09/05/2023
Contactée, la préfecture n’a pas souhaité apporter de commentaire. Impossible, donc, de connaître avec précision l’origine de cette bourde.
Fin de l’affaire ? Pas vraiment. Vendredi soir, une trentaine de personnes se sont rassemblées dans le quartier du Val-Fourré pour exprimer leur colère. Car ce « couac » a réveillé de vieux débats, extrêmement sensibles, tant ils touchent à l’identité et à la culture de milliers d’habitants originaires de l’Afrique subsaharienne.