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magouille et compagnie - Page 2029

  • Gaza la guerre pour le gaz ?

    La plupart d’entre nous l’ignore, c’était aussi mon cas jusqu’à aujourd’hui, la Palestine, et plus précisément Gaza, sont ont d’immenses réserves de gaz et peut être même de pétrole. Mais l’élection de Sharon en 2001 a été un revers pour l’autorité palestinienne. Sharon avait annoncé qu’islaël n’acheterait jamais du gaz venant de Palestine, préférant se servir lui même. L’une des excuses des Israéliens pour ne pas laisser les Palestiniens profiter de leur manne pétrolière est que le Hamas pourrait lui aussi en profiter.

    J’ai trouvé plusieurs articles en Anglais sur sujet. Les détails datent ne sont plus si importants. Le fait est que le premier ministre israélien, dont les services ont cyniquement tu le fait qu’ils savaient que les 3 jeunes Israéliens étaient morts afin de justifier des actions contre l’autorité palestinienne et Gaza, a tout intérêt à continuer son acharnement contre la population de Gaza. D’un côté ça lui permet de maintenir sa coalition avec le parti de Lieberman dont les membres veullent une solution finale au «problème» palestinien, et d’un autre côté mettre la main sur la manne pétrolière de la côte de Gaza.

    Dans le même registre, d’après un article du «Business Insider» du 22/02/2013, Israël octroie une licence exclusive pour l’extraction de pétrole et de gaz dans le Golan, province syrienne sous occupation sioniste, à une compagnie proche dans la quelle Dick Cheney serait impliqué.

    Références:
    War and Natural Gas: The Israeli Invasion and Gaza’s Offshore Gas Fields


    IDF’s Gaza Assault is to Control Palestinian Gas, Avert Israeli Energy Crisis

    Israel Grants First Golan Heights Oil Drilling License To Dick Cheney-Linked Company

    gazagasmap_gaza_Gas-fields_palestine_Map-2_CRG

     

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/gaza-la-guerre-pour-le-gaz_112023.html#more-112023

  • En matière de justice, après Taubira, le Déluge !

    Il est dommage que le président de la République fasse tellement confiance à Christiane Taubira, ou qu’il ait tellement peur d’elle, que la justice et ses réformes lui demeurent totalement étrangères.

    Certes ce pourrait être une forme de sagesse de ne pas intervenir dans un domaine qu’on maîtrise mal mais à condition qu’on ne laisse pas la bride sur l’esprit à un ministre dont le seul carburant est l’entêtement idéologique.

    Mais, après tout, pourquoi s’arrêterait-elle sur le chemin du désastre puisque personne ne s’oppose à elle et que les velléités d’opposition de Manuel Valls ont fondu comme neige au soleil ?

    Après une loi calamiteuse sur les majeurs, une future réforme sur la justice des mineurs qui, réformant l’ordonnance de 1945, va amplifier la mansuétude éducative et élargir aux majeurs de 18 à 21 ans les règles et les principes aujourd’hui fortement contestés de la spécificité pénale appliquée aux jeunes transgresseurs de 13 à 18 ans. [...]

    Les tribunaux correctionnels pour les mineurs de 16 à 18 ans, excellente initiative de la présidence Sarkozy, ont été supprimés et il apparaît qu’il n’est plus rare de voir des garçons ou des filles de moins de 13 ans commettre des infractions. […]

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  • Théorie du genre : le lobby LGBT pourrit les enfants. L’affaire Tomboy, forfaiture d’État, par Guillaume Faye

    Le gouvernement l’avait juré, notamment par les déclarations de Mme Belkacem : la théorie du genre n’est pas enseignée aux enfants de l’école primaire. Mensonge (comme toujours). Elle est assénée sous forme de lavage de cerveau.

    Le film de propagande homophile (et pédophile de basse intensité)Tomboy est projeté dans les écoles par le lobby LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels et Transsexuels) protégé par l’État PS et subventionné par le contribuable. Ce film d’animation est programmé depuis la rentrée 2012 dans le programme ”École et cinéma”, par les ministères de l’Éducation nationale et de la Culture. 50.000 élèves de CE2, CM1 et CM2 l’ont déjà vu, de manière obligatoire. Et ça va continuer.

