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magouille et compagnie - Page 2279

  • Une situation qui peut se radicaliser

     

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    Plusieurs événements ces derniers jours m'ont semblé revêtir une importance considérable pour l'avenir.

    Le premier s'est déroulé dans la Lot-et-Garonne marque peut-être pas la fin du prétendu front républicain mais le recul décisif, peut-être définitif, de ce mot d'ordre. Les électeurs de gauche eux-mêmes ne marchent plus. Un nombre considérable s'est déplacé pour voter blanc, plus de 5 000. Accessoirement les résultats bruts semblent aussi indiquer la persistance de ce qu'on a appelé "l'anti-sarkozysme", moteur essentiel de la victoire du candidat Hollande en 2012, et dont manifestement le pouvoir actuel cherche encore à se servir encore. Il ne dispose d'ailleurs guère d'autres arguments.

    Le discrédit de la classe politique dans son ensemble progresse dans le pays.

    Un autre fait doit être souligné : le rassemblement des bandes gauchistes dans le Quartier de l'Opéra dimanche soir avec quelques violences notables. Le chiffre de "6 000 manifestants antifascistes" est sans doute inflaté, mais il n'en annonce pas moins de prochaines provocations.

    Un point extrêmement positif et à soutenir : la mobilisation en faveur du jeune Nicolas, arrêté violemment le 16 juin lors d'une manifestation pacifique et condamné le 19 juin, alors qu'il avait surtout été la victime des forces de répression. Cette protestation doit être soutenue, notamment parce qu'elle transcende toutes les divisions coutumières de la droite en chapelles. Des pétitions circulent : il faut les signer et les faire connaître.

    Enfin, en filigrane, on notera la montée du péril islamo-terroriste intérieur. Il est largement représenté par des convertis décidés à frapper notre société, et leur pays. Cette situation peut se radicaliser, par la faute du sectarisme du pouvoir et particulièrement celui des ministères de l'Intérieur et de la prétendue Justice.

    http://www.insolent.fr/

  • Gironde : Christian Mabille (Parti socialiste) condamné pour corruption

    BORDEAUX (via Infos Bordeaux) - L’ancien conseiller régional socialiste Christian Mabille a été condamné à un an de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Bordeaux, pour corruption et prise illégale d’intérêt.

     

    Maire de Peujard et président de la communauté de communes du Cubzaguais, Christian Mabille était poursuivi en compagnie de Bertrand Juvénal, ex-patron de la société CFA Atlantique et qui lui, a été condamné à 4 mois de prison avec sursis pour corruption.

    L’élu socialiste était accusé d’avoir vendu, en 2008, un terrain à Bertrand Juvénal (qui voulait y bâtir une résidence pour personnes âgées, qui n’a finalement jamais été construite) et à sa société CFA Atlantique, et d’avoir touché 140.000 euros pour cela, peu de temps avant que le promoteur ne soit justement choisi pour aménager les 18 hectares du village des marques de Saint-André-de-Cubzac.

    http://fr.novopress.info/

  • Liberté d’expression : ce vent mauvais qui souffle sur Internet

    internet censureFaisant écho à la proposition d'Esther Benbassa, sénatrice écologiste du Val-de-Marne, qui réclamait en février dernier la mise en place d'un groupe de travail sur la liberté d'expression sur Internet, le député socialiste Malek Boutih a souhaité, le 12 juin à l'Assemblée nationale, que les pouvoirs publics prennent « le contrôle sur Internet », en confiant cette surveillance au CSA : pour l'ancien président de SOS Racisme « contrôler les tuyaux, c'est contrôler les contenus » !

    Déjà, dans son rapport sur la politique culturelle à l'ère des contenus numériques, remis le 13 mai dernier au Président de la République, Pierre Lescure avait préconisé la dévolution au CSA de missions de régulation nouvelles touchant aux vidéos distribuées via internet et la création d'une taxe sur les plateformes vidéos. Dans une tribune publiée le 13 juin par le Huffington Post, Esther Benbassa récidivait en n'hésitant pas à voir dans la mort de Clément Méric la marque des réseaux sociaux....Répétées à l'envi, ces déclarations troublantes constituent autant de signes avant-coureurs, annonciateurs sans doute d'une loi inédite qui viserait à domestiquer la liberté d'expression en ligne. En procédant à la refonte substantielle de la loi sur la liberté de la presse de 1881, pour l'adapter aux nouvelles technologies, il s'agirait ni plus ni moins pour nos e-censeurs que de faciliter la répression des propos diffusés sur les réseaux sociaux.

