Par Jean-Luc Maisonblanche
L’actuel président de la Ve République poursuit son second mandat malgré trois échecs électoraux successifs : aux législatives de 2022, aux européennes de 2024 et aux législatives de 2024 après la décision que ce même président a prise de dissoudre l’Assemblée nationale. Il reste donc légalement président mais il a perdu toute légitimité ! Et rien dans les textes ne l’oblige à démissionner. Il se protège ainsi des recours qui pourraient être exercés contre tels ou tels actes qu’il a commis et dont les conséquences dommageables suscitent un intérêt à agir en demande de réparation. Il prétend par ailleurs protéger la République d’un succès populiste assuré de la candidate du Rassemblement national…