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magouille et compagnie - Page 2175

  • Art dit « contemporain » : arrêtons de financer le glauque et les escrocs

    L’Agrif de Bernard Antony s’en était félicitée à juste titre, le 21 novembre dernier, «après 5 ans de procédure et grâce au talent de son avocat maître Jérôme Triomphe », l’Alliance a obtenu «la très ferme condamnation de l’exposition atroce l’Infamille et du Frac de Lorraine ». «Le TGI de Metz a condamné ce Frac Lorraine au nom de la protection des mineurs contre des spectacles d’une grande brutalité, portant gravement atteinte à la dignité humaine. Le TGI a déclaré le Président du Frac responsable de l’exposition, condamné le Frac à régler à l’AGRIF un euro symbolique, et 3000 euros plus les dépens. » Les Frac, rappelons-le, sont les Fonds régionaux d’art contemporain, des Fonds régionaux d’acquisitions culturelles,  que  Jack Lang a créé en 1982. Un réseau financé par les contribuables, très majoritairement pour promouvoir l’art « moderne » le plus déraciné et contraire à l’identité européenne. Dans le cas qui nous intéresse ici,  le FRAC de Lorraine reçoit 700 000 euros de la Région et 500 000 euros de l’Etat…

     Une victoire qui est aussi celle de l’élue régionale FN Françoise Grolet. Elle  fut la première à réagir à cette exposition scandaleuse que le président socialiste Jean-Pierre Masseret n’a pas voulu interdire, lui a-t-il répondu à l’époque, pour ne pas passer pour un «censeur». Les élus de « droite » UMP avaient préféré quant à eux, regarder ailleurs…« L’Infamille », exposition (gratuite et ouverte aux mineurs) située dans les locaux du Frac Lorraine,  dans  le bel hôtel St Livier à Metz, fut visitée par Françoise qui en livra un compte-rendu éclairant.

     « Dans une salle, l’artiste Gina Pane se taillade les lèvres au rasoir à côté d’un corps nu féminin (sa mère ?). Dans la deuxième salle, deux écrans présentent l’artiste Patty Chang en train d’embrasser sur la bouche sa mère et son père, tous pleurent à chaudes larmes, en fait le film est passé à l’envers et ils sont en train de régurgiter un oignon.»

     «Dans la troisième salle, consacrée à Eric Pougeau, trente-trois mots affichés au mur  (…). Florilège des premières phrases : «Nous allons faire de vous nos putes… vous violer… vous sodomiser et vous crucifier… vous coudre le sexe… vous tuer par surprise… vous pendre et baiser vos cadavres… filmer votre mort… ». Françoise Grolet s’était épargnée la visite de deux autres salles, où des artistes exposaient  «des vidéos mettant en scène des incestes…».

     Cette victoire judiciaire a été saluée par l’élue FN : «j’ai confiance dans la justice de mon pays quand elle pose clairement les limites de ce qu’on peut dire ou pas. J’appelle le peuple français à son tour, lors des élections de 2014, à juger aussi sévèrement les élus qui dilapident leurs impôts, et se font complices de la dégradation de notre société. Les Lorrains et les Messins peuvent compter sur notre vigilance pour défendre la famille, cellule de base de notre société, et l’utilisation judicieuse de l’argent des citoyens».

     Une même volonté exprimée notamment par le directeur de campagne de la liste FN-RBM pour les élections municipales à Reims,  Jean-Claude Philipot. Cela lui a valu une attaque en règle de l’Union-Ardennais le 2 décembre dernier. Le frontiste a en effet osé écrire au sujet des « peintures » exposées par  le  Frac de Champagne-Ardenne qu’il s’agissait de « pseudos œuvres qui pourraient parfois être réalisées par un enfant de 5 ans voire par un animal auquel on aurait mis de la peinture sur les pattes et la queue »…

     « Autant de réalisations poursuit-il, qui viennent engraisser les artistes gauchistes petits copains des uns, ou simplement adulés par les autres (…). Pseudo œuvres d’art (…) dont vous ne voudriez pas dans votre jardin mais devant lesquelles les bobos de la gauche caviar ou plus simplement les snobs s’extasient pour faire moderne et se distinguer de ce peuple qu’ils méprisent et qui trouve affreux  ces machins.» « Mais, au fait, des  œuvres  de ce type sont même installées dans nos rues de Reims (…) Cf les espèces de totem de Christian Lapie disposés en plusieurs endroits de Reims par la municipalité Hazan ».

