Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 2278

  • Le lobby gay avance ses pions

    Un bijou de novlangue :

    N° 786

     

    SÉNAT

    SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2012-2013

    Enregistré à la Présidence du Sénat le 19 juillet 2013

    PROPOSITION DE LOI

    modifiant l'article L. 2141-2 du code de la santé publique relatif à l'assistance médicale à la procréation,

    PRÉSENTÉE

    Par MM. Jean-Pierre GODEFROY, Roland COURTEAU, Bernard CAZEAU, Daniel RAOUL et Roger MADEC

    Sénateurs

    (Envoyée à la commission des affaires sociales, sous réserve de la constitution éventuelle d'une commission spéciale dans les conditions prévues par le Règlement.)

    EXPOSÉ DES MOTIFS

    Mesdames, Messieurs,

    Les avancées de la recherche et de la médecine ont permis ces dernières décennies à des couples infertiles d'avoir des enfants grâce à la technique de l'assistance médicale à la procréation.

    Selon la loi en vigueur, celle-ci est réservée aux couples formés d'un homme et d'une femme, pour pallier leur infertilité ou pour éviter la transmission à l'enfant ou à l'un des membres du couple d'une maladie d'une particulière gravité. Ainsi, les couples de même sexe se trouvent exclus de cette possibilité. La présente proposition de loi a pour objet d'ouvrir l'assistance médicale à la procréation à tous les couples infertiles, qu'il s'agisse d'une infertilité médicale ou « sociale ».

    Par la loi n° 2013-404 du 17 mai 2013 ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe, nous avons dépassé un ordre du droit qui se fondait sur une norme sociale majoritaire, un modèle familial ignorant la pluralité des modes de parentalité qui existent. Ce modèle familial, comme tous les autres, ne relève ni de l'évidence ni de la nature. Il n'est qu'une construction sociale et a donc, par son principe même, vocation à évoluer. Mais le droit, entravé par diverses réticences et conservatismes, a tendance à se transformer moins promptement que la société sur les questions qui la concernent.

    En ouvrant le droit pour les personnes de même sexe d'adopter, la loi a affirmé que les couples homosexuels peuvent former une famille, être parents et élever des enfants. Cette proposition de loi y fait naturellement suite en élargissant la possibilité pour ces couples d'accéder à la parentalité.

    Les questions relatives à l'intérêt primordial de l'enfant ont été débattues lors du débat sur la loi précitée. L'expérience désormais acquise comme les recherches réalisées montrent qu'il n'y a pas d'impact majeur de l'homoparentalité sur le bien-être et le devenir psychologique des enfants. Aussi, ceux qui douteraient de la consistance du projet parental des couples prêts à recourir à l'assistance médicale à la procréation feraient preuve d'une grande méconnaissance du long et difficile parcours qu'elle requiert. Le projet parental des couples - hétérosexuels ou homosexuels - qui demandent l'assistance médicale à la procréation est de façon générale particulièrement solide, abouti et sérieux.

    Parce que nous défendons tout ce qui peut contribuer à permettre aux couples de personnes de même sexe de vivre comme les autres, nous voulons leur donner accès à ce que notre société permet dans un souci d'égalité. C'est ainsi que l'intégration des personnes homosexuelles progressera et que les diverses formes de stigmatisation qu'elles subissent disparaitront.

    Le Comité consultatif national d'éthique a été chargé de remettre un avis sur l'assistance médicale à la procréation. Si cet avis pourra nourrir un débat, quelles qu'en soient les conclusions, il ne demeurera qu'un avis soumis à l'appréciation du législateur. D'autant que le Sénat s'est déjà prononcé sur cette question le 7 avril 2011 lors de l'examen en première lecture du projet de loi relatif à la bioéthique par l'adoption d'un amendement qui autorisait l'assistance médicale à la procréation pour les couples de même sexe. Si l'amendement avait été supprimé ultérieurement au cours de la navette parlementaire, nous nous étions réjouis de son adoption car elle montrait la capacité d'initiative du Sénat sur ce sujet.

    Aussi, rappelons que le 28 juin 1978, le Sénat votait la dépénalisation de l'homosexualité par un amendement du gouvernement reprenant une proposition de loi d'Henri Caillavet. Il a pourtant fallu attendre le 4 août 1982 pour que les dispositions discriminatoires soient enfin abrogées. Le Sénat avait été précurseur. Soyons-le de nouveau, pour que cette avancée nous apparaisse le plus rapidement possible comme une évidence.

    Il n'existe aucun droit à l'enfant. Mais notre société ne pourra sortir que grandie d'avoir permis à ceux qui le désirent de devenir parents, au-delà de tous préjugés qui doivent être dépassés.

    PROPOSITION DE LOI

    Article unique

    L'article L. 2141-2 du code de la santé publique est ainsi modifié :

    1° La deuxième phrase du premier alinéa est supprimée.

    2° À la première phrase du deuxième alinéa, les mots : « L'homme et la femme formant le couple doivent être vivants » sont remplacés par les mots : « Les personnes formant le couple doivent être vivantes ».

