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magouille et compagnie - Page 2280

  • Le cauchemar démocratique de François Hollande

    François Hollande et ses ministres ont-ils peur du peuple français ? Lui président, qui, entre tant d’autres actions d’éclat, devait rassembler les Français, est en passe en effet de les réunir, mais contre sa personne, sa politique et son gouvernement.

    Ceux qui étaient présents le 14 juillet sur les Champs-Elysées ont pu mesurer l’impopularité du cher dirigeant aux sifflets et aux huées qui s’élevaient partout sur son passage, au long d’une descente de l’avenue qui a dû lui sembler interminable. Heureusement pour lui, les techniciens de chaînes de télévision savent à merveille contrôler le son et l’image pour que les français n’entendent pas ce qu’ils ne doivent pas entendre et ne voient pas ce qu’ils ne doivent pas voir : telle est la conception française de l’information. Ni les sifflets le 14 juillet, ni les drapeaux de la Manif pour tous agités à profusion sur le Tour de France n’ont été portés à l’écran : ceux qui les ont entendus ou vus ont dû rêver. [...]

    La suite sur Les 4 Vérités

    http://www.actionfrancaise.net

     
  • « Je me fous des Bretons » (Nicolas Sarkozy)

    PARIS (NOVOpress Breizh) – Nicolas Sarkozy a de gros problèmes d’argent. Au 31 juillet, son parti l’UMP, doit – ou devrait – rembourser aux banques un prêt de 11 millions d’euros, or l’Etat ne remboursera pas cette somme au parti en question car les comptes de campagne de M. Sarkozy – correspondant à l’élection présidentielle de 2012 – ont été invalidés par le Conseil constitutionnel. Ben sûr, l’inquiétude n’est pas de mise puisque les banquiers accepteront de bonne grâce le rééchelonnement de la dette.

     

    En effet le principal créancier concerné, la Société générale, dont le PDG n’est autre que Frédéric Oudéa, ancien conseiller de M. Sarkozy lorsque celui-ci était ministre du Budget, en 1993. Sous la présidence de M. Sarkozy, la Socgé a bénéficié en décembre 2008, de deux emprunts d’Etat de 1,7 milliard d’euros chacun. On voit mal, dans ces conditions, comment la banque et l’UMP pourraient ne pas trouver un accord pour quelques millions (Libération, 09/07/13).

    Cette question ne peut laisser indifférent M. Sarkozy car ce dernier s’était porté caution solidaire du prêt de 11millions d’euros que le parti doit rembourser au 31 juillet (Le Monde, 09/07/13). D’où l’organisation d’un « Sarkothon » destiné à trouver des fonds permettant de couvrir cette dette. SelonLes Echos (22/07/13), près de 7 millions d’euros auraient déjà été récoltés. Une somme suffisante, d’après Jean-François Copé, pour que les banques acceptent d’accorder un nouveau prêt si la somme de 11 millions n’est pas réunie. Donc l’ancien président de la République pourra partir en vacances l’esprit tranquille. Certes, les esprits chagrins font remarquer que le parti compte 44 millions de dettes, en dehors du prêt de 11 millions à rembourser pour la campagne de Sarkozy. Pour revenir à l’équilibre fin 2016, il doit rembourser 11 millions d’euros par an à quatre banques à qui il a emprunté 55 millions d’euros (Le Monde, 03/07/13).

    Bien sûr, il faut tenir compte du financement public dont bénéficie l’UMP, à savoir 19,87 millions d’euros en 2013 (Journal Officiel du 28/05/13), à quoi s’ajoutent les cotisations des adhérents et des élus.

    Soucieux d’aider Nicolas Sarkozy à sortir de ce mauvais pas, le Canard enchaîné (10/07/13) propose six pistes pour « faire du fric » et lutter contre le surendettement. L’une d’elle consiste à « discourir plus ». En effet l’ancien président de la République s’est lancé dans une carrière de conférencier international. Il parait que M. Sarkozy est un orateur recherché. Ses prestations sont généralement évaluées à 100.000 dollars (1 euro = 1,30 dollar).

    En douze mois, Nicolas Sarkozy est allé dispenser ses avis et analyses sur la situation préoccupante de l’Union européenne, l’état de la mondialisation ou les perspectives de sortie de crise aux Etats-Unis, en Russie, en Chine, à Singapour, au Brésil, en Lybie, au Qatar, au Canada et enfin en Grande-Bretagne. Et, d’ici à l’automne, le « Sarko tour » est annoncé en Israël et au Mexique (Le Nouvel observateur, 11/07/13). En octobre dernier, à New York, invité par le groupe brésilien BTG Pactual, principal fonds d’investissement d’Amérique latine, il aurait empoché 120.000 dollars, pour une conférence à Las Vegas, invité par la société américaine de gestion d’actifs Skybridge Capital, il serait reparti avec 200.000 dollars. Début juin, à l’hôtel Intercontinental de Londres, l’ancien président a dû se contenter de la moitié pour s’exprimer devant des représentants de la banque Goldman Sachs. Bref le dépôt de bilan n’est pas pour demain.

