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magouille et compagnie - Page 2433

  • Culture de l’excuse, délinquance, immigration… Stop ou encore ?

    Ahmed Ben Bella,   premier président de l’Algérie indépendante entre 1962 et 1965, est mort hier à Alger. Ecarté brutalement du pouvoir, il fut remplacé à la tête de l’Etat FLN par Houari Boumediene, resté célèbre par sa prédiction, souvent citée ces dernières décennies par Jean-Marie Le Pen. En mars 1974, M. Boumediene déclarait ainsi : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »

     Dans son Mémoire de géopolitique sur la France multiethnique de 2030 (Collège Interarmées de Défense, mars 2004), le Commissaire Principal de la Marine, Florian Chardès, notait que « 75% de l’immigration actuelle est une immigration de peuplement, l’immigration de travail représentant seulement 10% du total annuel. » « Aujourd’hui, la Seine-Saint-Denis est le premier département français dans lequel naissent plus d’enfants d’origine extra-européenne que d’enfants d’origine européenne. Cette situation préfigure celle de l’ensemble du territoire métropolitain à compter des années 2040. »

     Une immigration qui tiers-mondise la France à tous les niveaux (socialement, économiquement, culturellement…) et qui est aussi responsable de la flambée de l’insécurité depuis trente ans. Faut-il le rappeler, les départements et villes les plus criminogènes sont aussi ceux les plus touchés par l’immigration de peuplement.

     Le Figaro rapportait notamment ce jeudi  qu’un « commerçant de 39 ans, connu des services de police et neveu de Saïd Tir, caïd marseillais du trafic de drogue abattu en avril 2011 -« considéré comme l’un des trafiquants les plus influents des quartiers Nord de Marseille »- « , a été tué hier soir de plusieurs balles de fusil d’assaut alors qu’il circulait dans sa voiture dans le 3e arrondissement de Marseille (…). En 2011, 20 règlements de comptes ont été recensés dans les Bouches-du-Rhône (29 victimes dont 16 morts), dont 15 à Marseille (23 victimes dont 13 morts), selon la préfecture. »

     Dans la nuit de mardi à mercredi, à Saint-Alban-Leysse, prés de Chambéry (Savoie) cette fois, c’est un policier, le brigadier-chef et père de famille Cédric Papatico, 32 ans, appartenant à la brigade anti-criminalité (BAC) qui a été percuté sciemment et traîné sur une trentaine de mètres par le 4×4 Porsche Cayenne de l’équipe de cambrioleurs que la BAC a surprise en pleine action.

     Nous l’évoquions sur ce blog, comme le FN  Xavier Raufer a fait justice il ya déjà longtemps de l’explication  économique (la crise, le chômage…) pour expliquer le basculement dans l’incivilité, la délinquance, la violence. Il a ainsi rapporté que le taux de pauvreté monétaire, c’est-à-dire de gens qui n’ont pas d’argent est de 19,5% dans la Creuse et de 18% en Seine-Saint-Denis ; que les deux tiers des immeubles dégradés en France se trouvent dans la Creuse. Dégradations qui elles, ne sont pas le fait des saccages commis par leurs habitants.

     « Les pauvres sont-ils en Seine-Saint-Denis ? Non. La vraie misère est dans le Cantal et dans la Creuse. Ceux qui n’ont pas d’argent, qui vivent dans des immeubles dégradés, qui sont éloignés des services publics, qui n’ont pas accès aux prestations sociales parce qu’ils ne savent pas qu’elles existent (vivent dans ces départements ruraux) ». « Une fois de plus cette culture de l’excuse (de la délinquance) est une escroquerie mais désormais on en a la preuve. »

     Bruno Gollnisch constate d’ailleurs que malgré le marasme social qui sévit tout particulièrement depuis 2008 aux Etats-Unis, la criminalité continue d’y baisser pour atteindre son plus bas niveau depuis quarante ans. Autant dire que l’explication sociologico-environnementale, gauchisante de la délinquance -« c’est la faute à la société »- ne saurait servir d’explication toute trouvée et magique à l’explosion des crimes et délits dans notre pays.

     Bref Sarkozy et l’UMP au pouvoir ont refusé ou ont été incapables de prendre les mesures nécessaires pour enrayer la délinquance et la libanisation dela France.

