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magouille et compagnie - Page 1921

  • Allemagne : un maire veut réquisitionner des maisons privées pour loger des immigrés !

    En Allemagne, le maire de Salzgitter, Frank Klingebiel (CDU, « droite »), a décidé de restreindre « temporairement » le droit fondamental à la propriété. En raison de l’afflux massif de demandeurs d’asile, le maire a l’intention de réquisitionner des maisons privées vides.

    Le maire promet que les propriétaires seront indemnisés. Combien ? Par qui ? Pendant combien de temps ? Comment ferait un propriétaire qui voudrait récupérer l’usage de son bien ? Dans quel état le propriétaire va-t-il retrouver son bien immobilier et qui va payer les frais de remise en ordre après saccage ?

    Cette mesure qui relève du « totalitarisme démocratique » est soutenue par le gouvernement fédéral qui a estimé qu’il fallait adapter les lois « à une situation d’urgence ». Il est notamment question de modifier les exigences légales en matière de construction pour faire bâtir de nouveaux logements destinés aux demandeurs d’asile.

    Le maire de Salzgitter a également demandé que les villes puissent se lancer dans de nouveaux emprunts pour financer l’asile des migrants !

    Le scandale est d’autant plus grand que l’Europe compte de nombreux citoyens qui vivent dans la précarité et qui n’ont pas accès aux services offerts aux immigrés.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Des trafiquants albanais empochent 9.800 euros par personne pour faire passer des immigrés clandestins de France en Angleterre

    Un réseau de « passeurs » albanais vient d’être démantelé par la brigade mobile de recherche (BMR) à Calais et à Dunkerque. Ces trafiquants organisaient les passages d’immigrés clandestins vers l’Angleterre.

    Les sommes en jeu sont énormes. Le forfait à acquitter au réseau albanais se paie entre 6500 et 7000 livres (jusqu’à 9.800 euros) par personne.

    Pour ce montant, les réseaux albanais assurent à leurs clients d’être pris en charge, jusqu’au franchissement des 35 kilomètres séparant Calais de Douvres, quel que soit le nombre de tentatives nécessaires pour y arriver.

    Les réseaux albanais fonctionnent avec des poids lourds dont les chauffeurs sont complices.

    Les intermédiaires perçoivent de 700 à 1400 euros par personne.

    Les passages se font souvent dans les cargaisons de légumes frais, de choux ou de pommes de terre, car ils dégagent une telle quantité de CO2 que les détecteurs de gaz carbonique censés repérer la respiration humaine sont inopérants.

    Les enquêteurs ont estimé que le bénéfice du trafic du réseau arrêté atteindrait un minimum d’1,4 million d’euros pour un passage de 255 immigrés clandestins depuis le mois de mars.

    Mais d’autres Albanais devraient rapidement remplacer ceux arrêtés…

    Il reste un point à éclaircir : comment ceux qui composent ces marées d’immigrés clandestins sont-ils capables de payer près de 10.000 euros pour arriver jusqu’en Europe puis presqu’encore autant pour passer de la France à l’Angleterre ?

    Beaucoup de Français, d’Européens, vivent dans la misère et sont loin d’avoir 20.000 euros d’économies.

    Alors, d’où vient l’argent ? De quoi alimenter certains propos

  • Le discours sur la reprise économique est une gigantesque farce

    Il faut rendre justice à François Hollande et à ses sbires : leur discours sur la reprise économique (Michel Sapin : « Gardons le cap, la reprise est bel et bien engagée en France », 14/8/2015), ils ne sont pas les seuls à le tenir. Au Japon comme aux États-Unis, on n’entend que ça, les premiers pour justifier le bien-fondé de leur politique monétaire expansionniste (Abenomics), les seconds, à l’inverse, pour justifier une prochaine hausse des taux d’intérêt. Le fait est que cette reprise est un mirage, elle n’existe pas ; pire : c’est tout le contraire, une lente glissade vers la récession, partout, dans tous les pays, bref une panne systémique de l’économie de marché.

    Appelez-ça comme vous voulez (erreurs de jugement ou mensonges), appelez-les comme vous voulez (incompétents bornés ou vrais salopards) ! Si le diagnostic d’une crise de civilisation est juste, cela n’a guère d’importance, la catastrophe est devant nous, la vraie.