    3° À la dernière phrase du deuxième alinéa, les mots « par l'homme ou la femme » sont remplacés par les mots : « par l'un des membres du couple ».

    Source

    Lisez aussi ça, tiens.

    http://verslarevolution.hautetfort.com

  • Japon : Les énormes mensonges de Tepco sur les conséquences de la catastrophe de Fukushima

    Plus de deux ans après la catastrophe de Fukushima, la multinationale Tepco, en charge de la centrale, est rattrapée par des révélations quant aux véritables effets des radiations sur les employés du site. Le moment est pour le moins mal choisi, alors que le Premier ministre japonais s’évertue à vanter les mérites du nucléaire pour l’avenir économique du Japon.

    La catastrophe nucléaire survenue en mars 2011 au Japon ne cesse depuis de provoquer des remous au sein l’industrie nucléaire autrefois omniprésente et omnipotente – mais également parmi les agences gouvernementales qui l’ont aidée et soutenue. Pourtant, ces dernières continuent à rester discrètes et à minimiser les conséquences de la triple explosion des réacteurs de la centrale de Fukushima Daiichi.

    Dernière révélation en date : le nombre d’ouvriers ayant développé des cancers – induits par l’inhalation de substances radioactives ayant affecté leur glande thyroïdienne dans les premiers temps survenus après la catastrophe – serait en fait onze fois supérieure à celui annoncé en décembre.

    Ce ne sont pas 178 employés, comme l’a affirmé la multinationale TEPCO, renflouée et contrôlée en partie par l’Etat, mais 1973 employés qui auraient déclaré un cancer, selon les informations apprises par l’Asahi Shimbun.

    En dépit de son prestige et de sa puissance d’autrefois, couacs et imprévus se sont accumulés pour TEPCO, laissant l’opérateur désœuvré. Par exemple, à la mi-mars, TEPCO a révélé qu’un mois plus tôt, un poisson avec un taux de 740 000 becquerels de césium radioactif par kilo a été retrouvé à proximité de la centrale. C’est 7 400 fois la limite officielle imposée par les règles gouvernementales en matière de sécurité alimentaire, un niveau jamais mesuré par TEPCO. Le précédent record enregistré par l’entreprise sur un poisson s’élevait à 510 000 becquerels. Et dire qu’ils font partie de la chaîne alimentaire…

    Plus tôt dans la semaine, des chercheurs ont établi que plusieurs loups de mer péchés au large des côtes d’Hitachi, une ville située à une centaine de kilomètres de la centrale – non loin de Tokyo – présentaient un niveau de césium de 1 037 becquerels par kilo, soit plus de 10 fois la limite officielle fixée par les autorités en charge de la sécurité alimentaire. C’est la première fois depuis avril 2011 que de tels niveaux de contamination ont été enregistrés dans la région. Les chercheurs ont reconnu n’avoir aucune idée de ce qui pourrait expliquer la hausse de ce niveau, plus de deux ans après l’accident.

    Hélas, le niveau de césium-134 et de césium-137 dans les nappes phréatiques sous la centrale a commencé à augmenter début juillet. Mesurés le 8 juillet, les niveaux de radioactivité étaient 90 fois supérieurs à ceux enregistrés trois jours auparavant et ont dépassé de 200 fois la limite autorisée pour ce qui est des nappes phréatiques. TEPCO a bien été embarrassé. « Nous ne savons pas si de l’eau radioactive se déverse la mer », a déclaré un membre de la compagnie.

    Le 19 juin, TEPCO avait déjà admis que la teneur en strontium-90 des nappes phréatiques avait augmenté de plus de 100 fois entre décembre et mai, le strontium était un dérivé très toxique issu de la fission de l’uranium et du plutonium ; et que le niveau de tritium, un agent radioactif moins dangereux, avait augmenté de 17 fois. Lorsque les niveaux de césium ont atteint leur pic au début du mois, TEPCO a admis du même coup que le niveau de tritium dans la mer avait atteint 2 300 becquerels par litre, le plus haut taux jamais détecté, soit le double de celui mesuré deux semaines auparavant.

    Tout ceci est survenu à un bien mauvais moment : TEPCO refroidit les réacteurs grâce à un flot continu d’eau – 400 tonnes de mètres cube d’eau par jour – et stocke ensuite l’eau contaminée dans des réservoirs installés sur le site. Mais certains d’entre eux présentant des fissures ont permis à une partie de l’eau de s’échapper, conséquence d’un travail bâclé. De plus, TEPCO ne peut pas construire de réservoirs à l’infini afin de stocker un flot sans fin d’eau. La multinationale cherche donc à obtenir l’autorisation de déverser l’eau contaminée dans le Pacifique. Du moins, tout ce qui ne s’est pas encore déversé dedans.

