abattre Castillo (oui, c’était un sacré bordel).

    Le soir même des collègues policiers de Castillo partaient en voiture dans Madrid afin d’exercer la loi du Talion à l’encontre de députés de droite (des policiers qui tirent sur des députés…). C’est le chef du grand mouvement monarchiste, Calvo Sotelo, qui en fit les frais. Réveillé à son domicile, trainé jusqu’aux véhicules, on retrouvera son corps au matin à l‘entrée d’un cimetière. C’est la mort du député Calvo Sotelo qui décida les généraux réactionnaires (Mola, Franco, Sanjurjo, etc…) à mettre à exécution leurs plans quant à un soulèvement militaire, le 18 juillet 1936.

    Venons-en à l’actualité française.

    Les événements de janvier 2015 contre Charlie Hebdo ne pouvaient déboucher sur une situation de graves tensions internes. En effet, malgré l’émotion suscitée et très habilement récupérée par l’oligarchie, notamment parmi les têtes grisonnantes soixante-huitardes (voir photos des manifestations…), le pays réel, profond, n’a pas été directement touché. Il n’était d’ailleurs que très indirectement visé…

    L’histoire a commencé dans une rédac’ de «journalistes» parisiens subventionnés et s’est conclue dans une ZAC du nord-est parisien, avec au passage quelques flics en moins. Le tout orchestré par des «chances pour la France»… Le monde moderne et ses monstres qui se déchirent.

    Néanmoins nous venons de frôler de peu un événement d’une ampleur bien plus grande et dont les conséquences auraient pu être infiniment plus… brutales. Une ou plusieurs églises de région parisienne auraient pu être, dimanche 19 avril à l’heure de la messe, l’objet d’une attaque sanglante à l’arme automatique (10-20 morts, minimum…) par un ou plusieurs combattants djihadistes (car oui, ce sont des combattants).

    Frapper de la sorte des églises pleines, en France, n’est pas une déclaration de guerre contre l’Etat, la République et BHL… C’est une déclaration de guerre contre le pays réel (la France éternelle) et les populations européennes autochtones.  

    Je ne me considère pas comme catholique… Je suis d’abord Européen, je me sens plus proche des philosophe grecs et de Nietzsche que du Christ. Néanmoins je sais pertinemment ce que signifie une attaque contre une église catholique orchestrée par des allogènes : une volonté explicite de me détruire, au sens physique du terme.

    Il n’y a pas à douter, malgré l’état objectif d’abrutissement et de démoralisation des populations autochtones, que ce lien aurait été fait par la majorité de ces derniers… Une réaction très vive se serait manifestée, aboutissant à un processus de représailles spontanées (je ne parle pas de soulèvement populaire, mais d’actes violents isolés). La situation de conflit larvé que nous vivons depuis plus d’une génération aurait pu déboucher sur une situation de conflit ouvert.

    L’objet de cet article n’est pas de déterminer s’il s’agit d’une situation souhaitable ou non.

    On pourra me rétorquer que l’Italie n’a pas vu de conflit ouvert éclater sur son sol malgré l’état de tension qui régnait lors des « années de plomb ». Mais l’Italie des années 70 était certes un pays déchiré sur le plan idéologique mais non sur le plan ethnique et civilisationnel… 

    Les églises de Villejuif auraient pu être notre «Calvo Sotelo»…

    Or, c’est inévitable, une église pleine se fera attaquer… demain, la semaine prochaine, dans six mois… Cela aura lieu car, comme le dit Rüdiger dans ces pages, le système se défend mais ne défend pas les «sans-dents». 

    C’est tout simplement inévitable. Donc restez à l’affut. Les événements peuvent s’enchainer très vite. L’histoire nous le montre.

    Jacques Thomas pour le C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/