    Considérant que l'état du droit français est largement opérationnel pour réprimer les éventuels dérapages qui se produisent sur le net, le SIEL met solennellement en garde le gouvernement Hollande contre la tentation liberticide qui l'anime manifestement en voulant ainsi mettre au pas les libertés numériques. Echappant aux pesanteurs de la pensée dominante et du politiquement correct, Internet demeure en France le dernier espace de liberté d'expression : son intégrité est devenue aujourd'hui à ce point irremplaçable que nos compatriotes ne toléreront jamais qu'il y soit porté atteinte aussi peu que ce soit.

    par Karim Ouchikh
    Président exécutif du SIEL
    Administrateur du RBM  http://www.siel-souverainete.fr

  • 500 personnes soutiennent Nicolas devant le Palais de justice d'Angers

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  • Vous avez déjà perdu

    Intervention des Hommen hier soir, place Dauphine :

    "Alors si on fait les comptes:

    *Vous faites adopter une loi qui viole les droits de la majorité et des plus vulnérables pour plaire à un lobby qui représente la minorité d'une minorité.

    *Vous manipulez les sondages en dissociant les questions de mariage et d'adoption quand la loi porte sur les deux ensemble.

    *Vous ignorez des centaines de milliers de personnes descendues pacifiquement dans la rue à plusieurs reprises et falsifiez les chiffres de leurs mobilisations.

    *Vous foutez au panier une pétition historique de 700 000 signatures.

    *Vous accélérez le calendrier législatif pour prendre de vitesse les opposants.

    *Vous refusez d'organiser un référendum en invoquant le fait que l'article 11 ne prévoit qu'on y ait recours que pour les questions sociales et non sociétales; alors même que le terme "sociétal" est un néologisme qui n'existait pas en 58, et que la commission choisie pour examiner le texte à l'assemblée est précisément la commission des affaires SOCIALES.

    *Vous laissez des racailles de flics en civil malmener des jeunes filles et tabasser des gamins de 14 ans.

    *Vous refusez aux maires leur droit à l'objection de conscience en les menaçants de 7 ans de prison.

    *Vous faites coffrer des promeneurs parce qu'ils portent un sweat de la Manif.

    *Vous multipliez les détentions arbitraires et les procédures abusives.

    Et maintenant vous foutez en taule un étudiant qui est allé chanter la Marseillaise sur les Champs Elysées...

    Mais continuez M. Hollande! A ce train-là vous finirez par faire tirer sur la foule…

    Continuez mesdames et messieurs les juges, ministres, chroniqueurs et autres bonnes consciences subventionnées! Bientôt vous réhabiliterez la gégène…

    Continuez! Vous êtes en train de forger une génération de résistants.

    Vous croyez n'avoir à faire qu'à des cathos réacs mus par leur sentiment religieux? Vous êtes mal! L'ordre naturel qu'ils défendent est universel et vos coups de tonfa ont trempé leur conscience politique. Ils ont compris que ce mariage homo était le fruit vénéneux d'un arbre pourri par le mépris du peuple, la propagande médiatique et la dictature des minorités. S'ils pointent encore le fruit, ils pensent désormais à couper l'arbre. Et demain ils rallieront à eux le pays réel qui ne supporte plus votre condescendance.

    Continuez! Votre société utopique ne fait plus rêver. Notre génération en a soupé de votre progrès. Nous avons vu où mène votre libération des mœurs, votre marché-roi et votre relativisme déguisé en ouverture d'esprit. Nous sommes les enfants du divorce de masse, de la gay pride et de l'adultère en publicité dans le métro. Nous ne voulons pas de vos vies de merde de cocus compréhensifs et de working-girl dépressives.

    Continuez! De toute façon vous avez déjà perdu... Déjà Cohn-Bendit est tombé, le monde dégueulasse qu'il incarnait le suit. Votre activisme n'y changera rien, c'est du bouche-à-bouche à un cadavre."

    Carole d'Hombelois  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le Venezuela en état d’alerte

    Ce n’est pas d’aujourd’hui que le Venezuela est mis à l’épreuve des forces oligarchiques nationales et des politiques agressives de Washington. Depuis l’élection d’Hugo Chavez, en 1998, de l’adoption d’une nouvelle constitution , en 1999, d’une nouvelle élection présidentielle, conformément à la nouvelle constitution, en 2000, les anciens maîtres du Venezuela ne déragent plus. Oligarchies nationales, cupule ecclésiale et Washington serrent les rangs pour briser à sa racine ce nouveau régime.