    Telle est ce qui sous-tend la révélation reconnaissant que l’affirmation de TEPCO en décembre dernier, selon laquelle l’entreprise affirmait que seulement 178 employés présentaient un taux de radioactivité supérieur au maximum autorisé de 100 millisieverts – leurs taux ayant grimpé jusqu’à 11 800 millisieverts – était un mensonge.

    TEPCO n’a même pas pris la peine d’étudier la question. En dépit des avertissements lancés par des experts internationaux sur les risques d’exposition aux radiations, l’entreprise n’a ouvert aucune enquête au sujet des doses radioactives contenues dans les glandes thyroïdiennes. Il a fallu attendre que s’exerce la pression internationale pour qu’une telle initiative soit enfin lancée. Après avoir finalement collecté les données sur 522 employés – sur les 19 592 ayant travaillé à la centrale depuis sa mise en service, parmi lesquels 16 302 ont souvent été embauchés par des employeurs et des sous-traitants peu scrupuleux. Les résultats ont été transmis à l’OMS l’année dernière, alors TEPCO refusait encore de les révéler publiquement, du moins pas avant que l’OMS ne déclare son intention de les publier. Ceci explique donc l’annonce faite en décembre dernier.

    Cependant, personne ne crut aux résultats. Le Comité scientifique de l’ONU sur les effets des radiations nucléaires a remis en cause la fiabilité des données ; et le ministre japonais de la Santé pressa TEPCO de revoir la présentation de ses données. Ce qu’elle fit au final. Selon l’Asahi Shimbun :

    « TEPCO et ses entreprises partenaires n’ont pas seulement réévalué les interprétations faites des tests sur les doses d’éléments radioactifs contenues dans les glandes thyroïdiennes, mais ont également mesuré ces doses alors que la quantité d’iode radioactive dans le corps était nulle. Ces estimations étaient basées sur les quantités de césium inhalées, le rapport entre iode et césium respirés dans l’air au cours de leurs journées de travail, et d’autres données. La dernière étude a révélé que ces doses dépassaient le seuil des 100 millisieverts chez 1973 employés. »

    Pendant combien de temps TEPCO a-t-il traîné des pieds ? Alors que la plupart des expositions ont eu lieu durant les premiers temps suivant la catastrophe, TEPCO a mis 28 mois pour admettre que près de 2 000 de ses employés ont développé un cancer en raison des doses radioactives contenues dans leur glandes thyroïdiennes. Les employés eux-mêmes ont déclaré à l’Asahi Shimbun que TEPCO « n’avait divulgué que peu, voire pas d’information du tout » sur le sujet.

    Quand le moment d’agir est venu, TEPCO fit tout son possible pour aider ces employés. « Nous aiderons financièrement et psychologiquement tous les travailleurs devant passer des tests annuels pour leurs glandes thyroïdiennes lorsqu’ils présentent des taux supérieurs à 100 millisieverts », a expliqué un responsable de la communication. « Nous avons déjà identifié ceux qui sont éligibles à ces contrôles ».

    Fidèle à sa réputation d’entreprise omnisciente, TEPCO n’a pas eu connaissance du nombre d’ouvriers ayant subi des examens. Et que serait-il passé si des anomalies avaient été détectées au cours des examens ? TEPCO n’a pas communiqué sur la question. De concert avec TEPCO, le ministre de la Santé lui-même n’a pas vérifié les doses radioactives contenues dans les glandes de la thyroïde des employés ; ce serait à TEPCO de le faire, sur « la base du volontariat ».

    Certains travailleurs se sont plaint que TEPCO ne leur ait pas expliqué précautionneusement les risques de radiation sur les glandes thyroïdiennes; et certains employés recrutés par des sous-traitants ont signalés ne jamais avoir été informés des doses de radiation, ni même de l’existence de tels tests.

    En juillet, Masao Yoshida, le directeur de la centrale, meurt d’un cancer de l’œsophage à 58 ans. Il est resté à la centrale pendant les neuf mois qui ont suivis l’accident, faisant tout son possible pour minimiser les risques et prévenir la surchauffe des réacteurs. Il réussit également à empêcher que ne se produise un désastre encore plus important. Il démissionna en décembre 2011, après avoir été hospitalisé en raison de son cancer déclaré.

    TEPCO, soudainement redevenu omniscient et fidèle aux pratiques de l’industrie atomique, annonça que sa mort n’était en rien liée aux radiations. Comme dans tous les cas similaires, personne ne peut prouver le contraire ; il est impossible de déterminer ce qui a provoqué exactement le cancer de chacun – un prétexte derrière lequel se cache l’industrie nucléaire.

    « Qui peut croire une telle entreprise ? », déclare Hirohiko Izumida, le gouverneur de la préfecture de Niigata, suite à la décision prise le 2 juillet par la direction de TEPCO de rouvrir deux réacteurs à la centrale de Kashiwazaki-Kariwa, située dans sa préfecture, et ce en dépit d’une enquête montrant que seulement 27% des habitants de la préfecture soutenaient cette décision. « Il n’y a pas pire mépris pour les habitants de la région que cela », se lamente le gouverneur.