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  • Travail dominical : le décret surprise

    Le ministère de l'Economie vient de transmettre aux élus de Paris et aux syndicats son projet de décret d'application de la loi Macron définissant les zones touristiques où les magasins pourront ouvrir le dimanche et le soir jusqu'à minuit. En plein mois d'août donc, avec la possibilité d'émettre un avis au plus tard le 15 septembre. Et... surprise ! Bercy a vu plus large que prévu, en ajoutant quatre zones aux huit existantes, certaines n'étant pas précisément connues pour être des hauts lieux de fréquentation touristique.

    Louise Tudy

  • «L'État et les banques, les dessous d'un hold-up historique» par Myret Zaki et Etienne Chouard

  • La démission de Rebsamen vire au boulet pour Hollande

    Le remplacement du ministre du Travail, redevenu maire de Dijon, est un vrai casse-tête politique pour François hollande et Manuel Valls.

    Ils s’en seraient bien passé. Mercredi, à l’issue du Conseil des ministres, François Rebsamen remettra sa démission du gouvernement à François Hollande et Manuel Valls. Après plus d’un an passé au Travail, ce proche du Président a choisi de retourner à l’hôtel de ville de Dijon pour reprendre son poste de maire laissé vacant depuis la mort, en juillet, de son successeur Alain Millot. A première vue, trouver un remplaçant rue de Grenelle ne devrait pas poser de problème. Mais entre la crise agricole qui dure, des résultats économiques décevants et une aile gauche prête à reprendre sa guérilla parlementaire sur le prochain budget, le choix du successeur de Rebsamen s’annonce plus compliqué.

    Quel timing ?

    Selon l’Elysée, «ça va aller vite». La seule chose certaine et annoncée est le jour de la démission de François Rebsamen : mercredi, à l’issue du Conseil des ministres de rentrée. Mais dans l’entourage du ministre du Travail, on ne s’attend pas à faire ses cartons illico : «Il partira quand on lui dira de partir.» Autrement dit : tant que sa démission n’est pas formellement acceptée par le président de la République et que son successeur n’est pas nommé, le maire de Dijon continuera à expédier les affaires courantes à son ministère. D’ailleurs, le ministre a prévu d’être sur le pont (télés, radios…) la semaine prochaine pour l’annonce mensuelle des chiffres du chômage.

    Du coup, malgré le «délai court» promis par l’Elysée, au ministère du Travail on s’attend à ce que le remplacement ait lieu début septembre, après la rentrée des socialistes lors de leur traditionnelle université d’été à La Rochelle (du 28 au 30 août). Le scénario est risqué pour l’exécutif : comment laisser dix jours à son poste un ministre démissionnaire quand tout le monde sait depuis plus d’un mois qu’il va falloir le remplacer à la rentrée ? Qui plus est lorsqu’il s’agit du membre du gouvernement ayant pour mission de lutter contre la hausse du chômage, la «priorité» martelée par le chef de l’Etat. La droite et la gauche radicale s’en donneront à cœur joie contre Hollande… 

    Quelle ampleur ?

    La question revient à chaque changement au sein d’un gouvernement : vaste remaniement politique ou simple ajustement technique ? Jusqu’à présent, François Hollande avait en tête d’attendre les résultats des élections régionales des 6 et 13 décembre prochains pour effectuer le dernier chambardement de son quinquennat. L’objectif : rassembler la gauche –écologistes, amis de Martine Aubry, voire les plus à gauche du PS– au sein de son gouvernement afin d’attaquer la préparation de la présidentielle de 2017. Mais ça, c’était avant la démission de Rebsamen. 

    Forcément, ce remaniement non prévu laisse libre cours aux pronostics des dirigeants socialistes. Un proche de Manuel Valls a le «sentiment» que «ça va remanier plus large», simple «intuition». Selon l’entourage de Rebsamen, le couple exécutif n’a pas tranché. D’autant qu’Hollande pourrait aussi attendre la déclaration de candidature, a priori mi-septembre, de son ministre de la Défense, Jean-Yves le Drian, prêt à mener les socialistes en Bretagne pour effectuer de plus grands changements. A l’Elysée, on assure que la composition du gouvernement ne sera pas chamboulée à la rentrée, tout en soulignant que seul Hollande «sait ce qui peut se passer».