    Dès 2002, une première tentative de coup d’État qui n’aura duré que quelques heures aura mis au grand jour les adversaires de la révolution bolivarienne. On se souviendra qu’avec l’aide de certains hauts gradés de l’armée, l’oligarchie nationale prit le contrôle des lieux décisionnels de l’État. Chavez fut transporté dans un lieu secret et les principaux acteurs de ce coup militaire (le patronat, la hiérarchie ecclésiale, les représentants oligarchiques et les médias meanstream célébrèrent cette victoire, le temps que le peuple et une partie de l’armée, restés fidèles à Chavez, interviennent et mettent fin à la fête. Chavez est aussitôt localisé, libéré et ramené au poste auquel le peuple l’avait élu, à savoir celui de Président.

    En 2004, selon une procédure prévue par la constitution, les opposants de Chavez font campagne afin d’obtenir suffisamment de signatures pour demander sa destitution. Un référendum a lieu et Chavez en sort encore plus fort. Il peut compter sur la majorité du peuple. À la même époque, mai 2004, 126 Colombiens, paramilitaires en mission au Venezuela, sont capturés. Ils avaient pour mission d’assassiner Chavez et de déstabiliser le gouvernement par des actions de sabotages. À cette époque, la Colombie est sous la gouverne d’Alvaro Uribe.

    Cette guerre souterraine contre Chavez et la nouvelle démocratie, celle du peuple pour le peuple, n’a jamais cessé. Les oligarchies et Washington avec la collaboration de la Colombie ne décolèrent toujours pas.

    En mars 2013, le président Chavez meurt d’un cancer bien mystérieux. Cette mort donne un nouvel espoir à ses adversaires, celui de reprendre le contrôle du pays et des richesses pétrolières. À ces objectifs s’ajoute également le sabotage des organismes régionaux d’intégration et d’unification des pays de l’Amérique latine et des Caraïbes. Il faut penser à UNASUR, MERCOSUR, ALBA, CELAC. Dans aucun de ces organismes ne figurent les États-Unis et le Canada.

    L’élection présidentielle du 14 avril dernier donna gagnant Nicolas Maduro, le candidat désigné par Chavez. Sa victoire a été bien en deçà de ce que les sondages disaient, mais il en est sorti gagnant.

    Une élection qui s’est déroulée dans un climat de paix et sous l’œil vigilant de plus de 300 observateurs étrangers. Une victoire, reconnue par tous des pays de l’Amérique latine. Les États-Unis sont le seul pays qui ne reconnaît pas les résultats de cette élection. En cela, l’Administration Obama apporte tout son soutien à l’opposition vénézuélienne sous la direction du candidat perdant, Henrique Capriles. Il faut préciser que ce dernier avait refusé, tant avant que pendant l’élection, de reconnaître les résultats de l’élection. Ces derniers jours, le Conseil électoral national a rendu publiques les conclusions de la révision totale des résultats de la dernière élection. À 99.009 %, ces résultats confirment ceux du 14 avril 2013.

    Le soir des élections, le candidat perdant, Henrique Capriles a invité ses partisans à aller manifester et à exprimer leur colère. Ce fut le début de nombreux saccages dans des lieux publics, dans des centres médicaux, dans des locaux du Coneil national électoral et ainsi que de nombreux blessés et de plusieurs morts. La nuit du 15 avril demeurera une page tragique de l’histoire vénézuélienne.

    « Dès l´annonce de Capriles, des groupuscules néofascistes déferlent dans les rues du pays. Des symboles du chavisme sont détruits, des militants attaqués et assassinés, des petits commerces sont saccagés et brûlés. On dénombrera 7 morts et 61 blessés, par balle pour la plupart. Cinq sièges régionaux du Parti socialiste Uni du Venezuela (Psuv) sont dévastés par les flammes, tout comme douze cliniques populaires où officient des médecins cubains. »

    Le 26 mai, Jos Biden arrive à Bogota pour une rencontre avec le président Santos. Il vient donner le signal d’une nouvelle offensive contre le Venezuela. En effet, à peine reparti de Bogota pour le Brésil, le président Santos reçoit officiellement Enrique Capriles, cet opposant qui n’a jamais voulu reconnaître les résultats de l’élection du 14 avril en dépit du fait que tous les pays de l’Amérique latine, y incluant la Colombie, les aient reconnus et que tous les observateurs internationaux en aient confirmé la pleine crédibilité. Capriles, c’est, également, celui qui a incité à la violence laquelle a fait plus de 63 blessés et 7 morts.