    Le 17 juillet, des chercheurs de la Tokyo Woman’s Christian University ont présenté au bureau du cabinet de la Commission pour l’énergie atomique une nouvelle étude. Parmi tous les résultats, l’étude révèle que 87% des Japonais souhaitent que le Japon sorte du nucléaire, soit en l’abandonnant dès que possible (33%) ou de façon progressive (54%). Et un bon tiers pense que les informations communiquées par le gouvernement sur le nucléaire demeuraient les moins fiables.

    Mais le Premier ministre Shinzo Abe est un partisan coriace de l’industrie nucléaire (bien que son avis ne soit pas partagé par tous les membres de son foyer…). Rétablir la gloire de l’industrie nucléaire fait partie des priorités devant être rendues possibles grâce aux Abenomics – en dépit du fait que le véritable coût de l’énergie nucléaire pèsera lourdement sur l’avenir de l’économie japonaise, et donc sur les générations futures.

    On ne cesse de nous répéter que ce type de catastrophes nucléaires est très rare. Mais lorsqu’elles se produisent, leur coût est extrêmement élevé. Tellement élevé que le gouvernement français, alors que ces estimations commençaient à remonter, préféra les garder secrètes. Le rapport a néanmoins fuité : le coût total, à terme, d’une telle catastrophe survenue dans un environnement peu peuplé, pourrait coûter près de trois fois le PIB de la France.

    Atlantico.fr    http://fortune.fdesouche.com/

  • L'Europe mondialiste et la CJUE, son bras armé, détruisent la richesse de la nature

    Les semences de variétés traditionnelles ne peuvent plus être commercialisées

    La Cour de Justice de l’Union Européenne a confirmé le 12 juillet dernier l’interdiction de commercialiser les semences de variétés traditionnelles et diversifiées qui ne sont pas inscrites au catalogue officiel européen. Ecolo propose une réforme de la réglementation, qualifiée d’"absurde".

    Des associations comme Kokopelli ou Semailles se retrouvent dans l’illégalité : elles préservent et distribuent ces semences.

    Pourtant, il suffirait d’inclure ces variétés anciennes au catalogue officiel pour les commercialiser en toute légalité. Seulement voilà, elles se trouvent dans le domaine public et après 20 ans, si personne ne les a réinscrit au catalogue, elles en sortent. Il faut pour cela payer assez cher, explique Catherine Andrianne de Semailles. "A cause de cette réglementation, il y a plus de 80% de la biodiversité qui a disparu", dit-elle. [...]

    La suite sur RTBF Info

    http://www.actionfrancaise.net

  • Le devoir d'inventaire (4) L'écran de fumée

    Une des techniques militaire visant à passer inaperçu aux yeux de l'adversaire a pour nom «écran de fumée». Ce brouillard artificiel peut s'obtenir de multiples façons notamment par l'intermédiaire de bombes ou de grenades. La technique que l'on peut qualifier d'opposée est celle qui permet de voir dans des circonstances où cela n'est que peu possible. C'est bien sur le cas pour la nuit où les défenseurs, s'ils pensent que des ennemis s'approchent de la position gardée, envoient des grenades éclairantes, faisant ainsi toute la lumière.

    La notion « d'écran de fumée » est aussi utilisée au sens figuré afin de définir le choix effectué consistant à masquer une information dont on ne veut pas qu'elle soit connue, par une autre censée occulter la première. C'est donc bien de désinformation dont il s'agit.

    Conscient des difficultés réelles qu'il éprouve, un gouvernement – c'est justement le cas aujourd'hui – peut donc détourner l'attention des Français vers une autre information qui va donc ainsi constituer une information factice. Tel fut le cas assez récemment pour l'idée du « mariage pour tous » qui ne concernait pas grand monde, à commencer par les homosexuels, ceux ci considérant que la notion de « mariage » est une caractéristique du monde hétéro. Le combat engagé dura des mois pendant lesquels le gouvernement pu respirer.

    La dissolution, aussi bien du mouvement « Troisième voie » que de « l'oeuvre française » procède de la même logique. En aucun cas, ces deux structures ne constituaient un danger pour le modèle politico-économique en place. Il va de soi que la procédure de dissolution, parce que fait rarissime, fait ouvrir les yeux et les oreilles de beaucoup. Pendant ce temps, les Français sont détournés des problèmes majeurs que connaît notre pays.

    En matière d'occultation, l'idéal restera toujours la guerre parce qu'elle se traduit presque toujours par l'union sacrée. Aussi parce qu'elle permet, même pour une démocratie, l'usage de la censure. Staline ne s'est pas trompé en se lançant à corps perdu dans la grande guerre patriotique, jouant le fait national contre l'agresseur allemand. Si d'aventure, il avait mobilisé au nom du communisme, le résultat eut pu être tout à fait différent.

    Croire comme le font beaucoup de Français, qu'au motif que nous vivons dans une démocratie, tout ce qui est annoncé est vrai et que rien n'est occulté, est totalement faux. A la limite même, c'est surtout dans la démocratie, puisque celle-ci dépend du corps électoral, que les gouvernements ont le plus intérêt à manipuler les masses.