     Marine Le Pen le rappelait hier soir plus largement, « le contexte international nous donne raison, le contexte économique nous donne raison. Les problématiques d’immigration sont aujourd’hui telles que la lucidité des Français sur ces problématiques est plus importante (…). Pendant cinq ans (Nicolas Sarkozy) a démontré que les seuls qui étaient capables véritablement de prendre les choses en main, de ramener un peu d’ordre dans notre pays, de faire preuve de la fermeté nécessaire, et bien c’était ma candidature ! »,

    12 avril 2012 http://www.gollnisch.com

  • J’accuse Christiane Taubira ! par Jean Vermeer

    J’accuse Madame Christiane Taubira, ministre de la Justice, Garde des Sceaux, d’avoir sciemment trompé les Français le dimanche 13 janvier 2013 sur TF1 au journal de 20 heures de Claire Chazal.
    Je vous accuse, Madame, d’avoir sciemment menti aux Français en leur disant ce soir-là, je vous cite : « Le Code civil ne bouge pas sur la filiation, il n’y a pas une ligne de modifiée au titre VII qui concerne la filiation », alors qu’en fait, l’article 2 de votre projet consiste bel et bien à remanier ce titre VII.
    Mais votre mensonge ne s’arrête pas là, vous qui avez dit ce soir-là : « C’est un texte de loi qui n’enlève strictement rien à personne, qui ne supprime pas les mots de « père » et de « mère » ».
    Quel mensonge énorme ! L’avez-vous donc lu, votre projet de loi ? Il comporte 9 pages, 23 articles. Eh bien, les pages 2 à 9, les articles 4 à 21, consistent en la chasse aux mots « père » et « mère » dans tout le corpus juridique français avec un effrayant esprit de système.
    Dans le Code civil, le mot « père » (et « mère ») est effacé plus de 97 fois !!! Et vous dîtes devant des millions de Français, dimanche dernier sur TF1, que le projet « ne supprime pas les mots de « père » et de « mère » » ! Votre mensonge est stupéfiant.
    Votre projet est en fait essentiellement une chasse aux mots « père » et « mère », aux mots « homme » et « femme », « mari » et « femme » qu’il s’agit de faire disparaître dans tout le droit français. Et même les mots « beau-père » et « belle-mère ». Et les mots « paternel » et « maternel ». Un comble.
    Faire disparaître ces mots de tout le corpus juridique français, c’est l’objectif caché de votre projet, c’est pourquoi vous avez menti aussi effrontément. En effet, votre projet ne concerne pas seulement le Code civil, mais aussi douze autres codes, comme le Code de procédure pénale, le Code des transports, et quatre autres grandes lois (l’ordonnance de 1945 relative à l’enfance délinquante ; la loi sur la fonction publique hospitalière ; la loi sur la fonction publique de l’État ; la loi sur la fonction publique territoriale) car les mots désormais honnis qui ont le toupet d’y figurer doivent en disparaître aussi… (articles 5 à 21 de votre projet).
    Par exemple, les mots « paternelle ou maternelle » figurent-ils à l’article 399 du Code Civil ? Votre projet, article 4, 25° est ainsi rédigé : « L’Article 399 est (…) modifié : (…) c) Au dernier alinéa, les mots : «, paternelle ou maternelle, » sont supprimés ; ». Ces mêmes mots figurent-ils aussi aux articles 747 et 749 du Code Civil ? C’est l’objet du 45° du même article 4 de votre projet : « Aux articles 747 et 749 les mots : « entre ceux de la branche paternelle et ceux de la branche maternelle » sont remplacés par les mots : « entre chaque branche » ; ».
    Vous n’avez pas craint de supprimer le beau mot de « maternel » de tout le droit français. Vos électrices apprécieront.
    Ainsi, ce n’est pas seulement l’accès des homosexuels au mariage que vise votre projet de loi. Il veut en réalité enclencher un bouleversement de la société française. Et parce que les Français commencent à s’en apercevoir, vous leur avez menti en leur affirmant le contraire de ce que vous aviez mis dans votre projet de loi.
    Madame Christiane Taubira, ministre de la Justice, Garde des Sceaux : dimanche soir sur TF1, vous avez abusé de manière à vrai dire effrayante de la confiance de millions des Français. Maintenant, vous êtes démasquée. Vous êtes prise en flagrant délit. Il ne vous reste plus qu’à retirer votre projet de loi et à démissionner.
    *Jean Vermeer est un citoyen français qui s’est donné le mal de lire votre projet de loi.

