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magouille et compagnie - Page 2031

  • Mieux vaut vandaliser une église que déranger un match de tennis…

    1500 euros d’amende. En langage courant c’est l’équivalent d’une incitation à recommencer. 1500 euros pour se payer du catho, l’aubaine.

    Vandaliser une église coûte donc la modique somme de 1500 euros.

    1500 euros d’amende requis contre les Femen pour leur « action » à Notre-Dame. Une action d’une vulgarité et d’une violence – au moins symbolique – insupportables, comme d’habitude. Des furies hystériques dévêtues pour laisser apparaître les « armes » que sont leurs poitrines, maculées d’insultes envers le pape et l’Eglise, tapant sur une cloche flambant neuve, au cœur de la cathédrale de Paris…

    1500 euros d’amende. En langage courant c’est l’équivalent d’une incitation à recommencer et une forme d’encouragement, même involontaire, pour tous les assimilés antifas qui seraient tentés de les imiter. 1500 euros pour se payer du catho, l’aubaine.

    Le juge appréciera les faits, et décidera en conséquence.

    Les Femen étaient poursuivies pour « dégradation » après avoir frappé la cloche, le seul motif retenu, puisque l’accusation de « provocation à la haine » ne se justifie désormais que lorsque l’on s’attaque à tout ce qui est étranger à la France. En témoigne la récente condamnation de Riposte Laïque à près de 20.000 euros d’amende pour avoir comparé, sur leur site, les musulmans à des envahisseurs… En attendant, du côté des actes, ce sont bien les cathos qui prennent sans que personne ne s’en soucie ni ne condamne.

    Dégradation d’accord, mais pas seulement.

    Charlotte d’Ornellas

    La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Mieux-vaut-vandaliser-une-eglise

  • UMP : Urgence pour un Mouvement en Perdition… (Présent N° 8142)

    Finalement, selon les experts comptables qui ont passé au scanner les mauvais comptes de l’UMP, la dette de cette dernière ne serait pas de 80 millions, comme l’information en avait couru le week-end dernier, mais seulement, si l’on peut dire, de 74,5 millions d’euros au 30 juin, contre 78,5 millions d’euros le 31 décembre dernier. Une dette colossale donc, quasiment insurmontable, mais en léger mieux. Le fossoyeur Copé ne faisait pas que de creuser des trous vertigineux. Il s’efforçait aussi de les réduire. Un minimum. Tels sont les chiffre publiés mardi (8/7) en fin d’après-midi par les responsables de l’audit commandé par la nouvelle direction.

    74,5 millions d’euros, mais tout va bien, Mme la marquise, puisque l’UMP a obtenu « un sursis des créanciers (…) avec un rééchelonnement de la durée du remboursement du prêt pour l’acquisition du siège ». Un souci cependant : les cotisations des adhérents ne rentrent plus. Bah ! Celles-ci comptent aujourd’hui si peu dans le financement d’un parti…L’UMP évite la banqueroute, mais pas le serrage de ceinture. « Comment en sommes-nous arrivés là ? » s’interrogent les chapeaux à plumes. En jetant l’argent par les fenêtres, pardi ! Et en vivant grassement, avec salaires mirobolants, au frais de la princesse. Rachida Dati, par exemple, entre autres peccadilles tout aussi onéreuses, se faisait rembourser annuellement 10 000 euros pour ses deux téléphones. Rachida bouche d’or… Ces gens nous rabâchent volontiers la devise américaine : « Ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi. Mais ce que tu peux faire pour pays ». Eux, en revanche, pensent, dans les faits, plus à se servir qu’à servir… C’est à vomir !

     

    UMP : Urgence pour un Mouvement en Perdition… (Présent N° 8142)L’UMP en sursis mais exsangue s’inquiète pour le financement de ses prochaines campagnes électorales. « Notre parti va se trouver dans une situation où le remboursement de la dette, l’apurement des comptes, va affaiblir considérablement son activité politique », avertit François Fillon. Après le veau d’or le temps des vaches maigres…