    L’entourage de M. Sarkozy s’est empressé de claironner que l’intéressé avait versé 7.500 euros à la caisse du parti, le maximum autorisé par la loi. « Or, en tant que candidat à la présidentielle, Sarko n’est pas tenu à cette règle : il peut légalement, s’il le veut ou le peut, payer l’intégralité de la douloureuse. Soit les 11 millions que l’Etat ne remboursera pas à l’UMP du fait du rejet de son compte de campagne. Ou au moins les pénalités subsidiaires : la restitution au Trésor de l’avance forfaitaire (153.000 euros) ainsi que le paiement au même Trésor de l’« amende » de 363.615 euros infligée au candidat « pour dépassement » par la Commission nationale des comptes de campagne. » (Canard enchaîné, 10/07/13).

    Consentir un effort supplémentaire ne serait pas de trop pour celui qui chantait au début de l’année 2008 : « Pour l’instant je fais président, mais un jour j’irai faire du fric. » Rappelons que le candidat Sarkozy s’est porté « caution personnelle » auprès des banques pour obtenir un crédit relais de 11 millions d’euros ».

    En attendant, les adhérents sont priés de faire un effort pour aider le parti et éviter à M. Sarkozy d’avoir à sortir un chèque autrement plus conséquent que celui de 7.500 euros donnés récemment. A cette occasion, il ne semble pas inutile d’attirer l’attention des adhérents bretons de l’UMP sur ce que le « petit mari » de Carla pense d’eux.

    Dans son dernier ouvrage, « Breizh bric-à-brac » (Palantines), Yann Lukas rappelle un évènement qui situe le personnage Sarko. « Qu’est-ce qu’on va foutre dans un cercle opérationnel sinistre, à regarder un radar ? Je me fous des Bretons. Je vais être au milieu de dix connards en train de regarder une carte ! Grand sens politique, vraiment ! ». C’était le 1er mai 2007 au Cross Corsen, dans le Finistère. Yasmine Reza rapporte ces propos de Nicolas Sarkozy dans son livre-enquête, L’Aube, le soir ou la nuit, sorti le 24 août 2007. A partir de l’automne 2006, elle avait suivi le candidat pendant sa première campagne présidentielle. Sa relation des faits n’a pas été démentie. Des propos qui font dire à certains qu’un(e) Breton(ne) possédant un brin de dignité de donne pas un sou à Sarko.

    http://fr.novopress.info/

  • L'homofascisme des LGBT

    Douglas McIntyre, fondateur de la petite association « Les homosexuels anonymes » va rendre visite à dix grandes villes américaines où il a l’intention de demander au Congrès la protection des personnes qui ont été homosexuelles contre les crimes de haine. Il dénonce « les menaces et le harcèlement menés à l’encontre des anciens homosexuels » et « l’homofascisme », c’est-à-dire

    « les intimidations des homosexuels qui pensent que seul leur point de vue sur l’homosexualité peut être toléré ». « Bien qu’ils prêchent la tolérance pour les gays, ils pratiquent couramment la discrimination envers les ex-homosexuels comme moi qui ont pris un chemin différent ».

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Mettre un terme aux interventions du FMI ?

    130722A

    Minimisée, dédaignée, déformée par les médiats hexagonaux la polémique entre les autorités européennes et le Fonds monétaire international mérite qu'on s'y attarde.

    De quoi s'agit-il en effet ?

    Dès le 16 juillet, sur le site de "Die Welt" était publié un long article relatant la teneur d'un entretien avec Mme Viviane Mme Reding, vice-présidente de la Commission européenne, à paraître en date du 17 dans les colonnes de la "Stuttgarter Zeitung".

    Le site internet du Figaro (1)⇓, reprenant l'AFP résume sa nouvelle mise en garde sous le titre suivant "UE : Viviane Reding veut abolir la troïka"(2)⇓

    Un peu court, semble-t-il, par rapport au long texte à l'origine du débat. La responsable européenne considère, entre autres, que la "troïka" cette émanation supposée des "bailleurs de fonds internationaux" a, désormais, "fait son temps". Elle fait remarquer que sa mise en place en 2010 remonte à une période où l'Europe ne disposait pas des dispositifs de stabilité, adoptés depuis.

    À cet argument juridique elle en ajoute un autre : celui de l'impopularité grandissante, pour ne pas dire les campagnes de haine orchestrées à bon compte contre les trois technocrates dans les diverses capitales où ils viennent régulièrement inspecter les mesures de rigueur planifiées et, probablement, nécessaires.

    Au bout du compte la question que pose Mme Reding porte sur la légitimité d'une intervention extra-européenne, celle du FMI, en Europe. (3)⇓ Le Fonds Monétaire International intervient-il quand les collectivités locales américaines font faillite ?

    L'intervention du FMI fut inventée en 2010, sous prétexte de "sauver l'euro", par Strauss-Kahn, avec l'appui de son prête-nom, président de l'Internationale socialiste et, accessoirement chef du gouvernement d'Athènes, Georges Papandréou.