  • Hollande place ses petits copains

     C’était pourtant l’un des reproches essentiels de la campagne de François Hollande à l’encontre de Nicolas Sarkozy, mais force est de constater combien le discours du président français est malléable et interchangeable à volonté. Le Figaro dénonçait il y peu dans un long dossier les manœuvres du népotisme d’un président décidément en permanence dans la fournaise des controverses et des scandales.

    L’État impartial de François Hollande n’a donc été qu’un énième vieux pieux, mais il faut remarquer qu’en la matière, tous les présidents français de la Vème République ne se sont jamais privés d’user et d’abuser des nominations de proches et d’amis pour assurer l’avenir. François Mitterrand, mais aussi Jacques Chirac furent des artistes de ces nominations dans le but avéré d’asseoir une clientèle fidèle afin de contrôler les rouages essentiels de l’État, notamment dans le domaine de l’audiovisuel.
    Nous apprenons en effet la nomination d’Olivier Schrameck à la tête du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) n’ayant par ailleurs aucune expérience en la matière, il fut juste le chef de cabinet d’un certain Lionel Jospin… sans doute le paiement des allégeances de campagne électorale.
    Mais François Hollande ne s’est pas arrêté en si bon chemin, nommant le sulfureux Jack Lang, l’un des « éléphants » du Parti socialiste à la tête de l’Institut du monde arabe, ayant sévi depuis 1981 surtout dans les ministères de la Culture et de l’Éducation nationale. Parachuté culturel ? Voici une nouvelle appellation qui pourrait faire du chemin. En 2012, après avoir été un soutien de DSK, Jack Lang avait lui aussi annoncé soutenir la candidature de François Hollande… il n’a pas été oublié non plus ! Et la liste s’étale ainsi, interminable car au-delà des têtes de file, il y a des centaines de nominations dans les « couches inférieures » de différents organismes et institutions, il s’agit en effet de verrouiller le pouvoir et fermement.
    Nous nous souvenons du maître à penser de François Hollande qui avant de terminer son deuxième mandat de président avait placé in extremis ces hommes, notamment Roland Dumas installé à la présidence du Conseil constitutionnel en 1995, une des plus hautes fonctions de l’État, place qu’il put occuper jusqu’en 2000 bien après le départ du Président Mitterrand. Pour mémoire c’est sous la présidence dudit Dumas qu’il fut décidé que l’immunité judiciaire du Président de la République s’imposait également pour les crimes et les délits de droit commun… mais l’homme fut rattrapé par toute une série d’affaires entre 1997 et 2007, il sera condamné à cette date pour complicité d’abus de confiance, 12 mois de prison avec sursis et 150 000 euros d’amende…
    Ce triste exemple indique bien que la compétence est rarement la raison principale de ces nominations qui ne sont que de basses manipulations politiciennes permises par une Constitution décidément obsolète. Le ton est donné. Il est aussi donné dans les débats qui agitent la France, depuis quelques temps une offensive médiatique est en cours dans les médias télévisés ou la chasse au « Hollande Bashing » est commencée. D’une manière perceptible, les spectateurs auront tous remarqué un changement de ton des journalistes. La déconfiture médiatique du président doit s’arrêter à tout prix ! C’est le cas par exemple des attaques lancées contre l’humoriste et imitateur Laurent Gerra, 6ème parmi les personnalités préférées des Français accusé de critiques excessives contre M. Hollande.
    Pendant ce temps-là en France, le spectacle consternant des réformes sociétales se poursuit, mariage des homosexuels, adoption par eux d’enfants, vote pour les étrangers, sans parler de la diversion de la guerre au Mali, décidément les promesses du Nouvel An de « l’ami François » ont été oubliées en moins d’un mois. Le chômage ne figure en effet à aucun moment dans les préoccupations d’un gouvernement qui est parti en croisade contre la moitié des Français pour la plus grande joie d’agitateurs sexistes du type Caroline Fourest dont le fonds de commerce est assuré pour longtemps. La fracture sociale n’a jamais été si grande et mon collègue Alexandre Latsa dénonçait même le fait que les militaires étaient désarmés lors des visites du Président… c’est dire la confiance de l’homme dans l’armée qu’il a lancé au Mali dans une guerre, autre paradoxe, qu’il dénonçait en Libye mais qu’il attise désormais en Syrie… et ailleurs !