    Question : pourquoi Nicolas Sarkozy s’entête donc à vouloir prendre d’assaut un parti en si piteux état, déjà à demi englouti ? Pour le renflouer, ou le radouber, en multipliant les sarkothons ? Plus quelques meetings chantants de Carla Bruni, où celle-ci interpréterait sur scène le fameux Money money ? A moins de considérer que, comme l’écrivait un éditorialiste, « il serait moral qu’il gère lui-même, pour se racheter, comme dans le cadre de travaux d’intérêt général, l’héritage de Copé, qu’il a tant soutenu en sous-main ». Et tant contribué à dilapider…

    La joaillerie judiciaire de Sarko

    Ah ! Sarkozy… Parlons-en ! Une fois de plus, direz-vous. Affaire Kadhafi au parfum de supposés pétro-dollars, arbitrage Tapie peut-être pipé , financements litigieux de sa dernière campagne électorale, « Buissonneux » sondages élyséens, trois mises en examen, dont une pour « corruption active », une garde à vue de 16 heures… Et maintenant cette enquête judiciaire, concernant le paiement par l’UMP des pénalités infligées au président candidat de 2012. Enquête ouverte pour « abus de confiance », « complicité » et « recel » de ce délit, « au préjudice d’un parti largement endetté ».

    Si toutes ces affaires judiciaires étaient des bijoux, des « bijoux sonores »comme dans Les Fleurs du mal, là encore Nicolas Sarkozy serait, Berlusconi mis à part, le plus bling-bling des anciens présidents. « Ses mains pleines de bijoux ressembleraient à des écrins ». Sans allusion bien sûr aux « bracelets » que des policiers pourraient lui passer un jour autour des pognes s’il n’était pas protégé par son statut d’ancien chef de l’Etat.

    Que certains magistrats, idéologiquement très engagés à gauche, s’acharnent contre lui, ne fait guère de doute. Mais il faut bien reconnaître que Sarkozy, avec ses comportements voyous, leur facilite grandement la tâche. Quant à ses amis, du couple Balkany à son avocat, Me Thierry Herzog, en passant par son ancien ministre de l’Intérieur Claude Guéant, sans parler de ceux qui se font prendre avec des valises remplies de grosses coupures à la provenance douteuse, où de son actuel conseiller politique, Alain Carignon, ex-maire RPR de Grenoble emprisonné pour corruption, tous ont une fâcheuse tendance à se retrouver devant les tribunaux. Et toujours pour des histoires pas très reluisantes de gros sous.

    S’il faut en croire le vieux proverbe français : Dis-moi qui tu fréquentes je te dirais qui tu es, on peut nourrir quelques doutes sur la moralité de Nicolas Sarkozy. Des doutes qui assaillent d’ailleurs en ce moment un nombre croissant de ses anciens électeurs. Quant aux cadres du mouvement, ils sont aujourd’hui, pour ces mêmes raisons, majoritairement opposés au retour de l’ancien président dans le champ politique. Et ils n’hésitent plus à le faire savoir. En fait de proverbe, celui qui, en ce moment, conviendrait le mieux à l’UMP, devenue un nid de vipères, ce serait plutôt : dis-moi qui tu fréquentes, je te dirais qui tu hais…

    Dans la nasse

    « Christian Jacob dans la nasse de l’affaire Bygmalion », titrait un quotidien le 24 juin dernier. Certes. Mais plus encore Jean-François Copé, Jérôme Lavrilleux, le sarkozyste Eric Césarie et quelques autres poissons de plus petite taille. Toute l’ancienne direction sarkopéiste de l’UMP se retrouve dans la nasse. Et puis surtout, dans la nasse de Bygmalion, mais frétillant aussi dans d’autres filets, Nicolas Sarkozy lui-même. Nasse de masse : ils sont tous dans le goulet. En ce jeudi 10 juillet, L’UMP c’est un peu l’équipe de football brésilienne dans la coupe du monde 2014 : L’humiliation et la honte. Plus la panade…

    Jean Cochet

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  • Qatar : Scandale d’État et stratégie de conquête du monde (vidéo)

    À l’occasion de la visite en France de l’émir du Qatar, Georges Malbrunot, spécialiste du Moyen-Orient et auteur de “Qatar, les secrets du coffre-fort”, revient sur la stratégie de développement du Qatar, notamment dans le sport.