    Le Venezuela est en colère. Les principes de bonne entende, établis en 2010 entre les deux gouvernements, viennent se heurter à un autre agenda qu’a la Colombie. Les médias meanstream trouvent la réaction du Venezuela exagérée et présentent l’événement comme quelque chose de normal et d’interne à la Colombie.

    Pour le président Maduro, il ne s’agit pas d’un événement normal, relevant de la seule souveraineté de la Colombie. Cette colère vient du fait que le président Santos était bien au fait des crimes de Capriles et qu’il sait pertinemment que la dernière élection, sanctionnée par le Conseil électoral national, instance suprême de validation de toute élection, est la référence à prendre en considération. D’ailleurs, ce même président Santos avait participé avec tous les membres d’UNASUR pour discuter des élections au Venezuela et de la légitimité du président Nicolas Maduro. Tous, sans exception, y compris Santos, avaient alors reconnu la validité de l’élection et confirmé leur soutien au nouveau Président.

    Imaginons un seul instant que le Président du Venezuela reçoive officiellement le chef des groupes armés qui veulent renverser le gouvernement colombien ! Que se passerait-il alors de la part des autorités colombiennes et de ses alliés ? Ce serait, à n’en pas douter un motif suffisant pour couper toutes les relations diplomatiques entre les deux pays.

    Ce n’est pas tout. Deux jours à peine après cette rencontre explosive, le président Santos annonce son intention de demander l’intégration de la Colombie à l’OTAN. Une autre intervention qui vient semer la confusion dans les relations des pays de l’Amérique latine qui ont déjà décidé de faire de ce territoire une terre de paix.

    Sur ce point précis de l’OTAN, je vous invite à lire cet excellent article d’Alberto Rabilotta.

    Depuis, les évènements se succèdent.

    D’abord deux groupes de paramilitaires colombiens ont été arrêtés, début juin, en sol vénézuélien. Leur mission devait les conduire jusqu’à Caracas pour y assassiner le Président et d’autres personnalités du gouvernement.

    Vient par la suite cette information, transmise par le journaliste et ancien vice-président du Venezuela, Jose Vicente Rangel, à l’effet qu’une représentation de la opposition s’est rendue à San Antonio, Texas, pour y acheter 18 avions de guerre à être livrés sur une des bases militaire étasuniennes en Colombie.

    Je termine ce survol d’évènements avec cette double information. La première porte sur l’audience privée que le pape François accordera au président Maduro, lundi, le 17 juin. Une rencontre à suivre de près.

    La seconde est que trois représentants de l’opposition vénézuélienne seront reçus, deux jours plus tard, par le grand patron de la diplomatie vaticane. Il semblerait que ce soit pour réclamer la libération des soi-disant prisonniers politiques au Venezuela.

    Ce dernier point met en relief les relations privilégiées qu’a cette opposition avec l’épiscopat et le nonce apostolique vénézuéliens. À ma connaissance, c’est la première fois qu’une telle requête est présentée par une opposition politique à un si haut niveau. En général, elle s’adresse à l’épiscopat national qui voit ou non la pertinence d’en saisir le Nonce apostolique et par la suite ce dernier décide de s’en faire ou pas l’avocat auprès des plus hautes autorités de l’Église. D’autant plus que le Venezuela n’a pas la réputation d’avoir des prisonniers politiques, à tout le moins, pas depuis l’arrivée de Chavez à la Présidence, en 1998.

    On verra bien ce que la presse internationale va nous en dire de ces deux rencontres. Je vous promets que je vais y être attentif.

    Il n’y a pas de doute que la presse internationale meanstream sera là pour recueillir les commentaires et observations de ces représentants de l’opposition. Sur la rencontre du Président avec le Pape, il faudra, sans doute, que des scribes de l’information alternative prennent la relève.

    Bonne journée à vous tous et toutes qui avez eu le courage de me lire jusqu’à la fin.

    Oscar Fortin  http://chantaldupille.over-blog.com/

    http://humanisme.blogspot.com

    * http://humanisme.blogspot.fr/2013/06/le-venezuela-en-etat-dalerte.html

    http://www.mondialisation.ca/le-venezuela-en-etat-dalerte/5339349.

  • L’impossible racisme anti-blanc

    Au tribunal, la LICRA n’a pas voulu aller au bout de sa logique

    Logiquement, le tribunal correctionnel qui, vendredi à Paris, a condamné Arnaud Djender à trois ans de prison ferme pour une agression commise en septembre 2010 gare du Nord, n’a pas retenu contre lui la circonstance aggravante de racisme, en l’occurrence anti-blanc, requise par le procureur le 26 avril dernier.