     Nous avions eu les médailles de Cécile Duflot, nous avons les nominations du Président Hollande qui ne seront pas les dernières, malgré la crise les parts du « gâteau français » sont encore assez juteuses pour justifier que les chômeurs, le quart monde, les petites gens, les Français moyens, les besogneux ouvriers et artisans, les entrepreneurs, les simples employés, bref 90 % de la France réelle ne soient plus l’objet des attentions d’un gouvernement préoccupé de réformes inutiles qui dressent la Nation, les citoyens les uns contre les autres, semant au passage l’indifférence, la haine, la déception, la rancœur et la détresse dans le cœur de Français déjà bien assez malmenés à ce sujet.

    L’année 2013 dans ces conditions, ne sera pas dure, elle sera extrêmement pénible. Balayer en quelques jours quelques centaines de « péquins » édentés au Mali et qui font figures d’épouvantail à moineaux, ne pourra pas cacher la misère politique d’une France qui plus que jamais est mise en coupe réglée par « une élite » décadente et irresponsable. Comme l’indique trop justement Etienne Chouard, cette démocratie-là, n’en porte que le nom et usurpe et viole de manière souterraine tous ses principes essentiels et vitaux.
    La France aura sa guerre au Mali, son mariage pour tous, le droit de vote pour des étrangers, et les chômeurs et les nécessiteux devront se contenter de cela… tandis que la France de la base devra payer l’addition qui sera très, très salée.
  • Très forte mobilisation samedi à Nantes contre le mariage homosexuel

    Très forte mobilisation hier à Nantes contre le mariage homosexuel

    NANTES (NOVOpress Breizh) – Alors que l’article 1 du projet de loi concernant la légalisation du mariage homosexuel était adopté avant-hier après-midi par l’Assemblée nationale, plus de cinq mille manifestants étaient réunis à Nantes pour marquer leur opposition à cette loi qui remet fondamentalement en cause l’institution familiale, “une question essentielle pour notre avenir commun : la façon dont les êtres humains conçoivent la transmission de la vie et la filiation.” (J.P. Le Goff). La même manifestation était organisée simultanément dans chacun des 95 départements français.

    Hier après midi les abords de la préfecture de Nantes étaient noirs de monde (photo en Une). Loin d’être démobilisés, les manifestants – plus nombreux que lors de la manifestation qui s’était tenue en novembre – ont tenu à affirmer leur opposition au projet de loi socialiste.

    Au nom de l’Entente parlementaire pour la famille, le sénateur André Trillard (UMP) est intervenu pour dénoncer le projet de loi. « Nous ne reculerons pas, nous ne céderons pas » a affirmé de son côté l’avocat Louis-Georges Barret. Annick du Roscoat a appelé pour sa part à signer la pétition qui doit permettre de saisir le Conseil économique, social et environnemental pour avis à condition de réunir 500 000 signatures. Le rassemblement a pris fin vers 17h00 sans incident.

    Ce qui me frappe le plus, déclare à propos de cette loi le philosophe et sociologue J.P. Le Goff, c’est la légèreté et la précipitation avec lequel on traite cette question au nom d’une lutte contre les inégalités et les discriminations qui fait fi de toute dimension anthropologique ou qui  considère cette dernière comme une simple « superstructure », une « construction sociale de la réalité » qu’il s’agit simplement d’adapter aux évolutions, alors qu’elle met en question une donnée fondamentale de la condition humaine. En l’affaire le « principe de précaution »  – qui est devenu un leit-motiv dès qu’il s’agit des espèces en voie de disparition ou de certaines recherches et expérimentations scientifiques et techniques  – est mis hors champ concernant l’humain, au nom d’une passion de l’égalité, d’un hubris qui se veut doux et décomplexé dans un climat de confusion intellectuelle et éthique.” (Atlantico, 31 janvier 2013). Un principe de précaution dont les élus d’EELV – François de Rugy en tête – se moquent éperdument.

    La manifestation s’est déroulée également sans incidents dans les 94 autres départements de France, en particulier à Paris à proximité de l’Assemblée nationale.

    En voici deux photos à Toulon (préfecture du Var) où la grande place centrale de la ville (Place de la Liberté) était également noire (ou plutôt rose et bleue) de monde et où certains manifestants faisaient le rapprochement entre la théorie du genre et le “Mariage pour tous” dans le combat de ceux qui veulent dénaturer notre société.