    Et l’article de L’Union de citer ce commentaire à côté de la plaque de la directrice du Frac, Florence Derieux : «Ce sont des gens (du FN-RBM, NDLR) qui agitent la peur de l’autre et l’intolérance comme arguments de vote. Ils ne changent pas ». « L’intolérance à fleur de peau! » affirme lui aussi le quotidien.  « Le vocabulaire de Jean-Claude Philipot est violent. Le vernis du nouveau style du FN ne tient pas longtemps.(…). N’en déplaise à ceux qui voudraient le faire passer pour un parti normal. Faut-il se réjouir de tels dérapages ? »(sic).

     Le 7 décembre Les Inrocks s’arrêtait sur les propos de Jean-Claude Philippot et la victoire remportée par l ’Agrif et le FN dans l’affaire du Frac Lorraine évoquée plus haut. L’article mis en ligne estimait que les arguments contre l’escroquerie budgétivore d’un certain art contemporain « prennent ici appui sur une relecture toute personnelle d’une histoire de l’art qui aurait sombré dans la décadence avec le mouvement dadaïste (on vous passe les détails), sont les mêmes resservis d’années en années par les détracteurs de l’art contemporain et les fractions extrémistes. Rien de nouveau sous le soleil donc.»

     «(…) Alors on a vraiment changé au FN ? Pas vraiment, si l’on se réfère aux très nombreuses attaques menées depuis des années contre l’art contemporain par des groupuscules d’extrême droite, toutes liées de près ou de loin au FN » ( ???).

     Et les Inrocks de dresser l’’inventaire de la nébuleuse réactionnaire, citant notamment, « la pétition en ligne, contre l’exposition Takashi Murakami (en 2010) au Château de Versailles», «dans laquelle les nombreux signataires  dénonçaient la pollution visuelle, le désordre mental et la vulgarité érigée en prétendue œuvre d’art.» Pétitionnaires «ancrés dans une droite ultraréactionnaire, proche du FN» s’inquiétait gravement Jean-Jacques Aillagon, «à l’époque le Président du Château de Versailles.»

     « Sans oublier les newsletters intempestives (sic)  de Nicole Esterolle, animatrice depuis 2010 du blog Le Stroumpf Emergent qui, dans sa dernière missive postée à l’occasion du Congrès du Cipac, la Confédération des professionnels de l’art contemporain réunie fin novembre à Lyon, dénonçait la volaille bureaucratique caquetante à tout va, asservie aux grands réseaux d’intérêts de pouvoir et d’argent, a complètement dévoyé ou détruit les bons mécanismes de reconnaissance et de légitimation qui ont fait notre patrimoine artistique ».

     Bruno Gollnisch approuve et se félicite de ce sursaut, lui qui bataille pareillement depuis des années contre cette mafia des cultureux qui sont à l’Art véritable ce que les chaines de restauration rapide américanomorphe sont à la gastronomie.

     Nous le notions il y a quelques années sur ce blog, ce prétendu «art contemporain », cette culture à la mode reflètent la pathologie d’une civilisation en déclin. «Art contemporain» qui ne prospère que grâce au matraquage idéologique médiatique, à  l’application proprement subversive, au domaine de l’esthétique et de l’Art du principe Tout égale tout. Un véritable terrorisme intellectuel, relayé et pratiqué par un microcosme parisien érigé en intelligentsia, et qui prétend régenter, selon ses fantasmes,  l’ensemble des goûts de la communauté populaire.

     Nous rapportions les propos d’E. Marsala qui notait  à propos de « la grande mystification de l’art contemporain» que ce qui «distingue fondamentalement » celui-ci de « toutes les formes artistiques antérieures, c’est qu’il n’existe pas sans un copieux discours justificatifs sur ses dogmes, ses rites et ses divinités principales.»

     «Un Caravage, un Titien, un David, un Courbet n’avaient pas être expliqués pour s’imposer à tous, Courbet n’avaient pas à être expliqués pour s’imposer à tous, non seulement comme de l’art, mais comme des chefs-d’œuvre. En revanche sans ces discours grotesquement érudits sur l’intention de l’artiste, sa vie, son parcours, ou sa place supposée dans l’histoire de la modernité, un urinoir de Duchamp, une conserve de caca de Piero Manzoni, un aspirateur de Jeff Koons ou une armoire à pharmacie de Damien Hirst ne sont rien d’autre qu’un urinoir, une boîte à merde, un aspirateur et une boîte à pharmacie »…

    Et bien dans le mesure du possible, le FN fera en sorte que ces faquins, grotesques, prétentieux et vides qui tapent les Français au portefeuille,  cèdent la place à des artistes authentiques, talentueux et « modernes ». Car il y en a, écartés par ce Système des circuits de légitimation, et qui œuvrent loin des coteries car ne se soumettant pas à l’idéologie nihiliste dominante.

    http://www.gollnisch.com/2014/01/03/art-dit-contemporain-arretons-de-financer-le-glauque-et-les-escrocs/

  • Alerte à la dictature !