    Ce qu'ils font très bien, avouons le.

    Alain Rebours

    http://www.voxnr.com/cc/a_la_une/EFZuAAFupEkgMsMotO.shtml

  • Les états d'âme de la police politique socialiste

     

    Retour en arrière sur les (ex)actions des forces de l'ordre sous l'ère Valls des premières manif pour tous jusqu'à ces derniers jours : 

     

    "De plus en plus de policiers sont au bord de la crise de nerfs. L’avocat de l’un d’entre eux le souligne comme un appel au secours : « Les policiers se sentent stigmatisés. » Ils s’étaient engagés dans la police pour protéger la France, la veuve et l’orphelin, les voilà de plus en plus souvent sur le trottoir obligés d’aller casser du manifestant catholique, du manifestant pas catholique ou même du passant tout court. Chez le Défenseur des Droits, le nombre de dossiers concernant les bavures policières à augmenté de 96%.

    La manifestation pour tous

     

     

    Pendant les manifestations des opposants au mariage homosexuel, déjà, on avait bien cru déceler un certain énervement des forces de police face à cette jeunesse qui se retrouve en masse dans la rue, souvent pour la première fois. Les consignes d’interpellation se multiplient, la police applique avec zèle les consignes, allant même jusqu’à arrêter un prêtre. (1)

     

    Un nom défraie la chronique des arrestations mouvementées: Nicolas. Poursuivi par une demi douzaine de policiers, ce dangereux apprenti terroriste à pour principale préoccupation de scander des slogans hostiles à notre Roi, pardon à notre président. En Hollandie, comme en Sarkozie, on ne traite pas très bien les opposants. En Russie on les accuse de fraude fiscale pour mieux les écarter, ici, on les accuse d’outrage à agents ou même de violences…

     

    Nicolas est l’un des fondateurs du mouvement des « veilleurs », ce mouvement qui organise des rassemblements qui ressemblent à des messes le soir, avec des bougies et des chants, pour protester contre la loi Taubira. Le 16 juin, après avoir participé à une manifestation près de la chaîne M6 où Hollande est en train de s’enfoncer encore un peu plus dans les profondeurs de son impopularité, Nicolas est poursuivi par des policiers. Il se réfugie dans une pizzeria d’où il sort finalement ficelé comme un saucisson par une dizaines de policiers héroïques qui risquent leur vie pour l’arrêter.

     

    Pour cet exploit et pour l’ensemble de son œuvre, Nicolas écope de 4 mois de prison, dont 2 fermes pour dégradations volontaires et rébellion contre les forces du désordre.

     

    Les opposants politiques

     

    Le 29 mai 2013, Valérie Trierweiler et Manuel Valls se rendent au théatre des Champs Elysée pour assister à une représentation. Alors que madame Trierweiler descend de voiture, quelques manifestants se mettent à crier : « Hollande, ta loi, on n’en veut pas ».

     

    Il faut voir avec quelle sauvagerie, les policiers se jettent sur les manifestants, coups de poings, coups de pieds, les jeunes sont traînés par terre.

     

    Un gamin d’une quinzaine d’années qui s’est fait plaquer au sol par 3 CRS dont 2 sont assis sur lui est paralysé par une clé de bras. Après un moment de calme, il retrouve son souffle et se remet à crier. « Hollande, ta loi, on en veut pas ».

     

    Les policiers se remettent immédiatement à l’écraser et l’un d’entre eux tente de lui casser le bras. A côté de lui, 2 jeunes filles sont tenues par 2 femmes policiers" (suite).
    http://www.lesalonbeige.blogs.com/
  • Le pays légal ne se gêne plus pour truquer les élections : Le président du CSA, Olivier Schrameck, pour la fin de l'égalité du temps de parole à la présidentielle

    La version audio sur Huffington Post

    MÉDIAS - Cette règle qui agace les médias audiovisuels pourrait bientôt disparaître. Interrogé mercredi 24 juillet sur France Inter (voir la vidéo en haut de l’article à partir de 08’52") au sujet de la stricte égalité du temps de parole pendant l’élection présidentielle, le président du CSA Olivier Schrameck s’est clairement prononcé pour son assouplissement.

    La stricte égalité du temps de parole des candidats à la présidentielle est valable à partir du moment où les candidatures retenues par le Conseil constitutionnel sont rendues publiques, et ce jusqu’à la fin de l’élection. Les chaînes de télévision et les stations de radio sont alors tenues de comptabiliser les temps de paroles qu’elles accordent aux candidats dans toutes leurs émissions et de les communiquer au CSA, qui veille à ce qu’elles soient strictement exactes. En 2012, cela avait duré du 20 mars au 6 mai.