    Très forte mobilisation hier à Nantes contre le mariage homosexuel

    Cliquer sur l’image pour l’agrandir

    Très forte mobilisation hier à Nantes contre le mariage homosexuel

    Crédit photo en Une : J.L. Raden, Novopress Breizh (cc). Crédit photo dans le texte : Novopress (cc)

    http://fr.novopress.info

  • Hollande sort son revolver, ses amis parlent de culture

    Nos avions frappent des « bases logistiques », des « camps d’entrainement » désertés, nos troupes pénètrent dans des villes vides de dhjihadistes qui se sont évaporés dans la nature… Gageons que les coups les plus durs qui seront assénés aux groupes armées islamistes le seront pas nos forces spéciales lesquelles par définition agissent dans l’ombre et hors des « conventions » de la guerre classique. C’est un discours a contrario bien conventionnel que François Hollande a tenu samedi, lors de sa visite éclair au Mali, à Bamako.

    Le chef de l’Etat a exhorté les militaires français à « être exemplaires » et à respecter « les droits de l’homme. » Les djihadistes qui tomberont sous les coups de nos soldats de la paix et du camp du bien, seront donc tués dans le respect des immortels principes, ce qui est un motif de satisfaction d’une hypocrisie foncièrement socialiste.

    Mais surtout, pour écarter l’accusation infamante de néo-colonialisme qu’entraîne cette intervention militaire, François Hollande a utilisé un vocabulaire choisi. Il a évoqué la « dette » que la France paierait aujourd’hui par cette intervention aux Maliens et aux Africains qui se sont battus dans nos troupes… coloniales. Tartufe pas mort…

    Le même jour en France, le TGV assurant la liaison Marseille-Nice était attaqué par une bande d’une vingtaine de « jeunes »…très jeunes, apparemment âgés de 15 à 20 ans. Ils sont parvenus à immobiliser le train sur la voie avant de tenter de pénétrer dans les rames.

    « On est revenu à l’époque de l’attaque des diligences, on est en plein Far West. Nous avons déjà eu à Marseille des attaques de trains de marchandises dans les quartiers Nord, et des agressions régulières sur les contrôleurs, maintenant on a franchi un cran supplémentaire dans le sud de la ville avec cette attaque hors normes », a estimé David-Olivier Reverdy, du syndicat de policiers Alliance.

    Lors de leur intervention, les forces de l’ordre ont été accueillies à coups de jets de pierre puisque les assaillants avaient stoppé le TGV à hauteur de la cité Bel Air dans le 11e arrondissement, un quartier lui aussi  très jeune de Marseille.

    Une dizaine d’entre eux ont été arrêtés. Le lendemain c’est cette fois dans le train circulant entre Perpignan et Avignon que les « jeunes » ont montré leur talent en frappant un contrôleur et en le menaçant avec un couteau alors qu’ils bloquaient les portes, empêchant le train de repartir de la gare de Frontignan.

    Pour en revenir à l’attaque du TGV Marseille-Nice, la presse a rapporté, citant quelques « sources », que l’objectif des jeunes aurait était de faire du buzz sur Internet, dans le cadre d’un clip promotionnel pour un groupe de rap.

    Si c’est au nom de la culture urbaine, ne doutons pas que nos jeunes artistes devraient bénéficier de circonstances atténuantes, tant il  est vrai que douter de la pertinence du concept de culture jeune expose à des risques d’excommunication hors du champ républicain.

    Nous l’avons vu encore en fin de semaine dernière avec les réactions suscitées par le geste rabelaisien de Bruno Gollnisch contestant « les décisions culturelles de la région, qui subventionne à hauteur de plusieurs dizaines de milliers d’euros des groupes musicaux » aux propos particulièrement obscènes.

    Il a fallu cette réaction symbolique pour que les médias rapportent, même si ce fut souvent de manière partiale et tronquée, le combat du groupe FN en Rhône-Alpes notamment, contre le gaspillage des impôts des contribuables.

    TF1, Libération, Le Figaro, BFM TV Le Parisien, La provence, 20 minutes, Europe 1, , France 3 le Progrès de Lyon, La dépêche, directmatin.fr , le Huffington post, Le Point, Le Nouvel obs, des dizaines de blogs d’information se sont fait l’écho de cette séance au Conseil régional.

    Il est intéressant de noter que dans neuf cas sur dix, les sites des médias concernés, à l’instar de la dépêche de l’ AFP, n’ont pas  vraiment cité les paroles les plus choquantes du groupe « Brice et sa pute » que l’exécutif régional entend promouvoir.