    TV5 Monde (01/07/14)

    http://fortune.fdesouche.com/

  • France, paradis des militants LGBT du monde entier : nouvelle conséquence de la loi Taubira

    C’est une conséquence de l’adoption par la France de la loi Taubira autorisant le mariage « pour tous ». Hier, mercredi 9 juillet, le Conseil d’Etat a sommé le gouvernement de délivrer sous vingt-quatre heures un visa à un homosexuel sénégalais vivant au Maroc pour qu’il puisse se marier samedi à Creil (Oise) avec un homme français.

    Le Conseil d’Etat considère que le refus de visa porte « une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté fondamentale de se marier », puisque le Maroc n’autorise pas les unions entre personnes de même sexe.

    La loi dite Taubira, du 17 mai 2013, ouvrant le mariage aux personnes de même sexe, prévoit que si l’un des époux est ressortissant d’un pays interdisant ce type d’union, le mariage ne peut pas être célébré par les autorités diplomatiques et consulaires françaises – comme c’est fréquemment le cas pour les couples hétérosexuels – mais qu’il doit avoir lieu en France.

    Le Sénégalais en question, résidant à Casablanca, avait entamé des démarches pour épouser son amant français peu après l’adoption de la loi Taubira. Le 26 mai, il avait déposé une demande de visa court séjour au consulat de Casablanca et avait essuyé un refus le 16 juin. Bien informé des procédures, il avait alors fait appel en urgence devant le tribunal administratif de Nantes, qui avait rejeté sa demande, et avait ensuite saisi le Conseil d’Etat, plus haute juridiction administrative.

    Le ministère de l’intérieur avait justifié le refus de visa en évoquant « les antécédents migratoires » du ressortissant sénégalais, déjà venu en France sans papiers en 2010. Le ministère a également mis en doute « la sincérité de l’union »entre les deux hommes, qui ont trente-cinq ans de différence d’âge.

    Le Conseil d’Etat a rétorqué que les deux hommes partageaient un appartement à Casablanca, que le requérant sénégalais avait un emploi stable, et qu’il n’avait pas l’intention de s’installer en France – ben tiens, on en reparlera plus tard. Le ministère de l’intérieur a été condamné à délivrer un visa sous vingt-quatre heures et à verser 5 000 euros à l’homosexuel sénégalais.

    Voilà une jurisprudence qui va faire parler d’elle et va servir de nouveau prétexte migratoire pour faux et vrais militants LGBT du monde entier.

    http://medias-presse.info/france-paradis-des-militants-lgbt-du-monde-entier-nouvelle-consequence-de-la-loi-taubira/12629

  • Amende ridicule requise contre les Femen, encore une mauvaise « blague ».

    Cela fait déjà de trop longues années que la justice française crache son injustice et sa partialité sur tout opposant un peu zelé au système politico-médiatique en place, mais le phénomène s’accélère et gagne en obscure clarté.

    1500 euros d’amende requis contre les Femen pour avoir vandalisé Notre-Dame peinturlurée de slogans haineux envers le Pape, l’Eglise et l’ensemble des catholiques. Cette modique somme ressemble fort à un encouragement à poursuivre cette lutte anti-chrétienne primaire, vulgaire et destructrice.

    Les Femen sont pathétiques et leurs soutiens de moins en moins nombreux. C’est la Justice, et ce qu’elle incarne, qui est inquiétante.

    Relaxe pour l’empoisonnement de sept patients, relaxe pour le viol collectif d’une handicapée, amende ridicule pour ces profanatrices multi-récidivistes… Pendant qu’un Hommen encoure 6 mois de prison ferme pour avoir déployé une banderole à Rolland-Garros, pendant qu’une mère de famille encoure 4 mois de ferme pour avoir « aimé » un photo-montage ridicule comparant Taubira à une guenon sur Facebook, que des jeunes sontmis en examen et placés sous contrôle judiciaire pour être montés sur le toit d’une mosquée en chantier ou pendant qu’Esteban croupit toujours en prison alors que tout prouve qu’il n’a fait que se défendre

    Les exemples sont légion et le message est clair : ce sont les résistants à ce gouvernement, et plus largement à l’idéologie largement partagée à« droite » comme à « gauche » qu’il sert, qui sont poursuivis et condamnés, eux seuls.

    http://www.contre-info.com/

  • Entres les financiers et les socialistes : des amours très particulières…

    La finance ne serait donc plus l’ennemi du Parti socialiste… Mais de qui le PS serait-il alors l’ami ? Pas du peuple français, manifestement.   