    Œuvre de la réalisatrice Céline Sciamma qui ajoute à ses propres lubies sexuelles un militantisme politique bien peu démocratique, ce film propose aux enfants le scénario suivant : Laure, 10 ans, se fait passer pour un petit garçon, Michaël. Ce qui lui permet d’entamer avec une enfant de son âge, Lisa, un rapport amoureux, qui se concrétise par des baisers sur la bouche au bord d’un lac – pseudo romantisme lesbien entre enfants. La petite Laure se déguise ensuite en garçon. Elle se coupe les cheveux et se fabrique avec de la pâte à modeler un sexe de petit garçon pour le glisser dans son slip. Afin de faire croire qu’elle est un garçon. L’idée est que la société répressive refusant les flirts amoureux entre petites filles, mieux vaut se faire passer pour un garçon. Le film, voyeuriste, montre aussi une scène de Laure qui émerge, nue, d’une baignoire, pour bien montrer qu’elle a un corps de petite fille.

    Qu’un scénario aussi tordu et maladif concernant des enfants soit né dans l’esprit de cette femme – et en plus destiné à des  mineurs impubères – ne renseigne pas seulement sur la pathologie sexuelle de la réalisatrice et de son lobby LGBT mais aussi sur le degré d’irresponsabilité de l’Éducation nationale. Le film a été réalisé avec l’aide de la région Ile-de-France – sous coupe réglée du parti socialiste ; il a remporté le prix du jury aux Teddy Awards, qui couronne les œuvres traitant de sujets LGBT. La collusion entre les autorités (l’oligarchie ”républicaine”) et les groupes de pression homosexuels n’est plus à démontrer.

     

    Ce film a pour objet de perturber les esprits des enfants en créant ce que le DSM IV, manuel des pathologies mentales, appelle les « troubles de l’identité », particulièrement graves avant la puberté.   On notera la contradiction dans l’argumentaire de cette théorie du genre : on veut prouver que la sexuation n’existe pas et qu’elle n’est que culturelle, mais en même temps on démontre qu’elle est bel et bien naturelle. Le but de ce film vise à manipuler l’esprit des enfants pour les convertir à l’homosexualité. Cette dernière est devenue une sorte de religion. Le stéréotype ”homo”, comme celui du ’bi” (mythe androgyne), ou encore du ”métis” sont incontournables dans l’idéologie dominante. Tomboy est un pion dans l’arsenal de la propagande homosexuelle inspiré de la délirante théorie du genre qui fait maintenant partie intégrante de l’idéologie officielle. Une sorte de mélange d’obsession homosexuelle et de féminisme déviant, sans oublier des perversités pédophiles à peine dissimulées. Et l’État français se fait complice.

    Sous prétexte  de promouvoir l’égalité hommes-femmes, garçons-filles, contre les ”stéréotypes” (on nomme ”stéréotypes” la loi naturelle), on propose d’autres stéréotypes délirants, ceux de l’idéologie dominante. Par exemple que la sexuation n’existe pas, que l’”orientation sexuelle” prévaut sur le déterminisme biologique. Ce behavorisme, parfaitement antiscientifique, descend en droite ligne des théories soviétiques de Lyssenko ou des conceptions astronomiques et médicales médiévales (le Soleil tourne autour de la Terre immobile, le sang ne circule pas, etc.). On est en face d’une scholastique, une spécialité récurrente partagée par l’Inquisition, l’ensemble de la pensée de gauche marxisée et l’islamisme. Mot d’ordre : combattre le réel au nom de la rêverie idéologique et du dogme utopique. La bêtise triomphe toujours. Pendant un certain temps.

    Ce ”féminisme” militant est en réalité antiféminin. Il n’a plus rien à voir avec la défense de l’égalité hommes-femmes. Il s’agit de dépouiller la femme de ses attributs féminins et de la masculiniser, de la mutiler. En particulier, la maternité féminine est dévalorisée – surtout concernant les mères européennes de souche. Dans le film en question, la petite fille, Laure, tente de se transformer en garçon. Message subliminal des féministes : nous avons honte d’être des femmes, devenons des mâles.  Quant à ces derniers, il faut les féminiser.

    Quand on pense que la région socialiste Ile-de-France a subventionné ce film mais a, en même temps, supprimé illégalement sa contribution financière au lycée catholique Gerson parce que ce dernier aurait accueilli une conférence où des propos anti-avortement auraient été tenus, on se dit qu’on marche les pieds sur la tête. Ou plutôt qu’on est en face d’une idéologie nihiliste, qui vise à décerveler et à déconstruire les valeurs et repères innés et ce, dès l’enfance.