    Au nombre des commentateurs offusqués par  la réaction de Bruno, le plus (involontairement) drôle fut Yves Delahaie « Ex-MoDem, prof, auteur », dont la prose (déjà citée par nous) est hébergée par un blog du Nouvel Obs

    « J’ai toujours été de ceux qui se sont offusqués du verrouillage de nos institutions avec le refus de la proportionnelle afin de faire le barrage au Front National a-t-il notamment écrit. Ne serait-ce que parce qu’il est inefficace à partir du moment où le parti de Marine Le Pen flirte avec les 20%. »

    «Mais, poursuit-il,  il faut bien avouer que les élus FN ne font rien pour légitimer leur présence parmi les représentants de la République. Surtout quand on se souvient que le même Bruno Gollnisch avait déjà provoqué un coup de force à l’Assemblée nationale en 1987. »

    En fait de coup de force, le citoyen Delahaie cite un livre de Renaud Dély qui évoque ce fameux soir du 10 octobre 1987 ou, pour mettre en lumière « l’absentéisme des députés, les élus  frontistes avaient (enfreint le règlement) pour tourner les clés de vote électronique de leurs adversaires ». La république en tremble encore !

    Ce que ni lui M. Dély n’ont compris ( ?), c’est qu’au cours de ce débat relatif à la répression du trafic de drogue, l’absentéisme des élus partis du Système –à l’exception de 6 élus, toutes tendances confondues- était tout sauf anodin et donnait lieu à chaque vote à un tournage des clés, qu’ILLÉGALEMENT  les députés de droite comme de gauche laissaient sur leur pupitre.  

    Enfin, avait été greffé sur ce texte, en violation de la constitution, une disposition qui préfigurait la loi Gayssot et qui prétendait interdire certaines revues historiques hétérodoxes, ce qui n’avait rien à voir avec le débat initial sur la drogue.

    «Oui extrémiste, il (Bruno Gollnisch, NDLR) l’est assurément affirme cependant M.  Delahaie. Et ces attitudes sont tout simplement indignes de notre République. Montrer ses fesses à l’Assemblée, voter à la place d’un autre élu, voler le perchoir… Autant de forfaits qui siéent mal à celui qui se revendique de la tradition et des valeurs de la France. Autant de preuves, après tant et tant d’autres, qui confirment la véritable nature d’un parti extrême, d’extrême droite. Sans l’ombre d’un doute. »

    Si M. Delahaie s’échine à faire trembler le lectorat bobo, qui en matière de culture peut toujours faire son éducation avec les petites annonces si rafraîchissantes du Nouvel Obs, le FN tente tout simplement de briser l’ostracisme médiatique,  de faire entendre la voix de la raison , y compris dans le fameux « domaine culturel »

    Le site Rue 89 Lyon le résume assez maladroitement en affirmant que « le FN s’est globalement fait une spécialité de la contestation des propositions portant sur le domaine culturel, refusant systématiquement les subventions attribuées à des compagnies, des associations ou des groupes, plus particulièrement quand le propos tenu ne lui convient pas »

    Relevons en guise de conclusion  qu’il est très révélateur de la décadence française et occidentale que ce qui devrait ressortir du simple « divertissement » auditif - il en faut après tout pour tous les goûts -, puisse, par un incroyable glissement sémantique, par démagogie, jeunisme ou réelle confusion, être apparenté au « domaine culturel ».

    Des rebelles en carton pâte financés par les impôts des bourgeois et autres céfrans qu’ils méprisent, là aussi le symbole est parlant et résume bien la victoire (les dégâts)  de l’idéologie soixante-huitarde et libérale-libertaire.

    http://www.gollnisch.com

  • Mariage gay : l'opposition ferait-elle semblant de s'opposer ? Evidemment !

    Que fait donc l’opposition, demande NdF (voit l’article ci-dessous) au vu des résultats des votes à l’assemblée nationale, révélant que si l’opposition l’avait voulu, compte tenu de la faible mobilisation socialiste, elle aurait pu faire passer plusieurs de ses amendements,...

    C’est oublier une chose : le partage des rôles entre opposition et majorité.

    La première étant convaincue du passage du texte, ET EN DÉSACCORD EN SON SEIN SUR LA POSITION À ADOPTER, en fait le minimum en termes de présence, avec un nombre minimal de députés QUI PERMETTE DE NOURRIR LE DÉBAT TOUT EN INTERDISANT un quelconque renversement de majorité.