    Sacré Michel ! Avec son humour noir qui sent un peu le Sapin… Ainsi, à Aix-en-Provence, ce week-end dernier, enterrait-il les promesses du candidat François Hollande, pour lequel l’« adversaire, [était] la finance. »( Aujourd’hui, à en croire le ministre de ces mêmes Finances, « notre amie, c’est la finance, la bonne finance… »

    Comme du temps des Inconnus, il y avait « les bons chasseurs et les mauvais chasseurs », il y aurait désormais les « bons » financiers et les « mauvais » financiers, serait-on tentés de rappeler, pour demeurer dans le genre comique troupier. Comment distinguer les premiers des seconds, l’histoire, grande comme petite, de Lombards en Templiers, ne le dit évidemment pas.

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  • Violette, la fête des sarkozystes. Rouges, les comptes de l’UMP (Présent 8140)

    Samedi (5/7), quatre jours après la mise en examen de leur grand homme et la prestation télévisée de ce dernier, les sarkozystes se sont donc précipités à La Ferté-Imbaut (Sologne), à la seconde Fête de la violette, organisée par la droite forte de Geoffroy Didier et de Guillaume Peltier.

    Des militants espérant le retour d’un Sarkozy « qui regardera bien à droite et non à gauche (…). On veut lui dire : on t’aime, mais on t’aime quand tu es à droite. On ne veut pas de la droite molle de Baroin ou de NKM ». Des militants entretenus dans leur dévotion par plusieurs orateurs, dont Brice Hortefeux : « Ne vous laissez pas avoir, il n’y a pas d’affaires, il n’y a que des épisodes que le pouvoir voudrait faire durer le plus longtemps possible ».

    Une du n° 8140 de "Présent"

    Une du n° 8140 de “Présent”

    Mercredi soir, en « politisant ses ennuis judiciaires » avec le culot et le talent qu’on lui connaît, Nicolas Sarkozy a donc eu raison ? Raison de dénoncer, toujours entre vérité et mensonges, selon son habitude, une cabale ourdie contre lui ? Sans doute. Sa contre-attaque victimaire a fonctionné pour reconquérir le cœur de l’électorat UMP, qui connaissait ces dernières semaines quelques faiblesses : quinze points de moins. Une défaillance surmontée par sa prestation télévisée : « 78 % des sympathisants UMP souhaitent qu’il se représente en 2017. Et 68 % à la présidence de l’UMP ». 32 % de ses anciens électeurs demeurent néanmoins hostiles à son retour. Et seuls « quatre Français sur dix »souhaiteraient sa candidature en 2017. Une défiance à l’égard de l’ancien président de la République partagée par l’ensemble de la presse étrangère et que résumait bien l’éditorialiste du Financial Times :« Le président bling-bling parviendra peut-être à laver son nom. Mais il n’est pas fait pour le job ». Avis partagé aujourd’hui par la majorité des cadres de l’UMP.

    80 millions de dettes

    Avec les comptes de cette dernière nous passons de la timide violette au rouge incandescent. Selon certaines informations, la dette du parti avoisinerait les 80 millions d’euros et l’UMP ne serait même plus en mesure de régler ses échéances bancaires. Informations que confirmera sans doute l’audit rendu ce mardi 8 juillet. « Le train de vie de la maison Copé » a également été mis sur la sellette par les auditeurs, qui ont calculé que l’ancien président de l’UMP avait dépensé, l’an dernier, « 27 000 euros de billets d’avion, dont 24 000 rien que pour ceux de son épouse, Nadia ». Voyages, voyages…

     

    Les cadres du parti palpaient également de confortables émoluments. Selon Le JDD« Si Eric Césari , directeur général de l’UMP, perçoit 12.500 euros mensuels brut », les salaires des collaborateurs de Jean-François Copé ne sont pas en reste. Ils tournent en moyenne autour des 8.500 euros mensuels. On apprend au passage que par le passé, l’UMP, qui n’était pas seulement une vache à lait pour les affidés de Bygmalion, a « même payé le réveillon de son président et de sa famille dans un Center Parcs ».