    D’ailleurs, la réalisatrice de ce film n’a pas caché sa motivation idéologique de propagande. Pour comprendre le caractère à la fois sectaire et militant de Cécile Sciamma, écoutons ses propos : « je voulais pouvoir faire un film qui milite à un endroit où ça allait fonctionner. Il faut toucher un maximum de gens avec des messages subversifs et politiques ». Comme toujours avec les lobbies homos et féministes, on qualifie de ”politique” ce qui ne relève que de pathologies sexuelles personnelles. La réalisatrice a aussi avoué que son film, par le procédé du « double jeu » entre petite fille et petit garçon, invite les enfants à« l’identification et à l’empathie », et ce, « dans des formes classiques de duplicité, de mensonge, de secret, qui sont de vrais moteurs narratifs ». Bref, la manipulation de l’esprit des enfants. En psychologie, la classification permettrait de ranger cette personne comme toutes celles qui la suivent sous la catégorie de ”pervers narcissique”.

    Une enseignante (Le Monde, 24.12.2013) a déclaré : « Grâce à ce débat sur Tomboy, j’ai ressenti que l’école est là pour enlever les carcans moraux ». Paroles inquiétantes à la fois totalitaires et débilitantes. Remplacer dans l’esprit d’enfants sans défense la morale naturelle et l’éducation parentale par les lubies de malades sexuels, bien en cour et très intéressés, sous la houlette  de l’école publique obligatoire, cela relève d’une sorte de crime d’État, de forfaiture. ”Enlever les carcans moraux ” chez les enfants, c’est la définition même de la perversité pédophile. En effet, ce qui est inquiétant chez Mme Sciamma, c’est qu’elle mélange des  obsessions sexuelles pédophiles, évidentes dans son film, avec des justifications morales et politiques. Il serait peut être excessif de parler d’incitation à la dépravation auprès de mineurs, mais cette hypothèse mérite d’être soulevée.

    L’Éducation nationale, non seulement n’enseigne plus correctement les savoirs fondamentaux – handicapant par là les élèves des classes modestes – mais elle s’emploie à matraquer le cerveau des enfants avec ses lubies idéologiques. Le lavage de cerveau néo-totalitaire remplace peu à peu l’instruction publique. Au moins, en Union soviétique, on apprenait avec discipline les fondamentaux à l’école primaire et l’on attendait la fin du secondaire et l’Université pour enseigner les délires idéologiques du Diamat (le dogme du ” matérialisme dialectique” lénino-marxiste) ; mais au moins, on ne violait pas l’âme des enfants en leur passant des films de malades  homosexuels.

    Comme je l’ai déjà démontré par ailleurs (1), le discours du lobby LGBT, l’idéologie homophile et les adeptes de la théorie du genre sont, comme le démontre le film de cette Mme Sciamma et d’autres, un exemple d’obsession sexuelle à tendance pédophile, à peine refoulée. Il y a un plaisir pervers à faire du voyeurisme enfantin, à sexualiser des enfants, à leur parler de sexe, si possible homo. Une sorte de monstration porno de basse intensité. De plus, les lobbies homosexuels ont derrière la tête l’idée de faire du recrutement chez les mineurs prépubères en les détournant de l’hétérosexualité ; en utilisant, de manière perverse, la malléabilité de l’esprit des pré-adolescent(e)s, sujets au mimétisme.

    La complicité de l’Éducation nationale et du ministère de la Culture est le problème le plus grave. L’État français, soumis aux lobbies LGBT et au dogme de la théorie du genre, s’adonne à une déformation abjecte et subreptice de l’esprit des enfants. Par rapport à sa mission, il est coupable de forfaiture. Comme dans beaucoup d’autres domaines, on assiste à l’éclosion d’un soft-totalitarisme, qui consiste globalement à imposer à la majorité silencieuse (pour combien de temps ?) du peuple des décisions qu’il rejette absolument. Au nom de dogmes idéologiques et pour obéir aux pressions des lobbies minoritaires ou de communautés ethniques. Le processus en matière de théorie du genre est très voisin de celui observable en matière de lois ”sociétales” ou d’immigration.

    Soustraire les enfants à l’influence culturelle et morale de leur famille – la grande ennemie, surtout si elle est traditionnelle et française de souche – sous prétexte de ”libération”, voilà le cœur de cette entreprise orwellienne dont l’Éducation nationale est l’instrument.