    Mme Lagarde, a prétendu réagir au nom du FMI mis en cause. Ci-devant ministre des Finances du gouvernement Fillon, ayant succédé en juin 2011 à Strauss-Kahn, empêché, à la tête du FMI, elle a cru bon d'ironiser avec toute l'arrogance dont les oligarques parisiens savent exaspèrent nos voisins : ils ne débattent pas, ils n'argumentent jamais, ils "expliquent".

    Devons-nous penser qu'en toutes circonstances les solutions du FMI sont les bonnes ? Non : les économistes de cette organisation viennent officieusement de reconnaître eux-mêmes qu'ils ont accumulé les erreurs dans la gestion de la crise de la dette des pays de l'Europe du sud.

    En regard deux choses méritent d'être retenues dans cette affaire, outre le fait que la [méchante]* Luxembourgeoise de Bruxelles (4)⇓ peut avoir raison, sur ce point et la [gentille] Française de Washington avoir tort. Incroyable n'est-ce pas ?

    Le FMI ne représente pas l'assainissement nécessaire des finances publiques d'États mis en faillite par les démagogies et les bureaucraties syndicales. Le FMI n'est que l'embryon de la gouvernance technocratique mondialiste.

    Sa présence dans la "troïka" a fait son temps.

    JG Malliarakis  http://www.insolent.fr/

    Apostilles

    1. cf. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/16/97001-20130716FILWWW00522-ue-viviane-reding-veut-abolir-la-troika.php
    2. Depuis 2010 on appelle ainsi le comité de trois technocrates représentants respectifs du FMI, de la Commission européenne et de la Banque centrale européenne supposés apporter "la" solution aux résorptions des dettes souveraines en Europe dans le cadre de la monnaie unique.
    3. Dès le règlement, assez "novateur", de la crise chypriote on savait que les représentants de l'Union européenne n'avaient pas apprécié pas la solution spoliatrice des déposants. Or elle fut imposée par les services de Mme Lagarde. Un lapsus du jeune président socialiste néerlandais de l'Eurozone s'en était suivi. IL fut très vite démenti sur le principe… et confirmé cependant par les décisions ultérieures. Il s'agissait bien de faire de la procédure un précédent que l'on prétend renouveler dans les autres crises analogues.
    4. Mme Viviane Reding dispose habituellement de toutes les qualités nécessaires pour désobliger les adversaires de l'eurocratie. À vrai dire les médiats parisiens, les souverainistes hexagonaux et les inconditionnels du droit de l'État ne parlent jamais d'elle. À peine se souviendra-t-on qu'en 2010 elle avait engendré une controverse position contre les déclarations du président français à propos des gens du voyage. Or, après avoir été l'éditorialiste du principal quotidien du Grand-Duché, le Luxemburger Wort, cette ancienne sorbonnarde, née en 1951, est devenue, à partir de 1999, l'un des piliers de la Commission européenne. Elle en assume aujourd'hui la charge de la Justice, des droits fondamentaux et de la citoyenneté. Ainsi Mme Reding joue-t-elle donc un rôle pivot au sein de cette Europe institutionnelle tant décriée dans le pays même qui en a conçu la plupart des dispositifs : la France, ou plutôt ses représentants officiels, ès Delors et Lamy pour le traité de Maastricht, d'où sont sortis l'euro et la Banque centrale, ès Juppé pour le calamiteux traité de Nice, ès Giscard pour la constitution avortée devenue Traité de Lisbonne.
  • Un peu de jugeote, M. Le ministre de l’Intérieur, par Manuel GOMEZ

     

    Ne noyez pas le poisson, Manuel Valls, ce ne sont pas des « fondamentalistes » qui ont assiégé le commissariat de Trappes, qui ont créé une émeute, brûlé des voitures et des poubelles et jeté des cocktails Molotov, mais de jeunes musulmans qui refusent que les lois de la république leurs soient appliquées…

     

    Même si c’est un « fondamentaliste » qui a exposé sa femme entièrement voilée afin de provoquer justement cette réaction.

     

    Heureusement d’ailleurs car, dans le cas contraire, ce serait tous les musulmans qui seraient « fondamentalistes »… ce que je ne veux pas croire.

     

    Je suis d’ailleurs très étonné du silence de toutes ces associations communautaires qui se gardent bien de sanctionner cette mini-révolte, alors qu’elles s’empressent de s’émouvoir et d’intervenir auprès de tous les médias dès le moindre contrôle au « faciès » ou le plus petit propos qu’elles estiment « raciste ».

     

    Après tout, enfreindre les lois républicaines est-ce que c’est si grave ?

     

     

    On promène sa femme entièrement voilée, on tente d’étrangler un policier, on est à l’origine volontaire d’une agression massive contre les forces de l’ordre, et on est remis en liberté !!

     

     

    Alors qu’un simple manifestant contre le « mariage pour tous » a été maintenu, lui, en prison.

     

     

    Bizarre la justice en France, de nos jours… oui j’ai bien dit « bizarre ».
  • France, Europe, Vie : une liste pour faire vaciller le système

     

    Béatrice Bourges explique à Nouvelles de France l'intérêt de la liste constituée pour les élections européennes :

     

    "[N]otre annonce a créé la surprise et tant mieux. Ceux qui ont été les plus virulents sont ceux qui font partie du système des partis traditionnels.