    L'Etat contrôlait déjà les médias traditionnels, il commence à contrôler discrètement les médias internet, ce sont les signes critiques d'une dictature. 

    Si l'on prend l'exemple de l'affaire Dieudonné. Nous n'apprécions pas tous son humour, certains considèrent qu'il va trop loin, alors pourquoi ne peut il pas y avoir un débat public à son sujet ? Au moins dans les réseaux sociaux.
    Les principaux médias internet publient régulièrement de nombreux articles très nettement orientés contre Dieudonné. Mais depuis quelques jours on peut remarquer que tous les commentaires sont eux aussi clairement orientés contre lui. On ne trouve plus aucun commentaire en sa faveur, comment croire que tous ses partisans se taisent ? La censure est passée par là. Les seuls commentaires qui ne sont pas censurés sont faibles et n'ont aucune valeur.
    Qu'est ce que cela signifie ?
    L'Etat tente de diaboliser l'humoriste, par l'intermédiaire des médias qu'il contrôle. L'Etat organisera ensuite des troubles publics à la fin des spectacles pour avoir une raison valable d'interdire ses représentations.
    Suivront ensuite des condamnations pécuniaires très élevées, assorties de l'interdiction légale de demander de l'aide par Internet pour payer.
    Dieudonné sera ruiné et les médias auront l'interdiction de parler de lui. Il ne sera pas mis en prison, pour éviter tout mouvement massif de contestation, il lui sera interdit de s'exprimer sur Internet.
    Et voila, le tour est joué.
    Dieudonné disparaîtra de la scène publique et les médias distrairont la population avec d'autres thèmes : burqa dans les écoles, coupe du monde de foot, puis le grand duel qui s'annonce entre Sarkosy et Hollande.
    L'Etat a clairement l'intention de tout contrôler, étouffer tous les mouvements d'oppositions par des moyens discrets mais efficaces. Même s'il y a un réel mouvement de contestation catalysé par Dieudonné et non pas créé par lui, empêcher d'en débattre va faire resurgir cette contestation autrement et de façon beaucoup plus violente.
    Mais ça n'ira pas très loin. Les meneurs seront eux aussi mis hors d'état de nuire, les médias ne relaient et ne relayeront pas ce qu'il se passe réellement.
    Cela continuera ainsi pendant longtemps.
    Mais nous n'irons pas vers une dictature… puisque nous y sommes déjà depuis toujours ! Rien ne changera. Les seuls changements se font sur la forme, mais dans le fond, c'est toujours la même chose.
    C'est à chacun de nous d'arriver à se débrouiller, se passer l'information pour ne pas se faire avoir par les rouages tous puissants du système.
    Merci à des médias encore libres comme AgoraVox de nous laisser nous exprimer, pour encore combien de temps ?
    source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Les associations LGBT ne vivent que grâce aux subventions

    Sans l’argent du contribuable par l’entremise de subventions publiques, les associations LGBT disparaissent. Dernier exemple en date, la coordination LGBT de Catalogne a annoncé sa dissolution.

    C’est ce qu’a annoncé cette organisation le 17 décembre dernier sur sa page web dans un communiqué faisant référence à un projet phare, le service d’information 900 Rosa, financé durant des années par le Plan national du sida du ministère de la santé.

    Mais la crise économique est passée par là et voilà deux ans que l’association LGBT est priée de se débrouiller pour faire vivre « 900 Rosa » sans subventions. Or, cette association s’est montrée incapable de trouver des financements privés.

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  • La République serait en danger pour des histoires de bananes et de quenelles

    Communiqué du Collectif des Avocats contre la Répression Policière :

    "A l’occasion d’un colloque organisé par le collectif des avocats libres il y a plus de deux ans sur la liberté d’expression en compagnie de Robert Ménard, Philippe BILGER, Christian VANNESTE et Jacques Tremolet de VILLERS, nous dénoncions les dérives liberticides des lois Pleven, Gayssot, Lellouche qui, sous couvert de lutte contre le racisme ou l’homophobie, instauraient le délit d’opinion et laissaient la porte ouverte aux procès d’intention des ligues des vertus (sos racisme, licra, Mrap, sos homophobie).

    Cette judiciarisation de la pensée déjà annoncée de manière prémonitoire par Philippe MURRAY dans le remarquable ouvrage  « homo festivus », s’exerce au nom de la vertu et de la tolérance mais ouvre les portes au totalitarisme le plus sournois.