    La diffusion du film Tomboy auprès d’enfants mériterait une plainte en justice. Contre la réalisatrice et contre les autorités gouvernementales qui l’ont autorisée. Le Code pénal punit la corruption de la jeunesse et l’incitation de mineurs à la débauche. L’association catholique Avenir de la Culture a protesté récemment contre la diffusion de Tomboy dans les écoles primaires, en lançant une pétition et en organisant l’envoi de ”cartons rouges” aux ministres de l’Éducation et de la Culture. Malheureusement, cette bonne initiative aura peu de chance d’aboutir. Une action judiciaire massive, avec plaintes collectives serait médiatiquement plus efficace.

     1) Voir à ce propos d’autres articles de ce blog sur ce sujet. Cf aussi mon essai Sexe et dévoiement, Éd. du Lore. Bien entendu, il est hors de question d’incriminer l’homosexualité comme pratique privée mais de combattre l’idée qu’elle est biologiquement naturelle et qu’elle doit juridiquement s’aligner sur l’hétérosexualité, comme on l’a vu avec le ”mariage pour tous”.

    Guillaume Faye

    Sourcele blog de Guillaume Faye.

    http://fr.novopress.info/172020/theorie-du-genre-lobby-lgbt-pourrit-les-enfants-laffaire-tomboy-forfaiture-detat-guillaume-faye/#more-172020

  • Partout dans le monde, les homosexualistes rencontrent des résistances

    D'après C-Fam, à l'échelle internationale, le bilan du puissant lobby homosexualiste est mitigé :

    "Les pays les plus puissants du monde et les institutions internationales qui font la promotion des « droits » homosexuels font face à des résistances là où les militants homosexuels pensaient avoir gagné la bataille. Ces pays, qui cherchent à normaliser les relations homosexuelles par le biais du droit, font face à une forte opposition dans les parlements, dans les tribunaux, et parmi les populations.

    Alors que les militants ont réussi à obtenir que les pays occidentaux acceptent l’homosexualité en général, ils n’ont pas réussi à mobiliser leur soutien en faveur de droits spécifiques sociaux et économiques en faveur des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transsexuelles (LGBT). Seulement dans certains endroits, les militants LGBT semblent avoir atteint ce qu’ils nomment « l’égalité ». Mais même là, leur succès est limité."

    • Etats-Unis

    "Aux Etats-Unis, pays où les droits LGBT sont les plus développés,plus de la moitié des Etats définissent le mariage comme une union entre un homme et une femme, et de nombreux Etats n’ouvrent pas l’adoption aux couples homosexuels."

    "Le président de l’Organisation des Etats Américains a récemment affirmé que le mariage homosexuel ne serait pas imposé par son organisation. La Cour Suprême des Etats-Unis elle-même n’a pas imposé le mariage homosexuel."

    • Europe

    "Même en Europe, où la puissante Commission a investi beaucoup d’énergie dans les droits LGBT, et réussi à obtenir le soutien de la plupart des Etats membres en faveur des unions civiles entre personnes de même sexe, plusieurs Etats n’ont pas seulement rejeté le « mariage » homosexuel, mais voté des amendements constitutionnels qui excluent le « mariage » homosexuel. La Croatie, la Hongrie et la Slovaquie sont les exemples les plus récents.

    La Finlande est le dernier Etat en date a avoir rejeté le « mariage » homosexuel. Le mois dernier, un comité du parlement finlandais a empêché le parlement de voter sur la question pour la deuxième fois depuis 2012 par un vote de 10 contre 6. La Finlande est le seul pays nordique à n’avoir pas encore légalisé le mariage homosexuel.

    Le mariage gay est un sujet tellement sensible que la Commission européenne et la Cour européenne des droits de l’homme ont adopté une approche prudente, plus favorable aux unions civiles. 

    L’adoption par les couples de même sexe est un sujet encore plus difficile, en particulier en Europe. Peu de pays européens la permettent. Le débat public sur la question s’arrête souvent aux droits des enfants, un argument très efficace pour les opposants au mariage homosexuel."

    • Afrique

    "Dans les pays du sud, les militants LGBT et les Etats qui les soutiennent ont devant eux une longue bataille s’ils espèrent convaincre toutes les populations du monde que ce qu’ils considèrent comme un comportement sexuel déviant devrait être accepté par la société.