    L’idée d’un assouplissement a déjà été évoquée

    Olivier Schrameck a rappelé que l’idée d’un assouplissement n’était pas nouvelle, puisque le CSA avait déjà proposé de revoir cette règle sous la présidence de son prédécesseur, Michel Boyon. La "commission Jospin" sur la moralisation de la vie politique, dont il était membre, l’avait également envisagé.

    Si Olivier Schrameck a admis que le Conseil constitutionnel avait "montré quelques réticences", l’ancien conseiller d’Etat s’est dit prêt à s’engager le plus fortement possible pour que partout, et dans toutes les campagnes, l’équité se substitue à une stricte égalité" :

    "L’équité, c’est précisément la régulation dans le domaine politique, c’est à dire que l’on surveille la façon dont les différentes sensibilités, la force plus ou moins grande des campagnes, les alliances réelles et potentielles sont prises en compte dans la présentation des revendications politiques. (...) Il ne s’agit pas de trancher le temps en parts égales, il s’agit d’apprécier la pesanteur et la portée de la vie politique". Cette annonce a cependant suscité la critique, notamment de la part de Raquel Garrido, membre de la direction du Parti de Gauche. "Cet acte visant à maintenir l’hégémonie médiatique du Parti socialiste et de l’UMP est une très grave attaque contre les principes démocratiques", écrit-elle sur son blog, estimant que "le principe d’égalité est la seule garantie pour les citoyens d’accéder à une information non-biaisée et ainsi exprimer leur opinion, par le suffrage, en toute liberté de conscience".

    Huffington Post  http://www.actionfrancaise.net

  • Lettre à un veilleur

     

    Du fond de l'été, au coeur des vacances, au moment où certains croient et espèrent que les autres, tous les autres lâchent, nous recevons cette lettre à un Veilleur, à tous les Veilleurs, à tous ceux qui croient, à tous ceux qui veulent croire, à tous ceux qui espèrent, à tous ceux qui, si nombreux, ne lâchent rien, rien de rien.

     

    Veil"Je ne dirai pas mon nom. Je ne dirai rien sur moi. Rien, à part que j’ai 15 ans. Rien, à part que je ne suis pas homophobe, que je ne suis pas extrémiste, que je ne fais pas partie d’une secte, ni rien de ce genre, mais que je suis catholique, et que je fais partie, comme tous les adolescents, de la jeunesse française, et je m’intéresse à ces lois sociales qui sont discutées en ce moment, car elles vont constituer mon avenir, ton avenir, notre avenir, à nous les jeunes de France. Je ne dirai rien d’autre sur moi, rien, à part que, comme toi, ce soir, je veille.

    Dès le début, je savais que la loi Taubira allait passer, et pourtant, je n’ai rien lâché, j’espérais que je me trompais, que tout allait rentrer dans l’ordre. Et aujourd’hui, la loi est bel et bien passée, mais je ne lâche toujours rien. Je reste fidèle à ma façon de penser, à ma foi et aux engagements que j’ai pris un jour. Je veille, je prie, j’espère. Car je pense que contre un gouvernement qui nous ignore et nous méprise, ce sont nos meilleures armes, bien plus puissantes que les manifestations et la violence. Même si sur le moment, on se demande à quoi ces soirées passées à veiller vont servir, on se dit que cela ne servira sûrement à rien, je crois qu’on ne pense pas assez à l’avenir. Regarde les Vendéens par exemple : ils ont combattu pour leur foi et pour leur roi, peut-être en se demandant, comme nous ce soir, à quoi cela allait servir. VliEt aujourd’hui, trois siècles après, on parle encore d’eux ! On parle encore de ces paysans et de ces quelques nobles, qui ont eu le courage de se révolter contre un gouvernement qui les oppressait. J’aimerais tellement que dans trois siècles, on parle encore de notre mouvement, qu’on parle encore des veilleurs, qu’on parle encore de la Manif pour Tous… Alors, comme les Vendéens, Veilleur, je te demande de ne rien lâcher. De rester fidèle à toi-même, à ton idéal, à tes idées politiques, à tout ce qui te caractérise et fait de toi quelqu’un d’unique au monde.

    Malgré trois manifestations, et à chacune plus d’un million de personnes dans la rue, la loi est passée. Mais j’ai envie de dire, de crier, « Et alors ! » A la manière de Guillaume d’Orange dis-toi « qu’il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. ». Nous n’avons pas réussi à faire entendre notre voix. Alors ne t’arrête pas là ! N’abandonne pas ! Ne te dis pas « Après tout pourquoi pas ? » Non ! Pensons comme Tocqueville que « Ce qui met en danger la société, ce n’est pas la corruption de quelques uns, c’est le relâchement de tous. ». Veux-tu être la cause, par ton relâchement, de la perte de la société ? Non ? Alors ne lâche rien ! Je crois en toi. Ne te laisse pas influencer par les idées de la société moderne. Pense à moi, qui veille avec toi ce soir. Pense à ta famille. Pense à tous les manifestants, à tous les veilleurs, qui ont subit les violences policières, alors qu’ils n’avaient rien demandé. Pense à tous les innocents qui vont subir seuls les conséquences de cette loi. Que tu sois athée, catholique, protestant, juif, musulman, ou de je ne sais quelle autre religion encore, je ne te demande que quatre choses : prie, espère, veille, résiste. Pour la France, pour la famille, pour les manifestants et les veilleurs subissant des violences policières, pour les enfants.

