magouille et compagnie - Page 2282
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Face à l’injustice de la Justice, organisons la riposte
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Manifestation pour demander la libération d’un « prisonnier politique »
22/06/2013 – 10h00
BORDEAUX (NOVOPress via Infos Bordeaux) – Environ 250 personnes se sont rassemblées hier en fin d’après-midi sur le Parvis des droits de l’homme à Bordeaux, afin de demander la libération d’un jeune étudiant incarcéré depuis mercredi. D’autres rassemblements ont eu lieu dans plusieurs autres villes, dont Paris et Nantes ; et il en est annoncé pendant le week-end.A Bordeaux, aux cris de « Liberté pour Nicolas », ou encore « dictature socialiste », les manifestants s’inquiètent d’une répression policière accrue « portant atteinte à la liberté d’opinion et de manifestation ».
Interpellé dimanche en marge d’un rassemblement organisé à Paris lors de l’interview de François Hollande sur M6, Nicolas B. a été condamné à deux mois de prison ferme avec mandat de dépôt immédiat pour « rébellion et refus de prélèvement ADN » !
Plusieurs avocats sympathisants de la Manif pour tous ont annoncé la prochaine mise en place à Bordeaux, comme dans d’autres villes, d’un collectif d’avocats pour défendre ou conseiller des opposants à la loi Taubira qui pourraient être interpellés ou poursuivis. « Pour être respectée, la justice doit être respectable« , a déclaré l’un deux. Après une dernière prise de parole appelant à « ne rien lâcher », les opposants au « mariage » homosexuel se sont dispersés dans le calme.
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Voudrait il mettre en route le Printemps français qu'il ne s'y prendrait pas autrement !
Question du député Jacques Myard au Premier ministre :
"M. Jacques Myard appelle l’attention de M. le Premier ministre sur la disproportion et l’ampleur des moyens mis en œuvre par les services de l’Etats à l’encontre des opposants au mariage anti homosexuel, parfaitement indignes d’un Etat de droit tel que le nôtre. Les témoignages et preuves étayées sur de très nombreux supports abondent et traduisent une dérive très préoccupante vers une répression politique qui bafoue les libertés publiques. Ainsi le seul port d’un t- shirt avec le label « la manif pour tous » ou un drapeau vaut confiscations, interpellations et arrestations, gardes à vue avec une pratique tout à faitarbitraire et disproportionné des moyens répressifs à l’encontre de manifestants. Dernier exemple en date, proprement scandaleux un jeune homme qui a osé manifester sous les fenêtres d’une chaîne audiovisuelle où était interviewé le président de la République fait l’objet d’une comparution immédiate et se retrouve aussitôt en prison, avec une peine de 4 mois dont deux fermes ! Cette sévérité hors norme et sans aucun fondement est à mettre en parallèle avec le traitement plein de mansuétude de délinquants acteurs de violences inqualifiables comme les jeunes braqueurs du RER D de Grigny., Il est aisé pour nos concitoyens choqués de voir qu’il y a une politique de deux poids deux mesures. Ces agissements arbitraires ne démobiliseront pas nos concitoyens qui veulent pouvoir continuer à manifester leur opposition vigoureuse mais pacifique à ce projet de société. Jacques Myard lui demande de bien vouloir faire cesser sans délai ces pratiques abusives , et de garantir effectivement aux Français le droit de manifester sans être inquiétés par les excès de zèle policiers, contraires aux principes qui fondent notre démocratie."
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L’UE a envoyé 1 milliard d’euros à l’Egypte mais personne ne sait où est passé cet argent
Mahmud Hams
Sur les 7 dernières années, l’UE a donné 1 milliard d’euros à l’Egypte pour soutenir la démocratie et les droits de l’homme, mais les auditeurs de la Cour des Comptes européenne ne savent pas comment cet argent a été utilisé. «Ils n’ont pas du tout rempli les conditions, et néanmoins, l’argent leur a été tout de même remis », note Karel Pinxten, l’eurocrate de la cour qui s’est occupé de ce dossier.
Les auditeurs ont conclu que le gouvernement de Mohammed Morsi affichait encore moins d’intérêt que celui de son prédécesseur, Hosni Moubarak, pour les programmes de l’UE censés développer les droits de la société civile, ceux des femmes et des minorités. « Il est assez clair que sous le régime de Moubarak, mais aussi maintenant sous celui de Morsi, du côté égyptien, il n’y avait pas une très grande volonté de collaborer avec la Commission. Et c’est encore en dessous de la vérité », affirme Pinxten. Le rapport note même « une aversion croissante envers la société civile et plus largement les droits de l’homme » depuis les soulèvements en Egypte en 2011. Les droits des femmes ont reculé, et ceux des minorités sont de plus en plus menacés, notamment pour les Chrétiens.