    Cette année, l’Ouganda et le Nigéria ont voté des peines plus sévères contre le comportement homosexuel et pénalisé le militantisme favorables mariage et aux droits homosexuels. De nombreux pays africains projettent de voter des lois similaires, et les politiciens qui font campagne pour ces projets n’ont pas de mal à mobiliser le soutien populaire.

    Le Groupe Africain Group, une coalition d’Etats, a sélectionné l’Ouganda comme président de l’Assemblée générale suite aux menaces de représailles des Etats-Unis et de l’Union européenne exprimées en réaction aux nouvelles législations. Ce choix a est un signal fort des africains, qui montrent qu’ils ne reculeront pas.

    Les hauts fonctionnaires de l’Onu qui font la promotion des droits LGBT aux Nations Unies ne pourront probablement pas continuer leur militantisme aussi ouvertement après l’élection d’un nouveau haut-commissaire des droits de l’homme jordanien. Les procédures législatives ne sont pas les seuls obstacles sur leur chemin. Certaines cultures sont bien loin d’imaginer la notion même de mariage homosexuel et d’adoption, et n’ont pas même les mots pour les décrire."

    • Chine

    "Un auteur du blog pro famille Englishmanif a récemment déclaréque le chinois n’avait pas de mot pour le terme « couple » ou « parent ». En chinois, explique-t-il, le mot couple signifie littéralement « marifemme », et le mot parent « pèremère »."

    Louise Tudy

  • Christiane Taubira ou la folie douce

    Les hasards de la politique ont fait que Madame Taubira, garde des Sceaux, est en charge depuis plus de deux ans de l’administration de la justice. Elle y a déjà fait des ravages, elle s’apprête à les aggraver.   

    Persuadée comme Jean-Jacques Rousseau que l’homme est naturellement bon et que c’est la vie en société qui le pervertit, Christiane Taubira est de ceux qui, estimant que les délinquants ne sont pas entièrement coupables de leurs fautes, en déduisent qu’il faut rompre avec les politiques traditionnelles de répression, qui seraient à la fois injustes et inefficaces.

    Une telle conception amène ceux qui la professent à prendre une position avantageuse dans les organisations humanitaires, les débats philosophiques et au zinc des cafés littéraires. Et pourquoi en effet ne pas se présenter sous son meilleur profil, celui de la générosité, lorsque cela ne tire pas à conséquence ? Il se trouve malheureusement, depuis que le monde est monde, que l’angélisme ne résiste pas à l’épreuve des faits, et que le bon sens, la pratique et la morale imposent au contraire comme une évidence l’idée que la faute appelle la sanction et le crime le châtiment.

    Les hasards de la politique ont fait que Madame Taubira, garde des Sceaux, est en charge depuis plus de deux ans de l’administration de la justice. Elle y a déjà fait des ravages, elle s’apprête à les aggraver.

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  • Thomas Fabius ou les passe-droits d'une caste

    Le silence de la plupart des médias sur l'interpellation de Thomas Fabius est assourdissant, mais une photo a pu être prise, qui le montre en train de téléphoner, à son avocat probablement ...

    Interpellation thomas fabius

    "Pas de forçage de barrage policier, pas d'interpellation, pas de refus d'obtempérer, pas de délit de fuite, pas de garde à vue, pas d'amende." C'est ce qu'a confié Me Cyril Bonan, l'avocat de Thomas Fabius [...]  L'avocat du cabinet de Jean-Michel Darrois, ami de quarante ans du papa de Thomas, laisse entendre dans Le Figaro, que son client s'est rendu de son propre chef au commissariat du 7e arrondissement !"

    Mais ce n'est pas tout-à-fait ce que dit le rapport de police :

    "Suite à un périmètre de protection pour une alerte incendie rue Saint-Dominique, une Audi cabriolet force le barrage et grille un feu. La Bac 07 chasse et interpelle le conducteur. Emmené au poste, il est entendu sans faire de GAV (garde à vue, ndlr)", stipule le rapport [...] "

    Et sur la photo, on voit nettement

    " [...]Thomas Fabius cerné par cinq policiers, la plupart issus de la brigade anti-criminalité du 7e. Son Audi cabriolet est garé sur le bas-côté. Forçant un barrage et brûlant un feu, Fabius le jeune a bien été pris en chasse par un équipage de la Bac [...] L'officier porte un brassard orange, on voit par ailleurs l'arme de service d'un policier dépasser de son ceinturon. [...] 

    "[...] Thomas Fabius, une fois arrêté, a pu téléphoner à son avocat. Rappelons que c'est seulement en garde à vue qu'un justiciable lambda a le droit de s'entretenir avec un avocat.[...]