    D’une part, l’UMP qui a été prise de court et a eu l’impression de se faire doubler alors que certains cadres sont actuellement en train d’effectuer de grandes manœuvres pour aller draguer les électeurs du FN, tout en continuant à prendre des airs choqués lorsqu’on leur parle de ce parti. Ils vont continuer à appeler au front républicain, ce que je trouve insupportable et d’une grande hypocrisie. Voilà des années qu’ils se trompent d’adversaires.

    D’autre part, le FN qui, avouez le, n’a pas été clair sur les sujets qui nous mobilisent depuis maintenant 10 mois. Il ne suffisait pas de dire qu’on était contre la loi, il fallait le prouver. Mais c’était bien difficile puisqu’on sait qu’à l’intérieur même du FN, les avis sont très partagés. En revanche, certaines personnes à l’intérieur de ces partis se sont battues avec courage et détermination. Je pense par exemple à Marion Maréchal-Le Pen, qui n’a pas eu le droit de monter à la tribune des grandes manifestations alors que son discours était particulièrement clair et sans ambiguïté. Du côté de l’UMP, certains élus se sont aussi battus avec courage. À gauche aussi, on a pu apprécier les prises de position à contre-courant de certains élus particulièrement valeureux, tels Bruno Nestor Azérot.

    Ce qui prouve bien qu’il faut inventer autre chose.

    Le paysage politique va se recomposer autour de deux visions de la société : celle qui est fondée sur le réel, qui a pour objectif le Bien commun. C’est celle qui ouvre notre société à la vie, aussi bien la vie économique, que la vie sociale, sociétale etc. et, a contrario, celle qui nous emmène dans une impasse car fondée sur une vision idéologique et mortifère. C’est celle qui fonde les lois sur le désir des minorités et donc favorise le communautarisme, celle qui veut faire des personnes humaines de simples individus producteurs consommateurs. [...] 

    Patrick Louis était d’accord sur la démarche. J’étais moi-même allée à Lyon pour lui demander de se joindre à l’aventure. Il a accepté rapidement, après avoir obtenu l’accord de Philippe de Villiers. Mais l’opération s’étant faite en quelques jours,  le rôle de chacun n’a pas été suffisamment bien préparé et quelques maladresses, en particulier en temps de parole, ont pu faire croire à Patrick Louis qu’il n’avait pas autant de place dans l’initiative qu’il était en droit de réclamer. Ce que révèle cet épisode, c’est que les personnes ne doivent pas occulter le fond. La convergence entre les hommes se fera le moment venu. [...]

    Les journalistes n’ont pas compris ce qui se jouait. Ils ont donné une vision uniquement centrée sur quelques personnalités politiques. Ce n’est pas surprenant. On ne bouscule pas des décennies de conformisme en une seule conférence de presse !

    [...] Nous n’avons pas pour objectif des pourcentages mais de faire vaciller un système à bout de souffle. La question des résultats attendus est une bonne question si on la resitue dans la perspective européenne. [...]

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Violents affrontements entre racailles et militaires

    Voici le témoignage édifiant d’un ami d’un militaire du 126ème régiment d’infanterie de Brive qui raconte comment des « chances pour la France » agressent des familles de militaire, tabassent une femme enceinte de 7 mois à tel point qu’elle perdra son enfant et poignardent dans le dos un jeune engagé. La police ne fait rien pour protéger les familles et met les militaires qui se défendent en garde à vue. Quant à la réaction de la hierarchie militaire, ça se passe de commentaire…