    Courage ! Tout n’est pas fini ! Au contraire, tout vient à peine de commencer… Je crois en toi. Tu portes l’espérance, et moi aussi. On ne lâchera rien ! Jamais ! Jamais ! Jamais !

    Une veilleuse.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • PMA : retour en catimini ? Réagissez !

    Les vieux caciques socialistes du Sénat relancent le débat sur la PMA avec une proposition de loi relative à l’ouverture de la PMA aux couples homosexuels. En parallèle, l’Académie de médecine “enquête” sur les couples homosexuels demandant à être parents.

    Pour ce qui est des sénateurs socialistes, leur démarche est claire : pas question de renoncer à accorder aux homosexuels un droit à l’enfant, au nom de l’égalité et du progrès :

    « Par la loi n° 2013-404 du 17 mai 2013 ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe, nous avons dépassé un ordre du droit qui se fondait sur une norme sociale majoritaire, un modèle familial ignorant la pluralité des modes de parentalité qui existent. Ce modèle familial, comme tous les autres, ne relève ni de l'évidence ni de la nature. Il n'est qu'une construction sociale et a donc, par son principe même, vocation à évoluer. Mais le droit, entravé par diverses réticences et conservatismes, a tendance à se transformer moins promptement que la société sur les questions qui la concernent. […] Parce que nous défendons tout ce qui peut contribuer à permettre aux couples de personnes de même sexe de vivre comme les autres, nous voulons leur donner accès à ce que notre société permet dans un souci d'égalité. C'est ainsi que l'intégration des personnes homosexuelles progressera et que les diverses formes de stigmatisation qu'elles subissent disparaitront. »

    Tranquillement cyniques, les sénateurs prévoient déjà d’ignorer les débats :

    « Le Comité consultatif national d'éthique a été chargé de remettre un avis sur l'assistance médicale à la procréation. Si cet avis pourra nourrir un débat, quelles qu'en soient les conclusions, il ne demeurera qu'un avis soumis à l'appréciation du législateur. »

    Quant à l’Académie de médecine, sous prétexte d’enquête, elle prépare le terrain à une PMA ouverte aux homosexuels en sous-entendant que la chose se pratique déjà et qu’il s’agit juste de mettre la loi en conformité avec “l’usage” : les partisans d’une conception assistée ouverte aux homosexuels ne s’y sont pas trompés en saluant cette initiative et en parlant même d’organiser une désobéissance civile militante sur ce thème. Gageons que le gouvernement et François Hollande auront pour ces désobéissants les tendresses qu’ils refusent à leurs opposants.

    Réagissez ! Interpellez vos élus, veillez dans leurs villes, expliquez ce que signifie cette proposition de loi. Réclamez un véritable débat, ne laissez pas les partisans de la PMA/GPA confisquer la parole avec le soutien actif du gouvernement et des législateurs !

    • Le texte de la proposition de loi :

    http://www.senat.fr/leg/ppl12-786.html

    • Les sénateurs l’ayant déposé :

    http://www.senat.fr/senateur/godefroy_jean_pierre01011g.html (Cherbourg-Octeville)

    http://www.senat.fr/senateur/courteau_roland80013x.html (Sallèles-d'Aude)

    http://www.senat.fr/senateur/cazeau_bernard98029w.html (Ribérac)

    http://www.senat.fr/senateur/raoul_daniel01016m.html (Angers)

    • L’Académie de médecine

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/07/23/01016-20130723ARTFIG00502-pma-et-gpa-les-partisans-montent-au-front.php

    • Gènéthique

    http://www.genethique.org/sites/default/files/fckeditor/decryptage_genethique_enquete%20confidentielle_amp_gpa_gynecologue_de_france.pdf

    http://www.printempsfrancais.fr

  • Un œil sur le "hollandisme révolutionnaire"

    « Une démocratie fonctionne quand une partie des élites prend le parti du peuple. C’est ce qui pourrait se produire. D’où l’espoir que je place dans le “hollandisme révolutionnaire”... »

    Emmanuel Todd, mars 2012

    La reprise est là !

    Malgré les affirmations délirantes du chef de l’État le 14 juillet dernier, seuls des frémissements dans la tête de celui-ci permettent d’affirmer le commencement d’une quelconque « reprise », comme le soulignent les récents chiffres de Pôle emploi.

    Après trois mois de répit, l’emploi intérimaire a rechuté en mai. Avec une baisse de 1,4 %, le nombre d’intérimaires s’établissait à fin mai à 574 400. Sur un an, la baisse est de 6,5 %. Tous les secteurs ont enregistré une baisse de leurs effectifs intérimaires en mai : - 0,7 % dans l’industrie (qui représente 44,8 % des effectifs), - 1,5 % dans la construction et - 2,2 % pour le tertiaire.

