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La situation dure depuis près de 48 heures. À partir de mercredi soir, entre 150 et 200 personnes dans le besoin ont dormi sur le parvis de la mairie du XXe arrondissement de Paris. « Ces dernières semaines, jusqu’à 205 personnes sans-abri se sont présentées chaque soir à notre permanence de mise à l’abri », explique la branche parisienne d’Utopia 56 sur son compte Instagram.
Emmanuel Macron fait feu de tout bois ! 10 ans après les attentats de Paris, au Stade de France, sur les terrasses et au Bataclan, une cérémonie a été organisée pour rendre hommage aux victimes des terroristes. Le président français s’est donné en spectacle, six mois tout juste après avoir reçu en grande pompe le terroriste de l’Etat islamique Mohammed al-Joulani, désormais al-Charaa, dirigeant de la Syrie.
Nous abandonnons momentanément le traitement de l’actualité, ce que nous faisons tous les jours dans cet édito, pour revenir, au lendemain de notre éclatante victoire contre Sos Racisme, et de l’édito sur le scandale de l’antiracisme, sur la réalité du djihad judicaire subi par Riposte Laïque, depuis 14 ans. Nous avons fait un énorme travail, que nous vous présentons en deux parties.
Depuis trois décennies, le rituel est immuable : des milliers de responsables politiques, diplomates, militants et influenceurs « verts » traversent la planète pour venir expliquer aux peuples ce qu’ils doivent consommer, produire, manger ou penser. La COP30, organisée cette année à Belém, en Amazonie, s’inscrit dans cette tradition — mais elle en révèle surtout les contradictions les plus criantes.
Dominique Sopo, président de SOS Racisme depuis 22 ans…
SOS Racisme a été créé en octobre 1984. Selon Atlantico : « SOS Racisme est fondé par Jacques Attali, Julien Dray avec le renfort de l’Union des étudiants juifs de France ». Parmi les cofondateurs : Harlem Désir, Gérard Filoche, Marc Ladreit de Lacharrière, Daniel Saada, Bernard Pignerol et Bernard-Henri Lévy.
Le tout est piloté par Tonton depuis l’Élysée. Un Tonton qui a parfaitement compris qu’avec cette « assoce » dans l’air du temps, le PS procédait à un solide investissement.
La Dernière est le nom d’une émission diffusée sur Radio Nova, tous les dimanches entre 18 heures et 20 heures. Aux manettes du programme : Guillaume Meurice, Juliette Arnaud, Aymeric Lompret et Pierre-Emmanuel Barré. Tous se veulent drôles et irrévérencieux. Le dimanche 9 novembre, le dernier nommé a surtout été franchement répugnant.
Au-delà des chiffres sempiternellement rassurants des organismes officiels comme l’INSEE, l’enquête des directeurs d’achats dresse un autre panorama de l’économie française, selon le graphique habituel, qui veut que la barre soit à 50, qu’en dessous, c’est la récession et au dessus, la croissance. Le chiffre en octobre, pour la France, s’établit à 46,8, autant dire que la barre des cinquante est très loin, non pas en décimales mais en traduction réelle en terme d’activité industrielle et autres. Si l’INSEE n’affiche pas de perte de PIB, on peut se gratter la tête, comment est-ce possible avec un score de 46,8 ? Mais bon, c’est un organisme d’État et on peut imaginer qu’il a des consignes. Ce qui est bien réel par contre, c’est la chute vertigineuse du PIB par habitant, une logique au vu des politiques actuelles en matière d’immigration, étant donné qu’on laisse entrer des gens qui statistiquement travaillent moins, que les Français, voire pas du tout pour une bonne part d’entre eux, tout en absorbant quantité d’aides. Egalement, le vieillissement de la population est en cause, cela se traduit par plus de personnes entre lesquelles partager un gâteau qui non seulement ne grossit pas mais aurait même tendance à diminuer. Cela fait dire que la récession est là, parfaitement palpable et corrélée aux records de faillites d’entreprises de ces derniers mois.
La France se souvient. Ce jeudi 13 novembre, anonymes et officiels ont rendu hommage aux 132 victimes des attentats de 2015. Tandis que des cérémonies commémoratives se déroulaient au Stade de France, au Bataclan et devant les terrasses visées par les terroristes il y a dix ans, en présence d’invités triés sur le volet, de nombreux autres responsables commentaient le triste anniversaire sur les réseaux sociaux. Les têtes de file de la gauche ont ainsi exprimé leur émotion, louant la résilience de la République et la beauté de ses valeurs. Mais un élément manquait cruellement à leurs éloges funèbres. Un certain terme semblait, en effet, avoir été banni de leur vocabulaire. Jean-Luc Mélenchon, Manon Aubry, Manuel Bompard, Mathilde Panot,Fabien Roussel, Antoine Léaument ou encore David Guiraud ont tous évoqué les affres du « terrorisme », mais aucun n’a eu le courage de nommer cette idéologie qui nous a déclaré la guerre : l’islamisme. Histoire de verrouiller le débat et censurer la parole encore un peu plus, Manon Aubry a profité de son tweet d’hommage pour marteler son refus des « amalgames ».
Ce jeudi 13 novembre 2025, Hassen Hammou, ex-chef de file d’Europe Écologie-Les Verts pour les municipales à Marseille, a comparu furtivement devant le tribunal correctionnel. L’audience, consacrée à des faits de corruption de mineur datant de juin 2024, s’est tenue à huis clos à la demande de l’avocat de la partie civile.