    Bonjour,
    Je tiens à informer que des évènements graves se déroulent actuellement sur Brive, garnison du 126ème Ri!
    L’histoire commence dans une résidence privée ou des familles avec enfants profitent de ce qui paie! Des gens de la cité voisine, viennent squatter,seulement ils commencent a mettre le souk donc une invitation à sortir leur est faite car leur dérive commence a devenir dangereuse, pour les enfants notamment!
    Un mili étant avec sa compagne sur les lieux, leur demande de quitter les lieux, le ton monte car ces messieurs sont accompagnés et sont en bande!
    ça dégénère, un autre militaire arrive et la situation dégénère, le second militaire accompagné de sa compagne enceinte tente d’arrêter ça car son compagnon se fait passer à tabac! Elle se fait à son tour prendre à partie alors qu’elle est enceinte et que cela se voit!!!
    Bilan, elle finit à l’hôpital et perd son petit garçon à la suite des coups reçu!!! Il nous semble que cet acte porte un nom et fait partie d’une certaine catégorie!
    Le lendemain, des militaires se réunissent et vont dans le quartier concernés! Ils y vont non armés comme certains pourraient le prétendre! Le ton monte parce que « eh les militaires vous faites quoi chez nous!!! » je ne cite que les débuts des propos qui sont soft car la suite, vous pourrez l’imaginer amplement! ça commence à courir, forcément ça galope bien en face donc aucun coup aura été donné de la part des militaires! seulement en face, les gens du quartier ont tirer sur les militaires à coups de feu!
    A l’arrivée des forces de l’ordre et afin de ne pas trop envenimer les choses les militaires décident de quitter les lieux sans heurt avec les forces de l’ordre que nous respectons!!!
    Les jeunes eux, par la suite s’en prendront à eux et aux pompiers venus pour éteindre les différents feux!
    Le lendemain, 3 militaires isolés en ville dont un gars des iles se sont fait prendre en embuscade par les gens du même quartier, un militaire prendra un coup de couteau et finira à l’hôpital! Les gens de ce quartier n’en resteront pas là, ils iront aux abords de la résidence et donnent des coups de feu sur les appartements des militaires!
    Le soir même,tard, après ces évènements, le régiment est rassemblé par le chef de corps, annonce faite de la mort du bébé et des incidents, appel au calme fait par le chef de corps et les hautes autorités! seulement décision d’interdire la sortie aux militaires, notamment à tous les tahitiens!
    Renfort de CRS arrivé sur Brive, car peur que d’autres garnisons ne s’en mêlent,il faut dire et surtout avouer que Brive n’est pas la seule garnison à avoir des soucis avec les quartiers!
    Seulement impunité des gens du quartiers des chapélies qui viennent provoquer aux abords direct de la caserne et menacent entre autre tous militaires rentrant du dimanche, trajet gare/ caserne qui passe par chez eux!
    Aucune interpellation des gens concernés par la mort de ce bébé,par contre le papa et 2 autres militaires sont placés en garde à vue!!!
    Dimanche soir un jeune engagé, rentrant de ses perms et n’étant pas au courant des évènements a été attaqué par derrière et à subi des coups de cutter dans le dos!
    A savoir que lors de la venue des militaires dans ce quartier pour voir les auteurs! les militaires n’étaient pas constitués de casseurs, voleurs ou autres types d’individus malsains et sans valeurs!
    Ce matin 2 autres étaient appelés pour soi-disant témoignage ce matin à 9 heures du matin, en fait ce n’était pas pour prendre des témoignages mais pour placer des militaires en garde à vue!
    Là, je parle pour l’un d’eux, qui est mon ami, mon frère d’arme et je peux garantir les yeux fermés, qu’il n’y a pas plus « CLEAN » que lui car ce CCH est d’une valeur inestimable, toute personne le connaissant pourrait se porter garant de crédibilité!
    A notre plus grande surprise (Mauvaise), les médias ne relatent que très peu les faits, laissant même entendre que les fauteurs de trouble seraient les militaires! Les commentaires de certains compatriotes sont tout simplement insultants pour rester au premier degré!
    Nous nous demandons ou est la justice?
    Pourquoi les policiers ne sont-ils pas avec nous alors qu’ils ont tous les éléments?
    Pourquoi les médias nous salissent-ils comme ça??
    Pourquoi? et de qui viennent les ordres?
    Je crois que si nous nous posons les bonnes questions, les réponses font peur…………!

    Pour l’instant il n’y a que France 3 qui parle de cette affaire en déformant la réalité.

    http://www.contre-info.com/

  • L'Académie de médecine prépare les esprits à la PMA et la GPA

    Lu sur Le Figaro :

    "Un questionnaire portant sur leur expérience et leur opinion sur l'assistance médicale à la procréation (PMA) pour les couples de même sexe vient d'être adressé aux gynécologues obstétriciens par l'Académie nationale de médecine. Cette «enquête confidentielle», menée «notamment» pour le compte de l'Académie, explique une lettre d'accompagnement, et avec l'aide du Collège national des gynécologues obstétriciens français, s'inscrit dans le cadre d'un «groupe de réflexion sur l'ouverture éventuelle de la PMA et de la GPA à des indications non médicales». Un rapport prenant en compte les résultats de cette enquête, précise le courrier, sera rédigé avant la fin de 2013…

    La lettre, signée des professeurs Pierre Jouannet et Roger Henrion, tous deux spécialistes de PMA, est explicite: «Lors des débats (sur la loi Taubira, NDLR),les possibilités d'ouvrir l'accès de ces couples à la PMA et à la gestation pour autrui (GPA) ont régulièrement été évoquées, écrivent-ils. Ces possibilités seront peut-être prévues dans de prochains projets de loi après un débat qui devrait être organisé sur le sujet, notamment par le Comité consultatif national d'éthique.» Quant au questionnaire, il porte sur le nombre de «couples homosexuels souhaitant devenir parents» reçus en 2011 et en 2012 et les «types de demande» (PMA ou GPA, en France ou à l'étranger). Il se termine par les questions: «Pensez-vous que la PMA devrait être accessible aux couples homosexuels en France? Si oui, devrait-elle être prise en charge par les caisses d'assurance-maladie?» Sont ensuite demandés des renseignements sur l'âge et le lieu d'exercice du médecin, qui peut rester anonyme.