    Le nouveau directeur général du parti, le diplomate Philippe Gustin, remplaçant du sarkozyste Eric Césari, serait même déjà prêt à jeter l’éponge. Il s’attendait à trouver une situation catastrophique. Mais pas à ce point…

    Pour Hollande, plus belle la vie

    Un éditorialiste allemand, analysant les déboires judiciaires de Nicolas Sarkozy et les déconvenues financières du parti dont ce dernier veut reprendre la présidence, commentait : « Marine Le Pen a de la chance ». Bien vu. Mais pour l’instant, cette chance profite aussi à François Hollande, en train de remonter dans les sondages. Et pourtant…

    La réforme territoriale, que Manuel Valls qualifiait de mère des batailles ? En train d’être détricotée, maille après maille, par les parlementaires.« Une réforme arbitraire, bureaucratique, conçue à la hâte après une déroute municipale », analysait un sénateur en colère, pour qui « Les Français sont pour une réforme territoriale, mais contre celle proposée par le gouvernement ».

    La grande réforme de Vincent Peillon sur les rythmes scolaires ? Sous la pression des parents d’élèves, des enseignants et des municipalités, Benoît Hamon cherche à changer subrepticement le tempo des quatre jours et demi. Attention : il ne recule pas. Il aménage.

    La loi Duflot sur le logement social ? Une catastrophe immobilière. 20 % de chute en un an du nombre de permis de construire. Et 37 340 investisseurs fuyant le marché… Le chômage ? Toujours en hausse : il vient de franchir la barre des cinq millions (officiels) de sans-emploi. Le déficit public ? La Cour des comptes nous apprend qu’il dérape de plus belle. Avec une dette extérieure atteignant désormais les 2 000 milliards.

    Dans son propre camp le chef de l’Etat se trouve en butte aux corporatismes revendicatifs de la CGT : intermittents du spectacle, SNCF, SNCM (Société nationale maritime Corse Méditerranée)…

    Le pacte de responsabilité (pour la compétitivité et la croissance) ? Il se délite lentement, mais sûrement. Et la conférence sociale qui vient de s’ouvrir lundi au Palais d’Iéna avec les leaders syndicaux et patronaux s’annonce comme un ratage supplémentaire…

    Mais, en « une » des médias, Nicolas Sarkozy estompe par son tapage les échecs de la gauche. Sarkozy et ses affaires, à tous les étages. Sarkozy en plein tangage mais se lançant néanmoins à l’abordage d’une UMP au bord du naufrage… Une aubaine d’escamotage inespérée pour un François Hollande en plein potage… Un épisode qu’il va s’efforcer, comme le redoute Hortefeux, faire durer le plus longtemps possible.

    Jean Cochet

    http://fr.novopress.info/171628/violette-fete-sarkozystes-rouges-les-comptes-lump-present-8140/

  • Les agences de mères porteuses utilisent la circulaire Taubira pour 'louer des ventres'

    Ce site de location d'utérus pour conception d'enfants donne toutes les indications pour violer la loi française et écrit notamment :

    "Nos mères porteuses accouchent toutes à la maternité d'État. Après elles font le document-déclaration chez le notaire (elles refusent ses droits parentaux en honneur des parents biologiques légitimes, selon l’article 123 du Code de famille), (au-dessus vous trouverez la formule en Français). Puis, l’état civil ukrainien prend leur certificat de maternité, (Extrait de la maison de naissance), aussi que la déclaration-renonciation chez le notaire, plus vos passeports et votre acte de mariage apostillé, pour finalement délivrer aux parents l’acte de naissance. Donc la mère porteuse ne figure plus en acte, seulement les parents de l’enfant. Voila comment l’enfant se déclare à votre nom."

    "Puis on vous traduit l’acte de naissance en francais, et on fait l apostille aupres de Ministere des affaires etrangérès à Kiev. Puis vous fixez le rendez-vous a l’ambassade de France a Kiev, et vous y reclamez un laisser-passer pour l enfant. Actuellement, vu l apparition du circulaire de Taubira, l’ambassade donne ce document vite (2-3 semaines maximum entre la date d’accouchement, et votre retour en France).Attention, le laisser-passer est un document qui vous permettra de rentrer légalement en France avec votre bebe, c’est a dire passer la frontiere. Ce n’est pas un document qui vous donne le droit de nationalité francaise. Au cas de necessite, on present les documents supplementaires a l’ambassade, au cas s ils le demanderont."