    Ce que c'est que les privilèges de caste, quand même !

    Marie Bethanie

     
  • Service d'oncologie pédiatrique de l'hôpital de Garches : Le scandale continue

    Suite à l'expulsion des familles soutenant le Professeur Delépine dans sa lutte pour le maintien de son unité au sein de l'hôpital de Garches, Marisol Touraine, ministre de la santé, a déclaré ce matin, sur le plateau de BFMTV, que le service d'oncologie pédiatrique serait bien fermé. Elle s'est défendue :

    "Les enfants continueront à recevoir les mêmes soins et ce, à moins de 5 kilomètres de là où ils sont aujourd'hui soignés ».

    Même si le mensonge est une méthode courante chez nos ministres, Marisol Touraine pêche en plus, cette fois-ci, par omission, car elle ne précise pas que cette issue ne répond absolument pas aux besoins des enfants concernés, et pourrait même les mettre en danger, car il faut savoir qu’à Ambroise Paré (l'hopital où les enfants actuellement suivis par le Professeur Delépine doivent être transférés) il n’y a pas d’oncologie. Donc les enfants seront en pédiatrie ordinaire avec les autres enfants et leurs germes. Quand on  sait la fragilité d’un enfant cancéreux...

    Il n’y a également pas de service de réanimation à Ambroise Paré. Or il est nécessaire de pouvoir être extrêmement réactif avec ces enfants malades.
     
    De plus, Ambroise Paré est un hôpital de proximité donc adossé à l'Hôpital Curie. Lors des réunions du corps médical,  l’oncologue des petits enfants malades devra faire face à 5 ou 6 spécialistes des “thérapies  innovantes”.
     
    Il est donc flagrant que les conditions du transfert ne sont pas du tout satisfaisantes, et Marisol Touraine ne peut l'ignorer.
     
    Durant l'entretien, Marisol Touraine a également affirmé que les enfants ne "peuvent être inclus dans des  essais thérapeutiques si vous (parents) ne le voulez pas et si vous ne le demandez pas”.  Or, concrètement, les parents concernés subissent une réelle pression de la part des oncologues  (Les retombées financières pour l'hôpital ne sont pas évoquées par le ministre). Certains ont même été menacés de se voir retirer la garde parentale.
     
    Le ministre affirme également que "les associations de parents demandent  davantage d’essais thérapeutiques”. Comme pour le débat Euthanasie/soins palliatifs, il faudrait sans doute informer les parents qu'une méthode existe et qu'elle a fait ses preuves pour qu'ils aient réellement le choix.
     
    Enfin, Marisol Touraine trahit sans doute le fond de sa pensée lorsqu'elle déclare que "c’est  nécessaire pour faire avancer la science". Ainsi, le ministre explique que ce qui est important n’est plus de soigner mais de faire avancer la science. (Cette volonté de "faire avancer la science" se retrouve dans le plan cancer : doublement du nombre d'enfants à faire entrer dans les essais !).
     
    Le scandale continuant avec la bénédiction du gouvernement, les lobbys pharmaceutiques doivent se frotter les mains... pendant que des familles restent dans l'inquiétude pour la santé de leurs enfants.
     

    Carole d'Hombelois

  • Mères porteuses : le cri primal de Sylviane Agacinski

    Le hurlement primal de Marie-Antoinette d’Autriche, reine de France, injustement accusée de pédophilie sur son propre enfant par le tribunal révolutionnaire, résonne encore dans ce qui nous reste d’âme : « J’en appelle à toutes les mères ! » Ainsi se défendit cette femme immense, et mère de famille exemplaire. A notre tour, devant la cruauté inouïe de la pratique des mères porteuses, nous en appelons à toutes les mères.

    Quelle mère fut Christiane Taubira pour encourager de telles atteintes à la dignité de la femme ? Quelle mère fut Najat Vallaud-Belkacem pour imposer au monde le silence criminel du ministère des droits des femmes ? Qui sont les monstres qui nous gouvernent pour se glisser avec autant de complaisance et de lâcheté dans la négation du lien charnel et affectif qui unit la mère et son enfant ?

    Dans une tribune remarquée du quotidien Ouest France (édition du lundi 07/07/2014), l’épouse de Lionel Jospin, Sylviane Agacinski, dénonce avec des mots très forts l’action subversive des mafias du lobby LGBT, et va très loin puisqu’elle en appelle jusqu’au Président de la République. Elle titre : « La propagande en faveur de la légalisation de la pratique des mères porteuses a récemment changé de stratégie : faute d’être recevable sur le fond, elle prend des chemins détournés ».