    Ce gynécologue obstétricien, qui a contacté Le Figaro après avoir reçu le courrier, n'a pas de mots assez forts pour condamner la démarche. «C'est un scandale invraisemblable!, s'offusque-t-il. On nous demande carrément si on transgresse la loi! Et si on est pour la PMA et la GPA pour les homosexuels! Tout cela émanant d'une haute instance morale qui a pour vocation de conseiller le gouvernement…» Ce médecin raconte avoir refusé une PMA à un couple de lesbiennes, «non par homophobie, mais parce que la loi ne l'autorise pas». Ce qui ne l'a pas empêché, «sans rien dire», de «suivre la grossesse de plusieurs femmes s'étant fait inséminer à l'étranger». Mais là, le gynécologue «sent le piège» : «Le médecin qui fraude et qui reçoit cela, il est déculpabilisé!, analyse-t-il. Il y a donc une volonté de préparer les esprits, de dire “puisque ça se passe à l'étranger, pourquoi pas en France?”, puis de mettre la loi en accord avec certaines pratiques marginales.»

    Même stupéfaction chez les professionnels de Gènéthique, un site d'information et d'analyse de l'actualité en bioéthique. «Comment ne pas penser que l'objectif réel de cette enquête s'inscrit dans la même logique que la circulaire Taubira sur la GPA, c'est-à-dire qu'elle se propose de partir de la réalité de quelques cas contra legem pour faire changer la loi?, s'interroge l'équipe. Comment l'Académie nationale de médecine peut-elle demander à ses propres confrères d'avouer des comportements considérés à ce jour contraires à la déontologie médicale et à l'ordre public français?»"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • « Les patrons de la presse nationale/ Tous mauvais » de Jean Stern

    La presse est-elle encore le Quatrième Pouvoir ou, se traînant péniblement à la remorque des médias audiovisuels, n’est-elle plus qu’un tigre de papier ? La question se pose avec de plus en plus d’acuité au moment où tant de journaux, exsangues, ne survivent que grâce aux « aides directes à la presse » (13 millions d’euros pour Le Figaro, 14 millions pour Libération et 17 millions pour Le Monde en 2010) généreusement versées par un Etat qui, lui-même aux abois, pourrait bien être contraint de fermer le robinet. CL

    Un journaliste de Marianne assistait-il, le 13 octobre, à la tonique Journée de réinformation organisée par Polémia sur le thème « Face à la tyrannie médiatique : nouvelles donnes, nouvelles cibles, nouveaux outils » et au cours de laquelle fut présenté l’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique (www.ojim.fr/) présidé par Claude Chollet ? Toujours est-il que, treize jours plus tard, l’hebdo fondé par Jean-François Kahn faisait sa une sur ou plutôt « contre le panurgisme médiatique » : une charge violente contre les confrères qui « disent tous la même chose, au même moment ». Rien n’est d’ailleurs plus logique puisque, selon un sondage publié le 17 avril dernier par le même magazine sur les intentions de vote des journalistes au premier tour de la présidentielle, 76,7% des sondés se partageaient entre François Hollande, Jean-Luc Mélenchon et Eva Joly, les autres s’abstenant ou affirmant leur préférence pour des candidats marginaux (Philippe Poutou, Jacques Cheminade…), cependant que Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen obtenaient tous deux… 0% ! Un vote aux antipodes de celui des Français.

    Une consanguinité dévastatrice entre journalistes et politiques
    La fracture va s’accentuer puisque les intentions de vote des élèves des écoles de journalisme étaient encore plus caricaturales : là, c’est 100% des suffrages qui se portaient sur les candidats oscillant du rose au rouge cramoisi : un décalage radical avec le corps électoral. De même que « la consanguinité de plus en plus forte et dévastatrice entre journalistes et politiques » est soulignée le 1er novembre par le sociologue Thierry Wolton sur le site latribune.fr, ce décalage explique la perte de crédibilité de la presse et donc la fuite du lectorat. Ce dernier préfère se contenter des journaux radio-télévisés, tout aussi conformistes mais gratuits, et, surtout, recourt de plus en plus à Internet pour s’informer.
    Evidemment, ce n’est pas cette gauchisation croissante des faiseurs (de moins en moins) d’opinion qu’incrimine dans la crise actuelle Jean Stern, ancien du Libération de la haute époque qu’il continue d’idéaliser et cofondateur du magazine homosexuel Le Gai-Pied. Mais, à condition de le lire d’un œil critique et de conserver pendant la lecture son libre-arbitre et même son esprit critique, son essai Les patrons de la presse nationale/ Tous mauvais n’en est pas moins riche d’enseignements.

    Main basse sur la presse
    Comme dans Les médias en servitude publié par Polémia et dans Ils ont acheté la presse de Benjamin Dormann (éd. Jean Picollec), Jean Stern constate que, si la presse devenue une « machine à décerveler, moutonnière et banale » a perdu en vingt ans des millions de lecteurs, c’est en raison de la mainmise sur ces organes affaiblis des magnats du luxe (Pinault, Arnault et Bergé), de l’armement (Lagardère et Dassault), de la communication (Xavier Niel) et maintenant de la banque avec Antoine Bernheim, Edouard de Rothschild et surtout Matthieu Pigasse (Lazard).
    S’interrogeant sur ces rachats, alors que « les grands médias ne gagnent pas d’argent. Au contraire, ils en perdent », Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia, en concluait lors de la remise des Bobards d’Or 2011 : « Ceux qui investissent dans les médias n’en attendent donc pas une rétribution financière immédiate. Non. Ils visent à acquérir du pouvoir, de l’influence » et aussi, accuse Jean Stern, le silence complice de leurs nouveaux salariés sur leurs agissements : « Maintenue tout juste hors d’eau, la presse enquête peu, analyse peu et sert en copié-collé les mêmes idées. » Exeunt, dès lors, les enquêtes économiques, sociales et internationales susceptibles de gêner les oligarques autopromus patrons de presse.