    Michel Janva

  • Cancer des enfants : de bons résultats qui gênent la "mafia pédiatrique"

    Dans l'affaire de l'hôpital de Garches, le docteur Nicole Delépine dénonce à la fois la "mafia pédiatrique", qui conteste ses méthodes (alors qu'elle n'a pratiqué aucune amputation en 30 ans pour le cancer des os, et son taux de guérison avoisine les 90%) et l'hypocrisie de l'Etat :

    "L’arrêt Mercier (1936) qu’elle cite à plusieurs reprises revient comme fil rouge du combat qu’elle mène depuis trente ans. « Le médecin ne s’engage pas à guérir mais à donner des soins. Des soins non pas quelconques, mais consciencieux, attentifs et conformes aux données de la science. »

    Mais cette éthique revendiquée semble déranger l’administration et d’autres médecins. « Le jour où l’on a dit qu’on sortait des essais thérapeutiques de l’EORTC (European Organisation for Research and Treatment of Cancer) pour appliquer d’autres méthodes publiées et certifiées, on est devenu des vilains petits canards, regrette-t-elle. Pourtant, on est l’un des rares services à n’avoir jamais eu de plaintes de patients en trente ans. » Une réputation sulfureuse qui s’étend au-delà des frontières de l’hôpital de Garches. Parfois les parents doivent braver des obstacles pour placer leurs enfants dans son service. « Quand j’ai prononcé le nom du Dr Delépine, on m’a dit que j’emmenais mon enfant dans le couloir de la mort et que j’étais un parent irresponsable », explique Sabrina, la mère de Llya, en rémission depuis un an et demi. Une autre mère d’ajouter : « Le médecin qui traitait ma fille m’a expliqué que Nicole Délepine était un charlatan qui ne soignait pas jusqu’au bout. Lorsque j’ai quand même quitté l’hôpital de Nantes, le juge aux affaires familiales m’a convoquée pour "mise en danger de la vie de ma fille". En fait, alors que je luttais pour sa santé, la plus grosse bataille a été contre l’administration », explique la mère d’Orlane, atteinte d’un cancer de la vessie, en rémission depuis 2007, sans avoir subi d’ablation de ses organes.

    [...] Cela fait donc trente ans que ses méthodes dérangent. Initialement à l’hôpital Hérold dans le XIXe arrondissement de Paris, le service a été menacé de fermeture en 1998, lors du départ du chef de service de l’époque, le Dr Desbois. Après trois déménagements, plusieurs manifestations et différentes révoltes des parents, l’histoire se répète. Aujourd’hui le service est à nouveau menacé de fermeture.

    « J’ai appris dans la presse la fermeture du service en raison de mon départ à la retraite. Mais je ne veux pas partir. Je préfèrerais claquer sur le terrain », s’amuse-t-elle. Même si elle partait, d’autres médecins pourraient reprendre le service. « L’administration oppose le fait qu’il n’y ait pas de médecins ici ; c’est du baratin absolu, s’insurge-t-elle. Ceux qui ont demandé leur mutation dans mon service n’ont pas été entendus », à l’instar d’Eléonore Djikeussi. Ce qui excède le docteur, c’est l’hypocrisie du procédé. D’un côté, on la félicite pour ses résultats, de l’autre on l’asphyxie en lui interdisant de recruter, ou en enlevant des lits, passés de 60 en 1986 à 10 aujourd'hui. [...]

    Les parents, eux, sont nombreux à louer l’efficacité de la méthode. Mais aussi la disponibilité du médecin et de ceux dont elle a su s’entourer ainsi que la chaleur et l’humanité qui règne dans le service. Ils sont 22 000 à avoir signé une pétition pour assurer sa survie. L’association Ametist s’est créée pour revendiquer les bienfaits des méthodes de Nicole Delépine. Une plainte contre X a été déposée par cette association de parents au tribunal de Nanterre pour « délaissement » d’enfants. Dimanche, certains d’entre eux étaient cloîtrés depuis plus d'une semaine dans la chapelle de l’hôpital, en grève de la faim, pour que le service reste ouvert et que le combat de Nicole Delépine soit entendu. [...]"

    Michel Janva