    Du reste, Fillon a déjà prévenu : comme Rajoy en Espagne, les libéraux conservateurs français conserveront le mariage et l’adoption homo en cas d’alternance. Ils ne s’attaqueront, et encore, qu’à la PMA...

    L’opposition à la dénaturation du mariage, c’est maintenant et dans la rue, qu’elle se joue ! LA MOBILISATION NE DOIT PAS FAILLIR !

    "Adoption de l’article 1 : Mais que fait l’opposition ? Viendra-t-elle parader le 24 mars ?

    Dans les faits… Officiellement, l’opposition est vent debout contre la dénaturation du mariage et le droit à l’enfant. Elle a annoncé il y a quelques jours plus de 5 000 amendements et s’est montrée aux différents rassemblements pro-famille de ces dernières semaines.

    Mais vendredi, on a appris que l’Assemblée nationale a rejeté plusieurs amendements substituant une union civile au « mariage pour tous » par 171 voix contre 77 (!) ainsi que d’autres amendements supprimant l’article premier par 183 voix contre 85 (!). Samedi, ce dernier a finalement été adopté par 249 voix contre 97. Tout un symbole : il supprime l’exigence de la différence des sexes comme condition du droit au mariage. [...]"

    La suite sur NdF

    http://www.actionfrancaise.net

  • Photos des 97 rassemblements de la Manif Partout

    Grâce au Salon Beige, les photos des manifestations du samedi 2 février 2013 à travers toute la France avant la grande manifestation nationale du 24 mars !

    La mobilisation continue !

    97 manifestations pour défendre le mariage contre le projet de loi Taubira ont été organisées aujourd'hui devant les préfectures de France. Quelle organisation, quelle association, quel parti politique peut se targuer d'avoir mobilisé autant au même moment ? La révolte du peuple français contre les projets délirants de ce gouvernement monte chaque jour. Et elle va encore gronder le 24 mars prochain à Paris.

    Avignon, où le mistral soufflait entre 60 et 90 km/heure avec 8/10 °C (autres photos). Présence de Marion Maréchal-Le Pen :

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    Melun :