    Quel signal ?

    François Rebsamen a défini lui-même la fiche de poste de son successeur : «Cette fonction réclame d’être en contact permanent et en totale harmonie avec l’Elysée et Matignon», a-t-il déclaré la semaine dernière dans le Parisien. D’aucuns y ont vu le profil de l’actuel ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, fidèle d’entre les fidèles de François Hollande. En plus de mettre un très proche en première ligne dans la lutte contre le chômage –et donc récolter les lauriers d’une hypothétique baisse en 2016– sa nomination rue de Grenelle pourrait permettre de faire entrer à l’Agriculture l’ex-ministre de l’Ecologie, Philippe Martin, ou le patron des Radicaux de gauche, Jean-Michel Baylet. Problème : Le Foll est englué depuis des semaines dans la crise porcine. Son exfiltration ne serait pas glorieuse et il arriverait rue de Grenelle lesté d’un lourd handicap. «Il n’est pas question qu’il déserte, veut croire un socialiste qui l’a eu récemment au téléphone. Hollande ne peut pas se permettre d’offrir la tête de son ami aux agriculteurs et à la droite.» 

    Si ce n’est pas Le Foll, alors qui ? Hollande pourrait se saisir de cette nomination pour envoyer un signal à sa gauche. Dans ce cas, il a toujours l’option Jean-Marc Germain à portée de main. Proche de Martine Aubry, le député PS connaît bien la rue de Grenelle pour y avoir accompagné la future maire de Lille du temps de Jospin. «Ce serait le meilleur choix, défend le député de la Nièvre, Christian Paul. Mais cela voudrait dire prendre ce ministère au sérieux.» Le député des Hauts-de-Seine est aussi spécialiste des questions sociales –il a été rapporteur parlementaire de la loi sur «la sécurisation de l’emploi» en 2012– et rêve de porter son idée de «sécurité sociale professionnelle». Mais si sa nomination plairait aux plus à gauche de son parti, elle serait mal vue par les députés légitimistes car considérée comme une «prime à la fronde». 

    Autre solution évoquée : Alain Vidalies. L’actuel secrétaire d’Etat aux Transports, précédemment en charge des Relations avec le Parlement, présente l’avantage d’envoyer un signe «social» –il est avocat spécialisé en droit du travail et vient de l’aile gauche du PS– et de «fidélité» –depuis 2012, on ne l’a jamais pris en défaut de critique de la ligne portée par Hollande et Valls. Mais ses camarades n’y croient pas tellement. «Il ne s’est pas montré très brillant sur la question des transports et je ne vois pas pourquoi, après le lui avoir refusé deux fois, Hollande et Valls lui donneraient le Travail», balance un député. Chez Rebsamen, on trouve carrément l’idée «farfelue». Le nom du patron des députés PS, Bruno Le Roux, revient aussi. Mais l’élu de Seine-Saint-Denis se rêve davantage remplacer le Drian à la Défense. Et sa nomination viendrait rebattre les cartes à l’intérieur du groupe à l’Assemblée, pas vraiment malin à quelques semaines des débats budgétaires… Nommer un poids plume bourguignon –Laurent Grandguillaume, Christophe Sirugue… – ne semble pas non plus une option privilégiée par l’exécutif. Comme le dit un député, «Rebs' leur a vraiment fait un coup tordu».

    Lilian Alemagna

    source : Libération : lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFAllEFVuplrBXdgI.shtml

     

  • Par idéologie, l’Insee a menti sur ses chiffres de l’immigration en France !

    L’Insee publiait vendredi son enquête chiffrée de l’immigration en France. Les résultats sont sans appel : entre 2004 et 2012, 200.000 immigrés sont arrivés chaque année en moyenne, soit environ l’équivalent de la population de la ville de Rennes. Au total, entre 2004 et 2012, c’est donc 1,6 million d’immigrés qui sont arrivés en France soit deux fois l’équivalent de la population de la ville de Marseille, deuxième ville la plus peuplée de France !

    46 % du reste de l’immigration est intra‑européenne. L’Afrique représente 30 % des flux migratoires qui arrivent en France.