    La philosophe n’hésite donc pas à dénoncer « la propagande », car ces mafieux usent d’intelligence à falsifier le sens des mots, à engraisser des cours de journalistes vilipendés, et à vouloir faire accepter l’inacceptable : l’esclavage des mères porteuses et le commerce de leurs enfants. Après deux années de gouvernance socialiste, on peut se demander jusqu’à quel point nos ministres et nos députés tous partis confondus, ne sont pas complices de ces manipulations honteuses ?

    Ainsi, Sylviane Agacinski dénonce les mots « softs » imposés par les médias, à commencer par « gestation pour autrui », qui cache la réalité d’un commerce puant : en effet, ce commerce renvoie aux pires époques de l’esclavagisme. Jusqu’au 19ème siècle, sur les bateaux esclavagistes du commerce transatlantique, les équipages s’adonnaient aux « pariades », séances de viols collectifs à l’envi qui avaient pour but d’augmenter la valeur marchande des femmes, vendues enceintes avec leur progéniture, tout en satisfaisant les désirs fantasmés des équipages.

    La GPA est encore pire que la pariade, si tant est qu’il y ait un ordre dans la barbarie, car elle programme la séparation de corps de l’enfant d’avec sa mère avec un cynisme digne du marquis de Sade. Dès la signature du contrat, la femme et l’enfant sont traités comme « des choses », insiste Sylviane Agacinski. La mère est réduite à la chose louée pour produire un enfant. L’enfant est réduit à la chose dont on fait un commerce. Ces pratiques immondes devraient inspirer à François Hollande et à ses ministres les mots les plus durs et les initiatives les plus urgentes, tant au niveau national qu’international.

    La suite dans 24heuresActu

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Meres-porteuses-le-cri-primal-de