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    Le Salon Beige

    http://www.actionfrancaise.net

  • La France en voie de désintégration

    Remplacement de population, déracinement, amnésie collective organisée, déchristianisation : la France change et se désintègre sous nos yeux. Reste à savoir à qui profite le crime.
    Le titre s'étalait sur le site du Point du 23 août dernier et la nouvelle valait bien ça ! « Didier Raoult tord scientifiquement le cou au mythe du "vrai Français " dans un pays où le métissage est généralisé », exultait le Point. Bigre ! Si c'était scientifique, c'était forcément sérieux. On pouvait s'attendre à une démonstration sans réplique.
    Que l'on en juge : « il est bien difficile de définir géographiquement ce qu'est la France », écrit ce scientifique, avant de conclure avec sagacité, sous prétexte que les frontières de notre pays ont bougé au cours des siècles, que « la France est une variable géographiquement instable, un mythe. » Concernant les caractéristiques génétiques de la population française, les choses sont, paraît-il, « beaucoup plus complexes », mais « Dans tous les cas, le métissage est généralisé » et « le droit du sang n'est pas génétiquement fondé ».
    Le sérieux et l'indépendance d'esprit de l'homme de science apparaissent clairement dans les première et dernière phrase de son article : « Les créations de mots et de concepts peuvent servir à déguiser des termes dont l'usage est interdit par la loi ou par l'évolution des mœurs ». Et de conclure : « Je redoute que le terme "Français de souche " ne serve qu'à ceux que l'on ne veut pas comme Français... » Le flic de la pensée perce sous le professeur.
    Professeur de quoi, au demeurant ? Didier Raoult est-il historien ? Géographe ? Démographe ? Généticien ? Vous n'y êtes pas : il est biologiste et dirige l'Unité de Recherches en Maladies Infectieuses et Tropicales Emergentes à Marseille, ce qui garantit probablement sa compétence dans toutes les autres spécialités... En fait de science, son article s'inscrit dans la sempiternelle doxa immigrationniste.
    L'anecdote est cependant exemplaire : le sérieux présumé du Point et le titre professoral sont destinés à convaincre le lecteur du bien-fondé d'un article qui mérite tout au plus un haussement d'épaules. Ce n'est pourtant pas le cas, parce que la thèse qu'il défend, aussi fausse soit-elle, s'inscrit dans le sens de l'histoire tel que l'a défini l'idéologie dominante et qui condamne la nation française à disparaître.
    Comme nous le montrons dans ce dossier, tout y concourt.
    Premièrement, l'arrivée massive et l'installation sur le sol français de populations extra-européennes. Comme l'explique le démographe Yves-Marie Laulan dans les pages qui suivent, cette immigration de peuplement, conjuguée à la faible fécondité des Françaises « de souche », s'apparente de plus en plus à une substitution de population ; un remplacement accepté et souhaité, puisque François Hollande n'envisage pas de réduire le nombre des immigrants légaux, qui s'élève à entre 180 000 et 200 000 par an.
    Une nouvelle utopie postdémocratique
    L'accumulation dans les banlieues de ces populations déracinées, trop nombreuses pour être intégrées et encore moins assimilées, a débouché, en outre, sur la multiplication de zones de non-droit à la périphérie des villes, à tel point qu'à Marseille, une élue socialiste elle-même issue de l'immigration algérienne préconise aujourd'hui de faire boucler les cités par l'armée.
    Deuxièmement, l'organisation de l'amnésie collective et du déracinement par les concepteurs des programmes scolaires, notamment en histoire et en géographie. Elle concrétise le souhait des communistes, formulé dans l'Internationale : « du passé, faisons table rase ». Cependant les communistes, loin de faire table rase de l'histoire, l'avaient manipulée et grimée pour s'en servir à des fins de propagande. Ce n'est plus le cas aujourd'hui et les jeunes Français n'apprennent plus l'histoire de France. En les privant de leur héritage collectif, on les déracine pour en faire des citoyens d'Europe d'abord, du monde ensuite, et finalement des immigrés chez eux.
    Troisièmement, la déchristianisation, entretenue par les campagnes d'opinion régulièrement dirigées contre l'Eglise catholique. À cet égard, la politique de « laïcité positive » de Nicolas Sarkozy aura été une parenthèse vite refermée. François Hollande, dont le programme électoral prévoyait d'inscrire la loi de séparation de 1905 dans la Constitution, a déjà engagé un bras de fer avec les évêques français sur le mariage et l'adoption par les homosexuels. (Le 19 août, en revanche, à l'occasion de l'Aïd-el-Fitr, il adressait ses vœux aux musulmans de France en souhaitant « que cette fête du pardon, du partage et du souci de l'autre contribue à la concorde dont notre nation a tant besoin. »)
    Ces différentes atteintes portées à l'identité de la France vont toutes dans le même sens, celui de la mondialisation, vers laquelle le fédéralisme européen ne représente qu'une étape. La démographe Michèle Tribalat, chercheuse à l'Ined et auteur d'un ouvrage (entre autres) significative-ment intitulé Les Yeux grands fermés, faisait la même analyse dans un entretien donné à Spectacle du monde, en avril 2012 : « Les migrations seraient inscrites dans le sens de l'histoire et donc appelées à se multiplier, et ce serait aux peuples et à leurs gouvernants de s'y plier, avec grâce si possible. Ces mouvements ne pourraient être que bénéfiques, une fois dépassées ce qu 'on appelle "les externalités négatives ". A terme, donc, plus de problème, dans un monde où la liberté de s'installer, indépendamment des frontières, serait la règle, et le marché du travail mondial. (...) C'est donc bien une nouvelle utopie postdémocratique qui fait chanter les lendemains et il n'y aurait pas lieu de s'inquiéter si les bénéfices annoncés devaient tarder et ne pas se manifester de notre vivant. »
    Dans cette nouvelle perspective internationaliste, la désintégration des peuples et des nations européens serait une étape nécessaire vers le monde et la gouvernance globaux. Un meilleur des mondes...
    Eric Letty monde & vie 8 septembre 2012

  • Nicolas Sarkozy: Objectif métissage forcé


    Nicolas Sarkozy: Objectif métissage forcé par x-denki

  • Pôle emploi : Mission impossible

    Une journaliste des «Infiltrés» a réussi à intégrer une agence importante d’une grande ville française : une embauche sans vraie sélection et avec une formation sur le tas.

    Jour après jour, cette infiltrée a découvert la réalité du quotidien des conseillers de Pôle emploi, en sous-effectifs chroniques, écrasés par la bureaucratie et des directives inapplicables, parfois à la violence, et scandalisés par la politique du chiffre.

    http://fortune.fdesouche.com/