    Cependant, l’enquête de l’Insee ne prend pas en compte les estimations de l’immigration illégale, ni les personnes qui résident en France pendant moins de douze mois. Une enquête, donc, qui ne traduit pas toutes les réalités de l’immigration. En France aujourd’hui, on estime que les chiffres de l’immigration illégale sont quasiment identiques à ceux de l’immigration légale soit en tout 400 000 immigrés nouveaux par an, et 3,6 millions en 10 ans. Bien entendu sur ces 3,6 millions nombre d’entre eux ont donné naissance à des enfants, qui eux-mêmes ne sont pas comptés dans les chiffres de l’INSEE.

    Les Français passifs hier concernant l’immigration sont aujourd’hui abasourdis par les chiffres réels et se plaignent au quotidien de l’envahissement du pays. La hausse significative du taux de criminalité et de la délinquance accrue, des actes d’incivilités des immigrés et l’hygiène déplorable constaté partout en France, mais aussi les trafics en tout genre dont la drogue en est devenu le fléau, du vandalisme, des voitures brûlées, sans parler du racisme anti chrétiens, anti Juifs et anti blanc, les prières de rue, le nombre croissant de constructions de mosquées financés par l’Etat au mépris de la loi sur la laïcité et des échoppes de kebab et magasins halal qui poussent plus vite que des champignons !!!

    Quand on parle de « Grand Remplacement », ce n’est pas une lubie de notre part, ou une vision complotiste mais bien une réalité politique.

    source : lagauchematuer :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuFAZEVEkucFiSmzVb.shtml

  • Hollande attaqué par l'opposition sur ses comptes de campagne brouillons

    LE SCAN POLITIQUE - L'Express révèle que la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques a noté des imprécisions dans les comptes de campagne du candidat socialiste en 2012.
    A l'origine de l'invalidation des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy pour la campagne de 2012, les membres de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) se sont également penchés sur les dépenses de son adversaire d'alors, François Hollande. Et comme révélé par L'Express mardi, si aucune irrégularité majeure n'a été relevée, les enquêteurs ont été frappés par le manque de rigueur de l'équipe socialiste pour fournir les justificatifs et le détail des comptes de campagne.
    En cause, l'absence d'au moins 450 justificatifs de dépenses (contrats, devis, factures), concernant des frais de déplacements, de restauration, du matériel de campagne, de conseil en communication. La CNCCFP s'en est émue auprès du trésorier de campagne de François Hollande Jean-Jacques Augier pointant notamment, dans une lettre datée du 17 septembre 2012, «l'absence de communication de pièces justificatives indispensables, l'insuffisance des explications et précisions nécessaires à l'authentification des facturations, l'incertitude du caractère électoral de certaines d'entre elles, l'imputation de frais postérieurs au scrutin, outre d'apparentes incohérences d'écritures comptables». Un échange rendu public grâce à une récente décision du Conseil d'État.
    La CNCCFP a également noté une surévaluation des dépenses, à l'inverse de ce qui a été constaté pour les dépenses de l'UMP. Par exemple, 44.153 euros de dépenses pour frais de personnel déclarés en 2012 correspondaient à des salaires versés après le second tour, et ne devaient donc pas figurer dans les comptes. Des erreurs auraient pu conduire au dépassement le plafond ouvrant droit à un remboursement des frais de campagne.
    «La transparence, c'est maintenant?»
    Une aubaine pour Les Républicains (LR) qui ne manquent pas de cibler l'Élysée et en appellent à l'avis de la Haute Autorité de Transparence de la Vie Publique(HATVP). «Espérons qu'il ne s'agisse pas d'une nouvelle forme de ‘phobie administrative', maladie qui avait touché d'éminents ministres de François Hollande», ironise le député LR Guillaume Larrivé dans un communiqué. «Nous apprenons aujourd'hui, au détour d'une décision du Conseil d'Etat, que le financement de la campagne présidentielle de François Hollande soulève encore de lourdes interrogations, dont on attend toujours des réponses claires, argumentées et précises. De façon assez surprenante, des meetings de campagne de primaires ne semblent pas avoir été comptabilisés, tout comme l'inauguration du propre QG de campagne de François Hollande…», relève le député de l'Yonne.
    Il pointe l'inégalité de traitement dont a pâti selon lui Nicolas Sarkozy, dont les comptes de campagne ont été invalidés. «Il est surprenant que cela n'ait pas entraîné un recalcul des dépenses électorales par la CNCCFP. Des doutes sérieux pèsent désormais sur le respect du plafond de dépenses et du code électoral du candidat François Hollande. Il ne saurait y avoir deux poids deux mesures entre les comptes de campagne du candidat élu et les autres.C'est le principe même d'égalité entre candidats qui est en question (…) Le candidat Hollande doit faire toute la lumière sur ses comptes de campagne. La transparence, c'est maintenant?», s'interroge le jeune député, en référence au slogan de la campagne socialiste de 2012.
    Sur un ton beaucoup moins ironique le député Éric Ciotti s'est indigné sur Twitter. «Les révélations sur les irrégularités du compte de campagne de F. Hollande sont extrêmement graves. Pourquoi ces faits ont-ils été cachés?» s'interroge l'élu des Alpes-Maritimes.
    source

