Un spectre hante la France : celui du renouveau totalitaire. Il est porté par cette même gauche qui a cautionné jadis les pires doctrines liberticides. L’entendre désigner l’ « extrême droite » comme le danger pour la démocratie vient rappeler son attrait pour la désinformation, la falsification, le mensonge. Laurent Berger (CFDT), co-organisateur de la manifestation de ce lundi 1er mai, affiche ainsi toute se répugnance pour le « populisme » qui serait représenté par le RN. Ses représentants sont indésirables dans les processions contre la réforme des retraites.
magouille et compagnie - Page 326
-
L’attrait totalitaire de la gauche déboussolée, par Ivan Rioufol
-
Biden-Macron : champions du revirement
-
« 10 à 15 nouveaux par jour » : accompagnées par quatre associations, 400 migrants « mineurs isolés » occupent une école désaffectée du 16e arrondissement de Paris, ils étaient 169 en avril
-
Villeneuve-d’Ascq (59) : le recteur et quatre autres dirigeants de la Grande mosquée placés en garde à vue ; ils sont soupçonnés d’avoir détourné des milliers d’euros en liquide
INFO LE FIGARO – Le recteur et quatre autres dirigeants du centre islamique de Villeneuve-d’Ascq ont été placés mardi sous contrôle judiciaire à l’issue de leur garde à vue. Ils auraient détourné d’importantes sommes en liquide.
Soupçonnés de fraude, cinq dirigeants du centre islamique de Villeneuve-d’Ascq (59), dont son recteur l’imam Mohamed Karrat, ont été placés sous contrôle judiciaire à l’issue de leur garde à vue ce mardi 2 mai, a appris Le Figaro. Les cinq responsables religieux ont été déférés par la police judiciaire devant le parquet de Lille, et ont interdiction de quitter le territoire français. Ils sont convoqués par procès-verbal à une audience-relais devant le tribunal le 5 octobre, puis une nouvelle audience sur le fond qui aura lieu le 8 février 2024.
-
Fitch : une première gifle à la Macronie, sous la menace d’une seconde…
-
Avec ou après Macron, le déluge ?
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés. (Propos recueillis par Guirec Sèvres).
Vous publiez le 20e volume de vos chroniques barbares intitulé La France macronisée ; le sous-titre est explicite : « Le “quoi qu’il en coûte”, de l’arnaque à la crise »… Ne trouvez-vous donc rien de positif dans la politique menée par Emmanuel Macron et ses ministres ?
Et vous, pourriez-vous me citer une réalisation positive à porter à leur crédit ? Des déclarations d’intentions pour des lendemains qui chantent, certes, ses Ministres et lui en font à la pelle, on y est habitué, mais concrètement ? Un endettement abyssal, une inflation galopante, des services publics à la ramasse, une explosion de la délinquance, un système scolaire qui n’en est plus à s’effondrer, mais à s’enfoncer désormais sous le niveau de la croûte terrestre… Plus anxiogène encore sont les multiples fractures dans la population : certes, quelles que soient les situations dramatiques, certains tirent leur épingle du jeu – et pas forcément tous de façon malhonnête ou immorale – mais la grande majorité de nos compatriotes a désormais le sentiment qu’on était plus heureux dans le passé que de nos jours, malgré des progrès techniques aussi incessants qu’insatisfaisants. Le fil rouge de la politique française, depuis plusieurs présidences, c’est le choix « nous ou pire que nous »… Hier c’était « eux » ou la menace Lepéniste et ses hordes fantasmées de haineuses chemises brunes ; aujourd’hui, c’est « eux » ou la fureur mélenchoniste et une France transformée en immense ZAD avec miradors et guillotines à chaque coin de rues…
-
1er Mai : le pouvoir profite de la violence des antifas
Bernard Germain
Lundi avaient lieu de multiples manifestations, à travers toute la France, contre la réforme des retraites de Macron. Comme d’habitude, les cortèges de manifestants furent calmes et sans incident. À l’exception de quelques accrochages avec les antifas, regroupés en blackblocks, qui entendaient pouvoir rentrer dans les cortèges syndicaux afin de se cacher après avoir agressé les policiers. Pas de chance pour eux, les services d’ordre des syndicats ne l’entendaient pas de cette oreille et les antifas ont vite compris qu’ils n’étaient pas les bienvenus.
On assista donc à cette situation incroyable : un « pré-cortège » comme disent les journalistes, constitué d’énergumènes ultra-violents qui cassaient tout sur leur passage, mettaient le feux à tout ce qu’ils pouvaient et attaquaient à intervalles réguliers les policiers.
Et pour ces gens-là, il n’y a pas de limite. Ils sont là pour casser et… tuer !
-
Impasse Macron
Le billet de Patrick Parment
Qu’importe au final le nombre de participants aux défilés du 1er mai en France. En revanche, ces mobilisations montrent bien que le pays n’est pas démobilisé contre ce gouvernement. Car les manifs de la réforme des retraites (treize à ce jour) ne sont que la partie émergée de l’iceberg. C’est une France des « gilets jaunes » sans gilet qui descend à chaque fois dans la rue. Les syndicats font de cette réforme un gimmick alors qu’ils savent pertinemment que le gouvernement ne reviendra pas en arrière. Par ailleurs, les syndicats ne sont pas représentatifs de l’ensemble des travailleurs, loin s’en faut. Mais ils restent un excellent détonateur. Cependant faire la grève coûte cher aux ménages qui ont un seuil d’acceptation limité.
-
Un procureur sur les casseurs d’extrême gauche : “Impossible de vérifier leur identité dans les délais. Ces procédures mobilisent toute la chaîne judiciaire et engendrent des dégâts collatéraux énormes : des pans entiers de la délinquance sont impactés”
L’État éprouve des difficultés à judiciariser ses renseignements. Mettre un visage et un nom sur une personne appartenant à un groupe est une chose. Démontrer, pénalement, que cette personne a personnellement commis une infraction en est une autre. Sur le terrain, le problème n°1, c’est l’identification. La plupart des infractions sont commises à l’abri des regards, derrière des parapluies ou des bâches spécialement déployées. Elle rend impossible la capacité de dire avec certitude qui a fait quoi. Sans cela, toute procédure judiciaire est vouée à l’échec. C’est la loi.
-
AFFAIRES BETANCOURT, SARKOZY, CAHUZAC : LA FEMME QUI EN SAVAIT TROP AVEC STÉPHANIE GIBAUD