    Toutes les catégories socio-professionnelles subissent des pertes de leurs effectifs intérimaires sur un an : - 4,1 % pour les ouvriers qualifiés, - 4,5 % pour les employés, - 9 % pour les ouvriers non qualifiés et - 10,1 % pour les cadres.

    L’emploi intérimaire est en baisse continue depuis juillet 2011, avec quelques mois de répit en 2012.

    Huchon et le logo à 400 000 €

    Jean-Paul Huchon, le président PS de la région Île-de-France s’est offert un nouveau logo. La région disposait déjà d’un logo, mais « Jean-Paul Huchon en voulait un second ».

    Celui-ci est composé de huit bâtons colorés représentant les départements d’Île-de-France et dessinant « en creux les contours de la Tour Eiffel », le tout accompagné de la mention en anglais (!) « Paris Région Source of Inspiration », D’autres mentions avaient été suggérées : Paris Créative Region, La créative Touch)...

    Sous la conduite de l’Unité Communication du conseil régional d’Île-de-France, une foule de prestataires s’est empressée de s’en mettre plein les poches. Notamment : l’agence de com’ Equancy, qui a « structuré » le projet pour 108 000 € ; ViaVoice, qui a mené une « étude » en sondant 800 personnes : 44 000 € ; la conception d’un site Internet dedié : 58 000 € ; le logo, « seulement » 70 000 €...

    La présentation de la campagne destinée à promouvoir la région prévue le 2 juillet et la création d’une association dotée d’un budget de « 2 à 4 millions d’euros » ont été annulées en catastrophe, et reportées en 2014 (certainement après les municipales...)

    À noter que ce gaspillage de l’argent public destiné à la communication au niveau régional n’est pas une nouveauté, puisque le conseil régional de Bretagne (présidé par le socialiste Pierrick Massiot) a également dépensé 400 000 € pour la confection de cette « marque territoire » et 440 000 € pour la région Alsace (présidé par l’UMP Philippe Richert).

    Cazeneuve le glouton

    François Hollande vient de prendre connaissance des propositions d’impôts « complémentaires » du ministre du budget, Bernard Cazeneuve, pour un montant de 4 à 6 milliards d’euros.

    D’après la Cour des Comptes, en 2011, les impôts et taxes ont augmenté de 16 milliards, de 22 milliards en 2012 puis de 33 milliards en 2013.

    Incapable de se contenir, le pouvoir poursuit sa tonte des Français. En 2014 seront notamment appliquées la baisse du quotient familial, la taxe à 75 % et l’augmentation des taux de TVA. Cazeneuve envisage aussi un nouveau coup de rabot sur les niches fiscales, une nouvelle taxe sur l’achat d’un logement, et bien d’autres surprises !

    http://www.egaliteetreconciliation.fr

  • M6 provoque la colère des fêtards de l'enfer

    Suite au festival Hellfest (Fête de l’enfer) à Clisson, une enquête critique de l’émission Zone interdite (M6) déchaîne les passions. Le reportage de Zone interdite est nuancé : il expose ouvertement les nuisances illégales des participants, leurs « provocations satanistes », l’étrange complicité des autorités et l'exaspération des habitants. Il met en évidence pour la première fois les incivilités et illégalités du hellfest avec en illustration des entretiens et des  témoignages édifiants, comme par exemple la scène avec les forces de police suite aux infractions de stationnement.

    Le reportage se déroule sur les plages 1'30 à 6'40 puis de 26' à 37' :

    • La plage 1'30 à 6'40 traite pour l'essentiel des nuisances sonores, sanitaires et de l'alcoolisation
    • 29'30 : une discussion surréaliste entre les forces de l'ordre et un riverain dont le terrain et le parking privatifs sont squattés
    • 32' : Un curieux dédommagement des riverains pour tenter de les amadouer
    • 33'50 : Des images du festival avec croix renversées en feu et groupes satanistes
    • 36' : L'illégalité par rapport au décibels et la réaction du maire divers gauche

    Ces faits sont dénoncés depuis quelques années par des opposants locaux : Provocs Hellfest, ça suffit.

    L’émission a provoqué la colère des « métalleux » qui ont lancé une pétition contre M6, exigeant des excuses publiques de la chaîne, pour « propos diffamatoires ». La violence des 'chansons' contre les chrétiens ne les a pourtant jamais choqués.

    Une contre-pétition lancée par le blog d'Hélène Bodenez "Raison garder" appelle à soutenir la chaîne.

    "Ce festival attaque les croyants, en particulier la croix des catholiques qui apparaît enflammée et renversée sur scène. Zone interdite offre au spectateur un reportage édifiant sur les pratiques en place : riverains obligés de partir de chez eux, agressés par les cris et les gestes des festivaliers, par le bruit des baffles, par des nuisances de tous ordres et que les images ont parfaitement montrés. Jusqu'aux gendarmes qui refusent de verbaliser."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/