Pinxten réclame que l’on en réforme la politique d’attribution. « Cette inaction de l’UE tourne sa politique des Droits de l’Homme en plaisanterie », a estimé Guy Verhofstadt, qui préside le groupe parlementaire Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe (ALDE) au Parlement européen. Il demande que l’UE envisage de suspendre le versement de ces fonds.
Source: express.be
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Manif pour Nicolas au Panthéon : "La vérité est avec nous et la vérité rend libre"
Ainsi s'exprime en direct et devant une foule immmense la mère de Nicolas qui lance un appel au calme avec une dignité qui invite à l'admiration (lire ici la lettre des parents de Nicolas).
Avant c'était maître Gruau qui avait la parole :
"Il a été coursé par les forces de police sans raison (...)
3 jour et 3 nuits avant d'être jugé pour rien. On commence à être habitué (...)
Il a été purement et simplement mis en prison. Nous avons fait une demande de liberté en appel".
Auparavant, c'était M Legaret qui prononça un discours :
"La France est un pays de liberté, liberté qui a été conquise parfois au prix de la vie de nos ancêtres (...)
Aujourd'hui, Nicolas est victime d'une lettre de cachet (...)
On a gardé à vue des étudiants, des Marianne. Aujourd'hui, on a embastillé Nicolas".
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Le Pape appelle à abroger la loi Taubira : merci François !
Il n’a pas sa langue dans la poche, notre pape François, et c’est pour cela qu’on l’aime. En rappelant aux 45 députés et sénateurs français, reçus en audience samedi au Vatican, que leur tâche peut également consister à « abroger des lois », en affirmant que l’Église « désire apporter sa contribution spécifique sur des questions profondes qui engagent une vision plus complète de la personne et de son destin », non seulement au niveau « anthropologique ou sociétal, mais aussi dans les domaines politique, économique et culturel », et en se félicitant que « la société française redécouvre des propositions faites par l’Église […] qui offrent une certaine vision de la personne et de sa dignité en vue du bien commun », le nouvel apôtre des pauvres prouve à nouveau son courage et sa perspicacité.
Son courage, on n’en doutait plus ; la réforme de gouvernement de la curie qu’il a engagée, sa parole vraie, directe et incisive vis-à-vis de quelques princes cléricaux carriéristes en attestent. Mais l’allusion claire à l’abrogation de la loi Taubira, qu’il relie à une redécouverte en France de la doctrine sociale de l’Église, révèle sa capacité à comprendre ce qui se vit chez sa fille aînée, éternelle jouvencelle, d’une manière bien plus lucide que la plupart des administrateurs, élus ou non, du vieil Hexagone.
S’il est une nation qui a été ratiboisée dans son identité par un laïcisme anticlérical, c’est bien la France. S’il est un pays où moins qu’un autre on pouvait imaginer que des chrétiens, que l’on croyait affadis et tous au moins septuagénaires, se lèvent au nom de leurs valeurs contre un projet de loi gay-friendly, c’est bien celui de la première convention.
Pourtant, la profondeur de ce qui se dit dans les assemblées de Veilleurs partout en France chaque soir, la vitalité des engagements de groupes comme les Mères Veilleuses ou les Hommen, la sagesse qui inspire des associations soucieuses de la formation des leurs, comme Alliance Vita ou Renaissance catholique, témoignent d’une singulière conception anthropologique puisée aux sources d’une Église aussi inspirée qu’à son origine.
Ils ont raison, les commentateurs, quand ils parlent de radicalisation, à condition qu’on la comprenne au sens de retour aux racines que donne son étymologie. Et n’en déplaise à quelques culs bénis, faux chouans et vrais tartuffes, qui cachent leur tiédeur derrière une pseudo-prudence de façade, c’est une bonne chose ! C’est le retour aux racines d’une civilisation qui a porté au plus haut la dignité de l’être humain et à laquelle quelques apprentis sorciers alliant malthusianisme et théorie du genre voudraient substituer la leur, toute imaginaire qu’elle est.
45 parlementaires français vont revenir de Rome, exhortés par le Pape d’insuffler aux lois un « esprit, une âme qui ne reflète pas uniquement les modes et les idées du moment ». Ils vont rencontrer dans leurs départements et leurs circonscriptions des Français galvanisés par neuf mois de combat et de résistance contre une loi parfaitement emblématique de ce qu’est un « projet tendance » dépourvu de tout fondement naturel solide. Si tout ce petit monde est capable de s’entendre, d’entendre surtout le souffle mystique qui peut rendre au sel d’un peuple le goût qu’il croyait avoir perdu, les mois qui viennent nous promettent d’être particulièrement épicés.
Merci François !
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TOUS A PARIS DIMANCHE
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Comptes en Suisse : une nouvelle affaire d'Etat ?