    Térence C., une vingtaine d’années, avait été violemment frappé par deux individus, dont Djender – le coauteur des coups, en fuite, n’a, lui, jamais pu être identifié. Selon des témoins, les auteurs de l’agression avaient proféré des insultes racistes, « sale Blanc » notamment, à l’endroit de la victime, ce que l’accusé, défendu par Me Grégoire Etrillard, avait nié.

    La première condamnation en France pour racisme « anti-blanc » n’a donc pas été prononcée. Logiquement, car la LICRA (Ligue contre le racisme et l’antisémitisme), partie civile à l’audience du 26 avril, qui tenait à démontrer qu’un Blanc pouvait être victime de racisme, ne s’est pas donné les moyens d’étayer sa démonstration. Trop casse-gueule, sans doute. Comme si la LICRA avait fait sienne, en quelque sorte, la théorie des Indigènes de la République, selon laquelle il existe en France un « racisme structurel », procédant de la domination des « Blancs » sur les « Arabes », les « Noirs » et autres personnes de « couleur ». Chercher à démontrer, jusqu’au bout, que la victime avait été frappée parce que blanche aurait immanquablement conduit Me Mario-Pierre Stasi, l’avocat représentant la LICRA, à « ethniciser » sa plaidoirie contre le coauteur présumé des coups, par ailleurs tout à fait blanc de visage mais dont le patronyme, Djender, renvoie à une origine berbère. [...]

    Antoine Menusier - La suite sur Causeur  http://www.actionfrancaise.net

  • Irresponsable, le Tour pour Tous ? Un précédent existe !

    Quelques commentaires négatifs à propos du Tour de France pour Tous estiment que ce dernier serait nuisible. Pourtant, des exemples d’actions similaires couronnées de succès ne manquent pas. Un petit coup de projecteur sur l’association VL² :

     

    Le principe

     

    L’activiste flamingand Ivan Mertens, décédé l’an passé est surtout connu comme le fondateur de “Vlaanderen Vlagt” (littéralement, « la Flandre agite son drapeau »). Déçu des partis nationalistes flamands, il cherchait une autre manière pour attiser les sentiments flamingants de la population. C’est pourquoi il fonde en 2001 « Vlaanderen Vlagt » (VL²), avec un immense succès jusqu’en 2008. Ces volontaires bénévoles se rendent à divers évènement sportifs, évènement culturels, béatifications, etc… partout en Belgique et à l’étranger. Ils distribuent gratuitement des milliers des petits drapeaux nationalistes, calicots, banderoles et maillots cyclistes.

     

    Sur le Tour de France : comment cela a-t’il fonctionné ?

     

    BEt ça a marché ! Très rapidement, ils s’étendent à l’étranger, et une machine bien huilée acquiert sur le Tour de France une visibilité qui en fit grincer plus d’un. Tout est pensé : drapeaux et hampes préparés à l’avance et placés à l’arrivée dans l’axe des caméras, bénévoles habitués répartissant les enfants avec calicots aux points les plus visibles du parcours, distributions de centaines de petits drapeux… Après sa victoire d’étape de 2002 à La Mongie, Lance Armstrong donne sur cette montagne une conférence de presse entouré par une mer de lions flamands (Armstrong déclarera par la suite qu’il n’y a que 2 drapeaux qui comptent au monde : le drapeau texan et le Lion des Flandres).

     

    Des écueils à éviter

     

    Mais le mouvement fut aussi critiqué. Les spectateurs se sont souvent plaints de la vue gênée par les nombreux drapeaux, sur place et à la télévision. Deux accidents impliquant ces drapeaux (dont l’un sur le parcours de Paris-Roubaix) firent également couler beaucoup d’encre. Beaucoup de spectateurs restent également mitigé face à cette démonstration nationaliste extrêmement visible mais complètement hors-sujet dans une course française.

     

    Un immense succès de visibilité

     

    1En 10 ans, le mouvement a vendu près de 100 000 drapeaux flamands et distribué plusieurs centaines de milliers de petits drapeaux. En 10 ans, les opinions régionalistes ont aussi significativement progressé en Belgique et la NVA (parti nationaliste flamand de centre-droit), encore à 5% en 2001, est devenu le premier parti du pays.

     

    VL² n’a jamais été inquiété par la police française ou belge

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Manif pour Nicolas : Intervention de Marion Maréchal Le Pen place Dauphine