    Danseuses ou vaches à lait… fiscales ?
    A cela s’ajoute un autre intérêt strictement financier. Qu’il s’agisse du Monde, de Libé ou desEchos, ces coûteuses « danseuses » sont indispensables sur le plan fiscal. Le chapitre consacré au sujet (« Le hold-up des holdings ») compte parmi les plus intéressants du livre de Jean Stern. « Les holdings “actives”, écrit-il, sont devenues les centres de contrôle et de pouvoir des grands capitalistes français et donc des patrons de journaux. Le principe de la holding active est simple : une maison mère possède des filiales et travaille pour elles », lui facturant pour ce faire des « prestations », souvent exorbitantes, notamment pour des sièges somptueux. « Avec les factures de ces prestations, la holding peut “fabriquer” du déficit dans ses filiales. En pompant leur chiffre d’affaires, elle peut ainsi consolider ses comptes en faisant remonter pertes et revenus. Des experts en flux financiers créent à l’intérieur des groupes français des holdings en chaîne, ce qui permet de faire apparaître des pertes tout aussi artificielles et de diminuer ainsi l’imposition globale. »
    Ainsi, « l’achat d’une société éditant un journal en perte peut donc se révéler une bonne affaire fiscale pour une holding. C’est le cas du groupe LVMH de Bernard Arnault. Les pertes de sa filiale à 100% Groupe Les Echos – entre 17 et 35 millions d’euros en 2010 selon les sources – permettent de baisser l’imposition totale de LVMH qui affiche globalement trois milliards de bénéfices en 2011 ».

    La mortelle Sainte Alliance entre gaullistes et communistes
    Reste à savoir, bien sûr, pourquoi la presse nationale française, si diverse et si florissante avant la guerre (en pleine Occupation, Le Petit Parisien tirait encore à 600.000 exemplaires), n’a cessé depuis de s’étioler, au point de n’avoir d’autre recours que de se donner à d’avides magiciens qui s’en débarrasseront aussi vite quand ils n’en auront plus l’utilité.
    Parmi les facteurs ayant concouru à mettre les « médias en servitude » est évidemment écrasante la responsabilité des « journalistes-managers » qui ont sévi ces dernières décennies avec autant d’arrogance que d’avidité : après s’être offert le mirobolant salaire de 400.000 euros par an, le calamiteux Jean-Marie Colombani, ancien directeur du Monde finalement mis en minorité en 2007, obtint 950.000 euros d’indemnités de départ.
    Mais cela ne suffit pas à expliquer l’agonie de nos quotidiens. Ceux qui ont lu la fondamentale et monumentale (500 pages) Histoire de la spoliation de la presse française que Claude Hisard publia en 1955 à la Librairie française savent à quoi s’en tenir. Les autres liront avec profit le chapitre de Jean Stern sur la « Sainte Alliance à la Libération », avec le « partage des tâches entre gaullistes et communistes : aux premiers, les rédactions, aux seconds, la distribution du papier, les ateliers et les imprimeries » dont les ouvriers syndiqués – au contraire de nombreux journalistes – échappèrent à toute épuration (y compris ceux qui avaient quatre ans durant assuré la parution de la Pariser Zeitung allemande, dont le siège rue Réaumur devint celui du très résistancialisteCombat, où ils furent immédiatement embauchés).
    Cette Sainte Alliance, dont le Syndicat du Livre CGT, toujours plus pléthorique en raison de son clientélisme et de son activisme, tira d’ahurissants profits pour lui-même, ainsi placé en situation de monopole, et pour ses adhérents (bien mieux rémunérés que les journalistes pour des journées de six heures seulement quand la semaine était alors de 40 heures, tout dépassement d’horaire, fût-il de quelques minutes, coûtant aux journaux une période supplémentaire), se révéla mortelle pour la presse. Ajoutons que les Messageries de presse tombèrent, elles aussi, sous le joug du Syndicat du Livre qui y exigea la multiplication des emplois, généralement par cooptation et souvent surnuméraires, alors même que la mécanisation était en marche. Les grèves incessantes sous le moindre prétexte, avec occupations et parfois incendies des dépôts de papier, ne contribuèrent pas peu à la désaffection des lecteurs, entraînant la disparition de nombreux kiosques.
    Or, mis à part Emilien Amaury, patron du Parisien libéré qui se révolta contre ce système (après en avoir été partie prenante à la Libération), et y perdit la vie en 1977, tous les groupes de presse acceptèrent le carcan, qui aboutit à l’étranglement de leurs journaux.