C'est ce que pense Antoine Peillon, journaliste à La Croix, spécialiste de l'évasion fiscale et frère du ministre de l'Education nationale, après les révélations faites le 13 juin dernier par Pierre Condamin-Gerbier, ancien employé de la banque Reyl & Cie :
"Antoine Peillon, grand reporter au quotidien « La Croix » et auteur l’an passé d’un ouvrage remarqué sur les activités illicites de la banque UBS en France, détient ces pièces.« Quand on découvre les identités des hommes politiques concernés, il n’y a pas vraiment de surprise, souligne-t-il. Les gens de droite sont un peu plus nombreux. À gauche, on trouve diverses personnalités ainsi qu’un membre éminent de l’actuel gouvernement."
Antoine Peillon déclare par ailleurs :
"Lors de notre dernière rencontre, le 29 mai à Genève, il m’a donné les noms et m’a expliqué les processus très complexes d’évasion fiscale. Je confirme qu’il y a sur cette liste des ministres et des anciens ministres. Nous sommes potentiellement en face d’une autre affaire d’Etat, puisqu’il s’agit de situations dont il a été le témoin direct.
Je remarque que je ne suis pas le seul à lui accorder une grande crédibilité. Depuis le mois de février, il est relation avec la police judiciaire et les douaniers qui ont été mobilisés par des juges d’instruction pour enquêter sur l'évasion fiscale."
Quant au ministre éminent du gouvernement, il y a eu la piste Fabius lancée maladroitement par Libération et démentie par l'intéressé. Il y a désormais la piste d'un ministre aux origines suisses évoqué dans un article payant de ce site (article le plus lu avec plus de 5 000 vues). Nul doute que Manuel Valls va rapidement démentir...
En attendant, Bercy s'inquiète et exige les noms.
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23 juin : manifestation devant la Préfecture de Lyon à 18h
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Communiqué de l'Action française : Nicolas, prisonnier politique
Quand le sectarisme le dispute à la haine.
On ne cesse de le répéter, nous sommes sous le joug d’un Etat totalitaire qui utilise la justice comme une arme de répression. Il ne suffisait pas que les « inspecteurs la bavure » sévissent sur nos trottoirs matraquant et gazant tout ce qui de près ou de loin ressemble à un manifestant anti-Taubira.
Maintenant on est passé au degré supérieur : vous êtes patriote, vous êtes catholique, ? Allez tout droit en prison sans passer par la case départ.
La justice, comme son nom l’indique, est censée analyser les situations, examiner le contexte, être juste quoi.
Non, naïfs que vous êtes, ça c’est fini, c’était avant.
Le changement c’est maintenant.
Nicolas, jeune homme de 24 ans en marge de la manif devant les locaux de M6, sans casier judiciaire, a eu le malheur de prendre la fuite devant une dizaine de flics (en civil) armés de « tazer » et de matraques, et de se réfugier dans un restaurant. Il a été frappé à terre devant les clients de l’établissement horrifiés.
Comme il fallait justifier une telle violence complètement gratuite, il a été déféré, jugé et immédiatement incarcéré. Deux mois de prison ferme et une amende.
Tandis que pratiquement dans le même temps, la bande qui a attaqué le RER D et dévalisé les voyageurs est relaxée.
Si on ne voit pas que notre justice s’intéresse plus au délit d’opinion qu’à la délinquance crapuleuse, que notre république a remplacé nos juges par des accusateurs publics, c’est que ce régime de terreur a déjà fait son œuvre dans les esprits, devenus lâches, résignés ou contaminés par la haine distillée par le pays légal contre les Français sans doute jugés trop honnêtes pour être honnêtes.
Désormais, les choses sont claires. Il n’y a plus d’Etat, plus de justice, une police de « tontons Macoutes ». On n’attend plus que Duvalier pour oindre notre président normal.
Nous disions résistance et on nous disait outranciers.
Les donneurs de leçon, méprisants et/ou bigleux ne voient pas plus loin que leur assiette de « fastfood »
Mais, qu’on me permette cette échappée grandiloquente, ils ne voient pas « le vol noir du corbeau sur nos plaines », ils n’entendent pas « le cri sourd du pays qu’on enchaîne ».
Cela veut dire, petit père, que nous sommes appelés à résister et, de fait, dans une certaine radicalité, puisque le pouvoir use de la force sans modération, comme ferait une armée d’occupation si elle avait à mater les plus dangereux : ceux qui défendent les valeurs constitutives de la patrie.
Alors debout armée de l’ombre, apprêtons nous au combat, sans arme, puisque nous avons choisi la non-violence, mais sans faiblesse.
On ne lâche rien.
Le Centre Royaliste d’Action Française http://www.actionfrancaise.net