    Les récentes sorties de Mme TAUBIRA pour un malheureux slogan d’une gamine de dix ans ou de Mr VALLS justifiant l’interdiction d’un humoriste pour une histoire de « quenelles » montre la démesure du pouvoir et la fracture de plus en plus prégnante entre le peuple et l’oligarchie. Laquelle oligarchie monopolise les média en prétextant que la République serait en danger pour des histoires de quenelles ou de bananes, ou quelques sifflets sur les champs Elysées contre le Président de la République et qui ont failli se solder par l’emprisonnement d’un jeune homme  de vingt ans jamais condamné.

    Pendant ce temps là, les crimes et délits contre les biens et les personnes ne cessent d’augmenter et les attentats à l’explosif et les règlements de compte à la kalashnikov se multiplient à MARSEILLE, la Justice souffre de moyens de plus en plus dérisoires et d’un engorgement chronique mais la priorité du gouvernement est de réduire la liberté d’expression. Les récentes dispositions permettant sans autorisation du juge de surveiller les citoyens via les réseaux sociaux, sous le prétexte fallacieux de lutter contre le terrorisme s’inscrit dans cette dérive oligarchique mondiale qui vise à contrôler l’information et  à asservir les peuples.

    Hier, Mme TAUBIRA et Mr PEILLON prétendaient arracher les enfants au déterminisme familial et religieux comme jadis en leur temps les khmers rouges.

    Il y a quelques mois plus de 700 jeunes opposées à la loi Taubira ont fait de la garde à vue et plusieurs milliers ont été contrôlés pour aboutir la plupart du temps à des classements sans suites ce qui démontre le caractère arbitraire de ces arrestations. Aujourd’hui des sages femmes sont violentées par les CRS et des pompiers sont réprimés violemment alors que de nombreux quartiers sont laissés à l’abandon aux dealers et aux salafistes.

    Nous assistons à une dérive totalitaire d’un pouvoir oligarchique de plus en plus enfermé dans un délire idéologique et qui n’hésitera pas demain à enfermer quiconque osera sur internet ou ailleurs critiquer un tant soit peu l’idéologie ambiante et ce sous couvert de lutte contre le racisme ou l’homophobie.

     Faut- il attendre de voir nos enfants effectivement arrachés à leur parents pour en faire des enfants d’Etat ou d’être trainés devant les tribunaux pour délit d’opinion? Faut-il attendre que nos comptes soient saisis (comme cela a été le cas à Chypre) par les banques et les institutions financières qui constituent l’oligarchie mondiale pour réagir ?

    C’est pourquoi le collectif des avocats libres qui est en première ligne sur le front de la défense des libertés publiques et de la liberté d’expression appelle à manifester pacifiquement mais de manière résolue le   26 janvier pour le Jour de colère."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/la-r%C3%A9publique-serait-en-danger-pour-des-histoires-de-bananes-et-de-quenelles.html

  • La Savoie entame l'année sous les couleurs LMPT

    Le drapeau 600 était à Aix, hier :

     

    Aix 3Aix 2 Louise Tudy

  • Marisol Touraine accueillie à Auxerre

    TMarisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, a visité plusieurs services du centre hospitalier d'Auxerre, mardi après-midi.

    Au loin, retentissaient les sifflets et trompettes d'un groupe d'une vingtaine de personnes venus l'accueillir à l'entrée, en protestant contre la loi Taubira. Même le 31, on ne lâche rien. Les manifestants sont présentés dès le début du reportage vidéo et on les entends à plusieurs moments (photos ici).

    Michel Janva

  • Affaire Dieudonné : vers une loi Gayssot 2.0 ?

    On pave, lentement mais sûrement, le chemin qui nous amènera droit vers la liberté de fermer notre gueule.

    Ce vendredi 27 décembre 2013, Manuel Valls annonçait par un communiqué sa volonté « d’étudier toutes les voies juridiques » afin de faire interdire les spectacles de Dieudonné.

    Seulement voilà, ministre de l’Intérieur ou pas, la loi est claire : il n’est pas (encore) possible d’interdire à quelqu’un de se produire et s’exprimer sur l’unique base des propos qu’il pourrait tenir dans le futur, si tant est que ces derniers soient répréhensibles.

    Mais vous connaissez bien monsieur Valls, il n’aime pas que les choses lui résistent. C’est un ministre, un vrai, et puisque la loi s’acharne à lui faire obstacle, il va se charger de la petite insolente et la tarabuster martinet à la main, ça lui servira de leçon. C’est ainsi qu’il a dit « n’écarter aucune possibilité, y compris celle d’un durcissement » de la coquine en question. [...–

    Altana Otovic - La suite sur Boulevard Voltaire

  • Le Printemps Français s’invite à Bruxelles:

    printemps français

  • Place Vendôme, les Sentinelles fidèles au poste, ont ouvert les bouteilles de champagne:

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    Il y a toujours une vingtaine de Sentinelles, place Vendôme.

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