  • Que faire quand "ils" mentent ?

    C'est la question sous-jacente de cette farce « Le procès de Gérard Collomb ».

    Pour ceux qui ne connaissent pas Gérard Collomb, c’est le sénateur-maire de Lyon, un homme extrêmement puissant sur la métropole lyonnaise. Un homme tellement puissant qu’il peut se permettre de raconter n’importe quoi (exemple : « avec 3000 euros par mois, on s’en sort difficilement »(*)) sans que cela ne fasse aucune vague. Pourquoi ? Parce qu’il a un « gros pied » dans le business et que seul le business compte dans ce monde.

    Et dernièrement, ce monsieur nous en a sorti encore une bien bonne, (sujet de ce « procès ») dans la parfaite « tranquilitude » médiatique. 

    Mais la question reste posée : « que faire quand ils mentent ? » que faire lorsque les politiciens mentent ? Doivent-ils être jugés par un tribunal ? (qui paiera la facture de la « justice » ?) Par les urnes ? (Les élections dépendent uniquement des médias, or les médias peuvent-ils se permettre de critiquer le « business » ?) Une « révolte armée » ? Les mercenaires sont toujours mieux armés et de toutes manières, à la fin, c’est le fric qui gagne. 

    Alors que reste-t-il comme solution ?

    L’humour.

    Même si le rire jaune ou l’humour noir, n’est pas celui qui marche le plus, ne flattant pas assez le (chaud) business et ses clients.

    Au fait, certains parlent du maire de Lyon pour remplacer François Rebsamen comme ministre du travail... Ce serait drôle non ? Gérard Collomb serait face à un problème cornélien : choisir entre un immense pouvoir sur Lyon (multiples présidences), ou entrer dans la réelle Histoire de France en étant ministre... Dur choix...

    (*) http://www.midilibre.fr/2013/02/06/pour-le-maire-de-lyon-avec-3000-eur-c-est-une-situation-extremement-difficile,639734.php

    Source : http://www.lyonvideos.fr/spip.php?article461

    http://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/que-faire-quand-ils-mentent-50647

  • Mensonge de François Hollande (Vidéo) à propos du gouffre financier de la non-livraison des Mistrals à la Russie

    Dans un article paru lundi dernier 10 août, nous annoncions que le total de la facture des Mistrals allait s’alourdir encore durant des années en raison de la résonance désastreuse de cette rupture de contrat au moment de sa livraison, et qu’autour de cette affaire l’Elysée ne cesse de mentir pour faire avaler la pilule très très salée aux Français. Hollande annonçait avec hauteur, il y a quelques jours, comme le montre la vidéo ci-dessous, que la facture s’élèverait à moins de 1,2 milliards, précisant que la Russie n’exigerait, ni aggios, ni dédommagement de ses sommes immobilisée et de son temps et ses efforts mobilisés, allant même jusqu’à préciser que « la France n’aura aucun frais supplémentaire lié à la rupture de ce contrat. » 

    François Hollande : , «Aucune difficulté à trouver preneur pour ces bateaux», « la France n’aura aucun frais supplémentaire lié à la rupture de ce contrat. »

    «La France n’aura à verser aucune pénalité, la France n’aura aucun frais supplémentaire lié à la rupture de ce contrat», a souligné le 6 août le chef de l’Etat.

    Or «la facture de la vente annulée devrait dépasser 2 milliards d’euros», assurait hier, le Canard Enchainé , qui fait:

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