    Les drôles de noubas de L’Huma
    Néanmoins, la collusion perdure. « Chaque année, en lever de rideau de la Fête de L’Humanité », rappelle Jean Stern, un dîner à La Courneuve réunit « le véritable comité central de la “cogestion” à la française de la presse ». En 2011, autour des responsables de L’Huma et des pontes de la CGT, banquetaient ainsi et échangeaient force gracieusetés Marc Feuillée, directeur général du Groupe Figaro et président du Syndicat de la presse quotidienne nationale, Jean-Pierre Baechter (Dassault), Pierre-Jean Bozo (20 minutes), l’ancien ministre giscardien Anne-Marie Couderc (Presstalis, ex-NMPP), François d’Orcival (Valeurs actuelles), Louis Dreyfus (Le Monde), Olivier Henrard, conseiller de Nicolas Sarkozy pour la culture et la presse, David Kessler (Les Inrockuptibles de Pigasse), Emmaneul Hoog (AFP), Bruno Lesouëf (président de la presse Lagardère), Francis Morel (Les Echos), Yvan Levaï (France Inter), etc.
    Au vu de cette union impure entre les représentants des plus grandes fortunes de France et les prétendus « soldats de la faim », il est difficile d’espérer une « refondation » de la presse.
    Se présentant aujourd’hui comme « directeur pédagogique de l’EMI (Ecole des métiers de l’information), Scop (*) de formation à l’Université Paris X [Nanterre] », Jean Stern conclut en bon gauchiste que si les journalistes « ne veulent pas finir broyés », ils doivent « oublier les patrons » et « retrouver la parole et la rage d’écrire ». Mais, si tant est qu’elles puissent s’exprimer, de quel poids seront cette parole et cette rage si elles restent univoques, si la profession continue de psittaciser le credo marxiste et antiraciste qui exaspère une majorité de lecteurs mais ne gêne nullement les « patrons », bien au contraire, puisqu’il sert leurs ambitions mondialistes ? A force d’alignement bêlant sur les dogmes de la saison, les mutins de Panurge finiront comme les moutons.
    Claude Lorne http://www.polemia.com/
    3/11/2012
    Jean Stern, Les patrons de la presse nationale/ Tous mauvais, La Fabrique éditions, octobre 2012, 210 pages, avec notes et annexes (mais pas d’index).
    Note :
    (*) Une Scop (Société coopérative et participative) est soumise à l’impératif de rentabilité comme toute entreprise mais elle bénéficie d’une « gouvernance démocratique » et d’une répartition des résultats favorisant la pérennité des emplois et du projet d’entreprise.

  • Victoire du Réseau Identité sur le DAL

    COMMUNIQUÉ du Réseau identités Gironde, le 17 juillet 2013 : Une première victoire contre le DAL ! Il faut continuer la lutte !

    L’occupation scandaleuse de l’appartement de Mme Lagrenaudie au n° 13 Rue Planterose à Bordeaux sous la responsabilité du DAL (association « Droit au Logement »), amène plusieurs réactions :
    Le DAL a violé délibérément le droit fondamental de propriété, en bénéficiant de la bénédiction des autorités, lui permettant de s’affranchir des règles générales du Droit.
    Le DAL s'est attaqué à une personne modeste n’ayant pas les moyens à d’entretenir sa maison du fait de sa pension de retraite misérable. Après la révélation de cette occupation scandaleuse, le DAL a tenté d'écarter toute responsabilité et à aucun moment ne s'est préoccupé de Mme Lagrenaudie, qui pourtant avait droit elle aussi à SON logement.
    Si les membres du DAL veulent faire du social, qu’ils le fassent avec leur argent et montrent l’exemple en hébergeant chez eux les sans-logis. Ils commenceront ainsi à être crédibles.
    Qui va payer les factures d’eau et d’électricité, taxe foncière et d’habitation, ordures ménagères ? Mme Lagrenaudie bien sûr en sa qualité de propriétaire !
    Le Réseau Identité se félicite de la large mobilisation citoyenne autour de cette affaire et y a participé activement avec le Rassemblement Patriote Girondin et de nombreux bordelais dans le cadre du Comité de soutien à Odette Lagrenaudie.
    Une avalanche d’appels et de mail auprès des autorités et du DAL, ainsi que l’intervention de l’ALMA, organisme officiel contre la maltraitance des personnes âgées que nous avons saisi, ont amené la Préfecture à expulser enfin les squatteurs illégaux.
    Mais le combat ne s’arrête pas là. Un mouvement de solidarité active pour nettoyer et remettre en état le logement est en train de s’organiser, ainsi que des suites judiciaires pour que le DAL indemnise la propriétaire : la solidarité avec nos anciens n’est pas un vain mot !
    En exclusivité, les coordonnées des responsables du DAL33, afin de leur exprimer avec fermeté mais courtoisie, votre opinion sur leurs agissements au quotidien.¢
    La présidente : Evelyne CASSAN, 06 81 13 56 05.

     Le vice-président : Francis CHIROL, f.chirol@wanadoo.fr

    Le secrétaire : Hadrien CLAIR, clair.hadrien@gmail.com, 06 77 94 27 40
    Réseau identités
    BP 1-7114
    30912 Nîmes Cedex 2
    www.reseau-identites.org
    contact@reseau-identites.org / +33(0)6 86 66 71 85