  • La GPA, stade suprême du libéralisme

    Marxistes old school et cathos unis contre la marchandisation des ventres
    Mathieu Nocent est militant à l’Inter-LGBT. Ancien porte-parole de l’Association des parents et futurs parents gays et lesbiens (APGL), il fut reçu avec Nicolas Gougain par François Hollande, le 21 novembre 2012, lors du rétropédalage présidentiel sur la liberté de conscience accordée aux maires refusant le mariage gay. Il fut élu porte-parole de l’Inter-LGBT en septembre 2013, avant de démissionner en octobre, à cause de dissensions internes.
    Notre homme juge avec une lucidité bienvenue la stratégie gouvernementale qui a mené au mariage gay l’an dernier : François Hollande, écrivait-il en février, ne s’est jamais intéressé aux revendications LGBT que pour faire diversion, piéger la droite, et donner à sa politique une façade progressiste. Mais son courroux n’est pas guidé par une défiance par rapport à l’instrumentalisation des « questions de société ». Non, Mathieu Nocent reproche en réalité au gouvernement de ne pas être allé assez loin, d’avoir reculé sur l’extension de la PMA pour les couples de femmes, et d’être timoré sur la GPA.
    L’ancien porte-parole d’un mois de l’Inter-LGBT poursuit donc son combat sur le blog Sautez dans les flaques. La récente condamnation de la France par la CEDH sur la GPA lui permet de publier un entretien avec la directrice d’une agence de mères porteuses basée au Texas, Gayle East, décrite comme « chrétienne pratiquante », qui demande : « comment peut-on être pro-vie et contre la GPA » ?
    Mathieu Nocent cherche à combattre les critiques sur leur propre terrain. Il s’imagine que les Français estampillés Manif Pour Tous, fatalement chrétiens, sont empêtrés dans une contradiction, qui les pousse à défendre la vie humaine, mais à rejeter les mères porteuses. Son sophisme tente d’expliquer qu’ils devraient au contraire être favorables à la GPA. Il cite Gayle East : « mener une gestation pour autrui est fondé aussi sur une conviction religieuse. La Bible nous enseigne à aider les autres. (…) Alors, si une femme ne peut pas porter d’enfant et que je peux le faire pour elle, c’est pour moi mon devoir de chrétienne de le faire. » Cette sympathique femme d’affaires, qui parle dans son entretien de la perte de l’enfant né de GPA comme d’une simple affaire « hormonale », affirme même avoir l’approbation du pasteur de sa paroisse, puisque « Marie était une mère porteuse ».
    Mathieu Nocent s’imaginait sans doute lancer un pavé dans la mare, mais il ne fera guère de remous de ce côté-ci de l’Atlantique. Outre le fait que les informations qu’il livre confirment les craintes de marchandisation (ainsi, une GPA texane coûte entre 80 et 100 000 dollars, dont 20 000 reviennent à la mère porteuse), les arguments qu’il partage sont inopérants. Le mouvement LGBT, bercé par la légende américaine des émeutes de Stonewall et de Harvey Milk, ignore largement les fossés culturels entre nations. Aux Etats-Unis, la GPA est légale partout, au nom du libéralisme économique. Il s’agit d’un commerce comme un autre. Les conservateurs eux-mêmes y ont recours : le fils aîné du dernier candidat républicain à la présidentielle de 2012, Tagg Romney, a payé les services d’une mère porteuse pour acquérir des jumeaux.
    De plus, l’argumentation religieuse en faveur de la GPA n’est guère surprenante, connaissant le contexte local. Tocqueville avait noté qu’en Amérique, peu importe ce que l’on croit, pourvu que l’on croit en quelque chose. « Parmi les Anglo-Américains, les uns professent les dogmes chrétiens parce qu’ils y croient, les autres parce qu’ils redoutent de n’avoir pas l’air d’y croire. » Paraître croyant est un enjeu de crédibilité sociale, et toutes les sauces sont possibles dans le supermarché religieux américain.
    La directrice de Surrogate solutions interrogée par Mathieu Nocent ne craint donc pas de justifier son commerce au nom de la Bible. Elle et son pasteur appartiennent certainement à une de ses Eglises protestantes libérales, presbytérienne ou anglicane, qui ont embrassé le relativisme théologique, et dont le déclin numérique coïncide étrangement avec leurs décisions de bénir l’avortement, le mariage gay et les mères porteuses.
    Un tel décor est impossible à transplanter au milieu des racines marxo-catholiques françaises, qui s’opposent naturellement à la GPA. La contradiction ne se trouve pas parmi nos opposants au mariage gay, qui avaient prévenu l’an dernier des conséquences fâcheuses de la loi Taubira en la matière, mais plutôt chez leurs collègues américains. En effet, les conservateurs outre-Atlantique mobilisent encore contre le mariage gay, mais aucun ne s’attaque à la pratique des mères porteuses. Or, si la filiation et l’intérêt de l’enfant sont évacués de la problématique du mariage, celui-ci n’est plus qu’un vain mot à défendre.
    Quelques rares consciences commencent à s’éveiller. Un ponte du Family Research Council, principal lobby anti-mariage gay à Washington, proche de la « droite religieuse », a fait publier une note interne le mois dernier, en suggérant au Parti républicain de s’opposer à la GPA. Celle-ci, expliquait-il, n’est rien d’autre que le retour moderne de l’esclavage, touchant des femmes pauvres, noires ou portoricaines. « Le Parti républicain a été fondé contre la propagation de l’esclavage », rappelait-il. Cette note suscita un vif émoi, et plus d’un élu républicain fut sidéré de lire qu’un député français « communiste » de Martinique, Bruno Nestor-Azérot, s’était opposé au mariage gay l’an dernier, par rejet du libéralisme. N’en déplaise à Mathieu Nocent, les clivages ne se fissurent pas là où il le souhaiterait.

    source causeur :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EupuZyFVZVQZwxhryu.shtml

  • Le traité transatlantique avance masqué... jusqu'à sa signature

    Susan George, militante altermondialiste et présidente d'honneur d'ATTAC, est interrogé dasn Télérama :

    "Le débat sur le TTIP-Tafta a émergé pendant la campagne des élections européennes. C'est un début de fonctionnement démocratique, non ?

    Qu'on débatte ou non, ces négociations restent antidémocratiques, parce que personne ne dispose des textes, pas même les députés européens. Nous ne pouvons délibérer qu'à partir d'hypothèses. Or, seuls les députés de la Commission du commerce international sont informés de temps à autre par le commissaire européen au commerce, Karel De Gucht, qui leur dit ce qu'il veut bien leur dire. A l'issue de chaque cycle de négociations, nous ne savons pas ce qui a été discuté, ces gens ne sont comptables de rien, c'est secret, et une fois le traité signé, il sera irréversible."

    Michel Janva